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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Pour ceux qui croit en la volonté Russe de stopper sa conquête territoriale : https://www.asiaone.com/world/switzerland-host-june-15-16-ukraine-peace-summit-russia-not-taking-part-it GENEVA —W The Swiss government will host a two-day high-level conference in June aimed at achieving peace in Ukraine, it said on April 10, although Russia has made clear it will not take part in the initiative.
  2. L'Egypte a fermé ses frontières avec Gaza mettant Israël de facto dans la peau de ceux qui devait exterminer les palestiniens. L'Arabie Saoudite a suspendu les négo concernant les accord d'Abraham ainsi que les émiratis. Tous ont invoqué que leur population ne pourrait pas accepter ces accords compte tenu des massacres à Gaza. La Syrie et le Liban sont devenus des non états laissant circulés des radicaux mulsulmans un peu partout. Pour Gaza on en est à 6 mois de guerre pour quelques milliers de radicaux et uen bande de territoire toute petite. Tu crois que Tsahal sera plus efficace sur un territoire plus grand, avec plus de monde, sans barrière et dont les adversaires seront aidé par les pays aux alentours et aider de moins en moins facilement par les USA ? Encore une fois tu penses que ce conflit va ressembler à une sorte de guerre rapide alors qu'on en est déjà à 6 mois à Gaza avec juste une population armée de quelques kalash et de bombinettes. Si les israéliens pensent comme toi ils commettent une erreur monumentale. La seule solution est de tout arrêter très vite et de laisser les palestiniens exister comme un état à part entière avec une armée. La solution de l'extermination du peuple palestiniens ne fera rien d'autre que ce qui a été tenté sur les juifs c'est à dire qu'on n'extermine pas en quelques mois un peuple qui a décidé de se battre.
  3. Je ne pense pas que la bâche reprendra les formes du CAESAR. Je pense qu'elle couvrira plus large notamment pour permettre à l'équipage de se reposer hors de la cabine. elle devrait être tendu à quelques dizaine de centimètre au dessus ou peut-être plus pour éviter des débattements en cas de vent.
  4. J'ai parlais hier mais il y a bien un programme Nexter qui travaille sur l'amélioration de la protection du CAESAR contre les drones : dont une bâche et des canons anti-drones. https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/on-tape-et-on-repart-ca-change-de-nos-vieux-materiels-de-lurss-quel-bilan-pour-le-canon-caesar-en-ukraine?uid=OTgxMzIz
  5. Les bombardements ne sont pas l'objectif en soit. Le but est d'abord d'isoler Israël et de retirer au US un allié. Israël est déjà quasi isolé sur le plan diplomatique. Si guerre il y a, ce sont les revenus commerciaux qui vont s'effondrer et çà a déjà commencé. Israël ne pourra pas supporter une guerre longue et c'est ce que l'IRAN va mettre en place. Netanyahu est malheureusement prévisible. Il n'a assimilé aucun principe stratégique notamment celui de dissimuler ses lignes rouges. Ca va coûter très cher à Israël.
  6. Comme pour tout pays il y a le spectacle off et le visible. La partie diplomatique de la Chine sert le In. Le soft power et l'influence commerciale montre le off.
  7. A l'inverse de toi je crois à un scénario bien pire dont L'Iran et Israël ne sont pas les seuls acteurs. L'objectif visible est de radicaliser tout le monde et de créer des zone de conflits qui atrophie le commerce mondial afin de limiter puis de diminuer définitivement l'influence occidentale en général et américaine en particulier. Avec Benjamin en Guest star sur l'épisode, il est clair qu'il a particulièrement bien compris son rôle. Avec une star pareil l'Iran n'aura aucune difficulté à le faire partir dans la radicalité et avec lui tout son peuple.
  8. Exactement. Si on ne te donne pas de quoi te battre, à quoi bon ? C'est aussi pour çà qu'il va falloir envoyer du monde, pour qu'il garde le morale. C'est quand même eux qui fournissent l'effort principale et encore pour longtemps même si on envoi des contingents.
  9. L'Europe a essayer d'y croire en cherchant des yeux les USA. Mais non les USA ne viendront pas. Et non les USA ne soutiendront pas mordicus Israël si ils ont des affaires plus urgentes à régler ailleurs. Sur la base d'une telle croyance on a eu des politiques totalement débile en Europe. A nouveau sur la base de cette croyance Israël a cru que la meilleure politique était de montrer les dents. Pas de chance c'est un mauvais choix, très mal éclairé.
  10. Je ne crois pas que çà soit une question. Le vocabulaire que tu emploies montre que tu penses que çà restera un conflit classique avec quelques échanges de missiles, quelques passages de frontières et retour à la normale. Je ne crois pas du tout à ce scénario. L'IRAN va déclarer une guerre totale à Israël et aura l'appui tacite de nombreux pays de la région. A l'inverse Israël risque de se retrouver avec le seul appui des USA qui est fragile comme on l'a vu avec l'Ukraine. L'attitude européenne avec ASPIDE montre que l'engagement européen sera extrêmement limité là-bas.
  11. herciv

    Armée de l'Air hellénique

    Achetez mon beau f-35 ! Quantité limité ! Prix en augmentation après la date limite de l'offre !
  12. Les flux maritimes en mer baltique perturbés par le brouillage des signaux GPS : https://www.opex360.com/2024/04/10/brouillage-des-signaux-gps-par-la-russie-la-suede-voudrait-une-presence-accrue-de-lotan-en-mer-baltique/ Cela fait maintenant plusieurs mois que la géolocalisation par satellite [GPS] est perturbée dans la région de la Baltique. Évidemment, les regards se tournent vers les forces russes étant donné que, par le passé, elles avaient été accusées d’être à l’origine d’interférences lors d’exercices de l’Otan. « Nous ne savons vraiment pas s’ils [les Russes] veulent tenter quelque chose ou simplement s’entraîner et tester leur équipement. […] Mais personne ne devrait se comporter de la sorte, surtout lorsque vous êtes en guerre avec un pays voisin », a ainsi récemment estimé le général Martin Harem, le commandant des forces de défense estoniennes. La semaine passée, le ministère allemand de la Défense a, à son tour, estimé que la Russie était « probablement responsable » des perturbations GPS dans la Baltique. Et de pointer des dispositifs de guerre électronique Krasukha-S4 et Tobol, déployés dans l’enclave russe de Kaliningrad. D’ailleurs, en mars, le Falcon 900 du ministre britannique de la Défense, Grant Shapps, en avait été a priori victime alors qu’il volait non loin de ce territoire. De son côté, Stockholm a ouvert une enquête, confiée au service de renseignement et de sécurité de ses forces armées [MUST]. En janvier, son directeur, le général Thomas Nilsson, avait expliqué au quotidien Aftonbladet que ces perturbations étaient « graves » dans la mesure où « plusieurs fonctions dépendent d’un système GPS fonctionnel ». Et d’ajouter que cela faisait partie des activités dites « hybrides » menées contre la Suède. Ces interférences affectent non seulement la circulation aérienne mais aussi et surtout le trafic maritime, le système AIS [Automatic Identification System] que les navires civils sont tenus d’utiliser pour garantir leur sécurité étant basé sur le GPS. En outre, selon la Suède, elles nuisent aussi à l’économie régionale. Aussi, à la tête de la marine suédoise [Svenska marinen] depuis 2020, Mme le contre-amiral Ewa Skook Haslum, a estimé qu’il est temps d’y mettre un terme. « Au niveau militaire, nous ne sommes pas trop touchés par ces perturbations car nous ne sommes pas forcément dépendants du GPS. Mais elles font de la Baltique une région non sécurisée. Et lorsqu’il y a de l’incertitude dans une zone, les tarifs d’assurance augmentent », a-t-elle déclaré, lors de la Navy League’s Sea-Air-Space conference, selon Defense One. De plus en plus, selon Mme le contre-amiral Skoog Haslum, les navires civils désactiveraient leur système AIS à cause de ces interférences, ce qui rend évidemment plus compliqués leur identification et leur suivi, en plus d’augmenter le risque d’accident. Et d’évoquer une « navigation fantôme », qui devient de « plus en plus importante ». Pour la cheffe de la marine suédoise, cette « ingérence » russe en mer Baltique nécessite une « action de l’Otan ». Il « pourrait s’agir d’utiliser les moyens » des Alliés [dont la Suède fait désormais partie] pour « accompagner les navires marchands, aider à la navigation ou autres », a-t-elle dit. À noter que, le 3 avril, la marine suédoise a admis au service son nouveau navire dédié au renseignement électronique, le HSwMS Artemis. Ce bâtiment remplace le HSwMS Orion, qu’elle a mis en oeuvre pendant quarante ans.
  13. Le SACEUR envisage que le la ligne de front s'effondre dans un délai rapide. https://www.opex360.com/2024/04/11/selon-le-chef-militaire-de-lotan-lukraine-risque-de-manquer-de-munitions-dans-un-delai-relativement-court/ Selon le chef militaire de l’Otan, l’Ukraine risque de manquer de munitions « dans un délai relativement court » PAR LAURENT LAGNEAU · 11 AVRIL 2024 Pour certains chefs militaires ukrainiens, récemment cités par Politico, ont dit redouter un « effondrement » de la ligne de front là où les généraux russes décideront de concentrer leurs efforts. Faute d’un soutien suffisant – et approprié – des partenaires occidentaux de Kiev, il leur sera très difficile d’inverser cette tendance. En tout cas, telle est l’estimation partagée par le général Christopher Cavoli, le commandant suprême des forces alliées en Europe [SACEUR], avec le comité des Forces armées de la Chambre des représentants, le 10 avril. Pour le moment, les États-Unis ne sont pas en mesure de fournir l’aide militaire que réclame l’Ukraine étant donné que celle-ci, d’une valeur d’environ 60 milliards de dollars, est bloquée au Congrès. Aussi, Kiev ne peut compter que sur ses partenaires européens, dont les moyens sont limités. Fin mars, le président ukrainien, Volodymyr Zelenski, a de nouveau insisté sur l’importance de cette aide de Washington. « S’il n’y pas de soutien américain, cela signifie que nous n’avons pas de défense aérienne, pas de missiles Patriot, pas de brouilleurs pour la guerre électronique, pas d’obus d’artillerie de 155 millimètres », a-t-il dit. « Cela signifie que nous allons reculer, battre en retraite, étape par étape, à petits pas, […] qu’il faut faire avec moins. Comment ? Bien sûr, en reculant. Diminuer la ligne de front. Si elle se brise, les Russes pourront se rendre dans les grandes villes », a-t-il ajouté. Selon le général Cavoli, la Russie aurait perdu 2000 chars depuis le début de la guerre. Et elle compterait 315’000 soldats mis hors de combat [c’est à dire tués ou blessés]. Or, a-t-il dit, Moscou « reconstitue ses forces plus rapidement que nous l’avions estimé », le format des forces russes ayant progressé de 15 % depuis l’invasion de l’Ukraine, après avoir augmenté le nombre de conscrits dispoinibles en réhaussant la limite d’âge de 27 à 30 ans. « Au cours de l’année écoulée, la Russie a augmenté ses effectifs en première ligne de 360 ’000 à 470’000 hommes », a ainsi affirmé le SACEUR. Plus largement, le nombre de conscrits disponibles atteindra les 2 millions dans les années à venir. « En résumé, la Russie est en passe de disposer de la plus grande armée du continent », a-t-il souligné. Évidemment, cela pose de sérieux défis pour l’avenir. « Nous sommes confrontés à des temps pour le moins difficiles sur le théâtre européen », a-t-il averti. Le propos du général Cavoli fait écho à celui récemment tenu par Kurt Campbell, le numéro deux de la diplomatie américaine. « Nous avons constaté au cours des derniers mois que la Russie s’est presque complètement reconstituée militairement », a-t-il dit lors d’un événement organisé par le Center for a New American Security. Et de souligner le rôle crucial de la Chine, ainsi que ceux, dans une moindre mesure, de l’Iran et de la Corée du Nord. Sur ce point, le SACEUR a estimé que la « dépendance de la Russie à l’égard » de ces pays dans le cadre de « sa campagne en Ukraine » était « préoccupante ». Et d’ajouter : « Ils forment des partenariats stratégiques imbriqués dans le but de remettre en question l’ordre existant. C’est profondément contraire aux intérêts américains ». Par ailleurs, le chef militaire de l’Otan a aussi souligné la vigueur de l’économie russe. « En 2023, le Fonds monétaire international [FMI] prévoyait une baisse de 2,1 % du PIB de la Russie en 2023. Cependant, à la fin de l’année, il a révisé son estimation en avançant que le PIB de la Russie aurait augmenté de 3 %, principalement en raison de ses investissements importants dans la défense. Actuellement, les perspectives du FMI prévoient que le PIB de la Russie augmentera de 2,6 % en 2024. La Russie est en passe de consacrer 6 % de son PIB à son armée, ce qui fera que son budget militaire dépassera les dépenses sociales pour la première fois depuis la fin de l’Union soviétique », a-t-il détaillé. Quant à la situation en Ukraine, le général Cavoli n’a pu que souligner la nécessité de débloquer cette aide de 60 milliards de dollars. Actuellement, selon lui, l’armée russe est en mesure de tirer cinq fois plus d’obus d’artillerie que les Ukrainiens. Si rien ne change rapidement, ce rapport devrait rapidement passer de 1 à 10. « Nous ne parlons pas de manière hypothétique », a-t-il insisté. « Je ne peux pas prédire l’avenir, mais je peux faire des calculs simples. Quand je regarde les taux d’approvisionnement par rapport aux taux de consommation, si nous ne continuons pas à la soutenir, l’Ukraine sera à court d’obus d’artillerie et de missiles de défense aérienne dans un délai relativement court », a continué le SACEUR. Or, a-t-il ajouté, « si un camp peut tirer et que l’autre ne peut pas riposter, celui qui ne peut pas riposter perd. Les enjeux sont donc très élevés ». L’Ukraine « demeure presque entièrement dépendante du soutien extérieur. La gravité de cette situation ne peut être surestimée : si nous ne continuons pas à la soutenir, elle pourrait perdre », a-t-il averti. Quoi qu’il en soit, la situation décrite par le général Cavoli n’est pas surprenante. Elle avait même été esquissée par le général Jacques Langlade de Montgros, le Directeur du renseignement militaire [DRM] français en juillet 2023, lors d’une audition parlementaire. Celui-ci avait expliqué que la guerre en Ukraine pourait prendre fin si, « selon le modèle clausewitzien », le centre de gravité de l’un des belligérants venait à craquer. « Le centre de gravité, pour l’Ukraine, est probablement la cohésion de l’alliance occidentale. Si elle se fragilise, si le soutien se fait plus hétérogène ou plus contesté dans certains pays, cela ne facilitera pas le travail des Ukrainiens à court terme et fragilisera globalement leurs chances d’atteindre leurs objectifs. Côté russe, le centre de gravité est probablement la solidité du système poutinien. Si celui-ci venait à s’effondrer, nous assisterions sans doute à une déliquescence rapide de l’appareil militaire russe », avait résumé le DRM.
  14. Voilà çà devait arriver. La question du soutien US finira également par se poser comme pour les ukrainiens. Et ce conflit va faire tâche d'huile parce Israël est déjà au taquet de ce qu'elle peut faire militairement et comme elle a chauffé à blanc les populations de ses voisins çà va se tendre. La différence avec les autres guerres que Israël a vécu c'est qu'elle ne peut plus compter sur beaucoup de monde pour l'aider. Israël est clairement en danger.
  15. ARticle de Cabirol qui précise certains points essentiels : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/economie-de-guerre-nexter-se-dit-capable-de-fabriquer-12-canons-caesar-par-mois-995029.html C'est bien 12 ensembles complets qui seront produits. Arquus et TATRA sont pleinement associés à cette monté en puissance.
  16. Disons que je ne serais pas surpris si on me dit que les accords de défense signés avec les uns et les autres impliquent une participation automatique au club rafale avec réunion tous les ans de chacun de ses membres pour tester les dernières tactiques à la mode.
  17. On sait faire aussi bien ? Si c'est pas le cas il va falloir accélérer.
  18. La position de Paris sur le sujet c'est qu'on marche sur des oeufs. On vient de vendre à la Croatie. Il faut donc faire comprendre à la Croatie que la France aura une diplomatie qui tentera d'obtenir la paix des braves entre la Serbie et la Croatie mais que si çà dérape ce sont les croates qui resteront prioritaire. Bref les serbes doivent accepter ce processus de normalisation dont le rafale n'est qu'un des éléments. Je suppose que rapidement on verra des exercices conjoint Croate/Serbe qui seront montrés en exemple. Les uns et les autres se boucheront le nez mais ils se rendront vite compte que c'est ce qu'on a fait avec les anglais et les allemands.
  19. La Serbie achète déjà à d'autre pays OTAN que la France mais pas de truc aussi compliqué que des chasseurs.
  20. Je ne pense même pas. Je pense plus à un truc du genre : j'ai besoin d'avions je n'ai qu'une solution. Je me tourne vers les français parce que ce sont les seuls qui propose une politique qui tienne la route avec mon besoin militaire et géopolitique. Ce besoin géopolitique est simple à comprendre la Serbie est isolée avec très peu de voisins bienveillants. Ca n'est pas la Russie qui va l'aider en ce moment.
  21. Aucun n'est ITAR/CATSAA FREE. Mais surtout leur vente dépend de la volonté de beaucoup trop de pays comme le boromae et le chasseur Turc d'ailleur. Avec le rafale tu ne discute qu'avec un seul pays. Même le F-35 pourrait avoir ce problème. Les israéliens ont par exemple des soucis à cause des Hollandais qui pourraient empêcher la livraison de certains composants. Avec le Rafale tu ne discute qu'avec une seule entité juridique souveraine.
  22. Il n'a pas tord sur ce qu'il s'est dit mardi entre président. Mais il revient sur la supériorité opérationnelle du rafale alors que çà n'est pas le premier facteur de cet achat. Le premier facteur c'est que le Rafale est vendable à la Serbie et qu'il n'y a actuellement pas d'autre choix sauf éventuellement en occasion du côté des mirage 2000 grecs par exemple. Bref la Serbie n'est pas en mesure de faire jouer la concurrence. Elle aurait pu si elle avait moins senti le gaz.
  23. L'article de USNI est repris avec de l'inquiétude : Et les commentaires sur Snafu-solomon sont sans appel. Je cite : Force Design 2030 ne suffira pas. Les brigades multi-domaines ou quel que soit le nom que leur donne l’armée ne le feront pas non plus. Vous ne pouvez pas gagner des batailles navales depuis le rivage et vous ne pouvez pas vous cacher sur des îles de nos jours avec des missiles plus gros que des maisons. Cela signifie que c’est à l’aviation navale et à l’USAF de décider. Des B-21 ? Nous devons absolument augmenter ces chiffres. Les chasseurs tactiques doivent être remis dans une boîte lorsqu’il s’agit de frappe navale (en regardant les deux services) et un A-6E moderne ainsi qu’un bombardier conventionnel mais à charge utile de l’armée de l’air doivent être mis en service (les B-1 pourraient-ils être modernisés pour jouer le rôle de frappe navale ?). La terrible nouvelle ? Même si la Marine avait tout ce qu’elle voulait, je ne pense pas qu’elle saurait quoi en faire. S’ils le faisaient, je ne pense pas que nos chantiers navals pourraient faire le travail. Il est peut-être temps de taper sur l’épaule des Sud-Coréens, de quelques entreprises européennes aussi et de voir ce que nous pouvons acheter avec quelques modifications. Nous sommes un peu excités. Personne ne veut se souvenir de l’ère Bush Jr/Rumsfeld, mais les décisions de l’époque ont vraiment contribué à ouvrir la voie à une marine foutue.
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