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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. herciv

    Le F-35

    J'ai mal lu ou quoi ? Les US envisage de remplacer le f-16 avec truc pas trop cher ? C'était pas le job du f-35 çà ?
  2. Je dois t'avouer que je n'ai pas regarder le détail des manifestans. Je remarque juste qu'il y a du monde dans la rue pour supporter les palestiniens et c'est un fait politique qu'on ne peut pas balayer d'un revers de la main. La paix, donner à l'état palestinien les capacités d'exister, comme par exemple une armée, une frontière infranchissable par les colons, de l'eau, des ports, des aéroports, une ZEE, bref tous les attributs d'un état reconnu par Israël et qui de facto sera dans l'obligation de reconnaitre lui-même Israël.
  3. Je fais des fautes quasiment dans chaque phrase. Il faut quand même reconnaitre que c'est mieux de ne pas en faire et que c'est un handicap dans la vie de tous les jours.
  4. Pour info : Le Figaro Le secrétaire d'État américain Antony Blinken et le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan ont entamé ce lundi à Ankara leur première rencontre depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, selon un journaliste de l'AFP sur place. Antony Blinken est en Turquie pour tenter d'apaiser la colère d'Ankara, l'un des alliés les plus stratégiques mais aussi les plus difficiles de Washington, en pleine guerre à Gaza. Aucune rencontre n'est prévue avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.
  5. Je veux que Bibi arrète de chauffer les musulmans du monde entier contre les israéliens et en conséquence contre les occidentaux. C'est le piège iranien décrit clairement dans l'article que j'ai mis en lien au-dessus. Ne pas comprendre que çà met les US dans une m..rde noire est une vrai erreur stratégique de Bibi. Attaquer un premier hô^pital a déjà provoqué des dégât médiatiques énormes. Attaquer un second serait encore plus mal vécu. C'est inhumain, injustifiable et une erreur stratégique.
  6. Est-ce que le HAMAS sont des salopards et des cons ? Oui c'est sûr. Mais tu sembles justifier par avance le bombardement de cet hôpital alors même que le précédent bombardement d'hôpital a déjà fait des dégâts médiatiquement dans le soutien à Israël. Il faut ouvrir les yeux et arrèter ce massacre au plus vite.
  7. Tes deux points sont contradictoires. Mais je ne vais pas répondre sur cette contradiction. Evidemment que ce conflit est instrumentalisé et c'est donc bien dommage que Bibi mette dans la m.rde son principal allié en ne cherchant pas à temporiser. A l'inverse il fait tout pour montrer son propre mépris des musulmans. Le corallaire est son absence complète de vision stratégique à long terme.
  8. Oui c'est un risque. Mais si tu mets ce risque sur des capacités hors France (Inde ou AS) forcément tu impliques ces gens dans la recherche de prospects. C'est clairement la signification du "club rafale". Le résultat sera forcément de nouvelles ventes. C'est ce qui s'est passé avec le F-35 en Europe. Chaque nouveau client s'est impliqué pour le mettre en avant auprès des prospects.
  9. Cool il faut bombarder les hôpitaux donc au mépris de toutes les lois de la guerre. Surtout il ne faut pas que l'armée Israélienne en laisse un seul debout. Bon après si la haine qu'ont les palestiniens contre les israéleins se propage à d'autre peuples musulmans forcément çà va se tendre un peu pour la survie d'Israël ... Mais çà c'est pas grave on verrra çà plus tard. Il suffira de bombarder les hôpitaux de tous les musulmans du monde. EN fait tout le monde approuve le bombardement des hôpitaux. De toute façon les gens qui parle de çà sont des anti israélien en particulier à l'ONU. D'ailleurs pourquoi en parler ? C'est rien du tout un bombardement d'hôpital. Je ne comprend pas une vision aussi courte d'esprit ... Oui je sais les images de manifestations monstre pour les palestiniens sont des fakes.
  10. Pour moi ce conflit israëlo/palestinien met en lumière le talon d'achille des US qu'est le PO/MO. Très clairement ce talon d'achille est en train d'être mis à contribution pour essouffler les US et leur faire disperser leurs moyens comme L'Ukraine d'ailleurs. Encore un ou deux coups comme çà et la Chine pourra jouer ses cartes.
  11. C'est d'autant plus génant que TRUMP va appuyer ou çà fait mal : pour mener une guerre il faut quelqu'un de fort, comparer à quelqu'un possiblement atteint de alzheimer. Le tableau de cette élection est d'une grande clarté si ce sont ces deux là qui font la course.
  12. Oulà tu n'as rien compris alors. Le petit jeu de l'Iran n'est pas prêt de s'arrèter même après plusieurs frappes US chez eux. Le but de cette période intermédiaire est de mobiliser le monde musulman contre les US et le block occidentale. Dit autrement le but iranien est de fractionner clairement le monde. Tu remarqueras qu'en Indonésie par exemple il y a eu plus de 2 millions de manifestants en faveur des palestiniens. Ce qui est gênant pour les US c'est que de facto ils ne sont pas les maitres du temps. Le timing iranien ne les intéresse pas. Ce qui ne les intéresse pas non plus c'est qu'ils voulaient garder le moyen-orient loin de l'affrontement US/Chine. Clairement cette haine anti-occidentale est en train de monter, alors que les US voulaient maintenir une certaine neutralité de cette population grâce aux accords d'Abraham. Bref ce qui devait rester un affrontement indo pacifique est en train de faire tache d'huile et possiblement les US sont en train de perdre le contrôle parce qu'ils ne pourront pas tenir plusieurs front à la fois (Ukraine, MO et Indopac) c'est trop pour eux. Le budget US est déjà bien trop en limite de rupture d'autant que les principaux acheteurs actuels de dettes US ne seront pas dans le bon camp.
  13. A mon avis excellent article de the conversation : Comment l’Iran mobilise son « Axe de la Résistance » face à Israël Publié: 30 octobre 2023, 20:08 CET auteur Hussein Abou Saleh Docteur associé au Centre d'études et de recherches internationales (CERI), Sciences Po L’attaque dévastatrice du Hamas le 7 octobre a changé la donne au Moyen-Orient. Le dossier israélo-palestinien, relégué au second plan depuis au moins une dizaine d’années, est brutalement revenu au cœur de la géopolitique régionale. Alors que la guerre en cours entre le Hamas et Israël enhardit les mandataires de l’Iran dans la région, tous les acteurs impliqués (étatiques ou non étatiques) manœuvrent dans un jeu de pouvoir très complexe qui peut conduire à une guerre régionale à part entière ; mais un tel scénario peut être évité par une fin négociée. Vers une « unité des fronts » Nous sommes entrés en territoire inconnu, car les objectifs politiques et militaires israéliens n’ont pas été définis de façon claire, ce qui rend cette guerre de vengeance différente de toutes les opérations israéliennes précédentes contre le Hamas, que ce soit en termes de durée, d’objectifs ou de nombre de victimes des deux côtés. La rhétorique des responsables israéliens, dont certains ont nié l’existence de civils innocents à Gaza, comme l’a fait le président de l’État hébreu, a oscillé entre une position maximaliste et minimaliste, allant de l’appel à une occupation totale de Gaza malgré les avertissements du président américain à la création d’une zone tampon et à la « simple » destruction de l’infrastructure du Hamas. Le 7 octobre, au moment où le Hamas déclenchait son opération sans précédent, Mohammed Deif, le commandant militaire de sa branche armée a appelé tous les Arabes et musulmans et, spécialement, l’Iran et les États et organisations qu’il domine, à se lancer dans une guerre totale contre Israël. Il a cité, dans cet ordre, le Hezbollah libanais, l’Iran, le Yémen, les milices chiites irakiennes et la Syrie. Il a proclamé ce jour comme « celui où votre résistance contre Israël converge avec la nôtre », dans ce que l’on appelle « l’unité des fronts », qui est une stratégie de dissuasion initiée par le Hezbollah. Cette stratégie de dissuasion consiste à coordonner, politiquement et militairement, les réponses de toutes les milices mandataires de l’Iran dans la région et à se rassembler pour se soutenir mutuellement si l’une d’entre elles est attaquée. La multiplicité des fronts dominés par les milices par procuration de l’Iran peut dissuader les adversaires de Téhéran de passer à l’action… ou au contraire accélérer la descente de la région dans un chaos total. Tensions majeures à la frontière libanaise Après le 7 octobre, la situation sécuritaire s’est rapidement détériorée à la frontière libanaise d’Israël, du fait d’escarmouches de plus en plus intenses entre Tsahal et le Hezbollah. De plus, deux nouveaux éléments intéressants sont apparus sur le front libanais. Pour la première fois depuis la fin de la guerre civile, nous avons assisté à la réémergence « temporaire » des forces Al-Fajr, la branche militaire de la Jamaa Islamiya. Cette milice libanaise islamiste sunnite, qui a été dissoute en 1990, a annoncé qu’elle participait aux hostilités au-delà des frontières libanaises israéliennes « en défense de la souveraineté libanaise, de la mosquée Al Aqsa et en solidarité avec Gaza et la Palestine ». Le 29 octobre, elle a lancé des missiles depuis le Liban vers Kiryat Shmona, dans le nord d’Israël. Cette milice combat de façon quasi-indépendante du Hezbollah (même s’il existe une coordination militaire entre les deux organisations). En outre, le Hamas et le Jihad islamique palestinien au Liban ont publié des communiqués assumant l’entière responsabilité de plusieurs attaques contre Israël. Ils ont lancé ces attaques depuis les territoires libanais, rappelant les années où le sud du Liban était dominé par les activités militaires de l’OLP palestinienne (à partir de 1969), au point d’être surnommé « Fatah Land ». Leur participation aux hostilités est encore limitée, mais elle est importante en termes symbolique. Il est clair que le Hezbollah coordonne les activités de toutes les milices opérant à la frontière libanaise pour envoyer un message clair : la zone est ouverte à toutes les factions islamistes et non islamistes, invitées à se joindre, même symboliquement, à la lutte contre Israël dans le but d’exprimer leur solidarité avec Gaza. En d’autres termes, le Hezbollah déclare que ce combat n’est pas sectaire, mais qu’il unit les musulmans et concerne tous les Arabes et les musulmans. Ce message d’unité musulmane contre Israël intervient après des années de sectarisation du Moyen-Orient. Le Hezbollah n’a mené que des attaques limitées contre Israël depuis la fin de la guerre israélo-libanaise de 2006, et est intervenu militairement en Syrie pour appuyer le régime de Damas, combattant alors dans le camp opposé au Hamas, lequel s’était porté au soutien du camp anti-Assad. Cette prise de position avait valu au Hezbollah de devenir très impopulaire aux yeux des populations sunnites de la région. En se joignant à la lutte contre Israël, le Hezbollah se réaffirme aux yeux de l’ensemble des Arabes de la région non pas en tant qu’acteur sectaire, mais plutôt en tant que groupe révolutionnaire islamique qui vise à mettre fin à l’arrogance israélienne. Ce recadrage correspond à l’image qu’il se faisait de lui-même. Le Hezbollah se considère en effet comme un modèle pour le Hamas et d’autres forces islamiques qui luttent contre Israël. Malgré leurs divergences sur la guerre en Syrie, ils ont restauré leurs relations en août 2007 et les hauts commandants du Hamas, comme Ismaël Haniyeh (le chef du bureau politique du Hamas) et Yahia Sinwar (chef du bureau politique du Hamas à Gaza), ont publiquement remercié l’Iran pour son aide précieuse en matière de financement, de logistique et d’approvisionnement en armes. Le rôle des Houthis du Yémen L’attaque du Hamas est survenue à un moment au Moyen-Orient où les États-Unis ont tenté d’étendre les accords de paix d’Abraham (qui ont permis ces dernières années, un rapprochement entre Israël et plusieurs États arabes, sous la férule de Washington) à l’Arabie saoudite. Ces accords, qui visent à établir les bases d’une nouvelle architecture de sécurité au Moyen-Orient afin d’assurer une meilleure sécurité régionale aux alliés des États-Unis, sont désormais menacés, et la normalisation entre Israël et Riyad semble à présent une perspective fort improbable. L’échec annoncé de ce réchauffement est d’autant plus dommageable pour Washington que les Chinois ont, il y a quelques mois, enregistré un succès diplomatique majeur en négociant une détente entre l’Arabie saoudite et l’Iran, après de longues années de soutien de Téhéran aux milices yéménites houthies qui combattaient l’Arabie saoudite au Yémen. Dans le cadre de ce rapprochement entre Riyad et Téhéran, des pourparlers se sont tenus entre les houthis et les Saoudiens pour soutenir le processus de paix au Yémen. Les Houthis sont une autre partie de l’axe iranien dans la région. Leur ascension en tant qu’acteur politique et militaire yéménite les a enhardis. Ils ont déclaré qu’ils étaient prêts à se joindre au Hamas dans une guerre totale contre Israël pour défendre Gaza et la mosquée Al-Aqsa. En guise de démonstration de force, ils ont lancé le 19 octobre trois missiles de croisière et des drones qui ont été interceptés par un destroyer américain en mer Rouge. Selon les États-Unis, ces missiles se dirigeaient « potentiellement vers Israël ». L’attaque est en soi symbolique, mais elle envoie un message politique fort qui réaffirme la primauté stratégique des liens des Houthis avec « l’Axe de la résistance » soutenu par l’Iran et signale la volonté de la milice de s’engager militairement dans des guerres ou des tensions régionalisées ou internationalisées. Cela a été clairement défini dans le discours de leur chef. Les Houthis disposent d’un formidable arsenal de missiles à longue portée qui seraient capables de frapper Israël. Tous ont été soit saisis à l’État yéménite en 2014, soit acheminés par l’Iran. Les attaques de missiles lancées par les Houthis ont coïncidé avec d’autres attaques menées par des milices chiites soutenues par l’Iran, visant des bases américaines et des garnisons accueillant des soldats américains en Irak et en Syrie. L’Iran a stratégiquement externalisé le risque de confrontation directe avec les États-Unis et Israël via son Axe de la Résistance : quand de telles attaques ont lieu, sa responsabilité n’est pas directement engagée. Ce positionnement accroît son influence dans les négociations directes et indirectes ainsi que son influence régionale. Une guerre totale est-elle possible ? Pour conclure, tous les acteurs semblent marcher sur une corde suspendue au-dessus du cratère d’un volcan. Ils attendent tous d’en savoir plus sur les objectifs politiques et militaires de la guerre israélienne à Gaza et de pouvoir évaluer les capacités de résistance du Hamas à l’attaque dont il fait l’objet. Si l’armée israélienne enregistre des pertes importantes, la position stratégique de l’axe soutenu par l’Iran s’améliorera, sans frais pour Téhéran mais à un coût terrible pour la population de Gaza et à Hamas. Mais que se passerait-il si Israël menaçait l’existence même du Hamas après une invasion terrestre ? Les intenses escarmouches aux frontières libanaises d’Israël se transformeraient-elles alors en une guerre à part entière ? L’Iran se joindrait-il aux hostilités ? Et si Israël se sentait renforcé par le soutien inconditionnel de l’Occident à son droit à se défendre et considérait cette solidarité comme un blanc-seing pour frapper l’Iran, dont l’ambition nucléaire effraie les responsables de l’État hébreu ? Dans un tel cas de figure, et face à la riposte de Téhéran, les États-Unis utiliseront-ils leurs destroyers dans la région de la Méditerranée orientale pour attaquer l’Iran et défendre Israël ? À ce stade, impossible d’apporter de réponse tranchée à toutes ces questions. Nous pouvons seulement constater que la région semble se diriger vers une nouvelle phase où la sectarisation des politiques étrangères des acteurs régionaux sera reléguée au second plan, la détente entre l’Iran et l’Arabie saoudite se consolidera, la question palestinienne s’imposera pour longtemps au premier plan, et les milices mandataires iraniennes s’affirmeront de plus en plus.
  14. https://www.lalettre.fr/fr/entreprises_defense-et-aeronautique/2023/10/02/dassault-prospecte-des-fournisseurs-pour-son-futur-avion-spatial,110060237-art Dassault Aviation souhaite aller vite sur le développement de son projet d'avion spatial. Des discussions sont en cours avec plusieurs industriels du "new space", y compris outre-Atlantique, pour assurer la propulsion du futur appareil. [...]
  15. ON va le garder mais il va probablement être dupliqué C"est la stratégie de LM pour mettre l"industrie d,'un pays derrière elle. C'est aussi une stratégie qui permet d'éviter une rupture sur une pièce, une compétence, à cause d'une guerre par exemple. Tu sécurise donc tes clients. D'autre part de cette manière on met dans la même galère que nous tout un tas de pays qui auront des intérêts convergents. Tous ces pays deviennent donc des apporteurs d'affaires et là clairement cà ouvre le champ des possibles à tous les non alignés ce que ne pourront pas faire ni US ni les chinois. De ce point de vue le SCAF est plutôt un piège... Mais bon c'est un autre sujet. Si Dassault veut rester le centre de ce mouvement il faut absolument montrer des signes de bonne volonté. Il faut aussi qu'ils continuent à avoir un train d'avance sur par exemple HAL ou tout autre industriel de ce club. Plus globalement ce mouvement est précurseur d'un très vaste mouvement stratégique qui va structurer les 80 prochaines années comme dit Biden. Dassault doit agir en ayant en tête que LM est au centre d'un bloc et que cette place là n'est pas pour nous.
  16. herciv

    US Air Force

    Donc on est d'accord alors.
  17. De toute façon il va falloir que dassault continu sa montée en charge pour je pense chercher les 6 rafale/ mois. Pour plein de raisons je pense que l'assemblage hors France de deux ou trois rafales par mois est à considérer de prêt. Ne serait-ce que pour limiter le risque de rupture d'une des chaînes.
  18. herciv

    US Air Force

    Mais évidemment. Ca s'appelle du transport stratégique. Mais ça ne veut pas dire que le casa n'a aucun avantage sur le C5.
  19. Je ne sais pas si je refais l'histoire mais j'ai un peu l'impression que le tempest s'est monté sans les allemands qui sont alors venu nous voir. Ensuite les brits sont allés voir les japonais réduisant de facto le workshare que les allemands auraient obtenu en lâchant du lest pour les saouls. Les anglais se sont eux-mêmes savonner la planche. Bref pour moi le typhoon c'est mort pour les saouls. Mais la contre partie c'est que les allemands ne sortiront pas du scaf ...
  20. Tactique du salami chère aux chinois. On redecoupe une tranche plus bas.
  21. J'imagines que çà a été tournée le 07/10 :
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