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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 27/06/2024 dans toutes les zones

  1. Y'a aucune boite électronique derrière le cockpit. C'est une grosse partie du conditionnement de l'avion, notamment les échangeurs primaires. Les boites sont dans les bajoues de l'avion, les soutes et une partie de la crête. Pour le carburant, la différence est à peu près anecdotique (EDIT, enfaite c'est entre le C et M que c'est anecdotique, le B emporte presque 400L de moins). En terme de performance, étonnamment pour le dogfight les pilotes préfèrent le B, il bouge mieux.
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  2. Les suites de l'arrestation d'un ressortissant Russo Ukrainien en France, suite à l'explosion intempestive de sa bombe artisanale. Kirienko à la manœuvre, stratégie globale de sabotage en Europe (la liste donnée des actions similaires est assez stupéfiante). https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/06/26/derriere-l-operation-avortee-d-un-russo-ukrainien-a-roissy-en-france-une-vaste-campagne-de-sabotage-orchestree-depuis-moscou_6244099_3224.html
    6 points
  3. Une nouvelle vague de sanctions occidentales avec un blocage massif des paiements bancaires, y compris via des pays considérés comme « amis », pourrait conduire à la « mort » de l’économie russe. C'est ce qu'a déclaré mercredi Vladimir Chistyukhin, premier vice-président de la Banque de Russie, lors de la session du Forum juridique international de Saint-Pétersbourg. Mais les sanctions ne marchent pas, c'est bien connu ! https://www.moscowtimes.ru/2024/06/26/v-tsb-zayavili-ob-ugroze-smerti-rossiiskoi-ekonomiki-iz-za-sanktsii-a135115
    6 points
  4. Le 137 / F-RBAX / 3B775C / est arrivé le 25 juin 2024 sur Orléans Le 24-ème de la flotte FR
    6 points
  5. Après un journal Turc à propos d'une frégate Grecque ça ne vole probablement pas très haut en terme de crédibilité ^^ Qu'il y ait eu des problèmes techniques, c'est très probable. De là à en faire une montagne et dire que la Marine Grecque ne vaut rien
    5 points
  6. Par soucis d'équité de traitement, il me semble que la 1ere A2SM tombe à côté de la maison (ouh les nuls tout ça tout ça)
    4 points
  7. Ils pourraient combiner cela avec un élevage de poules sous volière (comme ça pas de risque pour la grippe avière), ils auraient des oeufs frais tous les matins Clairon
    4 points
  8. C’est aussi placé le 40mmCTA qui est important…
    4 points
  9. Mouais, maintenant quand on sait qu'une telle tourelle peut représenter de 60 à 75 % du prix du véhicule complet et une marge non négligeable, pas sûr que cela soit un drame en soi Clairon
    4 points
  10. Il nous arrive parfois d'avoir des invitations, ou d'avoir envie de signaler certains salons, journées etc. Je me permets donc, pour ceux que ca pourrait interesser, de signaler l'"opération CIEDS" le 4 jul (rencontres mili étudiants start ups chercheurs... il doit rester des places je pense. https://www.linkedin.com/posts/cieds-ip-paris_opération-cieds-2024programme-final-activity-7212026808320307200-M5DS?utm_source=share&utm_medium=member_desktop
    3 points
  11. https://www.opex360.com/2024/06/27/pour-la-premiere-fois-le-batiment-ravitailleur-jacques-chevallier-a-livre-un-missile-aster-a-une-fregate/ "Ce n’est pas la première fois que le BRF « Jacques Chevallier » transfère des munitions « complexes » vers un autre navire. transfert. Lors de la mission Akila 24, en mai, il avait ainsi procédé à la livraison et à la mise en silo d’un Aster 15 lors d’un ravitaillement en mer du porte-avions Charles de Gaulle."
    3 points
  12. Comment l’Armée de l’air va travailler sa « capacité de projection de puissance vite et loin » cet été DÉFENSE•L’Armée de l’air déploie cet été une vingtaine d’aéronefs de l’Alaska en Australie, à l’occasion de la mission Pégase 24 Le tour du monde pour une vingtaine d’aéronefs militaires français. Du 27 juin au 15 août, l’Armée de l’air et de l'espace participe à la mission Pégase, qui va l'amener à visiter quelque treize pays. Cela « montre que nous avons changé de dimension en matière de capacité de projection de puissance aérienne vite et loin », insiste le général Guillaume Thomas, commandant la brigade aérienne des opérations, et chef de la mission Pégase 24, qui démarre ce jeudi. L’Armée de l’air va déployer depuis la France sept Rafale, cinq avions ravitailleurs A330 MRTT (Multi role tanker transport) et quatre A400M (transport de matériel et de troupes), qui emprunteront deux routes aériennes, l’une vers l’ouest, l’autre vers l’est, pour se rejoindre en Australie avant de rentrer en métropole. Plusieurs escales sont prévues sur chacun de ces trajets, pour participer notamment à des exercices aériens de haute intensité, comme Arctic Defender en Alaska du 6 au 17 juillet, et Tarang Shakti en Inde du 6 au 13 août. Les équipages français se retrouveront également au méga exercice Pitch Black en Australie, du 12 juillet au 3 août. Réduire les temps d’intervention des forces françaises « Le triptyque MRTT, A400M et Rafale, change notre façon de conduire les opérations aériennes et raccourcit le temps et les distances, explique le général Thomas. On se projette ainsi très rapidement jusque dans le Pacifique, avec l’objectif d’être le plus léger possible, de minimiser l’impact logistique. » Lors de Pégase en 2021, l’Armée de l’air avait ainsi envoyé trois Rafale, deux MRTT et deux A400M « en moins de 40 heures en Polynésie. » Un record. « Nous avions également réalisé un vol direct entre la France et Travis Airforce Base en Californie en douze heures, avec quatre ravitaillements en l’air. » En 2022, « nous avions déployé un dispositif en Nouvelle-Calédonie en moins de 72 heures, avec des escales très courtes », ajoute le général Thomas. Un exercice prémonitoire, puisque l’Armée de l’air a dû organiser un pont aérien en Nouvelle-Calédonie il y a un mois, en raison des violents affrontements sur l’île, et alors que les aéroports avaient dû être fermés. En Alaska, un terrain d’entraînement « très réaliste » « Cette année, nous serons moins axés sur la rapidité, poursuit toutefois le général Thomas. Sur la boucle Pacific Skies [ouest], on s’arrêtera en Alaska avant de rejoindre l’Australie. Et sur la boucle Griffin Strike [est], qui rejoint aussi l’Australie, on s’arrêtera aux Emirats Arabes Unis et à Singapour auparavant. On joue davantage la coopération internationale et la durée des partenariats. » Les Français vont notamment décoller jeudi avec des équipages allemands et espagnols, soit les trois nations du projet Scaf (Système de combat aérien du futur). « Ce sera l’occasion d’échanger sur ce projet qui n’est pas qu’un aéronef, souligne le général Thomas, c’est tout un système, et ce déploiement va nous permettre de travailler la planification des missions et la maintenance croisée, puisque les trois nations utilisent l’A400M. Cela renforce notre capacité à travailler ensemble, et à mieux définir cet objectif Scaf. » Une fois en Alaska, les équipages européens participeront à l’exercice Arctic Defender, pour une durée de trois semaines, « où nous allons bénéficier d’un espace aérien et d’un champ d’action qu’on ne peut pas retrouver en Europe, puisque le volume qui nous sera attribué sera l’équivalent de pratiquement la moitié de la France, du sol jusqu’à une altitude quasiment illimitée. Nous aurons des conditions d’entraînement très réalistes, avec une opposition assurée par les moyens de l’US Air Force, notamment des F18, des F35, et des bombardiers B52, et l’utilisation de systèmes sol-air, réels et simulés, très réalistes. Cet exercice va également nous permettre d’éprouver la dernière version du Rafale, le 4.1. » A l’issue de son escale en Australie, cette composante aérienne repartira en métropole via des escales en Indonésie, aux Philippines, au Qatar et en Egypte. En Australie pour un « exercice de très haute intensité » L’autre boucle, qui empruntera l’itinéraire Griffin Strike avec un équipage britannique, partira le 6 juillet de France pour arriver le 10 juillet en Australie afin de participer à Pitch Black. « C’est un exercice de très haute intensité organisé tous les deux ans par l’Australie, explique encore le général Thomas. Dix-huit pays y participent, avec notamment l’Inde, le Japon, la Corée, la Malaisie, les Etats-Unis, et il réunira 2.500 aviateurs et une centaine d’aéronefs du 10 juillet au 5 août. » A son retour en France, cette composante s’arrêtera en Inde pour l’exercice Tarang Shakti, puis viendra appuyer « nos forces outre-mer » à travers, notamment, une escale sur l’île de la Réunion, et en Nouvelle-Calédonie « en fonction de l’actualité. » L’occasion aussi pour la France de montrer sa présence dans l'« Indopacifique », vaste zone couvrant les océans Indien et Pacifique, théâtre de tensions internationales croissantes entre Pékin et Washington. Les Rafale déployés par l’Armée de l’air cet été, décolleront des bases de Mont-de-Marsan (Landes) et Saint-Dizier (Haute-Marne), les A400M d’Orléans (Loiret), et les MRTT d’Istres (Bouches-du-Rhône).
    3 points
  13. Il faut déjà avoir du Talios ET en avoir embarqué, et c’est lourd et encombrant pour un combat aérien En somme le Rafale prend acte de ce qu’a apporté notre ami à tous, le F35, qui comme chasseur est superbof, mais trouve sont utilité comme armoire électronique volante à même de rassembler et actionner des effecteurs très divers au sol comme en l’air.
    3 points
  14. Et pour ajouter du false flag à cette brillante manœuvre Sino-Américaine, Biden a réussi à convaincre Poutine d'accuser officiellement "Nato and the CIA" pour mieux flatter l'instinct russe de la маскировка.... ce qui n'aura pas échappé à nos yeux vigilants d'occidentaux, toujours prompts à dénoncer une manœuvre informationnelle russe.... et permettre indirectement de disculper l'Oncle Sam de toute responsabilité réelle dans la manipulation du Tsar. Xi Ji quant à lui, totalement jaloux de la manœuvre 5D-chess de Biden, a répliqué façon Sun-Tzu en crédibilisant la rhétorique russe alarmante sur l'alliance d'intérêts Sino-Russe, par l'officialisation d'une "amitié éternelle". Ce qui était au départ une brillante маскировка destinée à exacerber les peurs et fantasmes des occidentaux sur une alliance Pékin-Moscou, se transforme en une ruse diabolique permettant au pouvoir chinois de vassaliser la Russie aux yeux et à la barbe des occidentaux, leur laissant croire à une énième rhétorique propagandiste de Moscou. Biden et Jinping, disciples de Machiavel ? Attendez que je vous explique la machination Fillon, ou la légende du vendeur de rillettes de la place rouge !
    3 points
  15. C'est une extrème réduction. Dans les faits l'extrème droite ne maitrise pas les effets économiques de sa prise de pouvoir éventuelle. A telle point qu'il y a une quasi anique sur les marchés actuellement et que les conditions de refinancement de la France risque de se tendre énormément. Ca a mis par terre un gouvernement au UK. Le risque est le même chez nous avec les deux extrèmes. Il n'y a pas de cas où les extrèmes peuvent gouverner sans appuis visible des partis traditionnelles. La compétence des gens qui vont nous gouverner est au centre du problème.
    2 points
  16. Bon ben ses chances d'assister à un autre défilé du 14 Juillet viennent d'en prendre un coup
    2 points
  17. Moi je ne retient qu'une seule chose avec une production de 320 TWH Edf fait un bénef de 10 millard d'euros. https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/16/apres-une-annee-2022-au-plus-bas-edf-enregistre-des-profits-record-pour-2023_6216884_3234.html#:~:text=L’énergéticien français a réalisé un bénéfice net de,320 térawattheures l’an dernier%2C contre 279 en 2022. Vu que les exports sont beaucoup plus conséquent qu'en 2023 je pense que EDF va faire au minimum 15 milliards cette année. De quoi payer 1 EPR. Si c'est tous les ans comme çà on n'aura pas à sortir un rond pour payer ces EPR. Par contre le bémol c'est que les prix spot sont très inférieurs à ceux de 2023 : https://analysesetdonnees.rte-france.com/marche/evolution-prix
    2 points
  18. J'aurais mis tout ce paragraphe au futur, sinon au conditionnel
    2 points
  19. Turkiyetoday publie cette nouvelle Hydra, à prendre avec un certain recul car basé sur des entretiens avec l'équipage (combien? ) et publié par un portail. Morceau choisi entre systèmes insuffisants et centre opérationnel qui roupille. Ceci étant il me semble avoir lu que ce navire avait détruit 2 drones houtis Le système d'armement rapproché Phalanx "dépassé" de la frégate s'est avéré insuffisant contre les drones des Houthis qui volaient au-dessus d'elle. Le rapport mentionne que le 19 mai, alors qu'il escortait un navire commercial dans le golfe d'Aden, un missile des Houthis a explosé à seulement 150 mètres de la frégate, ce qui a été attribué aux réflexes inadéquats du centre d'opérations de Larisa dans les moments critiques. Selon l'équipage, le centre d'opérations de l'OTAN à Larisa l'a informé du lancement du missile une minute après l'explosion, qui a provoqué de grandes vagues et d'intenses secousses. Suite à cet incident, 10 membres d'équipage ont demandé à rentrer en Grèce alors que la frégate naviguait à Djibouti. Traduit avec DeepL.com (version gratuite) https://www.turkiyetoday.com/world/greek-navys-frigate-hydra-ends-mission-early-due-to-technological-shortcomings-23618/
    2 points
  20. Thales Belgium a concu une roquette de 70mm avec fusée chrono et chargée de billes pour lutter contre les drones: Développé en un an, et ils en ont déjà vendu
    2 points
  21. Nouveau couac d’une frégate européenne durant la mission Aspides en mer Rouge C’est cette fois au tour de la frégate Hydra de la marine grecque d’avoir connu des difficultés lors de la mission Aspides. L’équipage met en cause une obsolescence de ses moyens de défense Alors que le commandant grec de l’opération Aspides réclame plus de navires en mer Rouge pour être efficace, une frégate grecque Hydra a rejoint sa base navale début juin et non fin juillet comme initialement prévu. Ce retour anticipé, révélé par le quotidien grec i Eidiseis, résulterait d’insuffisances importantes de cette frégate à pouvoir mener à bien sa mission de protection du trafic commercial contre les attaques des houthistes en mer Rouge. Il ne s’agit pas du premier...
    2 points
  22. 2 points
  23. Il y a un rotacteur à 3 positions soit pour un décollage depuis une base, soit pour un décollage CATOBAR, soit pour un décollage STOBAR. Mais là on parle de l'atterrissage. J'avais signalé que le miroir d'appontage n'était pas compatible, d'une certaine façon ce miroir a pour but de donner un repère 3D à l'avion pour lui faciliter son bon positionnement. Si le repère n'est pas le même on comprend qu'il faut modifier les calculs pour se trouver quand même à la bonne place, ce qui expliquerait une évolution du logiciel.
    2 points
  24. Fake ! Il s'agit en fait d'une vidéo de 2017 montrant le MSC Daniela en feux au large du Sri Lanka... Le porte-conteneurs MSC SARAH V aurait été touché par'un missile balistique Houthis !?
    2 points
  25. Perso je pense que la coupure d'avant-hier sur les exports vers l'Allemagne est très bien tombée voir opportune par rapport à la procédure sur les déficits. Elle rappel à ceux qui ne veulent pas le voir que le déficit budgétaire Français peut s'améliorer d'un coup si on rend notre électricité presque gratuite. l'avantage concurrentiel pour l'industrie française sera tellement énorme que les relocalisation risque de venir de l'intérieur de l'Europe. Je crois que BASF se sent un peu à l'étroit en ce moment dans les frontières allemandes ...
    2 points
  26. Exactement. Il faut voir que les Allemands ont à la fois plus de puissance électrique solaire installée (81.8 GW) et de puissance électrique éolienne installée (69.5 GW) que les Français ont de puissance électro-nucléaire installée (61.4 GW). Et pourtant... À l'instant, instantané pris à 5h du matin. Intensité carbone de 19 grammes de CO2 par kw/h par kw/h en France pour une consommation totale de 51.9 GW en France (et une production de 52.1 GW). En production pure notre intensité est à 18 grammes par kw/h. Intensité carbone de 476 grammes de CO2 par kw/h en Allemagne pour une consommation totale de 46.3 GW (et une production de 33.9 GW). En production pure leur intensité est à 624 grammes de CO2 par kw/h! Alors certes en journée avec le soleil et le vent l'intensité va baisser en Allemagne. Mais le mal est fait. Le bilan, il s'établit par tranches de 24h. Quand chez nous 77.62% de l'électricité est produite par du nucléaire avec une intensité de 5 grammes de CO2 par kw/h, et 15.79% par de l'hydroélectricité avec 11 grammes de CO2 par kw/h, en Allemagne on trouve du charbon pour 40.48% de la production, avec une intensité de 1167 grammes de CO2 par kw/h, du gaz pour 17.34% de la production avec une intensité de 572 grammes de CO2 par kw/h. Mais aussi de la biomasse pour 14.24% à 230 grammes de CO2 par kw/h. Ce ne sont pas les 15.9% d'éolien (pas de vent) à 13 grammes de CO2 par kw/h (débattable), ce qui ne représente au passage que 7.76% de la puissance éolienne installée (10 fois moins que la puissance nucléaire Française installée!!!) qui changent la donne. La France est exportatrice nette sur toutes ses frontières. Si et seulement si on laisse EDF faire des bénéfices. Ce qui n'est pas encore le cas. D'autre part, le vol caractérisé de pognon et d'électricité qui s'est produit au calme pendant des années doit être puni. On parle de plusieurs dizaines, voire centaines de milliards évaporés. Idem pour la fameuse "amende" de 500 millions que la France a dû payer pour "inaction climatique" alors que nous sommes les meilleurs élèves de la classe. L'Europe va devoir faire son mea culpa et apprendre à avoir les yeux en face des trous. Nous vivons dans un monde où n'importe quel farfadet armé d'un cure-dent métaphorique peut s'en servir comme d'un levier pour déplacer des montagnes. Peut-être est-il temps que la France se serve du séquoia géant métaphorique dont elle dispose de son côté pour faire de même. L'alternative c'est qu'on leur coupe le courant, et franchement, autant il fut un temps où je trouvais la mesure inadaptée, autant aujourd'hui, ça ne me choquerait même plus. À un moment quand tu retiens quelqu'un à bout de bras au-dessus d'un précipice en essayant de le sauver, et que la personne en question te poignarde le bras... On ne peut pas sauver des gens qui refusent d'être sauvés. C'est une leçon difficile à avaler, mais c'est la vie.
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  27. Base price of Rafale agreed upon, fighters for Navy to have India-specific enhancements Prix de base du Rafale convenu, les chasseurs destinés à la marine seront dotés d'améliorations spécifiques à l'Inde L'équipe de la marine s'est déjà rendue à la base aérienne d'Ambala, où l'IAF maintient un escadron de Rafale, afin de comprendre les points communs en matière de maintenance. New Delhi : L'Inde et la France se sont entendues sur le prix de base des 26 chasseurs Rafale M, qui seront dotés de plusieurs améliorations spécifiques demandées par la marine pour leur permettre d'opérer à partir de porte-avions indigènes et d'origine russe. Des sources de l'establishment de la défense et de la sécurité ont déclaré à ThePrint que le premier cycle de négociations sur les coûts a eu lieu et que d'autres cycles seront organisés dans le but de conclure un contrat d'ici la fin de l'année. Ils ont également ajouté que le Rafale Marine, ou Rafale M, sera doté de plusieurs améliorations spécifiques demandées par la marine indienne. Il s'agira notamment de certaines des améliorations apportées aux Rafale de l'IAF, comme l'écran monté sur le casque, les brouilleurs de fréquences à basse bande, un meilleur radioaltimètre que celui intégré par les Français et des leurres à très haute fréquence, entre autres. Interrogées sur les modifications spécifiques souhaitées par la marine, des sources ont indiqué qu'il s'agissait de modifications logicielles pour le mode air-mer, de modifications relatives aux interférences électromagnétiques (EMI) et à la compatibilité électromagnétique (EMC), ainsi que de certaines mises à jour logicielles nécessaires pour permettre à l'avion d'atterrir sur un porte-avions indien. Conformément à son plan, la marine indienne fera l'acquisition de 22 chasseurs monoplaces et de quatre autres biplaces. En ce qui concerne le prix de base de l'avion, les sources ont déclaré qu'il était identique à celui des Rafales de l'IAF, mais qu'il avait été fixé en tenant compte de l'escalade. Alors que tous les regards se tournent vers le coût final de la transaction, ThePrint a appris qu'il devrait avoisiner les 4 milliards d'euros, soit un peu moins de 40 000 crore de roupies. Ce montant comprendra le coût de la vanille (coût nu) de l'avion, ainsi que les missiles et les contrats de maintenance. Les sources ont indiqué que les négociations sur les coûts pour la partie indienne sont dirigées par un officier IAS du rang de secrétaire adjoint, tandis qu'un officier de la marine indienne du rang de commodore fait également partie de l'équipe. Faisant référence à l'article de ThePrint selon lequel la marine indienne pourrait s'inspirer des Français en ce qui concerne les opérations et la maintenance des mêmes chasseurs dans la marine et l'armée de l'air, les sources ont déclaré qu'une équipe de la marine s'était déjà rendue à la base aérienne d'Ambala. L'IAF a conservé un escadron de Rafales à Ambala. Les sources ont déclaré que l'équipe de la marine avait examiné les installations de l'IAF et que les deux parties avaient déjà discuté de l'approche commune qui pourrait être adoptée.
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  28. Mise à jour du 26 juin de la situation en Mer Rouge Au cours des dernières 24 heures, les forces du commandement central américain ont détruit avec succès un site radar Houthi dans une zone contrôlée par les Houthis au Yémen. Il a été déterminé que le site radar représentait une menace imminente pour les États-Unis, les forces de la coalition et les navires marchands dans la région. Cette mesure a été prise pour protéger la liberté de navigation et rendre les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour les navires américains, de la coalition et marchands.
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  29. L' ATS Avion de Transport Stratégique F-UGCS msn 1608 ( acheté d'occasion ) est en cours de transformation en MRTT https://x.com/FrenchTrackers/status/1805358320733098033 En quoi consiste toute transfo en MRTT => https://www.youtube.com/watch?v=7bfCJIT5cdw
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  30. Et visiblement, celui-là n'a pas fonctionné. https://x.com/Archer83Able/status/1806156178818511168 L'arrestation en direct, c'était sûrement pas dans le plan initial.
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  31. Toni Tolker-Nielsen, ESA director of space transportation : " > Le prochain défi sera-t-il la montée en puissance industrielle pour lancer neuf fusées Ariane 6 par an ? C'est un grand défi puisque nous avons déjà signé 30 contrats, dont 18 sont dédiés à la constellation Kuiper d'Amazon. C'est assez unique d'avoir un tel carnet de commandes pour une nouvelle fusée. Nous travaillons déjà à une montée en puissance rapide après le vol inaugural. Après avoir résolu les éventuelles anomalies, le premier vol commercial est prévu pour la fin de l'année. Nous aurons ensuite six vols en 2025 et huit vols en 2026. En 2027, il y aura 10 vols car nous avons de nombreuses charges utiles en attente. Sinon, nous visons un état stable de neuf vols par an en 2028 et 2029. […] > Avec le business plan actuel de quatre lancements institutionnels européens et cinq lancements commerciaux, Ariane 6 aura-t-elle encore besoin de subventions de 340 millions d'euros (365 millions de dollars) par an jusqu'en 2031 ? Les 13 Etats de l'ESA impliqués dans Ariane 6 se sont déjà mis d'accord sur le financement d'un vol d'essai inaugural et de 14 missions opérationnelles. Nous discutons maintenant des revenus opérationnels sur trois ans avec neuf lancements par an. Nous analysons le plan d'affaires pour les lots de lanceurs FM16 à 42, en examinant tous les contrats de services de lancement et les coûts. Nous aurons besoin de 290 à 340 millions d'euros par an. Le chiffre définitif sera déterminé après audit des coûts de l'industrie et des fournisseurs et des revenus des contrats signés par Arianespace. En tout état de cause, nous n'aurons pas besoin de plus de 340 millions d'euros pour atteindre l'équilibre d'exploitation du nouveau lanceur. […] > Si Starship réussit, cela changera-t-il la donne en faisant chuter le prix du kilo en orbite ? Honnêtement, je ne pense pas que Starship changera la donne ou sera un véritable concurrent. Cet énorme lanceur est conçu pour envoyer des hommes sur la Lune et sur Mars. Ariane 6 fait parfaitement l'affaire si vous devez lancer un satellite de quatre ou cinq tonnes. Starship n'éradiquera pas Ariane 6 pour autant. Dans un avenir lointain, en 2040 par exemple, la situation sera différente. Nous aurons probablement un système logistique de transport spatial avec des lanceurs récurrents et réutilisables desservant une plaque tournante. Dans ce centre, il y aura des plates-formes, des satellites et des engins spatiaux vers d'autres destinations, des capacités de ravitaillement et d'entretien, de fabrication en orbite, etc. Les vaisseaux spatiaux joueront probablement un rôle important dans le transport de marchandises lourdes vers cette plate-forme logistique spatiale, comme un navire porte-conteneurs vers un terminal. L'Europe travaille déjà sur cette vision en développant le fret spatial, le ravitaillement en orbite, les systèmes d'amarrage dans l'espace et le trafic vers la Lune à l'aide d'Ariane 6. > Dernièrement, Elon Musk a déclaré que seuls les lanceurs réutilisables avaient un sens. Avec seulement neuf ou dix lancements par an pour Ariane 6, la capacité d'être réutilisable a-t-elle un sens en Europe ? Nos besoins en matière de lancement sont si faibles que cela n'aurait aucun sens d'un point de vue économique. Nous n'en avons donc pas vraiment besoin pour l'instant. Mais lorsque nous effectuerons des lancements fréquents à l'avenir, nous aurons besoin de la réutilisabilité pour des raisons économiques. La deuxième raison pour laquelle un lanceur européen doit être réutilisable est la durabilité. Nous devons avoir une économie circulaire dans 10 ou 20 ans ; nous devons être durables. Et pour cela, nous développons déjà Themis, qui est un démonstrateur européen avec un étage principal réutilisable et d'autres technologies réutilisables comme le moteur Prometheus. Mais déjà, au cours de cette décennie, nous aurons Maia, un lanceur privé soutenu par la France, qui est petit mais réutilisable. Maia utilisera le moteur à propergol liquide Prometheus et sera basé sur la technologie du démonstrateur d'étage réutilisable Themis. > Quelle est l'importance des mini-lanceurs et des micro-lanceurs en Europe ? Par rapport à il y a dix ans, je suis extrêmement surpris de voir tous ces mini et micro-lanceurs en plein essor dans toute l'Europe. Ils sont développés en Espagne, en France, en Norvège, en Suède, au Royaume-Uni. Pour la première fois, de nouveaux ports spatiaux sont construits en Europe. C'est incroyable. Nous voulons changer le paradigme du secteur des lanceurs en Europe en introduisant la concurrence, qui est déjà bien engagée dans de nombreuses start-ups. Le "European Launcher Challenge", annoncé l'année dernière à Séville, jouera un rôle important dans la définition de l'avenir de l'accès de l'Europe à l'espace en augmentant la compétitivité des services de lancement européens. L'idée est de faire évoluer ces lanceurs privés vers des lanceurs lourds. Ils ont tous l'ambition de le faire. […] > L'ESA devrait-elle déjà penser à une Ariane 7 réutilisable pour la prochaine décennie ? Je ne pense pas, du moins pour l'instant, que l'ESA envisage de faire le choix d'un lanceur développé par ses soins. Pour Ariane 6, nous possédons presque tout, comme le système de lancement du véhicule, les installations de fabrication, la définition du lanceur, la rampe de lancement, etc. À l'avenir, ce sera totalement différent ; le lanceur sera développé par le secteur privé. Nous achèterons simplement des services, comme le programme Commercial Orbital Transportation Services aux États-Unis. Nous ne développerons pas de SLS européen. Pour l'instant, Ariane 6 est un lanceur modulaire. C'est un système parfait car Ariane 62 (530 tonnes avec deux boosters) remplace le Soyouz russe, et Ariane 64 (850 tonnes avec quatre boosters) remplace Ariane 5. Il couvre donc tous nos besoins. Ariane 6 pourrait être le cheval de bataille de l'Europe pour les 15 à 30 prochaines années. " https://spacenews.com/europe-aims-to-end-space-access-crisis-with-ariane-6s-inaugural-launch/
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  32. Ça fait plaisir quand même de voir qu’il y a des traditions qui ne se perdent pas.
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  33. La frégate italienne ITS Virginio Fasan a assuré le transit en toute sécurité d'un autre navire marchand à travers la mer Rouge et le « détroit de Bab El Mandab_ ». En protégeant les navires marchands, l'Union européenne contribue à la liberté de navigation en mer Rouge et dans le golfe d'Aden. Les navires marchands doivent s'inscrire au système de déclaration des navires MSCHOA, conformément aux recommandations de la carte de sécurité maritime Q6099, dès que possible, au plus tard 72 heures avant d'entrer dans la zone de déclaration : sur https://on-shore.mschoa.org L'opération EUNAVFOR ASPIDES, dotée d'un mandat défensif, agit en tant que fournisseur crédible de sécurité maritime de l'UE, dans le but de sauvegarder la liberté de navigation dans la zone d'opération et de contribuer au rétablissement du passage sûr des navires marchands.
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  34. La Direction générale de l’armement teste une nouvelle optique infrarouge destinée au Rafale F4.2
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  35. Ou de se placer quelle que soit la solution retenue pour le châssis. On ne perds rien à proposer plus d'options aux clients et à étoffer le catalogue. Sur le coup il y a une vrai complémentarité entre la partie française et allemande de KNDS.
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  36. Xi et Biden ont conspiré ensemble pour forcer Poutine à envahir l'Ukraine. Les avertissements bruyants de Biden sur l'invasion imminente, répétés pendant des semaines avant le 24 février 2024, étaient un moyen particulièrement habile de dissimuler les motivations américaines et chinoises. Ce vilain Biden et Xi, ils font vraiment un travail merveilleux pour tromper tout le monde qu'ils ne s'aiment pas, tout en travaillant ensemble en secret pour réaliser leur rêve ultime de détruire l'UE et la Russie. Un génie sans précédent de la part de Biden. Les historiens en parleront pendant des siècles, Biden sera considéré comme l'un des plus grands tacticiens, au même titre qu'Hannibal. Je n'arrive pas à croire que Poutine, malgré sa bonne nature et son meilleur jugement, ait succombé à la ruse et ait été complètement forcé d'ordonner à ses armées d'aller de l'avant et de tuer.
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  37. bof... en plus de ne pas avoir le droit de riposter en Russie, il faudrait que les Ukr ne se battent que la nuit pour pas emmerder les Russes en villegiature? Comme les Brits contre les Romains dans Asteriz chez les Bretons a peu prés en gros. La resistance brit ne dure pas longtemps dans ce scenario. Si les Russes se prennent des debris de missiles sur la tete, ils ne peuvent s'en prendre qu'a eux-memes. Alors bien sur il y a une difference entre le peuple Russes et son gouvernement, mais faut pas trop en demander aux Ukr non plus.
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  38. Parce que la gauche n'est pas compatible des grands groupes et de la bourgeoisie? Sérieusement... Et de plus c'est HS et plus que glissant par les temps qui courent.
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  39. Ca ne s'est pas passé comme ça. Avant même Fukushima, l'ASN était devenue dure avec l'industrie nucléaire, critiquant par exemple les méthodes d'organisation et la perte de compétence liée au recours olé-olé à la sous-traitance dans les centrales. Et avec Fukushima, elle est devenue plus dure encore, avec le soutien du politique et en vertu d'une idée simple : si on veut que la population accepte le nucléaire, la sécurité doit être gérée de manière stricte, même si ça coûte cher, même si certains atomiciens trouvent que c'est trop. Et - vu de moi - la démarche est correcte et plébiscitée. Le problème de corrosion à grande échelle remettait clairement en cause la capacité à refroidir en cas d'accident : il fallait absolument le traiter avec sérieux et diligence, c'est ce qui a été fait. Et en fait, on n'a pas entendu les écolos... même pas beaucoup en Allemagne dans ma perception. L'opinion n'a pas bougé ou plutôt, elle a encore plus bougé dans le sens pro-nucléaire : c'est très bien. Et l'Allemagne, notamment, nous a fourni du courant pas-trop-décarbonné dans l'intervalle... Je dis : bonne manœuvre, bonne politique.
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  40. Il y a déjà des œuvres de SF ou des robots et IA se suicident. Cela a sans doute inspiré ce titre putaclic sur un robot sud coréen qui s'est jeté du haut des escaliers : https://www.leparisien.fr/high-tech/il-etait-lun-des-notres-un-robot-fonctionnaire-se-suicide-en-coree-du-sud-en-se-jetant-dun-escalier-26-06-2024-D6GWNOIWMNAONEOKPX64RJJCZU.php https://www.capital.fr/economie-politique/enquete-ouverte-apres-le-suicide-dun-robot-municipal-en-coree-du-sud-1498892
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  41. A noter (communication perso) que cette liaison de données est multibande afin d'éviter certains pbs de la band K (retex du F-35)
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  42. https://www.blick.ch/politik/ruag-darf-us-kampfjets-zusammenbauen-wichtiger-schritt-fuer-sicherheit-der-schweiz-id19883036.html Le chef de l'armement Urs Loher ne tarit pas d'éloges. Quatre des 36 nouveaux avions de combat F-35 du constructeur américain Lockheed Martin seront achevés par le groupe suisse Ruag. Les partenaires impliqués l'ont annoncé mardi aux médias. Pour Loher, il ne s'agit pas seulement d'un gain pour l'industrie suisse de l'armement, mais aussi "d'une étape importante pour la capacité de défense et la sécurité de la Suisse". Le projet offset "Rigi" a été pré-approuvé début juin par l'Office fédéral de l'armement (Armasuisse), comme l'a indiqué Ruag. Cela permet à Lockheed Martin de confier à Ruag l'assemblage partiel de quatre avions de combat F-35 et de développer les capacités industrielles correspondantes chez Ruag. L'assemblage partiel correspond à une valeur de commande de près de 500 millions de francs. Assembler soi-même une petite partie des jets furtifs apporte une expérience pratique, un transfert de données, un savoir-faire et un soutien technique à la Suisse, a également déclaré le président du conseil d'administration de Ruag, Nicolas Perrin. Les spécialistes de Ruag recevront de Lockheed Martin la formation et les instruments nécessaires. Cela rendra la Suisse plus indépendante lors de l'exploitation ultérieure des jets. Et donc plus sûre, a fait valoir Perrin : "En cas de guerre, on sera ainsi capable d'effectuer soi-même des travaux de réparation et de maintenance". Patrik Nyfeler de Lockheed Martin a également confirmé que le groupe d'armement américain était prêt à fournir une formation, des instruments et un aperçu approfondi du nouvel avion. "Cela va bien au-delà de notre engagement offset", a-t-il souligné. En signant le contrat d'acquisition du F-35, Lockheed Martin s'était engagé à compenser 60 pour cent de la valeur du contrat par des affaires offset avec des entreprises en Suisse. Cela correspond à environ trois milliards de dollars américains. A moyen terme, Ruag devrait faire partie de la solution de support européenne du F-35. En d'autres termes, Ruag espère que les connaissances acquises lui permettront à l'avenir de prendre en charge des travaux de commande pour de nouveaux clients du F-35. "Nous voulons acquérir très tôt des connaissances avec la profondeur nécessaire", a déclaré le président du conseil d'administration Perrin. Dans le meilleur des cas, le groupe d'armement pourrait ainsi à l'avenir ne plus travailler uniquement pour l'armée suisse, mais élargir son champ d'activité. Pour la mise en œuvre du projet "Rigi", Ruag compte sur un besoin en personnel d'environ 100 collaborateurs - dont 40 devraient venir de Suisse romande. De plus, Ruag veut investir environ 100 millions de francs en Suisse romande. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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  43. Petit add on : En 2010 *Election d'un gouvernement Yanoukovich sur promesse de rapprochement avec l'UE... Promesse rapidement trahie le 21 avril. Suivi d'une réforme de la constitution, du négationnisme de l' Holdomor, l'enrichissement personnel ahurissant... Bref plein de bonnes raisons de faire la révolution... Et une destitution tout à fait légale (même dans des conditions anormales) par le parlement, prévue dans la constitution
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  44. Le guide du marin 2023 Un concentré d’excellence pédagogique à tous les niveaux , me suis arrêté longuement sur les aspects sécurité incendie , voix ( marin d'eau douce ) voie d’eau , moyens de lutte …top ! A APPRENDRE PAR COEUR https://www.lamarinerecrute.fr/sites/default/files/orientationkit/documents/Guide_du_marin_2023.pdf
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  45. Petit détail, mais détail amusant, si je me rapporte aux résultats officiels, la somme RN + R! + Asselineau + Philippot totalise 38,8 % des voix, et non 37,8 % La seule explication que je vois est que le Monde a considéré que l'une des deux petites listes pro-Frexit, soit Asselineau, soit Philippot, est fondamentalement différente et ne peut être regroupée dans l'ensemble. Je me demande laquelle ?
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  46. Plutôt qu'avec l'URSS, le parallèle n'est-il pas à faire avec le système de propriété mis en œuvre par le colonisateur français dans les "tribus" en Nouvelle Calédonie et qui subsiste aujourd'hui sous l'appellation de "terre coutumière" ? (Et je rappelle qu'en métropole, subsistent également des "biens sectionnaux" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bien_de_section qui viennent tout droit des communaux du Moyen-Âge : https://www.universalis.fr/encyclopedie/communaux/ ) https://metropolitiques.eu/Terres-coutumieres-et-communs.html (6 avril 2020) La loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie (1999) définit les terres coutumières comme inaliénables, insaisissables, incommutables et incessibles (les « 4i ») et reconnaît la gestion coutumière de leurs usages. Le foncier coutumier ne peut être vendu, démembré ou hypothéqué. Malgré cela, des expériences d’aménagement foncier ont pris forme depuis les années 2000, articulant règles coutumières traditionnelles et outils contemporains d’aménagement issus du droit français. L’organisation clanique est encadrée d’instances coutumières qui répartissent les droits d’administrations et d’usages en s’appuyant sur des principes relevant du sacré, du non-marchand, de l’oralité, du consensus et de la transmission. En 2018, les terres coutumières (figure 1) s’étendent sur près d’un tiers du territoire néocalédonien et appartiennent exclusivement aux populations autochtones, soit 40 % de la population (ISEE 2014). La réforme foncière a par la suite permis la redistribution de 167 000 hectares de terres domaniales ou privées aux Kanak, permettant de faire passer la part de terres coutumières sur le territoire à 27 % contre 16 % de propriétés privées et 56 % de domaine public. Des municipalités ont donc créé de nouveaux types de documents d’urbanisme, non opposables, tels que la « cartographie des risques », développée en réponse à la catastrophe de Houaïlou de 2016 ou les « Modalités d’application des règles provinciales d’occupation et d’utilisation des sols » (Marpous). Ceux-ci constituent des supports de négociation entre les acteurs coutumiers et de droit commun public et privé pour définir le dessin et le financement de projets de lotissements. D’autres communautés kanak ont, quant à elles, négocié la mise à disposition temporaire de foncier ou la permission d’aménagement dans une zone d’influence pour financer la réalisation de leurs propres lotissements tribaux. C’est le cas du clan Waka à Dumbéa (figure 3). Dans ces deux types de situation, le foncier coutumier semble préserver sa fonction de bien commun, géré collectivement par la communauté, et visant directement les besoins de la communauté (ici, le logement). Sans remettre en cause la règle des « 4i » [inaliénables, insaisissables, incommutables et incessibles], une part des terres coutumières de la communauté devient une ressource économique. Pour cela, les pouvoirs publics s’impliquent pour garantir les accords et les communautés kanak s’organisent en Groupement de droit particulier local (GDPL). Cette structure juridique souple permet à la communauté d’être représentée par une personne morale, de négocier avec les acteurs de l’aménagement et d’utiliser des outils de droit commun tout en retranscrivant la gouvernance coutumière. En effet, la structure traditionnelle de la société kanak permet la représentation de toutes les familles par un système de chefferies de clans, tribus et districts, construisant le chemin coutumier. Ce dernier est le garant de la construction et du maintien du consensus : les GDPL les retranscrivent. Ainsi structurées, des chefferies profitent alors de la proximité de leurs terres avec des espaces urbains dynamiques pour proposer l’aménagement de zones artisanales ou d’activité. C’est le cas de la tribu de la Conception au Mont-Dore, dont les clans se sont organisés en un GDPL nommé Yanna. 4,5 hectares ont été aménagés pour accueillir notamment une station-service et des commerces. C’est également le cas des clans de la tribu de Baco, dans la zone VKP. 36,6 hectares ont été aménagés pour construire un centre commercial, une station-service, des bureaux, des ateliers. D’autres projets sont dédiés au tourisme, comme dans le district du Wetr sur l’île de Lifou. La Grande Chefferie du Wetr, regroupant 17 tribus, s’est organisée en GDPL pour préparer l’aménagement d’un village mélanésien (figure 5), d’un ponton et de bureaux sur 5 hectares. Enfin, des bailleurs sociaux publics, tels que la Société immobilière de Nouvelle-Calédonie, et privés, tels que le Fonds social de l’habitat, ont passé des accords afin de construire sur terrains coutumiers des logements sociaux non spécifiquement destinés aux populations kanak. Ces projets ont pu être réalisés via des délégations temporaires de droit d’usage allant jusqu’à 30 ans. Cette évolution a amené les communautés kanak à s’organiser, à trouver un consensus dans une répartition de leurs terres en intégrant des éléments exogènes et à trouver les passerelles pour concilier la gestion d’un bien commun et le développement économique. Il a notamment fallu décider de la distribution des bénéfices au sein du groupe, soit par un système de répartition par familles, soit par des investissements dans des équipements utiles à tous. Les accords faits entre les communautés kanak et les investisseurs peuvent à tout moment être remis en question, les « 4i » garantissent toujours la souveraineté de l’organisation coutumière sur l’usage de la terre. source : https://jybe.fr/en/nouvelle-caledonie/
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  47. Malgré une opposition massive, la Norvège pourrait être le premier pays à exploiter les ressources minières de ses fonds marins Le royaume scandinave a autorisé, mardi 9 août, l’exploration d’une grande partie de son plateau continental, à la recherche de zinc, de cuivre et terres rares, en dépit des avertissements formulés par de nombreux acteurs autant en Norvège qu’à l’étranger. La mobilisation n’aura eu aucun impact. Depuis le 4 décembre 2023, plus d’un demi-million de personnes avaient pourtant signé une pétition, mise en ligne par l’ONG Avaaz, appelant le gouvernement norvégien à renoncer à son projet d’autoriser l’exploitation minière de ses fonds marins. Quelques semaines plus tôt, le 9 novembre, une centaine d’eurodéputés enjoignaient leurs homologues norvégiens de « voter contre la proposition du gouvernement et de soutenir l’adoption d’un moratoire international sur l’exploitation minière en eaux profondes ». Ni les innombrables tribunes, publiées par les scientifiques, avertissant des risques pour des écosystèmes encore très mal connus, ni la manifestation, organisée par plusieurs associations de défense de l’environnement, mardi 9 janvier, devant le parlement à Oslo, n’y ont rien changé. En milieu d’après-midi, quatre-vingts députés contre vingt ont approuvé la proposition du gouvernement qui, à terme, pourrait faire de la Norvège le premier pays au monde à exploiter commercialement les ressources minérales nichées dans son socle continental. L’adoption du texte n’est pas une surprise. Le 5 décembre, les sociaux-démocrates et les centristes au pouvoir avaient passé un accord avec les deux principales formations d’opposition, le Parti conservateur et le Parti du progrès, afin d’autoriser la prospection minière dans une zone de 281 000 km² (soit l’équivalent de 70 % de la surface de la Norvège), qui s’étend de la mer de Barents à l’archipel du Svalbard. Le texte prévoit toutefois que le Parlement devra de nouveau voter pour autoriser l’exploitation. Une décision extrêmement controversée « L’extraction ne sera autorisée que si les connaissances futures montrent qu’elle peut être réalisée de manière durable et responsable, et après que le gouvernement aura présenté une base de connaissances actualisée sur l’environnement des grands fonds marins », avait assuré alors le député conservateur Bard Ludvig Thorheim, tandis que le ministre du pétrole et de l’énergie, Terje Aasland, promettait de « procéder avec prudence, étape par étape ». enir jusqu’à 45 millions de tonnes de zinc, 38 millions de tonnes de cuivre, ainsi que d’énormes quantités d’autres métaux et de terres rares. https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/01/09/malgre-une-opposition-massive-la-norvege-pourrait-etre-le-premier-pays-a-exploiter-les-ressources-minieres-de-ses-fonds-marins_6209925_3244.html
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