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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. Si l'UE se transformait en démocratie radicale, où l'on supprimerait les parlements nationaux et les présidents et premiers ministres nationaux : plus de Macron, plus d'Orban, plus de Scholz etc... Tout est décidé à Bruxelles par Von der Leyen et le parlement européen. Si d'aventure les Hongrois s'avisaient de vouloir créer une "République hongroise libre danubienne" on leur opposerait la même chose que ce que les juges Espagnols opposent aux indépendantistes Catalans : on les traiterait de séditieux et on les ficherait en prison.
  2. Si l'UE était une démocratie, la Hongrie n'existerait plus en tant que nation, et les Hongrois n'auraient pas plus le luxe de décréter un "état hongrois libre de Danubie" que les Juifs des années 1930 de proclamer un état juif libre de Bavière.
  3. La démocratie, c'est aussi la défense des minorités. Si une majorité de 26 peut imposer au 27e quelque chose qui est contraire à son intérêt vital, c'est une dictature de la majorité, ou dans le langage des Federalist Papers, du factionalisme. Ou c'est l'argument d'Hannah Arendt : une majorité qualifiée d'Allemands, sous Hitler, voulait exterminer les Juifs. Donc il faut pouvoir bloquer ce type de majorité qui s'en prend à une minorité.
  4. https://responsiblestatecraft.org/us-troops-iraq-syria-jordan/ (29 janvier 2024) Ramenez les troupes américaines d'Irak et de Syrie maintenant ! Depuis le début de l'assaut israélien, les installations militaires américaines en Irak ont été attaquées plus de 60 fois et celles en Syrie plus de 90 fois. Ces attaques soulignent à quel point ces déploiements résiduels des États-Unis ont entraîné des coûts et des risques disproportionnés par rapport aux avantages qu'ils peuvent apporter. Quelle que soit la mission initiale de la présence des troupes américaines, elle est reléguée au second plan, la protection de la présence des troupes devenant la principale préoccupation. Les représailles comportent également le risque d'une escalade vers un conflit plus important.
  5. - https://www.france24.com/en/live-news/20231128-doctors-warn-of-new-zealand-health-tragedy-after-smoking-ban-scrapped Mais les experts en santé publique craignent aujourd'hui que cette réputation soit en lambeaux, après que le nouveau premier ministre Christopher Luxon a profité de son premier jour de fonction pour mettre ces lois au rebut. Richard Edwards, spécialiste de la lutte antitabac à l'université d'Otago, a déclaré à l'AFP qu'une "tragédie" de santé publique était en train de se dérouler dans le pays, qui envisageait autrefois de devenir presque entièrement non-fumeur d'ici à 2025. "Ce n'est pas quelque chose que nous avions prévu, nous ne pensions pas qu'un gouvernement pouvait être aussi rétrograde", a-t-il déclaré. "J'ai été absolument choqué et consterné. C'est l'un des pires jours dont je me souvienne pour la santé publique. C'est du vandalisme en matière de santé publique". La Nouvelle-Zélande compte un nombre relativement faible de fumeurs adultes, mais les maladies liées au tabac ont fait payer un tribut particulièrement lourd à la population indigène maorie du pays. Selon l'association Smokefree Aotearoa, les femmes maories présentent des taux de cancer du poumon parmi les plus élevés au monde. Certains ont suggéré que le gouvernement voulait renflouer ses caisses avec les recettes fiscales promises par les ventes de cigarettes. Pour sa part, Luxon a déclaré qu'une interdiction des cigarettes aurait créé un marché noir florissant et non taxé.
  6. Le canal de Suez a été fermé en 1956-1957 puis de 1967 à 1975 et on n'en a pas fait tout un fromage : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fermeture_du_canal_de_Suez_(1967-1975)
  7. https://www.msn.com/en-us/news/world/is-congress-really-going-to-abandon-ukraine-now/ar-BB1hlmOz (27 janvier 2024) Anne Applebaum, qu'on ne saurait soupçonner de sympathie prorusse : Depuis quelques mois, les observateurs occidentaux parlent d'impasse, comme si l'invasion russe de l'Ukraine s'était installée dans une sorte de stase morne et permanente. En réalité, le champ de bataille est dynamique. La ligne de front évolue constamment et les changements, tant matériels que psychologiques, commencent à favoriser la Russie. Les Ukrainiens sont tout aussi courageux qu'il y a un an et tout aussi innovants. Leurs drones ont récemment touché un dépôt de gaz russe près de Saint-Pétersbourg, à des centaines de kilomètres de l'Ukraine, entre autres cibles. Dépourvus de marine, ils ont repoussé une grande partie de la flotte russe de la mer Noire loin de leurs côtes. Mais sur le terrain, dans les parties méridionale et orientale de leur pays, ils rationnent les munitions. Ils n'ont jamais eu suffisamment de missiles et de balles, et ils risquent maintenant de ne plus en avoir assez pour continuer à se battre. ni pro-française ou pro-allemande : Si leur ligne de front devait reculer de façon spectaculaire, l'horrible violence qui en résulterait déclencherait à elle seule une onde de choc dans le reste de l'Europe. [...] Mais une onde de choc encore plus profonde et plus large serait déclenchée par la prise de conscience croissante que les États-Unis ne sont pas seulement un allié peu fiable, mais un allié peu sérieux. Un allié stupide. [1] Contrairement à l'Union européenne, qui dépense collectivement plus d'argent pour l'Ukraine que les Américains mais ne peut pas encore produire autant d'armes, les États-Unis ont encore des munitions et des armes à envoyer. Aujourd'hui, Washington est sur le point de refuser de le faire, mais ce n'est pas parce que la Maison Blanche a changé d'avis. Aujourd'hui, pour des raisons qu'il est impossible de comprendre de l'extérieur, une minorité de membres républicains du Congrès, dans un accès de colère politique, s'apprête à tout arrêter. Ils pourraient y parvenir. [1] Le terme "d'allié" est peut-être à qualifier. L'Ukraine n'est à l'heure actuelle ni membre de l'OTAN, ni désignée officiellement comme "Major non-NATO ally" [ https://en.wikipedia.org/wiki/Major_non-NATO_ally ] C'est donc un allié des États-Unis, mais de 3e zone, quand même.
  8. Ils sont en "opération militaire spéciale", peut-être ?
  9. Oui, mais peut-être que dans 5 ans, dans 10 ans, un dirigeant malien voudra repartir sur une base de bonne volonté. Et à ce moment là, il faudra régler les factures impayées s'il y en a.
  10. Dans le pire des cas, on peut imaginer une situation où de nouveaux dirigeants sont à la tête des pays et veulent se réconcilier avec la CEDEAO ou les pays qui s'estiment lésés par une sortie si cavalière. Dans ce cas les deux parties en conflit peuvent volontairement soumettre l'affaire à la CIJ. Une seule partie peut également demander un avis consultatif à la CIJ (comme Maurice à propos des Chagos). Il faudrait voir s'il n'y a pas inscrit noir sur blanc dans le traité de la CEDEAO si une juridiction est prévue en cas de litige et si c'est la CIJ, ou si les couples de pays n'ont pas quelque part un traité d'amitié bilatéral qui rend la CIJ compétente (cas du traité d'amitié USA-Nicaragua).
  11. La Cour Internationale de Justice de La Haye. Mais peut-être que les dirigeants des pays préféreront résoudre le litige à l'amiable.
  12. Oui mais à ce moment là, ce n'est même pas la peine d'annoncer quoi que ce soit. Tu agis au mépris et en violation des obligations du traité de la CEDEAO. Les gens s'apercevront à ce moment là que tu en as fait un chiffon de papier. Pourquoi annoncer à l'avance ? Si ce n'est pour agiter une menace qui a toutes les chances de ne pas être mise à exécution, car tu sais très bien que tu t'exposes à des rétorsions (et à payer des dommages et intérêts, le jour où un juge sera en situation de juger l'affaire).
  13. Je situe le pic en mars 2014, parce que perdre deux provinces, la Crimée et une bonne partie du Donbass, c'est pas flamboyant comme manifestation de souveraineté.
  14. Attention de ne pas tomber dans le piège. Cet "effet immédiat" est juridiquement nul, je cite RFI : Il faut quand même rappeler que le Niger, le Burkina et le Mali sont toujours membres de la Cédéao parce que les textes sont clairs : il y a un délai de retrait.
  15. D'ailleurs, pour être juste, je pense aussi que la souveraineté russe est en déclin, depuis 2022 : elle se met sur une trajectoire de vassalisation par rapport à la Chine. Je ne suis pas tellement la région, mais cela ne m'étonnerait pas que Moscou ait perdu de l'influence en Asie centrale post-soviétique au profit de Pékin. Et la Russie cesse de faire la pluie et le beau temps au Caucase, comme le prouve la prise du Karabakh par l'Azerbaïdjan (chose qui réjouit un commentateur "pro-Ukraine" avec tous les guillemets nécessaires comme Taras Kuzio : https://www.eurasiareview.com/29092023-russias-loss-and-azerbaijans-victory-is-in-the-wests-interest-oped/ ).
  16. Souvent, les pays pays s'affirment face au monde en organisant des Jeux Olympiques. Jeux Olympiques de Tokyo en 1964 où le Japon montre qu'il a remonté la pente et bien plus, et tourné la page de la seconde guerre mondiale. Jeux Olympiques de Séoul de 1988, où la Corée montre qu'elle est un "dragon" qui appartient pleinement au monde riche et développé, avec un début de démocratisation prometteur. Jeux Olympiques de Pékin de 2008, représentaient le couronnement de la nouvelle trajectoire capitaliste du pays initiée par Deng Xiao Ping et son ouverture au monde par l'entrée dans l'OMC (en 2001), devenant une puissance industrielle et commerciale incontournables. Eh bien pour l'Ukraine ça n'a pas été des jeux olympiques - et je souhaite qu'il y ait un jour des jeux olympiques de Kiev - ça a été l'organisation de l'euro 2012 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Championnat_d'Europe_de_football_2012 L'Ukraine atteint le sommet de son rayonnement face au monde, durant la présidence Yanoukovitch, après avoir été sélectionnée par l'UEFA en 2007, sous Youchtchenko. CQFD.
  17. https://blog.juspoliticum.com/2023/12/18/le-financement-des-fondations-politiques-en-allemagnes-au-regard-du-droit-constitutionnel-le-defi-consistant-a-concilier-la-libre-concurrence-des-partis-avec-la-protection-de-lordre-constit/ Outre les partis et leurs organisations satellites, les fondations politiques jouent un rôle primordial pour promouvoir l’éducation politique et démocratique en Allemagne. Au vu des conséquences possibles des subventions accordées à ces organisations sur l’égalité des chances entre les partis, la Cour constitutionnelle fédérale a exigé, dans un important arrêt de février 2023, une loi spécifique les réglementant. Le législateur a répondu à cette exigence dès la fin de l’année budgétaire. Son objectif principal est d’assurer que les organisations rejetant l’ordre constitutionnel soient privées de ces fonds importants. En Allemagne, les fondations politiques sont affiliées aux partis politiques représentés aux parlements. C’est le cas, au niveau fédéral, des fondations Konrad-Adenauer (proche de la CDU), Friedrich-Ebert (proche de la SPD), Heinrich-Böll (proche de Bündnis 90/Die Grünen), Friedrich-Naumann für die Freiheit (proche du FDP), Rosa-Luxemburg (proche de Die Linke), ou encore de la fondation Hanns-Seidel (proche de la CSU). Si les questions de droit constitutionnel liées au financement des fondations ont ainsi déjà été abordées par le passé, elles font l’objet d’une nouvelle attention depuis la reconnaissance, en 2018, par le parti Alternative pour l’Allemagne (AfD) (tenant de la droite radicale en Allemagne), de sa proximité avec la fondation Desiderius-Erasmus (Desiderius-Erasmus-Stiftung – désormais DES). Jusqu’alors, la pratique de financement prévoyait qu’une fondation proche d’un parti était subventionnée si le parti proche d’elle était représenté deux fois de suite par un groupe parlementaire au Bundestag. À l’inverse, même après deux succès consécutifs de l’AfD, la fondation a été privée des subventions sur le fondement d’une simple note budgétaire qui précisait que l’adhésion et l’engagement en faveur de l’ordre fondamental libéral et démocratique constituaient une condition nécessaire à l’obtention d’un financement. Reste à voir si la DES, proche de l’AfD, recevra des fonds du budget fédéral à partir de la prochaine période de législature.
  18. Ce sont d'autres questions que je ne pense pas avoir abordées ce soir. Je me borne à proposer que la souveraineté est une qualité dont la dose est variable. Je pense que la souveraineté de l'Ukraine a atteint son niveau maximal durant les présidences Youchtchenko et Yanoukovitch, et que depuis elle décroit. Oui c'est la faute de la Russie, puisque dans un monde idéal où la Russie n'existerait pas, où il y aurait une mer entre la Pologne et la Chine, le problème ne se poserait pas. Mais les pays qui ont soutenu l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN (le Royaume-Uni, la Pologne, etc... et les Etats-Unis bien sûr, mais pas la France ni l'Allemagne : souvenons nous du sommet de Bucarest de 2008) n'ont pas aidé l'Ukraine à être plus souveraine.
  19. Sergueï Choïgou, le ministre de la défense, est un citoyen de la République de Touva.
  20. Les pays souverains, en fait ça n'existe pas. L'idée de 193 États souverains à l'ONU ayant tous les mêmes droits, la même dose de souveraineté, c'est au mieux un idéal vers lequel on veut tendre, et cela devient un mythe si l'on croit ou fait croire que c'est déjà arrivé. En Europe il y a en fait 2 États souverains, la France et la Russie, et le reste est sous parapluie nucléaire américain, donc inféodé à l'Amérique suivant un rapport de force qui n'est pas le même suivant qu'on est un pays riche comme l'Allemagne ou la Norvège, ou un pays pauvre comme la Hongrie ou la Roumanie. Et pour parler de "nier sans vergogne", toi tu nies sans vergogne que la Russie reconnaît une identité et un sentiment national propre à ses Républiques autonomes (la Kalmoukie et tutti quanti...), donc même une Russie qui aurait complètement annexé l'Ukraine, lui reconnaîtrait son sentiment national, comme naguère le faisait l'URSS.
  21. Qu'appelle-t-on au juste être pro-ukrainien ? Est-ce vouloir que ce pays s'épuise dans une guerre d'attrition et une émigration qui vide le pays de sa population et qui va propulser le PIB vers des abîmes ? Est-ce "se battre jusqu'au dernier ukrainien" ?
  22. https://newrepublic.com/article/178484/senate-republicans-ukraine-collision-course (26 janvier 2024) Le sénateur de l'Ohio J.D. Vance, autrefois un modéré anti-Trump [...] s'est réincarné lors de la campagne de 2022 en un fléau ultra-MAGA pour les libéraux, les professeurs d'université et les établissements d'enseignement d'élite (il est diplômé en droit de Yale). "Même si vous soutenez le financement de l'Ukraine à des fins de défense nationale, ce qui n'est évidemment pas mon cas, je pense que cela suggère qu'elle devient effectivement un client de l'aide sociale si nous finançons ses retraités", a déclaré M. Vance, qui est considéré comme un choix possible de M. Trump pour la vice-présidence. En décembre, la ministre ukrainienne de la politique sociale, Oksana Zholnovych, a déclaré que 500 000 fonctionnaires, 1,4 million d'enseignants et 10 millions de retraités pourraient subir des retards de paiement si l'aide humanitaire étrangère n'était pas approuvée rapidement. "Nous sommes dans un dilemme", aurait déclaré M. McConnell à la conférence du GOP du Sénat lors de la réunion, car M. Trump s'oppose à tout effort bipartisan sur la politique d'immigration au sein du Congrès, préférant utiliser les migrants comme un sujet de campagne. Le sénateur Josh Hawley, républicain du Missouri et allié de Trump, a déclaré qu'il s'opposerait probablement à l'aide à l'Ukraine, exprimant des doutes sur le fait que le Pentagone puisse comptabiliser les dépenses militaires proposées par Biden, tout en citant un rapport du GAO du mois dernier qui a constaté que le département de la Défense ne peut pas assurer la traçabilité de 63 % de ses 4 000 milliards de dollars de dépenses en 2023. "Nous devons demander à nos alliés européens de l'OTAN de prendre la tête de la défense de l'Europe", a déclaré M. Hawley, critiquant l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord depuis plus d'une décennie, lorsque le président Barack Obama s'est plaint de l'inégalité du "partage du fardeau" entre les nations alliées. Dan Sullivan, un républicain de l'Alaska, [...] a déclaré à The New Republic qu'il soutenait l'envoi d'une aide militaire à l'Ukraine, "mais un soutien budgétaire, voire une aide économique [...] cela peut venir des pays européens riches". Le sénateur Rand Paul n'est pas d'accord. "Je refuse d'envoyer plus d'argent à l'Ukraine", a déclaré mercredi le républicain du Kentucky. "Je trouve insultant que nous payions pour leurs retraités et leurs fonctionnaires. Nous payons pour les prêts et les subventions accordés aux petites entreprises en Ukraine. Je trouve cela insensé. Nous devons en fait emprunter l'argent pour le leur envoyer", a-t-il ajouté. M. Paul, comme M. Scott et la plupart de leurs collègues du GOP, a voté en faveur des réductions d'impôts accordées par M. Trump en 2017 aux Américains fortunés, qui ont creusé le déficit fédéral de plusieurs milliards. Le sénateur Ron Johnson, un républicain du Wisconsin et allié de Trump, a jeté un nouveau bâton dans la roue de l'effort de financement de l'Ukraine jeudi en exigeant que le paquet soit financé par des coupes dans les initiatives de M. Biden en matière d'énergie verte. Pendant ce temps, les sénateurs républicains qui soutiennent le financement intégral de la demande de M. Biden concernant l'Ukraine voient leur voix de plus en plus noyée dans ce qui a été en grande partie un débat à huis clos sur l'aide à l'étranger. "Il ne faut pas que les gens meurent de faim, sinon ils ne pourront pas poursuivre leurs activités", a déclaré mercredi matin le sénateur Mitt Romney, républicain de l'Utah et ancien candidat républicain à l'élection présidentielle, interrogé sur le financement du filet de sécurité sociale ukrainien. De l'autre côté de l'allée politique, les démocrates du Sénat se sont rangés derrière le chef de la majorité, Chuck Schumer, pour soutenir le financement intégral de l'Ukraine. On ne peut pas faire la guerre si l'on ne peut pas nourrir les familles des soldats et éduquer leurs enfants à la maison", a déclaré Chris Murphy, du Connecticut, avant d'ajouter : "Il est donc impossible de soutenir l'Ukraine sans aider l'économie du pays et l'infrastructure des services sociaux à rester à flot". https://thehill.com/homenews/senate/4429211-romney-trump-border-bill-biden/ (25 janvier 2024) "Je pense que la frontière est une question très importante pour Donald Trump", a déclaré M. Romney. "Et le fait qu'il communique aux sénateurs républicains et aux membres du Congrès qu'il ne veut pas que nous résolvions le problème de la frontière parce qu'il veut en rejeter la responsabilité sur M. Biden est vraiment consternant." Mais la réalité est que nous avons une crise à la frontière, que le peuple américain souffre de ce qui se passe à la frontière, et que quelqu'un qui se présente à la présidence devrait essayer de résoudre le problème au lieu de dire : "Hé, sauvez ce problème. Ne le résolvez pas. Laissez-moi m'attribuer le mérite de le résoudre plus tard"", a poursuivi M. Romney. Une source a déclaré mercredi à The Hill que les républicains du Sénat qui soutiennent le projet de loi pensent que les concessions obtenues des démocrates seraient des "victoires énormes", mais qu'il devient clair que Trump s'oppose au paquet, ce qui pourrait empêcher son adoption à la Chambre des représentants contrôlée par le GOP. La source sénatoriale au fait des discussions internes au sein du GOP a déclaré à The Hill mercredi : "Les gens de Trump veulent tuer le projet et faire campagne sur la question".
  23. https://blog.juspoliticum.com/2024/01/02/un-regard-critique-sur-le-projet-de-revision-constitutionnelle-en-vue-dinstituer-un-premierat-en-italie-par-anna-maria-lecis-cocco-ortu/ (2 janvier 2024) Un regard critique sur le projet de révision constitutionnelle La présentation du projet de loi constitutionnelle portant sur l’introduction de l’élection directe du Président du conseil vient d’ouvrir en Italie le chantier de la réforme du régime politique. Présentée comme la recette pour assurer la stabilité et l’efficacité gouvernementales et pour réconcilier les électeurs avec leurs gouvernants, cette réforme apparait pourtant problématique et dangereuse.
  24. Voir (entre autres) : http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/page/879/#comment-1693120 http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/page/879/#comment-1693130 http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/page/880/#comment-1693866
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