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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. L'Exposition Universelle (Internationale) de 2025 aura lieu à Saclay (Essonne - 91) Cette zone, à environ 30 km au Sud de Paris, le long de la N118 vers l'autoroute A10, appelé "Plateau du Moulon" et prés de la grande ville des Ulis (ou je suis demeuré de longues années) à été créé dans un but de regrouper un pôle technologique avec l’École Polytechnique, l’École Centrale Électricité, une nouvelle Université avec laboratoires de recherches, etc.etc. La grande école HEC (École des Hautes Études Commerciale) était déjà à proximité. Le plateau est déjà bien rempli en espace technologique et continue à se développer. Nul doute que cet Exposition Internationale va avoir le succès qu'elle mérite si on se souvient de celle de 1937 à Paris. Formidable puissance Allemande représenté par un pavillon le plus visité ou l'apport et l'avancée des techniques furent mise en évidence et grands pavillons Soviétiques, Américains et Brittonique entre autre. La France était en avant garde les technologies du "froid". La guerre mondiale qui a suivi et notre occupation ont faits que les américains ont pris à leurs compte ces techniques intégrales y compris les modes de calcul des ensembles de froid. Des milliers d'installations ont suivis en particulier dans les pays chauds de la guerre du Pacifique à l'attention des militaires américains. Janmary
  2. Janmary

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    Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  3. Bonne et riche idée Gibbs le Cajun. Il est vrai que le sujet est vaste et bien des intervenants ont montrés leurs niveaux de compétences sur ce sujet sur divers files écrit jusqu'à présent. Nous avons bien postés sur des sujets qui ont donnés lieu récemment à des interventions d'excellente qualités tel le Richelieu pour le dernier en date et qui nous ont permit de nous régaler. Tu as fait un bon travail en recherche des éléments essentiels concernant cette guerre du Pacifique ainsi que de nombreuses interventions bien écrites. Tu pourras essayer le lancer ce thème dès qu'il y aura un petit vide d'activité ?
  4. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  5. Exact. Les soucis furent importants avec ce type de torpilles utilisées par les flottes de combat des USA et Allemande. Les belligérants en sont revenus au détonateur à contact. Les Allemands eurent le même problème entre la Mer Baltique et la Norvège ou les champs magnétiques ne sont pas les mêmes en valeur et en direction ! L'Histoire des mines magnétiques retrouvées dans la Tamise et leurs fonctionnements mis en évidence par un artificier et qui donna lieu à la démagnétisation des navires comme parade est un fait d'arme digne du "salaire de la peur".
  6. En explosion "par en dessous", il existe aussi la torpille passant sous la coque et explosant par "influence magnétique". J'ignore si des belligérants l'ont utilisés et avec quel efficacité. C'est arrivé effectivement très tôt lors des premiers tirs d'artilleries entre navires et obus arrivant cours, c'est à dire des obus à trajectoire terminale sous marine frappant sous la ceinture cuirassée au lieu des superstructures. Merci de ces explications Pascal. Je ne connaissait pas les protections étudiées dans ces conditions.
  7. Ce qui est noter, c'est que dans l'Armée Britannique, un officier,ou un officier général peut-être nommé à titre provisoire à un grade supérieur pendant une bataille, un conflit ou une fonction particulière que ce soit en temps de guerre ou en temps de service . Durant le second conflit mondial, en Asie du Sud-Est, en Birmanie, plusieurs colonels furent nommés "général" à titre temporaire. On peut citer le successeur du général Orde Wingate, décédé lors d'un crash aérien durant la campagne et l'offensive des Chindits en Birmanie. Ce fut le général James Michael Calvert (Lieutenant-colonel à "Brigadier" pour général de brigade dans la terminologie Britannique) qui était de son État-major et commandant d'une des brigades engagés dans l'offensive, à savoir la 77° brigade. https://en.wikipedia.org/wiki/Mike_Calvert .
  8. 1° - Il y a le général Leclerc, le général Juin et le général Koenig également pour la période post second conflit mondial. Le général Leclerc de Hautecloque, le général de Lattre de Tassigny et le général Koenig furent fait Maréchal à titre posthume. 2° - Pour la première guerre mondiale, voir Wikipedia = > Les maréchaux des années de guerre : Joffre, Foch, Pétain > Les maréchaux de l'après-guerre (1921) : Franchet d'Espèrey, Lyautey, Fayolle, Gallieni > L'élévation tardive de Maunoury (1923) http://www.livresdeguerre.net/forum/sujet.php?sujet=1356 3° - La liste des Maréchaux sous les divers régimes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Maréchal_de_France
  9. Gibbs le Cajun J'ai vu que la France avait participé à la modernisation de la flotte nipponne avant la 1ère guerre Mondiale ainsi que de la création de leur armée de l'Air . Est-ce que cette influence s'est ressenti dans la construction des navires nippon qui combattront durant la WW2 ? HORS SUJET Oui Gibbs le Cajun. Ce fut au moment de la guerre russo-japonaise de 1905. 1° - Il y eu des facteurs qui ont permis la victoire surprise des Japonais (dont Louis-Emile Bertin, ingénieur naval Français). Il y a des ouvrages dont le but est l’étude des stratégies politique et militaire Chine-Japon depuis les origines et parlant de ce conflit. Je pense à l’ouvrage – qui vient d’être réédité – qui part de l’ouverture du Japon aux Bombes atomique, c'est-à-dire la Grande Histoire du Pacifique. La Guerre du Pacifique Nouvelles histoire à partir d’archives restées jusqu’ici secrètes. Volume 1 = Des Origines u conflit aà Midway et Guadalcanal Volume 2 = Des Prémices de la Victoire à l’Apocalypse d’Hiroshima De John Costello Chez Pygmalion 1982 Note = Réédité en un seul volume récemment 2° - Dans l’ouvrage en question, il est fait mentions d’officiers Russes des plus compétents et tués dès le début des combats. Au sein de l’État-major Russe, le terme pouvant les définir était « des ganaches » dont un général chargé des défenses et qui jeta l’aprobe sur les forces de son pays. Néanmoins, les combats furent dures et Russes et Japonais très combatif. Les Russes furent perdus par une stratégie déficiente et moins efficace que celle des Nippons dont les pertes furent lourdes. Je puis essayer de relire le chapitre et écrire un résumé éventuellement. 3° - En ce qui concerne le coté navale de ce conflit, c’est Louis-Emile Bertin, Français, ingénieur naval du Génie Maritime, qui – détaché au Japon - assista les Japonais lors de la création et de la construction des croiseurs dit « protégés » qui furent engagés dans cette bataille, et dont les officiers étaient....britanniques. Inventeur du caisson cellulaire et ceci sur une grande longueur du bâtiment, il insista lors de son départ du Japon, pour que les Japonais – au lieu de combattre sur une ligne de front comme depuis l’époque de Lissa – attaqua avec le retour au combat en ligne de file et n’eurent au Yalu, que de se féliciter d’avoir fait choix de cette proposition de Louis-Emile Bertin. Pour plus d’information = http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Émile_Bertin http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/1_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/2_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/3_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/4_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/5_bertin2012.pdf FIN DU HORS SUJET Janmary
  10. Oui, en effet, Arka_Voltchek. Du reste, les phénomènes décrits devaient être plus important sur des tourelles comportant du 406 que du 380 ou du 380 par rapport aux 340. Car la puissance d'un canon s'exprime mathématiquement par le cube du calibre du canon. Ainsi le 406 fournit une puissance de 66 923 416 (unités). Ainsi le 380 fournit une puissance de 54 872 000 (unités) Ainsi le 340 fournit une puissance de 39 304 000 (unités) On voit donc que la puissance et l’énergie à la bouche du canon augmente vite suivant les augmentations de calibre. Les problèmes de dispersion devaient donc s'aggraver à mon avis avec la puissance de l'arme qu'était le canon. J'ignorais ces éléments. Merci pascal.
  11. Oui, en effet, Benoitleg. Les classe Normandie et Lyon avaient des affuts de 340 mm (380 mm pour le Richelieu), donc avec des vitesse de l'obus moins importante et une énergie plus faible que ceux du Richelieu. C'est la raison pour laquelle je disais que l'étude n'avait pas été réalisée sur ce type nouveau de tourelles avec les problèmes survenus par la suite au moment des tirs du Richelieu. Cordialement..
  12. Mon père a fait son service militaire sur le Richelieu (après la guerre). Marqué à jamais. Ce qu'il m'a raconté c'est qu'il y avait aussi à l'origine une dispersion très importante lors d'un tir en salve d'une tourelle 380, le souffle des tubes se perturbant les uns les autres. La solution a été de décaler (de mémoire 0.5 seconde) les tirs des tubes (1+3 puis 2+4). Les tubes sont effectivement très proches comparé aux autres tourelles de l'époque. C'est exact Ponto Combo. Ce fut une innovation de réaliser une tourelle quadruple dans notre marine avec des canons aussi prés les uns des autres. Les perturbations engendrées par cette proximité des tubes lors des tirs n'ayant pas été anticipées pour diverses raisons. qu'il s'agisse de la classe Dunkerque ou celle du Richelieu ce n'était pas des bons navires alors ? Cette idée de concentrer toute l'artillerie sur 2 tourelles ce n'était pas un peu saugrenue ? Risque de perdre la moitié de son artillerie sur un seul coup au but .. Les soucis étant la limitation des tonnages des cuirassés d'une part (35.000 tonnes dit Washington) et le calibre de l'artillerie (380 mm,) des accords de Washington entre les deux guerres en 1922 (qui limitèrent également les les tonnages et les calibres de l'artillerie sur les croiseurs dit lourds et légers et le nombre par Nations) . Ce sont donc les paramètres vitesse (cuirassé lent à 22/23 nœuds tel les Nelson et Rodney et artillerie puissante tel le 406 mm ou les cuirassé rapide tel le Dunkerque et le Richelieu à 28/30 nœuds et une artillerie de 380 mm) et la protection des cuirassés qui interviennent dans "l'équation" du cuirassé. Le nombre de cuirassé (et croiseurs), leurs tonnages, leurs artilleries (ainsi que les porte-avions) étant limités en nombre par pays. Pour arriver au maximum autorisés de ces paramètres, l'une des solutions fut la concentration de l'artillerie en deux tourelles quadruple. En cas d'échange de tirs au combat c'était effectivement , Lézard-vert, une possibilité que de voir la moitié de la puissance détruite par un coup bien placé. Les Britanniques, du reste conçurent le Nelson et le Rodney en 3 tourelles triples de 406 mm concentrées sur la plage avant et ce dès le lancement de ces bâtiments en 1925. Janmary
  13. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  14. Zamorana "Quand à la possibilité d'une invasion par les soviétiques, les japonais y croyaient vraiment". Il suffit de lire les archives Japonaises pour s'en convaincre. L'Empereur fut persuadé avec l’entrée en guerre des Soviétiques et le lancement de la première bombe atomique (avant le lancement de la seconde) que les Soviétiques avaient pour but l'occupation du Japon avant le Américains et la fin de la dynastie Impériale. Les Japonais avaient dès 1944 demandés aux USA les conditions de la reddition du Japon avec le maintien de la Souveraineté de l'Empereur du Japon. La réponse fut "Condition inconditionnelle de l'Empire du Japon" Quand les Japonais renouvellent la reddition du Japon en 1945, ile récidivèrent avec la clause Impériale. Même réponse. Les Japonais acceptèrent la reddition. Quelles furent les conditions émises par le général Mac Arthur en tant que "Consul" et commandant en chef des Forces d'occupation concernant la famille Impériale ? La famille Impériale fut exonéré de rendre des comptes à un tribunal (dit de Tokyo, pendant de celui de Nuremberg en Allemagne). L'Empereur perdit son statut de "divinité" et le général fit sa politique d'occupation avec le soutien de l'Empereur. et par son intermédiaire.. Ce fut une politique pragmatique basé sur les réalités concernant le peuple Japonais envers son souverain défendu par les connaisseurs de l'Asie et du Japon, tel l'Ambassadeur américain Crew en poste à Tokyo. A Washington,ce fut un autre son de cloche. Le résultat fut que la politique du général ne fut pas entravé par les Japonais car ayant le soutien de l'Empereur (forcé certes mais réel). Par contre, Mac Arthur fit quelques gaffes" aujourd’hui décriées tel = > L'accord concernant les recherches Japonaises en matière de guerre plus particulièrement biologique et le résultat des expérimentations en Chine de l'Unité 761. Les scientifiques et militaires - en contrepartie des informations données - ne furent pas poursuivis devant le tribunal de Tokyo en tant que criminels de guerre. > La destruction du cyclotron de recherche scientifique fondamental sur l’énergie atomique. > La confiscation de tous les "katana" (sabre Japonais), "tanto" (couteaux Japonais), armes des plus anciennes, et plusieurs fois centenaires furent jetés dans la plus grande fosse marine de l'Océan Pacifique. Comme chacun sait, il fut relevé de son commandement par le Président Truman durant la guerre de Corée (1950-1953) pour avoir informé les Chinois, les Soviétiques et la Corée du Nord qu'il allait employé la bombe atomique pour régler le conflit, alors que la politique du Président était la "temporisation" Il y a un sujet à écrire sur ce chapitre sur les erreurs voulues et non voulues du général et de ses décisions brillantes et moins brillantes sur ce champs de bataille, mais c'est une autre histoire.
  15. Eh ! Oui ! Collectionneur ! Le pire fut le retour du Bataillon du Pacifique (et des troupes dite "indigène" vers l'Afrique) qui n'avaient pas de bateaux pour le retour (il y en a eu pour leur départs vers le front occidental pourtant) qui couchaient à même le sol et ou l'intendance n'avaient pas les moyens de les nourrir !!! C'est la rapine de ces soldats envers leshabitants et les commerçants qui décidèrent les autorités a prendre des mesures après plus d'un an d'attente !!! Il y eu beaucoup d’amertume de ces engagés volontaires des années plus tard alors que leur indemnités d'anciens combattants leurs furent retirées (comme ceux d'Afrique du reste). Bir-Hakeim n'était pas rien et ils eurent l'impression d'être traités comme des inutiles de la République après tant de sacrifices !!! Janmary
  16. Une émission passionnante sur les chaines Histoire, Toute l'Histoire et National Géo, viennent de diffuser "l'occupation" de la Nouvelle Calédonie par l'armée américaine, avec une division, puis une armée entière, pour faire face au déferlement éventuel Japonais vers l'Australie et la Nouvelle Guinée. Hallucinant ! > Le Capitaine de vaisseau, puis amiral d'Argenlieu ayant la prétention d'en prendre le commandement. > Les Américains construisirent les routes et ponts inexistant avant leurs arrivées. > Le personnel des usines de d'extraction et de traitement du nickel quittèrent en partie leurs emplois et travaillèrent pour l'Armée US car très bien payés. > Quand les hommes du Bataillon du Pacifique (Polynésiens et Nouvelle Calédonie) revinrent (en 1946 car pas de bateau pour les ramener) sur l'ile avec une maigre solde, ils furent stupéfiés du changement et du niveau de vie. > Quand les américains repartirent en 1945 et 1946, les forces US ne pouvaient pas tout ramener le matériel , et laissèrent Jeep ( et camions ainsi que divers matériels). Le général de Gaulle, assez ulcéré du comportement "Américain" des habitants de l'ile, fit mettre dans le lagon tous ce matériel au nom que cela pouvait nuire au développement et la reprise du travail !!! Et il vint seulement 10 ans plus tard en visite !!! > C'est le contingent Néo-Zélandais qui eut les pertes les plus importantes dans cette zone Pacifique et l'ile de la Nouvelle Calédonie entretien l'immense cimetière (magnifique) des combattants tombés de cette Nation. Janmary
  17. Janmary

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  18. En effet Rob 1. Il est établi que les Britanniques sont des spécialistes du combat en jungle. Concernant le CLI, le 5° RIC, les Marsouins, il existe 4 fascicule édités par les éditions Heimdal, 39-45 magazine, en photos, avec texte, évoquant les combats avec le général Leclerc et la 2° DB et le "Punch" commandant Ponchardier, et écrit par René Bail et Jean-Pierre Bernier.. > Indochine 1945-1954 1 - La reconquête (225 photos) > Indochine 1945-1954 2- Haïphong - Hanoï > Indochine 1945-1954 3 - La guerre > Indochine 1945-1954 4 - Le tournant
  19. Quand on évoque la guerre dans la jungle, nous pensons bien sur aux "Chindits" mis sur pied par le général Orde Wingate sur le front Birman, un original ayant pratiqué avec succès la guérilla avec les colons Juifs de Palestine contre les Arabes (déjà !) et la guérilla contre les Italiens en Éthiopie qui se termina par la capitulation de ces derniers. Il mis au point diverses techniques dont la pénétration en profondeur ravitaillé par avions de transport pour toute la logistique.Il détruisit les arrières Japonais (source Japonaise des généraux Nippons). Bien sur, il fut particulièrement critiqué par sa hiérarchie, qui ne voulait pas entendre parler de lui tout comme Sterling en Libye avec la création du SAS ou Spécial Air Service mais il fut soutenu par Churchill lui même et le général Wawell qui venait d'être nommé Vice-Roi des Indes. Il mourut prématurément dans un accident d'avion sans voir le résultat de son offensive. Il faut savoir qu'il fut créés des aérodromes avec des avions de combats et de transports dans les zones (bastions) tenus par les unités "Chindits" arrivés massivement par planeurs et qui pouvaient plier bagage pour aller s'implanter ailleurs. Un Biên Biên Phû mobile.en sorte. On comprend que sa hiérarchie le pris pour un fou ! Les Britanniques avaient également mis sur pied la Force 136 qui exécuta des opérations de destructions dans des territoires tenus par les forces Japonaises tel Bornéo, etc. Après la guerre, ce fut la Malaisie pour les Britanniques, l’Indochine pour les Français, etc. Les ouvrages Britannique et Japonais sur ce type de conflit sont passionnant.
  20. Janmary

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  21. D’après OPEX360 http://www.opex360.com/2010/04/04/combien-de-victoires-pour-la-chasse-francaise-en-1939-40/ Citation = (Voir le tableau des victoires aériennes des principaux groupes de chasse Français).. Entre septembre 1939 et juin 1940, l’aviation française ont obtenu 1.000 victoires aériennes contre la Luftwaffe, c’est à dire que les pilotes de l’armée de l’Air et de l’aéronavale ont abattu un millier d’avions allemands. Tel est le bilan généralement avancé. Cependant, ce nombre est contesté. Selon le blog Secret Défense, qui reprend une étude d’Arnaud Gillet publiée dans le dernier numéro de la revue Aero Journal, les ailes françaises auraient remporté seulement 355 victoires aériennes, du moins seulement en mai-juin 1940, c’est à dire pendant l’offensive allemande qui se soldera par une déroute française. « On est loin du mythe des 1.000 victoires » écrit ainsi Arnaud Gillet, spécialiste de la question, déjà auteur d’une somme en trois volumes intitulée « Les victoires de l’armée de chasse française » pendant la bataille de France. Secret Défense estime que l’étude d’Arnaud Gillet, qui confirme celle d’un autre historien, Patrick Facon, met « sans doute un point final à la légende forgée dès le lendemain de la bataille ». Débat clos? Du moins il ne l’était pas encore en 2006 pour l’excellent site Aerostories si l’on en juge par son compte-rendu de la « trilogie » d’Arnaud Gillet précédemment citée, et dans laquelle l’historien établissait le « bilan le plus cru possible des victoires françaises en les confrontant aux statistiques des pertes allemandes ». « L’excellent travail d’Arnaud Gillet est désormais à prendre en compte très sérieusement dans ce débat (sur le rôle de l’armée de l’Air en 1940, ndlr) nécessairement assorti de polémique », écrit Aerostories. En fait, cette question sur le nombre de victoires des ailes françaises en 1940 et plus complexe qu’il n’y paraît. D’autant plus que différents auteurs se contredisent… Sergent-chef et pilote au Groupe de chasse (GC) 2/5 le 10 mai, Jean Gisclon s’est penché sur ce sujet qu’il connaît donc bien et a même publié un livre qui, semble-t-il, fait autorité puisqu’il a été récompensé du titre de « meilleur document d’histoire » par l’Aéroclub de France en 1990. Et l’intitulé de cet ouvrage veut tout dire : « Les milles victoires de la chasse française » (Editions France Empire). Pour donner quelques précisions supplémentaires, Jean Gisclon, qui nous a quittés en janvier 2009, a terminé sa carrière militaire en 1960 avec le grade de colonel pour se lancer dans le journalisme. Officier de la Légion d’honneur, décoré de l’Air Medal et de la Médaille de l’aéronautique, il a effectué 300 missions de guerre sur la période 1939-45 et remporté 6 victoires aériennes. Ainsi, dans son livre, Jean Gisclon donne le chiffre de 1.003 victoires obtenues par la chasse française. Cependant, il ne précise pas si ces dernières sont homologuées ou non. En revanche, en annexe, il dresse le panorama de ces succès par groupes de chasse, le plus « efficace » ayant été le GC 1/5, avec 111 avions allemands envoyés « au tapis » (voir tableau) et donne la liste des tués pour chaque unité, avec des précisions concernant les circonstances. Enfin, et d’après des informations données par le magazine Der Spiegel en 1967, Jean Gisclon affirme que la Luftwaffe a perdu 1471 appareils, dont 535 Messerchmitt 109, 195 Messerchmitt 110, 412 bombardiers (Heinkel III, Junker97 « Stuka », etc…) et 329 avions de reconnaissance et de transport. D’où les interrogations que l’on est en droit de se poser. Car la différence entre 1003 et 355 est énorme, même si Jean Gisclon prend en compte la période de la « Drôle de guerre »… Reste qu’au-delà de cette polémique (si polémique il doit y avoir!), cela n’enlèvera rien au courage de nos aviateurs, qui ont fait le mieux qu’ils ont pu avec leurs Curtiss et Morane-Saulnier… En savoir plus sur http://www.opex360.com/2010/04/04/combien-de-victoires-pour-la-chasse-francaise-en-1939-40/#KufPTzvA1DFemFXb.99
  22. Est-on sur que l'idée de coup de faucille soit de Manstein ? Il me semble qu'il n'y na pas beaucoup de témoignage direct. Oui Shorr Kan. > Ce fut dit au Procès de Nuremberg d’après les documents de la Chancellerie et les dépositions de Keitel et de Jold d'une part, et d'autre part confirmé par un ouvrage récent écrit par Pierre Servent (colonel de réserve, historien militaire, à enseigné durant vingt ans à l'école de guerre).. Von Manstein, le stratège du III° Reich - Chez Perrin (2013) > Le colonel Von Manstein avait écrit plusieurs notes à l'intention de l’État-major (de Keitel et de Jold) qui furent mises au panier. Il fallut que Von Manstein soit présenté à Hitler lors d'une nouvelle affectation pour que ce dernier présente de nouveau "son plan". Hitler en ut étonné et repris le plan à son compte. Von Manstein s'était entretenu au préalable avec le général Guderian (père de l'arme blindée allemande) pour connaitre la faisabilité des blindés dans les Ardennes. "Il faut reconnaitre que la manœuvre stratégique des Ardennes proposé par le général Manstein était brillante et réalisée - entre autre - par le général Guderian ("père" des de l'arme blindée Allemande) fut parfaitement bien exécutée. " (Janmary) Si on regarde clairement, elle était fondamentalement stupide (et c'est bien pour ça qu'elle a réussi). Elle a pu réussir uniquement parce que justement personne n'y a vraiment cru et que TOUT s'est correctement articulé pour les allemands. Un coup de bol répété et monstrueux. > Quel argumentaire !! C'est stupide et c'est un coup de bol ! La lecture des mémoires de nombres de généraux considèrent au contraire que ce fut une manœuvre géniale appelé "Coup de faux". Von Manstein devint Maréchal (ce n'est pas pour rien) avec des manœuvres remarquables en Union Soviétique après Stalingrad. Manœuvre qui furent étudiées par l'OTAN avec son assistance dans le cadre de la mise sur pied de la défense des pays occidentaux 'en particulier Allemande intégrant le développement d'un nouveau char de combat (le Léopard I puis le Léopard II) basé sur l'expérience des combats de 1941-1945 > Bon courage à toi Gibbs le Cajun.
  23. D’après Pierre Clostermann - qui fut premier chasseur de France de la Seconde Guerre Mondiale après avoir servi dans la France Libre au sein de diverses escadrilles Française ou Britannique au sein de la R.A.F - écrivit que l'on doit 1.000 victoires aériennes à la chasse Française en 1940. Ces victoires ont donc pesées lourdement sur la Bataille d'Angleterre au détriment de l'offensive aérienne Allemande sur la Grande-Bretagne. Il est certain qu'il vaut mieux ne pas évoquer l'exode civils et militaires soumis a la guerre éclair nazie et au bombardement par les stukas en piqués mitraillant les colonnes de réfugiés pour semer terreur et confusions. Ce fut réussi et les voitures portaient des matelas sur les toits contre les balles de mitrailleuses. Mon père se souvient d'un militaire, sous une telle attaque, "caché" sous les arbres, le casque à la main et qui tremblait, tremblait au point de croire à des convulsions (j'ai vu une scène similaire en Algérie après une attaque aérienne un peu trop prêt de mon régiment). D’après une unité Polonaise combattante en France (repliée de leur pays après la défaite) qui battaient en retraite, avec des unités Française, était exaspérée de l'attitude de certaines de ces dernières avec leur "litre de vin rouge" et du refus ne pas défendre des positions de peur des exactions Allemande contre des villages. Cela à masqué des actes de courage et de bravoure tel la défense des lignes au sortir de la forêt des Ardennes matraqués par l'aviation et l'artillerie Allemande et la contre-attaque du régiment de blindés du colonel de Gaulle sans compter la défense de Dunkerque permettant le repli des soldats Britanniques. Le probleme Français, c'est que la profondeur du champs de bataille Ardenne - Mer du Nord qui était de 250 km alors que la Grande-Bretagne était séparé du continent par la Manche et l'Union Soviétique avait la profondeur (avec une partie de la Pologne) de plus de mille kilomètres pouvant aller jusqu'à l'Oural. Il faut reconnaitre que la manœuvre stratégique des Ardennes proposé par le général Manstein était brillante et réalisée - entre autre - par le général Guderian ("père" des de l'arme blindée Allemande) fut parfaitement bien exécutée. Manœuvre osée ou même Hitler stoppa ses unités blindés devant Dunkerque permettant aux Britanniques de rembarquer. Faute fondamentale (il y en a eu d'autres). Heureusement pour la Grande-Bretagne et nous même.
  24. Janmary

    Hermann Goering

    Un ouvrage récent sur la question = Korruption ! Au cœur du système nazi Par Frank Bajohr (Historien qui dirige le Centre des Études sur l'Holocauste à l'Institut d'Histoire Contemporaine de Munich). Chez Flammarion "Au fil de l'histoire" 2017 (Édition Allemande d'origine 2001).
  25. Janmary

    Hermann Goering

    Shorr Kan "On a fait dire aussi à Churchill "qu'on a tué le mauvais cochon", mais c'est probablement apocryphe comme propos" Il faut reconnaitre que Churchill fut un fougueux dans ses déclarations et dans ces décisions avec des idées parfois farfelues. Mais il fut le Lion qui incarna la résistance Britannique. Et la Brande-Bretagne tint bon, seul contre l'Allemagne Hitlérienne et l'Italie fasciste. Sa première erreur fut sans doute - dès le début de l'agression contre l'URSS - d'affirmer et de proposer toute l'aide possible de la Grande-Bretagne à l'Union Soviétique. Fini le pays anti-Christ et communiste tant décrié ! Il ne négocia pas l'aide à apporter tel l'engagement de l'URSS à ne pas occuper les territoires Finlandais, les 3 pays Baltes, la Bessarabie Roumaine, etc. Ce qui permis à Staline de demander et d'exiger un Second Front de la part des Alliés en 1942, 1943 et 1944. Lors de la découverte du charnier de Katyn (ou avait été exécuter tout les officiers Polonais par l'Armée Rouge sur ordre de Staline), les Anglo-Américain auraient pu limiter leurs aides (après Stalingrad) au modif de préparer leurs armées, le futur débarquement et de gagner la bataille de l'Atlantique. La crainte de voir un cessez le feu entre Germain et Slave et que l'URSS ne s'engage pas dans le conflit contre le Japon furent l'es éléments pour continuer l'aide à apporter à la patrie de Lénine. C'est au moment de la prise de Berlin que Churchill demanda à son État-major de mettre un plan sur pied contre l'URSS...qui ne fut pas exécuté par manque de réalisme ! Alors dans ce contexte, il est vrai que des responsables nazis puissent envisager ou espérer que les Alliés occidentaux décident une croisade contre l'URSS après celle contre l'Allemagne nazi. Les rapports entre le Président Roosevelt et Staline étaient trop important pour que cela puise être envisagés.
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