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olivier lsb

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Tout ce qui a été posté par olivier lsb

  1. Les mesures à prendre, elle sont discutées entre pays membres au sein du conseil européenne. Là, c'était un discours de politique générale, donnant l'orientation et les priorités de la France. On ne peut pas vouloir en même temps espérer jouer le jeu de l'UE, influencer ses décisions, vouloir que nos partenaires nous respectent, et dicter nos termes dans la plus pure tradition jacobine... En Allemagne, et dans tous les pays fédéralistes de l'UE (soit la grande majorité), les bonnes mesures concrètes à prendre sont d'abord celles qui font consensus. Pas celles que le Président d'un conseil ou que le chancelier d'une fédération a décrété dans un discours. Lors de Sorbonne 1, le PR avait déjà évoqué souveraineté et mutualisation partielle des budgets européens. Certes il a fallu une crise comme le covid, mais on a fini par lever 800 milliards d'euros de dette en commun. Ca ne s'était pas exactement passé ainsi lors des précédentes crises.
  2. Le PR a prononcé aujourd'hui un discours "Sorbonne 2" sur l'Europe, 7 ans après le premier discours de la Sorbonne, qui déjà à l'époque, avant le covid et la guerre, appelait l'Europe à se saisir des enjeux de souveraineté (entre autres). Celui prononcé aujourd'hui fut en quelque sorte une confirmation de son premier discours, en plus sombre. Les illusions lui semblent (enfin) tombées, et il y a des raisons à la fois de s'en réjouir et s'en inquiéter. https://www.lemonde.fr/politique/live/2024/04/25/en-direct-discours-d-emmanuel-macron-sur-l-europe-suivez-l-allocution-du-chef-de-l-etat-a-la-sorbonne-a-un-mois-et-demi-des-elections-europeennes_6229789_823448.html Je le soulignais ici début avril, Il y a eu comme une confirmation une fois de plus que la nature a horreur du vide. Face à l'abysse que représente le retrait Américain des affaires sécuritaires Européennes pour beaucoup de nos partenaires, le PR confirme la place à prendre pour les institutions européennes: « La sixième avancée, c’est que nous avons commencé à repenser notre géographie dans les limites de notre voisinage, a dit M. Macron. L’Europe se pense désormais comme un ensemble cohérent après l’agression russe en affirmant que l’Ukraine et la Moldavie font partie de notre famille européenne et ont vocation à rejoindre l’Union le moment venu, comme les Balkans occidentaux. » Mais aussi un avertissement sérieux et inédit, en lien avec la guerre en cours, de la part de celui qui aura le plus défendu la place de l'UE sur la scène politique française. La volonté de s'opposer à la Russie n'est pas qu'une question de moyens militaires, c'est avant tout une question de volonté politique et il en va de la survie de l'Union Européenne: « Les crises que nous avons vécues, nous y avons réagi vite, de manière unie, ce qui nous permet aujourd’hui de nous tenir ensemble et d’être là. Pour autant, est-ce suffisant ? », a demandé M. Macron. « Nous devons être lucides sur le fait que notre Europe aujourd’hui est mortelle. Elle peut mourir et cela dépend uniquement de nos choix. Mais ces choix sont à faire maintenant. C’est aujourd’hui que se joue la question de la paix et de la guerre sur notre continent et de notre capacité à assurer notre sécurité ou pas », a encore affirmé le chef de l’Etat. [...] C’est une « attaque contre les démocraties libérales, contre nos valeurs, je le dis dans ce lieu de savoir, ce qui est le substrat même de la civilisation européenne. Une certaine relation avec la liberté, la justice, le savoir, se joue maintenant ». J'ai beaucoup critiqué le PR, ses déclarations et ses positions, durant ces deux premières années de conflit. Ca m'a valu beaucoup d'accusations de paranoïa, de russophobie ou simplement de misérabilisme. Le Président ce matin: « Nous sommes à un moment bascule », a poursuivi Emmanuel Macron, avant d’avancer un premier constat : « D’abord, nous ne sommes pas armés face au risque qui est le nôtre, malgré tout ce que nous avons fait. » « Nous avons engagé un réveil, estime le président français. La France elle-même a doublé son budget de défense. (…) Mais, à l’échelle du continent, ce réveil est encore lent, trop faible face au réarmement généralisé du monde. » Emmanuel Macron a ensuite affirmé qu’il y avait désormais, aux portes de l’Europe, « des puissances désinhibées, régionales, qui sont en train de montrer aussi leurs capacités. La Russie et l’Iran, pour n’en citer que deux. » « L’Europe est dans une situation d’encerclement, poussée par nombre de ces puissances à ses frontières et parfois en son sein », met en garde le président français. « Il nous faut, en quelque sorte, sortir d’une forme d’état de minorité stratégique. Le principal danger pour la sécurité européenne est évidemment aujourd’hui la guerre en Ukraine » Bon c'est un peu hors sujet ici, mais comme il y a quelques grands inquisiteurs de ce que font les Américains d'une manière générale, l'attention spéciale du PR à leur sujet (et qu'on ne boude pas): Evoquant les tensions entre Washington et Pékin, M. Macron a estimé que « les Etats-Unis d’Amérique [avaient] deux priorités : les Etats-Unis d’Amérique d’abord, et c’est légitime, et la question chinoise. La question européenne n’est pas une priorité géopolitique [...] les autres ne vont pas au même rythme et nous voulons un commerce qui nous profite », a-t-il dit, face à la concurrence de la Chine ou des Etats-Unis. A leur sujet, il a ajouté : « Les deux premières puissances internationales ont décidé de ne plus respecter les règles du commerce. Je le dis dans des termes très simples, mais c’est ça la réalité. » Et le spécial Allemagne, pour se rappeler au bon souvenir du Wandel Durch Handel et accélérer le Zeitwende
  3. Je ne suis pas sûr de comprendre le rapport. What about Biden mal élu ?
  4. Je ne voulais absolument pas vous manquer de respect très cher, en sous-entendant que l'inertiel pouvait sauver la mise de votre Signal tout puissant d'un brouillage maléfique.
  5. A 493 voix pour sur 720 sièges, le parlement Européen a refusé de reconnaître la légitimité de l'élection de Poutine. https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20240419IPR20543/meps-condemn-russian-election-as-farcical-performance
  6. Il l'a proposé oui. La balle est dans le camp de la DGA et du ministère. A environ 170kEUR le kit AASM (sans la Mk82), c'est moins cher qu'un MMP...
  7. Lui, c'est Potanine. Il est vraiment pas content car il a déclaré devoir délocaliser une partie de son groupe en Chine, en raison des sanctions occidentales. Mais le Président Poutine n'a-t-il pas dit qu'il y a avec la Chine une "amitié sans limite" ? https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/25/vladimir-potanine-le-roi-du-nickel-russe-annonce-la-delocalisation-de-son-groupe-minier-en-chine_6229836_3210.html
  8. Ca souligne en creux la pertinence de nos choix sur l'AASM, d'inclure un guidage INS quelque soit la version. Ca coute cher à la conception et un peu plus à la production, mais ça marche sur le terrain.
  9. Sur le barrage, d'autres en parlent bien mieux que moi. En deux phrases: c'est un barrage "bunker" qui tient par son propre poids et non la répartition d'efforts structuraux. Il a été détruit de l'intérieur car c'était quasiment impossible de l'extérieur par le tir de munitions de précision (le plan vous donnera une idée de l'épaisseur du bouzin). Quant à Gomart, il a quitté le C2FR après Boutcha, toute position pro-russe à l'époque était intenable devant l'évidence des crimes commis. On rappellera juste que le C2FR est notoirement connu pour ses positions depuis bien avant le début du conflit. Gomart a opéré un retrait tactique qui ne vaut pas désaveu. Il a poursuivi ensuite avec Alain Juillet sur sa chaine youtube (ici ça date d'il y a 4 mois à peine). Tout tourne autour de "L'Ukraine se bat bien, c'est remarquable, mais bon, les jeux sont faits d'avance: réservoir démographique, impatience aux US, bien joué les Ukrainiens mais il faut en arrêter là, signez ici". Avec un coté beau joueur qui ne délégitime plus Kiev d'un point de vue politique, pour mieux l'enfoncer dans ses positions actuelles et défendre ce qui compte réellement pour la propagande Russe: forcer la frontière, acter le changement de propriétaire. Peu importe la ligne de démarcation, il faut forcer le principe et faire jurisprudence, on pourra toujours s'y reprendre plus tard pour finir le boulot.
  10. Kakovkha n'est pas un mystère : le poste de commande et les accès sont à l'est (du point de vue de l'URSS, la menace venant de l'ouest) et le barrage était sous contrôle russe au moment de sa destruction. D'accord sur le reste.
  11. Touché coulé, je me suis fait avoir ! Oui c'est un bien triste et grave problème. Passe encore qu'un obscur colonel ou un vieux général à la retraite soit recruté, mais quand le doute est permis à ce niveau là, c'est moche et ça en dit long sur notre sujétion. Et pas qu'aux intérêts américains.
  12. Je veux dire par là qu'il ne faut pas se satisfaire d'une telle situation, surtout quand lesdites étoiles de général sont mis au service d'un programme politique pour lui asseoir une légitimité, voir plus. Après il y a militaire et officiers supérieurs (oui j'assume la distinction de classe). Gomart n'était pas juste général, il faisait partie d'un des personnages les mieux renseignés de la république, a présidé une agence de renseignement sensible au moment de l'annexion de la Crimée et de la première guerre du donbass. Donc il a contribué à forger les opinions des décideurs, notemment en disant ne pas croire que la Russie était derrière les petits hommes vert du donbass ou de la Crimée. Quand on est à la tête du renseignement militaire, c'est plus qu'embarrassant ce genre de déclarations : vos décideurs politiques sont intoxiqués, vos alliés ne vous font plus confiance, vos concitoyens sont endormis, les services et l'action de l'état paralysés... Et quand la grosse guerre arrive, ça prend à votre président deux ans de plus que les américains pour ouvrir les yeux. Le directeur du renseignement militaire a pleinement sa part de responsabilité dans cette situation. Article L4111-1 du code de la défense [...] L'état militaire exige en toute circonstance esprit de sacrifice, pouvant aller jusqu'au sacrifice suprême, discipline, disponibilité, loyalisme et neutralité. Les devoirs qu'il comporte et les sujétions qu'il implique méritent le respect des citoyens et la considération de la Nation. [...] . Il offre à ceux qui quittent l'état militaire les moyens d'un retour à une activité professionnelle dans la vie civile et assure aux retraités militaires le maintien d'un lien avec l'institution. La condition militaire recouvre l'ensemble des obligations et des sujétions propres à l'état militaire, ainsi que les garanties et les compensations apportées par la Nation aux militaires. Elle inclut les aspects statutaires, économiques, sociaux et culturels susceptibles d'avoir une influence sur l'attractivité de la profession et des parcours professionnels, le moral et les conditions de vie des militaires et de leurs ayants droit, la situation et l'environnement professionnels des militaires, le soutien aux malades, aux blessés et aux familles, les conditions de départ des forces armées et formations rattachées ainsi que les conditions d'emploi après l'exercice du métier militaire.
  13. Facilité de mise en œuvre : les plates-formes au sol sont plus nombreuses et plus simples à mettre en œuvre que les Su-24M. Quand une fenêtre de tir est détectée, ça permet de massifier la salve beaucoup plus que s'il fallait la traiter au SCALP. Enfin, est-ce-que la trajectoire balistique permet de réduire le risque du interception par rapport au profil de croisière du scalp ? C'est une question ouverte.
  14. Je rejoins G4lly, ces armes sont très intéressantes mais ne changeront pas grand chose au sol, pour enrayer les progressions tactiques des russes. C'est plus vers l'artillerie, l'équipement de génie (mines mines mines), les drones et le blindage d'infanterie (APC/IFV) qu'il faut regarder. Sans compter la disponibilité des hommes et leur formation. Indirectement, en supprimant des actifs stratégiques, les ATACMS longue portée permettent de réduire les options des russes (pas d'hélicoptère, pas de DSA de théâtre avant 300km, dépôts d'armes et munitions à reculer, centre de commandement supprimés etc...). A terme, ça se traduit par une attrition au sol plus forte car tu dois amener ton infanterie depuis l'arrière vers le front, dans une progression qui se fera de plus en plus à découvert par la pertes de tes infrastructures critiques. Mais dans l'immédiat, ça ne résoudra pas la percée en cours à l'ouest d'Avdiivka.
  15. Gomart encore, dont les interventions laissent de moins en moins de doute sur sa duplicité. Il n'y a pas à dire, le SVR a bien bossé et ça interroge sur la sécurité interne chez nous. Ce compte Twitter s'est amusé à déterrer les vieux dossiers. On est au mieux sur un aveuglement irresponsable. Le général ayant par ailleurs des fréquentations douteuses, pour lesquelles il est impossible en tant qu'ancien du renseignement, accrédité au plus haut niveau, qu'il puisse ignorer l'appartenance de Dénécée ou de Juillet à des réseaux d'influence pro russes.
  16. Les pilotes de F-16 formés au sein de l'UE ne seront pas opérationnels avant fin 2024, voir 2025. Ils sont plus jeunes et plus inexpérimentés que ceux en cours de formation aux US, qui sont à un stade plus avancé. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/24/les-pilotes-ukrainiens-de-f-16-formes-par-les-europeens-ne-seront-pas-prets-avant-fin-2024_6229704_3210.html
  17. Il y a 20 ans, le traité entre la fédération de Russie et l'Ukraine sur la coopération dans l'utilisation de la mer d'Azov et du détroit de Kertch était signé par Poutine. Et ça ne posait pas de problème.
  18. Tu le vois Scholz et sa raison secrète pour ne pas livrer les Taurus, se dire qu'au fond, avec 500km de portée et une précision décamétrique, c'est "Nein - das ist gross coalition politik verboten" Les US n'avaient pas encore livré un machin qui fait missile (croisière, balistique, OSEF), avec une portée pour l'intégralité du territoire occupé. Maintenant que c'est le cas, que l'arme stratégique est livrée, il y a un désalignement politique US / Allemagne. Que techniquement parlant, il y ait 200 km de différence (non exploitable de toute façon, l'intégralité des munitions occidentales étant prohibées à l'usage sur le territoire russe), un largage par avion plutôt qu'en cariole, une précision décamétrique contre métrique ou bien encore une clanche supplémentaire et un joint en silicone plutôt qu'en caoutchouc, je ne crois pas qu'il y a là suffisamment matière à fonder un refus politique pour livrer. Les raisons sont ailleurs à mon avis sur ce sujet. Vengeance pour NS2 ?
  19. Justement, les positions viennent d'évoluer avec la décision des US de livrer des ATACMS de longue portée. Je ne crois pas que Scholz ait une seule fois désigné nommément le JASSM, ce qui serait au demeurant ridicule d'invoquer une fiche technique spécifique pour justifier un blocage politique. Les US ont donc consenti à livrer des armements longue portée, quid de l'Allemagne maintenant ? Logiquement, la politique d'alignement sur les US de Scholz devrait le pousser à livrer des Taurus. Or il ne veut pas le faire, et créé une divergence nouvelle avec les US. Alors qu'on expliquait hier qu'il tenait à tout prix à rester aligné sur les US. Moi pas comprendre, mais je note que @Manuel77 a aussi de plus en plus de mal à expliquer les pérégrinations de la coalition. Sois en remercié pour tes efforts réguliers.
  20. J'ai du mal à comprendre comment et pourquoi un tel débat peut surgir ou ressurgir en Allemagne, seulement pour qu'à la fin, la coalition finisse par voter contre son propre avis et uniquement par solidarité de groupe avec la position du gouvernement. A quoi bon faire semblant de discuter ? Scholz a de nouveau refusé. L'élément nouveau, c'est que ça marque une différence nette avec la position des US. A la question du pourquoi, je ne suis toujours pas convaincu par les arguments officiels.
  21. C'est gentil de confirmer ce qu'on sous-entend depuis le départ: les minorités magyar sont bien traitées en Ukraine. "La communauté hongroise d’Ukraine vit entre les deux puissances en tentant de se faire la plus discrète possible. Si la population est évidemment proche du pays voisin et apprécie le soutien de Budapest, elle ne souscrit pas à la rhétorique de Viktor Orban contre l’entrée de l’Ukraine au sein de l’Union européenne. A la veille du sommet européen des 14 et 15 décembre 2023, « presque toutes les organisations de représentants de la communauté hongroise d’Ukraine avaient envoyé une lettre à Viktor Orban pour lui demander de ne pas bloquer l’ouverture des négociations d’adhésion », rappelle ainsi Dmytro Toujanski, directeur de l’Institut d’Europe centrale de stratégie, un centre de réflexion basé dans la région. « Ça a été une franche surprise pour Budapest », assure le politologue." Alors évidemment, tout n'est pas encore rose et il reste des sujets de frictions avec cette communauté. Un combat féroce a lieu au sujet de la traduction en Hongrois et en Ukrainien du papier à en-tête du conseil municipal de Berehove... Une vraie boucherie. "Si la directrice de l’école Lajos Kossuth de Berehove affirme ne pas voir « de problèmes pour les Hongrois en Ukraine », le maire de la ville, Zoltan Babiak, se fait plus critique. L’édile, massif et visiblement très agacé par les questions touchant à la loi sur les minorités, concède une situation « bien meilleure qu’avant » pour les droits de sa communauté. Mais pas encore idéale. Pour exemple, Zoltan Babiak rappelle que le papier à en-tête du conseil municipal de Berehove était rédigé en deux langues, « en lettres ukrainiennes et hongroises », quelques années plus tôt. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Si l’homme espère que l’Ukraine finira par rejoindre l’Union européenne, il conditionne cette entrée à la résolution des droits des Hongrois." La minorité Magyar ferme de toute façon sa gueule et tire le meilleur parti de la situation: l'argent d'Orban, le cœur en Ukraine. Tu parles d'une oppression. "La minorité paie le prix de la politique hostile de Budapest à l’égard de Kiev, et souffre d’une mauvaise réputation dans le pays. « La position hongroise, prorusse et anti-ukrainienne, depuis le début de l’invasion, a créé une grande forme de frustration chez les Hongrois de la région », assure Dmytro Toujanski. D’autant plus, ajoute le politologue, que beaucoup d’habitants se seraient portés volontaires pour soutenir l’effort de guerre. Selon des médias ukrainiens, quelques centaines d’hommes originaires de la communauté hongroise combattraient aussi au sein de l’armée ukrainienne. Si les habitants taisent leurs critiques à l’égard de Viktor Orban, c’est aussi parce que la région reçoit une aide importante de Budapest, permettant de rénover des musées, des infrastructures et des écoles." https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/05/la-minorite-hongroise-d-ukraine-coincee-entre-la-volonte-de-defendre-son-identite-et-la-crainte-des-positions-d-orban_6214806_3210.html Mais tu parlais de la minorité Russophone d'Ukraine ? Quelle minorité Russophone ? 100% des Ukrainiens parlent le russe.
  22. A chacun son truc ! Certains font des battles de rap sur TikTok ou Youtube, qui se mesurent en débit de mots par minute. Ici sur Air Défense, on joue presque au même jeu avec les ethnies de Russie, les milices Irakiennes, ou la liste des bugs non corrigés du F-35.
  23. Ils sont clairement prioritaires avant tous les autres, y compris et surtout les Tchouvaches de Tchouvachie, les Mordves de Mordovie, les Yakoutes de.... Sakha (bon on peut dire aussi Yakoutie). Alors hein, qu'est-ce qu'ils nous font chier les Magyar de Transcarpathie à vouloir passer avant tous les autres. L'impérialisme Hongrois, c'est quand même quelque chose !
  24. Et n'oublions pas les Bouriates de Bouriatie, les Ingouches d'Ingouchie, les Bachkirs de Bachkirie, les Avars de l'Avarice du Daghestan
  25. Décidément, les Magyars de Transcarpathie foutent un sacré bordel dans les divers plans de soutien à l'Ukraine, depuis le bureau de Marjorie Taylor Greene à celui d'Orban. Ils doivent s'en trouver honorés !
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