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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. NASA decides to keep 2 astronauts in space until a February return with SpaceX, nixes return on troubled Boeing capsule La NASA décide de maintenir deux astronautes dans l'espace jusqu'à leur retour en février avec SpaceX, et renonce à un retour à bord d'une capsule Boeing en panne. Bon là Boeing ils les accumulent
  2. Je parie pour moins, et je suis moins fou que les Ukrainiens.
  3. Pour récupérer le Donbass où les combattants Russes seront pris entre le marteau et l'enclume.
  4. Mais tu avance vers le sud le long de la frontière de l'Ukraine tu as juste à faire avancer les forces qui tenaient l'ancienne frontière vers la nouvelle frontière et en plus ça ouvre de nouvelles routes logistiques pour nourrir les avancées.
  5. Mais si les Russes ne renforcent pas la résistance à l'avancement des Ukrainiens sur le territoire Russe, qu'est ce qui empêche ceux ci de pousser vers le sud comme je l'ai dit (pour rire) pour prendre à revers les combattants Russes du Donbass?
  6. Airbus, Dassault, Thales, Safran : le « Big Four » porté par les activités dans la défense Les quatre grands groupes français présents (Airbus, Dassault Aviation, Thales et Safran) ont présenté des résultats semestriels en progression dans le domaine de la défense. Cette progression est principalement liée à l'augmentation des volumes en première monte, notamment dans les activités de défense. Enfin, Airbus a enregistré une belle augmentation de 7% du chiffre d'affaires d'Airbus Defence and Space (4,98 milliards d'euros), essentiellement due aux activités d'Air Power (aviation de combat et de transport). L'avionneur européen a notamment livré quatre avions de transport militaire A400M au premier semestre 2024 (contre trois au premier semestre 2023). Dans le domaine de la défense et de l'espace, Airbus a engrangé 6,05 milliards d'euros de commandes au premier semestre de cette année dans le cadre de l'activité Air Power. Un montant stable par rapport au premier semestre 2023. Pourtant, l'un des moteurs de cette croissance pourrait ralentir à l'avenir : l'exécution de la Loi de programmation militaire (LPM), couvrant la période 2024-2030, semble aujourd'hui en grand danger en raison de la situation financière catastrophique de la France. Dassault, Thales : des commandes en forte hausse En dépit des problèmes récurrents de livraisons des sous-traitants et du crash inattendu de la filière spatiale française (Airbus et Thales), les quatre grands groupes français affichent pour l'heure dans le domaine de la défense des résultats en progression, qui ne sont pas en très grande partie boostés par le conflit russo-ukrainien. Thales, qui a remporté neuf très grands contrats de plus de 100 millions d'euros dans le domaine de la défense durant le premier semestre 2024, illustre cette période faste. À 6,1 milliards d'euros (contre 4,5 milliards) au premier semestre 2023 (+ 36%), les prises de commandes dans le secteur Défense & Sécurité reflètent une dynamique commerciale forte. Ce qui génère une hausse du chiffre d'affaires de cette division qui s'est élevé au premier semestre à 4,9 milliards d'euros, en hausse de 8,7 %. L'avionneur militaire Dassault Aviation est également à la fête. Le carnet de commandes défense a progressé plus de 7% par rapport au premier semestre 2023, à 36,4 milliards d'euros (dont 27,3 milliards à l'export) tandis que le chiffre d'affaires défense a augmenté de plus 6%, à 1,55 milliard d'euros. Lors du premier semestre, Dassault Aviation a notamment engrangé dans son carnet la troisième et dernière tranche du contrat remporté en février 2022 en Indonésie (18 Rafale sur les 42 au total). Enfin, le montant des prises de commandes défense a bondi à 4,1 milliards d'euros (contre 800 millions au premier semestre 2023), principalement en raison du contrat indonésien. Dassault Aviation doit livrer 20 Rafale cette année (6 au premier semestre). Safran, Airbus : progression du chiffre d'affaires Les activités de défense de Safran, qui sont regroupées dans la division Équipements & Défense, ont également fait preuve de beaucoup dynamisme. Ainsi, le chiffre d'affaires Équipements & Défense a enregistré « une forte augmentation de 23,1 %, portée par toutes les activités, notamment celles liées à la défense », a expliqué Safran fin juillet. Y compris dans les activités services, notamment dans les systèmes de visée et de navigation. Dans les activités de défense, la forte croissance a été principalement tirée par les systèmes de guidage, l'optronique et les systèmes embarqués. En outre, le résultat opérationnel courant de cette division s'est élevé à 657 millions d'euros, en hausse de 41%. Enfin, cette progression est principalement liée à l'augmentation des volumes en première monte, notamment dans les activités de défense. Enfin, Airbus a enregistré une belle augmentation de 7% du chiffre d'affaires d'Airbus Defence and Space (4,98 milliards d'euros), essentiellement due aux activités d'Air Power (aviation de combat et de transport). L'avionneur européen a notamment livré quatre avions de transport militaire A400M au premier semestre 2024 (contre trois au premier semestre 2023). Dans le domaine de la défense et de l'espace, Airbus a engrangé 6,05 milliards d'euros de commandes au premier semestre de cette année dans le cadre de l'activité Air Power. Un montant stable par rapport au premier semestre 2023. Michel Cabirol
  7. Il y a un gain de processing, tu sais ce que tu cherche, tu as une réplique exacte du signal, tu veux trouver la détection simplement pour avoir sa date d'arrivée, ce gain de processing permet d'aller trouver le signal bien en dessous du bruit, il n'y a pas besoin d'avoir des antennes performantes, j'avais calculé que c'était comme si on avait une antenne directive bien orientée de 20 m de diamètre. Les récepteurs Galileo militaires, pour avoir ce gain de processing sont massivement parallèle.
  8. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    D'accord avec ce que tu dis, mais finalement l'état paie des pensions qui résultent des cotisations qu'il n'a pas versées sur son budget au lieu de payer les cotisations qui lui éviterait de payer les futures pensions sur son budget. Pour moi les deux sommes doivent être à peu près équivalentes.
  9. Cela justifie l'importance de la cyber sécurité. On l'avait déjà pour les satellites de navigation et cela explique qu'on m'a détaché en Allemagne pour aider nos concurrents à avoir une cyber sécurité adéquate sur Galileo. Les Ukrainiens ont bien dit que les AASM étaient insensibles au brouillage n'est ce pas.
  10. Le concept des Collaborative Combat Aircraft (CCA) comme porteurs de systèmes représente une approche prometteuse dans le cadre de la guerre en réseau (net-centric warfare) et l'évolution de l'aviation militaire. L'idée d'avoir des drones ou aéronefs autonomes avec des systèmes modulaires et interchangeables permet d'adapter les capacités d'une force aérienne à différentes situations et menaces, tout en rendant ces systèmes plus résilients, évolutifs et abordables. Voici quelques points à considérer concernant ce concept : Modularité et flexibilité des charges utiles : Le fait que les CCA puissent emporter des capteurs, des brouilleurs, des armes ou d'autres systèmes spécifiques en fonction de la mission rend ces appareils extrêmement polyvalents. Ils peuvent remplacer ou compléter des avions habités en répartissant la charge sur plusieurs drones spécialisés, qui collaborent pour accomplir des tâches complexes. L'idée de séparer les fonctions (radar, capteurs infrarouges, systèmes de communication) sur plusieurs plateformes permet de concentrer les effets sur une cible en utilisant les capacités collectives du groupe. Cela crée une synergie qui peut surpasser les systèmes actuels basés sur une seule plateforme. Réduction des coûts et gains d'efficacité : En fragmentant les systèmes (radars, capteurs, brouilleurs) sur plusieurs petits drones interconnectés, l'armée pourrait réduire le coût global des plateformes et des systèmes, tout en bénéficiant de la redondance et de la diversité des capacités. Cela offre une économie à long terme par rapport aux systèmes « tout-en-un » coûteux comme le F-35, qui combine tout dans un seul avion. Résilience et protection par la dispersion : L'idée d'éclater les systèmes critiques sur plusieurs plateformes autonomes permet de limiter les risques de perte. Si un CCA est détruit, cela n'affecte qu'une partie de l'ensemble, et non l'intégralité d'un système comme un avion habité. Les drones CCA peuvent travailler ensemble pour maximiser la furtivité et la défense, par exemple en utilisant leur capacité de réseau pour effectuer des manœuvres d'autoprotection. Connectivité accrue et coordination via la guerre en réseau : La possibilité d'avoir plusieurs plateformes interconnectées, capables de partager des informations en temps réel (net-centric warfare), permet une réponse plus rapide et plus précise face aux menaces. Chaque CCA peut collecter et partager des données avec les autres, formant un réseau où les informations sont centralisées pour une prise de décision optimale. Cela est particulièrement pertinent pour des missions où la vitesse et l'exactitude des données sont cruciales, comme la défense antimissile ou la supériorité aérienne. Adaptabilité et évolutivité : Un des avantages clés des CCA avec des charges modulaires est l’évolutivité. Au fur et à mesure que les menaces évoluent, de nouveaux types de charges peuvent être développés sans avoir besoin de créer de nouvelles plateformes coûteuses. Cette évolutivité rend la force aérienne plus agile, réactive aux besoins opérationnels et capable de maintenir une supériorité technologique. En conclusion, l'approche des CCA porteurs de systèmes distribués est une évolution naturelle vers une aviation militaire plus flexible, modulaire et résiliente. En permettant une spécialisation accrue et une connectivité maximale, cette architecture pourrait offrir des avantages significatifs dans les conflits modernes, en particulier dans des environnements contestés où la réactivité et l'adaptabilité sont cruciales.
  11. Je pense à des CCA porteur de systèmes: Ils ont tous un moteur, du carburant qui leur assure un minimum d'autonomie, des liaisons pour faire du net centric warfare de l'auto protection genre Furtivité/Spectra et la possibilité d'intégrer une des charges interchangeables qui peut être un capteur ou un effecteur: un radar ou même un émetteur Radar, un récepteur Radar, un IRST, ou un genre de pod talios, un ou deux missiles, un brouilleur etc...On éclate ce qui était concentré sur une plate forme et on utilise la connectivité pour concentrer les effets sur un objectif. C'est beaucoup plus évolutif car on peut créer de nouvelles charges interchangeables.
  12. En résumé, l'US Air Force envisage d'adapter ses priorités avec une approche plus flexible, tout en repensant son concept de chasseurs pour répondre aux défis actuels et futurs.
  13. Le programme NGAD, lancé en 2015, vise à développer un avion de 6e génération pour remplacer le F-22A Raptor. Le projet a été mis en pause en juillet 2024 en raison des coûts exorbitants (trois fois plus que le F-35) et des priorités concurrentes comme le B-21 Raider et le missile Sentinel. Le secrétaire de l'US Air Force, Frank Kendall, a souligné que le NGAD avait été conçu avant l'évolution actuelle des menaces et avant l'intégration des drones CCA. Le général David W. Allvin n'a pas exprimé de soutien ferme pour le NGAD, soulignant qu'il n'était pas indispensable et qu'il s'agissait d'un des nombreux choix possibles dans un contexte budgétaire contraint. Le général Allvin a présenté un concept d'avion de combat léger, probablement un visuel non officiel similaire au F-35A, qui pourrait être produit rapidement et doté de capacités furtives. Il a proposé de revenir à une approche inspirée des années 1950 avec des avions développés sur une période courte (5 à 7 ans), permettant une meilleure adaptation aux innovations technologiques. Le général Allvin a souligné la nécessité de développer des systèmes adaptables aux menaces et aux évolutions technologiques, plutôt que des plateformes conçues pour durer des décennies. En parallèle, le F-22A Raptor restera probablement en service au-delà de 2030, grâce à des programmes de modernisation visant à renforcer ses capacités de supériorité aérienne dans des environnements contestés.
  14. https://youtu.be/wBOMa1MNOsc Je l'affiche comme un lien car cela ne veut pas s'intégrer à cause d'un émoticône
  15. De nouveaux problèmes pour Boeing ? Une inspection des sièges de pilotes de centaines de Boeing 787 a été ordonnée Les sièges des pilotes de centaines de Boeing 787 vont devoir être inspectés, après un incident en mars sur un vol de la compagnie chilienne Latam au cours duquel l'avion avait soudainement perdu de l'altitude, blessant une cinquantaine de passagers, a annoncé lundi le régulateur américain. L'incident était survenu après une série de dysfonctionnements sur des appareils Boeing, qui ont soulevé des doutes sur les contrôles qualité de l'avionneur américain. Les passagers dont la ceinture de sécurité n'était pas bouclée avaient été propulsés au plafond après une soudaine perte d'altitude de l'avion. Le Boeing 787 Dreamliner, opéré par la compagnie chilienne Latam, reliait Sydney, en Australie, à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Le régulateur américain de l'aviation civile (FAA) a demandé ces inspections après un rapport ayant fait état d'un "mouvement vers l'avant non maîtrisé du siège du capitaine qui a entraîné une descente rapide", selon un communiqué. Quelque 158 appareils enregistrés aux Etats-Unis sont concernés par cette directive de navigabilité, et 737 à travers le monde, indique la FAA. Depuis l'incident, quatre autres occurrences de "mouvements horizontaux non maîtrisés" des sièges de pilotes ou copilotes ont été rapportées par Boeing à la FAA, précise cette dernière. Pour trois de ces cas, les leviers d'ajustement sur le siège étaient trop "lâches". Un mouvement "non intentionnel et prolongé du siège" peut entraîner une manipulation "non intentionnelle et abrupte des commandes de vol, qui pourrait entraîner une descente rapide de l'avion et blesser gravement les passagers et le personnel de bord", explique la FAA pour justifier sa directive. Sollicité, Boeing n'a pas réagi dans l'immédiat.
  16. Boeing suspend la certification du 777X, à cause d'une pièce défectueuse La découverte de microfissures sur les biellettes de poussée des trois B777 d'essai a contraint Boeing à interrompre sine die les vols de certification de son nouveau gros-porteur long-courrier, qui accuse déjà cinq ans de retard sur son calendrier initial. Les clients du Boeing 777-9 risquent de devoir patienter encore un peu plus longtemps. L'avionneur américain a dû interrompre, une nouvelle fois, les vols d'essai de son nouveau gros-porteur long-courrier, après la découverte, ce week-end, d'une fragilité structurelle sur l'une des pièces critiques de fixation du moteur. De quoi retarder encore un peu plus la certification du dernier modèle de Boeing, qui a déjà accumulé cinq ans de retard sur le calendrier, et occasionner quelques cheveux blancs supplémentaires à son nouveau patron, Kelly Ortberg . L'information, dévoilée par le site spécialisé américain « The Air Current », a été confirmée lundi soir par Boeing, sans précision supplémentaire concernant le niveau de gravité du problème ou la durée d'interruption des vols. Seule certitude : les trois appareils dédiés aux vols de certification, ont tous été cloués au sol, après la découverte sur les trois avions, de microfissures sur les « thrust link » (biellettes de poussée). Il s'agit d'une sorte de barre en titane - il y en a deux par moteur - conçue pour transférer de l'avant à l'arrière, une partie des contraintes mécaniques produites par la poussée du moteur. Donc une pièce critique pour la sécurité.
  17. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    La redéfinition des programmes d'avions de combat de 6e génération, tant pour le NGAD américain que pour le SCAF européen, doit tenir compte des évolutions géopolitiques et des contraintes opérationnelles. Effectivement, l'accélération des menaces militaires, en particulier la potentielle confrontation avec la Chine autour de 2027, a un impact direct sur la planification des programmes de défense aérienne, d'où l'importance croissante des drones et des systèmes collaboratifs avec des avions existants comme le F-35 ou le Rafale. Contexte géopolitique et nécessité d'adaptation rapide Le calendrier d'une éventuelle confrontation avec la Chine, estimé à partir de 2027, incite les États-Unis et leurs alliés à se préparer avec des systèmes utilisables dans des délais plus courts. Le NGAD américain, conçu à l'origine comme un programme de long terme pour dominer l'espace aérien dans les années 2030 et au-delà, fait face à une révision stratégique. Il semble que les forces armées américaines se rendent compte que le NGAD, dans sa forme initiale (un chasseur de 6e génération extrêmement avancé avec des systèmes coûteux et complexes), ne serait pas opérationnel à temps pour une potentielle confrontation avec la Chine. Ainsi, les efforts se concentrent désormais sur des drones avancés qui pourraient être développés et déployés plus rapidement. Ces drones serviraient d'ailiers fidèles (Loyal Wingman) pour les F-35 ou d'autres avions existants, leur permettant d'augmenter leur efficacité et de minimiser les risques humains lors de missions dangereuses. Les drones peuvent être utilisés pour les missions de pénétration dans des zones fortement défendues, la reconnaissance, et même comme plateforme de lancement d'armements. Parallèle avec la stratégie française : Rafale F5 et drones La France adopte une stratégie similaire en réorientant certains de ses efforts vers des drones furtifs et la modernisation rapide de ses plateformes existantes, comme le Rafale. Le Neuron, un démonstrateur de drone de combat furtif développé par Dassault Aviation et plusieurs autres partenaires européens, est un exemple de cette capacité. Bien qu'il ne soit pas encore un programme opérationnel à grande échelle, le Neuron a démontré la capacité à intégrer des drones furtifs dans l'arsenal aérien français. L'idée de développer un drone dérivé du Neuron pour accompagner le Rafale F5 correspond bien à une stratégie similaire à celle adoptée par les États-Unis avec le NGAD et les drones accompagnant le F-35. En utilisant des drones pour exécuter des tâches dangereuses, telles que la pénétration en territoire ennemi, les missions de reconnaissance ou les attaques de cibles fortement défendues, cela réduit la nécessité de rendre les avions de combat eux-mêmes extrêmement furtifs. En d'autres termes, cela diminue la dépendance à la furtivité complète pour les avions de chasse, car cette mission pourrait être déléguée aux drones. Avantages opérationnels des drones pour des programmes comme le NGAD et le SCAF Réduction des risques humains : L'utilisation de drones pour les missions les plus dangereuses diminue le risque de perte d'avions pilotés et de vies humaines, ce qui est essentiel dans des théâtres d'opérations hautement contestés. Déploiement rapide : Les drones peuvent être développés et produits à une échelle plus rapide que des chasseurs pilotés de nouvelle génération, qui demandent souvent des décennies de développement. Cela permet d'avoir des capacités utilisables avant l'arrivée des plateformes de 6e génération. Complémentarité avec les avions existants : Les drones peuvent opérer en tandem avec des avions comme le F-35 ou le Rafale, augmentant la létalité et l'efficacité des forces aériennes sans nécessiter immédiatement l'arrivée d'un tout nouveau chasseur. Le F-35 et le Rafale F5 pourront rester au cœur de la flotte pendant que les drones fourniront une capacité supplémentaire. Modularité et évolutivité : Les drones peuvent être mis à jour plus rapidement en fonction des menaces ou des besoins. Ils offrent une plus grande flexibilité pour s'adapter à des situations géopolitiques changeantes ou à des environnements opérationnels spécifiques. Conséquences pour le SCAF et le NGF L'avènement de drones collaboratifs et l'accent mis sur leur développement rapide pourrait effectivement remettre en question certains aspects du SCAF, notamment en ce qui concerne l'importance accordée au Next Generation Fighter (NGF), l'avion de combat piloté de 6e génération prévu au sein du programme. Si les drones permettent de gérer les missions les plus périlleuses, la furtivité totale du NGF pourrait devenir moins prioritaire. Cela ouvrirait la voie à un avion conçu avec des objectifs différents, comme une meilleure connectivité et la gestion d'un réseau d'aéronefs autonomes plutôt que de dépendre principalement de ses propres caractéristiques de furtivité. De plus, cela permettrait d'accélérer certaines capacités du SCAF en se concentrant sur le développement des drones, qui pourraient être prêts bien avant l'arrivée du NGF, un processus qui pourrait s'étendre jusqu'aux années 2040. La France et ses partenaires européens pourraient donc ajuster le calendrier et les priorités du programme en fonction des évolutions technologiques et géopolitiques. Conclusion Le développement rapide de drones avancés, que ce soit dans le cadre du NGAD américain ou du programme Rafale F5 avec un drone furtif dérivé du Neuron, semble être une solution pragmatique pour répondre à des menaces à court et moyen terme. Cela permet aux nations de maintenir leurs capacités aériennes sans attendre que des chasseurs de 6e génération soient totalement opérationnels. Cela n'élimine pas complètement la nécessité d'un avion de nouvelle génération (comme le NGF dans le SCAF), mais modifie la manière dont ces programmes sont définis et déployés. En intégrant des drones comme éléments centraux des futurs systèmes de combat aérien, les armées peuvent développer des capacités utilisables plus rapidement, tout en poursuivant les programmes de long terme pour des plateformes plus sophistiquées.
  18. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Cela veut dire que le taux de dilution qui est déjà faible à 0,3 (contre 0,4 pour le Typhoon) devra passer à 0,2: on n'est plus dans du turbo fan mais dans du turbo jet avec tendance stato réacteur . Non on peut écarter les M88 pour les mettre en face des entrées d'air et comme il faut couder les arrivées d'air pour des raisons de furtivité, tu les coudes vers le haut comme on le voit sur les différents projet NGF.
  19. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ce sera une petite soute à moins que tu écarte les M88 mais c'est un autre avion. Donc ta petite soute ne pourra pas contenir le missile hypersonique et comme il y a une soute tu ne peut pas mettre de point ventral pour porter ce missile...
  20. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    peut être mais tu vas gagner quoi? 100kg au grand maximum? C'est une approche valable pour les drones en supprimant la PC. Si un Rafale peut croiser à vitesse supersonique (M 1,4 pour un Rafale M peu chargé) cela veut dire qu'un drone bien étudié peut aussi le faire sans la PC.
  21. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Je ne pense pas qu'on ne va pas changer la structure du Rafale. Je vois trois niveaux de modification possible du Rafale: Augmenter un peu la puissance du M88 par exemple à 8,3t et en profiter pour améliorer la génération électrique Augmenter la puissance du M88 à plus de 9 t ce qui implique de reprendre les entrées d'air et ce qui dégrade la furtivité et la traînée. Rajouter en plus un tronçon au Rafale ce qui permet de remplacer l'ASMP-A par un missile hypersonique plus gros (on n'a pas besoin d'avoir tous les Rafale capables de porter le missile hypersonique).
  22. Oui j'ai bien dit que c'était moins bien, mais suppose qu'on ait plus de cuivre...C'est comme pour les carburants: les carburants naturels sont mieux que les carburants de synthèse, mais suppose qu'on ait plus de pétrole... Est ce que c'est mieux de faire des carburants de synthèse à partir de l'uranium ou est ce qu'il faut consommer du cuivre?
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