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Michael Guay

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Messages posté(e)s par Michael Guay

  1. http://plus.lapresse.ca/screens/48cc-2a4c-51968071-b969-5fdeac1c606a%7CtKgkN7jAzca~

    CONTROVERSE AU SÉNAT

    « ON ESSAIE D'ÉTOUFFER L'AFFAIRE »

    LA DÉRIVE DES PURITAINS

    VINCENT MARISSAL LA PRESSE

    Peut-être étiez-vous trop occupé (grand bien vous fasse !) à embellir vos plates-bandes la fin de semaine dernière pour avoir porté attention à l’actualité politique, mais il s’est passé des choses très laides à Ottawa. Laides et graves, malgré les grands efforts de banalisation du principal responsable, le premier ministre Stephen Harper.

    Les sénateurs ont encore fait des leurs. Non, pas les vilains qui ont sorti prématurément le CH et qui se défendent fichtrement bien contre les Penguins, mais les autres, ceux dont on n’entend pratiquement jamais parler. Ceux qui mènent une petite vie pépère dans un coin peu fréquenté du parlement fédéral, au sein d’une institution archaïque.

    Depuis quelques semaines, le Sénat est devenu un sujet chaud à Ottawa. Tellement chaud que ça commence à sentir le roussi au bureau du premier ministre. Stephen Harper avait promis de réformer ou d’abolir le Sénat avant de prendre le pouvoir. Depuis qu’il est premier ministre, il s’emploie plutôt à enfoncer la Chambre haute à des niveaux record de bassesse.

    Avant de prendre le pouvoir, M. Harper et ses réformistes redresseurs de tort s’étaient engagés à purifier les mœurs politiques à Ottawa et à ramener décence et transparence dans la capitale fédérale.

    Meilleure chance la prochaine fois !

    Fidèle à sa stratégie de non-communication, Stephen Harper traverse la pire crise depuis qu’il a pris le pouvoir, il y a sept ans, comme si de rien n’était, se contentant d’un court communiqué de presse pour accepter la démission de son chef de cabinet.

    Son chef de cabinet, Nigel Wright, part en raison de son rôle dans l’affaire Duffy ; une autre sénatrice conservatrice, Pamela Wallin, se retire du caucus en raison, elle aussi, d’une possible fraude, et le premier ministre publie un communiqué laconique de quelques mots, qui se termine ainsi : « La principale priorité de notre gouvernement est, et continuera d’être, la création d’emplois et la croissance économique pour le Canada. Cela est au centre de tous nos efforts et de toute notre attention. »

    Autrement dit, tout le reste, y compris ces histoires louches impliquant son bras droit, bof, on s’en fout, nous on travaille pour la création d’emplois !

    Rappelons, l’histoire n’est pas banale, que l’ex-chef de cabinet de M. Harper a « donné » 90 000 $ au sénateur Mike Duffy pour que celui-ci rembourse des allocations touchées illégalement. M. Wright n’a pas jugé bon, dit-il, d’en informer son patron. Mike Duffy, lui, a carrément menti en disant qu’il avait lui-même acquitté cette dette au trésor public.

    Toute cette histoire sent le mensonge, la désinformation, la magouille, la tentative de camouflage, et le lourd silence du premier ministre ne fait qu’accentuer l’impression de faillite morale d’un gouvernement élu sous des promesses vertueuses.

    Dans la foulée de cette affaire, la sénatrice Pamela Wallin (elle aussi une ancienne journaliste de CTV, comme Mike Duffy, décidément…), qui fait l’objet d’une enquête comptable pour des frais de déplacement de 320 000 $, a annoncé par communiqué vendredi en fin d’après-midi (ah, le bon vieux truc du vendredi après-midi…) qu’elle se retirait du caucus conservateur.

    Rappelons aussi au passage les dérives d’un autre redresseur de torts du caucus conservateur, le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu, qui a enfreint les règles d’embauche du Sénat en faveur de son ex-petite amie.

    Sans oublier, comment le pourrait-on, le flamboyant sénateur Brazeau…

    À défaut de réformer le Sénat, Stephen Harper s’affaire chaque fois qu’il le peut à le déformer encore un peu plus.

    La démission de Nigel Wright était inévitable dans les circonstances. Les chefs de cabinet prennent souvent les plombs pour leur patron, à plus forte raison lorsqu’ils sont personnellement impliqués dans une controverse. Mais les partis de l’opposition ont bien raison de dire que les questions demeurent.

    Les réponses, par contre, ne viendront pas.

    Pour M. Harper, la responsabilité s’applique à un non-élu (le chef de cabinet), mais pas à l’élu au sommet de la pyramide démocratique. Il en a fallu beaucoup moins à Jean Chrétien pour mériter (gracieuseté de mon confrère Jeffrey Simpson) le surnom de « gentil dictateur ».

    On laisse entendre à Ottawa depuis quelques jours que M. Harper ne pourra répondre aux questions sur ce sujet parce qu’il sera en visite officielle en Amérique du Sud. Foutaise !

    Même le président des États-Unis, qui n’abuse pourtant pas des points de presse, répond aux questions de la presse américaine lorsqu’il voyage à l’étranger. Au Canada, on peut poser des questions au commandant de la Station spatiale internationale en orbite, mais pas au premier ministre quand il est à Lima !

    Dans les rangs conservateurs, on a eu droit cette fin de semaine à un silence quasi généralisé. Le silence des moutons, complices des dérives éthiques ou simplement terrorisés par le grand méchant loup Harper, qui exerce encore, quoi qu’on en dise, une autorité incontestable sur son caucus. En plus, les députés savent qu’un remaniement s’en vient, ils vont donc se tenir bien tranquilles et avaler sagement toutes les couleuvres.

    On verra, à la fin juin à Calgary lors du congrès conservateur, si certains militants se rebiffent devant les dérives de leur parti, mais je doute que M. Harper soit réellement inquiet. Même pour les puritains, le pouvoir vaut bien quelques compromis.

    À une certaine époque, les anciens réformistes portaient en Chambre des cravates décorées de moutons pour dénoncer la servilité des députés libéraux. Ils pourraient les ressortir. Elles sont de nouveau à la mode et leur iraient fort bien.

    « ON ESSAIE D'ÉTOUFFER L'AFFAIRE »

    La controverse entourant les dépenses douteuses de certains sénateurs ne s'estompe pas à Ottawa. Loin de se satisfaire de la démission du chef de cabinet de Stephen Harper, l'opposition néo-démocrate a officiellement demandé hier à la Gendarmerie royale du Canada d'ouvrir une enquête sur le remboursement de 90 000 $ obtenu par le conservateur Mike Duffy.

  2. http://www.ledevoir.com/politique/canada/378662/jacques-demers-songe-a-quitter-le-senat

    Ottawa — Le scandale qui engouffre le Sénat à Ottawa pourrait peut-être faire une victime inattendue: l’ex-entraîneur de hockey Jacques Demers. Le «coach» se dit tellement «affecté» par les révélations des derniers jours sur les comptes de dépenses de ses collègues et les manières utilisées pour les camoufler qu’il se dit en réflexion, prêt à quitter son siège s’il n’obtient pas les assurances qu’il recherche. Les explications sur ce qui s’est vraiment passé, quant à elles, n’ont pas été fournies par le premier ministre Stephen Harper.

    «Je suis personnellement en période de réflexion. Je vais voir ce qui va se passer aujourd’hui [lundi]», a d’entrée de jeu avoué M. Demers, qui s’estime éclaboussé par le scandale. Cette réflexion, précise-t-il, «elle peut me mener à quitter le Sénat». Il a répété qu’il faisait confiance à Stephen Harper et dit le croire lorsque ce dernier affirme ne pas avoir été mis au courant de la situation, parce que l’appareil gouvernemental est gros.

    «Je ne l’accepte pas. C’est l’argent des contribuables. Si vraiment ces gens-là ont été fautifs, qu’on les mette dehors, qu’on ne les voit plus. Indépendants, quoi que ce soit, mettez-moi ça dehors!» Le sénateur était furieux. Il a fait un lien avec les précédents scandales de dépenses, notamment les somptueux comptes de dépenses de l’ex-ministre Bev Oda, partie depuis.

    «Il y a tellement de menteries qui se disent que j’en ai marre. Qu’on dise la vérité et si on a à perdre nos emplois, qu’on les perde, nos emplois. On ne peut pas tricher les Québécois, les gens qui chaque matin se lèvent et ne savent pas s’ils vont manger le soir. Des jus d’orange à 16 $, des affaires tout simplement incroyables...»

    «Moi, je me sens visé comme beaucoup de mes confrères qui vivent une vie honnête, travaillent fort au Sénat, qui sont fiers d’être sénateurs», a-t-il poursuivi, déplorant qu’une centaine de sénateurs honnêtes payaient de leur crédibilité pour les erreurs de quatre personnes croches. «Pour moi, c’est un méchant coup de poing sur la gueule et je n’accepte pas ça. Peut-être parce que j’ai été élevé dans la pauvreté avoir vu c’est quoi ne pas avoir d’argent. On est tous bien payés.»

    Signe que la soupe est chaude, le gouvernement a choisi de devancer d’une journée la réunion hebdomadaire de son caucus du mercredi afin que le premier ministre, qui partait pour l’étranger, puisse y assister et livrer son message. Stephen Harper a même invité les journalistes à assister à son message livré en début de rencontre. Il y avait une mise en garde, mais pas d’explications.

    «De toute évidence, je veux vous parler des événements des derniers jours, a lancé M. Harper. Et je sais que personne ici ne sera surpris d’entendre que je ne suis pas content, que je suis très vexé par la conduite de certains parlementaires et de mon propre bureau.»

    Rappelant que son gouvernement avait été élu en 2006 dans la foulée du scandale des commandites pour faire le ménage, il a énuméré les mesures prises depuis pour instaurer un meilleur système de responsabilité à Ottawa. Selon lui, cela a fonctionné.

    «Le Canada est maintenant l’un des meilleurs systèmes de gouvernance parmi les plus responsables et transparents dans le monde entier», a-t-il soutenu. «Mais c’est quelque chose que nous ne devons jamais prendre pour acquis.» M. Harper a ensuite lancé un avertissement à ses troupes, rappelant un discours qu’il avait livré en 2005: «Quiconque veut utiliser une charge publique pour ses propres bénéfices devrait changer de plans ou encore mieux, quitter cette salle», a-t-il dit en brandissant un doigt accusateur à ses troupes, levées pour l’applaudir et lancer des «bravos». M. Harper a finalement parlé des événements du Sénat comme d’une «distraction» qui empêchait le gouvernement de gérer l’économie alors que le monde est encore «un endroit profondément incertain».

    À la fin de son laïus de presque neuf minutes, les journalistes lui ont demandé de répondre à leurs questions. Stoïque, il est resté debout tandis que ses troupes scandaient «Harper, Harper» pour enterrer les questions qui n’étaient pas les bienvenues. Les adjoints du premier ministre ont alors intimé les médias à quitter la salle.

    Rappelons qu’au cours du week-end, son chef de cabinet, Nigel Wright, a démissionné. Il avait signé un chèque personnel de plus de 90 000 $ au sénateur -alors conservateur- Mike Duffy pour que celui-ci puisse rembourser ses dépenses de subsistance touchée à tort. En contrepartie, il a été convenu que le rapport du Sénat sur son comportement serait adouci en comparaison de ceux des deux autres sénateurs visés par une enquête, Mac Harb et Patrick Brazeau. M. Harper a prétendu qu’il n’était pas au courant de cette transaction. CTV rapporte pourtant que son conseiller spécial en politiques et affaires légales, Benjamin Perrin, était au courant, ayant rédigé le contrat légal avec l’avocat de M. Duffy.

    M. Harper n’a pas fourni à ses troupes des explications supplémentaires à propos de cette transaction: qui savait? Qui l’a décidée? Qui a contacté le Bureau de régie interne du Sénat pour que le rapport sur M. Duffy soit édulcoré? Ces explications, a reconnu le sénateur conservateur Jean-Guy Dagenais, n’ont pas été fournies lors du caucus. «Non, on n’en a pas eu et moi, personnellement, je ne tiens pas à en avoir.» Le ministre du Patrimoine, James Moore, confirme. «On a entendu le même discours du premier ministre [que les journalistes]», discours dont étaient absents ces détails. La défense officielle consiste à dire que Nigel Wright a utilisé son argent personnel pour rembourser les contribuables. Il était donc mu par une bonne intention.

    Mike Duffy a finalement quitté le caucus conservateur, tout comme la sénatrice Pamela Wallin. Les deux siègent au Sénat comme indépendant. Mac Harb et Patrick Brazeau ont déjà fait de même. Mme Wallin est sous enquête à cause de ses comptes de dépenses de déplacement élevés. Le rapport final sur sa situation n’a pas encore été rendu public, mais certains médias rapportent que c’est parce que les résultats préliminaires sont accablants qu’elle a été invitée à quitter le caucus préventivement. Elle a fait connaître sa décision vendredi soir, avant le long congé de la fête des Patriotes.

  3. Je remonte un peu ce sujet...

    Dans une optique de fonte des glaces au nord, et d'accessibilité du passage du nord-ouest, incluant le faut qu'une entreprise russe creuse un chenal pour gros tonnage jusqu'à Churchill (Manitoba) (ce a quoi le gouvernement canadien à tenté de s'opposé mais que l'OMC à conclu que c'était réglo).

    Se pourrait-il que dans la possibilité d'un conflit frontalier sur l'arctique, les Kirov servent de forceur de passage pour un GAN russe voulant atteindre le centre économique et industriel du Canada? (sois les grands lac ontariens et l’Alberta.

  4. http://thediplomat.com/flashpoints-blog/2013/05/20/australia-needs-strategic-rethink-on-submarines/

    Is Australia’s new submarine program being driven by careful assessments of the country’s future defense strategy or more by short-term electoral considerations? This is a key question leading up to Australia’s national elections on September 14.

    The Labor Party government revealed back in May 2012 that it had ruled out the option of a nuclear-powered submarine and commissioned detailed assessments of four conventionally-powered options:

    -      An existing off-the-shelf foreign design.

    -      A modified off-the-shelf foreign  design

    -      An evolved Collins-class design

    -      Development of a completely new submarine design in Australia.

    Then, when Prime Minister Gillard released the 2013 Australian Defense White Paper on May 3, she announced she’d narrowed the options to the last two. The prime minister also confirmed her commitment to purchase 12 new submarines, which she said would be assembled in South Australia.  In addition, she revealed that the government had commissioned the development of a land-based facility to enable the full-scale testing of submarine propulsion, system integration and support services.

    In order to provide sufficient time for this process of design, testing, construction and commissioning, the Minister for Defense, Stephen Smith revealed that the six existing Collins-Class submarines would be extended until at least 2038. No plans were released for the maintenance and upgrading of the Collins Class boats, nor estimates of the costs of operating these boats for 45 and possibly even 50 years.

    In light of these developments, what are the main issues now confronting Australia’s new submarine program?

    First, it should be noted that there is a strong prospect that the Australian government will change following the national elections in September and that the decisions announced in this month’s White Paper may not be sustained. The opposition parties have announced that if they return to government they will review all defense policies and publish a new White Paper within 18 months.

    Second, whoever is in government during the next three years will be choosing the nature of the new submarine program at a time when the regional strategic environment is changing markedly. The most important shift is the substantial growth in China’s military capability and its assertiveness in a number of regional disputes. The Chinese defense budget has risen an average 14 percent annually during the last fifteen years, the PLA-Navy has launched some 50 new submarines since 1995 and Chinese cyber, intelligence and maritime operations have been widespread and deeply intrusive. Most of Australia’s allies and friends in Asia are worried and working to strengthen their defenses. United States and allied dominance of the Western Pacific can no longer be assured in the medium term. Moreover, in contrast to the Cold War, the focus of superpower competition is not on the other side of the world, but in Australia’s backyard.

    These developments have fundamental implications for Australian defense strategy and for what prudence dictates the Australian Defense Forces should operate in the 2030-2060 timeframe. All Australian governments will prefer to focus on encouraging positive political and security partnerships with China, North Korea, India, Indonesia and other regional powers. However, given the continuing shift in the strategic balance, defense planners cannot overlook the possibility that in some future contingencies Australia might be subjected to serious coercion and even attack.

    In these circumstances, Australian defense planners need to think deeply about the strategy they would employ if the country were directly challenged. Some commentators argue that Australia should focus on small, relatively inexpensive submarines that in a crisis could attempt to mount a barrier defense in Australia’s immediate approaches. The main problems with this strategy are that such a barrier defense would always be porous and it would not force a coercive major power to halt its attacks.

    If the Australian Government wishes to have a strong capacity to deter and dissuade a major power, it needs to invest in more than barrier defenses. It needs the capacity to reach out at great distance and threaten targets that the opposing side’s decision-makers value most. Australia, as a non-nuclear weapon state, has only a few options for applying strong strategic leverage (and deterrence) over a long range. Powerful submarines, strong cyber capabilities, advanced air and special force strike capabilities and combined operations with the United States are the primary options.

    This logic confers a special strategic importance to Australia’s submarine choice. The new submarines are not just another military capability. While transport aircraft, armored vehicles and supply ships all have important roles to play in the Australian Defense Force, they cannot generate the strategic leverage and the deterrence power of advanced long-range submarines. The types of submarines and associated underwater systems the next Australian cabinet selects will give the country a strong deterrent and leverage in future serious crises, or they will preclude it from having the necessary capacity to use underwater forces to defend Australia with anything but a porous barrier defense.

    In the context of this strategic logic there are, unfortunately, no simple, easy or low cost options for a new class of submarines. The off-the-shelf European boats may appear to be relatively cheap but they fall far short of Australia’s operational needs. They are too small, their payload is too limited and their range and time on station is too short. They cannot easily be refitted with the advanced US-supplied combat data and other systems that are already fitted to the Collins boats. Hence they would not be easy to integrate into Australian or allied operations.

    The evolved Collins option would provide a much larger submarine, with greater range, endurance and weapon loads. The evolved Collins would also provide a substantial boost to Australian industry. This option would come at a much higher cost and carry availability risk as the first of these boats would probably not be available until 2035.

    The option of a completely new design submarine would permit the development and production of an even larger submarine – almost certainly the largest conventionally-powered submarine in the world. This option would place the greatest pressure on Australian industry. These boats would be optimized for long-range, long endurance operations but they would entail acceptance of even higher costs and higher levels of risk. New design boats would also take longer to design, develop and build with the first vessel probably not being commissioned until about 2038.

    As with the evolved Collins option, these boats would also be “orphan” submarines in the sense that they would not be operated by any other navy and Australia would need to carry the very substantial design authority and other overhead costs for the full life of the class.

    Some commentators have assumed that there is no penalty for Australia in proceeding slowly and cautiously with this program. The problem with this relaxed approach is that the Collins boats are wasting assets that are losing their technological advantage and growing much more costly to maintain. The Collins Class already imposes prohibitive costs on the budget to maintain and these are likely to continue growing. This raises the serious possibility that Australia may not be able to operate a credible submarine force through most of the 2020s and 2030s. Attempting to extend the life of the Collins boats is like trying to maintain a 1993 vintage racing car and expecting it to routinely win races until it is phased out of service in 2038 or 2045. This stretches credulity.

    What Australia really needs is a class of large submarines that have been fully proven in another navy, are currently in series production and can perform all of the tasks that the Australian Government requires with low risk and high reliability. This submarine force needs to be available at a comparable cost to the evolved Collins and new design options and capable of operating seamlessly with United States forces. The first of Australia’s new submarines should also be available for commissioning within a decade.

    Remarkably, there is a class of submarines that meets all of these requirements well; the United States Virginia Class. The only problem is that like the United States, Britain, Russia, France, China, India and Brazil, Australia would need to accommodate itself to operating submarines with nuclear propulsion.

    Ross Babbage is Founder of the Kokoda Foundation and Managing Director of Strategy International (ACT) Pty Ltd.

  5.   2 milliards pour faire juste ça, j'en connais qui risque de faire la gueule quand même ... Même si ça pourrait être utile en terme de savoir faire a d'autres échelles pour + tard : si on est sur de notre coup ... Pourquoi pas attendre des époques ou le spatial coutera moins cher pour y faire a loisir ?

      Ceci dit, ça pourrait être aussi un premier exemple de méthodologie appliquée a exploiter des matériaux, mais je suis pas sur que ce soit encore le bon moment pour le faire au vu des couts ...

    Bien que les chercheurs parle de projet NASA (donc de gouvernement) l'exploitation minière ne sera jamais effectuer par la nasa. L'exploitation des ressources est un domaine exclusif du privé. Les universitaires ont présenté un projet et une minière sera surement assez intéressé pour donner quelque subvention à leurs étude. Pourquoi? Le jour ou il ne restera que très peu de ressource minière sur terre, il faudra chercher les profit ailleurs. Pour l'instant, financé des études coûte peu et prépare un plans d'avenir. Ce qui doit aussi être dans les priorités des minières ce doit être l'étude de composition des dits astéroïdes et leurs locations. Un vieux dicton de l'époque des explorateurs dit: Qui possède les cartes, possède la richesse.

  6. Tu pirates les chaines de radio, de TV, ainsi qu'internet pour qu'ils ne passent plus que, au choix:

    1) Comme un Ouragan de Stephanie de Monaco

    2) Gangnam Style de Psy

    3) Chihuahua de DJ Bobo (une des pages les plus terribles de l'histoire musicale suisse  :'( )

    4) tout autre arme de destructive massive musicale

    Crise de nerf généralisée assurée.  :lol:

    Alternativement (en mode politiquement pas correct  :lol: ), tu mets en place un gouvernement (et un parlement) qui essaie de faire passer en force un truc qui ferait hurler soit les cathos, soit les syndicalistes (jackpot assuré si tu arrives à trouver un sujet qui fâchent les deux groupes en même temps  :lol:).  

    Genre une loi réprimant toute pratique religieuse ou réprimant toute activité syndicale.

    Moi je leur enverrais du Céline Dion en boucle... C'est comme les supposé arme de destruction massive dans un bunker hautement gardé par la garde présidentiel que les américains visait lors des débuts de la guerre en irak. Finalement il y ont trouvé des milliers de CD de Céline... Sadam devais préparé un grand coup contre ses voisins...

  7. En voici une bonne...

    À l'heure des campagnes massive contre la cyberintimidation au canada, des élèves d'une école primaire d'Ontario demande au conservateur d’arrêter d'en faire contre leurs plus grand rivaux.

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/15/des-eleves-dottawa-demandent-a-stephen-harper-de-retirer-les-publicites-envers-justin-trudeau_n_3282222.html

  8. http://www.lactualite.com/politique/le-canada-51e-etat-americain/

    Dans cet article du magazine l'actualité, l'on retrouve un graphique sur les vote du canada vs US vs le reste du monde.

    Dernier vote en date?: celui qui portait sur la résolution faisant de la Palestine un État observateur non membre des Nations unies, il y a quelques semaines. Sur les 193 pays membres de l’ONU, seulement 9 ont voté contre cette résolution. Parmi eux, les États-Unis, Israël et… le Canada.

  9. Tu exagères, les conservateurs sont bien plus pro Canadien que pro Américain et le Canada reste libre de ces décisions. Suffit de penser à la guerre d'Irak, le Canada y était pas et quand Obama à refusé le projet d'oléoduc ils se sont tourné vers la chine. À mon avis la raisons pour laquelle ils étaient autant en faveur des F-35 c'est qu'ils étaient sous le charme de Lockheed Martin et d'ailleurs c'était pas les seuls. Ensuite, ils ont quand même défendu l'idée pour pas passer pour des imbéciles    même si après études le F-35 est pas mal moins cool.  Ils auront peut-être compris la leçons et vont prendre le temps d’analyser les possibilité maintenant . Si le rafale est aussi bon que vous le dite il a ses chances, car harper est fier de  son armée :)

    D'ailleurs ils ont acheté des léopard 2 des pays-bas je crois  ^-^

     

    http://www.lactualite.com/politique/le-canada-51e-etat-americain/

    Dans cet article du magasine l'actualité, il y un graphique sur les votes à l'ONU du canada vs US vs reste du monde. L'indépendance des US c'était les libéraux.

    Mais la c'est HS, je continuerai le débat ici:

    http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,13761.60.html

  10. Nous parlions de corruption de sénateur, voici des nouvelles.

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/15/mike-duffy-nigel-wright-chef-cabinet-stephen-harper-remboursement-depenses-residence_n_3280248.html

    Le chef de cabinet du premier ministre Stephen Harper, Nigel Wright, a réglé le problème des dépenses de résidence du sénateur Mike Duffy en lui rédigeant un chèque personnel de plus de 90 000 $. Le sénateur Duffy a dû rembourser des dépenses de résidence à la suite d'un rapport indépendant de la firme de vérification Deloitte.

    « M. Duffy a accepté de rembourser les dépenses parce que c'était la bonne chose à faire », a déclaré le porte-parole du premier ministre Harper, Andrew MacDougall dans un communiqué. « Toutefois, M. Duffy se trouvant dans l'impossibilité d'effectuer le remboursement dans les délais prescrits, M. Wright lui a rédigé un chèque de son compte personnel pour lui permettre de rembourser la somme. »

  11. Un article sur la politique du gouvernement canadien envers les scientifiques payés par l'Etat.

    http://www2.macleans.ca/2013/05/03/when-science-goes-silent/

    Si c'est exact c'est hallucinant, les gens doivent demander la permission (pas accordée dans beaucoup de cas) pour donner des interviews voire pour publier dans les revues scientifiques, et une partie du minitère se charge de leur fournir les éléments de langage officiels.

    C'est malheureusement vrais.

  12. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2012/03/22/001-developpement-paix-budget-reduction-acdi-priorites.shtml

    Récemment, l'ONG a été critique de compagnies minières canadiennes en matière d'environnement. « Il semble que l'intérêt des pauvres dans les pays en développement n'était pas la priorité », estime Giglio Brunelli.

    L'organisation américaine Wycliffe Bible Translators, basée à Calgary, recevra notamment du financement de l'ACDI. Plusieurs se demandent en coulisse si la traduction de la Bible constitue une priorité en matière de développement international.

    Même son de cloche à Ottawa chez ce spécialiste de l'aide canadienne et coauteur du livre The Charity of Nations, Ian Smillie. « On voit une peur réelle, du genre soviétique. Les ONG sont terrifiées à l'idée de perdre leur financement », indique-t-il.

    http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2013/01/14/001-aide-etrangere-ong-religieux.shtml

    Outre le fait que les organisations à caractère religieux touchent plus d'argent d'Ottawa, les résultats de l'étude menée par l'Observatoire ont aussi démontré que les investissements fédéraux en matière d'aide étrangère se déplacent de plus en plus vers l'ouest du pays.

    « Ce qu'on constate en parallèle, c'est que la plupart de ces organisations-là [ONG qui touchent de l'aide fédérale] sont situées dans le centre et dans l'Ouest canadien, contrairement aux organisations francophones, plus laïques, qui sont davantage situées dans l'est du Canada », précise François Audet.

    « C'est un changement de cap dans la mesure où nous étions habitués dans les années 1980 et 1990 à une laïcisation de l'aide humanitaire internationale. (...) Ce qu'on peut se demander, c'est quels intérêts ça sert et pourquoi le gouvernement favorise-t-il ces organisations-là », se demande François Audet.

    Selon lui, la question de l'utilisation des subventions fédérales par les ONG à caractère religieux se pose, car on en sait peu sur la nature des projets retenus et les destinataires de cette aide . « On a tout le débat sur l'avortement, sur la santé maternelle, le conflit israélo-palestinien est un phénomène aussi très important », précise François Audet. Il rappelle, par exemple, qu'Ottawa a supprimé le financement des organisations qui viennent en aide aux populations palestiniennes tandis qu'il a augmenté celui des ONG qui appuient et viennent en aide aux Israéliens.

    http://www.vigile.net/Des-sous-pour-la-parole-de-Dieu

    http://www.ledevoir.com/politique/canada/288401/des-sous-pour-la-parole-de-dieu-mais-pas-pour-les-femmes

    Alors que le gouvernement conservateur a coupé les vivres à plus de 12 groupes de femmes, les libéraux s’étonnent que des groupes religieux aient touché, eux, des fonds de l’Agence canadienne de développement international (ACDI). Ottawa a en effet versé plus de 800 000 $ à deux organisations, une formant des porteurs de la parole de Jésus, l’autre veillant à la traduction de la Bible dans différents dialectes.

    La révélation hier qu’au moins 12 groupes de femmes ont vu leur financement d’Ottawa aboli a créé bien des remous, autant à la Chambre des communes qu’à l’Assemblée nationale. Les partis d’opposition à Ottawa étaient outrés devant ce qu’ils considèrent comme une technique d’intimidation pour faire taire les voix dissidentes au pays.

    « Doit-on comprendre que dorénavant la politique du gouvernement conservateur à l’égard des femmes c’est : "Femme ta gueule" ? », a lancé la députée bloquiste Nicole Demers. Elle faisait référence au fameux « Shut the fuck up ! » de la sénatrice conservatrice Nancy Ruth, lancé lundi aux femmes critiquant l’initiative en santé maternelle de Stephen Harper.

    Ainsi, en novembre dernier, le groupe Chakam School of the Bible, de la Saskatchewan, a touché une subvention de 357 146 $ sur trois ans. Le projet, indique l’ACDI, vise à améliorer la sécurité physique et économique des réfugiés de 15 à 28 ans rapatriés au sud du Soudan. Chakam, une sorte d’école alternative de théologie, clame sur son site que le retour du Christ Sauveur est « imminent ». « Par conséquent, la pression est grande de former un nombre suffisant de "travailleurs de la moisson" pour répandre la bonne nouvelle dans le monde entier. » Il a été impossible hier de parler au directeur de l’école pour comprendre le lien entre cette mission et le projet au Soudan.

    http://www.uqam.ca/entrevues/entrevue.php?id=1235

    http://exruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquefederale/36484-harper-religion-lhumanitaire

    http://www.louisechabot.ca/stephen-harper-sous-influence-religieuse/

  13. C'est en effet des organisation évangéliste qui sont financé. Harper à retirer tout les fonds qui allaient aux ONG pro-palestinienne pour les refiler à ses missionnaires qui combattent la ''menace islamique'' en Afrique. Retirer les fond pour des organismes qui distribue des contraceptif pour les donner a ceux qui distribue des bibles. Fermer des écoles pour fille africaine pour les remplacer par des écoles ou l'on enseigne que la terre est plate, que l'homme à côtoyé les dinosaures et que dieux reviendra pour ''nous sauver''.

    Pour le réchauffement, il n'existe pas. En tout cas c'est le maître-mots du gouvernement dans ce domaine. Les fonctionnaire sont littéralement censuré et les membres des organisations environnementales sont fiché dans le ''potentiellement terroriste''. Cela s'applique aussi pour des organisations comme amnistie internationale.

  14. http://www.lapresse.ca/actualites/politique-canadienne/201301/13/01-4610939-harper-et-le-virage-religieux-de-lacdi.php

    Harper et le virage religieux de l'ACDI

    Tout en réduisant les fonds de nombreux organismes de coopération internationale, Ottawa subventionne de plus en plus généreusement les ONG religieuses, surtout celles qui ont pour mission de répandre la foi.

    C'est ce qui ressort d'une recherche menée par François Audet, directeur de l'Observatoire canadien sur les crises et l'aide humanitaire, dont les résultats doivent être publiés ce printemps dans la Revue canadienne d'études du développement.

    Son équipe de chercheurs a passé au peigne fin les déclarations de revenus de 198 ONG canadiennes de coopération internationale qui se partageaient, en 2010, une enveloppe de 366 millions de l'ACDI (Agence canadienne de développement international).

    Leur conclusion: de 2005 à 2010, les subventions des ONG laïques ont augmenté de 5%, passant de 226 à 237 millions. Pendant la même période, l'enveloppe annuelle des ONG religieuses est passée de 90 à 129 millions, soit une hausse de 42%.

    La part du lion de cette augmentation est allée à une douzaine d'ONG de l'Ouest canadien, qui ont reçu 50 millions en 2010, contre 29 millions cinq ans plus tôt - une hausse de 72%. Or, parallèlement à leur mission humanitaire, ces ONG se vouent ouvertement à l'évangélisation.

    Des exemples? L'organisation humanitaire Africa Community Technical Services a reçu 655 000$ de l'ACDI en 2010, presque trois fois plus qu'en 2005. Sur son site web, cette ONG de Colombie-Britannique affirme mener son action «sous l'autorité des écritures» et chercher «à glorifier notre Seigneur Jésus».

    «C'est très idéologique»

    Le prosélytisme de Cause Canada est encore plus affirmé. «Nous prions pour que notre identification avec Jésus, notre souci de la justice et notre démonstration concrète de l'amour de Dieu [...] attirent les gens vers le Christ», lit-on sur son site internet. Cette ONG albertaine a reçu 483 000$ de l'ACDI en 2010, une augmentation de 32% comparativement à 2005.

    «Ces résultats indiquent que le niveau de financement accordé aux ONG religieuses en général, et celles exerçant des activités de prosélytisme en particulier, a considérablement augmenté sous le gouvernement conservateur», affirme François Audet, professeur à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM, dans la présentation de son article.

    Selon lui, les années Harper ont été marquées par une «confessionnalisation» de la politique canadienne d'aide au développement. «Rien ne prouve que cette rupture va dans le sens de l'efficacité, c'est très idéologique. Peu à peu, on change la vocation de l'aide internationale», juge le chercheur.

    Quand on lui demande de commenter l'étude, l'ACDI se contente de dire qu'elle «reçoit plus de propositions qu'elle ne peut en accepter», que les subventions sont accordées au mérite, là où les «programmes sont le plus susceptibles de donner des résultats concrets».

    Pas de surprise

    La recherche de François Audet n'a pas causé de grande surprise dans le réseau des ONG de coopération internationale. «Ça confirme les tendances que nous voyons se dessiner depuis quelques années, sans pouvoir mettre de chiffres dessus», dit Chantal Havard, porte-parole du Conseil canadien pour la coopération internationale.

    Gervais L'Heureux, directeur de l'Association québécoise des organismes de coopération internationale, rappelle que de nombreux organismes, comme Alternatives ou le Centre international de solidarité ouvrière (CISO), perdent leur financement. «Pendant ce temps, on donne de l'argent à des ONG religieuses sans grande expérience en coopération internationale.»

    Les conclusions de la recherche dirigée par François Audet «donnent des frissons dans le dos», dit Michèle Asselin, coordonnatrice de CISO.

    Cet organisme, fondé par des centrales syndicales, vient en aide, entre autres, aux travailleurs des maquiladoras mexicaines. Il y a deux ans, l'ACDI a refusé de renouveler le financement du projet, sous prétexte que le nord du Mexique est devenu «trop dangereux», relate Mme Asselin. Elle-même lit dans cette décision une volonté d'écarter du financement fédéral les organismes voués à la défense des droits et libertés.

    Mais à l'autre bout du pays, Cause Canada, qui a vu sa subvention augmenter de façon substantielle en 2010, rejette l'analyse de François Audet. La directrice Beverley Carrick nie se livrer à du prosélytisme et affirme être simplement «motivée» par sa foi.

    Incertitude généralisée

    Grâce aux fonds de l'ACDI, l'organisme a financé un programme d'alphabétisation et de microcrédit pour femmes au Guatemala, au Honduras et en Sierra Leone. Mais ces fonds sont actuellement épuisés et, comme d'autres ONG, Cause Canada ne sait pas ce qui l'attend d'ici au prochain «appel de propositions» de l'ACDI.

    Car au-delà du virage religieux constaté par François Audet, tout le réseau de coopération internationale vit à l'heure de l'incertitude. Dans son dernier budget, le gouvernement Harper a annoncé des coupes de 8% du budget de l'ACDI pour les trois prochaines années. L'ACDI a lancé son dernier appel général de propositions au printemps 2011. Parallèlement, elle encourage de plus en plus les partenariats avec le secteur privé. Tous ces changements créent beaucoup d'inquiétude parmi les ONG de coopération internationale, qu'elles soient religieuses ou pas.

    ***

    LES FAITS SAILLANTS DE L'ÉTUDE

    Dans sa recherche, François Audet a examiné les déclarations de revenus de 198 ONG canadiennes de coopération internationale qui ont droit au statut d'organisme de charité et reçoivent des fonds de l'ACDI. Les constats:

    De 2001 à 2005, sous un gouvernement libéral, l'ACDI s'est montrée plus généreuse envers les organismes laïques, qui ont vu leur enveloppe budgétaire passer de 178 à 226 millions (une augmentation de 27%), tandis que les subventions versées aux organismes religieux ont baissé de 95 à 90 millions (une baisse de 4,6%).

    La tendance s'est inversée après l'arrivée au pouvoir des conservateurs de Stephen Harper, alors que les fonds des organismes religieux ont explosé de 42%, pour atteindre 129 millions. La part du lion est allée aux organisations vouées au prosélytisme, qui ont vu leur budget augmenter de 72%.

    - L'enveloppe budgétaire des organismes séculiers a connu une hausse de 5%.

    - L'ACDI s'est montrée particulièrement généreuse envers des ONG religieuses basées à l'ouest de l'Ontario, qui ont reçu 46 millions en 2010, plus du double des 21 millions qu'elles avaient touchés en 2005.

    - Pendant ce temps, toujours dans l'Ouest, les ONG laïques ont vu leur enveloppe budgétaire passer de près de 12 millions à 14,7 millions.

    - Au Québec et dans l'Est du Canada, les subventions des ONG religieuses sont passées de 16,3 à 19,5 millions, une hausse de près de 20%. Tandis que les organismes laïques, eux, ont bénéficié d'une hausse de 6%, passant de 60 à 64 millions.

    L'équipe de chercheurs s'est basée sur la mission des organismes telle que la décrit leur site web pour faire la distinction entre leur nature laïque, religieuse ou prosélyte.

  15. http://www.lapresse.ca/actualites/politique-canadienne/201305/14/01-4650708-le-canada-boycottera-une-conference-sur-le-desarmement.php

    Le Canada boycottera une conférence sur le désarmement

    Le Canada boycottera les travaux de la conférence de l'ONU sur le désarmement pendant qu'ils seront présidés par l'Iran, a annoncé mardi Ottawa, déplorant «un grave dysfonctionnement au sein des Nations Unies».

    L'Iran doit assumer la présidence tournante de la conférence, qui se tient à Genève, du 27 mai qu 23 juin.

    «Cela tourne en dérision les questions touchant le désarmement ainsi que le désir sincère du monde entier de faire des progrès», a affirmé le porte-parole du ministère canadien des Affaires étrangères Rick Roth, dans un communiqué.

    «En Irak, en Syrie, au Liban et ailleurs, le régime (iranien) oeuvre directement contre les objectifs mondiaux en matière de désarmement, et il porte atteinte aux principes fondamentaux» de la conférence, a-t-il ajouté.

    Les États-Unis ont annoncé lundi qu'ils n'auraient pas d'ambassadeurs pour les représenter lors de la présidence de l'Iran.

    Soixante-cinq États, dont l'Iran, participent à la Conférence sur le désarmement, seul forum multilatéral de la communauté internationale sur ce sujet. La présidence tournante assure l'agenda et le bon déroulement des débats.

  16. Je me lance moi aussi.

    Les prochains paradoxe technologique que je voie se situe:

    Au niveau de l'informatique.

    Actuellement, nous avons atteins la limite capacitaire du 0101. Autrement que d'ajouter toujours plus de processeur à l'IA, il y a peu de chose a faire. Je voie bien le remplacement des circuits imprimé par l'utilisation de la lumière pour stocker et traiter l'information.

    Au niveau du combat spatial.

    Sans en venir au folie des batailles épique entre vaisseau capitaux et escadre de chasseur spatiaux, nous pouvons voir dans les 20 prochaines années le développement industriel d'une chasse anti-satellite. Des progrès dans ce domaine ont été fait notamment avec les X-37 US et leurs réplique chinoise. Ajoutons canon électromagnétique (Mass driver), quelque missiles et une propulsion ionique (très à la porté humaine... Même utilisé par l'humain selon les ''OVNI'' de type zone 51 avec halo bleu très distinctif de l'utilisation ionique dans une atmosphère riche en h20). Ajoutons à tout cela des satellites intercepteur, d'attaque au sol et de com, pour produire un formidable gâchis de milliard en quelque jours...

  17. De même sur la carte est-il très étrange de voir Belgique, Hollande et Québec  :rolleyes: :Odu côté allemand, une Italie neutre....

    Pour le Québec, il y a une raison. C'est une certaine honte dans notre histoire, mais il y avait un parti Nazi canadien qui gagnais en puissance avec un chef adorateur d'Hitler (Sa maison avait mobilier et art venu de l’Allemagne Nazi) dont le principal électorat était au Québec. À l'époque, nous étions un peuple extrêmement religieux (proche de la théocratie selon les critères modernes) et conservateur. Ce qui a causé la chute soudaine du parti est justement notre ferveur religieuse passé. Le ''führer canadien'' était un avorteur. Il a fait un avortement de trop qui a résulté par une mort.

    Voila ce qui a surement sauvé l’Angleterre vs la bataille de l'atlantique... Un avortement de trop...

  18. Dans certain milieu de gauche ici au Québec, il se dit parfois que la CDN est devenu un ''refuge de dernier secours'' pour Anarco-Communiste et que certain ont fuit la GRC en se réfugiant la-bas.

    Est-ce vrais? Je ne sais trop, mais cela donnerais une bonne équipe de travail au jeune Kim. Avec les troubles en Europe notamment en Grèce, se peut-il que certain y ont fuit?

    Sachant l'éducation Anarcho-Communiste européenne qu'à reçu Kim Jong-Un, c'est possible, il s'est surement fait des liens dans son adolescences.

  19. Malheureusement, la proposition ne sera pas évaluer par notre gouvernement. Les conservateur ne sont pas loin d’Israël et US niveau extrémisme religieux. Selon eux (les évangélistes) le Canada est la terre promise pour aider Israël lorsque dieu reviendra sur terre...

    La politique des conservateurs est identique au républicain de Bush et est plus proche du fantasme que de la réalité. (Quand ton ministre de l'industrie, des sciences et des technologie croit que l'homme a côtoyer les dinosaures...)

    Ainsi donc, le matériel américain prime sans appel d'offre... Après, je peux toujours vous parler du PLC et de leurs amour pour le britannique, quoi qu'eux sont beaucoup plus terre-à-terre. Les libéraux ont déjà affirmer leur préférence pour le Eurofighter Typhoon. Le seul espoir qu'a la France pour refiler du rafale au Canada, c'est une élection du NPD... Chose qui n'arrivera surement pas dans les 10 prochaines années vue la déception qu'ils ont causé au Québec.

  20.  Innover et développer c'est bien, je pense que personne ne dira le contraire et tout pays en a besoin pour ses propres intérêts industriels et donc économique, surtout quand on a chez soit une industrie aéronautique qui assemble des avions ("Bombardier") qui est hautement impliquée dans la sous-traitance de pièces aéronautique des + grands constructeurs civils (Boeing-Airbus) et probablement aussi pour du militaire de manière + modérée (aucune idée des marques et des pièces mais il me semble bien qu'il y a pas mal d'activité de sous traitance pour divers fighters ou que sais je en pièces) et aussi dans le domaine spatial : le Canada est industriellement assez impliqué autant pour la NASA, que pour l'ESA via des pièces construites chez eux

    Et dernière chose, quand le passé industriel du pays dans le domaine des fighters a eut produit sous licence diverses productions américaines, qui dit qu'au final le pays a déja vu industriellement pas mal de choses dans le domaine (F4, F104 Starfighter, F5, F86 ...  https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_aircraft_of_the_Royal_Canadian_Air_Force   a lire en bas dans les "retired aircrafts" ou l'on constate une certaine activité de production sous licence par le passé)

     Certes quand on a tout cela on ne part pas de rien ... Ce qui crédibilise la chose pour la possibilité que le Canada développe soit même son fighter et il y aurait tout intérêt ... Mais le problème étant que le Canada partirait quand même d'un retard assez "marqué" ce qui ne veut pas dire "mission impossible" pour produire et développer soit même un fighter moderne probablement pour être raisonnable un 5 ème gen  pour la furtivité mais qui aurait un niveau général de 4 ème gen dans les autres domaines  (dynamisme, manoeuvrabilité, systèmes d'armes, technicité globale, électronique et motorisation ... Probablement d'origine étrangère pour cette dernière) voir même un peu moins si ça se trouve ou alors aidé par un pays qui maitrise le 4,5 gen pour assurer la ou il y aurait des faiblesses éventuelles par manque d'expériences de développement sur les technologies accumulées par certaines puissances entre 1980 et 2000 ... Peu importe

     Ils y arriveraient sans aucun doute ... Et ça serait tout bon pour le Canada en intérêts et retombées même si le fighter n'aurait aucun projet de vente, mais beaucoup d'acquis qui permettrait au pays d'aller + loin, ou de se servir des retombées pour son propre grand constructeur national "Bombardier" pour ses futurs appareils civils voir militaires divers

     Mais il y a un problème majeur dans cette proposition, c'est le temps enfin le délai ... Pour développer un fighter et surtout quand on part du niveau ou démarrerait le Canada : C'est minimum 10 ans de boulot en études, développements, essais divers en matériaux, aérodynamique, systèmes avant d'envisager de construire un premier proto ... Et probablement 5 ans de + pour commencer a produire le zing en série, un délai de bien 15 ans minimum et peut être 20 ans a cause de la furtivité et des choses secrêtes a explorer

     Du coup la critique de cette personne sur les "délais de livraisons" des constructeurs étrangers probablement justifiée dans le fait des aléas auxquels le Canada peu déja s'attendre quelque soit l'appareil qu'il commanderait, tombe a l'eau car le délai serait probablement encore + long en développant soit même un appareil qui en vaut le coup ... (jusqu'a un délai 200% + long et même pourquoi pas 300% selon a quoi on le compare : Le délai de livraison des F35 ? Du Rafale ? Du Foufoun ? 10-5-5 ans ?)

    L'autre problème c'est pour quel besoin ré-évalué ? Dans le sens que si le Canada partirait sur un plan complêtement a l'opposé de produire lui même un fighter qu'il aurait développé par ses soins (aidé ou pas)  la quantité de fighters a prévoir serait alors forcément changée ...

    Car 65 F35, ça correspond a quoi ? Les besoin objectifs du Canada en matière de supériorité aérienne avec un territoire aussi grand ? Ou un chiffre raisonnable malgré les besoins probablement + grands en réalité a cause du cout élevé de l'appareil et de sa marge de dérive des couts globaux de possession et de MCO assez flou encore aujourd'hui (et il me semble que c'est ce qui est le + fortement dénoncé dans le dossier et qui a crée les + vives oppositions au F35 et au lobbying de LM) et que du coup 65 c'est du "malgré" le besoin réel ...

     Parce que pour assurer un plan d'acquisition de fighter d'un niveau raisonnable (furtif ou pas) en passant par la case développement et industrialisation par soit même ... Il faudra probablement au minimum 100 fighters de + dans le dossier (environ 150 au moins, voir +) pour la crédibilité économique des couts/appareils : Si le Canada se lance dans un plan de développement pour environ 50-70 équivalent ou pas loin F35/Raffy like c'est vite vu, ils payeront chaque appareil une véritable fortune inédite dans le domaine a + de 250 millions de $ l'engin ... Soit un scandale a lui seul ne serait ce que de l'envisager

    Et pour quand ? Car un tel plan en partant de 2013-14-15 pour la décision ça voudrait dire grosso modo premières livraisons au minimum 2030, et peut être même 2035 si il y a des aléas de développement liés a des technologies ou pour le Canada tout serait a réinventer pour un pays qui n'a plus l'expérience de construction de fighters (sous licence ...) depuis les années 70 je crois

    En fait je crois que c'est la pire proposition qui soit ... Car le dossier n'enlèverait pas l'urgence et l'évidence que les F18 actuels du Canada pour espérer assumer la souveraineté aérienne des territoires nord et de la question arctique doivent être remplacés ou épaulés par un nouvel engin a commander au + tot pour espérer l'avoir vers 2020 ... Et on retombe sur la case départ, la situation actuelle du Canada exige qu'ils achètent un fighter pour en disposer pas trop tard

      Car si ils ont aussi lorgné sur des nouveaux F18 en alternative, c'est que la situation urge un minimum ... Et qu'il y a un besoin réel d'avoir un Zing a neuf vers 2020 et au de la

    Après dans "développer, innover" on peut y fourrer pas mal de choses ... Cela pourrait aussi se faire sur un contrat de transfert industriel pour produire un nouveau fighter a partir d'un proposé dans les futurs candidats a l'appel d'offre pour "re-légitimer" le F35 comme ils sont en train de faire ... Car on peut s'y attendre malgré l'appel d'offre qui sera le vainqueur probable ... Mais bon, je doute que le Canada ait de quoi apporter du "+" en développement a un F35 ... Qui malgré ses déboires est sensé être la crême du domaine en surfant sur des acquis du F22 bien que l'aspect dynamique de l'engin laisse a "caution" mais que sa furtivité a la limite rend la question dynamique pas forcément un domaine crucial selon le point de vu

    Alors qu'un Raffy ou un typhoon sous transfert techno peuvent recevoir d'un développement national (ou commun) pour améliorer l'appareil ... Mais bon, qui d'autre que son propre constructeur peut améliorer par développement son propre appareil ?

     

    Je crois surtout que ce que le général apporte, c'est qu'avec tout les délais sur la livraison du premier F-35 et l'explosion des coûts, nous aurions été mieux de crée et produire un avion nous-même. L'idéal cependant pour le Canada restera d'en acheté et de les assembler sur le territoire. Des miliaires et surtout les politiciens  de l'opposition penchent pour le Eurofighter Typhoon.

  21. Sur ce sujet, il n'y a qu'une chose à dire... Organisation de coopération de Shanghai.

    Surtout que les russes veulent en faire une alliance militaire complète dans le genre OTAN.

    La Chine à bien plus a gagner dans cette optique que dans des conflits avec ses voisins.

  22. Le territoire du labrador, surtout dans les années 40 n'était qu'un territoire recouvert d'une forêt de conifère d'une hauteur de 1m50 à 2m50, infranchissable formant un mur d'épine acéré recouvrant une terre de montagne et de vallée marécageuse. C'est pire qu'une jungle. À l'époque, pas de route, pas d'habitation sauf les innus et inuit le long des côtes.

    Pour les missions Nazi, les deux voie de pénétration des U-boat était le Saint-Laurent et la Baie des chaleur.

  23. Est-ce que ce type d'arme aurais pu être testé lors du raid?

    http://www.45enord.ca/2013/05/une-super-bombe-anti-bunker-contre-liran-ou-la-coree-du-nord/

    Une super-bombe anti-bunker contre l’Iran ou la Corée du Nord

    La Défense américaine vient de perfectionner sa plus puissante bombe «anti-bunker» qu’elle a dans son arsenal: le Massive Ordnance Penetrator (MOP). Avec cette avancée, le Pentagone serait désormais en mesure de pouvoir détruire le site nucléaire le plus protégé et sécurisé d’Iran, le complexe de Fordo, indique le Wall Street Journal dans son édition du vendredi 2 mai.

    Pour le département d’État américain, le développement de cette nouvelle version du MOP devrait convaincre Israël de ne pas lancer une attaque unilatérale en Iran, dès lors que les États-Unis disposent désormais des capacités d’empêcher l’Iran d’obtenir la bombe nucléaire si la diplomatie échoue.

    Les États-Unis et Israël s’inquiétaient jusqu’à présent de ne pas avoir la capacité technologique de détruire le complexe d’enrichissement d’uranium de Fordo, enterré dans une montagne près de la ville iranienne de Qom, à 150 kilomètres au sud-ouest de Téhéran. En janvier 2012, le Pentagone avait admis ne pas croire que la précédente version du MOP puisse pénétrer jusqu’aux centrifugeuses du complexe.

    Selon le Wall Street Journal, cet obstacle désormais levé avec le perfectionnement du MOP et les Occidentaux (États-Unis en tête) pourraient disposer d’une pression supplémentaire dans les efforts diplomatiques pour mettre un terme au programme nucléaire iranien. Washington dit toujours privilégier l’option diplomatique dans ce dossier. «Nous espérons ne jamais avoir à l’utiliser, a indiqué un responsable américain auprès du quotidien. Mais si nous devions le faire, ça fonctionnerait.»

    Si peu de détails sont disponibles quand à la modernisation apportée à la bombe, on sait quand même que la nouvelle version de cette arme de 15 tonnes, a ses fusibles ajustés pour maximiser ses pouvoirs de forage. Le fusible du détonateur a ainsi été réglé pour résister aux chocs produits par les couches de granit et d’acier de l’installation nucléaire. Cette «super-bombe» contient également un équipement de haute technologie lui permettant d’échapper aux systèmes de défense aérienne iraniens.

    La nouvelle version de l’arme comprend également des modifications au système de guidage pour améliorer la précision. Les responsables américains disent que la précision est importante car, si les États-Unis décidaient de frapper l’Iran, l’US Air Force aurait besoin de larguer plus d’une MOP à l’exact même endroit pour détruire complètement Fordo.

    L’idée est de créer un cratère avec la première bombe puis d’envoyer d’autres bombes dans le même trou pour atteindre de plus grandes profondeurs.

    Si l’Iran est la première cible envisagée de par son programme d’enrichissement de l’uranium, la Corée du Nord avec ses différentes installations n’est pas oubliée. Des responsables américains ont notamment déclaré au journal de New York que si cette arme était utilisée en Corée du Nord, elle serait bien plus destructrice en raison de la faiblesse des défenses.

    Jusqu’à présent, le Pentagone a dépensé environ 330 millions $ pour développer une vingtaine de ces bombes, et a demandé du financement supplémentaire pour les rendre plus efficaces. Ce financement est arrivé et le département américain de la Défense a dépensé plus de 400 millions $ pour cette arme construite par Boeing.

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