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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Non trop cher, trop long à fabriquer par rapport à des drones. Je rappel que ta munition ne doit pas être plus cher ni plus longue à fabriquer et dans l'idéal pas plus difficile à mettre en oeuvre que celle que tu veux abattre. Principe de base à respecter coûte que coûte en guerre HI.
  2. Oui comme solution légère c'est top. Un simple patrouilleur peut en être équipé. Mais il va falloir adresser la menace drone aérien et cà n'est pas encore le cas de ce que je lis. Ensuite il va falloir faire plus léger pour intégrer çà sur un vbl anti drone pour accompagner les caesar.
  3. Oui mais c'est de la courte portée. Et tu ne peux pas les embarquer dans un hélo ni sur un VBL de protection AA. Moi je réagi en pensant à une guerre de haute intensité. Qui dit haute intensité dit "haute capacité industrielle" et aussi tant que possible "communalité" des munitions. L'interception en hélo avec 7,62 a bien fonctionné parce que le temps de ralliement sur le drone le permettait mais çà ne sera pas toujours le cas. Pour ouvrir le domaine d'intervention des hélo il faut des missiles comme celui que je décris. Apparemment le MARTLET ferait le job. Il lui manque une fibre optique et il serait top. Si en plus tu le colles dans une tourelle naval comme la LMP de Naval Group je pense qu'on est pas mal. Je pense aussi que les CAESAR ont besoin de moyens de protection capable de les accompagner. Une tourelle MARTLET avec une veille optique adaptée au VBL serait parfaite parce que le gros radar sur chenille montré au-dessus me semble totalement inadapté.
  4. Ca c'est bien ! C'est le cahier des charges. Tu peux en stocker des dizaines à bord et tu peux les manipuler facilement avec un seul bosco. Le mieux aurait été la fibre optique mais OK. Il manque la cadence de production pour en faire une solution vraiment bien foutu terre et mer voir hélo pour la chasse au drone.
  5. Oui çà j'avais vu. Mais c'est dispo dans combien de temps ? Combien de temps pour intégrer sur chaque navire ? Combien de munitions stockables en plus à bords ? Est-ce que les munitions se fabrique à cadence rapide capable de soutenir les cadences de fabrication de notre adversaire du jour ?
  6. Ah çà me parait pas mal ! On peut en fabriquer beaucoup de ces munitions là ?
  7. Connais pas assez bien le martlet mais j'ai l'impression que c'est pas mon cahier des charges. Ce que je vois moi c'est une munition que tu peux manipuler dans tes bras à la mer et donc sans te faire déséquilibrer ni risquer de taper un gréage quelconque. Bref il faut que le diamètre de la munition et sa longueur soit limitée comme une munition anti char et que son poids lui permette d'être porté sans l'aide d'un moyen de levage quelconque. Il faut aussi qu'elle soit industrialisable dans un temps rapide et à des cadences capables de soutenir les cadences de production de drones.
  8. Bof même remarque que le Martlet. C'est mieux que rien mais c'est toujours trop grassouillet. Dans le fond une munition anti char filoguidée à 8km pourrait quasiment faire le job contre un drone marin ou aérien. Les navires pourraient en emporter des dizaines, recharger sans beaucoup d'efforts, et installer des poste de tirs même simple sans avoir peur de prendre d'espace. Moi dans l'idéal je verrai bien l'intégration de MMP sur des affûts navals. Il y a plus de 1900 munition dispo. On sait en fabriquer des quantité. Il a un mode tir et oubli qui même avec quelques modification le cas échéant peut accrocher une cible maneuvrante comme un drone dans une enveloppe de quelques kilomètres. Un seul homme suffit à recharger sans matériel de manutention. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-missile-mmp-mbda-dechire-vraiment-au-niveau-des-performances-781289.html On pourrait même prévoir des tourelles de MMP en partant des essais sur SABRE : https://www.opex360.com/2021/01/27/premier-tir-reussi-dun-missile-mmp-avec-la-tourelle-impact-concue-pour-les-blindes-legers-et-les-robots-terrestres/
  9. Ce que je veux dire c'est que la vitesse des drones permet de les engager à plus courte distance que les missiles. Cette réduction d'enveloppe aurait comme corrolaire de réduire l'emport en poudre propulsive et in fine de loger plus de missile sur un lanceur. Dommage que çà n'est pas pris en compte.
  10. Je suis d'accord mais on n'est toujours pas dans une phase industrielle pour ces systèmes là. Pourtant il faudrait mettre le turbo.
  11. OK les ukrainiens semblent en utiliser. Mais malgré le fait que c'est développé pour une utilisation naval contre les drones je ne suis pas convaincu parce que on n peut pas en loger beaucoup sur un lanceur. https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/le-royaume-uni-envoie-a-l-ukraine-des-missiles-martlet-pour-faire-face-aux-drones-russes_AV-202401080489.html
  12. Et contre les drones ? Sans parler de l'efficacité çà vaut quoi en terme de rapidité de fabrication et de coût ? Il m'a l'air plutôt grassouillet le coco. On doit pas pouvoir en mettre beaucoup dans un lanceur typé RAM.
  13. On pourrait pas développer un RAM stinger ou mistral quelque chose pour de la courte portée avec des munitions très peu chère, en tous cas beacoup moins chère que le sidewinder et adapté aux coûts des drones marin ?
  14. Oui. Ok c'est donc çà un RAM. Ca lance des leurres ou des roquettes ou ce qu'on veut en fonction du panachage ?
  15. C'est le deuxième ou troisième jour que je vois des video du même accabi. Les SU-25 sont de moins en moins menacés très clairement quelqu'en sooit la raison.
  16. C'est quoi le truc qui ressemble à un lance roquette à l'arrière ? 21 tubes pour des solutions propulsées qui pourraient servir à de l'anti drone à très courte / courte portée rechargeable en mer de surcroît ?
  17. la suite: Flexibilité pour la marine et emplois pour les Américains Les nouvelles subventions et les investissements directs du gouvernement créeraient des emplois dans les chantiers navals, offrant à l’industrie américaine l’occasion de reconstruire sa base de fabrication industrielle. Une fois que la base industrielle se sera développée, les fournisseurs basés aux États-Unis pourraient découpler les éléments critiques de la chaîne d’approvisionnement, qui sont nombreux, de la chaîne d’approvisionnement de la Chine. Il faudra du temps pour construire, rénover et rouvrir les chantiers navals. Il faudra construire de l’équipement spécialisé. Il faudra également du temps pour recruter et former la main-d’œuvre. Parallèlement, les sous-traitants et les fournisseurs devront construire leur propre infrastructure et leur propre main-d’œuvre. Une fois que la nouvelle capacité sera en place, les chantiers navals seront en mesure d’accélérer et d’étrangler la production ou l’entretien de la marine sans mettre les travailleurs et les entreprises en faillite, car ils seront subventionnés pour travailler sur des navires commerciaux lorsqu’ils ne construisent pas ou ne réparent pas de navires de guerre. L’augmentation de la capacité des chantiers navals réduirait le risque que des entrepreneurs à fournisseur unique produisent des types de navires uniques et contribuerait à réduire les coûts tout en soutenant l’innovation. L’agrandissement des installations aurait la capacité de s’attaquer à l’arriéré de maintenance de plusieurs années, offrant à la flotte des fenêtres de maintenance plus avantageuses pour assurer l’efficacité opérationnelle de la maintenance, de la formation et des déploiements. Du temps serait également disponible pour l’entraînement à la réparation de combat d’urgence dans les chantiers publics et privés, afin de développer les compétences nécessaires pour ramener rapidement les navires au combat. Des capacités pourraient également être allouées pour mieux entretenir les navires de la Force de réserve et de la Flotte nationale de réserve en cas d’urgence. Maintenance à bord et réparation des dommages causés par la bataille À la fin de la guerre froide, la Marine a également réduit ou éliminé les activités de maintenance intermédiaire à terre (SIMA) ; des destroyers et des sous-marins à flot qui fournissaient un soutien à l’entretien intermédiaire (niveau I) pour les navires et les sous-marins déployés ; et la maintenance organisationnelle (de niveau O) à bord des navires de combat. Cela a entraîné une perte importante des compétences en matière d’entretien de la flotte, y compris l’autosuffisance à bord des navires, l’état de préparation du matériel et la capacité de réparation des dommages au combat. Ces capacités doivent être réintégrées à la flotte ; Les équipages doivent savoir comment réparer leurs propres navires. La Marine devrait étendre les installations avancées de SIMA avec ses partenaires dans le monde entier, en mettant l’accent sur celles adjacentes aux mers de Chine méridionale et orientale. Les annexes des destroyers et des sous-marins à flot doivent être rétablies. Une allocation de 2 milliards de dollars devrait être prévue pour établir ces trois capacités. Alliés et partenaires Pour réussir, les États-Unis doivent s’intégrer à leurs alliés et travailler en étroite collaboration avec de nombreux pays partenaires. En cas de guerre, les alliés et les partenaires devront compter sur la Corée du Sud et le Japon, les deux seuls pays disposant d’une capacité de chantiers navals suffisante pour avoir un impact significatif. Pour l’instant, les États-Unis et d’autres alliés pourraient s’associer à des constructeurs navals sud-coréens et japonais pour co-posséder des entités et ouvrir des chantiers navals commerciaux supplémentaires dans le cadre de programmes de sécurité nationale combinés. Les États-Unis ont soutenu l’industrie japonaise et sud-coréenne pendant la guerre froide pour repousser l’Union soviétique ; la même logique s’applique aujourd’hui pour repousser la Chine. Options Jusqu’à ce que les États-Unis soient en mesure de remédier pleinement aux lacunes en matière de capacité et de chantiers navals, les mesures provisoires suivantes pourraient être prises : Acheter et entreposer de l’équipement et des cales sèches flottantes pour une utilisation ultérieure en temps de guerre, en veillant à ce que les outils soient disponibles pour construire et réparer des navires. Construisez des conceptions éprouvées de manière non standard - par exemple, la classe Arleigh Burke est construite en plus de 70 sous-sections, dont certaines pourraient être construites à travers les États-Unis. Les sous-sections pourraient être décomposées davantage pour permettre l’expédition par camion, par chemin de fer, sur le Mississippi ou dans les Grands Lacs jusqu’aux chantiers navals pour l’assemblage final. Concevoir et construire des sous-marins diesel-électriques et des navires semi-submersibles de plongée peu profonde de taille moyenne. Il pourrait s’agir d’un mélange de navires habités et non habités avec des capteurs limités se concentrant sur les missions anti-navires ou anti-aériennes. La conception devrait permettre de les produire en série en sous-sections à travers les États-Unis. Moderniser les navires civils avec des capteurs limités en se concentrant sur les missions anti-navires et anti-aériennes. Augmenter le nombre d’avions pour remplir les missions de frappe et de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR). Convertir les navires civils en petits navires de poche pour les avions à décollage vertical et convertir les petits navires en nénuphars pour le ravitaillement et le réarmement. Saturez l’espace de combat avec de petits vaisseaux sans pilote pour les capacités ISR et de frappe. Ces plates-formes pourraient être construites en quelques petites sections à travers le pays. Augmenter la production de missiles anti-sous-marins et antinavires à très longue portée. L’utilisation accrue des plates-formes ISR fournirait des informations sur le ciblage des armes à longue portée. Impatient Le prix de la paix est élevé. Cependant, le prix de la guerre est beaucoup plus élevé. Les États-Unis doivent investir dans leurs chantiers navals publics et privés pour s’assurer qu’ils ont les jambes nécessaires pour gagner une longue guerre. Elle doit revenir à l’essentiel et se doter des capacités industrielles et humaines nécessaires pour concurrencer la Chine.
  18. Bon çà ne vient que d'un major général à lé retraite mais il en a beaucoup sous la chaussure. Je pense qu'il sous estime aussi les problème savoir faire en conception et les trous capacitaires que çà provoque. Lui voit la solution en Corée ou au Japon. Moi je crois qu'il se fait des illusions si il y a mailloche avec la Chine parce que toute les capacités navals du pacifique seront tapées. La solution sera donc en Europe. Les États-Unis doivent améliorer leur capacité de construction navale. https://www.usni.org/magazines/proceedings/2024/february/united-states-must-improve-its-shipbuilding-capacity Par le major Jeffrey L. Seavy, Corps des Marines des États-Unis (à la retraite) Février 2024 Aujourd’hui, l’industrie chinoise de la construction navale et la capacité croissante de la marine de l’Armée populaire de libération (APL) donnent à la Chine un avantage stratégique écrasant contre les États-Unis dans un conflit potentiel durable. Pour résister à la vague d’étrave, la marine américaine doit déployer des capacités complètes et éprouvées de manière efficiente, efficace et opportune, ce qui nécessitera de remédier aux lacunes en matière de conception, de production, d’entretien et de réparation des navires, ainsi qu’aux défis liés à la chaîne d’approvisionnement et au capital humain. À l’heure actuelle, les États-Unis et la Chine ont une parité relative dans la production économique globale. En termes de construction navale, cependant, la Chine détient 46,59 % du marché mondial et est le plus grand constructeur, suivie de la Corée du Sud avec 29,24 % et du Japon avec 17,25 %. Les États-Unis ont une capacité relativement insignifiante de 0,13 %. Concevoir Jusqu’à la fin de la guerre froide, la Marine a fait du bon travail en concevant ses propres navires. Cependant, à mesure que le travail se déplaçait vers l’industrie privée, la Marine réduisit son personnel interne d’architecture et d’ingénierie navale d’environ 1 200 à 300 personnes. Les systèmes et sous-systèmes critiques non éprouvés ont été autorisés à passer en production avant d’être validés. Cela a conduit à des problèmes de conception et de production avec le navire de combat littoral et les destroyers de classe Zumwalt. Il y a eu des erreurs de conception similaires avec les porte-avions de la classe Gerald R. Ford, les navires amphibies de la classe San Antonio et America et les sous-marins de la classe Virginia. Les systèmes critiques doivent être éprouvés et testés avec d’autres systèmes et sous-systèmes critiques avant qu’un navire ne soit produit. Pour ce faire, la Marine doit s’approprier pleinement la technologie et les données. De plus, les systèmes doivent être conçus de manière à ce que les marins puissent entretenir l’équipement pendant le déploiement. Construire Le plus grand défi auquel la marine est confrontée dans la préparation d’une guerre potentielle avec la Chine est de rétablir sa capacité à construire, entretenir et réparer des navires. La Chine subventionne son industrie du transport maritime, avec 20 grands chantiers navals construisant des navires commerciaux militaires et civils et 140 cales sèches pour permettre une expansion rapide et une capacité massive de maintenance et de réparation des dommages. Les États-Unis considéraient autrefois leur flotte marchande et leurs chantiers navals comme des capacités stratégiques, et les navires et les chantiers navals étaient subventionnés par les contribuables. Malheureusement, les subventions ont été supprimées dans les années 1980 et la contribution des États-Unis à la production mondiale est passée de 0,50 % à environ 0,05 %. Sur la base du coût de la main-d’œuvre et de la construction, les chantiers navals américains ne peuvent pas rivaliser avec les chantiers étrangers. Sans un approvisionnement régulier en contrats, ils ne peuvent pas entretenir l’infrastructure industrielle ou employer des travailleurs qualifiés. La plupart des navires de guerre de la marine américaine n’ont qu’un seul constructeur, fortement spécialisé pour le type de navire spécifique. Pour réduire les coûts, le Congrès assure un flux prévisible et stable de contrats, ce qui est plus abordable pour le contribuable, et fournit au constructeur un flux de fonds stable pour maintenir sa main-d’œuvre stable. Cependant, en raison de cette spécialisation, il n’existe aucun moyen efficace d’augmenter ou de retarder la production. Les chantiers navals et les fournisseurs n’ont pas d’autres clients pour prendre le relais si le gouvernement interrompt un contrat. Si le gouvernement demande à un constructeur d’accélérer, il n’y a pas de bassin de travailleurs qualifiés ou d’équipement prêts à l’emploi. Si le gouvernement américain n’est pas en mesure de fournir les contrats navals nécessaires pour soutenir le chantier naval et ses travailleurs, il devra subventionner les chantiers pour construire d’autres navires commerciaux. Entretien et réparation Les États-Unis n’ont pas la capacité de construire de nouveaux navires et d’entretenir ou de réparer entièrement les navires qu’ils détiennent actuellement en stock. Compte tenu de la capacité actuelle des chantiers navals, on estime que la Marine accuse un retard de 20 ans dans les travaux d’entretien. Les navires viables sont mis hors service en raison de l’incapacité d’entretenir, de réviser, de moderniser ou de prolonger leur durée de vie. Le Government Accountability Office (GAO) s’inquiète de l’arriéré, notant dans un rapport de 2021 : « À la lumière des défis continus des chantiers navals pour répondre à la demande d’entretien régulière, les réparations des dommages causés par les combats pourraient encore exacerber ces défis. » Le rapport note en outre que « la montée en puissance d’adversaires du XXIe siècle capables de produire des menaces de haut niveau en temps de guerre – appelés concurrents de grandes puissances – ravive la nécessité pour la Marine de réexaminer sa capacité de réparation des dommages de combat pour s’assurer qu’elle est prête pour un conflit potentiel. » Cours publiques À l’heure actuelle, il existe quatre chantiers navals publics aux États-Unis avec 17 cales sèches. Ces chantiers appartiennent au gouvernement des États-Unis et prennent en charge l’entretien, l’entretien au niveau des dépôts, les réparations d’urgence et la modernisation. Dans un rapport de 2022, le GAO a noté qu’il avait précédemment calculé que les retards de maintenance dans les réparations des porte-avions et des sous-marins de l’exercice 2015 à 2019 équivalaient à la perte de l’utilisation de plus de la moitié d’un porte-avions et de trois sous-marins chaque année. « Les retards dans la maintenance des chantiers navals affectent directement l’état de préparation de la marine en entravant sa capacité à mener des entraînements et des opérations avec ses navires », a-t-il ajouté. Pour remédier à ces problèmes, la Marine a lancé en 2018 un programme de 21 milliards de dollars sur 20 ans visant à remplacer et à moderniser les infrastructures. Malheureusement, le GAO a noté dans le rapport de 2022 : « Bien que l’état des installations des chantiers navals se soit généralement amélioré, ils font toujours partie des installations de dépôt les moins bien notées du DoD. Tous les chantiers navals ont un état d’installation moyen qui se situe dans la catégorie « médiocre ». Pour remédier à ces lacunes critiques, les cours publiques devraient recevoir 30 milliards de dollars supplémentaires sur cinq ans pour les amener à un statut de « bon », c’est-à-dire le meilleur score possible. De plus, une allocation distincte de 20 milliards de dollars devrait être prévue pour établir une nouvelle cour publique à San Diego ou à San Francisco. Cours privées Les États-Unis devraient augmenter la capacité de construction navale privée de 0,13 % à 1,3 % d’ici deux ans, avec l’objectif d’atteindre 5 % en cinq ans. Pour ce faire, il faudrait des incitatifs économiques, c’est-à-dire des subventions, pour développer l’industrie de la construction navale.1 Les États-Unis incitent déjà des centaines d’industries avec des subventions ; Avoir des chantiers navals capables de construire, d’entretenir et de réparer des navires de manière efficiente et efficace est un impératif de sécurité nationale. Les chantiers privés, et la chaîne d’approvisionnement qui les sous-tend, devraient recevoir 50 milliards de dollars sur cinq ans pour relancer l’industrie.
  19. herciv

    drone

    Le porte drone néerlandais :
  20. herciv

    drone

    Delair la boite qui monte. Le CPA 20 très content de ses tests de DT-26 https://www.opex360.com/2024/04/09/le-commando-parachutiste-de-lair-n20-et-le-ceam-ont-teste-le-drone-delair-dt-26-a-djibouti/
  21. herciv

    Marine Néerlandaise

    C'est intéressant parce que des navires de cette nature peuvent tout aussi bien mettre en oeuvre des drones aériens, marins voir sous-marins. Je pense que plus que les opérations de débarquement de troupes c'est bien le concept entier qu'on peut faire basculer à peu de frais pour mettre en oeuvre des effecteurs de saturation de zone marine. Pas besoin de débarquer un corp expéditionnaire si tu peux bloquer un port ou une ile avec tous tes effecteurs. Pour rappel : https://www.opex360.com/2024/02/21/la-marine-nationale-a-evalue-un-nouveau-type-de-drone-aerien-a-bord-dun-porte-helicopteres-amphibie/
  22. Oui c'est bien ce que ma question sous tend.
  23. Reste à savoir pourquoi l'USAF n'a pas investi dans des upgrade qui aurait été quand même sacrément intéressantes. Cause techniques ? Culturelles ? que sais-je ?
  24. Oui tout à fait L'erreur à ne pas commettre c'est de ne prendre çà que comme un échec pour les russes. Moi je vois qu'il a fallu une munition à haute valeur et longue à fabriquer pour bousiller ce truc. Que ce truc très rustique a amené une colonne complète à pied d'oeuvre. Et encore on n'a pas le BDA après HIMERS.
  25. Toute l'Europe vend de l'armement là-bas. Ce n'est pas spécifique à la France.
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