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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 06/07/2024 dans toutes les zones

  1. Ils ne font pas cela pour améliorer économiquement la situation du pays (c'est pareil chez les deux autres voisins), ils font cela pour satisfaire une idéologie qui les a porté au pouvoir, une idéologie qui continue d'en faire des héros et qui permet donc de les maintenir au pouvoir. Cette idéologie est simple, elle reprend la l'idée de la décolonisation ou au bout du tunnel il y aurait l'indépendance, la souveraineté, la sécurité et un nouvel essor économique. Donc ils vont continuer à devoir chasser tout ce qui a une origine occidentale pour que ça plaise à cette idéologie, peu importe les effets négatifs que ça peut amener, il faut "nourrir" la bête, il faut continuer à surfer sur la vague le plus longtemps possible. Bien entendu tout cela est complètement débile, ces pays ne sont plus des colonies mais l'ignorance permet la croyance. On ne peut nier qu'il y a une propagande très active soutenue par nombre de pays étrangers souhaitant combattre l'occident et son influence pour diverses raisons. C'est triste à dire mais ces populations sont facilement manipulables, nous français le savons parfaitement, une simple rumeur pouvait du jour au lendemain transformer une foule amicale en une foule hostile qui va vous caillasser, autant dire qu'aujourd'hui avec les réseaux sociaux, l'accès à internet, c'est vite fait et ça contamine les masses. La chose que certains n'ont pas compris, c'est que cette idéologie n'est pas qu'anti-française, elle est anti-occidentale. Donc quand les américains voulaient laisser faire en pensant que ça ne toucherait que nous, ils ont vite compris derrière qu'ils étaient les suivants sur la liste, ils quittent la zone. Les canadiens c'est pareil, ils représentent l'occident. On est dans du symbolique pas dans du pragmatique. Le Niger est un pays très pauvre dans sa globalité, mais cette idéologie anti-occidentale a permis de faire oublier cette réalité, donnant presque le sentiment qu'ils étaient assis sur une montagne de richesses et que c'est nous qui les privons des bénéfices. Qu'il y ait des richesses naturelles est une chose, que ce soit exploitable en est une autre, que ce soit rentable également. Il ne suffit pas d'avoir de l'uranium pour faire croire qu'ils sont ceux sans qui la France ne disposerait pas d'électricité. C'est ainsi pour d'autres choses, ils se placent dans une situation de supériorité, de ceux qui peuvent se permettre d'imposer leurs conditions, comme si ce serait le reste du monde qui dépendrait d'eux, comme si notre richesse est liée à leur pauvreté. C'est un peu l'esprit anticoloniale d'hier, l'idée que ce qui fait la richesse de l'occident c'est le vol et le pillage des colonies, donc que les richesses sont dans les colonies et qu'en prenant le contrôle de ces richesses ils priveraient l'occident et se développeraient enfin. Il n'y a qu'à regarder dans cette idéologie panafricaniste, que ce soit autour de cette obsession de "richesses naturelles" (jamais ils ne parlent de la richesse humaine....), du franc CFA et autres, c'est toujours pareil, ils sont riches mais pauvres à cause de nous qui les exploitons, qui volons l'argent, qui empêchons leur autonomie, leur développement etc... Au Niger, l'état avant le putsch recevait énormément d'aides extérieures, la plupart de ces aides venaient de l'occident, cela représentait environ 50% de son budget. N'oublions pas les aides humanitaires qui permettent de réduire la misère de la population. Ils chassent l'occident, ils chassent toutes ces aides. L'exploitation d'uranium étant depuis de nombreuses années presque l'un des seul truc qui amène de l'argent. Sauf que les prix fluctuent, l'offre et la demande internationale ne dépend pas du Niger. Il y a d'autres exploitations à travers le monde et le prix de l'uranium a baissé. Cette baisse d'intérêt et de revenus liés à l'uranium, a poussé des sociétés à ne pas investir sur l'extension ou de nouvelles exploitations au Niger et a également mis Niamey en difficulté financières, poussant plusieurs fois à renégocier des rentes (donc à réduire les bénéfices des entreprises) ainsi que des projets de développements sociales (car oui au Niger, vous ne payez pas que des employés, vous devez leur payer des logements, des écoles etc...). Mais ces renégociations c'est pareil, l'idée d'obtenir plus d'argent par le pouvoir amène celui d'en face à ne pas vouloir s'impliquer plus et à aller voir ailleurs. Voilà pourquoi au fil des ans l'uranium au Niger a été largement mis de côté. Aujourd'hui ils ont exercés des pressions sur le français, sur le canadien pour investir et démarrer des exploitations minières, toujours avec cette mauvaise habitude de se faire passer pour ceux qui imposent en position de force alors qu'ils n'ont pas compris que les investisseurs ne sont pas aux ordres si derrière ils ne gagnent rien. Avec l'idéologie anti-occidentale, Niamey croit que des iraniens, des russes ou d'autres vont venir investir pour leur faire plaisir, non mais comprenez bien, eux ils vont venir pour les aider, ils ne viendront pas pour se faire de l'argent, eux ils vont investir à pertes car ce sont de vrais alliés. Autre espoir du Niger, le pétrole. Les chinois viennent l'exploiter contre un prêt qui va permettre au pouvoir de sauver les apparences (faut dire que l'aide occidentale gratuite plus importante ne vaut pas un prêt chinois remboursable sur les bénéfices des ventes de pétrole, j'espère qu'ils ont regardés les petites lignes à la fin...). Ils misent énormément sur ce pétrole pour se redresser économiquement, mais c'est oublier que derrière les idées, il y a une réalité plus profonde. C'est ainsi qu'on va redécouvrir que le Niger est un pays qui n'est pas en sécurité. Qu'il y a des rebelles, des terroristes qui vont profondément complexifier la rentabilité économique d'un projet. L'oléoduc qui relie le Bénin (seul voie d'exportation) est à l'arrêt pour cause d'embrouille diplomatique , pire même il a été saboté par un groupe armé. Le terrorisme est là, ne faisons pas semblant que la France ou encore les américains nous y étions pour "occuper" ces pays. Les groupes armés existent, les divisions sont nombreuses, la pauvreté omniprésente, la démographie un problème, l'enclavement une réalité quotidienne. Le Mali, le Niger et le Burkina s'enfoncent dans un nombrilisme idéologique (l'AES) dans lequel ils pensent se suffire à eux-même, dans lequel ils pensent qu'avec un peu de russes, un peu de chinois ils vont créer un nouveau monde, une nouvelle Afrique, l'idéologie qu'ils sont le berceau du panafricanisme. Mais les problèmes vont s'enchainer car rien ne change, tout n'est qu'une satisfaction idéologique.
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  2. https://tnsr.org/2024/07/stuck-onshore-why-the-united-states-failed-to-retrench-from-europe-during-the-early-cold-war/ Qu'est-ce qui a fait dérailler le plan américain de se retirer d'Europe après la seconde guerre mondiale ? La vulnérabilité de l'Allemagne de l'Ouest face à des attaques préventives soviétiques a joué un rôle clé dans l'échec des plans de repli de Washington. De manière cruciale, de nombreux responsables politiques craignaient que le réarmement de l'Allemagne de l'Ouest ne soit le facteur qui fasse "pencher la balance" pour que Moscou lance une attaque préventive.73 Les responsables européens, en particulier, ont exprimé à plusieurs reprises dans des entretiens privés leur crainte de provoquer les Soviétiques à prendre des mesures énergiques contre ce qu'ils percevraient à juste titre comme le renouveau militaire d'un adversaire mortel. La France, redoutant la perspective d'être confrontée aux "Russes sur le Rhin" si le tampon ouest-allemand était perdu, a été la plus loquace.74 En janvier 1951, le Premier ministre René Pleven a déclaré aux dirigeants américains que "tout Français réfléchi" se demandait "pourquoi les Russes, qui sont parfaitement informés du renforcement militaire à l'Ouest, n'attaqueraient pas en Europe avant que ce programme ne soit achevé", étant donné que les Soviétiques auraient vraisemblablement "une crainte réelle d'une Allemagne à nouveau capable d'infliger à l'Union soviétique des dommages terribles semblables à ceux causés pendant la dernière guerre "75 . "De même, le ministre des Affaires étrangères Robert Schuman estime que la puissance militaire de l'OTAN n'est pas "telle que nous puissions arrêter les mouvements que les Russes pourraient entreprendre si nous discutions de la question des unités allemandes "76. Comme l'indique le rapport de 1948 du Joint Intelligence Committee américain intitulé "Soviet Intentions and Capabilities", l'invasion soviétique de l'Allemagne de l'Ouest n'était censée représenter que la "phase I" de sa campagne en Europe de l'Ouest. Une fois que les forces d'invasion se seraient "consolidées à l'ouest du Rhin de J + 5 à J + 10", les phases II à IV impliqueraient des poussées visant à conquérir la France, atteignant les Pyrénées 50 à 60 jours après le début des hostilités.77 Étant donné qu'une série de défaites rapides sur le continent était susceptible de suivre l'effondrement du front allemand, la perspective de déclencher une attaque soviétique contre l'Allemagne de l'Ouest n'était pas à prendre à la légère. Les destins de la France et de l'Allemagne de l'Ouest étaient inextricablement liés. En bref, les responsables politiques soviétiques étaient farouchement opposés à tout ordre de sécurité en Europe occidentale qui dépendait de la revitalisation complète de la puissance militaire de l'Allemagne de l'Ouest, mais l'OTAN dirigée par les États-Unis était un arrangement qu'ils pouvaient tolérer. Ce n'est qu'au début des années 1960 que les États-Unis se sont finalement "résignés à rester" sur le continent.129 Cela faisait partie d'un accord plus large entre les superpuissances dans lequel l'Union soviétique acceptait de respecter le statu quo en Europe occidentale en échange de l'accord de l'Amérique de garder le potentiel militaire de l'Allemagne de l'Ouest sous sa coupe à long terme.130 Le "règlement" implicite que les manœuvres de la France et de l'Allemagne de l'Ouest avaient conduit l'administration Eisenhower à accepter en 1954 avait finalement été stabilisé.
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  3. Masterclass! Merci. Pauvre Mohamed Bazoum quand même. Un article à lire et à relire, tout y était: https://mondafrique.com/politique/la-rude-et-courageuse-franchise-du-president-nigerien-mohamed-bazoum/ On pourrait même dire au vu de la situation que "c'était écrit".
    3 points
  4. J’ai du mal à trouver un sens profond à cette remarque, à vrai dire. Que des Chinois sont prêts à s’engager pour aller reprendre Taïwan, je veux bien le croire, sur la masse d’un milliard ce serait même douteux qu’il n’y en ai pas. Mais comparer ça à des Français qui seraient prêt à aller se sacrifier pour aller tuer du Kanak, euuuuuh…
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  5. Et au-delà de ça, à partir du moment où Dassault accepte que les Indiens accrochent des bombes israéliennes sous leurs Rafale, ou que les Emiratis y intègrent leurs propres bombes (au moins partiellement au détriment de l'AASM), SAFRAN a alors de très sérieux arguments pour leur dire bien gentiment d'aller se faire foutre avec leur exclusivité sur l'AASM (gentiment et diplomatiquement hein ! On n'est pas des bêtes non plus chez les industriels ) C'est clair qu'on n'est pas sur les mêmes usages, même si le gain en portée et manoeuvrabilité de l'AASM est toujours utile, même dans des conditions de tir dégradées. Ceci dit, je me demande à quel point les Mirage F1 marocains arrivent à exploiter le plein potentiel de leurs AASM (oui parce que bon, exclusivité Rafale, exclusivité Rafale... sauf quand on fait des exceptions visiblement ) Chez Safran, on travaille sur un autodirecteur multimode qui devrait pouvoir faire de la détection de cible autonome. En réalité, il faut déjà corriger les obsolescences sur l'AD IIR, donc tant qu'à faire, autant lui donner aussi de nouvelles capacités. Après, l'idée c'est à la fois de remplacer la version IIR et la version laser avec un unique AD, donc c'est quand même un projet assez lourd qui ne se fait pas en 2 temps 3 mouvements. Pour la portée, sinon, MBDA travaille avec les Emiratis sur la Smart Glider, qui aura aussi des AD autonomes, mais une charge plus faible. Pas le même usage. Mais ça arrive (par contre aucune idée de si la France s'en dotera ou non)
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  6. Dassault Aviation : « On peut encore prendre des commandes » L’avionneur a fait un point sur le programme Rafale. Quelque 495 appareils ont été vendus, dont 261 à l’export, « cela nous donne du travail en production pour les dix ans à venir », explique Eric Trappier, le PDG. D’ailleurs, l’avionneur est passé d’une cadence de production d’un peu mois d’un avion par mois en 2020 à une cadence de deux appareils en ce moment, et il devrait atteindre les trois l’année prochaine. Et « on peut monter à cadence 4, cela dépend un peu de la supply chain, mais nous pouvons prendre encore des commandes, je ne vais pas refuser des commandes pour le Rafale, surtout de pays européens », a ironisé le dirigeant.
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  7. Tombé du camion ... sauf la dernière page j'ai l'impression Le fait nouveau L’avionneur a fait un point sur le programme Rafale. Quelque 495 appareils ont été vendus, dont 261 à l’export, « cela nous donne du travail en production pour les dix ans à venir », explique Eric Trappier, le PDG. D’ailleurs, l’avionneur est passé d’une cadence de production d’un peu mois d’un avion par mois en 2020 à une cadence de deux appareils en ce moment, et il devrait atteindre les trois l’année prochaine. Et « on peut monter à cadence 4, cela dépend un peu de la supply chain, mais nous pouvons prendre encore des commandes, je ne vais pas refuser des commandes pour le Rafale, surtout de pays européens », a ironisé le dirigeant. Le groupe négocie actuellement le contrat pour 26 Rafale de la marine indienne, annoncé en juillet dernier et qui n’est pas encore comptabilisé, et « nous avons d’autres prospects », a-t-il affirmé. Des discussions sont en cours avec l’Arabie saoudite, mais « c’est comme le Loto, pour gagner, il faut jouer. Nous avons une longue histoire avec l’Arabie saoudite, nous avons déjà essayé, sans succès », a expliqué le PDG, qui souligne toutefois que « le contexte politique a changé et la réputation de l’avion est bonne. Les pays voisins qui ont acheté le Rafale le disent, donc ça peut influer sur l’appréciation de nos amis saoudiens. Donc nous répondons à leurs demandes, et on verra ». Ambiance Les actionnaires étaient, comme tous les ans, venus nombreux, tout autant pour échanger avec la direction sur la stratégie de l’avionneur que pour partager un verre dans la salle de bal de l’hôtel particulier du rond-point des Champs-Elysées avec les autres actionnaires, y compris familiaux, qui se sont prêtés volontiers au jeu. Résolutions Le vote s’est déroulé encore à main levée, sans suspense puisque le Groupe industriel Marcel Dassault détient 64,31 % du capital pour 79,26 % des droits de vote. Le dividende de 3,37 € sera mis en paiement le 22 mai. Entendu à l’assemblée Si l’assemblée n’a pas traîné en longueur, une grande place a été consacrée au débat, avec près d’une vingtaine de questions posées. Les actionnaires se sont intéressés à une possible nouvelle version du moteur M88 de Safran, qui équipe les Rafale, au coût des nouveaux carburants, aux conséquences de la réglementation européenne CSRD, au processus d’intégration des jeunes embauchés dans la culture d’entreprise maison, aux rachats d’actions, voire au risque d’une logique trop financière, comme chez Boeing, aux transferts de technologies avec l’Inde. Deux thèmes ont toutefois dominé, la concurrence amé­ricaine faite aux équipements ­européens et les inquiétudes ­concernant la chaîne des fournisseurs. Sur ce dernier sujet, la supply chain, « nous sommes toujours inquiets. Nous ne sommes pas les seuls, Airbus l’a dit, le Gifas [Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales] aussi. On a une tour de contrôle pour identifier les défaillances le plus tôt ­possible. Le fonds Ace Aéro permet aussi d’intervenir en cas de défaillance et de besoin en fonds propres, a indiqué Eric Trappier, tandis qu’au cas par cas nous soutenons ces sous-traitants avec nos ..........
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  8. Pour rappel, le vol inaugural d’Ariane 6, c’est dans 3 jours.
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  9. C'est finalement le candidat "réformateur" Massoud Pezeshkian qui est élu président de l'Iran
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  10. Les chercheurs du MIT ont commandé et combiné des parties du virus de la grippe pandémique de 1918. Ont-ils révélé une faille de sécurité ? https://thebulletin.org/2024/06/mit-researchers-ordered-and-combined-parts-of-the-1918-pandemic-influenza-virus-did-they-expose-a-security-flaw/ "The team sent in orders for small fragments of the hazardous genetic sequences to many synthesis companies, thereby splitting the orders to evade detection. In some cases, they “camouflaged” sequences by appending unrelated genetic code to concerning fragments. In other cases, they both camouflaged and mutated the fragments to further conceal the ordered sequences. And the team succeeded—receiving orders 88 to 100 percent of the time in various test categories." Je vous laisse lire le reste
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  11. Si c'est vrai c'est UN cas qui serait avéré, et donc à peu près autant de fois moins grave que lorsque les russes ont fait pareil et pas que contre des soldats. Choisissez vos chiffres: 100 000 fois? 200 000 fois? 300 000 fois?
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  12. En septembre 2023, il y avait eu cet article Trois des chantiers navals de Saint Petersburg utilisent encore des machines outils âgées de 90 ans https://flotprom.ru/2023/Оск22/ A+
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  13. En ce qui concerne les machines-outils et l'usinage de précision et pour ce que j'en lis, ils tapent actuellement dans deux directions: * Récupération de machines-outils en Chine (circuit parallèle) * Mise en place (et augmentation) de la capacité de production locale Avec encore une fois la même inconnue de savoir si la production locale est en mesure d'atteindre et/ou de se rapprocher du niveau de qualité occidentale. Mais oui clairement, ça déploie de larges moyens pour contourner les sanctions de tous poils. Par contre, on peut oublier la Pr.20386: elle restera un cul-de-sac technologique au prix d'une frégate.
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  14. https://lenta.ru/news/2016/09/26/su24/
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  15. Bon argumentaire herciv. J'ai pensé à toutes ces "clefs" nécessaires, y compris celles des casernements de stockages sous l'égide purement américain, de l'utilisation desdits matériels....et des missiles....des réseaux de communications, etc.etc. C'est la raison pour laquelle j'ai cité RITA. Il est bien évident que si le Président Trump est réélu, qu'il "abandonne" l'OTAN, la reprise de "l'espace" laisser libre ne peut ce réaliser qu'avec l'accord tacite de ce dernier. Et ce sera donnant donnant. Cela ira jusqu'au chantage. Je n'en doute pas. Et cet homme là, à l'imagination fertile et surprenante. (Je ne sais pas si il y a la notion de territorialité des bases des américaines, d'une part, et, d'autre part, il faudra bien l'autorisation pour l'utilisation desdits matériels américains). Tel résoudre en 24 ou 48 heures le problème Ukrainien par un coup de téléphone avec le locataire du Kremlin AVEC l'acceptation des Européens est l'une de ces conditions possibles. Vous êtes d'accord ? C'est bien. On vous donnent les clefs. Vos n'êtes pas d'accord ? Aller vous faire voir. Affaire réglée. Autre exemple, l'aide et l'assistance aux USA dans la configuration d'une déflagration en Mer de Chine ou en Asie est également possible comme l'OTAN le fit en Afghanistan. La aussi, chantage possible. Mes douze années passées dans un groupe de la défense américain m'à édifié sur le comportement de nos amis d'outre atlantique en particulier lors des deux la guerre du Golf et la chute du mur de Berlin vis à vis de nos bureaux Européens. América First ! Les temps qui arrivent ne seront pas simple. Certes. Mais ce ne fut pas plus simple auparavant. L'Histoire nous le rappelle et l'enseigne.
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  16. Tu exagères un peu Tu prends pour argent comptant un programme qui n'a jamais existé réellement sur Rafale tout en minorant complètement le fait qu'Arianne 6 et Vega existent Sans parler de la demi-douzaine de projet plus ou moins privés en Europe pour des lanceurs légers
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  17. Les enjeux du centre spatial guyanais dépassent largement le simple intérêt de tirs de satellites militaires. A une époque, on a atteint les 10 lancement annuels (entre Ariane V, de Véga et de Soyouz) soit 1,5 Milliards de fusée et probablement 3 fois plus en satellites. Rien que pour l'intérêt financier (On récupère 10% de taxe ?) on justifie d'avoir des systèmes défensifs conséquent. Il y a quasiment tout ce qu'il faut pour déployer en permanence un petit détachement de Rafale. Ce n'est pas la seule activité économique de la Guyane, mais ce n'est pas négligeable. A l'époque d'Ariane V, il était nécessaire de la protéger pendant son lancement, mais aussi à un autre moment de la préparation du tir (quand elle était déplacé, je crois). Donc on devait déployer au minimum 2 "DPSA" par tirs, ce qui avec plus de 10 tirs par ans, pouvait représenter jusqu'à un DPSA toutes les 2 semaines. Si on avait des Rafale sur place, ils participeraient à tous ces DPSA qui mobilisent quasiment tous les moyens militaires présent en Guyane. Je pense que la Guyane sera le prochain "DROM-COM" à avoir en permanence des chasseurs. A mon avis, c'est une question d'opportunité (pour l'instant, on a assez de détachement permanent en OPEX/MCD entre la Jordanie, Djibouti, les EAU, le Tchad... même si on a évacué le Niger et il y a toujours des missions ponctuelles donc on n'a pas forcement l'envie ou les moyens de rajouter un autre détachement) mais on pourrait vite justifier un petit détachement. Pour le centre spatial guyanais, l'intérêt de la diversification avec les Véga et les Soyouz était d'attirer les clients de petit satellites. On leur promettait une mise en orbite rapide ou à la période demandée (éventuellement sur une Vega/Soyouz qui sera lancée spécifiquement pour eux) ce qui permettait à l'Ariane V de planifiée pour un gros satellite de pouvoir choisir le satellite "secondaire" pour compléter sa charge utile et optimiser son vol avec un second client qui ne coûtait presque rien. La même logique pourrait s'appliquer avec un micro-lanceur sur le Rafale. Les mini-satellites sont livrés à Kourou puis soit ils sont mis en orbite par Ariane 6 (donc le client "secondaire" du lancement ne choisit pas la date, mais il bénéficie d'une offre très compétitive) soit il peut être mis en orbite en urgence par un Rafale qui serait louée le temps de l'opération au CSG (mais avec un coût de lancement plus important que pour un passager d'Ariane 6) L'avantage du micro-lanceur sur base Rafale basé à Kourou serait de justifier un peu plus le déploiement de Rafale (de l'Armée de l'air et de l'Espace) à Kourou. Bon, il y a aussi un risque non négligeable que le CDE trouve ça pertinent d'avoir une capacité autonome de mise en orbite (sans passer par les moyens civils) et donc que les lancements de satellite par Rafale se fassent depuis Toulouse ce qui fera une concurrence européenne supplémentaire au CSG... Et je ne suis pas sur que réglementairement on arrive à proposer au marché civil d'utiliser des Rafale pour la mise en orbite de satellites non militaires/gouvernementaux. Je pense que la mise en orbite de satellite par rafale serait pertinente, mais il faudrait : 1) Développer ce lanceur aéroportée 2) maintenir une réserve conséquente de ces lanceurs. S'il faut 2 ans pour les recevoir une fois qu'on les commande, je ne vois pas l'intérêt d'une "mise en orbite express sans préparation" s'il faut le prévoir 2 ans à l'avance. 3) Trouver la solution réglementaire/législative pour que l'armée puisse le facturer aux civils (je parle du tir, mais aussi d'une partie du stock de lanceur) 4) Que Ariane Espace le commercialise et s'en serve (il ne faut pas laisser les lanceurs se périmer) 5) Déployer des Rafale en Guyane (et pas uniquement pour lancer des satellites, sinon ce sera trop cher) Pour l'instant, j'ai l'impression qu'il n'y a que la première condition qui a été étudiée.
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  18. Au tour des canadiens : Le Niger retire le permis d'exploitation d'un important gisement d'uranium au canadien GoviEx Après Orano il y a 15 jours, c'est désormais la compagnie canadienne GoviEx qui se voit retirer son permis d'exploitation d'un important gisement d'uranium à Madaouela, près d'Arlit. L'annonce a été faite par la société dans un communiqué. Elle s'est vu préciser dans un courrier officiel ne plus avoir « de droits sur le périmètre du permis d'exploitation » qui retombe « dans le domaine public ».
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  19. Les gens là-bas achètent les concessions dans l'espoir d'en faire quelque chose un jour, lointain. Les projets sont souvent de la prospection/cartographie. Chose où les français sont largement en avance, vu que de fait, ils étaient là avant et plus actif. J'ose espérer qu'on a pas donné les cartes (pas comme ce qu'on a fait connement en Guyane avec l'or...).
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  20. N'allons pas trop vite en besogne, nul ne sait à ce stade qui sera premier ministre lundi prochain... ni même si la France pourra avoir un premier ministre ! Mais oui, les Etats-Unis et la France sont en train de dériver dans des directions inverses. J'écrivais en février, et je réécris Jeunisme forcené en France, sénilisme passionné aux Etats-Unis. Vers la fin du second mandat de Joe Biden, aux réunions du G7, le président des Etats-Unis pourra promener dans une poussette le président de la République française et lui donner le biberon. Et il l'appellera Charlemagne, bien sûr Bon, certes, il faudrait moderniser cela, puisque Biden ne sera à l'évidence pas réélu. Mais bon, ça peut marcher aussi avec Trump ...
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  21. Je ne crois pas que soit ce qu'il ai dit, il ne s'agit pas d'une phrase mais d'une énumération de faits dont il est fier : - D'avoir eu la première femme vice présidente noire. - D'avoir servi un président noir - D'avoir nommé la première femme noire à la cour suprême. Là, c'est surtout la forme qui est hésitante et mal agencée ce qui peut prêter à confusion à la première écoute en plus d'un manque de contexte. Mais cela ne change rien au fait qu'il s'agisse d'un homme trop fatigué pour un poste aussi exigeant et au milieu d'un tas de crocodiles et de requins.
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  22. Les Polonais ont un impératif absolu celui des délais de livraison.
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  23. Tout l'intérêt du Smart Glider, c'est aussi et surtout le combat collaboratif entre munitions. C'est un peu ce qu'on nous vend depuis 2 ans pour le futur Rafale F5 (c'est ce qui me fait dire que l'AdlA envisage quand même assez sérieusement le Smart Glider). La portée en est une composante importante, pour pouvoir manoeuvrer et attaquer de plusieurs axes, notamment, mais pas unique. A mon sens, on va se diriger vers deux catégories de munitions: - des munitions anti-A2AD qui vont porter très loin et être autonomes, mais qui seront relativement lentes - des munitions de CAS et d'interdiction qui auront surtout besoin de frapper vite, que ce soit des troupes ennemies au contact, un site DCA de courte portée, un navire de combat, un véhicule lourd qui menace des populations, etc. Alors, sur le papier, une AASM qui porte plus loin, pourquoi pas, oui. Pour de l'interdiction et de la frappe lourde contre des infrastructures, ça peut être intéressant. Mais on ne pourra pas tout financer. Si je dois choisir entre un truc qui permet de tirer des AASM de plus loin ou une nouvelle catégorie de munitions qui nous ouvre un nouveau champ d'action, je vote pour la seconde option sans hésiter. Yep, tout à fait, c'est la Smart Glider. Enfin, c'est le segment que vise la Smart Glider. A la base, l'AASL était pensé pour le Rafale F4, mais ça semblait compliquer de faire du low-cost et du combat collaboratif avec une telle deadline. Le concept a donc glissé vers le Rafale F5, ce qui va permettre d'y intégrer des algorithmes (oups, pardon, de l'IA voulais-je dire, naturellement !) plus poussés et surtout théoriquement un poil moins chers et complexes à utiliser. Mais surtout, ça permet de faire financer une grande partie de l'armement en question par les Émiriens qui le coproduisent. Du coup, pour la peine, on peut se permettre d'attendre un peu pour faire de l'anti-A2AD efficace. On notera d'ailleurs que si on en parle pour le Rafale F5, une telle brique pourrait quand même arriver un peu plus tôt, vu que les EAU n'ont pas l'intention d'attendre une mise au standard F5 de leurs Rafale F4 pour y intégrer ce nouvel armement.
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  24. Après 6 mois de travaux, et plus de 140 personnes entendues, la commission d’enquête du Sénat sur l’électricité fait des propositions concrètes pour le pouvoir d’achat des Français, en baissant le prix et en le rendant plus stable à l’avenir. Produire une électricité compétitive pour nos entreprises et accessible à nos concitoyens est essentiel. UNE BAISSE DE 40% DE LA FACTURE Une baisse ciblée de la fiscalité Une baisse générale et indifférenciée de la TVA serait très coûteuse pour nos finances publiques et particulièrement injuste. La commission propose à l’inverse une baisse ciblée de la fiscalité sur l’électricité. Celle-ci nécessite de définir une "consommation de base" : moyenne des volumes consommés par un ménage pour une surface de logement de 80 m2, soit 4,5 MWh/an sans chauffage électrique et 6 MWh/an avec chauffage électrique. Pour cette « "consommation de bas" la TVA serait abaissée de 20 % à 5,5 %, l’accise sur l’électricité passerait de 21 euros actuellement à 9,5 euros le MWh et la Contribution Tarifaire d’Acheminement (CTA) serait supprimée. Ces propositions entraîneraient à elles seules une baisse de 18 % du prix. Au-dessus de la « consommation de base », le taux de TVA resterait de 20 % et l’accise serait plus élevée en fonction du volume consommé. Un prix de l’électricité plus bas et stable dans le temps L’"accord" État/EDF de novembre 2023 ne garantit ni des prix acceptables pour les consommateurs ni des revenus suffisants pour EDF. La commission d’enquête propose de lui substituer un contrat pour différence (CfD) fixé entre 60 et 65 euros le MWh pour éviter les variations erratiques de prix. Cela permettra de corréler les prix de l’électricité aux coûts de production et les détacher de ceux du gaz. Cette proposition entrainerait une baisse complémentaire du prix de 22%. L’ensemble des propositions de la commission d’enquête du Sénat offre donc la perspective d’une baisse significative des factures des Français dès le début de l’année 2025, baisse qui pourrait atteindre plus de 40% pour la "consommation de base". Soit : près de 7 000 euros sur la facture annuelle d’un boulanger qui consomme en moyenne 99 MWh par an ; plus de 600 euros sur la facture annuelle d’un ménage qui consomme en moyenne 6 MWh par an. La consommation électrique va progresser significativement du fait de l’électrification des usages. La commission d’enquête considère comme le plus probable un scenario à 615 TWh en 2035, soit 38% d’augmentation, puis environ 700 TWh en 2050, soit 57% d’augmentation par rapport à la situation actuelle. UNE PRODUCTION ÉLECTRIQUE SUFFISANTE A PRIX COMPETITIF GARANTI Une prolongation optimisée du parc nucléaire À l’horizon 2035, la prolongation optimisée du parc nucléaire devra accompagner un essor raisonnable des moyens de production renouvelables. Cela permettrait d’aboutir à un scénario de mix de production composé à 60 % par la filière nucléaire couvrant l’augmentation de la consommation avec une marge suffisante. Le développement de l’énergie hydraulique, énergie maîtrisée, rentable et décarbonée, exige la résolution rapide du conflit, qui dure depuis plus de 15 ans, avec la Commission européenne. À l’horizon 2050, il sera nécessaire de prolonger les centrales actuelles au-delà de 60 ans et de construire 14 nouveaux réacteurs EPR2, projet qui exigera une maîtrise industrielle renforcée et un système de financement optimisé que la commission précise. En fonction du nombre de réacteurs qui pourront être prolongés au-delà de 60 ans et du calendrier de déploiement du programme de nouveau nucléaire, le mix de production national résultant des scénarios étudiés par la commission d’enquête produirait entre 700 et 850 TWh en 2050. De 52 % à 61 % seraient assurés par des moyens nucléaires. Préparer l’avenir et relancer la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR) La commission d’enquête alerte sur le risque, trop peu évoqué, de raréfaction de l’uranium naturel à une échéance assez rapprochée. Selon les hypothèses de déploiement de l’énergie nucléaire civile dans le monde, qui doit être massif pour permettre la décarbonation, l’uranium peut se raréfier autour des années 2060. Aussi est-il impératif de relancer au plus vite la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR), qui produisent moins de déchets ultimes et permettraient à la France de disposer d’une énergie nucléaire 100 % souveraine pour des centaines d’années en recyclant nos propres déchets ! Être vigilant sur les coûts du système électrique En prenant en compte la totalité des coûts des différentes filières, notamment les réseaux, la commission d’enquête constate que plus les mix électriques comportent une part significative d’éolien et de photovoltaïque, plus le coût de production moyen du système est élevé. Ces modes de production diffus supposent en effet des investissements importants dans les infrastructures d’acheminement. Dans ce cadre, elle appelle à une expertise rigoureuse des programmes colossaux d’investissements dans les réseaux présentés par Enedis et RTE, pour l’instant évalués à 200 milliards d’euros d’ici à 2040, et ce pour éviter que le tarif d’utilisation du réseau public d’électricité (TURPE), répercuté sur les tarifs payés par les consommateurs, n’explose. En finir avec les discriminations de l’union européenne à l’égard du nucléaire Alors qu’elle dispose d’un mix électrique déjà très largement décarboné, les efforts demandés par l’Union européenne à la France sont proportionnellement plus importants que pour d’autres pays. Cette inégalité doit cesser. Les textes européens qui vont l’encontre du principe de neutralité technologique, établi par l’article 194 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui garantit à chaque État le droit de décider de son bouquet énergétique, sont contraires aux traités et doivent être révisés ! Ainsi faut-il mettre fin à toute discrimination de l’énergie nucléaire au sein de l’Union européenne. Les liens importants : Communiqué de presse --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/CP_2024_03_07_conf_presse.pdf L'essentiel --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Essentiel-CE_pour_transmission_communication_03-07.pdf Les 33 recommandations --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Les_recommandations_de_la_CE.pdf Les infographies --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/infog_elect_v6.pdf
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  25. Pour le problème des pièces étrangères, il y a cette info pour l'électronique qui date du 3 mai dernier L'institut scientifique Krilov a reçu un contrat de 444 millions de roubles pour remplacer les composants étrangers des convertisseurs statiques réversibles POS-650 des classes 885M et 955A. La production de ces nouveaux composants devrait débuter en 2028 https://mashnews.ru/kryilovskij-nauchnyij-czentr-zamenit-inostrannyie-uzlyi-preobrazovatelej-na-podlodkax-dvux-proektov-za-444-mln-rublej.html Il y a aussi celle-là du 17 juin Le ministère de l'Industrie et du Commerce de la Fédération de Russie a suspendu l'octroi de subventions dans le domaine de l'électronique radio et vérifie l'efficacité de l'utilisation des fonds précédemment alloués aux entreprises https://военное.рф/2024/Импортозамещение11/
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  26. Ce n'est pas étonnant, et je ne serais pas surpris que Naval Group se retire également. EDF veut simplifier le design pour faciliter les dossiers d'autorisations auprès des différentes autorités de sûreté. En gros ils ont retiré tout ce qui était "innovant" du design de Nuward (les autorités de sûreté étant généralement très frileuses n'apprécient pas vraiment les innovations qui n'ont pas encore fait leurs preuves) : https://www.sfen.org/rgn/edf-engage-une-optimisation-du-design-du-smr-europeen-nuward/ Les GV intégrés ont notamment été supprimés pour revenir à un design à boucles classique. GV intégrés qu'on retrouvait sur les K48 de la classe Rubis : https://fr.wikipedia.org/wiki/K48 Ce n'est pas forcément que les gens de Technicatome ne croient plus en la techno, c'est que les compétences uniques qu'ils apportaient ne sont plus nécessaires ...
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  27. J'espère que mon stagiaire a répondu que le Rafale n'est pas le F-35 et qu'il a des capacités de refroidissement et de génération électrique suffisantes pour intégrer de nouveaux équipements.
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  28. Inconnu au bataillon tant qu'à présent.
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  29. Le Pérou semble s'orienter vers une commande de FA-50 : https://www.scramble.nl/military-news/peru-signs-contract-with-kai
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  30. On en utilise déjà comme ça: on enlève le propulseur et c'est bon...
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  31. Ils tiennent le bon bout pour faire fuir les investisseurs étranger Occidentaux, reste à voir qui prendra la suite et comment, car si c'est "juste" pour priver les autres d'exploiter les gisements sans qu'il y ait de remplaçants sérieux, les devises vont vite manquer !
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  32. "dirty oil" ; caisse a huile polluée ou contaminée ; par les matières charbonneuses , par dilution de gazole lors mauvaise injection , par des bactéries , par l'eau .... la notion d'huile usée , est liée à sa chute de viscosité fonctionnelle ; à la va vite , fatigue des huiles par cisaillement des chaines moléculaires carbone ...
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  33. Opex360 : "Trois Rafale ont été envoyés en Guyane pour protéger le premier lancement de la fusée Ariane 6" Edit : Aurait également eu sa place dans le fil AAE . . .
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  34. suite Hélices ici HPF à pales fixes avec moyeu équipé d'un croisillon d'ogive ( anti cavitation) , propulseur adapté au power plant kolumna ici HP0 à pales orientables avec moyeu équipé d'un servo moteur je pense , propulseur adapté au power plant MTU ? appendices VLS https://i.goopics.net/olbwsj.jpg https://i.goopics.net/kt4ekq.jpg intégration VLS sur projets Un autre concept lanceur posé sur pont gros aéronef , çà évite les puits structurel marinisable ? Zum russe ?
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  35. Je ne joins pas les documents officiels, rédigés en italien bureaucratique par le ministère de la Défense et qui, je crois, n'intéressent personne ici. Pour le moment le programme d'acquisition de 6 KC-767 B pour AMI est suspendu "En raison de besoins modifiés et imprévus, l'état-major général de l'AMI avec la fiche de référence e., a demandé la suspension de la procédure en question." Par conséquent, le RP DAC Prot. M_D A4B89B9 DAC2022 0000178 27-10-2022 est annulé en attendant le attribution d'un nouveau mandat par l'Etat-major de l'armée de l'air." De grandes réflexions sur ce que pourraient être les « besoins modifiés et imprévus »
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  36. Les ukrainiens n'ont pas non plus 50 bases disponibles actives, ils sont obligés à prendre des risques. Il faut voir si c'était un coup de chance russe ou une nouvelle tactique qui permet de neutraliser l'aviation ukrainienne
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  37. Non non, Orange Marine reste un acteur important, le rachat d'ASN vient consolider tout cela
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  38. Si je devais deviner, il y a beaucoup de choses derrière la scène qui n'ont pas été portées à l'attention des médias non spécialisés et de certaines des voix les plus indignées. A6 a un manifeste de lancement très encombré et un taux de production limité pour les propulseurs d'appoint à poudre. La production annuelle de P120 est fortement limitée sans un investissement colossal dans des installations de production supplémentaires. Il y a des spéculations sur le fait qu'ArianeSpace voulait retarder le lancement de MTG-S1 (EUMETSAT) afin de trouver une charge utile lourde/principale pour partager le trajet, actuellement il n'y a pas de charge utile évidente pour remplir ce rôle. Ironiquement, EUMETSAT pourrait en fait faire une faveur à ArianeSpace en détournant MTG-S1 vers Falcon 9, au lieu de "gaspiller" un précieux lanceur A6.2 pour un seul petit satellite météorologique GEO. Remarquez que les articles sur ce sujet ne contiennent aucun commentaire officiel de la part d'EUMETSAT ou d'ArianeSpace, tout ce qui est dit l'est par des fonctionnaires réactionnaires ou par la presse non spécialisée. Cela me fait soupçonner qu'il ne s'agissait pas d'une sorte de "coup de poignard dans le dos" unilatéral de l'Allemagne au profit de ces méchants Anglo-Saxons, comme certains semblent le croire sans disposer de faits réels. Il serait sage de s'asseoir et d'attendre, de laisser les faits et les déclarations officielles émerger.
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  39. L'OCDE investit désormais plus en Asie du Sud-Est (Asean), qu'en Chine : source : https://www.fdiintelligence.com/content/data-trends/asean-overtakes-china-for-manufacturing-fdi-83610
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  40. Centrage des masses potentiellement différent en faveur du B ?
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  41. Bien que le marketing de Lockheed Martin mette en avant les capacités avancées de fusion de données du F-35, il existe des rapports de problèmes significatifs avec ce système. Voici une analyse de la situation : Problèmes de Fusion de Données du F-35 Anomalies Signalées Doublons de Pistes : L'un des problèmes rapportés est la présence de doublons de pistes lorsque plusieurs capteurs, parfois de différents avions, détectent la même cible. Cela indique une défaillance dans l'algorithme de fusion de données pour corréler correctement les informations de sources multiples. Incohérences : Des incohérences dans l'affichage des informations fusionnées peuvent créer de la confusion pour les pilotes, entraînant des erreurs potentielles dans la prise de décision tactique. Plus de 800 Anomalies : Il est documenté qu'il existe plus de 800 anomalies liées à la fusion de données et à d'autres aspects du système avionique du F-35, nécessitant une attention continue pour résoudre ces problèmes. Impact sur les Opérations Fiabilité : Ces anomalies peuvent affecter la fiabilité de la situation tactique présentée au pilote, compromettant potentiellement l'efficacité de la mission et la sécurité opérationnelle. Complexité de la Maintenance : La correction de ces anomalies exige des mises à jour logicielles fréquentes et des ajustements, augmentant ainsi la complexité et les coûts de maintenance. Comparaison avec le Rafale Fusion de Données du Rafale Système Avancé : Le Rafale, en particulier dans sa version F4 et avec la future version F5, a démontré des capacités solides en fusion de données. Le système est capable de combiner efficacement les informations de ses divers capteurs pour offrir une image cohérente de la situation tactique. Fiabilité : Les rapports indiquent que la fusion de données du Rafale fonctionne de manière plus fiable, sans les types d'anomalies observées avec le F-35. Les utilisateurs ont exprimé une satisfaction générale avec la précision et la cohérence des données fusionnées. Performances Opérationnelles Opérationnelle : La fiabilité du système de fusion de données du Rafale renforce la confiance des pilotes dans la situation tactique, améliorant l'efficacité des missions et réduisant les risques d'erreurs. Intégration : La capacité du Rafale à intégrer les données de multiples capteurs tout en minimisant les anomalies contribue à sa réputation de polyvalence et de performance dans des environnements de combat complexes. Conclusion Les capacités de fusion de données du F-35, bien que très avancées sur le papier, sont confrontées à des défis opérationnels importants. Les problèmes tels que les doublons de pistes et les incohérences montrent que, malgré les avancées technologiques, il existe encore des lacunes significatives à combler pour atteindre la performance souhaitée. En revanche, le Rafale semble offrir une fusion de données plus mature et fiable, ce qui peut être un avantage important dans des situations de combat réel.
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  42. Excellent article de DailyNK sur la récolte du riz à venir cette année en Corée du Nord. https://www.dailynk.com/english/n-korea-completes-almost-70-of-rice-transplanting-as-of-early-june/ En résumé : projection que ce soit un peu mieux que l'année passée mais toujours en dessous des chiffres antérieurs à la pandémie de Covid. Et ce qui semble confirmer que la situation alimentaire est toujours aussi fragile, les usines agroalimentaires seraient le secteur rêvé de beaucoup de travailleurs nord-coréens. Avec corruption obligatoire pour y entrer, liée au fait qu'elles fournissent des rations alimentaires régulières à leurs employés. https://www.dailynk.com/english/n-koreans-fork-out-bribes-to-get-jobs-at-food-processing-factories/
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  43. 1er vol prevu cet annee. vpas bcp de detail, propulsion hybride et un poids de +500kg, il sera plus gros que sont predecesseur le XRQ-72 *RQ est une designation pour plateforme ISR https://www.twz.com/air/shadowy-xrq-73-hybrid-electric-stealthy-flying-wing-drone-emerges
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  44. Uniquement parce que le terme IA est un "buzzword" marketing qui aide à vendre (surtout du rêve) alors qu'avant on parlait de logiciel de reconnaissance de forme, ou d'aide au traitement d'images par exemple. Ici ça pourrait permettre (j'imagine hein, je ne suis pas dans le secret des dieux) de faire du tir et oublie qui puisse ré-acquérir une cible qu'il aurait perdu de vue pendant le vol, ou sélectionner une cible différente si la première est détruite par un autre tir ? Mais essaye aujourd'hui de vendre un produit d'armement un peu technologique, et très chances de réussite sont multipliées par 5 si tu emplois les mots IA, quantum, smart (qui marche plus que "intelligent") et autonome, mais avec "man in the loop". Et je suis sûr de mes chiffres, parce que "80% des statistiques sur internet sont inventées"
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  45. La transparence du champs de bataille: https://www.opex360.com/2024/06/23/transparence-du-champ-de-bataille-larmee-de-terre-veut-se-doter-de-radars-tactiques-collaboratifs/
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  46. Surprise, le dernier rendu officiel a un pump jet! On verra…
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