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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Trouvé sur SNAFU : J'ai hésité à mettre çà sur le fil logistique mais comme personne ne le lit ... La principale limitation concerne les munitions, et non les véhicules HIMARS ou M270, car les États-Unis possèdent environ 1 700 HIMARS/M270 dans leur inventaire. Cependant, les États-Unis produisent environ 10 000 roquettes guidées M30/31 par an et la roquette non guidée M26 n'est plus produite depuis près de 20 ans. À raison de 12 missiles ou de deux modules de charge utile par jour, 20 HIMARS pourraient délivrer 240 munitions guidées par jour ou prendre environ 42 jours pour écouler une année de production de M30/31. L'Ukraine recevra donc quelques systèmes supplémentaires en guise de remplacement, de pièces de rechange, etc., mais si elle n'augmente pas la production de M30/31 ou si elle n'essaie pas de remettre à neuf une partie des 360 000 vieilles roquettes M26 qui ont été retirées au cours de la dernière décennie, il n'y a guère de raison de fournir beaucoup plus de véhicules supplémentaires, car la quantité de roquettes guidées M30/31 nécessaire n'existe tout simplement pas. Il est un peu tard pour le moment, mais les États-Unis et l'Europe n'auraient probablement pas dû retirer toutes leurs roquettes M26 non guidées. Il n'en reste pas moins que 10 000 PGM représentent environ cinq fois plus que le nombre estimé de PGM russes utilisées au début de mai 2022, de sorte que le nombre produit chaque année est très important. En réalité, il suffit de peu de systèmes HIMAR pour épuiser une année entière de production de munitions guidées de précision. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
  2. Accord Russo / Ukrainien en vue pour le grain : https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Cereales-ukrainiennes-et-engrais-russe-un-accord-va-etre-signe-vendredi--41048675/ Céréales ukrainiennes et engrais russe: un accord va être signé vendredi 21/07/2022 | 21:02 Ankara (awp/afp) - La Russie et l'Ukraine vont signer un accord sur les exportations de céréales à Istanbul vendredi après-midi, a annoncé jeudi soir la présidence turque. Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, ainsi que des représentants de la Russie et de l'Ukraine, participeront à la cérémonie de signature qui aura lieu à 13H30 GMT au palais de Dolmabahçe à Istanbul, a ajouté la présidence. L'accord devrait permettre une sortie par la Mer noire des céréales ukrainiennes bloquées par la guerre et un allégement des entraves à l'exportation de grains et engrais russes. Un accord est "possible dans les prochains jours", avait affirmé jeudi dans la matinée le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu. "Nous avons de l'espoir pour les céréales. Nous espérons donner de bonnes nouvelles dans les prochains jours", avait-il dit, se disant "optimiste", lors d'un entretien à la chaîne de télévision publique TRT. A New York, le porte-parole adjoint de l'ONU, Farhan Haq, a annoncé qu'Antonio Guterres et ses deux négociateurs, à la manoeuvre depuis plus de deux mois, étaient attendus de manière imminente à Istanbul. "Le secrétaire général se rendra ce (jeudi) soir à Istanbul, en Turquie, dans le cadre de ses efforts pour assurer un accès mondial complet aux produits alimentaires ukrainiens et aux aliments et engrais russes", a-t-il dit. Le chef de l'ONU passe des vacances près de la Turquie et avait récemment indiqué être prêt à les écourter pour une signature à Istanbul. Selon des diplomates s'exprimant sous couvert d'anonymat, un accord aurait dû à l'origine être signé mercredi, puis cela a été reporté à jeudi avant de devoir maintenant se produire vendredi. Risque de famines Outre le patron de l'ONU, Martin Griffiths, son secrétaire général adjoint pour les Affaires humanitaires, qui s'est occupé de la négociation sur la sortie par la Mer noire des céréales ukrainiennes, et Rebeca Grynspan, à la tête de l'agence onusienne Unctad sur le commerce et le développement, seront aussi à Istanbul, a précisé Farhan Haq. Rebeca Grynspan, qui s'est rendue récemment à Moscou, a été chargée de négocier l'allègement des restrictions touchant de manière indirecte l'exportation de céréales et engrais russes à la suite des sanctions internationales imposées à Moscou par notamment les Etats-Unis et l'Union européenne. Selon un diplomate demandant à ne pas être identifié, Washington a récemment promis des garanties dites "de confort" pour que des sociétés de transport puissent fournir à la Russie des navires de gros tonnage pour l'exportation de ses céréales et engrais sans être inquiétées par les sanctions. Moscou a affirmé que ces dernières ne lui permettaient de recourir qu'à de petits navires à la capacité insuffisante pour ses exportations. "Même si les produits (agricoles) russes ne sont pas concernés par les sanctions, il y a des blocages concernant le transport maritime, les assurances et le système bancaire. Les Etats-Unis et l'Union européenne ont fait des promesses pour les lever", a souligné le ministre turc. Du côté des céréales ukrainiennes, l'accord en négociations vise à une réutilisation de la Mer noire via des corridors sécurisés et des cessez-le-feu localisés sur les zones de passage. Une inspection des navires commerciaux, vraisemblablement par la Turquie, est prévue pour s'assurer que les navires allant à Odessa chercher des céréales ne contiennent pas d'armes. La création d'un centre de coordination est prévue à Istanbul avec une participation d'experts onusiens spécialistes de la navigation maritime, selon des diplomates. L'accord attendu entre l'Ukraine et la Russie devrait avoir pour effet rapide de faire baisser les cours, en très forte croissance ces derniers mois. La crise alimentaire qui en découle menace plusieurs pays dans le monde d'un risque de famine, notamment en Afrique subsaharienne, mais aussi au Liban ou en Egypte.
  3. herciv

    Armée de Terre polonaise

    Il va falloir se demander comment ils financent tout çà quand même. détails
  4. Oui c'est effectivement ce que je voulais savoir. SI quelqu'un a ces info merci de nous en faire profiter.
  5. La Russie augmente son artillerie en Ukraine ou relève certaines unités ?
  6. Ok pour çà mais là tu parles des délais initiaux des MLRS. ET ces MLRS bénéficient déjà d'une logistique et de stock européen. Je pense également que les capacité des avions cargo transportant les HIMARS peuvent être utilisées au moins initialement. Mais il va falloir quand même monter en puissance cette chaine logistique là ce qui sera probablement une affaire de une à deux semmaines complémentaires. Je pense notamment au besoin de trouver des camions supplémentaires qui ne seront probablement pas civils compte tenu de l'état des finances de l'Ukraine. J'en sais rien dutout. Mois ce qui m'intéresse c'est comment les russes trouvent et acheminent les missiles pour assurer une défense contre des livraisons potentiels de plusieurs centaines de missiles HIMARS. A ce niveau de menace vive les lasers. Ensuite il va y avoir un match S-400 vs HIMARS via les deux chaines logistiques qui vont être très sollicitées.
  7. ET pour illustrer la mise à contribution des entreprises civil dans l'entretien du réseau routier ; Au moins 4 bennes TP et trois engins de chantiers tout a fait au niveau de ce qu'on trouve en France D'après Rumble des S-400 aurait été mis en protection à KHERSON et aurait commencé à intercepter des HIMARS. https://rumble.com/v1d46yj-ukraine.-military-summary-and-analysis-21.07.2022.html Il va falloir aux russes une logistique très forte pour maintenir un tel niveau d'interception si c'est avéré.
  8. Sur le morale de l'armée russe et des réserviste : Il a oublié le principal intérêt de choisir le f-16 : Les munitions sont en openbar en Europe dans quasiment toutes les armées de l'air. C'est donc aussi une façon de forcer l'Europe à se réarmer.
  9. 56 paniers HIMARS dans un C5 ... interessant. Ce n'est pas ce que dit l'article : " HIMARS et M270 MLRS auront l’impact que nous voulons qu’il ait seulement s’il est accompagné d’un flot incessant de nacelles de roquettes. Ce c’est ce qui va prendre trois semaines à mettre en place, pour établir cette logistique." Les Ukrainiens aussi ont des dépôts. Leur problèmes c'est qu'ils gère des portefeuilles de munition bien plus disparates que les russes à partir d'une logistique bien plus tendues. La conséquence est que les dépôts ukrainiens doivent être plus remplis que les russes d'où la taille de l'explosion.
  10. Meme 100. Tout çà doit être mesuré à la capacité des US de destocker (puis fabriquer quand il n'y a plus de stock) puis transporter en flux continu tout çà jusqu'à la frontière polonaise puis par les ukrainiens jusqu'au HIMARS. Les HIMARS doivent faire 15000 kilomètres à la louche. Les Equivalent russes sont presque à côté.
  11. Et c'est l'inverse d'une logistique résiliente.
  12. La France recomplète ses CAESAR vendu : http://www.opex360.com/2022/07/21/le-ministere-des-armees-a-notifie-une-commande-a-nexter-pour-remplacer-les-caesar-livres-a-lukraine/
  13. Le démenti US : https://defence-blog.com/us-denies-report-that-russia-destroyed-himars-in-ukraine/
  14. La principale variable de ces conflits repose sur deux paramètres : 1 - le nombre total d'obus que vous pouvez tirer sur votre ennemi de chaque côté. 2 - la logistique : comment nourrir la bête ? Et où sont les cuisines ? Par exemple pour le conflit russo / ukrainien 20000 obus/jour pour les Russes, 6000 obus pour les Ukrainiens. Si toute la logistique vient des USA pour les Ukrainiens alors c'est un chemin de 15000 km et ... la plupart par avion puis par camions Les cuisines sont principalement aux USA. Mais cela va changer au cours de l'hiver prochain. Pour les russes la logistique se fait principalement par train puis par camions et les cuisines sont principalement de l'autre côté de la frontière. Si on ne regarde que la logistique on peut déjà dire où Poutine veut arrêter la guerre : à la frontière ukrainienne car les trains en Russie ne sont pas compatibles avec les chemins de fer orientaux.
  15. Quelques dépôts ukrainiens visés Trois mecs pour mettre en oeuvre ces roquettes et une mise à feu "robuste" Des ukrainiens quittent Siversk :
  16. Aux abords signifie en dehors mais pas loin. Aucun des posts cités mentionne l'extérieur de la centrale. Aucun ne dit qu'il y a eu pénétration dans des enceinte beaucoup plus réglementé non plus. Tu serais gentils d'être aussi précis que dans ton premier post.
  17. On est bien d'accord. Mais en creux çà veut dire qu'arriver à une mobilisation générale signifiera qu'il le fera en dernière intention parce qu'il n'a plus le choix quelque soit la raison. Attaque de la centrale nucléaire de Zaporozhye.
  18. Il y a la volonté de le détruire donc virtuellement il est déjà inemployable.
  19. Goya pense que la phase offensive russe va encore durer jusqu"à fin août début septembre jusqu'à la prise de SLOVIANSK / KRAMATORSK et ensuite posture défensive. Pour ma part je ne suis pas sûr que tout çà va resté maitrisé bien longtemps. Les conséquences a tous les niveaux de cette guerre deviennent très complexes. Admettre que Poutine passe à une phase défensive c'est aussi penser qu'il ne voudra pas faire de mobilisation générale et qu'aucun évènement intérieur ou extérieur ne l'y contraindra politiquement.
  20. Exact et en plus en quantité plus importante et d'après GOYA çà a un impact non négligeable sur les flux Ukrainiens. Pour que cette tactique des dépôts fonctionne vraiment il faudrait pouvoir les recibler dès qu'ils ont été déplacé. A voir l'extrème simplicité de ces dépôts c'est quand même pas évident de maintenir une telle tactique sur le long terme. Surtout que plus ils sont éloigné du front moins ils sont repérables.
  21. @Delbareth la réponse est dans le post de goya "La campagne en profondeur est pour l’instant et pour la première fois dans cette guerre la plus importante. On parle beaucoup en ce moment du rôle de l’artillerie à longue portée occidentale et en particulier des lance-roquettes multiples HIMARS ou M-270, qui, avec ce qui reste de leurs LRM ex-soviétiques et parfois l’emploi de quelques aéronefs, permet aux Ukrainiens de frapper le réseau arrière russe. Rappelons qu’il s’agit là d’abord de l’acquisition d’un atout dont disposent déjà les Russes avec leur supériorité aérienne et leur importante force de LRM. Les Russes frappent déjà les points et les flux logistiques arrière et même sur la grande profondeur de tout le territoire ukrainien à coup de missiles, ce qui entrave fortement la capacité de manœuvre ennemie. Les Ukrainiens le faisaient aussi, mais avec beaucoup moins de moyens et la difficulté politique de frapper en Russie, afin de ne pas provoquer une escalade, c’est-à-dire concrètement une mobilisation générale russe."
  22. N'importe quoi. Il a un diplôme en simulation puis a fait chef de char puis a dirigé un labo de simulation dont certain membre faisait de la logistique. Mais je serais très heureux d'en reparlé avec toi sur le fil ad hoc ainsi que tous ceux qui ont quelque chose à dire en logistique. C'est un excellent substitut même. Le gain n'est pas inutile puisque les dépôts sont reculés mais çà n'est qu'un gain marginal au sens tactique alors que l'attaque du pont a beaucoup plus d'impact.
  23. Ca c'est une évidence. Pas besoin de le dire. Ce qui est plus compliqué à dire c'est quand. Toi tu dirais maintenant ? Pareil
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