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Ali Khodja

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Messages posté(e)s par Ali Khodja

  1. Syrie: de l'équipement militaire ukrainien découvert chez les rebelles (BBC)

    Les correspondants ont appuyé leur déclaration en publiant des photos sur lesquelles on voit une caisse en bois. Le marquage indique que son contenu a été produit dans une usine de Lougansk, en Ukraine, et provient de l'aéroport de la ville de Gostomel, près de Kiev. Pesant 30 kg, le fret est destiné au chef de la communication des troupes terrestres d'Arabie saoudite.

    une des caisses en question

    Image IPB

  2. Algeria Air Force plans to buy aircraft for ISR operations

    Image IPB

    The Algerian Air Force (AAF) is said to have decided a project to buy some aircraft and rehabilitate some others to carry out intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) operations along the border, notably with Libya. The following 318-word report sheds further light on the project and tells how many aircraft the AAF intends to buy, what kind of aircraft it is showing interest in and what types of aircraft it intends to rehabilitate.

    http://www.tacticalreport.com/view_news/Algeria_Air_Force_plans_to_buy_aircraft_for_ISR_operations/2933

  3. Algeria, Italy and FREMM-class frigate

    Image IPB

    Italian Defence Minister retired Admiral Giampaolo Di Paola is said to have visited Algiers early this week to reactivate talks with the Algerian Navy about a deal for the FREMM-class frigate. The following 440-word report sheds light on the subject and tells what about the efforts of Minister Giampaolo Di Paola to reactivate the talks and what about the Algerian demands

    http://www.tacticalreport.com/view_news/Algeria_Italy_and_FREMM-class_frigate/2890

  4. Bug informatique à "la Grande Muette" : l'Armée ne paye plus ses militaires

    Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme l’armée la Grande Muette. Et quand un militaire prend la parole publiquement, c’est en connaissance de cause, parfaitement conscient des conséquences. Il faut que la situation soit extrême pour qu’il en arrive là.

    C’est bien parce qu’il est dans une position personnelle critique qu’Arnaud (1) a décidé de rompre ce pacte. Ce sous-officier, gradé de la Légion étrangère, est dans une situation financière inextricable. L’Armée lui doit un retard de solde et de primes de près de 10 000 €.

    La cause en est simple. Le nouveau logiciel de paye connaît des ratés depuis plus d’un an. Entraînant des rémunérations fantaisistes ou des oublis. "Le mois dernier je n’ai carrément rien reçu", explique l’Alésien.

    "Je suis au bord de la faillite personnelle et mon banquier me prend pour un mythomane"

    Ce gradé a fait l’Afghanistan, il a une spécialité opérationnelle très pointue et bénéficie donc normalement d’une rémunération correcte. Encore faut-il la toucher. "Je ne veux pas nuire à l’institution qui n’y est pour rien. Mais j’ai une femme et quatre enfants. Il faut bien les nourrir. Et j’ai des crédits comme tout le monde. Entre sanction et pouvoir faire manger ma famille, j’ai choisi."

    L’homme précise aussi que la Légion étrangère lui a apporté son soutien, avec un prêt à taux 0. "J’ai fait confiance à l’État français qui devait rapidement régulariser la situation. Mais j’attends toujours", explique le Gardois.

    Le problème est connu de l’Armée qui a mis en place un numéro vert national avec une cellule d’aide d’une dizaine de personnes. Officiellement, la situation aurait tendance à se résorber. Ce que conteste l’Alésien. "Rien que dans mon régiment, 15 à 20 personnes ont ce genre de problème. Sur Nîmes, une cinquantaine de cas existent à ma connaissance. Un militaire est même sans salaire depuis un an."

    "On est en train de me mettre à genoux"

    Avec des conséquences sur la vie. "Je suis au bord de la faillite personnelle et mon banquier pense que je suis un mythomane. Il menace de me mettre en interdit bancaire. Ce qui serait préjudiciable pour ma reconversion."

    Des femmes de militaires ont manifesté leur mécontentement en mars devant le ministère de la Défense à Paris. Mais le problème persiste. "On est en train de me mettre à genoux. J’ai été patient depuis un an et demi. Je l’ai fait parce que j’ai confiance dans l’institution. Mais aujourd’hui je suis acculé", confie le Gardois.

    http://www.midilibre.fr/2012/10/03/ces-militaires-que-l-armee-ne-paie-pas-pour-cause-de-bug,572333.php

  5. Image IPB

    A C-130 Aircraft was pushed underneath another at the 166 Airlift Wing, Del. Air National Guard, New Castle, Delaware due to a tornado on September 28th. (U.S. Air Force photo by Senior Airman Melissa E.Chatham)(Released) 166 AW Del. ANG

  6. l'arroseur arrosé ?

    Misfire: NATO mortar ‘gift’ from Turkey to Syrian rebels – newspaper

    The mortar used to attack the Turkish town of Akcakale is a design specific to NATO and was given to Syrian rebels by Ankara, according to Turkeys Yurt newspaper. The mortar killed one adult and four children from the same family on Wednesday.

    An article by the papers Editor-in-Chief, Merdan Yanardag, states that the newspaper received information from a reliable source, which claimed that Turkey itself sent the mortars to rebels in the so-called "free army."

    Turkey is a longtime member of the North Atlantic Treaty Organization and theyre going to act in conjunction with other NATO powers, so its unsurprising that this has happened, editor of the Pan-African news wire, Abayomi Azikiwe, told RT.

    NATO has so far shunned any military involvement in the conflict, but Azikiwe says the alliance is deeply involved in every decision that Turkey makes.

    Ankara isnt taking any military actions or contemplating any type of military strategy without being in full cooperation with NATO forces, he said.

    "The worst-case scenarios are taking place right now in Syria Our government is in constant consultation with the Turkish military. Whatever is needed is being done immediately as you see, and it will continue to be done," President Abdullah Gul said in a statement on Monday.

    But its not only leaders within Turkey that are stating their opinions on the conflict.

    Earlier on Monday, UN Secretary General Ban Ki-moon warned of the consequences that the conflict could bring to the region.

    The escalation of the conflict along the Syrian-Turkish border and the impact of the crisis on Lebanon are extremely dangerous, Ban said at the opening of the World Forum for Democracy in Strasbourg, France.

    The exchange of fire began last Wednesday, when Syrian mortar shells killed a woman and four children from the same family in Akcakale.

    Many fear the situation will lead to regional instability.

    http://rt.com/news/nato-mortar-syria-turkey-954/

  7. Croatia to buy Gripen fighter jets from Sweden.

    According to the newspaper Aftonbladet in Swedish.Croatia moves closer to a purchase of the JAS Gripen.

    The country's defense minister said they should get a final quote of the week.

    - I can only confirm that we are in talks with the country, says Sofia Karlberg the Defence Export Authority to Metro.

    The Croatian Defense Minister Ante Kotromanovic want to buy Swedish fighter jets, write the newspaper Metro.

    They wants to buy eight or twelve Jas Gripen.

    Defence Export Authority which supplies confirms that talks are being held with Croatia. According Kotromanovic be a final offer in negotiations to come from Sweden already on Wednesday, Metro.

    According to the newspaper, the authority offered to Croatia to use six planes free for two years to entice them to buy. In addition, it will also attract the Swedes with counter-trade deals worth 15 billion if the sale goes ahead, writes Metro.

    Croatian experts shall, according to Metro, assess the deal as "lucrative" and "hard to resist".

    http://www.aftonbladet.se/nyheter/article15569326.ab

  8. La famille Peugeot "pas hostile" à l’arrivée de capitaux algériens dans PSA

    L’idée est partie d’Alger. Elle a été suggérée à un héritier de Peugeot à titre prospectif. La réponse est ouverte. Les capitaux algériens peuvent être une partie de la solution dans la terrible crise que subit PSA. C’est le président de l’IPEMED Jean Louis Guigou qui l’a révélé ce week-end à Alger.

    « J’ai parlé avec Peugeot. Nous avons évoqué l’idée d’un apport en capitaux algériens pour participer au sauvetage de PSA. Je peux vous dire qu’il n’y a pas d’opposition. Cette piste peut être étudiée » a déclaré Jean Louis Guigou à la tribune de la journée d’études FCE-IPEMED samedi dernier à Alger. Ce sont des sources algériennes non officielles qui auraient demandé au président de l’institut de prospective économique du monde méditerranéen IPEMED de « sonder » la famille Peugeot détentrice de 30% du capital de PSA, au sujet d’une éventuelle arrivée d’un investisseur public algérien dans le tour de table du premier groupe automobile français. La réponse laisse la porte ouverte à un tel scénario. Jean-Louis Guigou répondait à une question d’un journaliste de Maghreb Emergent au sujet de la faisabilité politique vue de Paris d’une participation algérienne au sauvetage de PSA. La capitalisation boursière du second groupe automobile d’Europe par les ventes, a chuté de 70% depuis 2011 atteignant à peine 1,5 milliard d’Euros pour la partie flottante du capital (environ 59%) et poussant le titre à sortir du CAC40 à la fin de ce mois de septembre. Les principaux actionnaires de Peugeot ne se sont pas mis en mode vendeurs, mais tous les analystes s’accordent à dire que l’attente d’un hypothétique rebond du titre en 2013 est illusoire tant la dépression du marché automobile européen va continuer à saper les comptes du groupe. Le plan de suppressions de 8000 emplois en France, annoncé à la mi-juillet, avec fermeture du site emblématique d’Aulnay ne garantit même pas le retour de l’équilibre pour le flux de trésorerie avant la fin de 2014. La perte nette du premier semestre 2012 a été de 819 millions d’euros, soit une marge opérationnelle négative de 3,3%. Si les besoins de recapitalisation de PSA devraient se préciser assez rapidement avant la fin de l’année en cours, l’idée d’une participation algérienne au capital du constructeur français reste encore une idée. Une idée certes soutenue par le FCE - son président Réda Hamiani a parlé de « marque préférée des algériens, avant Renault » - mais ignorée des officiels à Alger toujours pas inscrits dans une stratégie de conquête à l’international.

    Excédents et crise en front renversé

    Le Fonds National d’Investissement, (FNI) véhicule créé pour accompagner les investisseurs étrangers en Algérie dans la construction d’un tour de table conforme au 51%-49% prévu par la loi, n’a pas vocation déclarée de faire des opérations à l’international. Par ailleurs le gouvernement s’est toujours opposé à la constitution d’un Fonds souverain algérien, pour dynamiser le placement des 186 milliards de dollars de réserves de change (juillet 2012). Le thème de la participation de l’Algérie au sauvetage de Peugeot a été introduit dans la discussion FCE-IPEMED par la revendication exprimée par les chefs d’entreprises algériens d’obtenir une plus grande ouverture du marché européen aux produits algériens, mais aussi aux investissements dans le sens sud-nord. Ce dossier a été l’occasion pour Issad Rebrab, PDG de Cevital de renouveler sa critique de l’accord d’association Algérie-UE qui offre le marché algérien aux produits européens contre des « quotas ridicules » en retour. Le président de Cevital a également rappelé que la réglementation de la Banque d’Algérie ne permet toujours pas aux entreprises d’investir à l’étranger. Une situation paradoxale pour le directeur d’une banque étrangère en Algérie : « une législation qui a été élaboré en temps de rareté des capitaux en Algérie en 1990 reste en vigueur aujourd’hui que la crise est en Europe et que l’Etat algérien disposent des capitaux ». L’Algérie veut lancer une industrie automobile pour un marché domestique qui a atteint la taille critique avec plus de 400 000 immatriculations par an. Un consultant a expliqué sur Maghreb Emergent et le Quotidien d’Oran du 17 septembre pourquoi une entrée dans le capital de Peugeot peut être une piste plus profitable que l’accord pour une usine « low coast » avec Renault.

    maghrebemergent.info/

  9. L’Irak change, et la Russie n’est pas loin

    Il n’est guère utile de s’étendre sur le constat ironique que l’Irak, “conquis” par les USA on sait comment, en 2003 puis en 2003-2008, devait être un État-satellite des USA dirigé par une “marionnette” du type dont les USA ont le secret, et absolument acquis aux intérêts américanistes. L’Irak est aujourd’hui un État quasiment hostile aux USA, complètement adversaire des USA dans la crise syrienne, et dont l’interview de Maliki confirme qu’il n’est pas loin de l’être d’une façon générale. L’interview ne laisse aucun doute sur ce fait, qui s’enchaîne quasiment sur le précédent comme une conséquence logique : l’Irak est bien plus proche de la Russie que des USA, et cette interview de RT a pour conséquence, volontaire ou non, de bien le faire comprendre. La crise syrienne, qui a ses caractères propres, sert aussi, dans ce cas des relations entre l’Irak et la Russie, de détonateur et de révélateur de la proximité nouvelle des relations entre les deux pays, qui se forme selon la logique générale en marche dans la région. Dans cette perspective, le jeu de l’Irak serait sans aucun doute de s’appuyer sur une telle proximité pour assurer sa position dans la région, y compris pour équilibrer ses relations avec l’Iran dont l’Irak est aujourd’hui très proche mais dont la puissance naturelle constitue un facteur important qui invite l’Irak à rechercher des assurances.

    Il est acquis que les pays qui sont intervenus contre le marché de F-16 avec l’Irak sont les pays du Golfe dont la politique est basée sur une crainte paranoïaque pour leur sécurité. Ces pays retrouvent vis-à-vis de l’Irak la méfiance active qu’ils entretenaient du temps de Saddam et font pression sur les USA pour contrecarrer son réarmement. Ces pressions ont leurs effets, tant les USA sont contraints d’accorder toute leur attention aux pays du Golfe, et tant eux-mêmes hésitent de plus en plus à réarmer un Irak qui leur échappe. Pour cette raison, des accords d’armement entre la Russie et l’Irak sont une très sérieuse possibilité, et cela concrétiserait un rapprochement entre la Russie et l’Irak, faisant renaître un rapport qui existait entre Saddam et l’URSS du temps de la guerre froide, et peut-être même un rapport encore plus serré à cause de l’absence des pays du bloc BAO dans l’éventail des “amis de l’Irak” puisque ces pays sont complètement phagocytés dans la politique-Système (actuellement dans leur hostilité aveugle à la Syrie d’Assad) que repousse l’Irak. L’Irak se place, notamment avec l’Égypte, dans le flux des pays dont la position et la politique générales dans la région sont en train d’évoluer fondamentalement, pour briser le carcan que les USA, les pays du bloc BAO et les pays du Golfe ont imposé depuis la première guerre du Golfe (1991).

    http://www.dedefensa.org/article-l_irak_change_et_la_russie_n_est_pas_loin_06_10_2012.html

  10. D'emprunteuse à prêteuse : L’Algérie consentira un prêt d’au moins 20 milliards de dollars au FMI

    Le gouvernement algérien devrait consentir un prêt d'au moins 20 milliards de dollars au FMI (Fonds monétaire international) qui en a fait la demande au printemps 2012.  Selon des informations obtenues par DNA auprès de sources diplomatiques, le prêt pourrait être acté lors des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui se tiendront à Tokyo, au Japon, du 8 au 14 octobre.

    Le ministre algérien des Finances, Karim Djoudi, qui participera aux travaux de ces assemblées à compter du 11 octobre, devrait ainsi communiquer, comme il s’y était engagé, aux responsables du Fonds la réponse officielle des autorités algériennes.

    On ignore pour l’heure les modalités et les conditions de ce prêt consenti au FM,  ancien «bailleur » de fonds de l’Algérie lorsque celle-ci s’est retrouvée en cessation de paiement au début des années 1990.

    Ce prêt de 20 milliards – d’autres sources évoquent davantage à savoir 25 milliards – fait suite à une demande du Fonds monétaire international qui a sollicité de nombreux pays pour renforcer ses capacités de réserves.

    Demande faite en avril

    « La demande a été faite par le FMI à l'Algérie en tant que pays doté d'excédents financiers pour accroître les ressources de l'institution de Bretton Woods afin de lui permettre d'accorder des prêts aux pays qui en ont besoin », déclarait lundi 23 avril 2012 le ministre algérien des Finances à l'agence de presse APS.

    Djoudi a précisé que l'Algérie allait « étudier et évaluer les conditions dans lesquelles cette demande sera proposée dans les détails ».

    « Nous avons besoin de savoir si le FMI envisage de réaliser cette opération de renforcement de ses capacités financières à partir de demandes de prêt ou de dépôts rémunérés, ainsi que le rendement qu'il compte proposer », ajoutait le ministre algérien. « C'est à partir de ces conditions que nous donnerons la réponse », précisait-il encore.

    Réponse en octobre

    Dans un rapport publié en avril dernier, le FMI estimait que les réserves de change officielles de l’Algérie seront de 205,2 milliards de dollars à la fin de l’année. On en est pas loin de cette estimation : le 1 octobre dernier, le Premier ministre, Abdelamalek Sellal, confiait que ces réserves sont actuellement de 193,7 milliards de dollars.

    Ironie du sort : au début des 1990, l’Algérie était passée sous les fourches caudines du FMI qu’elle avaient sollicité à deux reprises pour rééchelonner sa dette extérieure laquelle avait franchi la barre de 32 milliards de dollars.

    200,5 milliards de réserves

    Ce passage sous tutelle du Fonds s’est soldée par une politique d’austérité et de rigueur et contraint le gouvernement de l’époque de fermer des centaines d’entreprises publiques et d’envoyer sur le carreau quelques 500 000 travailleurs.

    L’envolée des cours du pétrole a permis à l’Algérie d’engranger au moins 500 milliards de dollars, de financer de gros travaux publics, de rembourser sa dette et de se constituer un bas de laine conséquent.

    http://www.dna-algerie.com/interieure/d-emprunteuse-a-preteuse-l-algerie-consentira-un-pret-d-au-moins-20-milliards-de-dollars-au-fmi-2

  11. Ils n'ont pas BESOIN de tout ces avions !

    Le jour ou il y aura un appel d'ooffre ce sera pour remplacer leur Mig 29 et ce ne sera pas avant 5 ans.

    tu oublies que les Mig 29S etaient censés finir a la casse en 2008 et que des centaines de Mig 21 et de Mig 23 ont été retiré du service aussi . L'AAF est a poil et tout le voisinage de l'Algerie est a feu et sang

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