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Messages posté(e)s par Picdelamirand-oil

  1. Il y a 2 heures, Patrick a dit :

    Et la France premier client ce que montre très bien ce graphique.

    L'Allemagne avait besoin de 2,5 fois plus de gaz que la France mais ils n'avaient pas d'usine de gazéification  portuaire alors que la France en avait 4. en plus il y avait un gazoduc entre l'Allemagne et la France pour nous alimenter en gaz Russe et on a pu le faire fonctionner à l'envers de la France vers l'Allemagne.

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  2. il y a 46 minutes, HK a dit :

    Non. La LPM aurait pu accélérer la cadence de livraisons mais elle ne l’a pas fait. Trappier lui même la regretté. On ne va pas tout chambouler alors que le contrat T5 vient à peine d’être signé.

    Audition de Trappier au sénat:

    https://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20230522/etran.html#toc2

     

    Mais là c'est l'export qui va faire accélérer la cadence... Ce n'était pas prévu dans la LPM.

    Citation

    Compte tenu du principe d'annualité budgétaire et de la primauté des lois de finances sur les engagements pluriannuels de l'État, la mise en œuvre des lois de programmation militaire est subordonnée à la transposition de celles-ci dans les lois de finances annuelles. Or, cette transposition est difficile, notamment pour des raisons techniques, liées à la durée de plus en plus longue des programmes d'armement. L'exécution des lois de programmation militaire apparaît donc d'autant plus imparfaite que le terme de celles-ci est lointain. Un meilleur ajustement entre la programmation et la budgétisation des dépenses militaires, c'est-à-dire entre les lois de programmation militaire et les lois de finances, apparaît donc souhaitable et justifie l'étude de la programmation des dépenses militaires dans les pays étrangers.

    La loi de programmation militaire ce n'est "qu'une ardente obligation" du fait qu'elle est subordonnée à la transposition dans les lois de finances annuelles. 

  3. il y a 13 minutes, Ronfly a dit :

    C'est moi ou c'est le b.... cette LPM. Va falloir arrêter de faire des noeuds avec les chiffres et les objectifs. Il est où le pilote dans l'avion... En 2030, 137 Rafale ou 185?... Le standard F5, en 2030, 2032, 2035???... Bon ils se décident les gars!.. ou alors c'est le "en même temps", et on aura 185 Rafale... ou pas. Sur, c'est pour tromper l'ennemi en fait (bon ça trompe également les concernés mais c'est pas grave...). Et puis c'est pas un soucis, il y a le temps, on est à peine en 2024. ;)

    Il est vraisemblable qu'on doit décider d'une augmentation de cadence...ou pas, mais si par exemple l'Inde ne se limite pas à 26 Rafale mais l'accompagne d'un paquet cadeau pour l'IAF alors d'une façon ou d'une autre il faudra monter plus haut que 3 par mois. Si la cadence est accrue cela supprime des contraintes de production qui nous limitaient avant d'où ces possibilités nouvelles dont on parle.

  4. France: cette branche de l’armée prépare sa révolution

    Francis Noudé

    L’Armée de l’air française est sur le point de connaître une transformation significative, marquée par une série de développements stratégiques et technologiques. Au cœur de cette évolution, l’intégration accrue des Rafale dans la flotte, avec l’objectif ambitieux de porter leur nombre à 185 d’ici 2030. Cette expansion s’accompagne de la création d’un nouvel escadron à Orange, renforçant ainsi la capacité opérationnelle de l’Armée de l’air sur le territoire national.

    Les récentes années ont vu une intensification des exercices militaires de l’Armée de l’air, soulignant un changement d’échelle dans la préparation et la posture dissuasive de la France. Ces manœuvres, de plus en plus imposantes, ne se limitent plus à l’entraînement mais servent également d’acte dissuasif, signalant une montée en puissance dans la stratégie de défense nationale.

    Face aux menaces émergentes, notamment l’utilisation croissante de drones, l’Armée de l’air adapte ses stratégies de défense des bases aériennes. L’évolution rapide de cette menace exige une vigilance constante et l’adoption de nouvelles technologies pour sécuriser les installations militaires françaises.

    Dans un monde où les crises peuvent émerger avec une rapidité déconcertante, la réactivité de l’Armée de l’air est plus cruciale que jamais. L’intervention rapide des avions français à la frontière ukrainienne, peu après l’invasion par la Russie, illustre cette capacité d’action immédiate. Cette réactivité est soutenue par une réorganisation récente de la chaîne de commandement, visant à accélérer la prise de décision et l’exécution des opérations.

    L’augmentation du budget de la défense, avec une allocation de 413 milliards d’euros pour la période 2024-2030, témoigne d’un engagement renouvelé envers les forces armées. Ce financement substantiel permettra de moderniser et d’élargir les capacités de l’Armée de l’air, notamment par l’acquisition de nouveaux Rafale et l’amélioration des infrastructures.

    Enfin, dans un contexte de préoccupations environnementales croissantes, l’Armée de l’air s’efforce également de réduire son empreinte carbone. Bien que les défis soient immenses, des efforts sont déployés pour optimiser la consommation de carburant et intégrer des solutions plus durables dans les opérations aériennes.

    Cette série d’initiatives marque le début d’une ère nouvelle pour l’Armée de l’air française, qui se prépare à affronter les défis de demain avec une force renouvelée et une capacité de dissuasion accrue.

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  5. il y a 2 minutes, Ciders a dit :

    En Ukraine, il y a des élections libres. Il n'y a donc pas de "tu" mais un "ils", et ce sont les Ukrainiens le "ils".

    Cette conception de la souveraineté est assez étrange. Et demeure très orientée.

    Quid du pic de souveraineté de la France en 1788 ? En 1940 ? En 2024 ?

    Quand De Gaulle a dit "Vive le Québec libre"

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  6. Le 31/08/2021 à 14:03, jackjack a dit :

    En fait, la technologie ADVENT était considérée comme trop immature à l'époque et a été remplacée par le F135. La mise à niveau a toujours été prévue. La mise à niveau s'appliquera à tous les modèles. Le problème du poids concerne le F-35B. J'invite quiconque à montrer une déclaration selon laquelle le F-35a a des problèmes de poids et a besoin de plus de puissance pour décoller ou atterrir.

    These Are The Briefings President-Elect Trump Got On The F-35, Air Force One, and Nukes

    Dans ce document il y a des transparents qui ont été présentés au président Trump pour le mettre au courant de sujets qu'il ne connaissait pas bien quand il a été elu président. Il est intéressant de voir quel est le ton des présentations F-35 quand elles ne sont pas prévues pour le grand public. Je recopie un transparent qui résume bien le passé. 

    Cette diapositive, qui couvre l'historique du programme, utilise efficacement l'espace pour cataloguer une série de faux pas et d'erreurs graves dans l'exécution du programme. Elle mentionne les retards liés aux problèmes de poids du F-35B, dont la solution a pu entraîner d'autres problèmes par la suite, et le fait que la décision de commencer la production en série en 2007 était prématurée. L'entrée pour 2009 montre que pratiquement tout ce qui pouvait mal tourner pour le programme a mal tourné. 

    L'exposé de M. Bodgan va même jusqu'à dire que l'intervention du gouvernement en 2011, qui a conduit à un redémarrage effectif du programme avec un nouveau calendrier et de nouvelles estimations de coûts, a offert une "amélioration marquée, mais pas parfaite". Le bas de cette diapositive indique, sans mise en garde, qu'il est difficile de surmonter un passé trouble, mais que le programme s'améliore.

    spacer.png

     

    On voit que la diapositive était encore très optimiste sur les délais.

    Même si le problème de poids n'était critique que pour le F-35 B, la compatibilité entre les versions qui n'était déjà pas extraordinaire a poussé à généraliser les mesures d'allègement à toutes les versions pour la conserver le plus possible.

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  7. il y a 59 minutes, Ronfly a dit :

    Ok, ça a encore changé alors... On s'y perd avec ses chiffres mais j'avais compris ça pour l'AAE:

    - fin livraison T4 en janvier 2025 avec les 28 restants soit 129 livrés mais 24 exports soit 105 restants

    Oui je comprend ton point de vue mais je conteste ton premier point:

    En 2018 on avait livré 152 Rafale pour la France dont 46 pour la Marine, même si ils ne sont pas tous en ligne parce qu'il y en a pour des tests de développement il y en a des perdus, c'est ce qui compte parce que c'est par rapport à ce chiffre qu'on complètera pour atteindre les 225 qui d'ailleurs seraient plutôt 185 + 46 = 231 .

    Donc l'armée de l'air avait 152-46 = 106 Rafale, et fin 2025 elle en aura 106+40-24 = 122 la dessus en 2027 on entamera la tranche 5 qui devrait nous amener à 122 + 42 =164 ou 142 si on se limite à 20 avant  2030. Pour arriver à 185 il faudrait ajouter une tranche 6 de 21 Rafale. Après est ce qu'il y a la volonté politique? Là on diffère encore, non pas que de mon point de vue ce soit fait, mais ça finira par se faire.

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  8. il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

    Rafale Fighter Jets To Roll Out From Mihan-SEZ In Nagpur, says Gadkari

    Les avions de combat Rafale sortiront de Mihan-SEZ à Nagpur, déclare Gadkari

    "L'entreprise française Dassault fabriquera ici les avions de combat Rafale que vous avez vus décoller lors de la parade du Jour de la République à Delhi", a déclaré M. Gadkari lors de l'inauguration d'Advantage Vidarbha, un événement industriel destiné à attirer les investissements.

    La réaction des Indiens à cette information:

    Step 1: Complete.
    Step 2: 26 Rafale M + XX Rafale B/C.
    Step 3: Rafale vs F-35 in MRFA.

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  9. il y a 1 minute, CortoMaltese a dit :

    Ca signifie que l'intégralité de la tranche 4 aura été livré d'ici 2027 ou bien qu'on va avoir des livraison parallèles d'avions de la tranche 4 et de la tranche 5 entre 2027 et 2030 ? 

    A 13 par an il suffit de 3 ans pour livrer l'intégralité du reliquat de la tranche 4. Cela fait 24 - 25 - 26 et après c'est tranche 5 il nous faut 48 Rafale pour passer de 137 à 185 et on en a commandé 42 on a jusqu'à 2026 pour commander la dernière tranche sur laquelle les 6 premiers pourraient être produit avant la fin de 2030. Tout cela n'est possible que si on monte à cadence 4 ou si on crée une autre ligne d'assemblage en France ou à l'étranger. 

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  10. Il y a 13 heures, Ronfly a dit :

    Il faudrait qu'ils arrêtent avec les 185 chasseurs type Rafale en 2030. Il est prévu 137 Rafale en 2030. Les 48 2000D RMV ne peuvent être considérés comme du type Rafale... Leur sémantique est incorrecte et pas adapté. Les RMV amènent de belles améliorations mais ils ne sont pas du même calibre que le Rafale. 

    Homme de peu de foi, c'est peut être le signe que quelque chose a changé: 137 Rafale en 2030 c'était déjà le cas avant la commande de la tranche 5, c'est à dire qu'on pouvait l'atteindre en livrant 13 Rafale par an aux forces Françaises sur la fin de la tranche 4 et les 12 qui remplaçaient les Grec. Mais si tu lis bien le communiqué de la tranche 5  ( ici:http://www.air-defense.net/forum/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1690617) tu devrais remarquer que les premiers Rafale seront livrés en 2027... 3ans avant 2030. L'Ukraine est passée par là/

    Citation

    « Avec la guerre en Ukraine qui dure, nous avons changé de paradigme, analyse le général. Les armées ont été dotées de 413 milliards d’euros lors de la dernière loi de programmation militaire 2024-2030, cela faisait bien longtemps qu’elles n’avaient pas obtenu une telle enveloppe. Il y a une volonté de remonter nos stocks, de faire le nécessaire pour que cet outil [les bases] puisse être utilisé à 150 % de ses capacités. » Réception de nouveaux Rafale, projections à l’étranger, exercices militaires de plus en plus imposants…

     

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  11. French aerospace giant Thales plans to set up avionics MRO in Delhi

    Le géant français de l'aérospatiale Thales prévoit d'implanter un centre de maintenance avionique à Delhi

    Alors que New Delhi et Paris cherchent à étendre leur partenariat stratégique, le géant français de la défense Thales a déclaré vendredi qu'il apportait à l'Inde ses capacités de haute technologie "fiables" et qu'il envisageait d'installer un centre de réparation avionique à Delhi afin de fournir des services de classe mondiale à ses compagnies aériennes clientes. Le vice-président et directeur national de Thales Inde, Ashish Saraf, a déclaré que l'entreprise était pleinement engagée et mobilisée pour soutenir les efforts de modernisation et d'indigénisation en cours dans le secteur indien de l'aérospatiale et de la défense.

    Lors de leurs entretiens à Jaipur jeudi soir, le Premier ministre Narendra Modi et le président français Emmanuel Macron ont décidé de renforcer davantage la coopération stratégique bilatérale, en particulier dans les domaines de la défense, de la sécurité, du commerce et de l'énergie propre.

    Macron était l'invité principal des célébrations du Jour de la République au Kartavya Path vendredi.

    M. Saraf a qualifié d'"initiative clé" la décision d'installer le centre de maintenance, de réparation et d'exploitation de l'avionique à Delhi et a affirmé que Thales soutiendrait pleinement la production nationale indienne dans le domaine de la défense.

    Nous apportons activement nos capacités de haute technologie, associées à une expérience de plusieurs décennies, et nous travaillons en étroite collaboration avec l'industrie locale pour soutenir le "Make-in-India" pour l'Inde et pour le monde", a-t-il déclaré à PTI.

    Interrogé sur le fait de savoir si l'achat prévu par l'Inde de 26 avions de combat Rafale-M (version marine) et de trois sous-marins Scorpène auprès de la France ouvrirait de nouvelles voies pour les relations en matière de défense, M. Saraf n'a pas donné de réponse directe, mais a déclaré que Thales était fier d'être un membre de l'équipe Rafale.

    "Nous sommes fiers de faire partie de l'équipe Rafale, dont Dassault Aviation est le chef de file. Thales fournit un certain nombre d'équipements et de systèmes de pointe à bord du Rafale, notamment le radar, le système de guerre électronique, l'optronique, le système de communication, de navigation et d'identification (CNI), la majorité des systèmes d'affichage du cockpit, entre autres", a-t-il déclaré.

    L'Inde a déjà acheté 36 Rafale à la France pour l'armée de l'air indienne (IAF).

    "Nous voyons un énorme potentiel à exploiter et à renforcer les capacités nationales sur tous nos marchés clés, y compris la défense, l'aérospatiale et l'identité et la sécurité numériques en Inde", a déclaré M. Saraf.

    "Nous avons changé de vitesse et pris de nombreuses initiatives pour étendre notre empreinte locale. L'une de ces initiatives est notre deuxième installation de pointe à Bengaluru que nous avons récemment inaugurée", a-t-il déclaré. 

    Le groupe aérospatial français collabore avec l'armée indienne depuis plus de sept décennies.

    "Nous renforçons également notre présence dans le secteur de la défense en développant des capacités de services locales afin de mieux aider nos clients indiens à atteindre l'état de préparation opérationnelle", a déclaré M. Saraf.

    "Outre son immense potentiel commercial, l'Inde est également une excellente plaque tournante pour la recherche et le développement, grâce à l'abondance de ses talents en matière d'ingénierie", a-t-il ajouté.

    Le dirigeant de Thales a indiqué que l'entreprise renforçait ses centres d'ingénierie et ses équipes à Bengaluru et à Noida.

    "Une autre initiative clé que nous entreprenons est la mise en place d'un centre de maintenance avionique à Delhi NCR afin d'offrir un service de classe mondiale à nos compagnies aériennes clientes", a-t-il déclaré.

    M. Saraf a déclaré que la présence de M. Macron aux célébrations du Jour de la République en tant qu'invité principal est un symbole des solides relations bilatérales entre l'Inde et la France.

    "En tant que multinationale française disposant d'un solide héritage dans le domaine de la défense et d'autres secteurs en Inde au cours des sept dernières décennies, nous voyons ce partenariat se développer davantage, en particulier dans la conception, le développement et la fabrication de technologies de pointe en Inde", a-t-il noté.

    M. Saraf a déclaré que Thales se réjouissait des opportunités que le partenariat franco-indien en plein essor offrirait aux deux parties dans divers domaines de coopération tels que la défense et la sécurité, l'espace et le cyberespace, entre autres.

    La deuxième installation de Thales à Bengaluru est une extension de son centre d'ingénierie qui travaille sur des systèmes avioniques complexes, le divertissement en vol, la connectivité du cockpit, les systèmes vidéo et les logiciels radar, entre autres.

    "Ce centre d'ingénierie de Bengaluru travaille tous les jours avec son homologue de Bordeaux, en France", a-t-il déclaré.

    Les liens stratégiques et de défense entre l'Inde et la France se sont intensifiés ces dernières années.

    Les deux partenaires stratégiques ont également exprimé leur volonté de coopérer au codéveloppement et à la coproduction de technologies de défense avancées, y compris au profit de pays tiers.

    Les deux parties développent également leur coopération dans le domaine maritime, notamment dans la région de l'océan Indien.

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  12. Gaz : le plan Biden qui fait frémir le marché mondial

    L'administration américaine pourrait annoncer dans les prochains jours un moratoire sur tous les nouveaux projets d'exportation de gaz naturel liquéfié. Les conséquences pourraient être importantes, notamment pour l'Europe, dépendante du gaz américain.

    La campagne électorale américaine s'invite dans la crise énergétique. Selon plusieurs médias, l'administration Biden pourrait annoncer dans les heures qui viennent un plan qui renforcerait les mesures environnementales concernant les terminaux de liquéfaction de gaz. Elle s'interrogerait sur leur impact et pourrait décider, en attendant les résultats d'études complémentaires, de geler tous les projets en cours.

    Selon le « New York Times », la première décision concernerait Calcasieu Pass 2, le plus grand terminal de liquéfaction en projet aux Etats-Unis. D'une capacité de 20 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL), il augmenterait à lui seul la capacité d'exportation du pays de 22 %. Ce projet, porté par Venture Global LNG en Louisiane, a été la cible de critiques virulentes de la part d'organisations de défense de l'environnement.

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  13. Il y a 2 heures, herciv a dit :

    Oui c'est ce qu'il me semble. mais ils ont fait voler tellement longtemps leur jaguar ...

    La rénovation a été l'occasion de changer certaines pièces de structure pour redonner du potentiel à leur Mirage.

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  14. Il y a 3 heures, herciv a dit :

    Il est marrant cet article. Certains journalistes se demande où LM a réussi à cacher les 60 F-35 actuellement en attente de livraison et où les prochain pourront être stocké. En tout il faudra prévoir de la place pour 11O F-35 quand même. Soit 4 à 5 Charles de Gaulle.

    https://www.forbes.com/sites/erictegler/2024/01/25/the-dealer-lot-is-fullwhere-is-lockheed-martin-storing-f-35s/

    J'ai été voir sur Google earth. On voit des f-16 mais pas de f-35.

    Tout bien pesé je pense qu'ils pourront planquer 6 à 7 mois de production dans les hangars tout autour. Après ca va être tendu. 

    En fait ils en ont produit que 21 au lieu de 52 et ils sont à cadence 1/2 donc en janvier  ils ont du en produire 6 ça ne fait donc, pour le moment, que 27 F-35 à cacher dans les hangars, c'est que c'est fragile et secret le revêtement des F-35. Normalement il leur faut des hangars climatisés et d'autre conditions dont la sécurité qui expliquent le coût de l'infrastructure associée à chaque vente de F-35.

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  15. il y a 58 minutes, herciv a dit :

    Difficile de prendre la cas du METEOR pour faire une règle générale. Le dossier du météor est très politique. Il s'agit d'intégrer une arme que les US voudraient pouvoir concurrencer.

    La raison du retard c'est plutôt que le block 4 est en retard à mon avis.

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