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Messages posté(e)s par TarpTent

  1. Une volonté claire : E. Musk indique dans un tweet que le tir orbital du Starship est une de ses 2 priorités majeures à réaliser avant la fin de l’année (l’autre concerne le FSD de Tesla).

     

    Quelques rumeurs (et je ne parlerai pas plomberie de la Tour de Lancement, même s’il y a pas mal de modifications en cours à ce sujet) :

    - SN25 est quasiment fini d’assembler, et Booster 10 est en train de recevoir sa plomberie.
    - SN26 est en train de voir les tuiles de son nez… retirées. La rumeur veut que pour SN26 et SN27, SpaceX envisagerait des vols sans retour, avec pour mission principale le déploiement en masse de Starlink V2. D’où le retrait des tuiles, et même l’absence des flaps sur ces 2 Starships. (Mais qui sait, peut-être que cela aura changé d’ici là, ou bien ils testeront autre chose - ravitaillement par exemple ? - Que des rumeurs, quoi qu’il en soit)

    - SN28 sera le 1er Starship à recevoir un dôme de carburant modifié, pour une plus grande capacité et un volume d’emport plus important

    - Le Complexe 39A en Floride devrait devenir le pad principal des lancements, quand Starbase sera celui des vols de test R&D.
     

     

    À noter le 1er contrat opérationnel signé pour Starship, avec un vol prévu en 2024 pour placer un satellite GTO . J’en parlerai sur le fil idoine, je le mets juste ici pour préciser que d’ici là devront donc avoir été validés le design de la / des portes, le système de déploiement - forcément différent de celui des Starlink, plus proche du Pez système - , le mécanisme d’installation de la charge et le système de traitement.

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  2. Ils préparent l’opinion… à ce que ça puisse foirer, en rappelant qu’il s’agit dans tous les cas d’un 1er vol de test :
     


    C’est effectivement bien le cas, simplement ce vol de test est tout aussi nécessaire pour Orion, qui doit valider pendant 25 jours l’insertion en orbite, changements d’orbite, trajectoire de retour vers la Terre puis rentrée atmosphérique.
    Vaudrait donc mieux qu’Artemis n’ai pas de souci à l’envol pour que la mission puisse être complétée.

     

     

    Le 20/08/2022 à 07:58, collectionneur a dit :

    Quelqu'un peut indiquer si les préparatifs du premier tir d'une Saturn V avaient pris autant de temps ?

    Difficile à dire, la première réponse étant « Autres temps, autres mœurs », en plus en pleine course - militaire - à l’espace. Mais ce n’est sans doute pas exact, d’autant plus qu’il s’agissait de vols habités à terme.

    Saturn V a son dessin arrêté en 1961 et elle vole en 1967, avec des fusées intermédiaires qui servent de test des modules et étages (et pas mal de soucis de mise au point des réacteurs).
    Mais ils ont aussi développé la totalité des infrastructures sol et du transporteur pour celle-ci.
    Par ailleurs, c’était la première fois qu’ils utilisaient un décompte avec checks informatisé il me semble.


    La différence à mon avis, c’est que du temps de Saturn V, ils « baignaient » tous dedans - technologies proches, informatique de l’époque, continuité entre programmes Gemini et Apollo dans une certaines mesure… là, avec Artemis, ils remettent au goût du jour des technologies qui datent de la Navette Spatiale - réutilisation des réacteurs - et cela fait un moment que Boeing et la Nasa n’ont plus fabriqué de fusée de ce type : il y a forcement eu et il y a sans doute encore du ré-apprentissage, d’où une partie de la lenteur apparente.
     

    Sans parler des atermoiements et changements de programme / objectifs / financements, qui n’ont pas aidé.
     

     

    Mais vivement le 29/08, la Nasa a déclaré le démarrage du « go for launch»  :bloblaugh:

     

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  3. Il y a 2 heures, Stark_Contrast a dit :


    il est passé dans le monde réel à ce moment-là. 

     

    Il faut n’avoir rien compris au mouvement surréaliste pour écrire un truc pareil.

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  4. Il y a 1 heure, FATac a dit :

    Prenez-ça comme une avance sur le vendredi de demain. :biggrin:

    Et le surréalisme est passé à la poubelle en 1969. Il reste l’écriture automatique en héritage… Ça vend du rêve.

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  5. Il y a 1 heure, Coriace a dit :

    Mais au fond les constats qu'ils font sont les mêmes que les notre. Leur manière d'y répondre diffère mais est largement dans l'intérêt des sociétés temporalisées

    Les réponses Turques et Iraniennes qui tendent vers un nouvel impérialisme sont autrement plus Inquietantes.


    Ce point de vue se discute très largement. Ce n’est pas le bon fil pour cela, mais vu que l’AS a tout fait pour imposer son nouvel impérialisme face à l’Iran (les tentations militaires étaient même très fortes en 2018 avec le soutien de l’Israël et les USA - avant la dérobade finale de Trump ), et son opposition à la Turquie en Syrie et dans le dossier qatarien, s’il y a bien une chose qu’il faut garder en tête, c’est que l’AS n’est vraiment pas mieux que ses compagnons du coin.
    Il y a juste qu’elle s’est faite significativement calmer dans ses ardeurs (par l’Iran, lors de l’attaque de leur raffinerie) et que la Syrie et le Yémen ont fini de la ramener à la raison pour un temps (Khashoggi a parachevé la chute sur la scène internationale).

    Maintenant qu’elle redevient un peu plus fréquentable diplomatiquement, sont relancés les vrais sujets : centrales nucléaires civiles en partenariat initialement avec les USA (la prochaine tranche de développement du programme nucléaire devrait se faire avec la Chine, avec des taux d’enrichissement différents de ceux initialement négociés avec les USA dans le cadre de l’ "accord 123", et c’est ça qui inquiète particulièrement, en plus de perdre la main sur le programme en question) , extraction puis commercialisation de l’uranium de son sol - sous forme de yellow cake essentiellement, à partir de réserves très conséquentes -,  production d’hydrogène à partir de l’eau ou en sous-produit de ses hydrocarbures, avec l’Europe en principal débouché… et négociation d’accords de gré à gré pour assurer un volume de pétrole garanti, et à un prix négocié à l’avance.

     

    Tout ça pour dire qu’à la fin, l’AS n’est fréquentable que parce qu’elle a beaucoup de ressources - financières et d’hydrocarbures - et que dans les prochaines années, on l’aimera encore plus si on a bien négocié avec elle… sans pour autant l’encourager dans sa volonté d’hégémonie régionale.

     

    Les USA sont un peu moins en odeur de sainteté - et ça ne date pas des Démocrates en réalité - et la Chine se positionne : si la France peut conserver ses entrées au moins sur le plan militaire, ça serait un vrai plus. Le Rafale servirait ainsi notre vision géostratégique, et plus ils en prendront, plus le message sera fort.

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  6. Il y a 11 heures, Patrick a dit :

    Alors ça c'est vraiment pas banal. :ohmy:
    Mais enfin, qu'est-ce qu'ils leur trouvent à ces Mirage F1?
    On aurait dû les garder les moderniser et les revendre plus cher s'ils sont si utiles que ça. :laugh:
    Qu'est-ce que ça va être quand ce seront des Mirage 2000 qui seront disponibles de la même manière sur le marché de l'entrainement DACT par le biais d'entreprises privées!


    On parle d’accompagnement lors des vols de réception, avec validation de l’équipement embarqué.

    Comme ils ont des F1CR et CT (ici, la version des 3 qui seront utilisés n’est pas précisée), il y a forcément pour eux quelques avantages. Au doigt complètement mouillé :

    - acheté pas cher, facile à maintenir, vitesse adéquate pour des tests en subsonique

    - systèmes caméras et photos au top à l’époque, toujours utilisables, et pas uniquement dans le visible

    - aucun système de détection de signature, le F-35 peut donc voler tranquille sans risque d’un quelconque recueil (on n’est jamais à l’abri de fuites en la matière)

    - grosse torchère et signature des années 80, donc doit permettre de valider certains équipements du F-35… voire rendre la patrouille très visible si des fois ils veulent faire un test de F-35 sans lentille de Luneburg (pour s’assurer par exemple que le radar du F1 ou un radar au sol n’arrive pas à l’accrocher d’une façon ou d’une autre, et donc qu’il n’y a pas de défaut de revêtement qui serait passé au travers des mailles - peu probable, mais sait-on jamais)

     

    Bref, il y a matière à justifier ce choix.

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  7. Il y a 5 heures, Tetsuo a dit :

    @TarpTentAu vue de ces éléments, es tu en mesure d estimé (au mois prêt ) le premier lancement ?

    Pas vraiment, et même SpaceX est devenu très prudent sur le sujet.
     

    Pour le moment, on peut considérer que le SN24 est ok et ready. Le couple Starship - Raptor 2 a été abondamment testé, et s’il doit y avoir des surprises, ça ne devrait pas être sur cet élément-là.
     

    À l’inverse, pour le Booster, il embarque 32 Raptor et même réaliser un tir statique avec autant de réacteurs paraît problématique en l’état. L’explosion lors du test initial le montre, SpaceX va devoir être particulièrement prudent à l’amorçage tant le mélange des gaz doit être finement ajusté pour ne pas créer d’effet de bord désastreux avant même l’envol.
    SpaceX doit donc améliorer ses détecteurs et ses calculs de dosage - travail en cours - et ajouter des brûleurs* - réflexion en cours, confirmée par E. Musk - pour s’assurer que le mélange des gaz ne devienne pas explosif avant que les Raptor ne soient allumés.


    Ce phénomène se double du fait que le Pad Orbital A n’a pas non plus été vraiment testé : ainsi, si le déluge d’eau a bien envoyé un peu de flotte il y a quelques temps histoire de voir si le robinet était bien ouvert, la quantité nécessaire à la poussée de 32 Raptor est une toute autre histoire sur laquelle il n’y a pour le moment aucune garantie.
    SpaceX en profite en parallèle pour terminer ses protections en terre et béton ainsi que sa canalisation d’eau après expulsion.

    Certes, tant que le Booster décolle, on pourrait toujours réparer le Pad ensuite, mais s’ils doit choisir, SpaceX préfère largement perdre un Booster que devoir reconstruire son pas de tir. Donc la séquence d’amorçage de 32 Raptor + un déluge d’eau à la hauteur sont les 2 conditions essentielles pour aboutir à… un vrai tir statique.

    Booster 7 sera prochainement ramené en High Bay pour récupérer ses Raptor manquants - disons d’ici mi-septembre, même si je vois ça se faire d’ici fin août personnellement, si’ils ont des Raptor en quantité suffisante - , puis viendront les tests sérieux entre septembre et octobre. Sans mauvaise surprise, un vol orbital d’ici fin de l’année - entre novembre et décembre donc - est peut-être jouable.

    Le moindre incident, paramètre manifestement problématique ou disponibilité réduite d’un des composants pourra retarder le tout de 3 mois très facilement.

     

    Ça reste un avis très personnel, une simple perception, qui peut très rapidement se voir démenti.

     

    *l’histoire des brûleurs renvoie à la Navette Spatiale, qui avait ce système pour brûler les petites quantités de gaz qui fuitaient juste avant l’allumage des réacteurs, ceci afin d’éviter que le mélange ne devienne explosif.
    SpaceX s’en premunissait par des capteurs de détection des mélanges afin d’éviter tout dégazage qui pourrait accroître ce risque. La mesure s’est révélée insuffisante lorsqu’ils ont fait le test d’amorçage pour les 32 Raptor du Booster 7 en même temps.

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  8. Cette fois, c’est officiel : à la suite des tests menés, l’US Air Force vient de contracter avec Starlink le 22 juillet.

    Il s’agit d’un petit contrat en soi - 1,92 millions de $ , pour un engagement de service d’1 an - . Même si la qualité et la résilience du réseau sont reconnues comme ayant fait leurs preuves, notamment en Ukraine, c’est aussi le manque de compétiteurs ayant un niveau de maturité similaire qui a poussé l’US Air Force à faire ce choix.

     

    Explication donnée par l’US Air Force pour ce choix et cette contractualisation :

    « 

    L'US Air Force travaillera avec le Starlink de SpaceX pour soutenir les opérations de transport aérien en Europe et en Afrique. 

    Le 22 juillet, l'US Air Force a attribué à Starlink un contrat de 1,92 million de dollars. Starlink fournira 12 mois de service du 1er août 2022 au 31 juillet 2023. La direction du service aérien des forces armées américaines s'attend à ce que Starlink fournisse des capacités de débit allant jusqu'à 500 Mbps de vitesse de téléchargement et une connectivité à faible latence. 

     

    Sur la base de documents non classifiés de l'US Air Force, Starlink fournira des services fixes et portables. 

    Pour les services sur site fixe, la connexion Internet sera attribuée à une cellule Starlink individuelle de 22 km de diamètre. La connexion ne devra fonctionner que dans les limites de la cellule assignée*. 

    Les services portables de Starlink seront utilisés là où SpaceX dispose actuellement d'une couverture active. L'US Air Force prévoit d'utiliser les services Starlink pour prendre en charge les communications en mouvement dès que SpaceX aura obtenu sa licence ESIM pour ses terminaux portables. 

     

    Dans les documents rendus publics, l'US Air Force indique que Starlink est le seul réseau de satellites en orbite terrestre basse (LEO) qui fournit des services en Europe et en Afrique. Elle souligne aussi spécifiquement la capacité de Starlink à fournir des services portables aux zones de responsabilité de l'EUCOM et de l'AFRICOM. 

    L'US Air Force a reconnu que d'autres sociétés sont en concurrence pour établir des réseaux de satellites en orbite terrestre basse (LEO), moyenne (MEO) et géostationnaire (GEO). Toutefois, elle a estimé que Starlink est le réseau de satellites LEO le plus "bien établi", avec plus de 1 350 satellites, par rapport à ses concurrents qui en sont encore à leurs "débuts". Elle a également souligné le soutien de Starlink dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie comme preuve de son efficacité. 

    "Aucun des fournisseurs actuels d'Internet LEO (Amazon Kuiper, OneWeb, Telesat), à part Starlink, n'est actuellement capable de fournir un quelconque service en Europe et en Afrique. Starlink est également le seul fournisseur de réseau satellitaire LEO qui est actuellement utilisé dans un environnement contesté : L'Ukraine", a noté l'US Air Force.

    "Avec les besoins émergents en communication des opérations de l'Ukraine, les besoins en communication à l'intérieur et autour des zones d'Europe de l'Est pour soutenir les opérations de l'Ukraine augmentent quotidiennement. Le temps entre l'appel de solutions durables ne correspond pas aux délais requis pour deux des activités requises. 

    "Starlink LEO répond à l'exigence de réduction des temps de traitement et permet d'augmenter les opérations basées sur le théâtre en fonction de l'évolution des besoins et des lieux. Après des recherches approfondies, il s'est avéré que SpaceX-Starlink est le seul fournisseur capable de fournir ce service de communication spécialisé dans les zones d'opération actuelles dans les délais requis", ajoute-t-il.
    »


     

    *à noter que c’est déjà ainsi que fonctionne le Starlink. Le territoire est maillé, et tout abonné ne peut l’utiliser que dans le carré de maillage d’où il a mis en œuvre l’abonnement souscrit. Actuellement, impossible par exemple de mettre starlink dans un camping-car. Pour la mobilité de la station, homologations en cours au civil notamment pour les bateaux et avions.

  9. Premier tir statique pour Booster 7 ! Manifestement pas à pleine puissance, un seul Raptor a priori ayant été allumé.
    Le test s’est déroulé sans usage de la cascade d’eau.
     


    Lors de la dernière vidéo d’E. Musk comparant les Raptor 1 et 2 lors d’une longue intervention sur site, il expliquait combien la séance de mise à feu était complexe. Cela semble confirmé par l’ensemble des tests - depuis celui d’amorçage jusqu’ici aujourd’hui - qui visent à s’assurer la complète maîtrise de la séquence.
    La démarche ne pourra qu’aller crescendo, le souci rencontré lors du test d’amorçage avec l’ensemble des 32 Raptor ayant démontré le besoin de maîtriser encore plus finement le flux des gaz juste en sortie et autour des Raptor pour éviter ce genre de mauvaise surprise, aussi bien sur le pas de tir que lors de la séquence d’atterrissage.


     

    Pour la beauté de l’image


     

    … et non, je n’ai pas fini !
     

    Dans la foulée, tir statique du SN24, avec cette fois au moins 2 Raptor qui ont poussé en même temps !


     

    avec encore une belle capture pour le plaisir :

     

     

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  10. Il y a 7 heures, Patrick a dit :

    Mais pour faire les choses correctement et parce que je n'ai décidément que ça à faire, je vais donc lister à partir de tes liens:

    Faut reconnaître la constance et la détermination. Pour ça, et parce que les volumes indiqués sont intéressants, merci !

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  11. On peut peut-être commencer à croire à nouveau à un 1er tir statique d’un Booster…
     

    Hier, SpaceX n’a pas bouclé sa zone pour rien puisqu’au total, il y aura eu 4 tests d’amorçage : 2 sur un Raptor pour Booster 7, et 2 pour l’ensemble des 6 Raptor du Starship SN24.

    Tout s’est a priori réalisé sans aucun accroc, la voie est donc pavée pour un 1er tir statique. Et même si Booster 7 n’a pas ses 32 Raptor, les 20 de la couronne extérieure devraient déjà faire un joli ramdam.

     

     

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  12. Vous reconnaîtrez très vite la référence, même si E. Musk ne parle pas de Vietnam :

     

     

    Plus prosaïquement, c’est avec humour qu’E. Musk confirme le problème rencontré : Alors que la pince de levage était en train d’être positionnée pour pouvoir lever Booster 7 et le jucher sur le Pad Orbital A, celle-ci a rencontré un souci (une rupture a priori), et une énorme fuite hydraulique s’en est suivi.
    Résultat, Booster 7 a été promptement reculé, et SpaceX est en train d’essayer de réparer les dégâts.

    Pour autant, cela ne devrait pas interrompre la campagne en cours, Booster 7 venant d’être positionné sur ledit Pad par la grue géante de SpaceX (les précédentes étaient louées, celle-ci ne semble pas avoir reçu de nom de baptême de la part des chaînes Youtube qui assurent une couverture de Starbase - entre autres - en continu.

     

    Je complète mon post précédent en précisant que Booster 7 n’est pour le moment équipé que des 20 Raptor 2 du cercle extérieur. Principe de précaution j’imagine, afin de ne pas endommager les Raptor des anneaux intérieurs en cas de nouvelle explosion.
    Peut-être que SpaceX souhaite aussi avoir mis en place ses brûleurs avant le 1er essai avec l’ensemble des Raptor.

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  13. Il y a 2 heures, collectionneur a dit :

    Décollage réussi de la première sonde sud-coréenne à destination de la Lune, Danuri, depuis une Falcon 9.

    Et elle diffusera en continu de la K-pop !

    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/08/05/decollage-de-la-premiere-mission-lunaire-sud-coreenne_6137213_3210.html

    La sonde tentera également de mettre en place un environnement Internet sans fil destiné à relier des satellites ou des engins d’exploration à travers l’espace. Cette connexion sera testée en diffusant en continu la chanson Dynamite du groupe de K-pop culte BTS.

    Ça change des bips d’un Spoutnik, c’est certain !

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  14. Il y a 2 heures, DEFA550 a dit :

    C'est pire que ce que tu croyais, donc. :tongue:

    Parce que si tu avais encore des doutes, j'ai (rapidement) retrouvé ça et il y a sûrement d'autres sources sur le sujet.


    L’article date de 2006, et Edelstenne déclarait à l’époque lors de la même interview :

    «R:  Avec Neuron, le gouvernement français a voulu éviter le mode de collaboration actuel qui veut que chaque pays cherche à apprendre ce qu'il ne sait pas faire. Au contraire, le partage se fait en fonction des expertises de chaque industriel. […] 

    Q: Dassault sera donc le maître d'oeuvre de la prochaine génération d'avions de combat européen... 

    R: C'est bien dans cette perspective que les industriels travaillent avec nous. De toutes façons, la France n'acceptera pas de participer à un programme sans leadership. ? »

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  15. Il y a 2 heures, DEFA550 a dit :

    C'est marrant comme ils se rendent tous compte qu'ils n'en ont pas acheté assez... :rolleyes:

    alors qu’il leur suffirait de multiplier les simulateurs, pour n’avoir que des appareils en première ligne et plus aucun nécessaire aux entraînements.
    Ça plus le fait que c’est un multiplicateur de forces, et c’est gagné !


    Ils n’ont pas dû assez bien lire les ppt, faut croire.

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  16. il y a 24 minutes, PolluxDeltaSeven a dit :

    Les missiliers, ça fait des décennies qu'ils font n'importe quoi avec les maquettes sur les salons ! Ça ne mérite ni votre temps, ni votre attention, ni votre énergie.

    Bien d’accord : ils ne sont pas là pour présenter une configuration plausible, mais bien l’éventail des possibilités qu’ils peuvent offrir.

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