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Messages posté(e)s par Picdelamirand-oil
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il y a 5 minutes, Patrick a dit :
Avec une antenne comptant environs 1.5 fois plus de modules quand même. D'ailleurs as-tu des pronostics quant au diagramme d'antenne du RBE2 XG? Si les TRM sont moins longs, et donc moins contraints par le rétrécissement du cône de nez? Je me souviens que tu avais donné le chiffre de 160 modules périphériques supplémentaires il y a des années grâce au passage d'une longueur de 30cm à 5cm.
Oui mais je raisonnais à architecture semblable : on remplaçait l'antenne AESA par une AESA GaN et basta !
Cela aurait donné 42% d'augmentation de portée. Là on parle d'une autre architecture, d'une augmentation de portée comprise entre 70% et 100% et de tout un tas de fonctions nouvelles avec une collaboration poussée entre SPECTRA et RBE2 XG pour créer une bulle de protection qui englobe non seulement les avions de la patrouille mais tous les ailiers, même ceux qui ont pénétré dans les zones contestés. Alors peut être que les 25 cm auront une autre utilité. En plus le recul de l'antenne implique une ouverture plus grande pour le signal radar c'est à dire une modification du cône de l'avion.
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il y a 5 minutes, Hirondelle a dit :
Pas impossible d’autant que j’attends de voir avant de changer mon préjugé qui est que c’est pour l’instant de la SF.
Mais à la lumière de tes remarques je complèterais donc : chasser LES reines et s’efforcer de mettre le seum dans le réseau électromagnétique.
YOLO
Cette guerrélec du futur proche aura t elle nécessairement une composante aéroportée, ou peut-on imaginer que les S600 et autre Mambas auront x10 ou 20 de capacités de génération électrique pour de très gros brouilleurs très directifs? Ou depuis l’espace?
Le but d'avoir du non habité c'est de mettre l'habité hors de portée. Sinon les Anglais ont déjà des missiles brouilleurs, enfin qu'ils disent, mais ils ont l'intention.
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il y a 1 minute, Boule75 a dit :
J'ignore si le terme de "super-calculateur" est utilisé ici de manière métaphorique. S'il ne l'est pas, s'il faut vraiment une grosse puissance de calcul pour traiter ces multiples formes d'ondes et codes :
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un super-calculateur ne tient pas dans un avion. Dans un - gros - porte-avion à la rigueur et il va falloir des K-15 dédiés, mais pas dans un avion.
Du coup : - soit on embarque des processeurs, (des ASICS) hyper-optimisés et spécialisés sur un seul type d’algorithme, et on a peut-être une chance de pouvoir en caser assez dans le devis d'espace / poids / électricité / refroidissement disponible, au risque que ça ne suffise pas, où qu'on ait un mal de chien à faire évoluer le dispositif s'il le faut,
- soit on raccorde l'avion (les mobiles en fait) à un réseau assez rapide pour transmettre le flux de données utiles à un (ou plusieurs) super-calculaur(s). Sur les mobiles : rôle de filtre probablement, pour limiter la quantité de données à transmettre et traiter.
Où l'on retombe sur le cloud*, le SCAF...
* ubimatique", ça vous plaît ?
Je ne me rappelle pas où je l'ai mis, mais j'avais fait part d'une indiscrétion qui racontait qu'avec le GaN le processing pouvait être intégrée à l'antenne, donc tu as un calculateur massivement parallèle avec un processeur par élément T/R, le refroidissement se fait en même temps pour le T/R et le processeur. Je pense que c'est ça la piste.
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un super-calculateur ne tient pas dans un avion. Dans un - gros - porte-avion à la rigueur et il va falloir des K-15 dédiés, mais pas dans un avion.
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il y a 25 minutes, Obelix38 a dit :
Moi j'avais compris le terme "portée" comme étant la distance franchissable par le missile, la différence s'expliquant alors par la différence d'aérodynamique entre l'EM dont le radôme est pointu et l'IR dont l'autodirecteur est hémisphérique . . .
Si tu es obligée d'engager la cible avec un Radar, l'attaque discrète, c'est mort.
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il y a 39 minutes, Hirondelle a dit :
Une question : que deviennent les Remote une fois leur avion mère abattus :
-trés (très) cons ?
-morts ou d’humeur suicidaire?
-capable d’essayer de rentrer à la base?
-de très méchante humeur, à chercher une cible le sang dans la bouche..?
Evidemment, le jeu sera d’essayer de taper la reine, moins les valets.
Tu n'a pas compris l'intérêt de la connectivité.
L'idée c'est d'attaquer non pas avec des plateformes où sont concentrés des moyens mais avec un réseau de moyens qui se concentrent sur une cible. C'est beaucoup plus dur de battre un réseau parce qu'il a des redondances. Si tu as cinq radar dans ton réseau et qu'il y en a un qui est détruit, l'efficacité du réseau n'est presque pas affecté, alors que ça fait une différence de détruire une plateforme suréquipée. Donc dans un réseau bien conçu, il n'y aura pas qu'un seul Rafale et ceux qui reste pourront prendre en charge les RC et les nEUROn du réseau. En plus le but du réseau est de ne pas trop exposer les vecteurs habités, qui sont armés plutôt pour l'auto défense que pour attaquer, sauf attaque électronique de loin.
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- C’est un message populaire.
Entre deux et quatre drones de type nEUROn pourraient accompagner chaque Rafale F5. Moins cher à produire qu'un appareil de combat, il pourrait rapidement augmenter les capacités d'une armée de l'air, sans risquer la vie de ses équipages.
Par ailleurs, deux types de Remote Carrier sont développés par MDBA pour le SCAF : le RC 100 qui mesure 1,80 m et pèse 120 kg et le RC 200 qui mesure 2,80 m et pèse 240 kg. Le Rafale F5 pourra emporter 8 de ces Remote Carriers.
Opérant en meutes, s'échangeant des informations pour se repartir les rôles, ces Remote Carrier n'ont pas que pour rôle d'entrer dans un espace contesté ou totalement brouillé pour saturer les défenses adverses par des tactiques de déception ou de frappe. Ils doivent également permettre de débusquer des radar de veille ou de poursuite dissimulés, grâce à leur capteurs optiques, mais aussi d'identifier, par des écoutes angulaires, les caractéristiques des senseurs adverses pour optimiser les attaques électroniques du RBE2 XG.
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il y a 12 minutes, elannion a dit :Les performances affichées sont impressionnantes en tout cas! 100km en version IR je connais des f 35 et autre f 22 qui vont avoir mal au cxx...^^
Si elle s'avère vraie, les américains vont vraiment tirer la gueule.
Surtout que j'ai cru comprendre qu'un F-35 ça chauffait beaucoup trop pour son système de refroidissement.
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il y a 13 minutes, herciv a dit :C'est le centre de gravité et la forme extérieur qui ne change pas, pas le poids. L'électronique ayant gagnée en performance de même que la chimie des charges propulsives permet notamment un gain de place et de poids. On peut très bien imaginer que ce gain est mis à profit pour embarquer une charge propulsive plus importante répartie autrement.
Il y a aussi des différence de portée des autodirecteurs
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Le MICA NG débutera ses essais sur la base de Biscarosse à partir de 2023 et pourrait rentrer en production à partir de 2026 pour équiper le Rafale F4. Les progrès réalisés sur ses autodirecteurs passif (IR) ou actif (RF) tant en performance qu'en miniaturisation rendent possible cette évolution. Ses capacités d'engagement d'une cible se situe autour de 100 km (en version IR) et de 130 km (en version RF).
Le nouvel autodirecteur RF dispose d'une antenne AESA, d'une grande agilité et de modes d'émission discrets qui expliquent qu'il sera à la base du nouvel autodirecteur du METEOR modernisé.
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Le Pod Talios utilisé par les Français et le nouvel IRST qui a été développé en collaboration avec les Indiens et à leur demande utilisent tous les deux la technologie MWIR (Middle Wave Infra red). Talios serait capable de visualiser, en discrétion car passif, des propulseurs à près de 200 km et le nouvel IRST aurait une portée à plus de 100 km pour engager une cible aérienne avec un missile MICA NG sans recourir au Radar pour les situations où la discrétion RF est requise.
Grace à sa très haute définition, la télémétrie offre désormais une voie d'identification qui permet de tenir en échec les leurres, et de poursuivre certaines plateformes furtives comme le SU-57 et le J-20. L'OSF est nativement développé pour opérer en coordination avec le RBE2 XG.
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il y a 14 minutes, Titus K a dit :
Il vont continuer de fabriquer des RBE2 quand le RBE2 XG sera en production ?
Est-ce qu'aujourd'hui Thales fait encore des Pesa neufs ?
les PESA peuvent accepter une antenne AESA en moins de deux heures, je pense que ce ne sera pas pareil entre le RBE2 AESA et le RBE2 XG.
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J'ai noté que le Radar RBE2 XG serait capable de fonctionner en bande X mais aussi en bande Ku et je suppose Ka (il est écrit K dans air et Cosmos) et qu'on envisage de l'utiliser pour faire du Brouillage collaboratif. Et qu'il aura aussi des capacités d'Attaque Electronique qui utilise des composants qui permettent de transformer des missiles déjà déployés en missiles anti radar. Il utiliserait des modules T/R GaN ce qui semble pouvoir améliorer la portée de 70 à 100 %.
Il va aussi y avoir de plus en plus de formes d'ondes inédites, qu'il est nécessaire d'analyser pour les systèmes d'autoprotection et de brouillage offensif. La solution est d'être capable d'avoir des traitements embarqués automatiques qui échantillonnent en temps réel les bandes de fréquences utilisées par l'ensemble des menaces ce qui fait un spectre de 30Ghz.
Donc SPECTRA devra passer au GaN aussi et se doter d'un super calculateur pour faire face à la complexité et à la multiplicité des formes d'ondes adverses.
La collaboration entre le Radar et SPECTRA permettra de disposer d'une vaste bulle de protection incluant la patrouille et les Drones ailiers évoluant à l'intérieur des bulles d'interdiction.
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il y a 31 minutes, hadriel a dit :
C'est fourni et les interview des anciens concepteurs de guerre élec sont intéressantes, par contre j'ai de gros doutes dans les spéculations sur le F5 vu que l'auteur mélange MdCN et FMC. Et je suis pas bien convaincu qu'il connaisse bien les standard F4.x
S'il n'est pas au niveau, il y a de forte chances que les spéculations du journaliste soient le reflet de trucs qu'on lui a dit.
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L'Inde
dans Asie / Océanie
India develops basic technology for next generation IRST, EOTS and DAS system for AMCA.
L'Inde développe la technologie de base des systèmes IRST, EOTS et DAS de nouvelle génération pour l'AMCA.
L'IIT Bombay développe la technologie QDIP, qui est plus avancée que le dispositif EOTS basé sur le QWIP utilisé dans les Sukhoi Su-57 et F-35. Les photodétecteurs infrarouges à puits quantiques QWIP sont à la base de tous les capteurs optiques utilisés sur les avions de combat occidentaux. Les systèmes d'imagerie de troisième génération ont une température de fonctionnement élevée, un fonctionnement multispectral et des réseaux de grand format.
Technologie des points quantiques QDIP : les photodétecteurs infrarouges à points quantiques (QDIP), pour faire de ces dispositifs une technologie d'imagerie de troisième génération viable, sont en passe de devenir une priorité pour la communauté IR dans le monde entier. La recherche a permis de réaliser des percées importantes. Le professeur de l'IIT-B a été le premier à démontrer les caractéristiques de pointe des QDIP à capuchon quaternaire, qui ont dépassé tous les records mondiaux précédents en termes de combinaison d'une réactivité et d'une détectivité très élevées.
Il est également le premier à avoir démontré que l'implantation d'ions ex-situ dans les QDIP améliore considérablement leur rapport signal/bruit.
Dans le domaine de l'ultraviolet (UV), le professeur Chakrabarti a relevé le défi de démontrer un dopage stable de type p dans le ZnO (proposé comme meilleure alternative à la technologie commerciale existante du nitrure de gallium (GaN)). Sa démonstration d'un dopage de type p très stable du ZnO et du ZnMgO via le phosphore et l'azote dopés par PIII (Plasma Immersion Ion Implantation) n'avait jamais été rapportée auparavant et peut être considérée comme une percée dans la réalisation de diodes électroluminescentes (DEL) et de lasers viables à base de ZnO. Cette recherche a en fait abouti à la démonstration d'une DEL UV homojonction, dont le rapport est en effet une rareté dans la recherche internationale sur le ZnO. Cela ouvrirait également des possibilités d'expansion future de l'optoélectronique basée sur le ZnO.
Le célèbre journaliste de défense Saurav Jha avait déjà tweeté que le DRDO avait entamé des recherches sur les capteurs d'imagerie infrarouge qui constitueraient un système d'ouverture distribué similaire à celui du F-35.
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Révélation
Le contrat, signé avec l’Agence spatiale européenne, a été annoncé le 20 juillet. Il atteint un montant de 300 M€.
Précis et incontournable
Officiellement décidée il y a vingt ans, la constellation Galileo de l’Union européenne apparaît aujourd’hui comme le système le plus précis au monde pour le positionnement par satellite, devant ses concurrents aux Etats-Unis (GPS), en Chine (Beidou) ou en Russie (Glonass).
Sachant que désormais tous les smartphones vendus sur le marché européen sont compatibles avec Galileo, l’estimation du nombre de personnes pouvant s’y connecter dépasse les 4,4 milliards.
Outre ses multiples applications civiles et militaires (assistance à la conduite des trains, au guidage des véhicules et des missiles, à l’atterrissage des avions, au positionnement des troupes…), la constellation européenne contribue notamment au sauvetage de milliers de vies, constituant la pièce maîtresse du dispositif d’urgence automatique européen eCall.
Par ailleurs, Galileo reste seul système GNSS au monde sous contrôle civil.
26 satellites en service
Les premiers lancements de la première génération de Galileo étaient intervenus en octobre 2011 depuis le Centre spatial guyanais, les premiers tests s’étaient déroulés avec succès en mars 2013, et les services initiaux de Galileo avaient démarré en décembre 2016.
Depuis le premier semestre 2019, la constellation est déclarée opérationnelle.
Le dispositif a été complété en décembre 2021 par l’envoi de deux autres satellites FOC.
Sur les 26 satellites actuellement en service, 14 ont été lancés sur Soyouz et 12 sur Ariane 5.
D’une génération à l’autre
En janvier 2021, la Commission européenne avait passé commande de deux fois six satellites de seconde génération (G2G) à Airbus Defense and Space en Allemagne et Thales Alenia Space en Italie.
Le déploiement de ces satellites était alors prévu à partir de 2024, et Arianespace a décroché les contrats de lancement des douze premiers exemplaires sur Ariane 62 (version équipée de deux propulseurs d’appoint), contrats officialisés en septembre 2017 (quatre satellites en deux missions) et mars 2020 (huit satellites en quatre missions).
Un contrat pour le segment sol
Pour le segment sol de la seconde génération de la constellation, l’ESA, agissant au nom de l’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (Euspa) et de l’Union européenne (représentée par la Commission européenne), a retenu Thales Alenia Space et ses partenaires européens.
Il s’agit de concevoir et réaliser le segment sol de mission des satellites, ainsi qu’un support technique à l’ingénierie du système.
Par ailleurs, Thales s’est vue notifier par l’ESA deux contrats pour la cybersécurité du programme G2G.
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il y a 6 minutes, Claudio Lopez a dit :
Effectivement, c'est le principe de réquisition.
À partir de 2025, on aura 30 Rafales de "stock" par an sur la chaîne de montage, et tant que les Rafales seront sur le sol français, ils pourraient être réquisitionné à tout moment
Comme il faut 3 ans pour sortir un Rafale, tu as 99 Rafale (3*11) * 3 ans à différents niveaux de production. Si tu continue la production et que tu réquisitionnes les avions qui sortent tu va avoir 3 avions par mois ce qui est assez peu.
Par contre si tu réquisitionne les pièces pour en faire des pièces de rechange et les employés pour qu'ils aident les techniciens de maintenance, tu pourra faire voler tes Rafale 350 h par mois au lieu de 20 h par mois en temps de paix soit presque 18 fois plus, et là la différence est sensible.
D'ailleurs tu peux finir la production des 6 derniers mois et utiliser le reste comme je viens de le décrire.
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Moscou rattrape son retard à marche forcée dans la fusion de données de renseignement
Dans la guerre d'attrition qui se joue en Ukraine, Moscou se mobilise afin de compenser son retard technologique dans le domaine crucial de la fusion des informations issues des différentes sources de renseignement.
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il y a 18 minutes, R force a dit :
La montée à 3 avions/mois est déjà actée.
L'assemblage est pour le moment à 2/mois.
Je n'ai jamais entendu parler d'un accroissement au delà des 3/mois, car il faudrait dupliquer des équipements de production (la ligne et la supply chain ont été "équilibrées" à 3/mois max).
Il y a quelques mois j'ai eu l'info que les achats de DA testaient les fournisseurs amonts pour 5 ou 5,5 avions/mois (4,5 ou 5 neufs (sais plus le chiffre exact) et 0,5 en SAV) => Une nouvelle ligne ? Inde? Mérignac bis?
Tu as mal écouté Trappier.
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[Rafale]
dans Europe
Posté(e)
Moi je pense que la furtivité électronique a plus d'avenir que la furtivité passive. Par exemple tu ne peux pas contrer les radar multi statique en furtivité passive, mais tu peux le faire avec un réseau en furtivité électronique.