Michael Guay
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Messages posté(e)s par Michael Guay
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Je n’ai pas le souvenir que les USA est fait de l'ingérence dans nos politiques internes ,mais j'ai l'impression que les Français en généralement ont de la difficulté à l'assimiler
En effet, dans l'histoire contemporaine du Canada, les USA ont toujours tenu une certaine réserve, surtout, sur le dossier Québécois. Il y avait une raison fort simple, du point de vue US, les canadiens sont tellement... (Tiré de: Dans l’œil de l'aigle, livre de Jean-François Lisé actuel ministre Québécois des affaires intergouvernemental). À titre d'exemple, dans les années 60, les US ont tenté de forcé la main des canadiens sur le dossier des bowmark et ce fut l’hystérie des politiciens canadien... Ils ont aussi comprit qu'en allongeant les billets, ils se mettaient tous en ligne pour recevoir leurs part...
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Voici une question importante. Je dirait que l'anti-américanisme est plus présent chez les francophones que les anglophones. Je dirait que c'est une question de culture. Il se peut que je sois biaisé dans mon avis et j'aimerais bien avoir celui de Divos.
Au Québec, nous avons une culture propre galvanisé de fond publique certes et influancé par la culture américaine, mais une culture pareil. Ce n'est pas le cas du canada anglais. La culture anglo-canadienne, en fait, c'est la culture américaine. Musique, cinéma, littérature etc. Et quand un acteur/chanteur/écrivain deviens populaire, c'est qu'il a persé le marché américain. Pensons à ce cher justin beiber...C'est simple, aujourd'hui, les anglo-canadien sont des américain du nord. Des américains progressiste, mais des américain pareil.
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Le PLQ est au cœur d'un gros scandale de corruption. Il ne se passe pas une semaine sans que le PLQ sois dans la mire de l'unité anti corruption... Et selon un dernier sondage, ils seraient en tête des intentions de vote.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/388329/autour-de-la-d-g-du-plq-d-etre-interrogee-par-l-upac
Afin de respecter son engagement de se montrer « transparent », le chef du Parti libéral, Philippe Couillard, a révélé que des enquêteurs de l’Unité permanente anticollusion (UPAC) avaient interrogé, dans les locaux de la Sûreté du Québec mardi matin, la directrice générale actuelle du parti, Marie-Ève Ringuette.Pour votre délice auditif. Chez les indépendantistes, c'est un running gag.
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http://www.journaldemontreal.com/2014/03/17/un-site-anti-couillard-rabroue-par-le-dgeq
Un site web qui fait campagne contre le chef du PLQ Philippe Couillard a été mis en demeure par le Directeur général des élections du Québec après que des pancartes à son effigie se soient retrouvées dans la région de Québec. Les auteurs du site crient à l’intimidation.« Nous sommes des citoyens ordinaires qui veulent participer à la campagne électorale et on veut nous faire taire. C’est injuste. Pourquoi serions-nous responsables du comportement des gens qui lisent notre site web?», rage un des auteurs du site DossierCouillard.com.Ce dernier, qui désire conserver son anonymat pour assurer la «survie» de son site, a reçu une mise en demeure du Directeur général des élections le l5 mars dernier, enjoignant le site à cesser d’inviter les internautes à diffuser son message, puisque celui incite à la commission d’infractions de la Loi électorale.En effet, des pancartes à l’effigie du site ont fait leur apparition au cours des derniers jours dans la circonscription de Roberval, où Philippe Couillard tente de se faire élire. Le PLQ a confirmé avoir porté plainte contre le site web.Or, les pancartes sont considérées comme une dépense électorale qui ne peut être faite que par les agents officiels des partis.«On est intimidés»Bref, même si les auteurs du site DossierCouillard.com n’ont pas posés eux-mêmes ces pancartes, ils en sont ultimement responsables, selon la Loi électorale.«On nous demande d’arrêter de diffuser notre message. En fait, c’est carrément une pression pour qu’on ferme notre site. Nous n’encouragerons pas les gens à commettre des infractions. On est intimidés», dénonce le créateur du site qui entend pousuivre ses activités et ne pas ôter la mention qui invite les internautes à diffuser son contenu. -
Je vous invite à lire cet article qui relate un fait se répétant trop souvent au Québec.
LAVAL – Un Tim Horton’s au bord de l’autoroute 440 est au centre d’une polémique après qu’une image exigeant le boycottage du commerce soit devenue virale sur les réseaux sociaux.Le passage de Pauline Marois dans un centre commercial de Boucherville ce week-end a pris une tournure impromptue lorsqu’une jeune femme de confession musulmane l’a apostrophée au sujet de la charte des valeurs sous l’oeil attentif des caméras et des journalistes.La vidéo de la discussion circule depuis sur les réseaux sociaux. La jeune femme reproche à la première ministre de brimer ses droits à porter le voile et dit se sentir lésée parce qu’elle est une femme. Mme Marois lui fait alors remarquer qu’elle ne porte visiblement pas le voile, ayant la tête découverte.(Québec) «Nous sommes en campagne électorale, nous ne sommes pas en campagne référendaire», a déclaré Pauline Marois, jeudi.C'est vrai. Mais la tenue d'un référendum sera incontournable si le Parti québécois obtient une majorité. La première ministre d'un gouvernement souverainiste majoritaire ne pourrait pas gouverner pendant quatre ans sans tenir un référendum. Ce serait un aveu d'impuissance. Ce serait admettre l'échec du rêve souverainiste. Ce serait une capitulation sans combat, un scénario pire que la défaite.Il y aura donc un référendum, et je me hasarde à faire une prédiction sur la date : le 26 octobre 2015, 20 ans presque jour pour jour après celui du 30 octobre 1995... et une semaine après les élections fédérales qui auront reporté Stephen Harper au pouvoir, ou élu le fils de Pierre Elliott Trudeau, qui a battu les souverainistes en 1980, en leur promettant des changements.Une campagne référendaire pendant la campagne électorale fédérale? Vendredi, Mme Marois n'a pas écarté la possibilité. Elle a déclaré qu'elle cheminera «selon l'agenda qui nous appartient»http://www.ledevoir.com/politique/quebec/402875/legault-refuse-de-se-dire-federaliste
François Legault est-il fédéraliste? Le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ) a refusé de faire cette profession de foi lundi matin, répétant qu'un référendum n'est pas souhaitable et qu'il voterait non s'il y en avait un. Mais à son avis, les «deux options se valent».«Si demain matin il y avait un référendum, je voterais non. Mais je crois que ce n'est pas le bon moment. Il y a dans la CAQ des fédéralistes et des souverainistes. Je dis: gardons l'avenir ouvert. Si on veut être capable dans 10 ou 15 ans de renégocier un deal avec le reste du Canada pour rejoindre la Constitution ou faire un référendum, il faudrait avoir le gros bout du bâton [économique]. Actuellement, on ne l'a pas.»Questionné à savoir s'il pourrait voter oui dans un autre contexte économique, François Legault a répondu: «Je suis nationaliste. Je pense qu'actuellement les deux options se valent. Mais ce n'est pas le moment de faire un référendum.» Selon lui, les scrutins de 1980 et 1995 «ont fait reculer le Québec». -
Pour bien comprendre la situation amour/haine entre le PQ et ON. Pour information, M. Bock-Côté est l'un des principaux propagandiste du PQ.
http://blogues.journaldemontreal.com/votreopinion/opinions/replique-jaurais-vote-pour-le-pq-dans-les-annees-1970/
M. Bock-Côté n’est pas le seul sympathisant du Parti québécois à ne pas comprendre la pertinence d’Option nationale dans le paysage politique actuel. Il n’est pas le seul à toujours rechercher un angle «nouveau» pour nous expliquer la supposée absurdité de notre démarche, pour nous «faire comprendre» que nous devrions nous saborder et rentrer dans les rangs péquistes. Il n’est pas le seul à rejeter sur nous la responsabilité de la division des indépendantistes. Je me propose donc de lui répondre, question de rendre service à tout le monde.S’il était possible de revenir dans les années 1970, je militerais activement pour le PQ. Toutefois, n’en déplaise à M. Bock-Côté, ce parti n’est plus ce qu’il était. Voici d’ailleurs ce que René Lévesque écrivait en 1987 au sujet des partis politiques appelés à durer plus d’une génération :« Pour moi, tout parti politique n’est au fond qu’un mal nécessaire, un de ces instruments dont une société démocratique a besoin lorsque vient le moment de déléguer à des élus la responsabilité de ses intérêts collectifs. Mais les partis appelés à durer vieillissent généralement assez mal. Ils ont tendance à se transformer en églises laïques hors desquelles point de salut et peuvent se montrer franchement insupportables. À la longue les idées se sclérosent, et c’est l’opportunisme politicien qui les remplace. Tout parti naissant devrait à mon avis inscrire dans ses statuts une clause prévoyant qu’il disparaîtra au bout d’un certain temps. Une génération? Guère davantage, ou sinon, peu importe les chirurgies plastiques qui prétendent lui refaire une beauté, ce ne sera plus un jour qu’une vieillerie encombrant le paysage politique et empêchant l’avenir de percer. »– René Lévesque, Attendez que je me rappelle…, 1987 -
International
OTTAWA - Alors que les cent derniers soldats sont sur le chemin du retour après la mission canadienne d'une dizaine d'années en Afghanistan, des familles de militaires, des diplomates et autres entrepreneurs envoyés en sol afghan tentent de répondre à une délicate question: est-ce que cela valait la peine?Le pays qu'ils laissent derrière eux est loin d'être sécuritaire. C'est ce qui a mené Michael Hornburg, dont le fils, le caporal Nathan Hornburg, a perdu la vie en Afghanistan à l'âge de 24 ans, à se questionner sur la présence occidentale dans le pays.Bien qu'il soutienne les droits humains partout dans le monde, il ne comprend pas comment les Forces armées canadiennes auraient pu stabiliser l'Afghanistan.Québec
(OTTAWA) Pendant que la souveraineté s'imposait comme thème central de l'élection québécoise, cette semaine, le père de la Loi sur la clarté référendaire, Stéphane Dion, se trouvait en Espagne pour vanter le fédéralisme et mettre en garde contre le «traumatisme social» que causerait un référendum sur l'indépendance de la Catalogne.Le président catalan, Arthur Mas, a annoncé en décembre la tenue d'un référendum le 9 novembre 2014 sur la création d'un État indépendant. Madrid s'oppose farouchement au projet, jugeant la consultation anticonstitutionnelle.Dans un discours - dont La Presse a pu prendre connaissance - prononcé à l'Université de Barcelone et au Palais des congrès de Madrid, l'ancien ministre des Affaires intergouvernementales et chef du PLC a invité le gouvernement espagnol à résister à la tentation de céder davantage de pouvoirs à la Catalogne pour contrer le mouvement indépendantiste.http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2013/09/20130917-104510.html
QUÉBEC - Le chef du Parti libéral du Québec, Philippe Couillard, n'a pas jugé bon d'informer ses députés et la population au sujet de la perquisition menée par l'Unité permanente anticorruption (UPAC) au siège social de sa formation, en juillet dernier, à Montréal.«Comme la police n'a pas fait d'annonce publique et qu'on ne voulait pas nuire aux enquêtes, on s'est dit que de toute façon ça allait être rendu public et qu'on en rendrait compte à ce moment-là», a affirmé M. Couillard, mardi, à l'occasion de la rentrée parlementaire à l'Assemblée nationale.http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2014/03/20140316-160314.html
MONTRÉAL - Alors que Pauline Marois essaie tant bien que mal de ne pas parler de référendum et d'indépendance, son adversaire libéral, Philippe Couillard, fait de même pour rayer la question constitutionnelle de son discours.«Le Canada est une grande réussite économique pour le Québec. Je mène une campagne économique sur l'emploi. C'est un facteur majeur de réussite économique pour le Québec d'appartenir à la fédération canadienne», a déclaré le chef libéral, dimanche, en réponse à un journaliste qui lui demandait si la peur de l'échec empêchait les fédéralistes de satisfaire les demandes du Québec en matière constitutionnelle.En votant libéral le 7 avril, les Québécois choisiront le statu quo constitutionnel, a prédit Philippe Couillard.(Québec) On a peut-être tort de soupçonner Pierre Karl Péladeau de vouloir faire de la politique. C'est à sa conjointe Julie Snyder qu'il faudrait poser la question. C'est elle qui est à l'origine des Janette, a révélé Janette Bertrand, à Tout le monde en parle. C'est elle qui a convoqué les cosignataires de la lettre de Mme Bertrand à une réunion pour discuter de la Charte des valeurs québécoises.La promiscuité entre Pierre Karl Péladeau, Julie Snyder et le PQ crée un malaise chez les partis d'opposition à l'Assemblée nationale. Personne, sauf chez Québec solidaire, n'a osé dénoncer la nomination de M. Péladeau à la présidence du conseil d'Hydro Québec. Tout le monde craint le pouvoir médiatique de Québecor. Dans les corridors, on se plaît toutefois à signaler que les bureaux de la firme Production J, de Julie Snyder, sont situés au 1200, rue Papineau, bureau 160. La permanence du Parti québécois loge à la même adresse, au bureau 150. C'est la porte voisine. Avec une telle proximité, il est tentant de parler du Parti québecor...Option nationale a dévoilé sa plateforme régionale samedi soir.Les cinq candidats du Saguenay-Lac-Saint-Jean ont présenté dix de leurs priorités, dont la gratuité scolaire, l'autodétermination des peuples autochtones, la nationalisation des ressources naturelles et la décentralisation des pouvoirs au profit des régions.Le parti place l'indépendance au cœur de chaque enjeu.Le chef d'Option nationale, Sol Zanetti, soutient qu'il est temps de tout mettre en œuvre pour faire du Québec un pays.Nul besoin de spéculer sur les possibles frontières ouvertes avec le reste du Canada ou encore sur la conservation du dollar canadien si le Québec devenait un pays. Pour Option nationale, cette campagne électorale est l’occasion de convaincre les jeunes indécis que le ciel est bleu pâle et de raviver la flamme indépendantiste chez les électeurs du dernier référendum.«Il y en a qui ont peur de perdre un troisième référendum, mais il y a toute une génération qui n’a jamais voté au référendum de 1995», estime Sol Zanetti, chef d’Option nationale. Plusieurs de ses candidats qui, comme lui, n’ont jamais milité pour le OUI ou le NON tentent aussi de convaincre leurs pairs. « On n’infantilise pas les jeunes électeurs, on ne les paternalise pas », soutient Olivier Lacelle, qui se présente dans Gouin. «Option nationale vient faire la pédagogie de l’indépendance, ajoute Étienne Boily, candidat dans la circonscription de Vimont. Les jeunes se cherchent beaucoup, cherchent un discours.» -
Un collaborateur du Journal de Montréal ancien du contre-terrorisme
http://blogues.journaldemontreal.com/williamreymond/actualite/le-mh370-et-les-secrets-chinois/
http://blogues.journaldemontreal.com/williamreymond/actualite/mh370-certitudes-et-hypotheses/
http://blogues.journaldemontreal.com/williamreymond/actualite/mh370-la-nouvelle-piste-terroriste/
http://blogues.journaldemontreal.com/williamreymond/actualite/mh370-lautre-piste/
Bonne lecture à tous
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Ville-de-Saguenay, le 14 mars 2014 – Option nationale entend nationaliser les industries d’avenir en foresterie. « Nous entendons par nationalisation un investissement public avec un grand potentiel de retour sur l’investissement. Cet investissement permettra de développer des secteurs d’avenir et innovateurs qui ont un énorme potentiel économique dans une multitude de régions du Québec », a déclaré Sol Zanetti, chef d'Option nationale.Miser sur les nanotechnologies pour un développement durable des forêts québécoises et pour l'enrichissement de tous les QuébécoisL’industrie forestière n’est pas du tout limitée aux papetières, qui ont été les plus présentes au Québec durant des décennies. L’avenir n’est plus dans le papier journal, mais bien dans les produits d’innovation, tels que la nanocellulose cristalline (NCC), produit issu de ce qu'on appelle la « chimie verte », ainsi que le bioraffinage.(Montréal) Pauline Marois met au défi son adversaire libéral Philippe Couillard de tenir un référendum s'il veut amener le Québec à signer la Constitution du Canada.Pendant qu'elle se refuse toujours à confirmer qu'elle tiendra un plébiscite à l'intérieur d'un mandat qu'elle obtiendrait, le 7 avril, la chef du Parti québécois a exigé que M. Couillard, lui, en fasse la promesse.Samedi, un point de presse, à Montréal, pour rappeler ses engagements sur l'itinérance, elle a souligné que son adversaire a fait part de sa volonté d'effectuer une tournée du Canada pour discuter du caractère distinct du Québec.Elle s'est moquée du libéral, qui a nuancé ses propos, en matinée, en déclarant qu'il n'en parlerait que si on lui pose la question. «Je comprends qu'il a encore changé d'idée.»Elle a plutôt attaqué le leader du Parti libéral du Québec sur son intention première. Celui-ci doit promettre de consulter les citoyens sur tout changement à une Constitution, imposée au Québec, en 1982, a-t-elle déclaré.
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Topo des différants parti d'importance au Québec en ordre de vote possible cette campagne:
Parti Québécois (PQ) (Indépendantiste modéré, centre-droit au pouvoir, centre gauche opposition)www.pq.org
Parti Libéral du Québec (PLQ) (Fédéraliste radicaux, centre-droit)
www.plq.orgCoalition Avenir Québec (CAQ) (Fédéraliste modéré, droite)
www.coalitionavenirquebec.org
Québec Solidaire (QS) (Indépendantiste modéré, gauche radicale)
www.quebecsolidaire.netOption National (ON) (Indépendantiste radicaux, centre-gauche)
www.optionnationale.org
Parti Vert du Québec (PVQ) (Fédéraliste modéré, centre-gauche)
www.pvq.qc.ca
Parti Conservateur du Québec (PCQ) (Autonomiste, droite radicale)
www.particonservateurquebec.org
Parti Indépendantiste (PI) (Indépendantiste radicaux, extrême-droite)
http://parti-independantiste.org/-
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La Corée du Nord a procédé dimanche à des tirs d’essai de dix missiles à courte portée, a indiqué le ministère sud-coréen de la Défense, nouveau signe de mauvaise humeur de Pyongyang alors que les manoeuvres conjointes américano-sud-coréennes se poursuivent.Les missiles ont été tirés de la côte orientale nord-coréenne vers la mer du Japon et ont traversé quelque 70 km, a ajouté le porte-parole du ministère. «Après le tir de missiles du Nord à 06H20 (09H20 GMT), notre armée maintient sa vigilance quant à d’éventuelles provocations de la Corée du Nord», a-t-il dit.Depuis fin février, Pyongyang a procédé à plusieurs tirs de missiles, de courte portée.
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Le lieutenant-gouverneur a envisagé tous les scénarios, y compris une alliance CAQ-PLQ
(Québec) Si le Parti québécois ne décrochait pas la majorité parlementaire qu'il convoite le 7 avril, les libéraux et ce qui restera de caquistes pourraient très bien se retrouver au pouvoir grâce à une alliance politique inédite dans l'histoire du Québec, croient des personnes dans ces deux formations.
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International:
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/03/14/afghanistan-canada-retrait-talibans_n_4962238.html
KABOUL - Une série de messages d'adieu ont été diffusés pour souligner le départ des derniers soldats canadiens d'Afghanistan, et certains sont plutôt désagréables.Le service d'information des talibans a publié un communiqué jeudi à l'intention des partisans du mouvement extrémiste à Kandahar, félicitant les combattants des districts ruraux de Panjwai, Zhari, Dand, Maiwand et Shah Wali Kot, et affirmant que les Canadiens avaient maintenant fui le pays après avoir été défaits.«Vos sacrifices nous ont apporté la liberté. Le flambeau de votre sang a illuminé la voie de l'indépendance. Célébrez la victoire et l'indépendance face aux Canadiens», affirme le communiqué, rédigé en pachtoune, et traduit en anglais pour La Presse Canadienne.Le texte soutient que les Canadiens ont suivi les forces des Pays-Bas, du Danemark, de l'Australie, de la Pologne et de l'Espagne dans «le repli et l'échec».Ces pays ont aussi commencé à retirer leurs troupes de la Force internationale d'assistance et de sécurité dirigée par l'OTAN.Québec:Site militant sur les liens controversé du chef fédéraliste au Québec (PLQ).La chef du Parti québécois, Pauline Marois, souhaite qu'un Québec indépendant conserve le dollar canadien et dispose d'un siège à la Banque du Canada.Mme Marois a fait cette déclaration mercredi, après s'être engagée à réduire la dette brute du Québec à 50 pour cent du produit intérieur brut d'ici 2018-2019.Mardi, la chef péquiste avait affirmé que les biens et les personnes pourraient circuler librement entre un Québec indépendant et les provinces canadiennes.Mme Marois a refusé de préciser comment cet objectif serait atteint, mercredi, mais elle s'est exprimée favorablement pour le maintien du dollar canadien, une position précisée dans des documents du Parti québécois.«C'est strictement ce qui est dit dans ces documents, a-t-elle dit. Et c'est évident qu'on pourrait souhaiter avoir un siège à la Banque du Canada. Mais nous acceptons que ce soit la politique monétaire canadienne qui s'applique à ce moment-là.»Beaucoup d'encre a coulé sur la position qu'aurait adoptée Ottawa après une victoire du Oui au référendum sur la souveraineté de 1995. Mais qu'en aurait-il été de la réaction des États-Unis?Selon des documents d'archives rendus publics vendredi par la Clinton Presidential Library & Museum, le gouvernement américain n'aurait pas immédiatement reconnu le Québec comme un pays si le référendum s'était conclu différemment.Le 30 octobre 1995, le gouvernement de Bill Clinton avait préparé une réponse dans l'éventualité d'une victoire du Oui...Option nationale aimerait que soit rapatrié le programme de l'assurance-emploi. Le chef du parti, Sol Zanetti, a présenté cette proposition lors d'un point de presse, vendredi, à Sept-Îles.Selon M. Zanetti, Québec doit gérer son développement pour être en mesure de diversifier son économie, la rendre prospère et être capable de faire adéquatement face aux pertes d'emploi.Option nationale s'engage donc à prendre la gestion et le contrôle de la caisse d'assurance-emploi, jugeant qu'en rapatriant ce programme social, le Québec pourra établir les paramètres d'un régime qui concorde avec les besoins du marché du travail dans la province. -
Je me met sur la liste d'attente pour l'alliance ADN :-)
Kaal Airline a son hub à Bagotville au Québec.
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SAINT-NICOLAS, Qc – Préoccupée par le glissement du débat vers le référendum, Pauline Marois s’est employée jeudi à évacuer la souveraineté de sa campagne électorale.Aux côtés de son candidat-vedette Pierre Karl Péladeau — muet sur la question nationale et sur les sujets touchant ses intérêts commerciaux — la chef péquiste a fait valoir que l’enjeu de la présente élection n’était pas la souveraineté mais le choix d’un nouveau gouvernement.Le prochain scrutin ne porte pas sur l’avenir du Québec, a insisté Mme Marois lors d’un point de presse à Lévis, dans la circonscription de Chaudière-Appalaches.«Nous sommes en campagne électorale. On n’est pas en campagne sur l’avenir du Québec, on est en campagne électorale. Lorsque les Québécois iront aux urnes le 7 avril, ils voteront pour un gouvernement», a déclaré Mme Marois.Pour éviter que le référendum n'occupe tout l'espace, Pauline Marois s'est employée jeudi à évacuer le débat souverainiste de sa campagne électorale.Aux côtés de son candidat-vedette Pierre Karl Péladeau, muet sur la question nationale, la chef péquiste a fait valoir que l'enjeu de la présente élection n'était pas la souveraineté mais le choix d'un nouveau gouvernement.Encore une fois, le Parti québécois a montré son manque d'engagement quant à sa volonté de faire du Québec un pays. Dans un communiqué émis aujourd'hui, madame Marois et monsieur Péladeau ont réitéré qu'ils ne voulaient pas centrer cette campagne électorale-ci sur l'enjeu souverainiste.Un gouvernement péquiste, même majoritaire, ne fera pas de véritables démarches pour faire du Québec un pays. « Seul Option nationale s'engage clairement à mener le Québec vers son indépendance en réalisant, dès un premier mandat, des gestes d'État qui prépareront la nation à son émancipation, notamment en faisant voter toutes les lois touchant les Québécois par l'Assemblée nationale, en rapatriant le régime d'assurance emploi et en instaurant le rapport d'impôts unique. Ce sont ces mesures qui permettront au Québec de devenir un État souverain. Le programme du PQ est complètement muet sur cette question », selon monsieur Sol Zanetti, chef d'Option nationale et candidat dans Jean-Lesage.« Le PQ ne s'engage aujourd'hui en aucune façon sur la voie de l'indépendance. S'il ne modifie pas son programme en prenant clairement position pour la réalisation de l'indépendance, un gouvernement péquiste n'aura jamais la légitimité démocratique d'entreprendre les gestes d'État nécessaires à la réalisation de l'indépendance. Il n'aura pas la légitimité de sortir du cadre constitutionnel canadien. Je pense que les Québécois doivent être confus devant le double discours que tient en ce moment le PQ : où résident la crédibilité et l'audace d'un chef de parti qui affirme d'une part, dans son programme électoral, vouloir faire du Québec un pays indépendant et qui, d'autre part, dit ne plus vouloir parler de souveraineté pendant les élections ? », demande monsieur Zanetti.
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Philippe Couillard brandit, comme jamais il ne l'a fait, le spectre d'un référendum. Il a affirmé que «la mécanique référendaire est déjà enclenchée». Il a relevé que Pauline Marois entend, si elle est portée au pouvoir à nouveau, présenter son livre blanc sur l'avenir du Québec dans la première année d'un mandat. Alors qu'«on est trois milliards dans le trou», qu'«on a perdu 66 000 jobs, 26 000 en février» et qu'«on est vraiment dans la dèche dans le système de santé et d'éducation», le Parti québécois « a déjà annoncé, avec l'argent des gens qui paient des taxes et des impôts, le début de la mécanique référendaire dans les premiers jours d'un gouvernement péquiste », a-t-il accusé.Des croix gammées et des graffitis ont été dessinés sur les murs de deux locaux du Parti québécois dans les circonscriptions de Taillon et de Marie-Victorin, en Montérégie.La police de Longueuil confirme qu'une plainte a été déposée par le PQ pour des actes de vandalisme posés dans la nuit de lundi à mardi au 1311 et au 1320, chemin Chambly. Les deux locaux se font face, puisque le chemin Chambly sépare les circonscriptions de Taillon et de Marie-Victorin.D'un côté de la rue, des croix gammées ont été peintes sur des affiches du Parti québécois et de sa chef, Pauline Marois, alors que sur le mur arrière de l'autre bâtiment, on peut lire les messages « Drainville out » (« Drainville dehors ») et « Don't touch my kippa » (« Ne touchez pas à ma kippa ») en lettres majuscules.La chef du Parti québécois, Pauline Marois, souhaite qu'un Québec indépendant conserve le dollar canadien et dispose d'un siège à la Banque du Canada.Mme Marois a fait cette déclaration mercredi, après s'être engagée à réduire la dette brute du Québec à 50 pour cent du produit intérieur brut d'ici 2018-2019.Mardi, la chef péquiste avait affirmé que les biens et les personnes pourraient circuler librement entre un Québec indépendant et les provinces canadiennes.Mme Marois a refusé de préciser comment cet objectif serait atteint, mercredi, mais elle s'est exprimée favorablement pour le maintien du dollar canadien, une position précisée dans des documents du Parti québécois.
À ce sujet...un article de 1997
http://www.vigile.net/Pour-une-monnaie-quebecoise -
En fait, c'est surtout en lien avec ce scénario. Dans une situation tendu comme celle-ci, comment le gouvernement français (en conflit) ferais passé du matériel.
Secondo, Quel impacte la situation que je présente influerait sur le présent scénario. -
La reconnaissance, vous l'auriez certainement (à contre coeur de nos chers gouvernants, mais sous pression populaire). Par contre une aide??
Dans ce scénario, un gouvernement ultra-nationaliste est au pouvoir en France.
Pour l'aide, je parle surtout d'équipement particulier, Milan, Eryx, Mistral et du ASTER par exemple.
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Ajoutons à cela un autre échelons au scénario. Un gouvernement indépendantiste radical prend le pouvoir au Québec et entame le L.I.T. Le L.I.T est le principe de ne plus reconnaître le pouvoir fédéral et rapatrier tout ses pouvoirs sur les Lois, Impôt et Traité. De ce fait, il déclare unilatéralement l'indépendance tout en ayant déjà organisés l’appareil d'état incluant la défense.
La défense consiste (en général) en une occupation territoriale absente de moyen de projection. Il y a cependant des confrontations frontalière avec le canada et certain groupe extrémiste anglophone. Les états-unis dans un déclins économique et en crise social garde cependant un oeil inquiet sur ce qui se passe à sa frontière. Cependant, les forces armées et milice Québécoise évite toute confrontation et marque d'agressivité avec le voisin du sud.
Le Québec républicain ayant rejeté la monarchie anglaise demande reconnaissance et aide de la part du nouveau groupe d'état nationaliste en échange de nombreuses ressources du nord.
Quel aide peut fournir à l'État du Québec et comment les acheminer?
Comment cela influencera les prétentions canadienne sur St Pierre et Miquelon? -
Survivalisme
dans Divers
Vision survivaliste de la situation géopolitique actuelle de l'Ukraine.
http://preparationquebec.blogspot.ca/2014/03/ukraine-pas-de-panique.html -
J'aime bien quand nous sommes en accord sur un sujet ;)
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Voici une liste d'article d'aujourd'hui au sujet de cette élection.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/402204/peu-importe-l-avis-du-commissaire-a-l-ethique-pkp-ne-vendra-pas-ses-actionsSaint-Bruno-de-Montarville – Le candidat péquiste Pierre Karl Péladeau ne cédera pas ses actions dans Québecor afin de se mettre à l’abri de toute perception de conflits d’intérêts potentiels.
L’homme d’affaires confiera «tous ses avoirs économiques» à une fiducie sans droit de regard avec l’«instruction claire, nette et précise qu’il n’est pas question de vendre Québecor».
M. Péladeau donne l’assurance de ne plus avoir de «rôles opérationnels ou décisionnels de quelque nature que ce soit en ce qui concerne Québecor et toutes ses filiales»depuis son départ des conseils d’administration de Groupe TVA, Québecor Média et Québecor.
Pierre Karl Péladeau enverrait un signal contradictoire en vendant aux enchères ses actions dans l’entreprise fondée par son père, Pierre Péladeau. «Je milite depuis les trois dernières années pour le maintien des sièges sociaux. […] Je serais bien mal placé pour commencer à vendre mes actions», a déclaré M. Péladeau, qui est président du conseil d’administration de la fondation de l’entrepreneurship.Si le candidat péquiste Pierre Karl Péladeau refuse de se prononcer sur le moment opportun pour tenir un référendum sur la souveraineté, il n'hésite pas à revenir sur celui de 1995. « Le référendum a été volé, purement et simplement », a-t-il dit lors d'une entrevue accordée à Anne-Marie Dussault dimanche soir.M. Péladeau laisse par ailleurs entendre qu'il est en politique pour rester. « Je ne suis pas un lâcheux. Oui, je suis pugnace. Oui, lorsque je me donne des objectifs, je tente de les réussir. » Voici l'intégrale de l'entrevue qu'il nous a accordée.L'arrivée de Pierre Karl Péladeau à titre de candidat du Parti québécois dans la circonscription de Saint-Jérôme doit faire changer « l'attitude bienveillante » qu'ont les syndicats envers les troupes péquistes, espère la porte-parole de Québec solidaire, Françoise David.« J'espère vraiment que le mouvement syndical délaissera son appui, ou plutôt son attitude de neutralité bienveillante à l'égard du PQ, (...) qui vient de recruter le champion des lock-out », a affirmé la candidate de la circonscription de Gouin lors d'une entrevue avec La Presse.« Pierre Karl Péladeau, c'est l'entrepreneur sans règle et sans considération aucune pour les gens qui sont à son emploi. Il représente la quintessence de l'intransigeance capitaliste », a vivement plaidé Mme David.Le Parti québécois ne peut plus se qualifier de formation politique progressiste, dénonce Québec solidaire, qui tourne au ridicule les appels qui ont été faits récemment auprès des souverainistes progressistes afin qu'ils votent PQ le 7 avril prochain.« Avec des gens comme M. Péladeau, l'État va devenir une forme de business », craint Mme David.
Sur un autre sujet, si le PQ est élus majoritaire cette élection-ci, je propose qu'un nouveau sujet sois crée spécialement pour le Québec, à l'image du sujet crée pour l'Écosse.
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En fait, le trio PKP, Laliberté et Angélil forme la principale oligarchie Québécoise. Trio en opposition avec la famille Desmarais qui viens de perdre le patriarche.
Faisant suite à cette nouvelle, voici la réaction des fédéralistes commenté par MBC.
http://blogues.journaldemontreal.com/bock-cote/politique/largument-le-plus-ticoune-de-lhistoire-du-quebec/
Pierre karl peladeau un des plus riches hommes d'affaire du Québec vient de joindre les rangs du Partie Québécois. Un nouveau référendum pointe à l'horizon ?Pour ON, nous continuons à faire pression pour qu'ils s'engagent à faire l'indépendance.
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http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/aeronautique-stratobus-dirigeables-stratospheriques-drones-satellites-52668/
Entre drones et satellites, Thales Alenia Space imagine installer des structures gonflables dans la stratosphère, immobiles par rapport au sol. L’idée est de compléter les services offerts par les satellites, par exemple la surveillance, la cartographie ou les télécommunications, comme nous l'explique Jean-Pierre Prost, responsable du programme.-
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Le Canada et sa place sur la scène internationale
dans Politique etrangère / Relations internationales
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J'aimerais aussi rajouté qu'ouvertement, les US n'ont jamais fait d'ingérence sur le dossier Québec au contraire de la France gaulliste qui elle, ne se gênais pas. Cependant, au contraire de bien des français, De Gaule est considéré au Québec comme un héro.
Certain historien parle cependant de JFK qui aurais tenté une approche souterraine mais se serait buté à une opposition des deux côté. Les canadiens sont tellement...