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  1. Explained: 3 Conflicting Approaches To USAF F-35 Buy Under Government Review

    Expliqué : 3 approches contradictoires pour l'achat de F-35 par l'USAF en cours d'examen par le gouvernement

    La frustration croissante suscitée par les difficultés de Lockheed Martin se traduit apparemment par différents projets de loi sur la défense qui prévoient des nombres différents d'achats de F-35 pour 2025. La mise à jour technologique 3 a entraîné le rejet de la livraison d'une centaine de F-35, qui sont actuellement stockés dans les installations de Lockheed. Bien que les problèmes soient censés être résolus, il faudra probablement un an pour y remédier. Le nombre de F-35 à acheter semble faire l'objet d'un débat à Washington. À un moment donné, il faudra prendre une décision sur le nombre d'appareils à acquérir.

    Le NDAA du Sénat approuve la demande du ministère de la défense

    Tel qu'il est rédigé, le projet de loi du Sénat sur l'autorisation de la défense nationale (National Defense Authorization Act, NDAA) laisserait inchangé le projet d'achat de 68 avions de combat F-35 par le ministère de la défense. Le NDAA est encore à l'état de projet et a été dévoilé vendredi. L'armée de l'air américaine a demandé à acheter 42 F-35A au cours de l'exercice 2025, tandis que la marine souhaite acquérir 13 F-35C et le corps des marines des F-35B.

    L'armée de l'air souhaite également acquérir 18 F-15EX Eagle II. Cependant, le NDAA rejette la proposition de l'armée de l'air de céder 26 F-15E et 32 Block 20 F-22 Raptors. Le NDAA du Sénat autorise également l'armée de l'air à céder le nombre requis d'A-10 Warthogs, de F-15C/D et de F-16 vieillissants.

    Le NDAA de la Chambre des représentants réduit la demande du ministère de la défense

    La Chambre des représentants a sa propre version du NDAA, et ce projet vise à réduire ce nombre à 58. Cette loi a été adoptée en lecture vendredi. Mais non seulement le NDAA de la Chambre réduit le nombre de jets à 58, mais il ajoute également une condition préalable pour 10 de ces jets. Defense News déclare,

    " Le Pentagone ne pourra accepter la livraison de 10 jets que lorsque le secrétaire à la défense certifiera aux législateurs que plusieurs problèmes liés au F-35 ont été résolus".

    Si cette loi est adoptée dans sa forme actuelle, le Pentagone ne recevra que 48 jets l'année prochaine. L'objectif de la NDAA serait de réinvestir environ 1 milliard de dollars pour résoudre les problèmes.

    Washington s'impatiente des retards causés par les mises à jour technologiques (Technology Refresh 3). Ces mises à niveau permettent d'améliorer la mémoire des ordinateurs, la puissance de traitement et les écrans des avions. Toutefois, en raison des retards et des problèmes liés à la mise à niveau, le Pentagone n'a accepté aucun des jets équipés de cette mise à niveau depuis juillet 2023.

    Le NDAA de la Chambre des représentants empêche également l'armée de l'air de retirer de la circulation tout F-22 et suspend le retrait de la circulation des F-15E.

    Le projet de loi de finances de la Chambre des représentants augmente la demande du DoD

    Defense News a noté que le projet de loi de finances de la sous-commission des crédits à la défense de la Chambre des représentants va dans le sens contraire. Au lieu d'approuver ou de réduire la commande proposée par le DoD, il ajouterait huit jets supplémentaires à la commande. Le projet de loi ajoute deux F-35A pour l'armée de l'air, ce qui porte leur nombre à 44, et six F-35C supplémentaires, ce qui porte le nombre d'avions de la marine à 19. Le nombre de jets que les Marines doivent recevoir reste inchangé. Soit un total de 76 jets.

    Une armée de l'air en perte de vitesse

    L'armée de l'air a demandé à se défaire de 250 appareils au cours de l'exercice 2025 et à en acquérir 121, ce qui ramènerait l'armée de l'air à moins de 5 000 appareils (ce qui suscite des inquiétudes à mesure que l'armée de l'air chinoise prend de l'ampleur). Au moins 58 des cessions demandées (F-15E et F-22) ont été rejetées par le NDAA du Sénat.

    Au total, l'US Air Force dispose actuellement d'environ 5 189 avions, y compris les avions d'entraînement et les drones, ou d'environ 4 000 avions sans les avions d'entraînement et les drones. L'armée dispose d'environ 1 217 chasseurs de 4/4,5 générations (F-16 et F-15) et d'environ 294 chasseurs de 5ème génération (F-22 et F-35A). Cela dit, le ministère de la défense a plus d'une "force aérienne", puisque la marine et le corps des marines exploitent ensemble quelque 3 308 aéronefs.

    L'armée de l'air devrait continuer à se réduire à l'avenir. Alors qu'il est prévu que le DoD achète plus de 1 700 F-35 (pour les trois armées qui les exploitent), seules quelques centaines d'avions de combat NGAD de nouvelle génération seront probablement achetés (par l'armée de l'air).

    Il est suggéré que l'armée de l'air n'achètera qu'environ 200 chasseurs NGAD de 6e génération. Toutefois, pour compenser la perte de masse, l'armée de l'air développe un drone ailier loyal appelé Collaborative Combat Aircraft (CCA). Le programme NGAD devrait être un système de systèmes et un bond en avant par rapport aux avions actuels. Il devrait remplacer le F-22 Raptor et la famille F-15 et compléter le chasseur furtif F-35.

    La marine s'est séparée du programme NGAD de l'armée de l'air et développe son propre avion, qui porte le même acronyme. Pour éviter toute confusion, les appareils de la marine sont généralement appelés programme F/A-XX. Le nombre d'avions F/A-XX pilotés que la marine prévoit d'acheter n'est pas encore connu.

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  2. il y a 7 minutes, Tetsuo a dit :

    c est marrant , j ai l impression de lire un vieil article  de 10 ans au moins .... :laugh:

    C'est peut être le cas, le mec il a pris un article vieux de 10 ans en se disant que plus personne ne s'en rappellera et il a modifié ce qui pouvait révéler le subterfuge. :biggrin:. Parce que vouloir tordre le bras à ton partenaire quand tu es en position de faiblesse....

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  3. il y a 19 minutes, Lordtemplar a dit :

    Dans ce ca la Dassault a mieux fait de developer un Mini Rafale/Alpha Jet 2 monomoteur entree de gamme pour faire concurrence au Tejas et au JF17 sino-pakistanais, histoire de placer des avions en Afrique, Amerique du Sud, etc... et couper l'herbe sous les pieds du Tejas et JF17.

    Et Gripen...

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  4. Policy switch to make full fighter jets in India

    Changement de politique pour fabriquer des avions de combat complets en Inde

    NEW DELHI : Non content des initiatives "Make in India" au coup par coup dans ses achats de défense, le gouvernement de l'Union a changé de politique pour acheter jusqu'à 114 avions de combat multirôles (MRFA) uniquement auprès d'un fournisseur qui est prêt à mettre en place une unité de fabrication en Inde pour l'ensemble de l'aéronef.

    Il souhaite également un transfert de technologie et une production intégrale en Inde dans le cadre d'une entreprise commune avec un partenaire local.

    Un nouvel appel d'offres global intégrant ces conditions devrait être lancé prochainement. Ce changement radical de politique devrait encore retarder l'acquisition du MRFA. L'Inde dispose de 31 escadrons d'avions de combat, alors que l'effectif prévu est de 42.

    Un grand nombre de pièces des avions de combat achetés précédemment sont déjà fabriquées en Inde dans le cadre des obligations de compensation. C'est la première fois que le gouvernement insiste sur la fabrication d'un avion complet en Inde, avec transfert de technologie.

    D'une valeur approximative de 20 milliards de dollars, le MRCA est considéré comme l'un des plus gros contrats de défense au monde de ces dernières années. Parmi les appareils en lice pour remporter le contrat figurent le Rafale de Dassault, le Super Hornet F/A-18 de Boeing, le Gripen de SAAB, le F-21 de Lockheed Martin, le MiG-35 russe et l'Eurofighter Typhoon.

    Selon certaines sources, la société française Dassault, fabricant du Rafale, qui était en tête de liste pour remporter le contrat, n'est pas disposée à transférer la technologie en vue d'une production en Inde. Le gouvernement indien a déjà acheté 36 Rafale pour l'armée de l'air indienne et devrait poursuivre sa décision d'acheter 26 Rafale Marine pour remplacer les MiG-29 vieillissants utilisés sur les INS Vikrant et INS Vikramaditya.

    Le gouvernement de l'Union a été encouragé par le fait qu'il a réussi à convaincre l'entreprise américaine GE Aerospace Defence and Systems de produire des moteurs d'avions de chasse en Inde, en collaboration avec l'entreprise publique Hindustan Aeronautics Ltd.

    Conformément à l'accord signé lors de la dernière visite du Premier ministre Narendra Modi aux États-Unis, GE transférera 80 % de la technologie de ses moteurs à réaction F414 qui équiperont la version Mk2 de l'avion de combat léger développé par l'Inde.

    Le gouvernement a relevé la limite sectorielle de l'IDE dans le secteur de la défense à 74 % afin de faire du pays une plaque tournante de la fabrication de matériel de défense.
     

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  5. J'ai analysé la situation de L.M. et communiqué mon analyse à ChatGPT pour qu'il me dise si j'avais raison d'envisager de vendre les actions de L.M. à découvert :biggrin:

    Votre analyse met en lumière des problèmes potentiellement graves pour Lockheed Martin en ce qui concerne le programme F-35 et la réaction des marchés financiers. Voici un résumé et une extension de vos points clés, en tenant compte de la situation actuelle et des implications futures :

    Analyse de la Situation Actuelle

    Délais et Problèmes de TR-3:

    Historique des Retards: Le TR-3 devait initialement être livré en juin 2023, mais a subi des retards multiples, reportant la date de livraison à juin 2024. Cependant, il semble que même cette nouvelle date soit maintenant en péril.

    Répercussions de TR-3 Tronqué: La solution intermédiaire consistait à proposer une version tronquée de TR-3 pour reprendre les livraisons, mais les retards supplémentaires pourraient compromettre ce plan.

    Stockage et Production:

    Accumulation d'Avions: Lockheed Martin a continué à produire des F-35 au rythme prévu et à les stocker, comptant sur la reprise des livraisons une fois TR-3 disponible. Cependant, la capacité de stockage pour ces avions, qui nécessitent des environnements sécurisés, atteint ses limites.

    Impact sur la Production: Si la capacité de stockage est épuisée, la production devra s'arrêter, transformant des paiements retardés en pertes sèches, ce qui aura un impact direct et négatif sur les revenus de l'entreprise.

    Réaction du Marché:

    Confiance des Investisseurs: Les investisseurs, qui ont été rassurés par les communications transparentes et les solutions temporaires jusqu'à présent, pourraient perdre confiance face à des retards supplémentaires et l'absence de solutions claires.

    Potentiel de Vente à Découvert: Envisager de vendre des actions à découvert peut sembler une stratégie viable si l'on anticipe une réaction négative des marchés à ces retards, surtout si la communication de Lockheed Martin ne parvient pas à offrir des garanties suffisantes.

    Stratégie pour la Gestion de Crise et Réponse aux Investisseurs

    Communication Transparente et Fréquente:

    Informer les Investisseurs: Lockheed Martin doit continuer à fournir des mises à jour fréquentes et transparentes sur l'état de TR-3, les raisons des retards et les mesures correctives en cours.

    Plan d'Action Détaillé: Présenter un plan d'action clair pour la résolution des problèmes de TR-3, y compris des délais réalistes pour la certification et les livraisons, est crucial pour rétablir la confiance.

    Gestion des Stocks et Production:

    Optimisation du Stockage: Explorer des options pour augmenter temporairement la capacité de stockage sécurisé ou ajuster le rythme de production pour éviter un arrêt complet.

    Coordination avec les Clients: Travailler en étroite collaboration avec les clients pour gérer les attentes et potentiellement ajuster les contrats pour atténuer les impacts financiers des retards.

    Impacts Financiers et Prévisions:

    Révision des Prévisions: Mettre à jour les prévisions financières pour refléter les retards potentiels et leur impact sur les revenus et les marges.

    Stratégie de Mitigation: Identifier et communiquer les stratégies de mitigation pour les pertes potentielles, comme la gestion de la trésorerie, l'ajustement des dépenses, ou la recherche de nouveaux financements si nécessaire.

    Conclusion

    La situation actuelle autour du TR-3 et du programme F-35 pose des défis significatifs pour Lockheed Martin, avec des implications directes sur les revenus et la perception des investisseurs. La perte de capacité de stockage pour les avions produits pourrait forcer un arrêt de production, transformant les paiements retardés en pertes financières tangibles.

    Envisager des ventes à découvert peut être une réponse logique si vous anticipez une baisse des actions de Lockheed Martin en raison de la perte de confiance des investisseurs et des impacts financiers. Cependant, cette stratégie comporte des risques et nécessite une évaluation continue de la situation et des réactions du marché.

    Une gestion proactive, transparente et détaillée de la crise par Lockheed Martin sera essentielle pour atténuer les impacts négatifs et rétablir la confiance des investisseurs dans le programme F-35 et les performances financières futures de l'entreprise.

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  6. il y a 27 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

    Impact sur les Utilisateurs

    Calendrier de Livraison : Les clients militaires qui attendaient les livraisons de F-35 avec TR-3 ont dû ajuster leurs plans en fonction des retards. Cela peut affecter les programmes de déploiement et de formation.

    Si j'ai bien compris, les Danois comptent rapatrier des F-35 TR2, qui sont aux US pour former leurs pilotes, mais qui peuvent être utilisé pour des combats. Ces F-35 seraient rapatriés au fur et à mesure que des F-35 avec un TR3 réduit seraient livrés car ceux ci seraient aptes à la formation des pilotes, de plus il vaut mieux qu'ils restent aux US car ils pourront recevoir plus facilement le TR3 complet lorsque celui ci sera disponible.

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  7. Status du TR-3 et Livraisons du F-35

    Reprise des Livraisons : En juin 2024, il y avait des attentes concernant la reprise des livraisons du F-35 équipés de TR-3. Cependant, les défis techniques persistants ont entraîné des retards. Lockheed Martin et le Bureau du Programme Conjoint du F-35 ont été en discussions pour résoudre ces problèmes.

    Mises à Jour Récentes : Selon les dernières informations disponibles, des efforts continus sont en cours pour stabiliser le TR-3 et répondre aux critères de livraison. Les dates précises de reprise peuvent varier, mais il est prévu que des mises à jour importantes soient communiquées dans les prochains mois.

    Impact sur les Utilisateurs

    Calendrier de Livraison : Les clients militaires qui attendaient les livraisons de F-35 avec TR-3 ont dû ajuster leurs plans en fonction des retards. Cela peut affecter les programmes de déploiement et de formation.

  8. il y a une heure, ARPA a dit :

    Concernant l'usure du potentiel, on parle parfois d'avions qui ont tellement de potentiel qu'il sera dur de tout consommer avant que l'avion soit obsolète.

    Pour l'instant le potentiel des F-35 est de l'ordre de 2100 h c'est le même genre de situation que les Typhoon tranche 1 pour des motifs différents, on risque d'avoir une épidémie de retraits un de ces jours...

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  9. Bien que le marketing de Lockheed Martin mette en avant les capacités avancées de fusion de données du F-35, il existe des rapports de problèmes significatifs avec ce système. Voici une analyse de la situation :

    Problèmes de Fusion de Données du F-35

    Anomalies Signalées

    • Doublons de Pistes : L'un des problèmes rapportés est la présence de doublons de pistes lorsque plusieurs capteurs, parfois de différents avions, détectent la même cible. Cela indique une défaillance dans l'algorithme de fusion de données pour corréler correctement les informations de sources multiples.
    • Incohérences : Des incohérences dans l'affichage des informations fusionnées peuvent créer de la confusion pour les pilotes, entraînant des erreurs potentielles dans la prise de décision tactique.
    • Plus de 800 Anomalies : Il est documenté qu'il existe plus de 800 anomalies liées à la fusion de données et à d'autres aspects du système avionique du F-35, nécessitant une attention continue pour résoudre ces problèmes.

    Impact sur les Opérations

    • Fiabilité : Ces anomalies peuvent affecter la fiabilité de la situation tactique présentée au pilote, compromettant potentiellement l'efficacité de la mission et la sécurité opérationnelle.
    • Complexité de la Maintenance : La correction de ces anomalies exige des mises à jour logicielles fréquentes et des ajustements, augmentant ainsi la complexité et les coûts de maintenance.

    Comparaison avec le Rafale

    Fusion de Données du Rafale

    • Système Avancé : Le Rafale, en particulier dans sa version F4 et avec la future version F5, a démontré des capacités solides en fusion de données. Le système est capable de combiner efficacement les informations de ses divers capteurs pour offrir une image cohérente de la situation tactique.
    • Fiabilité : Les rapports indiquent que la fusion de données du Rafale fonctionne de manière plus fiable, sans les types d'anomalies observées avec le F-35. Les utilisateurs ont exprimé une satisfaction générale avec la précision et la cohérence des données fusionnées.

    Performances Opérationnelles

    • Opérationnelle : La fiabilité du système de fusion de données du Rafale renforce la confiance des pilotes dans la situation tactique, améliorant l'efficacité des missions et réduisant les risques d'erreurs.
    • Intégration : La capacité du Rafale à intégrer les données de multiples capteurs tout en minimisant les anomalies contribue à sa réputation de polyvalence et de performance dans des environnements de combat complexes.

    Conclusion

    Les capacités de fusion de données du F-35, bien que très avancées sur le papier, sont confrontées à des défis opérationnels importants. Les problèmes tels que les doublons de pistes et les incohérences montrent que, malgré les avancées technologiques, il existe encore des lacunes significatives à combler pour atteindre la performance souhaitée. En revanche, le Rafale semble offrir une fusion de données plus mature et fiable, ce qui peut être un avantage important dans des situations de combat réel.

    :biggrin:

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  10. il y a une heure, ARPA a dit :

    Je me demande si en cas de panne des catapultes, il n'est pas envisageable d'utiliser les Rafale sans catapulte pour décoller du CDG sur toute la longueur de la piste. Cela avait été réalisé par un Alizé du Clemenceau (ou du Foch ?) il y a quelques décennies.

    Hironde m'a dit que le Rafale pouvait décoller sans tremplin, au sortir du pont il peut prendre presque instantanément la même incidence que si il sortait d'un tremplin. D'ailleurs les petits calcul que j'avais fait pour montrer qu'il pouvait décoller d'un STOBAR peuvent être mis à jour pour le montrer. Si on veut le faire en toute sécurité on ne pourra pas emporter grand chose comme charge utile, mais si on prend le risque de dire qu'aucun des deux M88 ne tombera en panne pendant le décollage on peut emporter une charge significative.

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  11. il y a 19 minutes, John92 a dit :

    4 milliards d'euros pour 26 appareils, ça donne 153 millions par appareil. Dommage que l'on ne sache pas ce qui a été commandé en plus des appareils.

    Il faudra attendre la signature pour avoir une idée plus précise. Par exemple tu as des installations sur les portes avions, et là il semble qu'il faut en équiper deux et c'est plus compliqué si tu dois garder la possibilité d'avoir deux flottes différentes. Il y a aussi deux bases à terre mais elles peuvent être moins complètes que celles de l'IAF par exemple on peut se dispenser des simulateurs de vol et partager ceux de l'IAF en rajoutant un mode Rafale M pour simuler les catapultages et les appontages, sinon il semble que les armements et le PBL soient inclus.

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  12. Comment l’Armée de l’air va travailler sa « capacité de projection de puissance vite et loin » cet été

    DÉFENSE•L’Armée de l’air déploie cet été une vingtaine d’aéronefs de l’Alaska en Australie, à l’occasion de la mission Pégase 24

    Le tour du monde pour une vingtaine d’aéronefs militaires français. Du 27 juin au 15 août, l’Armée de l’air et de l'espace participe à la mission Pégase, qui va l'amener à visiter quelque treize pays. Cela « montre que nous avons changé de dimension en matière de capacité de projection de puissance aérienne vite et loin », insiste le général Guillaume Thomas, commandant la brigade aérienne des opérations, et chef de la mission Pégase 24, qui démarre ce jeudi.

    L’Armée de l’air va déployer depuis la France sept Rafale, cinq avions ravitailleurs A330 MRTT (Multi role tanker transport) et quatre A400M (transport de matériel et de troupes), qui emprunteront deux routes aériennes, l’une vers l’ouest, l’autre vers l’est, pour se rejoindre en Australie avant de rentrer en métropole. Plusieurs escales sont prévues sur chacun de ces trajets, pour participer notamment à des exercices aériens de haute intensité, comme Arctic Defender en Alaska du 6 au 17 juillet, et Tarang Shakti en Inde du 6 au 13 août. Les équipages français se retrouveront également au méga exercice Pitch Black en Australie, du 12 juillet au 3 août.

    Réduire les temps d’intervention des forces françaises

    « Le triptyque MRTT, A400M et Rafale, change notre façon de conduire les opérations aériennes et raccourcit le temps et les distances, explique le général Thomas. On se projette ainsi très rapidement jusque dans le Pacifique, avec l’objectif d’être le plus léger possible, de minimiser l’impact logistique. »

    Lors de Pégase en 2021, l’Armée de l’air avait ainsi envoyé trois Rafale, deux MRTT et deux A400M « en moins de 40 heures en Polynésie. » Un record. « Nous avions également réalisé un vol direct entre la France et Travis Airforce Base en Californie en douze heures, avec quatre ravitaillements en l’air. » En 2022, « nous avions déployé un dispositif en Nouvelle-Calédonie en moins de 72 heures, avec des escales très courtes », ajoute le général Thomas. Un exercice prémonitoire, puisque l’Armée de l’air a dû organiser un pont aérien en Nouvelle-Calédonie il y a un mois, en raison des violents affrontements sur l’île, et alors que les aéroports avaient dû être fermés.

    En Alaska, un terrain d’entraînement « très réaliste »

    « Cette année, nous serons moins axés sur la rapidité, poursuit toutefois le général Thomas. Sur la boucle Pacific Skies [ouest], on s’arrêtera en Alaska avant de rejoindre l’Australie. Et sur la boucle Griffin Strike [est], qui rejoint aussi l’Australie, on s’arrêtera aux Emirats Arabes Unis et à Singapour auparavant. On joue davantage la coopération internationale et la durée des partenariats. »

    Les Français vont notamment décoller jeudi avec des équipages allemands et espagnols, soit les trois nations du projet Scaf (Système de combat aérien du futur). « Ce sera l’occasion d’échanger sur ce projet qui n’est pas qu’un aéronef, souligne le général Thomas, c’est tout un système, et ce déploiement va nous permettre de travailler la planification des missions et la maintenance croisée, puisque les trois nations utilisent l’A400M. Cela renforce notre capacité à travailler ensemble, et à mieux définir cet objectif Scaf. »

    Une fois en Alaska, les équipages européens participeront à l’exercice Arctic Defender, pour une durée de trois semaines, « où nous allons bénéficier d’un espace aérien et d’un champ d’action qu’on ne peut pas retrouver en Europe, puisque le volume qui nous sera attribué sera l’équivalent de pratiquement la moitié de la France, du sol jusqu’à une altitude quasiment illimitée. Nous aurons des conditions d’entraînement très réalistes, avec une opposition assurée par les moyens de l’US Air Force, notamment des F18, des F35, et des bombardiers B52, et l’utilisation de systèmes sol-air, réels et simulés, très réalistes. Cet exercice va également nous permettre d’éprouver la dernière version du Rafale, le 4.1. »

    A l’issue de son escale en Australie, cette composante aérienne repartira en métropole via des escales en Indonésie, aux Philippines, au Qatar et en Egypte.

    En Australie pour un « exercice de très haute intensité »

    L’autre boucle, qui empruntera l’itinéraire Griffin Strike avec un équipage britannique, partira le 6 juillet de France pour arriver le 10 juillet en Australie afin de participer à Pitch Black. « C’est un exercice de très haute intensité organisé tous les deux ans par l’Australie, explique encore le général Thomas. Dix-huit pays y participent, avec notamment l’Inde, le Japon, la Corée, la Malaisie, les Etats-Unis, et il réunira 2.500 aviateurs et une centaine d’aéronefs du 10 juillet au 5 août. »

    A son retour en France, cette composante s’arrêtera en Inde pour l’exercice Tarang Shakti, puis viendra appuyer « nos forces outre-mer » à travers, notamment, une escale sur l’île de la Réunion, et en Nouvelle-Calédonie « en fonction de l’actualité. » L’occasion aussi pour la France de montrer sa présence dans l'« Indopacifique », vaste zone couvrant les océans Indien et Pacifique, théâtre de tensions internationales croissantes entre Pékin et Washington.

    Les Rafale déployés par l’Armée de l’air cet été, décolleront des bases de Mont-de-Marsan (Landes) et Saint-Dizier (Haute-Marne), les A400M d’Orléans (Loiret), et les MRTT d’Istres (Bouches-du-Rhône).

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  13. Avancées en matière de communications

    Avec l'arrivée du standard F4, le Rafale est équipé des nouvelles radios logicielles Thales Contact qui sont largement déployées dans les forces armées françaises. Ces radios de nouvelle génération resteront entièrement compatibles avec les anciennes ondes radio et ont été testées sur le Rafale dès 2020.

    Le Rafale F4.2 est également équipé d'une nouvelle liaison de données de combat point à point, directionnelle, discrète et à haut débit, qui sera utilisée exclusivement pour les communications et l'échange de données au sein d'une patrouille de Rafale. Cette liaison utilisera une nouvelle forme d'onde tridimensionnelle (FO3D, ou Forme d'Onde 3 Dimensions) générée par traitement numérique du signal à l'aide d'antennes dédiées pour les bandes passantes requises et le flux de données attendu.

    Cette nouvelle liaison de données de l'avion de combat complétera - et ne remplacera pas - l'actuelle liaison 16. En conséquence, le système avionique de base du Rafale doit être modifié pour accueillir les deux systèmes de liaison de données qui fonctionnent l'un à côté de l'autre (bien qu'ils ne soient pas liés).

    L'architecture du réseau interne a du être modifiée pour devenir encore plus résistante aux cyberattaques. Le programme de recherche CAPOEIRA (Connectivité Améliorée Pour les Evolutions du Rafale) a été lancé pour aider à déterminer le type d'architecture nécessaire à un système de navigation et d'attaque totalement sécurisé.

    La future communication militaire par satellite sera cryptée, entièrement sécurisée et impossible à intercepter grâce à une antenne de qualité militaire et à un modem durci. Il permettra au Rafale d'activer un mode de relais de communication entre les chasseurs et les troupes au sol d'une part, et les échelons supérieurs d'autre part.

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  14. il y a 8 minutes, herciv a dit :

    On peut comprendre çà de plein de façon. Mais en gros au final probablement meilleurs résolution angulaire donc même objet détectable et identifiable de plus loin et comme çà n'a pas "d'équivalent " le rafale gagne une capacité de détection / dentification en premier sur un objet  de même taille que lui.

    Moi je comprend qu'on avait une bonne identification de jour, grâce à la voie TV et qu'en améliorant la voie IR on obtient la même qualité en identification de nuit. Ceci dit normalement Talios devait déjà donner une image sans précédent!

    Mais ce qui me fait le plus plaisir c'est TRAGEDAC et CAPOEIRA.

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  15. Il y a 20 heures, johnsteed a dit :

     

    Bonjour,

    C'est exactement ce que je m'apprêtais à écrire.

    J'ai un ami australien qui me disait un jour qu'il détestait Georges Walker Bush (fils) à cause de la guerre en Irak. Mais alors que je m'attendais à ce qu'il me parle de Chirac pour son opposition à la guerre, il me rétorqua qu'il avait un problème avec ce dernier à cause des essais nucléaires qu'il avait repris et terminés. Je me suis permis de lui faire observer deux choses:

    1 - La Polynésie Française, c'est la France. Les métropolitains sont aussi chez eux là bas que les Tahitiens le sont en métropole.

    2 - Où le royaume uni a-t-il fait ses essais nucléaires ? Réponse: au milieu de l'Australie. Il l'a ramenait moins, là. Non ?

    L'ami en question n'a rien trouvé à me répondre.

    Et je ne parle pas des essais US sur l'atoll de Bikini et tout autour bien plus proche de l'Australie que la Polynésie.

    J'en tire plusieurs conclusions:

    - Il existe une sorte de réflexe à critiquer et rabaisser tout ce qui est français et non anglo saxon par principe.

    - Nous  ne sommes pas assez performants sur le domaine de l'influence médiatique, le soft power, ce genre de chose en général. Malgré nos bonnes intentions culturelles, "droit de l'homme-iste", sociales, progressistes, diplomatiques, d'autres pays avec beaucoup moins de scrupules, d'états d'âmes, de retenus se forgent une image plus favorable. Comme si, à vouloir bien faire, en faisant preuve de contritions, nous fournissions malgré nous le bâton pour nous faire battre à ceux qui n'attendaient que ça.

    Investir dans l'armée, le renseignement... très bien. Mais à chaque fois que nous sommes si bien renseignés, on se fait quand même refouler, discréditer et j'en passe. On pourrait aussi mettre des moyens sur ces domaines dont l'importance a explosé depuis l'avènement des réseaux sociaux. Et nous ne sommes pas assez efficaces.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Essai_nucléaire

     

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    D'après ta carte Hiroshima et Nagasaki ce sont des essais nucléaires Américains!

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  16. il y a 8 minutes, Wallaby a dit :

    Peut-on en savoir plus sur l'auteur et la date de cette analyse ?

    C'est ma prose mais je me suis fait aider par ChatGPT, comme ChatGPT est très conciliant quand on exprime des opinions on peut arriver à produire rapidement un texte qui exprime ses propres opinions.

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  17. Les premiers astronautes du vaisseau Starliner de Boeing coincés sur la station spatiale internationale

    Butch Wilmore et Suni Williams flottent toujours à bord de la capsule spatiale du Starliner, arrimée à la Station spatiale internationale (ISS) sans date de retour sur Terre pour l’instant

    Loi de Murphy ou loi des séries, que ce soit dans les airs ou dans l’espace, pour Boeing… ça bat de l’aile. Les astronautes de la NASA Butch Wilmore et Suni Williams flottent toujours dans la Station spatiale internationale (ISS) à bord de la capsule spatiale Starliner de Boeing, rapporte le site en ligne Morning Brew.

    Pas de panique selon la NASA toutefois, qui estime qu’il ne s’agit pas d’une situation majeure. Starliner qui est amarré à l’ISS peut rentrer immédiatement et en toute sécurité en cas d’urgence, mais un problème sur ses propulseurs a conduit la célèbre agence spatiale américaine à reconnaître vendredi un report du rapatriement des deux passagers.

    Le compte à rebours est lancé

    Les deux astronautes étaient censés passer seulement huit jours dans l’ISS et rentrer chez eux le 14 juin… Leur date de retour est à présent reportée au mois de juillet, précisent encore nos confrères.

    Pas le choix de toute façon car un compte à rebours est lancé depuis qu’ils ont atteint la Station spatiale internationale le 5 juin dernier. Un premier cap important déjà franchi malgré quelques incidents techniques durant le trajet. Starliner n’était destiné à passer que quarante-cinq jours sur l’ISS, ce qui donne une date butoir d’un retour au 21 juillet prochain, maximum. Si tout va bien.

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  18. L'annulation de l'accord sur les sous-marins de classe Barracuda avec la France et l'annonce de l'accord AUKUS sans consultation préalable avec Paris ont certainement eu des conséquences diplomatiques et stratégiques importantes. L'absence de consultation avec la France, qui a des intérêts et une présence importants dans le Pacifique, a créé des tensions qui pourraient affaiblir la coopération et les relations futures entre ces alliés. Cela illustre la nécessité d'une meilleure coordination diplomatique et d'une meilleure communication pour maintenir la cohésion entre les partenaires stratégiques, en particulier dans des domaines aussi sensibles que la défense et la sécurité régionale.

    Une meilleure diplomatie vis-à-vis de la France aurait pu faciliter la transition vers la classe AUKUS en termes de délais et de coûts

    Compte tenu du goulot d'étranglement dans la production des sous-marins de classe Virginia aux États-Unis et de leur probable disponibilité tardive pour les Australiens, une approche basée sur la livraison de sous-marins de classe Suffren à court terme, suivie de sous-marins de classe AUKUS lorsqu'ils seront disponibles, pourrait être envisagée.

    La combinaison des sous-marins de la classe Suffren et de la future classe AUKUS offre une approche équilibrée, permettant de disposer beaucoup plus tôt et à moindre coût d'une capacité de sous-marins nucléaires avancés, tout en établissant une base solide pour l'intégration des capacités plus avancées et interopérables de la classe AUKUS à plus long terme. Cela permettrait à l'Australie de réagir rapidement aux menaces et de renforcer sa défense tout en développant progressivement ses capacités de coopération stratégique avec ses alliés.

    Classe Virginia et classe AUKUS

    La disponibilité de la classe Virginia est estimée entre 2036 et 2042, tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné de mise à disposition de la classe Virginia suivie de la livraison de la classe AUKUS sont très élevés, les coûts totaux du programme étant estimés entre 268 et 368 milliards de dollars australiens.

    Les avantages supposés sont l'alignement stratégique sur les États-Unis, l'accès à des technologies avancées et une interopérabilité accrue avec les forces américaines. Les inconvénients sont les longs délais, les coûts très élevés et la complexité de l'intégration des systèmes américains et australiens.

    Classe Suffren et classe AUKUS

    La disponibilité de la classe Suffren pour le premier sous-marin est possible dès 2031, avec des livraisons ultérieures en 2033, 2035... tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné d'approvisionnement de la classe Suffren suivi de la livraison de la classe AUKUS sont estimés à environ 1,6 milliard de dollars australiens par sous-marin Suffren, ce qui est potentiellement beaucoup moins coûteux que le programme précédent de solution transitoire.

    Les avantages supposés sont la réduction des délais de livraison : Les sous-marins de la classe Suffren seraient disponibles beaucoup plus tôt, ce qui permettrait à l'Australie de disposer plus rapidement de capacités nucléaires avancées, et les coûts par sous-marin seraient potentiellement moins élevés, ce qui constituerait une solution plus rentable à court terme. En outre, les sous-marins de la classe Suffren sont technologiquement avancés et offrent une furtivité, une endurance et des capacités opérationnelles élevées, et cette solution ne constitue pas une rupture technologique, ce qui faciliterait la transition vers les capacités de la classe AUKUS. Les inconvénients sont une interopérabilité moins immédiate avec les forces américaines, bien que cela puisse être compensé par une intégration progressive avec les futurs systèmes de la classe AUKUS.

    Conclusion

    La classe Suffren permettrait à l'Australie de disposer rapidement de sous-marins nucléaires tout en développant l'infrastructure et les capacités nécessaires aux sous-marins de la classe AUKUS à plus long terme. Cette approche permet d'atténuer les risques liés aux retards et aux coûts élevés en fournissant une capacité intermédiaire solide. La combinaison du Suffren comme solution provisoire avec les sous-marins AUKUS à plus long terme permet une plus grande flexibilité dans l'adaptation des capacités de défense à l'évolution des besoins. Moins coûteux à court terme, il permet d'affecter les ressources financières au développement de la classe AUKUS et à d'autres priorités en matière de défense.

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  19. il y a 10 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

    "Les technologies quantiques permettent à la fois une bien meilleure résolution de ce que l'on va détecter et, surtout, une détection instantanée sur une très large bande passante", a déclaré M. Aufort. "Vous avez accès à des bandes passantes beaucoup plus larges, et donc à une plus grande probabilité d'interception, car les émissions sont en fait fugaces.

    http://www.air-defense.net/forum/topic/15062-spectra-et-ce-que-vous-savez/?do=findComment&comment=1252983

    Citation

    De plus dans les évolutions prévues de SPECTRA, Thales a proposé de rendre le système large bande aussi sensible que le système super hétérodyne....

     

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