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  1. Safran partners with Egyptian Air Force to enhance Rafale fleet performance

    Safran s'associe à l'armée de l'air égyptienne pour améliorer les performances de la flotte Rafale

    Un protocole d'accord signé à l'occasion de l'Egypt Defense Expo 2023 ouvre la voie à la mise en œuvre des services EngineLife.

    Cet accord est centré sur les services EngineLife de Safran, une solution spécifiquement conçue pour les forces armées qui exploitent le Rafale de Dassault Aviation motorisé par le M88. Source : Johannes Kraak/Shutterstock

    Safran Aircraft Engines et l'armée de l'air égyptienne ont solidifié leur partenariat à l'occasion de l'Egypt Defense Expo 2023 en signant un protocole d'accord portant sur les services EngineLife.

    Adapté au Rafale de Dassault Aviation équipé du moteur M88, cet accord porte sur le support continu (TLS) des 24 Rafale de la flotte égyptienne, en introduisant un modèle de support à l'heure de vol avec des niveaux de disponibilité garantis.

    Cet accord porte sur les services EngineLife de Safran, une solution spécialement conçue pour les forces armées qui utilisent les Rafale de Dassault Aviation équipés de moteurs M88.

    Selon les termes du protocole d'accord, EngineLife assurera le support continu des moteurs M88 qui propulsent la flotte égyptienne actuelle de 24 avions Rafale. Le modèle de support à l'heure de vol est assorti de niveaux de disponibilité, visant à maximiser le temps de fonctionnement du moteur et à minimiser le coût de possession.

    L'Égypte a passé une première commande de 24 avions Rafale en 2015 pour une valeur initiale de 5,2 à 6 milliards de dollars. L'accord comprenait initialement la vente de huit variantes de Rafale-EM et de 16 variantes de Rafale-DM, selon les informations de GlobalData sur le marché de la défense égyptien. 

    En 2019, Dassault avait achevé la livraison de 24 avions de combat Rafale et, en mai 2021, l'Égypte a signé une commande complémentaire pour l'acquisition de 30 cellules Rafale supplémentaires, ce qui porte le nombre total de cellules Rafale commandées à 54. La nouvelle commande complémentaire de 30 cellules Rafale supplémentaires devrait coûter 8,7 milliards de dollars et être livrée d'ici 2026. 

    EngineLife offre un ensemble de services adaptés à chaque client, notamment le déploiement de personnel pour soutenir les mécaniciens sur site, l'optimisation des opérations de maintenance, le support technique par des équipes pour maximiser le potentiel des moteurs, et la gestion logistique entre Safran Aircraft Engines et le client.

    Cette approche de service collaboratif implique un partage des tâches de maintenance entre Safran et l'armée de l'air égyptienne, permettant aux mécaniciens locaux sur base de bénéficier de l'expérience de Safran en matière de TLS. L'objectif est de renforcer les compétences des personnels locaux, d'optimiser la disponibilité de la flotte et de mieux maîtriser les coûts d'exploitation pour les opérateurs de M88.

    Christophe Bruneau, vice-président des moteurs militaires chez Safran Aircraft Engines, s'est dit honoré de la signature de ce protocole d'accord avec l'armée de l'air égyptienne : " Nous sommes honorés de signer ce protocole d'accord avec l'armée de l'air égyptienne dans le cadre du lancement de notre nouvelle offre EngineLife. 

    Après l'entrée en service réussie du M88 au sein de la flotte égyptienne de Rafale, nous renforçons à présent nos accords de soutien afin de garantir à notre client les plus hauts niveaux de disponibilité des moteurs pour ses opérations aériennes."

    Avec l'acquisition d'avions de combat Rafale, l'armée de l'air égyptienne devrait acquérir un avantage capacitaire dans la région par rapport à ses voisins immédiats, tels que le Soudan, avec lequel elle a des différends territoriaux et hydrographiques, selon le rapport GlobalData "The Global Military Fixed Wing Aircraft Market 2023-2033". 

    Le maréchal de l'air Mahmoud Fouad Abdel-Gawad a déclaré : "Safran Aircraft Engines est un partenaire clé de l'armée de l'air égyptienne depuis de nombreuses années. Nous sommes ravis de renforcer notre partenariat à long terme avec la société par le biais de ce protocole d'accord et nous sommes impatients de voir les avantages d'EngineLife pour la disponibilité de notre flotte.

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  2. il y a 25 minutes, Patrick a dit :

    Non. Mais déjà on peut mettre au panier les deux qui se sont percutés en vol et ont finis avec des morceaux arrachés.

    De plus déjà à l'époque de Parly il était question de "réparer une dizaine" de Rafale qui ne l'avaient pas été jusqu'ici, pour compenser la perte des 12 grecs.

    Là tu interprètes beaucoup.

  3. il y a 5 minutes, ksimodo a dit :

    Y'a pas de mal.

    Le souci, c'est qu'en empilant les causes supposées et chiffrées du mécanisme ( en prenant à chaque fois une des cause qui a assez de "défenseurs" - pas un truc sorti par un type seul ) on cumule assez pour avoir 650% d'explication au RC en anthropique, et autant en non anthropique. Et moi quand ça dépasse 100%, j'ai du mal. Ou alors on fait comme en accidentologie, mais on ne présente pas comme les médias qui se sont pas aperçus que ça fait plus de 100%.

    Le problème, hélas commun à tous les sujets complexes faisant appel à des multitudes gens, de chapelles, de sous domaines, etc...c'est que pour exister, chacun défend un peu son beefsteak en montrant que son sujet d'étude a un impact fort. Pour exister, être financé, continuer ( ce qui compréhensible, faut faire avec )Celui qui bosse sur le rayonnement solaire t'expliquera que c'est majeur, celui qui bosse sur la fonte du pergélisol te parlera de la bombe méthane ( le plus gros problème donc )....et ainsi de suite.

    Il y a un paquet de causes, il y a un paquet de rétro action positives, négatives, etc...mais de là a attribuer 10% ou 50 % ou 3% à chaque phénomène, entre le pourcentage de hier, celui du jour et celui de dans 10 ans, je pense qu'on est dans l'art divinatoire en l'état actuel des connaissances.

    Mon argument n'est pas qu'il s'agit d'un phénomène primordial, il est que ce n'est pas un phénomène seulement local.

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  4. il y a 53 minutes, ksimodo a dit :

    D'ailleurs, si jamais il y a avait une baisse de régime du Gulf Stream ( ce qui est une hypothèse, même si "minoritaire"  et qu'on parle de baisse - pas de disparition ), celà resterait un phénomène local. Evidemment, en étant un peu égoïste, par exemple français de métropole, celà pourrait jouer à la marge. Mais si on think global, car le RC se mesure en global et pas en phénomène local, celà ne change rien. 

    Bon, comme je ne suis pas d'accord je m'explique:

    L'albedo

    L'albédo de la Terre peut varier et est un facteur important du climat terrestre. L'albédo est naturellement l'objet d'une rétroaction positive : si l'albédo augmente, la terre renvoie dans l'espace une part plus grande de l'énergie qu'elle reçoit, ce qui entraîne son refroidissement, ce qui entraîne une extension des calottes polaires, ce qui entraîne une augmentation de l'albédo.  Une rétroaction positive doit rencontrer un obstacle pour que le processus s'arrête : cela peut être une rétroaction négative ou cela peut être que le paramètre qui rétroagit a atteint une valeur extrémale. Dans le cas de l'albédo terrestre les valeurs extrêmes sont atteintes lorsque la Terre est complètement gelée ou lorsque les calottes et les glaciers ont complètement fondue.

    Il est remarquable que la moitié du réchauffement anthropique constaté  (0,6°C) puisse être attribué à la variation d'albédo consécutive à la fonte des calottes polaires. On a deux phénomènes concurrents : les paramètres orbitaux qui vont favoriser une situation extrême où la Terre est complètement gelée et le réchauffement anthropique qui favorisent une situation extrême où les calottes polaires ont complètement fondue. Pour l'instant c'est le deuxième phénomène qui l'emporte car il est beaucoup plus rapide.

    La circulation thermohaline

    Si l'albédo, dont on a vu qu'il est soumis à une rétroaction positive, n'était pas couplé à d'autre phénomènes, qui en limitent l'évolution, celle-ci aurait un caractère un peu explosif. On a vu que les paramètres orbitaux pouvaient jouer en sens contraire suivant les périodes mais ce ne sont pas de vraies rétroactions négatives. La circulation thermohaline a des caractéristiques qui en font un bon candidat pour tenir ce rôle.

    Supposons en effet que le pôle se réchauffe : l'extension des calottes polaires diminue, cela produit de l'eau douce dans les régions polaires qui diminue la salinité de l'eau, la formation d'eau profonde et froide est entravée ce qui ralentit la circulation thermohaline, la chaleur de l'équateur n'est plus aussi bien distribuée aux pôles qui se refroidissent. On pourrait penser que la température moyenne de la Terre reste la même et que seule la répartition de la chaleur change, ce n'est sans doute pas vrai. En effet si on fait un calcul sommaire de la température globale de la Terre en supposant la Terre isotherme ou la Terre isolante on ne trouve pas du tout le même résultat : dans le premier cas on trouve -21 ° C et dans le deuxième cas on trouve -128 ° C (dans les deux cas sans tenir compte de l'effet de serre). Or si la circulation thermohaline cesse on s'éloigne du premier cas où la chaleur est bien répartie et on se rapproche du deuxième où il n'y a pas d'échange de chaleur entre les différentes régions de la Terre.

    La conséquence devrait donc en être un refroidissement global de la Terre. On pourrait arguer que le principe de compensation de Bjerknes, qui stipule qu'une diminution du transport de chaleur par l'océan est compensée par une augmentation du transport de chaleur par l'atmosphère, rend ce raisonnement caduc : mais ce principe semble ne pas s'appliquer totalement au delà de 40 ° de latitude Nord. Un arrêt brutal de la circulation thermohaline n'est sans doute pas à craindre, mais une régulation de la température du pôle nord grâce à ce phénomène est tout à fait possible.

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  5. Drones, IA, munitions : le cri d'alarme de l'ex-chef d'état-major de l'US Army

    Drones, IA, nouvelles technologies… Selon Mark Milley, les Etats-Unis doivent évoluer au plus vite militairement pour faire face aux nouveaux usages de la guerre et conserver leur suprématie dans le contexte géopolitique d'aujourd'hui.

    Israël, l'Ukraine, Taïwan et la région indopacifique… Plus que jamais, les alliés des Etats-Unis ont besoin des armes et de la force de dissuasion de la superpuissance militaire, qui tente tant bien que mal d'éviter un nouveau conflit mondial. Mais pour le général Mark Milley, ex-chef d'Etat-major de l'US Army, cet équilibre est aussi fragile que la suprématie militaire américaine.

    Non seulement l'agressivité de certains Etats fait vaciller l'ordre mondial, mais en plus le paysage militaire se transforme à grande vitesse, comme le laisse entrevoir le champ de bataille ukrainien, qui mélange les tranchées du siècle dernier et les logiciels les plus intelligents du moment.

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  6. Une paire mortelle de F-15 et de Rafale harcèle l'espace aérien syrien contrôlé par la Russie ; selon les rapports, 43 fois en novembre seulement

    La Russie a accusé la coalition dirigée par les États-Unis d'avoir violé l'espace aérien de Damas à six reprises en une seule journée avec six avions, dont des F-15, des chasseurs Dassault Rafale, des avions de reconnaissance et un drone, le 3 décembre dans la région d'Al-Tanf, signe que la guerre civile en Syrie continue de vaciller. 

    Si les rencontres entre les avions russes et américains qui tentent de se dissuader et de se fixer mutuellement dans la région sont habituelles, le fait qu'elles se déroulent dans le cadre d'une guerre entre Israël et le Hamas rend la situation problématique.

    Comme Israël frappe régulièrement les milices chiites soutenues par l'Iran en Irak, en Syrie et au Liban, même avant la guerre, et qu'il est également pris pour cible par les Houthis basés au Yémen, il crée un terrain fertile pour un conflit régional élargi. 

    En Syrie, la Russie dispose de "mécanismes de déconfliction" avec les États-Unis et Israël, ce qui implique essentiellement de ne pas interférer avec les intérêts des uns et des autres dans le pays du Levant, bien qu'ils se trouvent dans les camps opposés de la guerre civile qui s'y déroule. 

    Cela signifie que les trois pays peuvent attaquer leurs mandataires respectifs - la République arabe syrienne, l'opposition syrienne/l'Armée syrienne libre, les Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes et les Unités de protection du peuple (YPG), ainsi que les milices chiites liées à l'Iran - sans se frapper directement l'un l'autre.

    Le mécanisme de déconfliction russo-américain à l'essai ?

    Les forces russes et américaines ont déjà été entraînées dans des confrontations accidentelles tendues. Mais les lignes directes et les canaux de communication entre militaires - les commandants de mission locaux de niveau intermédiaire, de niveau intermédiaire supérieur, de rang supérieur et les hauts responsables militaires tels que le président de l'état-major interarmées (États-Unis) et le chef d'état-major général (Russie) - ont permis d'éviter l'escalade. 

    Mais dernièrement, la Russie s'est vivement plainte que les avions américains et ceux de sa coalition violaient plusieurs fois par jour l'espace aérien syrien qu'elle contrôle. Elle a fait état de 43 cas de violations en Syrie en général et de 206 violations dans la région d'Al-Tanf en novembre. La région d'Al-Tanf, au centre-sud de la Syrie, abrite une base américaine juste à la triple jonction de sa frontière avec l'Irak et la Jordanie, où les Russes ont constaté des violations. 

    La dernière violation a eu lieu le 3 décembre, et le Centre russe pour la réconciliation des parties opposées en Syrie (RCROPS) a indiqué qu'elle s'était produite à six reprises. Selon un rapport de TASS, au-dessus de la zone d'al-Tanf, le contre-amiral Vadim Kulit, chef adjoint du RCROPS, a déclaré : "Les avions de la soi-disant coalition internationale antiterroriste dirigée par les États-Unis continuent de créer des situations dangereuses susceptibles de provoquer des accidents ou des incidents aériens et d'aggraver la situation dans l'espace aérien de la Syrie". 

    Il a noté "une paire" d'avions de chasse F-15 et Rafale de la coalition, un avion de reconnaissance MS-12W et un drone multirôle MQ-1C violant l'espace aérien syrien dans la région d'al-Tanf". Cela s'est produit "six fois au cours de la journée", malgré la présence de routes aériennes internationales dans la zone. Cela porte également à six le nombre total d'avions de la coalition impliqués. 

    A cela s'ajoutent les "huit" tirs d'obus sur les positions des forces gouvernementales dans la journée, provenant des rangs du groupe terroriste Jabhat al-Nusra et du Parti islamique du Turkistan (tous deux interdits en Russie) dans la "zone de désescalade d'Idlib". 

    Le rapport de la TASS mentionnant l'implication de ces deux groupes extrémistes est cohérent avec les accusations russes (et, par extension, syriennes et iraniennes) de longue date concernant le rôle des États-Unis dans la région. Ils affirment que Washington a, à un moment donné, soit soutenu directement, soit bénéficié, par ses politiques, de groupes islamistes radicaux qui s'opposent au gouvernement laïc de Bachar el-Assad.  

    "Dans la province de Lattaquié, trois soldats syriens ont été blessés à la suite d'attaques au mortier menées par des groupes armés illégaux contre des positions des forces gouvernementales syriennes", a ajouté M. Kulit. Le rapport indique également qu'un soldat a été blessé. 

    Autres violations en novembre 2023

    Le 29 novembre, le RCROPS a enregistré neuf violations au-dessus d'Al-Tanf avec neuf aéronefs comprenant "une paire de chasseurs F-15, une paire de chasseurs F-16, une paire de chasseurs Rafale et trois drones multirôles MQ-1C". 

    Le nombre total d'avions étant de neuf, il semble également que le nombre d'avions corresponde directement au nombre de violations, chaque avion ou "paire" constituant une seule violation. Kulit a également noté "trois tirs d'obus" sur des positions de l'armée arabe syrienne par JAN et TIP. Le 28 novembre, deux Rafales et un B-350 de reconnaissance ont violé trois fois l'espace aérien syrien au-dessus d'Al-Tanf. 

    Le 26 novembre, les Russes se sont plaints de "huit" violations de l'espace aérien au-dessus d'Al-Tanf. "Une paire de chasseurs F-15, une paire de chasseurs F-16, deux paires de chasseurs Rafale de la coalition" (huit avions) ont été impliqués. La veille, le 25 novembre, "deux" violations de l'espace aérien syrien avaient été commises par "une paire" de Rafale au-dessus d'Al-Tanf.

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  7. il y a 1 minute, R force a dit :

    Non seulement il me parlait de cadence 3, mais il m'avait dit que ses collègues et lui avaient eu pour mission de checker les fournisseurs jusqu'à cadence 4,5 : 4 pour la prod et 0,5 en pièces détachées.

    3 ans c'était 2020. Le prospect EAU était déjà en ligne de mire. Certes pas pour 80 avions. Il en était espéré en interne plutôt 60, en livraison fast track.

     

    Mais pourquoi tu trouve que c'est long? Tout est normal. On a checké en 2020 ça a permis à Trappier de dire qu'il pouvait passer à cadence 4 quand ça serait nécessaire.

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  8. Rafale : Dassault s'attend à finir l'année sur les chapeaux de roues

    Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, compte sur de nouvelles commandes de Rafale en France et à l'export dans les prochaines semaines.

    Même si le système de combat aérien du futur - le SCAF - continue d'avancer, le Rafale reste l'alpha et l'oméga des priorités de Dassault Aviation. C'est ce qui ressortait une fois de plus des déclarations de son PDG, Eric Trappier, lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de défense, mardi, à Paris.

    L'avion de combat français, qui a accumulé les commandes à l'exportation ces dernières années, a encore plusieurs fers au feu, dont certains devraient déboucher sur de nouveaux succès avant la fin de l'année, a indiqué le patron de Dassault Aviation....

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  9. Le Falcon 6X de Dassault Aviation est entré en service le 30 novembre.

    (Saint-Cloud, le 4 décembre 2023) – Le Falcon 6X de Dassault Aviation est entré en service le 30 novembre.

    La certification de type avait été délivrée le 22 août dernier par l’EASA et la FAA. Depuis cette date, des améliorations post-certification ont été appliquées qui ont nécessité l’approbation de l’EASA.

    « Dassault Aviation partage ce moment remarquable avec ses clients, qui sont sûrs de recevoir un avion d’affaires exceptionnel », a déclaré Éric Trappier, président-directeur général de Dassault Aviation.

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  10. Le 02/12/2023 à 08:44, herciv a dit :

    Une vingtaine de pays dont la France appelle à tripler l'énergie nucléaire dans le monde d'ici 2030 en reconnaissant son caractère central pour lutter contre les émissions de CO2. Les Pays-Bas, la Finlande et la plupart des Pays de l'est européen font partie des signataires.

    https://www.lefigaro.fr/sciences/cop28-l-appel-d-une-vingtaine-de-pays-a-tripler-le-nucleaire-dans-le-monde-d-ici-2050-20231202

    C'est pas bon pour les allemands.

    Dans le titre ils disent d'ici 2050...

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  11. C'est très bien mais un peu pessimiste:

    Je remarque que FMAN/FMC sont cités du coté Rafale mais pas du coté Typhoon, or je pense que les Britanniques les utiliseront. Pour les pods SNIPER et Litening qui sont cités "en développement" pour le Rafale, je pense qu'ils sont opérationnels en Egypte au Qatar et en Inde au moins autant que l'ECRS MK0 au Koweït. De même pour le X-GARD towed radar decoy en Inde. Pour l'amélioration des communications je ne sais pas ce qui est en service avec F4.1 mais il doit bien y avoir quelque chose.

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  12. il y a 47 minutes, Coriace a dit :

    Et un escadron c'est combien ? Trois escadrilles ? (36 appareils)?

    Cela varie en fonction du pays et de l'avion entre 18 et 24. En Grèce cela semble être 18 puisqu'ils ont eu en commandes, 24 Rafale et qu'avec ça ils disent qu'ils ont formé un escadron et qu'ils vont commencer l'escadron suivant avec les 6 qu'il leur reste. Ce qui signifie que pour former deux escadrons il leur faudra commander 12 Rafale supplémentaires.

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