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Messages posté(e)s par herciv
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il y a 31 minutes, vincenzo a dit :
Elle est compliquée cette image. Que de mélange historique ! ET puis le cheval sur un tank avec un souci de proportion. A vue de nez il y a une IA qui a travaillé ce truc.
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L'article de defensereview.gr qui signale l'offre de NEXTER .... juste avant une réunion au sommet de l'état-major.
https://defencereview.gr/apokleistiko-i-olistiki-protasi-ton-g/
"Malgré le fait que les VBCI français soient des véhicules de combat à roues, ils ont néanmoins répondu avec un grand confort sur toutes les voies de circulation, dont une grande partie était boueuse. Le cas typique est celui de la traversée d’un obstacle d’eau, la rivière Nestos, dans laquelle les VBCI se déplaçaient facilement sur les rives de la rivière."
Un ancien article de defensereview.gr qui parlait déjà du VBCI en bien et des facilité de franchissement de celui-ci :
https://defencereview.gr/ellinikos-stratos-ta-gallika-trochofo/
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il y a 1 minute, Titus K a dit :
Est-ce que les sous marins français font parfois des exercices où le massif vient briser la glace ?
Les britanniques et les US le font lors des "ICEX"
Je crois que çà fait très longtemps que çà n'a pas été fait.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Eh ben. Le figaro explique la position du Pres .. avec un fort accent gaullien. Les russes et les US nous mettent dans la merde mais la France n'est pas désarmée.
RévélationLova RINEL. - L'enseignement fondamental de cette interview, c'est que le président acte peut-être le réveil, ou le sursaut français à réapprendre le rapport de force international. Mais le vrai, celui qui ponctue les tensions.On voit un président assez serein, sûr de sa position et des raisons qui le poussent à tenir cette posture.
Si on se focalise sur les propos du président, on comprend qu'il ne dit rien d’autre que ce que plusieurs experts défense et dissuasion expliquent depuis le début du conflit :
Nous faisons face à une guerre voulue par la Russie qui dépasse un conflit bilatéral. Il est colonial et hégémonique et il ne s'arrêtera pas aux territoires ukrainiens.
L'autre enseignement, et c'est certainement le plus fort, c'est que la France est une des clés de ce conflit. La capacité du président français à gérer sur ces prochains mois (à horizon 2026) le rapport de force avec un allié comme les États-Unis, qui semble se diriger vers la cause russe, peut être décisive pour l'Europe.
La dissuasion nous permet à vous et à moi, et à toutes les personnes se trouvant sur le territoire de vivre en sécurité sans passer par l'enseignement des armées.
En creux et pour le dire plus simplement, l'autre enseignement qu'on peut tirer c'est que la France joue sa carte géopolitique. La responsabilité et l'enjeu de porter un message autre que celui des Russes et des Américains repose aujourd’hui sur la France.
En sus, le président Emmanuel Macron ne fait rien d'autre que de respecter l'exégèse de notre doctrine : l'indépendance stratégique. Il l'a affirmé jeudi soir, en cela, c'est très positif et même rassurant. Maintenir cette liberté d'action sera déterminant pour la France.
«La Russie ne doit pas et ne peut pas gagner cette guerre», a martelé le chef de l'État, estimant que la sécurité de la France et de l'Europe se joue en Ukraine. Le chef de l'État cherche-t-il à faire prendre conscience aux Français du danger qui pèse sur l'Europe, et donc sur eux, pour qu'ils soutiennent son action ?
La France vit dans un monde préservé de tout conflit sur son territoire grâce à sa dissuasion depuis les années 60. J'entends par conflit, des guerres dites de haute intensité nécessitant un appel à la conscription ; ce qui explique en partie d'ailleurs le choix de la France de quitter le service militaire.
À lire aussiNicolas Tenzer: «La question du mal est une porte d’entrée pour l’analyse stratégique»
Nos choix stratégiques de défense du territoire ont permis d’alléger nos besoins de recrutement, et ce grâce à notre dissuasion. Elle nous permet à vous et à moi, et à toutes les personnes se trouvant sur le territoire de vivre en sécurité sans passer par l'enseignement des armées. L'une des conséquences directes de la fin du service militaire (1996) est que la France a fait reposer sa défense essentiellement sur la dissuasion en disposant en plus d'une armée de terre présente sur des OPEX. Le plan vigipirate est venu rappeler aux Français que nos militaires existent bien et qu'il protège notre territoire mais en réalité, nous n'avons pas été éduqués à la guerre. C'est une bonne chose en soi, mais elle pose la limite de la compréhension d'un imaginaire collectif limité sur les choses du danger de l'affrontement. La Russie, en envahissant l'Ukraine et en menaçant l'Occident d'une attaque nucléaire, est venue briser cet idéal. Le président vient juste rappeler cette dure réalité.
La dissuasion c'est le flou dans les intérêts vitaux ; on ne les définit pas, sinon on perd l'avantage de la négociation, mais c'est la certitude de la riposte nucléaire en cas d'atteinte à nos intérêts vitaux.
Il faut aussi comprendre que cette sérénité est aussi valable en Europe, certes le parapluie nucléaire existe, mais il est fragile. Déjà il est entre les mains des Américains, qui rappelons-le, si Donald Trump vient à gagner les prochaines élections pose une incertitude quant à la capacité des USA à faire appliquer l'article 5 de la Charte de l'Otan (défense collective). Le doute est sincèrement posé compte tenu des différents propos tenus par Donald Trump qui laissent à penser que s'il gagne il lèvera tout soutien à l'Ukraine et n'engagera pas l'armée américaine dans un conflit avec la Russie.
Maintenant est-ce que la France est en danger si l'Ukraine perd cette guerre ? La question est d'autant plus importante qu'elle est plus large. En effet, ce n'est pas la France mais toute l'Europe qui serait en danger et les États baltes ne cessent de nous alerter sur le sujet. Les avis divergent en France, or en Europe, le consensus est plus largement répandu. Je reformule donc, non seulement la France serait en danger en cas de victoire de la Russie dans l'intégrité de son territoire et de ses intérêts mais toute l'Europe et c'est un avis partagé par les États européens.
Et d'ailleurs les journalistes l'ont évoqué à juste titre, sans être dans un conflit de haute intensité avec la Russie, cette dernière ne cesse depuis 2017 de nous attaquer par des assauts de déstabilisation qui pose d'ailleurs l'un des nouveaux visages de l'affrontement avec une puissance : ingérence, désinformation, raids cyber... C'est évidemment sans compter les différentes attaques sur notre modèle de société, la défense de la communauté LGBT et les libertés individuelles qui semblent être l'une des justifications de Vladimir Poutine des attaques qu'il envoie de manière détournée sans jamais vraiment les assumer. Wagner n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.
Emmanuel Macron assuré que l'arme nucléaire « donne aux Français une sécurité » face à la Russie. Emmanuel Macron cherche-t-il à maintenir le flou ? Doit-on les interpréter comme une volonté de maintenir un bras-de-fer face à Poutine ? Dans quel objectif ?
La dissuasion, c'est le flou dans les intérêts vitaux ; on ne les définit pas, sinon on perd l'avantage de la négociation, mais c'est la certitude de la riposte nucléaire en cas d'atteinte à nos intérêts vitaux. C'est d'ailleurs le cœur de l'interview sur la dissuasion du président jeudi. La France a trop voulu trouver une solution par la voie diplomatique pour «calmer» les Russes, mais elle s'est heurtée à un mur d'agressivité et de chantages inacceptables pour les Ukrainiens.
Aujourd'hui, nous sommes très loin d'un danger nucléaire.
L'objectif de la dissuasion, c'est effectivement de poser l'arme nucléaire sur la table. Ici c'est la Russie qui l'a imposé dans ce conflit (24 fois depuis 2022) pour empêcher toute discussion. La France pose un autre rapport de force, utilisant l'arme nucléaire comme outil de dialogue stratégique, elle pousse la Russie à négocier. La dissuasion utilisée par la France est une voie de retour à la discussion et non à l'augmentation des tensions. La balle est dans le camp de la Russie, c'est elle qui doit décider si elle accepte la main qu'on lui tend pour trouver une fin à ce conflit.
Nous avons un président qui a peut-être compris le seul moyen de parler à Vladimir Poutine, la force. Ça déstabilise chez nous, mais c'est respecté en Russie, et c'est le principal.
Avec ce type de propos, ne risque-t-on pas un dérapage engageant la dissuasion nucléaire ?
La dissuasion est engagée depuis 1960 (gerboise bleue premier essai français), c'est une arme de non-emploi pour l'inciter à renoncer à nous attaquer. C'est la définition de la dissuasion, et sauf erreur de ma part, la France n'a pas été attaquée par une arme nucléaire par la Russie, donc à ce stade, cela fonctionne. Le jour où l'arme est employée, c'est mécaniquement la fin et l'échec de la dissuasion. Aujourd'hui, nous sommes très loin d'un danger nucléaire. La dissuasion nucléaire française est crédible aux yeux de tous, même des Russes et le président Poutine peut parler de la supériorité de ses armes, il n'en demeure pas moins que la force égalisatrice de l'atome. C'est le fait qu'une arme atomique stratégique comme la nôtre peut causer des destructions irréversibles à la Russie, il n'y a donc pas d'intérêt ni pour eux ni pour nous d'en arriver là. Mais c'est à Vladimir Poutine de redescendre en pression et c'est le message que la France lui fait passer. Pour la première fois, les Russes ont une résistance de taille, je crois au contraire que c'est le début, certes d'une tension, mais un moment obligatoire pour arriver à quelque chose où nous Français garantissons notre sécurité, tout comme les Européens.
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il y a 24 minutes, Ronfly a dit :
Si cela ce fait, beau clin d'oeil au concept de notre sous marin.
Pour info le requin et l'espadon était des noms de sous-marin narval. Donc à part l'orque il y a beaucoup de clin d'oeil je trouve.
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Toile de camouflage conçues par SAAB, commandée à 3000 exemplaire pour la France et fabriquées en France :
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il y a 6 minutes, Patrick a dit :
Bien! Officialisation politique.
Maintenant attendons les répliques du séisme. Et surtout le versement du premier acompte.
Eh bien moi j'attendrais la première livraison et sa bonne réception. 4 milliards, quand on voit que les Australiens sont prèt à mettre plus d'une centaine de milliards dans une capacité ppt, çà ne pèse rien.
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il y a 22 minutes, Clairon a dit :
Je me disais, le fabricant d'élétro-ménager de cuisine donne son soutien ... Ca aurait pû être : Moulinex valide ...
Clairon
Excellent j'avais pas fait attention mais je la laisse telle que publié au départ.
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il y a 43 minutes, Alexis a dit :
J'aime les explications claires, et les spéculations optimistes
Voici un fil sur l'aspect nucléaire de la situation. Et sur l'hypothèse que cette séquence est en fait une montée en tension... préalable à négociation ?
Très bonne découverte et thèse très plausible en fait. Elle est basé sur le constat d'un relatif équilibre sur le front. Mais pour l'instant la razpoutiza brouille les cartes et c'est un équilibre qui ne pourrait être que temporaire. Je pense qu'il faut donc attendre la fin de l'été pour voir si les russes s'enlise vraiment.
D'autre part les déséquilibres en matière de production de munitions, d'armements et de recrutements sont toujours là donc même si Macron maitrise la dialectique de la dissuasion on peut aussi se dire que Poutine a lâché un ballon d'essai pour voir si Macron était à la hauteur.
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Seb valide :
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il y a 16 minutes, Delbareth a dit :
Ceci répond en partie à ma question précédente. L'identification à 70km (si elle est possible), n'est pas limité par la chaleur de l'avion cible mais pas d'autres paramètres optiques indépendant de la cible. Donc contre des avions-torchères, on les détecterait de plus loin, mais on les identifierait toujours de 70 km. C'est ça ?
Oui mais comme dit plus haut les pilotes sont capables d'identifier de plus loin. C'est en particulier dû au fait que l'objet à identifier est mobile et présente une cinématique analysable au-delà du "simple" traitement d'image. Cà permet au cerveau de construire un modèle de ce qu'il voit. Bref ce n'est pas parce que le pouvoir séparateur n'est pas suffisant que tu ne peux pas obtenir une identification lointaine. J'imagine qu'une IA pourra obtenir aussi des identifications lointaines si l'objet à une cinématique complexe.
Les avions torchères peuvent te simplifier la vie en détection si :
- la plume d'éjection est grande et contrastée sur plusieurs zone
- Si leur chaleur est très différente de celle du fond d'image (contraste)
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On sait qui fera le système d'arme ? On parle de LM mais on a des certitudes ?
Je pense finalement que LM s'est retrouvé aussi con que NAVAL après AUKUS. Les dizaines de milliard de dolalr qui devaient rentrer dans leur caisse sont de la perte sèche. Je doute que cette fois il ne coopère pas pleinement avec Naval group.
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il y a 6 minutes, Nicks a dit :
Elle date de quand cette culture d'entreprise ? Airbus était un consortium, c'est devenu une multinationale européenne sur laquelle la France n'a plus que très peu de pouvoir. Et on y a sacrifié des entreprises françaises très bien portantes, via EADS. Regardez ce qui se passe à propos du SCAF, ça me semble édifiant...
Oui mais encore une fois cet esprit prévalait avant Airbus chez EADS justement.
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Il y a 1 heure, Nicks a dit :
Ce n'est pas mon critère. On peut s'inspirer des relations Dassault / Airbus pour s'en convaincre. On peut aussi se voiler la face et faire comme si...
Tu te met complètement le doigt dans l'oeil si tu crois que la culture d'entreprise de Airbus vient des Allemands. Pour avoir connu ASTRIUM je peux t'assurer que l'esprit AIRBUS est très présent en France. Pour moi ils ont une culture d'entreprise très proche de celle de LM ou Rheinmetall. Ca donne de très grosse difficulté sur des programmes majeurs dès lors qu'ils sont impliqué. Ca n'est pas lié à la nationalité de leur salarié, c'est très lié à une culture d'entreprise et à une stratégie.
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il y a 53 minutes, Nicks a dit :
Il y a un fait historique qui verrait le coeur de la France à Berlin ? Aix la Chapelle à la limite...Bon, bien évidemment cette analogie est nulle et non avenue.
Pour le reste, c'est un cauchemar pour la France parce que c'est mon pays et que ça me concerne. Je ne dis pas que les ukrainiens doivent être contents d'être vassalisés s'ils venaient à l'être, mais que ce n'est pas mon affaire. Et je ne dis pas non plus que Poutine a raison de penser ce qu'il pense mais qu'il faut savoir ce qu'il pense pour anticiper sa réponse si jamais on met des troupes aux sols en Ukraine.
Enfin sur la démocratie en Europe. Oui c'est mieux sur la forme qu'en Russie. On y meurt beaucoup moins d'exprimer son opposition (mais on y est de plus en plus souvent maltraités tout de même). Après, il faut bien chercher pour voir émerger des changements politiques réels et pour constater que les citoyens décident vraiment de quelque chose, à part en Suisse, mais ce n'est pas l'Ue.
Si tu veux je peux te retrouver X faits historiques dans lesquels l'Europe a déjà existé :
Europe Magdalénienne (pas de pays dutout) plusieurs milliers d'années
Empire Romain Capital Rome plusieurs siècle
Empire Carolingien Capital Aix-La-Chapelle plusieurs dixaines d'année
Saint Empire Romain germanique, plusieurs dixaines d'années aussi
1er empire
Europe Hitlérienne
Alors voilà tu peux continuer à déblatérer sur l'histoire pour justifier moins d'Europe ou réfléchir à ce qui est bon pour nous compte tenu de là où les pays impérialiste d'aujourd'hui veulent nous emmener (Russie, Chine et USA).
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
il y a 44 minutes, Fred974 a dit :Je pense que tu fais référence à la partie où le PR explique que si l'Ukraine perd (faute d'investissement de notre part), alors l'Europe perd.
- Une Russie victorieuse, c'est montrer à la totalité des pays du monde que la force peut l'emporter sur le droit. C'est le point majeur à mon sens. A partir de là, n'importe quel dictateur pourra se rapprocher du "maître Poutine" et se lancer dans (au choix) la répression de masse XXL dans son pays, l'invasion de son voisin un peu plus faible, etc. Bref : tu prends ce qu'il y a de pire comme situations politiques régionales actuelles, tu imagines le pire et tu auras une vision du futur.
- L'autre point est plus direct pour nous (et même quand on ira faire nos courses, rouler en voiture, chauffer nos maisons...). Jusqu'à présent la Russie était juste un compétiteur sur le marché mondiale de la recherche de partenaire économique de matière première (pillage diront les mauvaises langues). Aujourd'hui il est un adversaire plus agressif (on fait la liste des pays où ex-Wagner, actuelle AfrikaKorps nous a évincé ? ). Cela aura un impact sur nos approvisionnements en ressources. Si la Russie se mue en ennemie, ce sera encore plus compliqué.
Oui on aborde ces point dans la France dans un monde de blocs. Le fait saillant est que rester un pays de taille moyenne avec des ressources minières limitées va nous handicaper ainsi que tous nos voisins pris un par un.
Ce que Macron souligne avec cette défaite cà serait l'incapacité de l'Europe à prendre les bonnes decisions pour sa défense. Le contre point étant que il n'y a aucune raison de perdre la guerre si l'Europe s'implique franchement.
L'Europe doit devenir une puissance militaire.
C'est un discour qui a sa chance parce que les pays de l'est y sont de plus en plus sensible. Par contre Italie, Espagne et Allemagne vont tâcher de rester en dehors.
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il y a 54 minutes, Neuron a dit :
Tu as raison et c’est la grande question où seul Macron a la réponse : à partir de quelle perte de territoire /effondrement local du front, Macron estimera qu’il est temps d’intervenir ?
Pour moi cà serait soit le Dniepr soit un que en Moldavie ca commence trop a craindre.
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Il y a 5 heures, lum a dit :
Bonjour,
J'ai une question en tete et je la pose ici sans savoir si c'est le bon fil:
Si nous nous engageons sur le sol ukrainien est ce que les autres pays Europeens (je pense en particulier a l'Allemagne) pourraient refuser que nos vehicules lourds passent sur leur territoire (route et/ou rail)?
Merci,
Laurent
Il y a plusieurs passages possibles. Moi je pense surtout a la Roumanie. On peut peut-etre emprunter le bosphore mais les turcs risquent de dire non. Il y a la baltique aussi.
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Manu persiste et signe :
Il n'exclu toujours pas. Et la France aide les ukrainiens a developper leur propre fabrication d'obus.
Clairement le pres veut que la guerre reste sur le territoire Ukrainien. Bon objectif.
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Les US se font des noeuds au cerveau concernant la bulle A2/AD
Les porte-avions de l’US Navy seraient inutiles dans une guerre avec la Chine
L’US Navy a longtemps apprécié les capacités de projection de puissance que ses porte-avions massifs et extrêmement coûteux ont permis. Cela pourrait se terminer par un désastre.
https://nationalinterest.org/blog/buzz/us-navys-aircraft-carriers-would-be-useless-china-war-210007
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il y a 23 minutes, Manuel77 a dit :
4. à en juger par la virulence du débat, je pense qu'il est envisageable que la coalition gouvernementale éclate.
Tu as des articles sur ce point ? Scholz serait menacé ?
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il y a 31 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Et çà commence à chauffer l'AESA :
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il y a 28 minutes, Fritkot a dit :
Ce Milestone C (qui en soi est une étape purement programmatique sans trop d'importance) n'exigeait pas du tout de tests OT&E classiques.
Ce n'est pas que programmatique. C'est egalement légal. Sans le milestone C il ne pouvait legalement pas y avour de fabrication en série.
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il y a 1 minute, Neuron a dit :
Au delà des effets d’annonce, pour nous Français, est ce vraiment notre intérêt de produire des centaines de milliers voir millions d’obus de 155/an ? =>
1. Avons nous l’armée russe à nos frontières, nous obligeant à aligner 300 Caesar en urgence avec le volume d’obus correspondant ? Clairement non, et ce n’est vraiment pas près d’arriver.
2. Ce que veulent les ukrainiens de notre part c’est des SCALP et des Caesars avant tout. Les quantités déjà fournies et à venir sont loin d’être ridicules.3. La question que se pose (probablement) le MinArm concernant les obus à produire est la suivante: que va t’il se passer si je demande (et paie surtout) Nexter pour transformer / augmenter ses chaînes de production et que la guerre en Ukraine s’arrête dans 6 mois ou 1 an laissant Nexter à devoir fabriquer des obus devenus « inutiles » et avec des chaînes de fabrication tout aussi inutiles elles-mêmes surtout qu’en parallèle:
=> les américains fournissent en grandes quantités en obus de 155 les Caesars ukrainiens
=> l’initiative européenne commune va permettre de fournir 800 000 obus aux Ukrainiens
=> si le deal se fait au Qatar avec le VBCI, Nexter va construire une usine locale de fabrication d’obus avec Barzan (industriel en devenir et mini DGA locale)… et qui a justement pour objectif de fabriquer entre autres, du 155. Il est n’est pas interdit d’imaginer qu’une partie de cette production si la guerre en Ukraine s’éternise, finisse justement en Ukraine.
Ce ne sont pas les chaines de fabrication d'obus qui sont les plus difficile à stopper.
Mais dans le cas ou Poutine continue a avoir des visées sur d'autre pays européens c'est la France qui est le recul stratégique de l'Europe (avec le RU et l'Espagne). Ce n'est pas rien que certains de sites de fabrications sont très à l'ouest. Quant aux américains il faut en parler au passé puisque les obus fournis étaient payés avec leur sous.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
dans Politique etrangère / Relations internationales
Posté(e)
Bonne question. C'est vrai qu'ils en ont parlé tous les trois mais je ne vois pas non plus de quoi ils parlent.