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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Ce qui est très embèttant avec ces drones c'est qu'ils sont très simples à fabriquer et correspondent bien à la doctrine de rusticité russe. Donc leur emploi pourrait vraiment être gènant.
  2. Si il y en a qui ont des info sur ce drone iranien il semble pas sympa dutout. Sa portée serait une info des plus intéressantes. volley fire Si moins de 20 km, çà ira pour nos CAESAR, Si entre 20 et 60 km ça va être chaud pour les CAESAR surtout si cette munition est associé à un drone rodeur Entre 60 et 80 c'est les HIMARS qui vont souffrir parce que ils tirent de plus loin mais sont très très visible de loin.
  3. Non j'y crois pas plus que toi. Par contre autour de 100 km çà serait déjà un truc vicieux. J'espère qu'on est dans les 10 ou 20 km max. Ils appellent çà "volley fire" https://www.forbes.com/sites/davidhambling/2022/07/15/what-drones-is-iran-supplying-to-russia-and-what-impact-will-they-have-in-ukraine/?sh=2c01f5360fa6 Catalogue de drone iranien de oryx https://www.oryxspioenkop.com/2019/09/the-oryx-handbook-of-iranian-drones.html?fbclid=IwAR1ZQ4_KgYE2JPk9J4NMsve0AtxSLFaJfgcU9SqkTDXQX2l6Z_78PHRAmKI Ca ressemble à çà non ? Wa'aed https://postimg.cc/cgzGgWrK
  4. C'est quoi la C'est quoi la portée de ce machin ? parce que associé avec un drone espion les CAESAR vont pas être à la fète si ils sont dans son rayon d'action.
  5. On ne peut pas dire que les africains soient très sensible au sort des ukrainiens :
  6. Ouaip mais à mettre en relation avec l'accident de parapluie quand même. Rustique mais çà fait de gros trous :
  7. Et puis apparemment ce n'est pas la première fois que la position de tir est utilisée. Avertissement sans frais pour les artilleurs Ukrainiens. Je pense aussi.
  8. J'espère qu'ils restent suffisamment loin du front. Mais çà veut dire qu'ils sont quand même à portée de drone rodeur et qu'une fois repéré il suffit de les suivre ... J'espère que les drones iraniens sont détectables plus facilement.
  9. Vers 00:13 il y a un objet qui traverse une partie de l'image en venant du bas. Ca peut être quoi ? Laissez tomber c'est le pointeur de la sourie
  10. Je vais sûrement vite en besogne mais çà va forcer les chinois à pencher d'un côté de la balance peut-être plus vite que prévu.
  11. effectif, matériel et profondeur de stock ... Parce que le stock il va en prendre un sacré coup avec autant de moyen réengagé. D'ailleur je comprend pas d'où vient autant de stock ? ... De la simplicité (absence de technologie) à fabriquer ?
  12. En matière de débarquement voilà un précédant qui a fait date dans la manière de les préparer : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_Dardanelles Odessa a largement eu le temps de se préparer à un tel débarquement donc un assaut contre cette ville qui ne viendrait que de la mer serait probablement un échec. Si les russes veulent prendre Odessa çà sera probablement un assaut combiné de trois côtés précédé par un matraquage d'artillerie comme les russes ont l'habitude de faire. Et vu les fleuves qui séparent Odessa de Mykoliaev c'est pas demain la veille que cette attaque se fera. Moi je crois que le rapport 1 à 3 entre une défense et une attaque joue à fond et des deux côtés. Si les Ukrainiens veulent passer à l'offensive ils vont devoir avoir une densité de feu autrement plus importante que maintenant. Attaquer 3 à 4 dépôts russes par jour reste une tactique intéressante qui a poussé une réorganisation russe mais qui pour l'instant ne les a pas fait reculer. Ensuite moi je me demande si la stratégie russe n'est pas de consommer le potentiel humain et matériel des Ukrainiens. Pa exemple on voit d'après le compte-rendu russe que ce sont toujours les quelques mêmes unités russes qui prennent le freu jusqu'à ce qu'elle soient reculées. Avec une telle stratégie les russes ont moins besoin d'avancer. Et puis je pense toujours à l'hiver qui arrive. Si Kramatorsk et Sloviansk sont prises avant l'hiver c'est les Ukrainiens qui vont être à la peine. A l'est Ils n'auront pas beaucoup de villes sur lesquelles s'appuyer pour lancer des offensives ce qui laissera largement le temps aux russes de se retrancher avant une une éventuelle offensive de Printemps russe ou ukrainienne. Cet automne et cet hiver Il est clair que Kherson prendra le max de l'effort Ukrainien à ce moment, les Ukrainiens pouvant s'appuyer sur KRYVI RIH et Mikolaiev. A l'inverse si SOLVIANSK et KRAMATORSK sont prises et que KHERSON reste russe l'effort russe pourraient être reporté sur KRYVI RIH et Mikolaiev. A partir de combien de mois tu estimeras avoir sous estimés les capacités russes, notamment sa résilience, sa capacité à durer ? J'essaye depuis plusieurs semaine de faire comprendre que c'est autour de cette résilience que les russes ont bâti leur armée. Moi je le vois sur leur logistique mais j'imagine que c'est visible dans d'autres domaines. A l'inverse les armées occidentales cherchent à dominer dès le départ grâce à l'avance technologique. Ce sont deux conceptions qui s'affrontent. Tu veux absolument vendre la peau de l'ours dès maintenant. A la limite pourquoi pas. Moi je vais prendre le temps d'observer avant de décider si un camp est décidément mal barré. Mais moi je trouve que c'est trop tôt car on ne sait pas à quoi est vraiment dû l'absence d'avancées sur le front actuellement. Est-ce un équilibre des moyens défensifs contre offensifs, est-ce un moyen pour les russes de carboniser les moyens ukrainiens dans un périmètre restreint. Certains commentateurs remarquaient que le nombre des pertes russes avait bien baissé depuis le début du conflit grâce à leur utilisation de l'artillerie. Dans leur doctrine depuis au moins la seconde guerre mondiale l'artillerie permet surtout de réduire le potentiel de l'ennemie quitte à mettre plusieurs centaines d'obus pour tuer un seul PAX. Reste que 20000 obus 200 mort on peut quand même questionner ces chiffres.
  13. Elle a été précédé par elle https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_Aigle qui était au Prytanée juste une année après moi.
  14. Il n'y a pas eu d'erreur. Les US à l'époque voulaient denucléariser tous les pays autre que la Russie. La démarche était à l'époque la non prolifération. https://www.liberation.fr/checknews/la-russie-setait-elle-engagee-a-respecter-lintegrite-territoriale-de-lukraine-via-le-memorandum-de-budapest-20220311_J3VSFRN2MFHDNKT3YOIU5SUUSM/ La Russie s’était-elle engagée à respecter l’intégrité territoriale de l’Ukraine via le Mémorandum de Budapest? Guerre entre l'Ukraine et la Russiedossier Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a fait de nombreuses références à l’accord signé avec la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis le 5 décembre 1994 qui devait garantir l’intégrité territoriale de son pays. Réunion ministérielle du Mémorandum de Budapest à la résidence de l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris, en mars 2014. (kevin lamarque/REUTERS) par Emma Donada publié le 11 mars 2022 à 11h54 Question posée par Didier, le 2 mars. Les derniers jours avant l’invasion russe en Ukraine, rassemblant les derniers espoirs de trouver une sortie diplomatique, le président Volodymyr Zelensky a sollicité à plusieurs reprises de l’aide des pays occidentaux en invoquant le Mémorandum de Budapest, un accord signé le 5 décembre 1994 entre l’Ukraine, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, puis par la Chine et la France. Le 4 mars, «au neuvième jour de la guerre», le ton du chef d’Etat est bien différent. Dans un discours filmé, il a vivement dénoncé le refus de l’Otan de créer une zone d’exclusion aérienne. «Tout ce que l’Alliance a réussi à faire jusqu’à présent, c’est de transporter cinquante tonnes de carburant diesel pour l’Ukraine par le biais de son système d’approvisionnement. Probablement pour que nous puissions brûler le Mémorandum de Budapest. Pour qu’il brûle mieux. Mais il est déjà brûlé pour nous. Sous le feu des troupes russes», s’est-il indigné. Contexte de dénucléarisation Dans ce traité, «la Russie, ainsi que le Royaume-Uni et les Etats-Unis, ont réaffirmé leur engagement envers l’Ukraine, de respecter son indépendance, sa souveraineté et ses frontières existantes. Dans le Mémorandum, la Russie a également réaffirmé son devoir de s’abstenir de recourir à la menace ou à l’usage de la force contre l’Ukraine, et s’est engagée à ce qu’aucune arme russe ne soit jamais utilisée contre l’Ukraine, sauf en cas de légitime défense ou autrement, conformément à la charte des Nations unies», résume l’expert en droit international, Thomas D. Grant. CheckNews Est-il vrai qu’on peut écouter les communications de l’armée russe en Ukraine? CheckNews 9 mars 2022 En contrepartie, l’Ukraine avait renoncé aux armes nucléaires, héritages de l’Union soviétique, présentes sur son territoire. La spécialiste de la Russie, Anne de Tinguy, professeure émérite à l’Inalco et chercheur au CERI-Sciences-Po, contactée par CheckNews explique que la signature du Mémorandum s’inscrit dans un contexte de dénucléarisation après l’effondrement de l’URSS. «Des armes nucléaires stratégiques de grande portée étaient stationnées sur le territoire de l’Ukraine, du Kazakhstan et de la Biélorussie. En décembre 1991, au moment de l’effondrement de l’URSS, les Etats-Unis ont reconnu la Russie comme Etat nucléaire, en se déclarant prêts à accorder une aide aux autres Etats issus de l’URSS à condition qu’ils acceptent le statut d’Etat non-nucléaire : l’Ukraine, le Kazakhstan et la Biélorussie devaient donc transférer à la Russie leurs têtes nucléaires et adhérer au traité de non-prolifération», explique-t-elle. Dans ce contexte et alors que, à l’exception de la Russie, les Etats issus de l’ex URSS font face à un relatif désintérêt de la part des grands pays occidentaux, l’Ukraine estime que «le nucléaire pouvait être un instrument politique». Le pays «a donc demandé à participer aux négociations russo-américaine sur la réduction des armes nucléaires, à recevoir une aide le transfert du matériel contre une aide économique et financière en échange du transfert des armes qui étaient sur son sol et surtout à bénéficier de garanties en matière de sécurité», explique Anne de Tinguy qui insiste sur le fait que «l’Ukraine n’avait pas pour objectif de devenir une puissance nucléaire». «Concrètement, les garanties étaient limitées» Qu’était-il prévu en cas de non-respect de l’accord par l’une des parties ? «Le Mémorandum avait une portée politique très importante, mais il avait un point faible : les garanties en matière de sécurité n’avaient pas de force obligatoire», estime Anne de Tinguy. Le texte «ne prévoyait pas de mesure de rétorsion en cas de violation par l’une des parties des engagements pris ; il prévoyait des consultations entre les pays signataires et un recours au Conseil de sécurité des Nations Unies», explique-t-elle. «C’est très bien, mais concrètement les garanties étaient limitées», observe l’historienne. Pour Thomas D. Grant, une intervention militaire reste toutefois théoriquement possible sur les fondements du Mémorandum puisque l’accord engage les parties à respecter «la souveraineté et l’indépendance de l’Ukraine à l’intérieur des frontières existantes». Toujours est-il que «ce Mémorandum est un mauvais souvenir pour les Ukrainiens», explique de son côté Anne de Tinguy car «ils ont respecté les engagements qu’ils avaient pris alors que la Russie n’a pas tenu les siens et que les autres signataires n’ont pas pu la contraindre à les respecter». «La conclusion qu’ils en tirent est que la neutralité n’est pas une voie qui leur permettrait d’assurer leur sécurité. Vladimir Poutine a comme objectif explicite une démilitarisation de l’Ukraine. Pour les Ukrainiens, démilitarisation et neutralité signifieraient qu’ils seraient complètement à la merci de leur voisin russe», analyse Anne de Tinguy qui ajoute que le statut de pays «hors bloc» qu’a eu l’Ukraine entre 2010 et 2014 «n’a pas empêché» l’annexion de la Crimée en 2014 et l’intervention de la Russie dans le Donbass. A lire aussi Par ailleurs, les chercheurs interrogés par CheckNews rappellent que plusieurs autres accords signés par la Russie garantissaient la liberté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine. L’URSS avait signé les accords d’Helsinki (acte final de la conférence sur la sécurité et la coopération en Europe) qui reconnaissent l’inviolabilité des frontières et «s’abstiennent aussi de toute exigence ou de tout acte de mainmise sur tout ou partie du territoire d’un autre Etat participant». «La Russie est le successeur de l’URSS, ce qui signifie que les engagements et responsabilités internationaux de l’URSS sont devenus ceux de la Russie après la dissolution de l’URSS en tant qu’unité politique. Cela inclut l’acte final d’Helsinki», commente Thomas D. Grant. Un certain nombres de traités Peu avant l’effondrement du bloc soviétique, le 19 novembre 1990, la république socialiste fédérative soviétique de Russie et la république socialiste soviétique d’Ukraine ont signé un traité reconnaissant mutuellement la souveraineté de chaque Etat. «Lors de l’indépendance des anciennes républiques de l’Union soviétique, la Russie a reconnu la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de l’Ukraine à l’intérieur des frontières existantes de cette république. […]. La reconnaissance par la Russie des frontières de l’Ukraine est explicitée dans les accords d’Alma-Ata du 21 décembre 1991 et dans l’accord établissant la Communauté des Etats indépendants (accord de Minsk) du 8 décembre 1991», ajoute le spécialiste en droit international. Surtout, le 31 mai 1997, le traité d’amitié russo-ukrainien est signé. «C’est le grand traité [après l’effondrement de l’URSS, ndlr] qui définit la nature de la relation entre les deux Etats, c’est un traité fondamental, différent du Mémorandum qui inclut d’autre pays», explique Anne de Tinguy. Conclu «après des négociations extrêmement longues et difficiles», le texte prévoit à l’article 2 que les deux pays s’engagent à «respecter l’intégrité territoriale et l’inviolabilité des frontières», explique l’historienne. «La Russie a également conclu un certain nombre de traités bilatéraux avec l’Ukraine, qui impliquent nécessairement ou réaffirment expressément que la Russie accepte les frontières de l’Ukraine comme établies et définitives. […] Et, peut-être le plus explicite, l’accord sur la frontière entre l’Ukraine et la Russie, 29 janvier 2003. Les accords concernant la flotte de la mer Noire sont également très importants, car la Russie a obtenu des droits de location sur des bases situées dans la péninsule de Crimée – droits qui n’ont de sens que si la Russie reconnaît la souveraineté de l’Ukraine sur la péninsule de Crimée», ajoute Thomas Grant. Autant d’engagements non respectés par la Russie depuis 2014.
  15. Je ne connaissais pas ce texte. Ca veut dire que l'Allemagne s'est toujours garder la possibilité de faire aller l'Europe vers une union complète.
  16. Le rumble : quelques changements à signaler autour de siversk, soledar et bakmut https://rumble.com/v1dgonx-ukraine.-military-summary-and-analysis-24.07.2022.html
  17. Réaction extrêmement violente qui a mon avis font surtout de la publicité à la proposition de SCHAÜBLE Ils évoquent le traité de non prolifération mais justement la proposition de SCHAUBLE permet d'en faire abstraction puisque c'est l'arsenal nucléaire français qui serait juste mis en commun, comme les B-62 sont mises en commun au niveau OTAN La réaction est moins violente et surtout moins catégorique qu'il n'y parait. Mine de rien elle dit que çà serait mieux d'avancer dans un cadre complètement européen. Par contre c'est le "Il n'y a pas d'alternative à l'OTAN et garantie par les armes nucléaires américaines" qui va poser le plus de problème. Là directement c'est impossible pour la France.
  18. Ca ressemble dans l'esprit à de la geoloc avec un terminal embarqué pour que le conducteur envoi des acquittements de présence manuel. Mais dans le fond j'en sais rien.
  19. Nouveau pont entre severodonetsk et lyschansk Etat des routes :
  20. J'ai du mal à voir comment on pourrait répondre à SCHAÜBLE autrement qu'en lui faisant préciser ses intentions. Donner des sous c'est vouloir un droit de regard sur la dissuasion française sur le plan industriel mais même sur les conditions d'engagements. A mon avis seul l'ASN4G pourrait être négocié ... et encore.
  21. herciv

    L'Inde

    J'ai effectivement un esprit un peu vagabond. Mais le signal US est loin d'être nul. Moi je trouve que choisir le F-18, dont la navy ne veut plus passer commande, me semble franchement risqué pour les indiens parce qu'il n'y aura plus de développement. Mais pourquoi pas. J'imagine que faire collaborer l'Indian Navy et l'USN est mettre le pied dans la porte pour les US et çà justifie quelques sacrifice.
  22. Oui tu donnes à dessein une définition de ce port qui dépeint une réalité très partielle. La réalité est que ce port a plusieurs terminaux et que ce missile n'a pas touche le terminal céréalier mais le terminal container.
  23. herciv

    L'Inde

    Quand le senat lève des restrictions d'armes russes sur l'Inde le signal me semble très convaincant quand même. Moi j'aimerais que Dassault montre les mêmes images :
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