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Niafron

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Messages posté(e)s par Niafron

  1. Les intérêts ou les obsessions? Si on s'engage sur un Deal gagnant/gagnant, en théorie, au niveau économique, personne n'y perd, ni les gouvernements, ni les constructeurs... Si Dassault doit fabriquer 100 Rafale de plus, ça change quoi des les vendre à l'Allemagne plutot qu'à la France?

    Et pareil pour Eurofighter...

    A la limite, on aurait pu dire qu'un seul avion polyvalent comme le Rafale pour tout le monde était la meilleure idée à la base pour faire des économies et avoir une bonne gestion, mais les choses étant ce qu'elles sont, nous avons bien mainteant 2 programmes plus ou moins arrivés à maturité, dont l'un est un redoutable chasseur bombardier et l'autre un avion spécialisé dans le A2A. Donc, au lieu de regretter des choix anciens, pourquoi ne pas faire avec ce qu'on a?

    Par ailleurs, se pourrait être une occasion de mutualiser les moyens en terme de formation ou de gestions des stocks, non?

    Après, si on me dit que de toute manière, le Rafale est et restera supérieur en A2A, c'est autre chose, mais de ce que j'ai compris, quand il aura enfin son AESA, le Typhoon a quand même de belles qualités.

  2. Dites, si le Typhoon fait quelques progrès et qu'il finit par être équipé de tous les jouets technologiques annoncés, serait il envisageable d'en équiper la DA française en remplacement des M 2000-5 si les allemands ou les anglais s'engagent à commander des Rafale pour remplacer leurs Tornado?

    Ou alors pensez vous que même en A2A, le Rafale est foncièrement meilleur et le restera?

    Je précise, question purement technique, laissons les facteurs politiques de côté un instant.

     

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  3. Le ‎20‎/‎04‎/‎2018 à 08:34, pascal a dit :

    Je pense que nous sommes partis pour lire UNE MASSE CONSIDÉRABLE DE GROSSES CONNERIES sur ce sujet, si j'en crois les commentaires qui fleurissent ici ou là; sujet qui de toute manière restera confidentiel quant au données classifiées.

    Dans l'idée de conserver à ce forum une certaine tenue et une rigueur qui a souvent fait sa renommée j'invite tout le monde

    1-à tourner son clavier 7 fois sur la table avant de répertorier  telle ou telle info issue de la webosphère

    2-à bien s’imprégner de la signature qui est visible au bas de mes posts et que nous devons au sergent instructeur Hartmann trop tôt disparu

     

    "est-ce que c'est clair tas de punaises" :tongue:

     

    Je vous remercie par avance :smile:

     

    Est-ce que c'est toi John Wayne ... ou est-ce que c'est moi?

  4. Bah les représailles, elles durent depuis longtemps maintenant... depuis la chute d'Alep, la question de la rebellion semble pratiquement réglée.

    Tout ce qui se passe en ce moment, intervention turque, nervosité israélienne, frappes des occidentaux, Daech qui remet le nez à la fenêtre...

    C'est parce que suite à la victoire du régime sur la Syrie "utile", y a une recomposition, un nouveau rapport de force entre factions, une nouvelle phase de la guerre, pour ne pas dire une nouvelle guerre tout court.

    Et pour moi, le principal enjeu maintenant, c'est le Kurdistan, parce que de fait, c'est la seule zone à peu près cohérente et viable à pouvoir survivre au nettoyage contre révolutionnaire.

    Hélas pour les Kurdes, si on les lache, en Syrie, ils n'ont que des ennemis.

     

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  5. Il y a un point que j'ai du mal comprendre, c'est le lien existant entre la convention sur l'interdiction des armes chimiques et le chapitre 7 de la charte des nations unies.

    Est ce que la convention spécifie textuellement qu'en cas de non respect par un état signataire, des sanctions pourraient être prises dans le cadre du fameux chapitre 7 en suivant le cadre général suivant:

    "Article 39

    Le Conseil de sécurité constate l'existence d'une menace contre la paix, d'une rupture de la paix ou d'un acte d'agression et fait des recommandations ou décide quelles mesures seront prises conformément aux Articles 41 et 42 pour maintenir ou rétablir la paix et la sécurité internationales."

    Ou bien, la convention ne spécifie t elle rien de particulier et laisse aux autres états signataires le soin de décider de la réponse apropriée, réponse ne pouvant être unilatérale à cause de leurs engagements à l'ONU?

    Parce que pour autant que je sache, il fut un temps ou le non respect d'un traité était considéré comme pouvant légitimer une guerre.

    Bref, admettons que l'OIAC prenne une position affirmative sur la culpabilité de tel ou tel état, un autre état signataire est il légitime à répondre militairement sur la seule base du traité ou faut il obligatoirement un vote au CS, que ce soit parce que la convention le spécifie ou parce que l'adhésion aux principes énoncés par la charte de l'ONU l'emporte sur toute autre logique?

    P.S: désolé si la question n'est pas claire, mais ce n'est pas très clair dans ma tête non plus!

  6. il y a 37 minutes, Castor a dit :

    Je pense donc que ça dépend de quel coté de l'atlantique on est.

    Si on se réfère a cette interview de 2016 dans The Atlantic, voila ce que dit Obama sur l'intervention Libyenne:
    https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2016/04/the-obama-doctrine/471525/ 
    Avec les extraits suivant 

    Ou alors cet autre article qui serait trop long a traduire et qui explique assez longuement le contexte et le déroulement de la prise de décision de l'intervention américaine, qui a en croire ses dires n'est pas le résultat de l'influence/insistance Européenne.

    https://www.rollingstone.com/politics/news/inside-obamas-war-room-20111013

    je ne cherche pas à prouver a tout prix que Cameron et Sarkozy n'ont joué aucun rôle, tout comme BHL, mais je pense que le story-telling français a surtout servi à faire mousser des protagonistes et soigner l'opinion publique.

     

     

    Bon, j'ai pris le temps de le lire ce fameux article... Très intéressant sur les détails, effectivement.

    Mais c'est totalement agiographique pour Obama.

    Par ailleurs, l'article nous présente les coulisses de la prise de décision américaine, mais ne dit absolument rien de ce qui s'est passé au même moment à Londres et à Paris. C'est un peu facile de dire qu'Obama a décidé d'agir parce qu'il a eu "l'opportunité pour, que le contexte international était favorable" sans étudier en détail le dit contexte international et en quoi il était favorable.

    Après, c'est toujours pareil, et je reconnais que c'est un vrai problème, nous pouvons difficilement agir sans l'appui des USA alors que eux peuvent se passer de nous. Donc, dans l'absolu, on pourra toujours dire qu'ils ont le dernier mot ( encore qu'au Mali, l'impression que j'ai, c'est qu'ils nous ont soutenus un peu contraints, avec le strict minimum et qu'ils n'étaient pas super chauds pour le faire).

    Mais cela n'évacue pas la question de savoir qui a poussé à la roue. Ce qui ressort aussi de cet article, c'est qu'Obama a beaucoup consulté et a été long à se décider. Et on voit bien l'importance accordée à divers acteurs de la politque américaine, mais curieusement, le rôle éventuel de leaders étrangers dans ces consultations est pratiquement totalement évacué.

    Donc, même si c'est une mine d'information, je le trouve très orienté cet article et par ailleurs, tourner en dérision le rôle de la France en agitant BHL m'hérisse un peu le poil.

    Pour tout dire, c'est quand même à la limite du french bashing...

  7. il y a 9 minutes, Arland a dit :

    J'y crois moyen à cette hypothèse, les américains n'ont pas besoin de dissuader les russes de bouger. Les paroles des derniers jours étaient surtout du bluff et les russes n'ont ni les moyens ni l'envie de s'opposer ouvertement aux forces américaines dans cette région.

    Ils n'ont pas réagit lors de la perte de leur avion face à Erdogan, ils n'ont pas réagit face aux frappes de 2017, ils n'ont pas réagit face à la destruction d'un avion syrien par les USA, ils n'ont pas réagit face au massacre de leurs mercenaires par les USA, du coup il n'y avait pas plus de raison pour eux de réagir face à la destruction de quelques bâtiments du gouvernement syrien après une semaine de préavis. La seule incertitude a été la nature des cibles pendant un temps jusqu'au retournement de veste de Macron/Trump 24/48h après pour annoncer qu'ils allaient juste taper les moyens chimiques du régime syrien.

    Peut être, mais je suppose que quand on planifie une opération de ce type, on ne prend pas de risques...

    Tu peux aussi le voir d'une autre manière: le départ du PA constitue peut être une concession de Trump à son Mindef qui semblait craindre que les choses ne dégénèrent.

  8. Autre question que je me suis posé ce WE. Plusieurs ici ont pointé que le départ du groupe Aéro Américain de Norfolk était peut être une feinte pour dissimuler l'iminence de l'attaque.

    Possible.

    Mais j'ai une autre hypothèse, il s'agissait peut être d'un moyen de pression dans les discussions "informelles" avec les russes pour les "convaincre" de ne pas réagir à l'attaque.

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  9. il y a 5 minutes, Wallaby a dit :

    Le Maroc est ici assez en phase avec les autres pays arabes : Egypte ou Irak et même... l'Algérie!

    https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/0301563315586-la-syrie-et-liran-au-coeur-du-sommet-de-la-ligue-arabe-2169225.php (15 avril 2018)

    L'Irak craint en effet que cela n'offre « au terrorisme une occasion de se développer ». L'Algérie « ne peut que regretter » les frappes, menées « au moment où toute la communauté internationale attendait l'envoi d'une commission d'enquête pour vérifier ces informations relatives à l'usage de l'arme chimique que l'Algérie dénonce », a relevé le Premier ministre Ahmed Ouyahia.

    En tout cas cela donne une raison supplémentaire au Maroc de ne pas respecter les résolutions de l'ONU sur le Sahara occidental. Le Maroc n'a pas été fâché par l'annexion russe de la Crimée.

    Oui, bah L'irak étant impliqué côté régime en Syrie, rien de surprenant, quant à l'Egypte et à l'Algérie, même topo que pour le Maroc... Entre les problèmes internes et les postures internationales un peu mouvantes d'un cas à l'autre, tu me permettras de ne pas y voir une forte position de principe.

  10. il y a 22 minutes, Wallaby a dit :

    https://www.franceculture.fr/emissions/affaires-etrangeres/le-droit-de-la-guerre-au-xxie-siecle (14 avril 2018)

    9:49 Jean-Marie Guéhenno : Pour la Grande-Bretagne et la France, qui sont attachées à l'autorité du Conseil de Sécurité, intervenir par la force sans une résolution du Conseil de Sécurité, si on prend la charte des Nations Unies à la lettre, c'est une violation de la charte. Après 1945 la charte a été très claire : elle dit qu'on a le droit de recourir à la force en cas de légitime défense ou sur autorisation du Conseil de Sécurité. Ce sont les deux seuls cas envisagés.

    13:17 Christine Ockrent : le président français, apparemment, avait été rappelé à l'ordre par Vladimir Poutine au téléphone dans la journée d'hier qui lui avait dit surtout, pas d'action irréfléchie.

    https://telquel.ma/2018/04/14/frappes-occidentales-en-syrie-reaction-du-maroc_1588295 (14 avril 2018)

    "Le Royaume du Maroc déplore la dégradation de la situation au Moyen Orient, et notamment l’escalade militaire d’hier en Syrie", indique un Communiqué du ministère des affaires étrangères et de la coopération internationale.

     "les expériences du passé nous ont enseigné que les options militaires, y compris les frappes aériennes – aussi justifiées ou proportionnelles soient elles – ne font que compliquer les solutions politiques, aggraver les souffrances des victimes civiles et exacerber leur sentiment à l’égard de l’occident".

    "Le timing choisi pour cette escalade, à la veille d’échéances arabes importantes, et l’absence de consultations appropriées habituelles, risquent de susciter interrogations, incompréhensions et indignation au niveau des opinions publiques", poursuit le ministère.

    Par ailleurs, le ministère estime que "la gestion à deux vitesse des conflits internationaux, recourant dans certains cas aux options militaires rapides et, dans d’autres cas, à un traitement et une légalité internationale imposés, ne ferait qu’attiser les tensions internationales".

     

    Moui...

    Le Maroc a des positions à géométrie variable parfois. Dans le cas de la Syrie, il faut garder en mémoire que du côté du royaume, on a un peu tremblé au Printemps 2011...

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  11. il y a 8 minutes, true_cricket a dit :

    Parceque cela dépend de l'élongation de la mission. Depuis Chypre il n'y aurait pas eu besoin d'un seul ravitailleur.

     

    Certes, mais bon, c'est quand même récurrent d'augmenter l'allonge ces temps ci, soit dit en passant, le fait de lancer des raids à très longue distance directement depuis le territoire national est en train de devenir une habitude pour ne pas dire une doctrine.

    Par contre, d'après les médias US, les B1 participant à la frappe seraient partis du Qatar... J'avoue que j'arrive plus trop à suivre, nous, on n'utilise pas la base des EAU pour les préserver diplomatiquement, et le Qatar qui a été mis au banc des pétromonarchies pour sympathie envers l'Iran autoriserait un raid anti Assad depuis son territoire?

    Y a vraiment de trucs qui m'échappent dans la région...

     

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  12. il y a 4 minutes, Arland a dit :

    Pure spéculations mais ça peut être :

    - Défaut d'un missile.

    - Pas besoin d'en avoir plus pour atteindre les objectifs (on a pas la marge de manœuvre américaine niveau stock).

    - Pas assez de missiles disponibles suivant le préavis.

    - Point d'emport utilisé pour autre chose.

    Tes points 2 et 3 sont un peu déprimant quand même... j'espère que c'est pas ça.

  13. Pour en revenir aux ravitailleurs, vu leur rôle fondamental à chaque opération et vu qu'il en faut en gros 1 pour 2 chasseurs ( constat perso au vu des opés en Libye, au Mali et donc en Syrie), j'ai du mal à comprendre pourquoi l'acquisition de ce type d'appareil n'est pas une priorité absolue.

    A quoi servent 100 Rafale si on peut pas en envoyer plus de 10 à chaque fois...

    Enfin il parait que les A330 MRTT ont une bien meilleure capacité que les KC 135... 

    Si je dis pas de bêtise, c'est 3 milliards d'euros pour 12 engins non? 

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  14. Bon à priori, on a tiré 12 missiles, 3 depuis une frégate et 9 par l'AA. Le raid comprenait 5 Rafale escortés par 4 M 2000-5 (plus 2 AWACS et 5 Tanker, aurait on réussi à se passer des américains là dessus? En tapant dans les ravitailleurs réservés pour les frappes nucléaires tactiques?).

    Une remarque, si je compte bien, les Rafale auraient tiré 9 missiles... Pour moi, 5*2, ça fait 10, quelqu'un a une hypothèse là dessus?

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  15. Soit dit en passant, si Trump était vraiment vicelard, c'est pas la Syrie qu'il irait bombarder, c'est l'Iran. C'est le principal soutien d'Al Assad, pas de troupes russes sur place qu'on risquerait de toucher, y a le prétexte du nucléaire, et pour le coup, c'est le noeud stratégique du problème puisque c'est la source de la "coalition" chiite.

    Les saoudiens, les émiratis et Israël applaudiraient des deux mains par ailleurs. Quant aux russes, ils seraient pris par surprise, et je vois pas trop comment ils pourraient riposter ni sur quelle base argumentaire.

    D'ailleurs, petite question au passage: formellement, y a quoi comme traité d'alliance entre la Syrie et la Russie qui engagerait la seconde à défendre la première en cas d'attaque?

  16. il y a 8 minutes, Alexis a dit :

    Je ne sais pas si c'est l'explication, mais je préfère certainement que Macron comme il le fait actuellement :

    - Insiste et répète encore que les alliés de la Syrie ne seront pas visés, pas l'Iran et encore moins la Russie

    - Limite une éventuelle frappe au ciblage des "moyens chimiques" syriens, qui sont probablement difficiles à localiser certes, mais qui du moins ne devraient pas menacer la stabilité du régime ni (trop) risquer d'entraîner de pertes chez les Russes

    Ma crainte, comme tu le dis, c'est que le délai avant la réaction soit du à l'ambition de ce qui est projeté par certains cercles aux Etats-Unis. Il semble y avoir une bataille en cours pour l'opinion publique américaine entre des réalistes (Jeffrey Sachs, la présentatrice de Fox...) qui veulent s'abstenir entièrement et des fous furieux (Marc Thiessen que je citais un peu plus haut) qui veulent une attaque à grande échelle et que la Russie s'écarte du chemin sinon gare.

    Si ce sont les fous furieux qui l'emportent, j'espère vivement que Macron sera en mesure de désolidariser la France de la campagne aérienne, qui deviendrait presque sûrement une guerre régionale entre Etats-Unis et Russie. Il serait dramatique que la France s'y laisse entraîner.

    Il est possible que Macron avec sa position somme toute modérée - que je n'approuve pas, mais elle a du moins l'avantage de ne pas être folle ! - se retrouve en mesure de contribuer à définir et à peser en faveur d'une porte de sortie acceptable pour tout le monde, la fameuse attaque ponctuelle limitée en objectifs et tacitement acceptée par les Russes. Ce serait un scénario idéal vu là où nous en sommes arrivés.

    Mais c'est une possibilité pas très assurée :unsure: Cela suppose à la fois que les réalistes aux Etats-Unis pèsent suffisamment par rapport aux furieux, et que les dirigeants russes choisissent la prudence plutôt que le raidissement. L'influence diplomatique de la France n'est pas du tout négligeable, mais de là à la supposer prépondérante...

    Était-il beau, le mois de juillet 1914 ? Parce qu'à Paris le temps est plutôt agréable...

    Rien à redire à tout ça ( si ce n'est que je suis moins contre une intervention que toi, mais comme je disais, vu le bordel que c'est, j'ai pas d'avis tranché).

    Par contre, une précision: faut pas oublier le facteur X. Même si on lance une attaque limitée, la tension est telle qu'un incident bête peut avoir des conséquences lourdes.

  17. Rien ne s'éloigne du tout à mon avis... l'enjeu est trop grand pour les occidentaux, si ils n'attaquent pas, leur parole ne vaut plus rien nul part. Ca va largement au delà de la Syrie. A tout du moins, à défaut d'attaquer, il faudrait une concession forte de la part des Russes.

    Mais ces derniers ne s'en sortiront pas comme ça.

    Du coup, la présente accalmie qui laisse le temps de renforcer le dispositif mis en place m'inquiète quelque peu. Je commence vraiment à me demander si on va se contenter d'une petite frapounette pour Fox News et CNN...

    Ce qui pourrait expliquer aussi le délai, c'est de la friture sur la ligne entre Paris et Washington. Macron a posé des limites très claires, c'est nettement plus flou chez Trump ( qui par ailleurs semble devoir aussi convaincre son Mindef...).

     

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