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    • 17 études techniques recensées pour déterminer les exigences de niveau inférieur du PTMS et autres sous-systèmes connexes.
    • Les résultats de toutes les études ne seront pas disponibles avant l'attribution du contrat de développement.
    • Les limites actuelles de la capacité de refroidissement pourraient entraver les capacités et les systèmes de mission de l'après-Block 4 dès 2029.
    • Mises à niveau du système de gestion thermique ne pourraient être mises en œuvre au plus tôt qu'en 2030, livraison réaliste en 2032.
    • Le fait de procéder au développement de la modernisation du moteur sans avoir défini les exigences relatives aux sous-systèmes connexes augmente le risque que le sous-programme de modernisation du moteur et de la gestion thermique n'atteigne pas ses objectifs en matière de coûts, de calendrier et de rendement.
    • Cinq technologies de sous-composants du moteur sont immatures.
    • Un des sous-composants est au niveau de maturité technologique (TRL) 4 (validé uniquement en laboratoire).
    • Les autres sous-composants doivent atteindre un TRL 5 (validé dans un environnement pertinent).
    • Recommandation de porter toutes les technologies à un TRL 7 avant le développement (prototype entièrement fonctionnel démontré dans un environnement opérationnel).
    • Le développement du moteur modernisé n'inclut pas la démonstration dans un environnement opérationnel au cours du développement.
    • Technologies resteront immatures jusqu'aux essais au sol prévus en 2026.
    • Conceptions de PTMS disponibles à différents TRL, tous à TRL 5 ou inférieur.
    • Systèmes connexes (gestion thermique du combustible et système d'alimentation électrique) également immatures à des niveaux variés.
    • Études de réduction des risques en cours pour identifier les lacunes techniques des sous-systèmes interdépendants.
    • Défis majeurs en matière d'intégration, notamment l'évacuation de la chaleur des systèmes de mission.
    • Plans pour faire mûrir les technologies du PTMS et des sous-systèmes connexes après les études de réduction des risques.
    • Reconnaissance par les responsables du programme que la synchronisation des efforts de développement du moteur et des systèmes de gestion thermique est un risque important.
    • Progrès dans l'estimation des coûts de développement de la modernisation du moteur.
    • Absence d'estimations pour les autres sous-systèmes connexes (PTMS, système d'alimentation électrique, système de gestion thermique du carburant).
    • Recommandation de mai 2023 pour estimer les coûts du cycle de vie complet et obtenir une estimation indépendante des coûts pour tous les éléments de modernisation.
    • Programme a réalisé ses propres estimations pour la modernisation du moteur.
    • Progrès vers une estimation de coûts indépendante avec des estimations variant entre 3,7 et 4,5 milliards de dollars.
    • En janvier 2024, les responsables du programme travaillent sur une estimation complète des coûts pour le sous-programme du moteur et de la gestion thermique utilisant les informations des études en cours.
    • Suivi continu des progrès concernant la définition des besoins, la maturation des technologies et l'évaluation des coûts des systèmes de modernisation des moteurs et de la gestion thermique.
    • Le Congrès aura un aperçu des coûts, du calendrier et des performances du bloc 4 pour prendre des décisions plus éclairées.
    • Le programme a évalué les aspects techniques du calendrier de livraison des capacités du bloc 4 et a proposé 84 recommandations pour l'améliorer.
    • Les recommandations incluent la construction de laboratoires supplémentaires, l'allongement de la durée de vie des avions d'essai et l'utilisation de nouveaux outils de planification prédictive.
    • Aucune décision n'avait été prise concernant ces recommandations en février 2024.
    • Le programme n'a pas encore publié de calendrier et d'estimation des coûts actualisés pour le bloc 4.
    • La portée du bloc 4 changera, en supprimant les capacités qui ne peuvent pas être prises en charge par le moteur actuel du F-35 et le système de gestion thermique.
    • Les capacités nécessitant plus de puissance et de refroidissement seront reclassées dans la catégorie "post-Block 4" pour un développement futur.
    • Les capacités post-Block 4 seront fournies au plus tôt en 2029.
    • En 2023, le programme a modifié sa stratégie de passation de marchés pour le Block 4.
    • Le contrat Block 4, attribué en mai 2023, permet d'affiner les orientations techniques et de redéfinir les priorités en matière de capacités sans modification du contrat.
    • Le contrat Block 4 prévoit deux points de décision clés dans le processus de développement.
    • Le premier point de décision lance le développement avancé d'une capacité jusqu'à la conception préliminaire.
    • Le second point de décision confirme les spécificités de la capacité après la conception préliminaire, fixant une date d'engagement pour la production.
    • Le programme prend des mesures pour augmenter la capacité d'essai du bloc 4 et du TR-3.
    • La flotte actuelle d'essais de développement comprend quatre avions scientifiques de vol, ayant plus de 10 ans et des problèmes de maintenance fréquents.
    • Les problèmes de maintenance de la flotte d'essais sont exacerbés par les difficultés croissantes d'approvisionnement en pièces de rechange.
    • Trois des quatre avions d'essai ont été immobilisés simultanément pour maintenance, limitant les essais.
    • Un avion d'essai de développement du F-35B a été immobilisé pour une longue période de maintenance, retardant les essais d'armes associés.
    • Les livraisons de logiciels TR-3 et Block 4 retardées ont permis de respecter le calendrier malgré les problèmes de maintenance.
    • Le programme construit quatre avions d'essais de développement modifiés, prévus pour 2026, pour contribuer à la réalisation du calendrier d'essais actuel.
    • Le programme emprunte actuellement des avions d'essai à d'autres flottes d'essai pour atténuer les retards.
    • Le programme prévoit de remplacer la flotte d'essais actuelle par neuf nouveaux avions d'essais de développement complets.
    • L'acquisition de six de ces nouveaux avions d'essais de développement a été autorisée en mars 2024.
    • Les nouveaux avions d'essais de développement seront achevés et disponibles entre 2029 et 2034.
    • Les nouveaux avions seront produits en séries échelonnées de trois à la fois.
    • Le plan de remplacement actuel laisse le programme sans avion d'essai disponible en 2028 et 2029.
    • En mars 2023, les responsables du ministère de la Défense ont annoncé la mise à niveau du moteur pour permettre des capacités post-Block 4 au-delà de 2029, mais sans contrat de développement attribué.
    • Le programme envisage des options pour la mise à niveau du système de gestion thermique et de puissance (PTMS) nécessaire pour un refroidissement supplémentaire des sous-systèmes de l'aéronef.
    • Le ministère de la Défense gérera les efforts de modernisation du moteur et de la gestion thermique comme un sous-programme majeur avec ses propres coûts, calendrier et références de performance.
    • En mars 2023, le programme a décidé de moderniser le moteur pour des capacités post-Block 4 au-delà de 2029.
    • Le programme a évalué des options de modernisation du moteur pour fournir une puissance et un refroidissement supplémentaires, détaillées dans un rapport de mai 2023.
    • La mise à niveau du cœur du moteur (ECU) est envisagée, ce qui mettrait à niveau le module de puissance et la boîte de vitesses, réduisant les coûts globaux et permettant l'augmentation des capacités des systèmes de mission futurs.
    • Des efforts de réduction des risques et de maturation technique pour l'ECU sont en cours depuis que la décision de modernisation du moteur a été prise.
    • Une revue de conception préliminaire de l'ECU a eu lieu en février 2024, une autre est prévue en mai 2024.
    • Un contrat de développement de l'ECU pourrait être finalisé à l'automne 2024, avec une durée de 7 ans pour le développement, les essais et l'intégration des sous-systèmes connexes, livrant des avions équipés du moteur modernisé en 2032.
    • Le programme envisage des mises à niveau du PTMS, du système d'alimentation électrique et du système de gestion thermique du carburant pour les capacités post-Block 4.
    • En février 2024, le programme étudie des options pour moderniser le PTMS actuel ou développer un nouveau PTMS, avec des coûts, délais et capacités de refroidissement variables.
    • Un contrat pour un intégrateur de système principal pour moderniser ces sous-systèmes est prévu pour août 2024.
    • Avant de sélectionner une solution de modernisation, le programme et l'intégrateur de systèmes mèneront des activités de maturation technologique et de réduction des risques.
    • Une option de modernisation spécifique sera sélectionnée d'ici la fin de 2026, avec des améliorations livrées par le contractant.
    • Les limites actuelles de la capacité de refroidissement pourraient entraver les capacités et les systèmes de mission post-Block 4 dès 2029.
    • Les mises à niveau envisagées du système de gestion thermique ne pourraient être mises en œuvre qu'en 2030, avec une livraison réaliste des sous-systèmes modernisés en 2032.
    • Le programme prévoit de transférer les capacités du bloc 4 nécessitant plus de puissance et de refroidissement au post-Block 4, prévu pour débuter en 2029.
    • Un retard dans les mises à niveau du système de gestion thermique après 2029 pourrait également retarder les capacités post-Block 4.
    • Le programme évalue actuellement comment ce déficit potentiel de puissance et de refroidissement affectera la livraison des capacités post-Block 4 et les mesures possibles pour y remédier.
    • Le programme F-35 gérera la modernisation du moteur et des systèmes de gestion thermique en tant que sous-programme majeur.
    • Ceci suit une recommandation de mai 2023 et est conforme à une disposition du NDAA pour l'année fiscale 2024.
    • Concept d'opérations approuvé en novembre 2023.
    • Annonce en mars 2023 de la mise à niveau du moteur pour permettre des capacités post-Block 4 au-delà de 2029.
    • Options de mise à niveau du moteur évaluées pour fournir plus de puissance et de refroidissement.
    • Mise à niveau du cœur du moteur (ECU) envisagée.
    • Exigences préliminaires de modernisation définies en août 2023.
    • Revue de conception préliminaire de l'ECU tenue en février 2024, une autre prévue en mai 2024.
    • Finalisation prévue des exigences lors de l'attribution du contrat de développement de la modernisation des moteurs à l'automne 2024.
    • Développement, essais et intégration de l'ECU sur une période de 7 ans, avec livraison prévue des avions équipés du moteur modernisé en 2032.
    • Examen des options de modernisation pour le PTMS, le système d'alimentation électrique et le système de gestion thermique du carburant.
    • Attribution d'un contrat à un intégrateur de système principal prévue pour août 2024.
    • Sélection d'une option de modernisation spécifique prévue d'ici la fin de 2026.
    • Livraison des sous-systèmes modernisés prévue en 2032.
    • Risques liés à la définition des besoins, à la maturation des technologies et à l'évaluation des coûts.
    • Recommandation de mai 2023 de réévaluer l'analyse des options de modernisation après la définition des exigences.
    • Le sous-secrétaire à la défense pour l'acquisition et le soutien a approuvé une nouvelle stratégie d'acquisition du F-35 en janvier 2024.
  1. Je demande à ChatGPT d'extraire les "atomes" d'information et je les place ensuite dans un plan de classement sous Excel qui me permet d'accumuler les atomes d'information par thème, l'avantage étant qu'une même information n'y figure qu'une seule fois même si elle est présente dans plusieurs articles. Par exemple, voici ce que j'ai sur le F-35:

    • Quasiment tous nos voisins vont voler sur F-35.
    • Le F-35 semble ne pas être interopérable.
    • Le F-35 n’est interopérable qu’avec le F-35.
    • Il y a une question persistante sur pourquoi les Européens achètent du F-35.
    • Les forces armées américaines se posent également des questions sur le F-35.
    • Le directeur de l'aéronautique de Lockheed Martin est optimiste quant à la reprise des livraisons de F-35 après une pause d'environ un an.
    • Les livraisons de F-35 à l'USAF ont repris après une interruption due à des problèmes logiciels.
    • Lockheed Martin prévoit de livrer 20 F-35 par mois, dont sept stockés et 13 nouvellement construits.
    • Il faudra de 12 à 18 mois pour écouler le stock de F-35 entreposés.
    • Les retards des livraisons de F-35 sont dus à des problèmes liés au logiciel TR-3.
    • Lockheed Martin a commencé l'acceptation en vol des avions TR-3.
    • Le gouvernement américain a accepté officiellement dix avions TR-3.
    • Certains avions TR-3 ont été acheminés vers le client final.
    • La certification par le gouvernement américain permet la certification des avions pour les clients internationaux.
    • Les avions TR-3 bénéficient de mises à jour matérielles telles que de nouveaux écrans de cockpit.
    • Les avions TR-3 ont une puissance de traitement nettement supérieure.
    • Les avions TR-3 disposent d'une nouvelle unité de mémoire.
    • Les avions TR-3 ont un système d'ouverture distribuée amélioré.
    • Les livraisons sont effectuées dans le cadre d'une "capacité de livraison d'entraînement".
    • Environ 95 % de la capacité de combat du F-35 est déjà intégrée dans l'avion.
    • Une grande partie du logiciel d'armement est déjà présente dans l'avion.
    • Les essais en vol et les certifications correspondantes des logiciels d'armement ne sont pas encore effectués.
    • Lockheed Martin vise la fin du printemps prochain pour la mise en place du logiciel de pleine capacité de combat.
    • Le programme F-35 JOINT STRIKE FIGHTER continue de rencontrer des problèmes de production et des retards de modernisation.
    • Les retards matériels et logiciels et la capacité d'essai limitée entravent les progrès de la modernisation du bloc 4.
    • Le programme F-35 est confronté à des problèmes de matériel et de logiciel TR-3, entraînant des retards dans le développement des capacités et la livraison des aéronefs.
    • Le programme évalue le coût, le calendrier et la portée du bloc 4, devenu un sous-programme majeur du F-35.
    • Le programme prend des mesures pour augmenter la capacité d'essai, avec de nouveaux avions d'essai prévus pour 2029.
    • Les livraisons tardives du TR-3 amènent le programme à réévaluer le calendrier complet du bloc 4.
    • Le matériel TR-3 devait être livré sur les avions à partir de juillet 2023, mais a été retardé jusqu'en juin 2024.
    • Le fournisseur du processeur central intégré TR-3 livre ce composant en retard et avec des problèmes de qualité.
    • En février 2024, environ 61 % des ensembles de processeurs intégrés avaient été livrés.
    • Les retards sont dus à des problèmes de chaîne d'approvisionnement, de pénuries de main-d'œuvre et de difficultés liées aux tests de qualité.
    • Lockheed Martin utilise des kits de matériel TR-3 rotatifs pour atténuer les pénuries de processeurs intégrés.
    • Tous les avions devront être équipés de kits de matériel TR-3 permanents avant de pouvoir être livrés.
    • Le processeur central intégré a connu des défaillances au démarrage lors des essais initiaux.
    • Des problèmes persistants de stabilité des logiciels TR-3 ont retardé le programme.
    • Les systèmes radar et de guerre électronique TR-3 ont rencontré des problèmes fréquents, nécessitant des redémarrages en vol.
    • Des problèmes liés à l'enregistrement des données compliquent l'identification des causes des problèmes logiciels.
    • Lockheed Martin prévoit de livrer une version moins performante du logiciel TR-3 pour les essais en vol en avril 2024.
    • Le logiciel TR-3 initial sera installé sur la flotte en juin 2024, mais n'offrira pas de nouvelles capacités.
    • Le logiciel TR-3 doté de nouvelles capacités ne sera pas livré avant 2025.
    • Les retards TR-3 ont retardé les livraisons d'avions au gouvernement et le développement des capacités du bloc 4.
    • Lockheed Martin stationne tous les F-35 compatibles TR-3 en attendant les kits matériels permanents et les nouveaux logiciels.
    • Lockheed Martin et le ministère de la Défense prévoient de certifier en moyenne 20 avions par mois pour résorber l'arriéré.
    • Actuellement, le programme compte en moyenne 13 certifications par mois.
    • Il faudra environ un an pour livrer les avions stationnés une fois le logiciel TR-3 achevé et certifié.
    • Les problèmes de main-d'œuvre et d'horaires de travail pourraient entraîner des difficultés de coordination entre Lockheed Martin et le bureau de la Defense Contract Management Agency.
    • La situation unique de stockage des F-35 présente des risques financiers et calendaires pour le ministère de la Défense.
    • Les retards du TR-3 ont contribué aux retards de développement, d'essai et de livraison des capacités du bloc 4.
    • Le programme F-35 JOINT STRIKE FIGHTER a donné la priorité à l'effort TR-3, absorbant la majeure partie de la capacité d'essai actuelle dans les laboratoires de logiciels et les essais en vol.
    • Le programme utilise moins de ressources d'essai pour faire mûrir le développement des capacités du bloc 4, créant un risque de retard.
    • La version du logiciel TR-3 permettant d'exploiter les nouvelles capacités du bloc 4 a été reportée à 2025.
    • Les capacités du bloc 4 dépendent du matériel et du logiciel TR-3 pour fonctionner, retardant leur mise en service.
    • Le programme prévoyait à l'origine de livrer des avions avec les capacités TR-3 et le bloc 4 à partir de juillet 2023.
    • Plus le logiciel TR-3 est retardé, plus le combattant attendra longtemps les capacités critiques du bloc 4 nécessaires pour sa mission.
    • À partir de février 2024, le bureau du programme réévalue l'effort du bloc 4 pour documenter son coût global, son calendrier et sa portée.
    • Les éléments du bloc 4 et du TR-3 seront gérés comme un sous-programme majeur conformément aux exigences de la NDAA pour l'année fiscale 2024.
  2. Le 05/04/2023 à 20:40, mudrets a dit :

    Le saut le plus notable à mon époque a été la compression d'impulsion, avec des taux de plus en élevés qui permettaient d'"effacer" en grande partie le retour de mer très usant pour la vue des opérateurs. 

    De plus la puissance de crête émise était plus faible, ce qui fait qu'au départ les sous-mariniers se faisaient surprendre au schnorchel. Il faut dire qu'après l'AN/APS-20E de P2V7 qui crachaient leurs 2MW en crête...

    http://www.academie-air-espace.com/upload/doc/ressources/COMAERO 10_2 - Bonnet Avions militaires II.pdf page 229

    Tout ce que je peux dire c'est qu'une compression de 500 est un bon ordre de grandeur:

    http://www.air-defense.net/forum/topic/6576-mirage-2000-d/?do=findComment&comment=1248305

    Mais il n'y a pas que ça pour éliminer le clutter de mer, au départ l'Iguane avait une antenne qui tournait à 6 tours/minute et je crois que maintenant elle fait un tour par seconde au lieu d'un tour toute les 10 secondes. Cela permet de garder jusqu'à 10 images de chaque tour de les superposer pour éliminer le clutter de mer: le schnorkel ou le périscope sera plus persistant que les vagues dont les retours vont se moyenner à une valeur plus basse ce qui fait ressortir les détections utiles.

     

    • Merci (+1) 2
  3. il y a 17 minutes, herciv a dit :

    Je note deux points

    Le premier :

    Et çà que je n'avais pas vu

    Bon évidemment pas d'essai pas de klif du post block4

    Ils ont le temps de commander des avions d'essai supplémentaire.

    Mais je trouve que cette forme est plus claire et en plus cela permet de classer l'information dans un plan d'information ce qui permet d'avoir l'information qu'une fois même si elle est dans plusieurs documents

  4. J'ai soumis une partie d'un rapport du GAO à Chat GPT en lui demandant de m'extraire les "atomes" d'information et voilà ce que cela donne:

    • Les retards du TR-3 ont contribué aux retards de développement, d'essai et de livraison des capacités du bloc 4.
    • Le programme F-35 JOINT STRIKE FIGHTER a donné la priorité à l'effort TR-3, absorbant la majeure partie de la capacité d'essai actuelle dans les laboratoires de logiciels et les essais en vol.
    • Le programme utilise moins de ressources d'essai pour faire mûrir le développement des capacités du bloc 4, créant un risque de retard.
    • La version du logiciel TR-3 permettant d'exploiter les nouvelles capacités du bloc 4 a été reportée à 2025.
    • Les capacités du bloc 4 dépendent du matériel et du logiciel TR-3 pour fonctionner, retardant leur mise en service.
    • Le programme prévoyait à l'origine de livrer des avions avec les capacités TR-3 et le bloc 4 à partir de juillet 2023.
    • Plus le logiciel TR-3 est retardé, plus le combattant attendra longtemps les capacités critiques du bloc 4 nécessaires pour sa mission.
    • À partir de février 2024, le bureau du programme réévalue l'effort du bloc 4 pour documenter son coût global, son calendrier et sa portée.
    • Les éléments du bloc 4 et du TR-3 seront gérés comme un sous-programme majeur conformément aux exigences de la NDAA pour l'année fiscale 2024.
    • Le Congrès aura un aperçu des coûts, du calendrier et des performances du bloc 4 pour prendre des décisions plus éclairées.
    • Le programme a évalué les aspects techniques du calendrier de livraison des capacités du bloc 4 et a proposé 84 recommandations pour l'améliorer.
    • Les recommandations incluent la construction de laboratoires supplémentaires, l'allongement de la durée de vie des avions d'essai et l'utilisation de nouveaux outils de planification prédictive.
    • Aucune décision n'avait été prise concernant ces recommandations en février 2024.
    • Le programme n'a pas encore publié de calendrier et d'estimation des coûts actualisés pour le bloc 4.
    • La portée du bloc 4 changera, en supprimant les capacités qui ne peuvent pas être prises en charge par le moteur actuel du F-35 et le système de gestion thermique.
    • Les capacités nécessitant plus de puissance et de refroidissement seront reclassées dans la catégorie "post-Block 4" pour un développement futur.
    • Les capacités post-Block 4 seront fournies au plus tôt en 2029.
    • En 2023, le programme a modifié sa stratégie de passation de marchés pour le Block 4.
    • Le contrat Block 4, attribué en mai 2023, permet d'affiner les orientations techniques et de redéfinir les priorités en matière de capacités sans modification du contrat.
    • Le contrat Block 4 prévoit deux points de décision clés dans le processus de développement.
    • Le premier point de décision lance le développement avancé d'une capacité jusqu'à la conception préliminaire.
    • Le second point de décision confirme les spécificités de la capacité après la conception préliminaire, fixant une date d'engagement pour la production.
    • Le programme prend des mesures pour augmenter la capacité d'essai du bloc 4 et du TR-3.
    • La flotte actuelle d'essais de développement comprend quatre avions scientifiques de vol, ayant plus de 10 ans et des problèmes de maintenance fréquents.
    • Les problèmes de maintenance de la flotte d'essais sont exacerbés par les difficultés croissantes d'approvisionnement en pièces de rechange.
    • Trois des quatre avions d'essai ont été immobilisés simultanément pour maintenance, limitant les essais.
    • Un avion d'essai de développement du F-35B a été immobilisé pour une longue période de maintenance, retardant les essais d'armes associés.
    • Les livraisons de logiciels TR-3 et Block 4 retardées ont permis de respecter le calendrier malgré les problèmes de maintenance.
    • Le programme construit quatre avions d'essais de développement modifiés, prévus pour 2026, pour contribuer à la réalisation du calendrier d'essais actuel.
    • Le programme emprunte actuellement des avions d'essai à d'autres flottes d'essai pour atténuer les retards.
    • Le programme prévoit de remplacer la flotte d'essais actuelle par neuf nouveaux avions d'essais de développement complets.
    • L'acquisition de six de ces nouveaux avions d'essais de développement a été autorisée en mars 2024.
    • Les nouveaux avions d'essais de développement seront achevés et disponibles entre 2029 et 2034.
    • Les nouveaux avions seront produits en séries échelonnées de trois à la fois.
    • Le plan de remplacement actuel laisse le programme sans avion d'essai disponible en 2028 et 2029.

    Après je place ces "atomes" dans un plan de classement sous Excel avec un lien vers la source afin de pouvoir faire des analyses.

  5. Lockheed aeronautics boss details F-35 delivery ramp-up plan

    Le patron de Lockheed Aeronautics détaille le plan d'accélération des livraisons de F-35

    Le directeur de l'aéronautique de Lockheed Martin est optimiste quant à la reprise des livraisons de F-35 après une pause d'environ un an, tout en cherchant à augmenter la production de F-16V.

    Les livraisons de F-35 à l'armée de l'air américaine (USAF) ont repris récemment après une interruption imposée par le client en raison de problèmes liés à la dernière norme logicielle de l'avion de combat.

    Greg Ulmer, président de Lockheed Martin Aeronautics, refuse d'indiquer combien de F-35 ont été stockés, mais il prévoit de commencer à livrer 20 avions par mois, dont sept stockés et 13 nouvellement construits. Il estime qu'il faudra de 12 à 18 mois pour "écouler" le stock de F-35 entreposés par Lockheed.

    Les retards sont dus à des problèmes liés au logiciel TR-3 (Technical Refresh 3) de l'avion de combat furtif.

    M. Ulmer indique que la société a commencé l'acceptation en vol des avions TR-3 et que le gouvernement américain a déjà accepté officiellement dix exemplaires, dont certains ont été acheminés vers le client final.

    Après la certification par le gouvernement américain, les avions peuvent être certifiés pour les clients internationaux. Cela ouvrira la voie à la reprise des livraisons à l'étranger.

    M. Ulmer évoque également les capacités des avions TR-3, qui bénéficient de mises à jour matérielles telles que de nouveaux écrans de cockpit, une puissance de traitement nettement supérieure, une nouvelle unité de mémoire et un système d'ouverture distribuée amélioré.

    Les livraisons sont effectuées dans le cadre de ce qu'Ulmer appelle une "capacité de livraison d'entraînement".

    "Environ quatre-vingt-quinze pour cent de la capacité de combat se trouve à l'intérieur", précise M. Ulmer.

    "Une grande partie du logiciel d'armement est déjà dans l'avion ; nous n'avons pas encore effectué les essais en vol ni les certifications correspondantes. Nous mettrons l'avion sur le marché avec le logiciel présent, puis, au fur et à mesure des essais d'armement, nous pourrons mettre en place des capacités. Au fur et à mesure que ces éléments seront validés par les essais et la certification, nous visons la fin du printemps prochain avec le logiciel officiel de pleine capacité de combat.

    En ce qui concerne le programme F-16, M. Ulmer fait remarquer que les deux premiers F-16V européens ont été livrés à la Slovaquie par l'usine de production de Greenville, en Caroline du Sud.

    Cette année, Ulmer prévoit que Greenville produira 19 à 20 F-16. En 2025, l'entreprise vise une production mensuelle de trois F-16, puis de quatre F-16 les années suivantes. L'entreprise a un carnet de commandes de 128 F-16 et envisage également des ventes potentielles aux Philippines et en Thaïlande.

    En ce qui concerne Taïwan, Ulmer confirme que le pays recevra l'ensemble des 66 F-16V commandés d'ici la fin de 2026.

    • Merci (+1) 1
  6. il y a 36 minutes, Patrick a dit :

    C'est une idée qui m'est venue aussi.

    Avec des systèmes simplifiés plus petits à bord mais néanmoins capables de mettre en oeuvre un MICA NG, à commencer par un AESA plus petit qu'un RBE2, un SPECTRA-like basique, un OSF-like basique, du plug&play de partout, constituerait une excellente base pour un produit abordable performant fiable et durable.

    Ce serait un monomoteur moderne, très simple, sans fioritures, reprenant la philosophie du Rafale voire du NGF, encore plus petit qu'un Gripen D, existant uniquement en biplace, plus discret avec un dessin travaillé, éventuellement avec une toute petite soute pour quelques munitions légères ou une paire de missiles air-air.

    Il serait à la limite entre le chasseur léger et le jet d'entraînement, mais assez capable quand même pour être une épine dans le pied en tant qu'intercepteur. Avec un M-88 boosté et un rapport poids-puissance favorable ainsi que suffisamment de carburant interne, on pourrait même envisager de le navaliser.

    En clair ce serait un Tejas réussi, ou un successeur du F-20 avec des performances en distance franchissable et en play time autrement plus costaudes. Et tout ça pour le tiers du prix d'un Rafale neuf. Pas un avion de raid, mais un excellent engin pour faire la PO, et pour entraîner les pilotes.

    En plus on en a besoin pour remplacer prochainement des Alphajets, et ça permettrait à Dassault de se faire les dents sur un nouveau projet.

    Un Drone issu du NeuroN avec une version non piloté et une version pilotée.

  7. il y a 57 minutes, Ronfly a dit :

    Ils parlent sur le site Rafale omnirole de 2 à 20 voire 40 GHz mais il y aurait même une extension possible jusqu'à 300.... Cela reste spéculatif. Mais pour une protection efficace contre les nombreux moyens de détection existant, forcément la bande de fréquences doit être plutôt étendue. A voir.

    300 c'est pour de nouveaux auto directeurs de missile, Le standard c'était 0,6 - 18 et l'extension bande basse signifie en dessous de 0,6 sans doute pour des liaisons.

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  8. C'est curieux: j'ai soumis un texte, que j'ai pris dans Parikrama story, à ChatGPT pour qu'il en fasse l'analyse. Il a fait une analyse pas mal faisant ressortir les points importants, mais il termine par un paragraphe "Potentiel de Déploiement du Rafale en Ukraine" intéressant certes,  mais que je n'avais pas demandé!

  9. L'idée de combiner le Rafale F5 et un drone dérivé du nEUROn pour construire une force aérienne adaptable et moderne est tout à fait pertinente. Cette approche pourrait effectivement répondre aux enseignements tirés des conflits récents, on devrait aussi intégrer des drones peu coûteux et jetables dans la force aérienne pour compléter des drones plus sophistiqués comme ceux dérivés du nEUROn. Voici une vision détaillée de cette approche intégrée :

    Capacités du Rafale F5 :

    • Polyvalence : Le Rafale est un avion multi rôle capable de missions de supériorité aérienne, d'attaque au sol, de reconnaissance et de dissuasion nucléaire.
    • Systèmes Avancés : Le Rafale F5, la future version de l'avion, est prévu pour intégrer des technologies avancées telles que des capteurs améliorés, une meilleure furtivité, des capacités de guerre électronique et une connectivité renforcée.
    • Endurance et Maintenance : Comme mentionné précédemment, le Rafale a une bonne endurance opérationnelle et nécessite moins de maintenance comparé à d'autres avions de combat de sa catégorie, ce qui est crucial pour des opérations prolongées.

    Capacités du Drone dérivé du nEUROn :

    • Furtivité et Autonomie : Le nEUROn est un démonstrateur de drone de combat furtif. Une version opérationnelle pourrait offrir des capacités de furtivité avancées et une autonomie significative.
    • Missions Multiples : Ce drone pourrait être utilisé pour des missions de reconnaissance, de frappe et de guerre électronique, réduisant le risque pour les pilotes humains.
    • Coopération avec le Rafale : En utilisant des concepts comme le "loyal wingman", le drone pourrait opérer en tandem avec le Rafale, augmentant les capacités de combat et de survie des forces aériennes.

    Drones Peu Coûteux et Jetables :

    Des drones plus simples et économiques, destinés à des missions de saturation, de reconnaissance de courte durée et d'attaque de cibles moins défendues.

    • Saturation des Défenses Ennemies : En nombre suffisant, ces drones peuvent submerger les défenses aériennes ennemies, forçant l'adversaire à dépenser des ressources précieuses pour les intercepter.
    • Reconnaissance et Surveillance : Utilisés en grande quantité, ces drones peuvent fournir une couverture de surveillance étendue et persistante, détectant les mouvements ennemis et les positions de défense.
    • Attaques de Diversion : Ils peuvent servir à distraire et détourner l'attention des systèmes de défense ennemis, créant des opportunités pour des frappes plus sophistiquées par les Rafale et les drones de combat avancés.
    • Guerre Électronique : Certains de ces drones peuvent être équipés de systèmes de guerre électronique pour brouiller les communications et les radars ennemis.

    Avantages de la Combinaison Rafale F5 et nEUROn

    • Flexibilité et Adaptabilité : La combinaison d'un avion de chasse avancé et d'un drone de combat permet de répondre rapidement à une variété de menaces, que ce soit des avions ennemis, des systèmes de défense aérienne ou des cibles terrestres.
    • Réduction des Coûts : En utilisant des drones pour des missions plus dangereuses ou de routine, on peut réduire les risques pour les pilotes et potentiellement abaisser les coûts opérationnels.
    • Résilience et Durabilité : La capacité à opérer en essaim de drones permet de submerger les défenses ennemies et de continuer à opérer même en cas de pertes.
    • Synergie des Capacités : La fusion des données entre le Rafale et le drone, grâce à des systèmes avancés de connectivité et de traitement des informations, permet une connaissance situationnelle améliorée et une coordination optimale des missions.

    Avantages de l'Approche Hybride

    • Économie des Ressources : Les drones jetables sont moins coûteux à produire et à remplacer, ce qui permet de conserver les ressources pour les équipements plus sophistiqués.
    • Flexibilité Tactique : L'utilisation de divers types de drones permet d'adapter les stratégies en fonction des besoins spécifiques de chaque mission.
    • Réduction des Risques : L'utilisation de drones jetables pour les missions les plus dangereuses réduit les risques pour les pilotes et les plateformes plus coûteuses.
    • Complexité Accrue pour l'Ennemi : La diversité des drones rend plus difficile pour l'ennemi de développer une stratégie de défense uniforme, augmentant les chances de succès des missions.

    Défis et Considérations

    • Intégration Technologique : Assurer une parfaite synergie entre le Rafale F5 et les drones dérivés du nEUROn nécessitera des avancées dans les systèmes de communication sécurisés, l'IA et l'autonomie des drones de tous types.
    • Formation et Doctrine : Les pilotes et les opérateurs devront être formés pour utiliser efficacement cette nouvelle combinaison de technologies, et les doctrines militaires devront être mises à jour en conséquence.
    • Coûts de Développement et de Production : Le développement de drones opérationnels à partir du nEUROn et l'intégration des systèmes nécessaires dans le Rafale F5 auront des coûts significatifs. Concevoir et produire des drones peu coûteux mais efficaces nécessite des innovations dans les matériaux, l'électronique et les systèmes de propulsion.

    Exemples de Drones Peu Coûteux et Jetables

    • Drones Kamikazes (Loitering Munitions) : Comme les Switchblade américains ou les Harop israéliens, conçus pour des attaques précises et destructrices contre des cibles spécifiques.
    • Drones de Surveillance Légers : Drones de petite taille et économiques pour des missions de surveillance et de reconnaissance de courte durée.
    • Drones de Brouillage : Équipés de dispositifs de brouillage pour perturber les radars et les communications ennemis.

    Conclusion

    L'intégration de drones peu coûteux et jetables dans une force aérienne combinant le Rafale F5 et des drones sophistiqués dérivés du nEUROn offre une flexibilité stratégique et opérationnelle. Cette approche permet de maximiser les capacités de défense et d'attaque tout en optimisant les coûts et en minimisant les risques. Les enseignements tirés des conflits récents, comme la guerre en Ukraine, montrent l'importance de la diversité et de la résilience des forces aériennes pour répondre efficacement aux menaces modernes.

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  10. il y a 50 minutes, Teenytoon a dit :

    Il y a 28 Rafale neufs prévus pour la France jusqu'en 2026 (encore 42 autres après), dont 6 déjà livrés au 1er semestre (janvier -> juin) 2024.

    12 ont été livrés entre 2022 et 2023.

    Ça veut dire que aujourd’hui 25 juillet 2024, on a déjà récupéré 18 Rafale de plus que lorsqu'on a signé les ventes d'occasions Croates et Grecques. Ça compense complètement ces deux ventes d'occasion (12+12) puisqu'on n'a pas encore fini de les livrer (encore 6 Croates à livrer, donc 18 Rafale d'occasion déjà livrés).

    On a vu que même les ventes d'occasion ne se font pas du jour au lendemain, il a fallu 3 ans pour livrer les 6 premiers appareils Croates :

    Donc si le prochain gouvernement français (qui n'existe pas encore mais ça c'est autre chose), souhaite vendre 12 Rafale d'occasion à la Serbie en septembre 2024, alors il serait raisonnable de penser que ces avions ne seraient pas livrés avant 2027. D'ici là, la France aura fini de recevoir la 4° tranche donc elle aura reçu encore 22 Rafale de plus et elle commencera à recevoir la 5° tranche, c'est à dire 42 Rafale de plus entre 2027 et 2032.

    Pour moi, il n'est pas impossible de repenser une vente d'occasion vu que les délais sont les mêmes que pour le neuf, trois ans, donc laisse le temps à la France de recevoir d'autres commandes, voir de demander une accélération des livraisons (Trappier a dit qu'il avait encore de la place).

    Après encore une fois, pour moi, on n'a pas grand chose à gagner et pas mal à perdre à vendre à deux ennemis en même temps, mais je ne suis pas premier ministre :laugh:

    Oui mais en plus des Rafale on retire des Mirage d'où l'augmentation des heures de vol annuelles des Rafale.

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  11. Il y a 5 heures, hadriel a dit :

    C'est le cas pour l'offre microturbo actuelle? Ils sont regroupés avec les APU, pas avec Helicopter Engines dans l'offre commerciale mais je connais pas l'historique.

    Micro turbo c'est encore plus petit, si tu veux aller jusqu'à 1.5 t tu est dans la gamme des hélicoptères, après je ne sais pas comment ce genre de société se structure et si il y a des synergies.

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  12. il y a 19 minutes, HK a dit :

    6 Rafale France livrés au 1er semestre. Ca fait donc pile 100 Rafale air en parc.

    Avec encore 14 Rafale à livrer d'ici la fin de l'année (7 France + 7 export??).

    Première moitié de l'année au taux de production 1 deuxième moitié principalement au taux 2 fin de l'année au taux 3 comme prévu. (Aout est fermé). 

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  13. The concept of Collaborative Combat Aircraft (CCA) being kept in "flyable storage" highlights a strategic approach to enhancing the capabilities and capacity of the U.S. Air Force while managing costs and logistics effectively. Here are some key takeaways from the information provided:

    Key Takeaways on Collaborative Combat Aircraft (CCA)

    Strategic Importance:

    Force Multiplier: CCAs are seen as a significant force multiplier, capable of augmenting the abilities of manned fighters. They expand sensing capabilities, complicate enemy targeting, and can take hits intended for crewed aircraft.

    Fleet Capacity: The Air Force is aiming for potentially as many as 1,000 CCAs, which would considerably increase the overall capacity and present substantial challenges to adversaries.

    Cost-Effectiveness:

    Lower Cost Compared to Manned Aircraft: While more expensive than small, expendable drones, CCAs are cheaper than manned fighters like the F-35 and F-15EX.

    Reduced Sustainment Costs: By keeping CCAs in flyable storage and only flying them occasionally, the Air Force can significantly reduce maintenance and sustainment costs.

    Operational Readiness:

    Flyable Storage: CCAs will be stored in a hangar, ready to be deployed quickly. This contrasts with older models of remotely-piloted aircraft which could be stored in less readily deployable conditions.

    Minimal Training Requirements: Unlike manned aircraft, CCAs do not require regular flying for crew proficiency, which further reduces the need for maintenance and prolongs their lifespan.

    Implementation Timeline:

    Rapid Fielding: The Air Force plans to field CCAs quickly, potentially faster than some of the manned platforms introduced in recent decades. This rapid deployment is intended to build mass and enhance operational capability swiftly.

    Broader Implications and Context

    Next-Generation Air Dominance (NGAD) and Fighter Plans:

    The discussion around NGAD and potential extensions of the F-22 indicate a broader reassessment of future air combat strategies. The development and deployment of CCAs fit into this evolving landscape, offering a flexible and scalable solution to augment manned aircraft.

    Impact of F-35 Program Challenges:

    Ongoing issues with the F-35 program, including delays and performance concerns, likely influence the urgency and appeal of integrating CCAs into the fleet. CCAs can provide complementary capabilities and alleviate some of the pressures and gaps created by the F-35 program's difficulties.

    Conclusion

    The move to integrate CCAs into the Air Force's operational strategy represents a significant shift towards leveraging advanced, autonomous technologies to enhance combat capabilities while managing costs effectively. By keeping these drones in flyable storage and minimizing their maintenance needs, the Air Force aims to create a formidable, cost-effective force that can be rapidly deployed in times of need. This approach not only addresses current logistical and financial constraints but also positions the Air Force to maintain a technological edge in future conflicts.

  14. j'ai lu que les retards dans le programme F-35 de Lockheed Martin et les performances médiocres de Boeing dans ses propres efforts de défense pourraient être à l’origine de commentaires récents et inattendus de la part des dirigeants de l’armée de l’air selon lesquels elle pourrait ne pas construire d’avion de combat de nouvelle génération.

     

    Les récents commentaires des dirigeants de l’armée de l’air américaine (USAF) et les difficultés dans les programmes des F-35 de Lockheed Martin et d'autres projets de défense, tels que ceux de Boeing, ont effectivement soulevé des questions sur l'avenir des programmes d'avions de combat de nouvelle génération. Analysons les facteurs derrière ces commentaires et explorons les impacts potentiels sur le développement d'avions de combat de nouvelle génération, notamment le NGAD (Next Generation Air Dominance).

    Contexte et État Actuel des Programmes

    1. Retards et Performances des Programmes F-35

    a. Problèmes Techniques et Retards

    TR3 et Block 4 : Le F-35 rencontre des retards dans l'intégration de la technologie TR3 (Technology Refresh 3) et le développement du Block 4, qui sont essentiels pour ses capacités futures .

    TR2 Phase-Out : Le crash récent d'un F-35 équipé de TR2 a mis en évidence les problèmes liés aux anciennes versions de technologie .

    b. Coûts et Gestion du Programme

    Dépassements de Coûts : Malgré les annonces de réduction des coûts unitaires, les coûts globaux d'acquisition et d'exploitation continuent d'augmenter .

    Gestion des Stocks : La gestion des stocks d'avions non livrés à cause des problèmes techniques ajoute à la complexité du programme .

    2. Problèmes de Performance et de Gestion chez Boeing

    a. Programmes en Difficulté

    KC-46 Pegasus : Problèmes de ravitaillement en vol et retards de livraison .

    F-15EX et T-7 Red Hawk : Défis dans la production et l'intégration des systèmes .

    b. Confiance des Clients

    Perte de Confiance : Les problèmes répétés ont affecté la perception des clients gouvernementaux concernant la fiabilité des livraisons et des performances .

    Commentaires de l'Armée de l'Air sur le NGAD

    a. Contexte des Commentaires

    Réflexion Stratégique : Les commentaires récents pourraient refléter une réflexion stratégique sur la faisabilité et les risques associés aux développements de nouvelles générations d'avions de combat, dans le contexte des difficultés actuelles .

    Impact des Défis Actuels : Les problèmes rencontrés avec le F-35 et d'autres programmes influencent la confiance et la planification pour de futurs projets, comme le NGAD .

    b. Implications pour le NGAD

    Adaptabilité : Les retards du F-35 et les performances de Boeing soulignent la nécessité de flexibilité dans les futures acquisitions.

    Investissement Technologique : La confiance dans les investissements en R&D est cruciale, et les retards actuels pourraient inciter à une évaluation plus prudente des nouvelles technologies.

    Impacts Potentiels et Stratégies Futures

    1. Retards et Coûts Affectant la Planification du NGAD

    a. Leçons Apprises

    Optimisation des Processus : Utilisation des leçons apprises du programme F-35 pour améliorer les processus de développement et d'intégration technologique.

    Révision des Budgets : Réévaluation des budgets pour inclure des marges pour les imprévus technologiques.

    b. Nouvelles Approches

    Modularité et Flexibilité : Adoption de concepts de conception modulaire pour faciliter les mises à jour et réductions de coûts.

    Partenariats Stratégiques : Renforcement des partenariats avec l'industrie pour garantir un alignement étroit sur les besoins des forces armées.

    2. Concepts Concurrents au NGAD

    a. Avions de Combat Habités

    Future Air Dominance (FAD) : Programmes alternatifs se concentrant sur des améliorations des avions existants comme l'option de modernisation du F-22 ou de nouveaux concepts dérivés .

    European Fighter Programs : Initiatives européennes comme le FCAS (Future Combat Air System) et le Tempest.

    b. Avions de Combat Non Habités (UCAVs)

    Loyal Wingman : Drones de combat collaboratifs pouvant opérer aux côtés des avions habités .

    Systèmes Autonomes : Avions de combat autonomes et semi-autonomes pour missions variées, réduisant la dépendance aux pilotes.

    Synthèse

    Contexte des Problèmes : Les défis rencontrés avec le F-35 et d'autres programmes influencent la confiance dans les projets futurs comme le NGAD.

    Réflexion Stratégique : L'armée de l'air pourrait reconsidérer ses priorités en termes de nouveaux développements, en se concentrant sur des concepts plus modulaires et flexibles.

    Avenir des Avions de Combat : L'importance croissante des systèmes non habités et des approches intégrées souligne une possible réorientation stratégique.

  15. Il semble que les américains sont en train de mettre en cause le NGAD, quel sont les concepts concurrents du NGAD? est ce que les problèmes du programme F-35 ont une influence sur ce revirement?

     

    Le Next Generation Air Dominance (NGAD), le programme de chasseurs de sixième génération de l'USAF, fait face à des critiques et des révisions potentielles. Ces développements sont influencés par les problèmes persistants du programme F-35 et par l'émergence de concepts concurrents qui pourraient redéfinir la future supériorité aérienne. Voici un aperçu des concepts concurrents du NGAD et de l'impact des problèmes du F-35 sur le programme.

    Concepts Concurrents au NGAD

    1. Collaborative Combat Aircraft (CCA)

    Description: Le concept CCA se concentre sur des drones autonomes ou semi-autonomes capables de collaborer avec les avions pilotés. Ces appareils pourraient servir à diverses missions, comme la reconnaissance, le brouillage électronique, et même les attaques directes, augmentant ainsi les capacités des avions pilotés comme les F-35 ou les futurs chasseurs.

    Points Clés:

    Opérabilité : Capacité à fonctionner de manière indépendante ou en réseau avec des avions pilotés.

    Flexibilité : Polyvalents pour des missions de combat et de soutien.

    Coût : Moins chers à produire et à opérer que les avions pilotés .

    2. Loyal Wingman Concept

    Description: Semblable au CCA, le Loyal Wingman consiste en des drones qui accompagnent les chasseurs pilotés, agissant comme des "ailiers" robotisés. Ces drones peuvent absorber les risques et permettre aux avions pilotés de se concentrer sur des missions plus stratégiques.

    Points Clés:

    Protection : Agit comme un bouclier pour les avions pilotés.

    Support : Offre une couverture supplémentaire en combat.

    Autonomie : Capacité à prendre des décisions tactiques basiques .

    3. Low-Cost Attritable Aircraft Technology (LCAAT)

    Description: LCAAT vise à développer des avions abordables et "jetables" qui peuvent être produits rapidement en masse. Ces appareils sont conçus pour être utilisés dans des scénarios à haute intensité où la perte de matériel est probable.

    Points Clés:

    Production : Facilité de production rapide en cas de besoin.

    Utilisation : Adaptés pour des missions dangereuses où la perte d'avions est attendue.

    Coût : Réduit par rapport aux avions de chasse traditionnels .

    4. Optionally Manned Aircraft

    Description: Ces appareils peuvent être pilotés ou opérés de manière autonome selon les besoins de la mission. Ils offrent une flexibilité d'opération et peuvent réduire le risque pour les pilotes en situations de danger élevé.

    Points Clés:

    Polyvalence : Fonctionne en mode piloté ou autonome.

    Adaptabilité : Convient à divers types de missions et environnements de combat.

    Technologie : Intégration de systèmes avancés pour la navigation autonome .

    Influence des Problèmes du F-35 sur le NGAD

    1. Surcoûts et Dépassements Budgétaires

    Le programme F-35 a été marqué par des dépassements de coûts et des retards importants, ce qui a mis en évidence les défis financiers et techniques liés au développement de chasseurs de nouvelle génération .

    2. Problèmes Techniques et de Maintenance

    Les difficultés liées à l'intégration des mises à jour matérielles (TR3) et logicielles (Block 4) dans le F-35 ont soulevé des préoccupations concernant la complexité et la fiabilité des systèmes avancés .

    3. Réduction de la Confiance

    Les retards et les problèmes techniques du F-35 ont réduit la confiance dans la capacité des programmes de développement de chasseurs à respecter les délais et les budgets prévus, ce qui pousse à envisager des alternatives plus flexibles et moins coûteuses .

    4. Adaptation aux Menaces Émergentes

    Les menaces modernes évoluent rapidement, et les concepts comme les drones autonomes ou les avions "attritables" offrent une adaptabilité supérieure et une capacité de réponse plus rapide face à des menaces en constante évolution .

  16. Generally speaking, the F-35 programme is behind schedule and over budget compared with Lockheed Martin's and the JPO's commitments. Are the timescales now announced for resolving the problems with the engine and the hardware and software updates for the on-board equipment credible?

     

    The F-35 program, led by Lockheed Martin and overseen by the Joint Program Office (JPO), has indeed faced significant delays and budget overruns. Given this track record, the newly announced timescales for resolving issues with the engine, hardware, and software updates are met with skepticism. Here's a detailed examination of the credibility of these timelines:

    **1. Historical Context and Credibility Issues

    Engine Updates

    Enhanced Engine Package (EEP): The EEP for the F135 engine, intended to boost performance and thermal management to support Block 4 capabilities, is projected for introduction in the mid-2020s, possibly around 2028. This schedule is seen as somewhat optimistic but achievable if no major technical hurdles arise .

    Challenges: Past delays in the program suggest potential risks. Historical issues with engine reliability and integration mean that any unforeseen technical problems or supply chain issues could further delay this timeline .

    Technology Refresh 3 (TR3)

    Current Status: TR3, essential for running the Block 4 software, has faced delays primarily due to integration and testing challenges. The timeline for full TR3 integration has been pushed to at least 2025, with ongoing testing to resolve compatibility issues .

    Credibility: Given the complexity of integrating new hardware into an existing platform, the 2025 timeline is cautiously optimistic. Further delays are possible if significant issues arise during the final integration and validation phases .

    Block 4 Operational Software

    Development Delays: The Block 4 software, which provides advanced capabilities and improvements, is behind schedule. The initial operational capability (IOC) has been pushed to around 2027, from earlier projections of 2023-2024 .

    Testing Bottlenecks: Ongoing testing and integration challenges mean that this timeline could slip further if substantial bugs or integration issues are found during deployment .

    **2. Factors Influencing Timeline Credibility

    Technical Complexity

    Increased System Complexity: Each upgrade, whether in the engine, hardware, or software, adds complexity. The interconnected nature of these systems means that delays in one area (e.g., TR3 hardware) can cascade into others (e.g., Block 4 software).

    Risk Management: Effective risk management and mitigation strategies are essential to maintain these timelines. However, past performance shows that unanticipated technical issues often lead to delays .

    Testing and Validation

    Rigorous Testing Needs: The need for rigorous testing to ensure safety, performance, and reliability often uncovers issues that lead to delays. The extensive testing required for TR3 and Block 4 further complicates adherence to the proposed timelines .

    Previous Delays: Historical delays in the F-35 program often stemmed from underestimation of the time required for testing and validation. This pattern suggests caution in accepting new timelines at face value .

    Logistics and Supply Chain

    Supply Chain Vulnerabilities: The complexity of the F-35's supply chain has previously led to delays, and any disruptions could further impact timelines for engine and hardware upgrades .

    Resource Allocation: Efficient allocation of resources, including skilled personnel and funding, is critical to meet these deadlines. Any shortfall in these areas can delay progress .

    **3. Mitigation and Strategic Adjustments

    Incremental Upgrades

    Phased Approach: Adopting a phased approach for upgrades (e.g., rolling out engine improvements incrementally, deploying parts of Block 4 capabilities as they become ready) could help manage risks and keep portions of the program on track .

    Focus on Key Milestones: Concentrating efforts on achieving key milestones within the broader timeline may provide more manageable goals and allow for adjustments as necessary .

    Enhanced Oversight

    Improved Oversight: Strengthened oversight from the JPO and independent bodies could help identify potential issues earlier and provide more realistic assessments of timelines .

    Transparent Reporting: Greater transparency in reporting progress and challenges can help stakeholders understand the risks and adjust expectations accordingly .

    Conclusion

    Credibility of Announced Timelines: Given the historical context of delays and cost overruns, the current timelines for resolving engine, hardware, and software issues in the F-35 program are cautiously optimistic but should be approached with a level of skepticism. The projected timelines for the EEP integration by 2028, TR3 by 2025, and Block 4 by 2027, while feasible, are likely to face further challenges.

    Pragmatic Outlook: While these timelines may be achievable, they depend on effectively managing technical risks, maintaining rigorous testing protocols, and addressing logistical challenges. Historical trends suggest that stakeholders should prepare for potential additional delays and plan contingencies accordingly.

  17. Is upgrading the F-35's F-135 engine rather than developing a new variable-cycle engine the best solution for the programme?

     

    Upgrading the F-35’s F135 engine instead of developing a new variable-cycle engine appears to be a more pragmatic and cost-effective solution, considering the current needs and challenges of the program. Here’s an analysis of why this approach is favored:

    1. Cost and Development Time

    Upgrading the F135 Engine

    Lower Costs: Upgrading the existing F135 engine is less expensive compared to developing a new engine from scratch. The development, testing, and certification processes for a new engine are significantly more costly and time-consuming.

    Faster Implementation: Enhancing the F135 can be done relatively quickly, allowing for earlier deployment and integration into the fleet. This is crucial for addressing current power and cooling needs without extensive delays.

    Developing a New Variable-Cycle Engine

    High Costs: Developing a new variable-cycle engine would involve significant research and development expenses, including testing and certification, which could run into billions of dollars.

    Extended Timeline: The development of a new engine would take many years, delaying the availability of enhanced capabilities for the F-35, and potentially pushing back the timeline for operational readiness.

    2. Technical Feasibility and Risk

    Upgrading the F135 Engine

    Proven Technology: The F135 engine is already proven and integrated within the F-35 platform, reducing the risk associated with modifications. Upgrades can build on existing technology, enhancing performance without introducing untested components.

    Manageable Modifications: Planned upgrades, such as the Enhanced Engine Package (EEP), focus on improving thrust, fuel efficiency, and thermal management, which directly address the current deficiencies in power and cooling.

    Developing a New Variable-Cycle Engine

    Higher Risk: Variable-cycle engines, while offering advanced performance benefits, are complex and involve higher technical risks. These engines need to seamlessly switch between different operational modes, which adds to the development complexity.

    Integration Challenges: A new engine design would require extensive modifications to the F-35 airframe and systems to accommodate the new technology, leading to integration challenges and further delays.

    3. Performance and Capability

    Upgrading the F135 Engine

    Adequate Improvements: The Enhanced Engine Package (EEP) for the F135 aims to provide around 7-10% more thrust, better fuel efficiency, and improved thermal management. These improvements are adequate to meet the F-35’s near-term and mid-term operational requirements.

    Compatibility: Upgraded F135 engines would maintain compatibility with the existing fleet, allowing for seamless integration and reducing logistical and maintenance complexities.

    Developing a New Variable-Cycle Engine

    Potential for Higher Performance: Variable-cycle engines could offer superior performance, including better fuel efficiency and adaptability across a wider range of operational conditions. This could be advantageous for future needs but is not an immediate necessity given current operational requirements.

    4. Programmatic Considerations

    Upgrading the F135 Engine

    Alignment with Current Needs: Upgrading the F135 aligns with the immediate and mid-term needs of the F-35 program, addressing power and cooling issues without drastically altering the program’s existing plans and schedules.

    Fleet Impact: Implementing an upgraded F135 would have minimal disruption on the existing fleet and logistics, allowing for a smoother transition and maintaining operational availability.

    Developing a New Variable-Cycle Engine

    Future Potential: While a new variable-cycle engine may provide substantial future benefits, the immediate needs of the F-35 program do not justify the transition to such a complex and untested technology at this time.

    Strategic Delay: The focus on upgrading the F135 allows time for more mature development of variable-cycle engines, which might be considered for future aircraft or subsequent F-35 upgrades when the technology is more proven and the program is stable.

    Conclusion

    Upgrading the F135 engine, specifically through initiatives like the Enhanced Engine Package (EEP), provides a balanced solution to meet the F-35’s immediate and medium-term requirements. This approach offers a pragmatic pathway to enhance performance, manage costs, and minimize risks, while keeping the fleet operationally effective without significant disruptions. Developing a new variable-cycle engine might be a strategic consideration for future aircraft designs or long-term planning but is not the most viable solution for the current challenges faced by the F-35 program.

    Current Status and Future Prospects

    Enhanced Engine Package (EEP): The Pratt & Whitney EEP proposal for the F135 aims to meet the Block 4 requirements with enhanced thrust, fuel efficiency, and thermal management. This upgrade is seen as critical to address the immediate needs without extensive overhaul.

    Potential for Future Engines: While the adaptive engine transition program (AETP) engines like the XA100 and XA101 offer future potential with variable-cycle technology, they are still in developmental stages and not ready for immediate implementation in the F-35.

  18. The F-35 programme seems to have run into some serious problems recently: I've heard about insufficient power generation and cooling capacity, difficulties integrating TR3 and developing block 4 of the operational software. What is the extent of these problems and what strategy will be used to resolve them?

     

    The F-35 program, developed by Lockheed Martin, has indeed faced a range of technical and developmental challenges recently. These issues primarily revolve around the aircraft's power and cooling systems, integration of the Technology Refresh 3 (TR3), and development of Block 4 operational software. Here’s a detailed look at each problem and the strategies to address them:

    1. Power Generation and Cooling Capacity

    Extent of the Problems

    Power Deficit: The F-35's electrical power system is currently insufficient to support new advanced systems and upgrades planned for Block 4. The increased power demands from new sensors, avionics, and weapon systems exceed the aircraft's existing power generation capacity.

    Cooling Limitations: The cooling systems are also struggling to manage the heat generated by the additional electronics and systems, risking overheating and reduced system performance.

    Strategy to Resolve

    Upgraded Systems: Efforts are underway to upgrade the power and cooling systems. This includes enhancing the onboard generators and possibly integrating more efficient thermal management systems.

    Incremental Integration: Engineers are looking at incremental integration of new systems to manage the load better, ensuring that each addition does not overload the power and cooling capacity.

    2. Integration of Technology Refresh 3 (TR3)

    Extent of the Problems

    Delayed Integration: TR3 involves substantial hardware and software upgrades, including new processors and memory, to support advanced capabilities in Block 4. Integration has been delayed due to difficulties in validating the new components and ensuring compatibility with existing systems.

    Testing Bottlenecks: The complexity of TR3 has led to significant testing challenges, with issues in verifying performance and reliability in various operational scenarios.

    Strategy to Resolve

    Focused Testing: Increased focus on rigorous testing protocols to identify and address integration issues early. This includes simulation and real-world testing to ensure the new hardware works seamlessly with the software.

    Parallel Development: Developing TR3 in parallel with current system operations to avoid disrupting ongoing missions while upgrades are integrated gradually.

    3. Block 4 Operational Software Development

    Extent of the Problems

    Software Complexity: Block 4 represents a major upgrade, adding new capabilities like enhanced sensor fusion, improved electronic warfare systems, and advanced weapon integration. The software development has been complex, leading to delays and bugs.

    Integration with TR3: The software relies on the new TR3 hardware, and delays in TR3 have a cascading effect on the Block 4 software development timeline.

    Strategy to Resolve

    Phased Rollout: Implementing Block 4 capabilities in phases allows for incremental testing and deployment, reducing the risk of widespread issues.

    Agile Development: Employing agile development practices to iterate quickly on software builds, allowing for rapid identification and resolution of bugs and integration issues.

    Cross-Team Coordination: Enhanced coordination between software developers and hardware engineers to ensure that any changes or issues in one area do not adversely affect the other.

    Impact and Future Outlook

    These issues have led to delays in full deployment and operational readiness of the F-35’s latest capabilities. As a result, the schedule for the Block 4 upgrade and the TR3 integration has been pushed back. For instance:

    Full TR3 integration and Block 4 capabilities might not be achieved until 2025 or later .

    The ongoing efforts to address these problems include significant investment in testing facilities and methodologies, partnerships with defense contractors for subsystem development, and close monitoring of project milestones.

    Conclusion

    The F-35 program is addressing its current challenges through a combination of technical upgrades, improved testing protocols, and phased integration of new capabilities. While these issues have certainly posed setbacks, the strategic efforts being put in place aim to ensure the long-term success and operational superiority of the F-35 platform.

  19. il y a 39 minutes, Ardachès a dit :

    … Les chiens aboient la caravane passe :wink:

    Macron : « les chiens aboient, la caravane passe »

    Citation

    Jupiter de transit  carré à son Saturne après la conjonction Jupiter- Saturne, aurait du le retenir de faire ce pari fou, ce coup de poker,  de dissoudre l’assemblée Nationale, car une instabilité encore plus grande peut en résulter, son calcul étant qu’il va balayer les deux extrêmes afin que le champ soit nettoyé pour les prochaines élections de 2027. « Les chiens aboient, la caravane passe ».

     

    • Haha (+1) 1
  20. il y a 32 minutes, Jarod a dit :

    C’est ça :)

    Désolé pour la remarque mais j'ai un peu cru que tu t'adressais à moi pour un très vieux post car je dis souvent que le passage de 7500 h à 9000 h nécessite des renforts mais je ne l'ai lu qu'une fois il y a longtemps, et en plus tu avais mis dérivé au lieu de dérive ce qui m'aurait montré que ce n'était pas ça.

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