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Berlin s'immisce au cœur de la plus grande traque anti-corruption vietnamienne
L'affaire anti-corruption la plus importante du Vietnam, qui touche de plein fouet les industriels de défense occidentaux, notamment israéliens et français, est en train de se muer en dossier diplomatico-sécuritaire paneuropéen.
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- C’est un message populaire.
Le PDG de Lockheed, Jim Taiclet, a également déclaré que les retards dans la mise à niveau du TR-3 pour le Joint Strike Fighter étaient dus à des retards dans le matériel, ce qui comprimait le calendrier des tests logiciels.
WASHINGTON - Un accord de cinq ans entre le Pentagone et Lockheed Martin pour un nouveau contrat de maintenance du F-35 ne sera probablement pas conclu cette année, selon le directeur financier de Lockheed Martin, Jay Malave.
"Nous avons déjà soumis une proposition au Joint Program Office pour la maintenance. Vous savez, à l'origine, nous pensions pouvoir conclure un contrat d'ici la fin de l'année. Le scénario le plus probable est qu'il se prolonge jusqu'au début de l'année prochaine", a-t-il déclaré lors d'une conférence organisée par Morgan Stanley.
M. Malave a ensuite précisé que le calendrier n'était pas ferme, ajoutant : "Nous espérons pouvoir conclure un contrat au cours du premier trimestre de l'année prochaine, mais encore une fois, le dialogue se poursuivra."
Au début de l'année, les responsables ont déclaré que l'attribution du nouveau contrat de maintenance était en bonne voie pour la fin de l'année, mais les remarques de M. Malave aujourd'hui semblent mettre ce calendrier hors de portée.
Depuis plusieurs années, Lockheed fait pression en faveur de la nouvelle approche de soutien appelée logistique basée sur la performance (PBL), qui régirait l'approvisionnement en pièces détachées et lierait les récompenses en dollars aux résultats de performance, bien que le Pentagone ait hésité à s'enfermer dans l'accord quinquennal proposé. Pour que l'accord aille de l'avant, le Pentagone doit certifier que le PBL réduira les coûts de maintenance ou augmentera l'état de préparation, conformément à un mandat imposé par la loi sur l'autorisation de la défense nationale pour l'exercice 2022.
Le programme F-35 a récemment été mis à mal par des retards dans la mise à jour de son Tech Refresh 3 (TR-3), qui fournit des caractéristiques telles qu'une puissance de traitement améliorée pour faciliter une série de nouvelles capacités connues sous le nom de Block 4. En conséquence, le gouvernement n'acceptera pas les jets nouvellement construits dans la configuration TR-3, a précédemment rapporté Breaking Defense, bien que l'entreprise continue de construire et de livrer des chasseurs équipés de TR-2.
Selon Bloomberg, l'entreprise pourrait subir un retard de paiement d'environ 800 millions de dollars à cause de ce problème, car les F-35 languissent dans les entrepôts jusqu'à ce que le programme puisse résoudre les problèmes logiciels persistants. En raison de ces retards, Lockheed a réduit ses prévisions de livraison de F-35 en 2023 à 97 chasseurs furtifs.
Le directeur général de Lockheed, Jim Taiclet, a déclaré lors de la conférence d'aujourd'hui que les problèmes du TR-3 sont dus à des retards de livraison de matériel, que l'entreprise a soulignés dans une déclaration aux journalistes la semaine dernière.
"L'histoire du Tech Refresh 3 est marquée par des retards de livraison de matériel. Il s'agit d'un remplacement de matériel pour le processeur central, qui est le cerveau de l'avion, le dispositif de stockage des données et l'ensemble du cockpit panoramique", a déclaré M. Taiclet. Le processeur central intégré de l'avion est construit par L3Harris, bien que M. Taiclet n'ait pas mentionné le nom de cette société.
"Le fait qu'une grande partie du matériel était en retard et que certains sous-composants de ce matériel étaient également en retard, a considérablement comprimé le programme de test d'intégration du logiciel. Le gouvernement et l'industrie voulaient essayer de respecter le calendrier initial autant que possible. Nous n'y sommes pas parvenus, uniquement parce que la compression est trop agressive".
Toutefois, M. Taiclet a déclaré qu'avec les connaissances acquises grâce aux tests réalisés, "je suis très confiant... nous devrions être en mesure d'atteindre l'objectif que nous avons fixé dans notre déclaration de la semaine dernière".
Mardi, lors d'une table ronde avec des journalistes, le général Mark Kelly de l'armée de l'air a qualifié le calendrier actuel du TR-3 de "très risqué". M. Kelly dirige le Commandement du combat aérien de l'armée de l'air, qui emploie le F-35.
"Si l'on considère le nombre d'actions qui doivent avoir lieu, en termes de réduction de la charge du TR-3, qu'ils doivent exécuter d'ici là, c'est faisable. Possible et probable ne sont nulle part - ce n'est que dans le dictionnaire que ces deux mots sont proches l'un de l'autre", a-t-il déclaré.
"C'est un travail difficile. Nous sommes payés pour faire des choses difficiles. Mais ce sera difficile.
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il y a 2 minutes, Patrick a dit :
Mettrais-tu des boites comme SpaceX ou des bureaux spéciaux comme les Skunk Works dans le lot? Ou bien est-ce qu'ils sont une exception à la règle?
Je crois que quand ils développent, ils n'ont tout simplement pas de limites à leurs budget, ils dépensent beaucoup, pourvu qu'ils arrivent au résultat. Cela m'étonnerait qu'il y ait des endroits où ce soit différent, dans les start up peut être on remplace l'argent par du temps non payé.
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il y a 1 minute, wagdoox a dit :
Ce qui me choque c’est qu’on puisse order de livrer tout ca …
pour la methode, c’est une approche qui doit permettre d’eviter les incomprehension entre enqueteurs. Le probleme c’est comme tu l’as vecu que si les reponses ne permettent pas d’anticipe correctement le cadre/ contexte de la situation, c’est le hors sujet directe. C’est interessant car ca montre une difference culturelle tres importante.
j’en profite pour demander pourquoi les productions francaises n’ont plus cet avantage competitif sur les productions usa. (Si c’est toujours le cas, on se foue bien de notre gueule sur les evaluation scaf mais on s’en doutait. En revanche on a plus le 1 pour 10, ca s’est reduit).
Le développement aux US est d'une inefficacité remarquable et massive qui n'est rattrapé que par les longues séries que permet leur marché intérieur et qui génère un amortissement plus grand. Et ça reste vrai, il suffit de prendre exemple sur le F-35.
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il y a 40 minutes, bubzy a dit :
Quoi tu y étais aussi ?
J'y étais très peu de temps après, et mon N+1 me l'a raconté.
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il y a 23 minutes, Bechar06 a dit :En même temps, pas trop étonnant qu'on - un rapport US ou autre - ne parle pas trop des années récentes. Car cela relève de l'espionnage ! Et il serait justifié ! cet espionnage par l'intérêt que présente DA dans son secteur, hier comme aujourd'hui
Pas besoin de rapport pour révéler un espionnage actuel ! Et on peut facilement imaginer que les mesures de contre-espionnage au sein de DA sont, sans aucun doute, à un très haut niveau
A l'époque de l'enquête de la Rand corporation, on avait reçu la consigne de tout leur montrer, de répondre à toutes leurs question, et pourtant les enquêteurs sont repartis sans rien avoir compris: leur formulaire était fait avec des réponses types pour chaque question et l'enquêteur cochait la réponse approchante en fonction de ce qu'on lui racontait sur notre approche. Et pour avoir la note maximale à la question, il fallait faire comme les US. Avec ce processus les US étaient indépassable, nous ça nous faisait rire mais eux ça les choquait pas.
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Bruno Le Maire en opération déminage à Berlin
RévélationConfrontée à des risques de délocalisation, l'industrie allemande s'inquiète de l'écart de prix de l'électricité avec la France. De passage à Berlin, le ministre français de l'Economie a défendu le modèle tricolore et fait oeuvre de pédagogie.
D'abord il y a eu les messages officiels. De passage à Berlin à l'occasion d'une réunion du cabinet ministériel allemand, le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, a insisté sur la bonne entente du couple franco-allemand et la nécessité d'une stratégie industrielle plus offensive de l'Europe. Une idée qui a gagné du terrain à Berlin, à mesure que le modèle économique du pays s'enfonce dans la crise .
Dans une conférence de presse avec le ministre de l'Economie Robert Habeck et le ministre des Finances Christian Lindner, Bruno Le Maire a également pointé le poids de la bureaucratie en Europe et souhaité l'avènement d'une union des marchés des capitaux. Un thème qui avait déjà fait l'objet d'un appel commun en novembre 2022. « Nous avons défini ensemble une feuille de route pour faciliter l'accès des entreprises au marché des capitaux », a souligné Christian Lindner.
Un exercice de pédagogie
Et puis il y a eu l'exercice de pédagogie. La venue de Bruno Le Maire à Berlin intervient alors que le débat fait rage, en Allemagne, sur les prix de l'électricité. Une entreprise qui achète aujourd'hui de l'électricité pour livraison en 2030 paye environ le double du niveau d'avant-crise, selon la Chambre de Commerce et d'Industrie allemande.
Au printemps, Robert Habeck et ses équipes ont donc proposé la mise en place d'un prix plafonné de l'électricité pour les électro-intensifs pour une durée temporaire. « Cette approche ressemble beaucoup à la politique économique interventionniste de l'Etat français, favorisant plutôt les grosses entreprises », note Jacob Ross, chercheur à l'Institut allemand de politique étrangère.
L'idée était soutenue par les Verts et nombre de députés socio-démocrates du Parlement allemand, mais elle a été rejetée par le chancelier Olaf Scholz, les PME et PMI allemandes et le parti libéral (de Christian Lindner) proche du Mittelstand.
A leurs yeux, subventionner des secteurs électro-intensifs de base comme la chimie ou la métallurgie s'avère dangereux sur le plan économique, parce que cela influe sur toute la chaîne aval et impacte la réalité des prix d'un très grand nombre de produits. Une stratégie dont l'impact social est difficilement maîtrisable, quand on arrête la subvention.
Un écart croissant avec la France
Dans ce contexte tendu, l'écart avec les prix de l'électricité français s'est amplifié, suscitant des critiques outre-Rhin sur la compétition « déloyale » du voisin hexagonal. Selon la Chambre de commerce et d'industrie allemande, avant la crise énergétique, une PME allemande payait l'électricité en moyenne deux fois plus cher que son concurrent français. Aujourd'hui, ce serait quatre fois plus.
Contestable ou pas (selon Eurostat, les entreprises allemandes ont payé un prix moyen de 26 cents du kWh , taxes et redevances incluses, au deuxième semestre 2022, tout secteur confondu, contre 15 cents en France), l'affirmation témoigne en tout cas de l'émoi outre-Rhin.
La visite de Bruno Le Maire, qui comprenait des rencontres avec des représentants du patronat allemand, visait donc aussi à dissiper des « incompréhensions » en expliquant que la France ne subventionnait pas son électricité.
« L'Allemagne observe la France avec méfiance »
Mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres. « L'Allemagne observe la France avec méfiance. Les deux pays sont solidaires mais derrière les grandes annonces, quand on rentre dans le dur, chacun défend ardemment ses intérêts », explique Armin Steinbach, professeur d'analyse économique à HEC Paris et chercheur au Max Planck Institute. « Surtout, aux yeux d'une partie de l'administration allemande, il y a cette idée que les aides françaises ne seront pas soutenables financièrement dans la durée. »
Alors que l'Allemagne est gagnée par la peur des délocalisations, communiquer s'avère donc indispensable pour Paris. Après avoir affirmé, mardi à Paris, que la France était en train de devenir « le moteur économique de l'Europe », Bruno Le Maire a expliqué mercredi à Berlin qu'il fallait « rester lucide » et qu'il y avait « un long chemin pour réindustrialiser la France ». Le ministre a aussi pris soin de souligner que « notre succès dépend du succès de l'Allemagne. »
Dans la vallée de l'Arve, en Haute-Savoie, on ne dit pas le contraire. « Depuis janvier, on ressent des baisses de commandes. Quand l'Allemagne tousse, on s'enrhume », résume Sébastien Gaillard, DG d'Arcom Industrie, une PME de la région spécialisée dans le négoce et l'usinage de pièces. L'heure a beau être au découplage géopolitique dans le monde, en Europe c'est toujours l'industrie allemande qui donne le la.
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Nouvelle fonctionnalité et plans de livraison modifiés pour JAS 39E
FMV et Saab ont signé un accord sur de nouvelles fonctionnalités et modifié les plans de livraison pour JAS 39C/D et JAS 39E. La valeur du contrat s'élève à environ 5,8 milliards SEK et vise à permettre le développement et l'exploitation parallèles des deux systèmes d'avions de combat.
En 2013, FMV et Saab ont signé un accord pour l'achat de 60 JAS 39E. Le contrat a été mis à jour à plusieurs reprises dans le passé, notamment pour acquérir de nouvelles unités et composants qui devaient auparavant être réutilisés lors de la mise hors service des avions JAS 39C/D. Dans la décision de défense 2020, il a été décidé de prolonger l'exploitation du JAS 39C/D en parallèle avec le JAS 39E.
- Dans un projet de développement aussi long et complexe que le JAS 39E, le monde extérieur a le temps de changer au cours du projet. La nouvelle détérioration de la situation en matière de politique de sécurité ces dernières années, culminant avec l'attaque russe contre l'Ukraine, a mis en évidence la nécessité de disposer au fil du temps d'une forte capacité d'aviation de combat. FMV et les forces armées suédoises travaillent en étroite collaboration avec le principal fournisseur pour garantir les conditions matérielles nécessaires à la capacité de l'aviation de combat pour une longue période à venir et donc des éléments essentiels de la capacité de défense aérienne de la Suède, a déclaré Lars Helmrich, chef du domaine opérationnel aviation et espace de FMV. équipement.
Pour faire face aux menaces futures, le JAS 39E introduit, entre autres, des modifications dans les systèmes de téléguerre, radio et radar. Le JAS 39E sera mis en service sous les auspices de la FMV à l'automne 2023, ce qui augmentera la capacité d'essais en vol et jettera les bases de l'introduction du système par les forces armées dans la seconde moitié des années 2020.
- Cet accord fournit les conditions nécessaires pour continuer à exploiter et adapter le JAS 39C/D en fonction des évolutions mondiales, tandis que le développement et la mise en service du JAS 39E se poursuivent. Le JAS 39E, y compris les changements que nous introduisons actuellement, constituera un ajout très important lorsque le système sera ajouté à l'armée de l'air, conclut Lars Helmrich.
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Tu as pas vu la blague....
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il y a une heure, FATac a dit :Un de mes collègues est chercheur en "modélisation d'environnements de travail" ("simulateurs" pour faire simple - son domaine, c'est le routie et l'industrie). Il a une formule empirique : comme on ne travaille pas tout en simulateur, et que c'est surtout la "mécanisation" qui en sort renforcée, il est nécessaire d'avoir de l'entrainement "au réel". Et pour lui, 1h d'entrainement "au réel" vaut 4 h de simulateur.
Donc, partant d'une répartition 80 % simu et 20% réel, pour arriver à une équivalence (OTAN) de 180 h annuelles d'entrainement réel, y aurait deux issues :
- il faudrait que les pilotes anglais volent réellement 36 heures par an et passent 576 heures en simulateur pour l'équivalence des 144 h de vol manquantes. La répartition est alors plutôt 6% vs 94% en temps passé, en réalité.
- ou bien, si tu veux réellement passer 80% de temps en simulateur, ils y passeraient 360 heures, pour 90 heures de vol réel - les 360 heures de simu "valant" 90 h de vol.
A condition que le F-35 soit représentatif du simulateur, sinon il vaut mieux faire 720 h de simulateur.
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il y a une heure, PolluxDeltaSeven a dit :
Est-ce qu'ils estiment nos capacités de production trop faibles par rapport à celles des Américains / Européens ? Est-ce que ce sont nos armements (type MICA) trop particuliers (et donc avec un approvisionnement trop sensible) qui les refroidissent? Est-ce juste notre diplomatie et la leur qui ont du mal à s'entendre, ce qui refroidi l'ensemble des relations ?
Franchement, je n'en sais rien. Mais pour moi ce n'est pas le sujet principal (mais si j'aurais aimé que les choses soient différentes, notamment sur le marché des hélicoptères)Ils considère les Américains comme le facteur essentiel qui a permis leur libération du joug soviétique et donc ils ont une relation spéciale avec eux, plus que les Britanniques qui sont de la vieille Europe, tandis que eux, c'est la nouvelle Europe. Et les Américains passent par eux pour monter des coups plus ou moins tordus.
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L'Allemagne lance enfin le chantier titanesque de sa première autoroute électrique
Lundi, le pays a officiellement démarré la construction de son plus grand projet d'infrastructure électrique. Un chantier à 10 milliards d'euros qui aurait dû être achevé l'an dernier.
C'est un coup de pioche qu'il aura fallu attendre longtemps. Lundi après-midi, le ministre fédéral de l'Economie et de la protection du Climat, Robert Habeck, a officiellement lancé, dans le nord de l'Allemagne, le chantier de la construction de la SüdLink.
Une ligne très haute tension de plus de 700 kilomètres de long, qui reliera les champs d'éoliennes de la mer du Nord aux grandes usines du sud de l'Allemagne. Le projet, évalué à dix milliards d'euros, constitue l'une des trois grandes autoroutes de l'énergie nord-sud, annoncées par l'Etat allemand, après la décision d'Angela Merkel de sortir du nucléaire en 2011.
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De façon un peu paradoxale je suis assez d'accord avec @nikesfeld13 : J'ai donné un type de plan permettant de décarboner l'économie et je pense que ce genre de plan pourrait réussir, mais il est clair que les politiques ne suivront pas ce genre de plan et donc la probabilité de l'échec est grande au bout du chemin.
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Chers amis lecteurs,
pour la première fois depuis plus de onze ans maintenant et 809 articles que La voie de l'épée existe, je suis contraint de faire une pause. Trop de travail et trop de soucis par ailleurs pour des idées qui s'épuisent un peu. Je serai donc beaucoup plus rare sur ces pages en attendant de revenir plus fort.
Bien à vous tous.
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Il y a 9 heures, herciv a dit :
Le modèle US ... mais çà a déjà valu un F-35B à la mer.
Attendez là, vous êtes en train de dire que la RAF préconise 80% de simulateur pour 20% de vol ?
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il y a 23 minutes, bubzy a dit :
"les offres se bousculent à leur porte ?"
J'ai pas accès au reste de l'article, comme beaucoup j'imagine, mais quelles autres offres ? Ils ont déjà du F15 et veulent du double approvisionnement. Donc exit la possibilité de tout autre chasseur US. Les Russes sont hors jeu en AS, reste la possibilité très lointaine de la Chine, sinon il n'y a que deux autres possibilités. Rafale ou Gripen. Et, heu...
Ryad bien qui ryad le dernier.
Eh bien, il y a eu une offre GCAP par exemple, et même si on se limite au Rafale, il peut y avoir plusieurs offres industrielles différentes pour "accompagner", les Thales, Safran, MBDA ne doivent pas être absent en plus de Dassault qui lui a peut être un plan B à faire valoir.
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ARABIE SAOUDITE
GCAP, F-35 : au milieu des grandes ambitions saoudiennes, la valse-hésitation du Rafale à Riyad
Ira, ira pas ? Pour beaucoup d'industriels et compétiteurs, la décision de Berlin de bloquer la vente d'un nouveau lot d'avions de chasse Typhoon à Riyad ouvre un espace à Paris afin de mener une campagne commerciale pour le Rafale de Dassault. Les équipes saoudiennes ne disent pas non, mais les offres se bousculent à leur porte.
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il y a 24 minutes, Claudio Lopez a dit :Article du 16 aout ...
J'y porte plus d'attention depuis que tout le monde se met à parler de Rafale pour l'AS.
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New quad-core upgrade tested for future F-35 fighters
Nouvelle mise à niveau quadricœur testée pour les futurs avions de combat F-35
Le développement d'une puissance de calcul supplémentaire pour le F-35 s'inscrit dans le cadre des efforts déployés pour moderniser la plate-forme pendant sa durée de vie.
Par Richard Thomas
L'ordinateur de gestion de véhicule de nouvelle génération de BAE Systems a été testé en vol avec succès sur l'avion F-35 Lighting II, ce qui a permis de démontrer une mise à niveau visant à accroître les performances de l'ordinateur et à résoudre les problèmes d'obsolescence.
L'essai s'est déroulé à la Naval Air Station Patuxent et à la Edwards Air Force Base aux États-Unis, a déclaré BAE Systems dans un communiqué du 6 septembre. Selon le fabricant, l'ordinateur de gestion du véhicule (VMC) permet des modes de contrôle avancés et améliore l'efficacité et la sécurité des missions.
"Le VMC fournit le traitement à haute intégrité nécessaire pour mettre en œuvre les algorithmes de contrôle avancés qui permettent les missions critiques de cette plateforme", a déclaré Corin Beck, directeur des systèmes aéronautiques militaires pour les solutions de contrôle et d'avionique chez BAE Systems. "Cette mise à niveau s'appuie sur la feuille de route technologique de BAE Systems pour garantir au F-35 des capacités de gestion de mission et de commande de vol optimales, aujourd'hui et à l'avenir.
La mise à niveau intègre un processeur avancé à quatre cœurs pour améliorer la puissance de calcul, ce qui permettra d'ajouter des capacités supplémentaires au VMC, telles que le système d'approche et d'atterrissage de précision (JPALS) et le système d'évitement automatique des collisions avec le sol (AGCAS).
En partenariat avec Lockheed Martin, chef de file du programme F-35, BAE Systems fournit le VMC, le système de guerre électronique, le système de contrôle actif des incepteurs et le fuselage arrière de chaque F-35 sur des sites de fabrication situés aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie.
Prolifération des chasseurs F-35
En août de cette année, Lockheed Martin a obtenu un contrat de 600 millions de dollars pour la fabrication de 173 avions de combat F-35 Joint Strike Fighter (lot 19) destinés à des clients internationaux.
Le F-35 est largement utilisé au sein de l'OTAN, la République tchèque ayant confirmé au début de l'année qu'elle était le dernier pays à vouloir acquérir l'avion de combat de cinquième génération. Au Moyen-Orient, Israël a annoncé l'acquisition d'un troisième escadron de F-35 spécifiques à ce pays.
Lockheed Martin affirme que d'ici 2030, plus de 400 chasseurs furtifs F-35 seront répartis dans les bases des membres de l'OTAN, consolidant ainsi sa position comme l'un des chasseurs les plus répandus au sein de l'alliance.
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Late Arrival Of F-35s Leaves Danes Frustrated
The Danish government has expressed frustration over mounting delays in the arrival of Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighters. Denmark had expected the delivery of its next batch of aircraft during the first half of 2024. But it has since been pushed back into the second half of the year
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il y a 2 minutes, FAFA a dit :
A mon avis non, car les US ont toujours plus qu'une seule sorte d'appareil en service. Les successeurs des F-22 et des F-18E et des derniers F-15 sont certainement déjà eu cours de développement. Mais je te signale que tes deux postes sont totalement HS.
Non non , c'est un risque pour la Suisse aussi.
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il y a 6 minutes, FAFA a dit :
Je constate que tu te lances dans l'archéologie.
Mon propos était surtout de me demander si en Europe, au lieu de se concurrencer les deux projets que sont le SCAF et le Tempest ne devraient pas être complémentaires et que les pays partenaires des deux programmes pourraient s'approvisionner avec deux modèle d'avions plutôt qu'avec un seul. Cela permettrait de faire fonctionner les bureaux d'étude sans qu'ils se tirent dans les pattes et les utilisateurs auraient des avions différents qui seraient utilisés de façon optimale en fonction des missions qu'ils effectuent. Maintenant il est certain qu'avec tous les pays européens qui ont commandé des F-35 cette idée devient de moins en moins pertinente.
J'avais bien compris, mais ta description de ce qui risquait de ce passer si on mettait tous nos œufs dans le même panier.... c'est bien ce que les US ont fait non?
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Le F-35
dans Amérique
Posté(e)
Non c'est juste un des 208 Bugs qui étaient de catégorie 1 est qui sont passés, administrativement, en catégorie 2 pour pouvoir ne pas être corrigés.