Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

herciv

Members
  • Compteur de contenus

    20 099
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    66

Messages posté(e)s par herciv

  1. il y a 16 minutes, Pasha a dit :

    Mais en effet les Russes doivent se mordre les doigts de pas avoir de ne pas avoir eu plutôt une capacité plus précise dans leur arsenal avionique, pour éviter de se rapprocher autant et éviter cette attrition.

    Ils sont clairement sur le point de rattraper cette erreur et on voit bien que les ukrainiens doivent à leur tour risquer leur système de DA plus prêt des frontières et donc multiplient leurs pertes.

  2. il y a 2 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

    Il se fout du prix à payer VP ... Avant les élections, une avancée ou toute victoire sur le terrain n'a pas de prix pour sa personne, quels que soient les hommes ou le matériel consommés qui ne sont ici pour lui qu'à mettre au bénéfice de sa future réélection grandiloquente. Simples affiches de campagne, quoi ... Peu importe "l'après", il aura des responsables à cramer si nécessaire au cas où des comptes devaient lui être demandés.

    Je ne suis pas d'accord avec toi. Si le prix n'est pas une variable pour lui, l'attrition en est une. Si dans un an, ou deux ou cinq ou 10 il sait qu'il n'a plus d'armée de l'air, de marine ou autre il est bien obligé d'en tenir compte dans ses plans parce que fondamentalement il aura donné un avantage stratégique à ses ennemies.

    • Upvote (+1) 1
  3. il y a 13 minutes, Pasha a dit :

    Après il n'y a aucune confirmations, aucunes preuves, et actuellement selon Kiev ils abattent un Su par jour... Même les sources sérieuses habituelles n'ont pas confirmées ces destructions. 

    Je doute que les Russes aient une centaine d'avions en l'air, et avec une attrition énorme en si peu de temps (même si entendable par leur intensité actuellement) ça me laisse perplexe.

    N'empèche que çà pose des bonnes questions. 

    Quand il faut un an pour fabriquer un chasseur et quatre ou cinq an pour former un pilote, une armée de l'air est fondamentalement attritiable. Dans ces conditions tu ne peux pas te permettre de perdre plus d'avion que tu n'es capable d'en fabriquer et tes pilotes sont des ressources extrèmement importantes.

    Par contre on comprend qu'une bombe de 250 kg fait parfaitement le taf contre des retranchements.

    Donc balancer une bombe planante à 50 kilomètre et mieux encore 100 km du front devient un vrai atout. Clairement on va voir ces tactiques se multiplier. Il n'y aura pas plus de SU-XX mais des bombes qui viendront de plus en plus loin.

    • Upvote (+1) 1
  4. il y a 25 minutes, Delbareth a dit :

    Merci pour ces précisions.

    Alors je reformule. Quelle est la plus-value, en l'état actuel de la guerre, des munitions AASM données par la France ?

    Les himars sont moins utilisés parce que il y a moins de munitions (stock US) dispo et aussi moins de lanceur. Les AASM sont adaptés sont des bombardiers qui peuvent tirés assez loin du front.

    • Merci (+1) 1
  5. il y a 11 minutes, MoX a dit :

    Ben par rapport à l'Himars "classique", la charge offensive est plus importante.

    Par rapport au nouveau développement de bombe planante tirée par fusée sur Himars, la vitesse de l'AASM et ses modes de guidage sont probablement un avantage pour optimiser l'effet terminal (dont - angle d'attaque)

    On peut rajouter que la logistique pour armer et amener la munition à distance de tir est plus safe.

  6. il y a 10 minutes, Banzinou a dit :

    Première utilisation d'AASM selon l'Ukraine sur l'usine chimique et cokerie d'Avdiïvka

     

    50 par mois. J'imagine que la France se garde une parti de la production. On doit pouvoir imaginer grossi merdo une prod de 100 AASM-250/mois voir plus si on retient le ration pour les colibris de 1 colibri pour les ukrainiens et 4 pour les Français.

  7. il y a 10 minutes, g4lly a dit :

    Méfiance. A mon sens l'offensive n'est qu'en pause ... Et va reprendre. Probablement pas partout avec la même intensité.

    Je doute que les russes coupent leur effort a Chasiv Yar par exemple.

    Même chose a bas bruit dans le coin de Yampil voir Siversk.

    Et ils ne peuvent pas non plus rester au milieu du gué a Robotyne.

    Oui d'accord avec toi. Toutes les villes / villages / emprise dures, dans lesquelles les russes sont déjà, continueront à subir les assauts russes. On peut aussi penser que les forêts moins boueuses seront des lieux disputés jusqu'à fin avril / mi mai à la louche. Après l'offensive de printemps pourrait repartir.

    • Upvote (+1) 1
  8. il y a 16 minutes, CANDIDE a dit :

    De toute façon, qu'ils aient tiré sur la foule ou pas tiré, en tant que force occupante, l'armée Israélienne est responsable de ce massacre.

    Quand une population est volontairement affamée, il faut s'attendre à des mouvements de foule et de pillage si la distribution d'aliments n'est pas encadrée.. 

    En tant que force d'occupation, ils doivent assurer la sécurité des civils, et l'accès sécurisé aux ressources alimentaires et médicales indispensables à la survie des populations. 

    On voit bien que c'est le cadet de leurs soucis. 

    Oui clairement ils sont responsable soit par amateurisme soit par je menfoutisme.

  9. Le 01/03/2024 à 23:01, rendbo a dit :

    Oui ils en parlaient hier sur France 24, mais le bilan n'était pas définitif et surtout c'était vraiment très à chaud, façon breaking news. Ce reportage du monde est plus posé et contredit en partie les déclarations de l'armée israélienne... à moins bien sûr que ce ne soit le Hamas qui ait monté une grosse manipulation et tiré sur les civils venus au devant des camions... Toutefois notre PR est plus affirmatif que Joe pour dire ce sont les Israéliens qui ont tiré.

    Le reportage laisse les deux versions ouvertes.

    On ne peut pas exclure non plus que les deux versions soit possibles simultanément. Un truc du genre un mouvement de foule qui fait paniquer les israéliens qui défourailles alors gaiement tout ce qui bouge.

    Dans tous les cas on voit pourquoi le ravitaillement aérien est privilégié depuis plusieurs semaines par la France et la Jordanie. 

     

    • Upvote (+1) 1
  10. Ce qu'il y a de bien avec certaine histoire c'est que souvent il y a des balles perdues. Dans l'histoire du leak des généraux allemands il y en a une pour le F-35.

     

  11. Il y a 7 heures, Wallaby a dit :

    Ce dernier souhaiterait en savoir plus sur Taurus, ce qui est étonnamment tardif si l'on considère que le missile fait l'objet de discussions depuis un certain temps. Il ne sait pas s'il pourra lui-même être présent à ce rendez-vous, explique Gerhartz. Il y a quelques problèmes au sein de la commission de la défense, car le programme F-35, un avion de combat polyvalent commandé aux Etats-Unis, devient considérablement plus cher que prévu. Tout cela est déjà très désagréable pour l'armée de l'air, d'autant plus que Gerhartz précise entre-temps que les informations ne doivent en aucun cas parvenir aux médias.

    Or, ces contenus sensibles circulent désormais sur Internet, publiés justement par des médias d'Etat russes.

    :bloblaugh:

    Il y a 7 heures, Wallaby a dit :

    Il faut tout d'abord savoir que Gerhartz n'est pas seulement le plus haut gradé de l'armée de l'air. Il est également considéré comme particulièrement bien connecté sur le plan politique et jouit en outre d'une certaine renommée auprès des alliés, notamment aux Etats-Unis et en Israël. Sa parole a donc du poids.

     

    Il y a 7 heures, Wallaby a dit :

    Selon le Spiegel, la discussion entre officiers dure une demi-heure et émane d’une vidéoconférence sur la plate-forme publique WebEx et non d’un réseau secret interne de l’armée, ce qui pose des questions sur les normes de sécurité interne à la Bundeswehr.

    Bon Gerhartz est en filigrane dans la ligne de mire des média.

  12. il y a 10 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

    Ce genre de problème très peu fréquent doit être étudié en simulation  sur un banc adapté (une reproduction de l'avion avec une stimulation des équipements géré par un calculateur de simulation qui assure la cohérence des stimulations en exécutant un thème).

    J'ai bien écris deux fois stimulation et non pas simulation.

    Il est clair qu'on ne peux pas mettre en panne volontairement l'avion du pilote d'essais surtout quand c'est dangereux,  mais que c'est faisable au banc.

    Donc insuffisance des tests au départ ou il faut recréer ce cas particulier ?

  13. Les USA se préparent à une stratégie assymétrique contre les Chinois. J'avais parlé de problèmes capacitaires des USA à cause de la Chine. C'est exposé ici.

    https://nationalinterest.org/blog/buzz/us-military-has-new-strategy-fight-china-taiwan-war-209816

    Les États-Unis Les militaires ont une nouvelle stratégie pour lutter contre la Chine dans une guerre de Taiwan

    Les États-Unis adoptent des stratégies asymétriques pour contrer l'expansion militaire de la Chine, en particulier autour de Taiwan. Historiquement dépendant de ses prouesses de fabrication et de son avantage technologique, l'armée américaine met maintenant l'accent sur les missiles et les drones pour compenser la supériorité numérique de la Chine.

    par Denny Roy Suivez l'adresse 'Denny'Roy808 sur Twitter L

    Résumé : Les États-Unis adoptent des stratégies asymétriques pour contrer l'expansion militaire de la Chine, en particulier autour de Taiwan. Historiquement, dépendant de sa proue-souris de fabrication et de son essor technologique, l'armée américaine met maintenant l'accent sur les missiles et les drones pour compenser la supériorité numérique de la Chine. Des initiatives telles que le programme "Replicator" et la relance des projets de l'époque de la guerre froide visent à renforcer les capacités des États-Unis contre une force chinoise plus importante. Malgré les progrès rapides, la durabilité de l'influence régionale des États-Unis dépend de la relance de sa base industrielle de défense, car de grands stocks d'armes de pointe sont essentiels au maintien de la parité stratégique. Ces développements soulignent un pivot stratégique, axé sur des solutions innovantes pour contrebalancer la menace militaire croissante de la Chine.

    États-Unis Se tourne vers la guerre asymétrique pour contrer la construction militaire chinoise

    La Chine s'en remettait autrefois à une guerre asymétrique pour compenser ses désavantages militaires contre les États-Unis. Aujourd'hui, l'inverse se produit, compensant partiellement le renforcement militaire chinois qui menace Taiwan.

    Les États-Unis ont l'habitude de jouir de la supériorité industrielle et technologique sur leurs adversaires, y compris la capacité de submerger un adversaire avec un plus grand nombre de plates-formes militaires telles que les navires de guerre, les avions et les chars. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont représenté la moitié de la capacité de fabrication mondiale.

    Jusqu'à récemment, l'armée chinoise était clairement et complètement inférieure à la force que les États-Unis pouvaient supporter dans un conflit de la roulerie du Pacifique.

    En 1996, par exemple, l'US Navy s'est vantée 12 porte-avions, 82 croiseurs et destroyers et 79 sous-marins d'attaque. La marine de l'Armée populaire de libération (PLA) avait 52 destroyers et frégates de la plupart des années 1970 et 1980 et 77 sous-marins obsolescents, bruyants et dépourvus de personnel d'équipage qualifié. Les forces aériennes chinoises auraient été incapables de protéger une flotte chinoise tentant une invasion de Taiwan. Cette année-là, l'US Navy a fait honte à la marine de l'Armée populaire de libération en expéditeur en envoyant deux groupes de combat de porte-avions en réponse à des exercices de la RPC destinés à intimider Taiwan.

    Incapable de correspondre à la marine et à l'armée de l'air de l'US Navy avec des navires et des avions avancés, le PLA a adopté une approche asymétrique. Depuis l’Antiquité, la culture stratégique chinoise a vanté l’idée d’une « masse d’assassin », une arme intelligente qui pourrait vaincre un adversaire plus fort en ciblant sa faiblesse. Pour la République populaire de Chine, les missiles ont été une telle arme.

    Les Chinois ont tiré parti de leurs prouesses dans la construction de missiles, qui sont moins chers et moins exigeants sur le plan technologique que, par exemple, les avions de chasse de dernière génération. Pendant au moins deux décennies, la RPC a utilisé des missiles pour compenser un manque de plates-formes modernes qui pourraient concurrencer directement les forces américaines.

    Pékin a utilisé des missiles, pas des navires de guerre, pour bloquer temporairement les deux principaux ports de Taiwan pendant la crise de 1996. Les missiles étaient la menace la plus redoutable pour une intervention régionale théorique d'une équipe spéciale de l'US Navy.

    Le missile DF-21 chinois est entré en service en 1991. La variante améliorée du DF-21D, déployée en 2006, a attiré le surnom de « tueur de porte-avions » parce qu'elle pourrait théoriquement éliminer un porte-avions américain en mouvement à une distance allant jusqu'à 1 000 miles. Le commentaire officiel de la RPC a qualifié le missile balistique anti-navire DF-21D de « masse de l'assassin pour la guerre asymétrique maritime ».

    L'APL d'aujourd'hui a moins besoin de la masse d'un assassin. Alors que les États-Unis sont le leader qualitatif mondial de nombreux systèmes d'armes, ils ne bénéficient plus d'une capacité de production d'armes battant au monde. La base industrielle de défense américaine a du mal à fournir l'Ukraine et à maintenir les stocks américains pour un éventuel conflit avec la Chine. Des milliers d'entreprises ont cessé de fournir des armements au ministère américain de la Défense, et les industries de la défense américaines n'ont plus que le tiers des travailleurs qu'elles avaient en 1985.

    La Chine, d’autre part, est devenue l’arsenal mondial de la non-démocratie. La marine de l'Armée de libération du territoire comprend désormais 370 navires (comptabilité de grands combattants de surface, porte-avions, sous-marins, navires d'assaut amphibie, navires de guerre des mines et navires auxiliaires de la flotte). En revanche, l'US Navy compte 292 navires. La flotte chinoise est sur la bonne voie pour atteindre 435 d'ici la fin de 2030, tandis que la marine américaine diminuera légèrement pour atteindre 290 sur la base des dernières projections budgétaires. En outre, les actifs de la marine américaine sont répartis dans le monde entier, tandis que la Chine peut concentrer ses forces en Asie de l'Est.

    La stratégie de la Chine est de gagner sans se battre en faisant preuve d'un défilé militaire clair. Pékin espère doter les capacités si formidables que Washington abandonner la possibilité d'intervenir pour aider à défendre Taiwan et Taipei accepte la demande du gouvernement de la République populaire de Chine pour une capitulation négociée.

    Les États-Unis L'armée devient asymétrique pour faire correspondre la Might de l'armée chinoise

    Incapables de suivre la capacité de production de la Chine, les États-Unis développent des approches asymétriques du problème de la masse militaire chinoise supérieure. Comme les Chinois avant eux, les Américains comptent sur les missiles pour changer le jeu, avec les drones, qui offrent des guidages de précision à un coût relativement faible.

    Le programme de « réplicateur » du département américain de la Défense prévoit d’expliciter un ennemi bien armé avec des milliers de drones aériens et de bateaux suicides sans pilote. Adm. John Aquilino, commandant des forces américaines dans la région indo-pacifique, a déclaré qu'il s'attendait à un millier de « cibles » chinoises dans les 24 premières heures d'une guerre du détroit de Taiwan. L'unité d'innovation du gouvernement américain a invité des offres pour la production d'un grand nombre de drones de mer rapides et mortels.

    Pendant la guerre froide, le gouvernement américain a lancé des efforts pour développer des véhicules de glissement hypersonique - missiles capables de vaincre les défenses antimissiles par une combinaison de vitesse élevée, de maniabilité et de faible trajectoire. L'année dernière, le président Joe Biden a invoqué la loi sur la production de la défense pour revitaliser le développement et la production de ces armes aux États-Unis.

    La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) redémarre le programme de dissimDirective d'assaut de l'ère de la guerre froide, répondant initialement au risque qu'une attaque soudaine d'un grand nombre de chars soviétiques puisse écraser les défenses de l'OTAN. Le programme prévoyait que les missiles lancés de l'extérieur du champ de bataille laissait des sous-munitions guidées avec précision pour détruire certaines des véhicules soviétiques avant qu'elles n'atteignent les lignes de front. Le nouveau programme « Assault Breaker II », amélioré avec des composants de pointe, conviendrait pour attaquer les avions de guerre chinois garés sur les bases aériennes ou les navires de guerre chinois dans le port ou en cours, réduisant ainsi la taille de la force d'invasion.

    L'année dernière, le Département de la défense a fait pression sur Lockheed Martin pour qu'il augmente sa production de missiles anti-navire à longue portée et du missile stand-off commun de 500 à 1 000 par an.

    Tous les principaux services armés américains renforcent leurs capacités à mener des frappes de missiles.

    L'armée américaine organise des batteries de missiles hypersoniques dans le Pacifique. Avec la création de régiments de littoral de marine, le Corps des Marines est en train de se remodeler pour remplir une nouvelle mission principale : établir des positions avancées pour faire fonctionner des drones et tirer des missiles antinaviraux et anti-aériens pour soutenir la marine américaine dans une guerre contre la Chine.

    La marine américaine a demandé d'urgence des missiles anti-navires avec des portées plus longues et en plus grand nombre. Pour augmenter le nombre de plates-formes de distribution de missiles, la marine a commencé en 2022 à modifier les avions de surveillance P-8 afin qu'ils puissent tirer des missiles antinavires.

    La même année, l'US Air Force a annoncé qu'elle testait un système qui permettrait aux avions cargos tels que les C-17 et les C-130 de lancer des missiles de croisière. Ces deux programmes sont liés aux plans américains pour les contingences liées à la Chine.

    Alors que la RPC poursuit son renforcement et sa modernisation militaires, ces réponses asymétriques contre-productives renforcent de manière crédible la capacité des États-Unis et de ses partenaires à dégrader la horde de plates-formes que la Chine entraînerait un conflit régional. De plus en plus, ce n'est pas seulement l'armée américaine, mais aussi l'APL, qui doit envisager le scénario de ses propres navires et avions qui se chargent dans une grêle de missiles.

    La rapidité avec laquelle Washington a poursuivi des solutions asymétriques est assez impressionnante. Pris ensemble, ces mesures pourraient annuler la confiance que Pékin pourrait autrement gagner à mesure qu'elle ajouterait davantage de navires de guerre et de avions de guerre à l'arsenal chinois.

    L'incapacité à expulser la production de grandes plates-formes, qui sont coûteuses et vulnérables, a l'avantage possible de forcer les planificateurs américains à sauter les anciens systèmes d'armes en quête de méthodes potentiellement plus efficaces pour contrer l'aventurisme de l'APL.

    Mais bien que les États-Unis trouvent des moyens de s'attaquer aux vulnérabilités stratégiques à l'APL à court terme, le maintien de l'influence régionale ne sera pas possible à moyen terme sans une base industrielle de défense solide. En effet, même les approches asymétriques exigent d'importants stocks d'armes.

    Les résultats des jeux de guerre du détroit de Taiwan bien connus menés par le Center for Strategic and International Studies publiés en 2023 indiquaient qu'une tentative chinoise de capturer Taiwan échouerait. Pourtant, l'armée américaine ainsi que l'APL subiraient des pertes massives. Même ce résultat serait à l'avantage éventuel de la Chine, car la Chine pourrait reconstruire ses forces plus rapidement qu'un États-Unis plus faible au niveau industriel, permettant à Pékin d'assumer la position incontestée de leader stratégique dans la région.

  14. Il y a 5 heures, wielingen1991 a dit :

    Le Pentagone a confirmé que l'Arabie saoudite avait refusé d'accorder aux pays de la coalition l'autorisation d'utiliser son espace aérien pour attaquer les Houthis au Yémen.

     

    L'AS est donc le cul entre deux chaises à cause de Gaza. Merci Bibi. Je ne sais si quelqu'un lui a dit à BIBI que d'ici quelques mois il pourrait se retrouver tout seul à gérer Gaza et ... tous les musulmans autour ... Moi je dis çà, je dis rien ...

    • Upvote (+1) 1
  15. il y a 3 minutes, Wallaby a dit :

    Parce que comme chacun sait, la parole d'un ministre c'est parole d'évangile.

    En plus c'est peut-être des informations fournies par des alliés qui nous veulent du bien, comme les informations sur les armes de destruction massives de Saddam Hussein.

    De toute façon ce n'est pas à nous à interpréter ces informations. Le gouvernement a décidé de changer de postures sur la base de ces information c'est tout ce qu'il faut retenir.

  16. il y a 32 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

    Faudrait pas que çà devienne : "faute de participants correctement armés Paris se retrouve seul à aider les ukrainiens ...". 

    Sinon il parait que les F-35 sont parfaits pour la guerre ambigüe. On pourrait les tester ? Ah pardon il faudrait avoir penser à acheter des munitions :dry:

×
×
  • Créer...