Alberas
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L'Inde
dans Asie / Océanie
Il y a 2 heures, bubzy a dit :C'est pas du tout ce que je comprends. Ce que je comprends c'est : fournissez vous français, c'est mieux et plus simple, et pour tout ce qu'ils n'ont pas au catalogue, allez voir les USA.
C'est surement parce que j'ai l'esprit un peu tordu
Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit :"Si demain, les tensions avec la Chine s'intensifient, des pays comme les EAU et l'Inde peuvent considérer que, pour des raisons opérationnelles et diplomatiques, il est préférable d'être équipé de plateformes américaines."
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L'Inde
dans Asie / Océanie
En résumé ...
"Tant que tout va bien, vous pouvez faire joujou avec les Français. Mais ... quand ça va chauffer, vous avez intérêt à vous équiper chez l'oncle Sam!"
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il y a 26 minutes, wagdoox a dit :
Succes ou fiasco, ca reste l’etat qui decide.
Ce n'est vrai que pour des sociétés controlées par l'Etat (ex EDF ou SNCF).
Et là, nous ne parlons pas que de l'Etat français, mais de 3 Etats. Qui décide? Selon quels critères démocratiques?
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Il y a 9 heures, wagdoox a dit :
Je ne parlais pas de ce cas particulier mais general. Le politique donne le la à l’industriel.
Ca reste très discutable. Bien sûr, en terme d'investissement public, c'est l'Etat le client. Un client à priori stable ... mais dont la politique l'est beaucoup moins.
Si on prend des exemples anciens et actuels, l'énergie montre tout et son contraire:
- l'odyssée du nucléaire français est issue d'une volonté politique ancienne et les politiques récents ont failli le conduire à sa ruine.
- l'éolien terrestre français est un fiasco industriel . Pour le maritime ....
Il y a 9 heures, wagdoox a dit :attention à ne pas enterrer le projet avant d’avoir acheter la pelle ;)
C'est quoi le projet et c'est quoi la pelle? Pourquoi serait ce aux industriels de s'unir structurellement avant que les Etats ne le soient? On en revient toujours à la même question: c'est quoi l'Europe de la Défense dans une Europe des Nations?
il y a 2 minutes, Alberas a dit :Un client à priori stable ... mais dont la politique l'est beaucoup moins.
Ah oui, j'ai failli oublier le meilleur exemple .... le Barracuda australien
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il y a 34 minutes, Asgard a dit :
le SCAF complet est évalué à 300Milliards
Pas assez cher mon fils !
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Marine Grecque
dans Europe
il y a 13 minutes, Kelkin a dit :Au passage, l'Amirauté grecque réclame la levée de l'option pour la quatrième FDI, avec comme argument massue que son prix est déjà fixé et garanti par le contrat en cours, alors que tout autre navire va coûter beaucoup plus cher maintenant qu'il n'aurait coûté l'année dernière...
Il faut lever l'option avant la date de fin de validité de l'offre ...
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
il y a une heure, wagdoox a dit :Je serais pas si categorique à ta place.
Le client paie et donc decide.
En revanche, il me parait évident qu’ils y a maintenant trop d’acteurs contre le projet pour que le politique puisse simplement imposer. Inversement il y a aussi trop d’acteurs pour l’enterrer.
Ca va devenir un projet zombie, si c’est pas deja le cas. Et tant que le projet n’est pas enterrer le plan b restera que le b.Des 2 initiateurs du projet, il ne reste que Macron. Les négociateurs des accords ne sont plus en poste. Le contexte géopolitique a changé. Les Allemands ont abandonné ou sabordé les autres projets de coopération. Dassault/Safran et Thales ont un carnet de commande record sur le Rafale et vont sortir le F4. Le F35 va arriver en Espagne et Allemagne. Macron n'a plus la majorité absolue... et pendant ce temps là, les gazoducs sautent et on se demande comment on va passer l'hiver.
Alors, je veux bien que Macron lance une tirade philosophique sur l'amitié et le couple FR ALL, sur la nécessité d'une défense européenne (dont on ne sait pas quelle entité géographique et politique elle représente) mais, en face de ça, les actions allemandes (P8, tigre, F35, etc) représentent une réalité contraire.
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il y a 3 minutes, Pakal a dit :
Ca se passera à Berlin et non en France, c'est dommage car ça peut rajouter situation de faiblesse s'il reste des points durs à négocier
Que veux tu qu'ils "négocient" sur le SCAF? Ils vont faire de la politique ... pas de l'industrie!
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Il y a 3 heures, g4lly a dit :
Ou quand l'algo de quelques uns se substitue à la loi de tous ...
C'est vendredi, alors je me permets
Aigo (아이고) is a Korean exclamation expression which is similar to the English expressions 'Oh!' 'Oh Dear!' , 'Oh My!', 'Oh My God!' 'Geez!', and so on. Aigo ...
L'ego désigne la représentation et la conscience que l'on a de soi-même.
Sinon, il y a aussi Aygo, mais c'est une bagnole
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Il y a 1 heure, collectionneur a dit :
Le Kurdistan irakien se fait bombarder a coup de dizaines de missiles balistiques et de drones par l'Iran, tandis que la Turquie emploi l'aviation contre le PKK :
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-turquie-a-frappe-le-pkk-dans-le-nord-de-l-irak-20220929
Et nos Rafale, ils seraient payés par du pétrole venant du Kurdistan ?
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Il y a 4 heures, Ardachès a dit :
… Analyse paru dans le Monde de ce jour. A lire.
Pourquoi l’économie du Royaume-Uni est saisie d’un vent de panique
La Banque d’Angleterre est intervenue en urgence mercredi. L’envolée du prix de la dette britannique et la chute de la livre ont été enrayés, pour l’instant. Des secousses symptomatiques d’un risque de crise financière mondiale.
Par Eric Albert(Londres, correspondance)
Publié hier à 21h37, mis à jour à 10h32
Kwasi Kwarteng, le chancelier de l’Echiquier, présente le budget britannique à la Chambre des communes, à Londres vendredi 23 septembre 2022. JESSICA TAYLOR / AFP
L’humiliation des autorités du Royaume-Uni est complète. Après cinq jours de panique financière, provoquée par un budget britannique mal reçu, une première déclaration de la Banque d’Angleterre (Bank of England, BoE), sans effet, et un rappel à l’ordre du Fonds monétaire international (FMI), il a fallu sortir la grosse artillerie. Mercredi 28 septembre, la banque centrale du Royaume-Uni a annoncé qu’elle intervenait sur les marchés financiers en achetant « autant qu’il sera nécessaire » des obligations britanniques. « Si les dysfonctionnements du marché avaient continué ou empiré, il y aurait eu un risque réel pour la stabilité financière », explique-t-elle dans un communiqué.
L’intervention a eu l’effet escompté. Le marché obligataire s’est détendu, le taux des obligations d’Etat à dix ans passant de 4,6 % à 4 %. La livre sterling s’est stabilisée et vaut désormais 1,07 dollar, après être tombée à un plus bas niveau historique (1,035 dollar), lundi 26 septembre.
Importantes réductions d’impôts
Le feu aux poudres a été mis par Kwasi Kwarteng, le nouveau chancelier de l’Echiquier, quand il a présenté le budget britannique, vendredi 23 septembre. Il a annoncé les plus importantes réductions d’impôts depuis cinquante ans, à hauteur de 1,5 % du produit intérieur brut. A cela s’ajoute un gel des factures de gaz et d’électricité, pour les ménages et les entreprises. « Cela va augmenter le déficit public à 7 % en 2023 », calcule l’agence de notation Scope Ratings. Mais M. Kwarteng n’a pas eu un mot pour expliquer comment il financerait cela, repoussant au 23 novembre la présentation complète du coût de son plan et de ses prévisions économiques.
Malgré des tensions persistantes sur le cours de la livre, la première ministre britannique, Liz Truss, a défendu jeudi 29 septembre ses choix : « Nous devions mener une action décisive pour aider les gens pour cet hiver et le suivant. (...) Cela veut dire prendre des décisions difficiles et controversées, mais je suis prête à le faire en tant que première ministre. »
« Ce budget était du n’importe quoi », assène Mathieu Savary, spécialiste en stratégie à BCA Research, une agence de conseil en investissements. Selon lui, se lancer dans des baisses d’impôts en pleine période d’inflation ne va faire qu’empirer la hausse des prix. « Cela fait six ans que le Royaume-Uni fait boulette sur boulette, depuis le Brexit, continue M. Savary. Aujourd’hui, les marchés n’ont pas confiance dans le Royaume-Uni, ils le considèrent comme moins crédible qu’avant. »
La Banque d’Angleterre va devoir augmenter son taux d’intérêt à un niveau plus élevé que prévu. Les marchés tablent aujourd’hui sur une hausse à… 6 %
Dans ce contexte, la présentation du budget a provoqué un premier mouvement d’inquiétude sur les marchés. Mais, dimanche 25 septembre, au lieu d’essayer de rassurer, M. Kwarteng a choisi d’en rajouter, promettant, lors d’une interview à la BBC, que « d’autres [baisses d’impôts étaient] à venir ». A la réouverture des marchés, lundi, la sanction est tombée. La livre sterling est tombée au plus bas de son histoire multicentenaire face au dollar. Plus grave, le prix des obligations britanniques s’est envolé, s’approchant du niveau des obligations italiennes, qui sont pourtant elles-mêmes sous forte tension.
La Banque d’Angleterre a tenté une première intervention, déclarant, lundi, dans un communiqué, qu’elle « n’hésiterai[t] pas à augmenter les taux d’intérêt autant que nécessaire ». En vain. Les autorités financières mondiales ont alors commencé à tirer la sonnette d’alarme. Plusieurs responsables de la Réserve fédérale (Fed, banque centrale américaine) se sont inquiétés. Le budget britannique « a vraiment fait grandir l’incertitude », a regretté Raphael Bostic, le président de la Fed d’Atlanta.
Les « recommandations » du FMI
Puis, le FMI a émis un communiqué hautement inhabituel : « Etant donné les pressions inflationnistes élevées dans de nombreux pays, nous ne recommandons pas de larges plans de soutien budgétaire qui ne soient pas ciblés. » L’institution internationale suggère donc au gouvernement britannique de revenir sur sa décision : « Le 23 novembre, le gouvernement britannique aura l’occasion d’envisager un soutien plus ciblé et de réévaluer ses mesures fiscales, particulièrement celles qui bénéficient aux hauts revenus. » Cette déclaration, d’habitude réservée aux pays émergents en pleine crise, est « humiliante pour le Royaume-Uni », estime M. Savary.
Le choc de ces derniers jours va avoir une conséquence très directe : pour enrayer l’inflation supplémentaire et soutenir la livre sterling, la Banque d’Angleterre va devoir augmenter son taux d’intérêt à un niveau plus élevé que prévu. Celui-ci est actuellement de 2,25 %. Les marchés tablent aujourd’hui sur une hausse à… 6 %. « Je suis sceptique sur le fait que cela monte aussi haut, étant donné les conséquences que cela aurait pour l’économie et le marché immobilier, mais nous estimons que le taux ira à 4,25 % au premier trimestre », explique Rohan Khanna, expert en stratégie pour la banque UBS.
« Un ajustement majeur de la liquidité mondiale »
Première conséquence concrète : de nombreuses banques ont supprimé leurs offres de nouveaux prêts immobiliers, le temps de les recalculer à un niveau plus fort. « Une chute des prix immobiliers est inévitable », estime Andrew Wishart, du cabinet Capital Economics. Il table sur un recul de « 10 % à 15 % ».
Les remous sur les marchés britanniques n’auraient cependant pas eu lieu dans un environnement international calme. « On fait face à un dysfonctionnement typique du marché, similaire à celui de mars 2020 [au début de la pandémie] », explique M. Khanna. Sur la BBC, Yanis Varoufakis, l’ancien ministre grec de l’économie, compare le moment actuel à celui du début de la crise de la zone euro. « Le FMI et la Fed s’inquiètent que le Royaume-Uni fasse aux Etats-Unis ce que la Grèce a fait à la zone euro. » Comprendre : un petit pays dont les problèmes mettent le feu à l’ensemble des marchés.
Aujourd’hui, la nervosité mondiale est provoquée par l’action de la Fed. Pour tenter d’endiguer l’inflation, elle a augmenté son taux d’intérêt de 3 points en six mois, à plus de 3 %. Une hausse aussi rapide n’a pas été vue depuis quatre décennies, et elle modifie profondément tout l’équilibre financier de la planète, à commencer par une sévère correction des Bourses américaines. « Le retournement du cycle financier américain a des dommages collatéraux, et le Royaume-Uni en est un exemple, explique Ludovic Subran, économiste en chef de l’assureur Allianz. Un tri sélectif se met en place : les investisseurs cherchent les actifs les plus exposés au risque, et ils corrigent [en les vendant]. On est dans un ajustement majeur de la liquidité mondiale. »
Résultat : la volatilité financière est particulièrement forte. Le dollar monte et toutes les autres monnaies chutent : l’euro est lui-même à 0,97 pour un dollar, au plus bas niveau depuis 2002. Dans ce contexte, « on n’a pas le droit à l’erreur », continue M. Subran. Le Royaume-Uni vient d’en commettre une. Est-ce la dernière ?
Que le Monde, plutôt classé à gauche, critique une politique à la Ronald Reagan, n'est pas surprenant. Mais l'UK n'a pas les ressources des USA et le Sterling n'est pas le Dollar. Si ça se passe mal chez eux, ils auront vite fait de nous en accuser
Il y a 2 heures, Alberas a dit : -
il y a 8 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Il est vraiment bien ce petit.
Trappier ... Bienvenue dans le monde réel .
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Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit :
Il ne faut pas oublier qu'il est relativement sûr qu'on finira par avoir 225 Rafale en ligne et que tes 222 Français comportent 24 remplacements, tu as donc un espoir de 27 Rafale en plus dont 12 ont déjà été commandé pour remplacer les Grecs (et que tu n'a pas compté). Ce qui monte le total à 522 +27 +1 = 550. Sans compter qu'on a jusqu' en 2030 pour engranger de nouvelles commandes (ce qui est presque compatible avec le temps Indien !!!)
N'en jetez plus! Comment on gère la production de tout ça?
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Il y a 2 heures, MIC_A a dit :
Un convoi de quoi et de qui, pillage, de marchandises transitant par les frontières ?
Je capte rien du charabia diffusé ou je vois la "France est des fois appelée en se se bouchant le nez" ?
Un convoi aussi important a du mettre des semaines ou des mois de préparation. Les assaillants avaient tout le temps de prépare leur coup. Et y avait pas de protection ?
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Il y a 3 heures, wagdoox a dit :
Il y a enormement de cela mais pas que.
La classe attack etait hors de portée, « Morribond » a donc fait capoter le programme tout en sachant que celui qui allait proposer ne serait pas plus atteniable. Mais ca lui donner le temps de passer la patate chaude a son successeur. Le tout en se rapprochant encore plus des usa.
La réalité, c’est que l’australie n’a pas les moyens de ses ambitions et se mettra de plus en plus dans les mains des usa, a l’image du RU. La France n’a pas les moyens d’aider l’Australie, pas au niveau des besoins attendus.
C'est très possible mais, dans ce cas, l'évolution de la situation géopolitique lui a donné tort. Car l'Australie a perdu 10 ans dans cette histoire.
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Il y a 1 heure, laurent simon a dit :
- industriel ; par exemple si un industriel français a des compétences sur un secteur où la France ne peut continuer à investir, faire un accord avec un ou plusieurs pays européens, probablement 'petits', qui prendraient le relais (du financement) et chez qui la production (partielle éventuellement) se ferait, parle biais d'une filiale de l'industriel français
Ce qui me gène, dans la plupart de tes interventions sur la coopération, c'est que veux faire en permanence du monopoly industriel commandé par le pouvoir politique. Ca ne marche pas!
Dans ton exemple, où l'Etat ne financerait plus un développement technologique lié à un système ou équipement de défense particulier, l'industriel a deux possibilités:
- soit il considère qu'il y a un marché export et il peut continuer l'activité
- soit il abandonne l'activité, éventuellement en la vendant à un concurrent que sa compétence intéresse.
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il y a 12 minutes, herciv a dit :
Et si tout ce plan n'était pas tout simplement là dans le but d'empècher les australien d'accéder à un savoir-faire très spécifique ?
Théorie conspirationniste ? Non, je penche plutôt sur de l'incompétence, doublée d'une dose de roublardise, avec un coup de pouce de notre chère voisine Albion et de son célèbre fair-play
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Il y a 1 heure, BPCs a dit :
Vous oubliez qu'il a le PR derrière qui est conscient de l'importance d'augmenter l'effort de guerre de la BiTD.
Evidemment qu'il est soutenu par le PR, puisque c'est lui qui l'a nommé à ce poste régalien. Mais il n'a plus de réseau chez les LR puisqu'il en a été exclu et pas sûr qu'il en ait dans la haute administration comme pouvait en avoir Florence Parly.
Mais, bon ... tout ça n'est que supputations
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il y a 39 minutes, Ciders a dit :
De toute façon, il ne semble pas avoir l'envergure politique et les réseaux pour peser là où Le Drian et Parly avaient su s'imposer.
Je crains qu'il ait de grosses difficultés à s'imposer lors des arbitrages budgétaires
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il y a une heure, tipi a dit :
il est important (stratégique) de développer un système de systèmes européen.
C'est une affirmation qu'il faudrait développer:
en quoi serait il plus européen que le F35 ou le tempest .... ou qu'un plan B de Dassault?
Et pour quoi faire? ... autrement que d'abreuver de milliards d'euros des entreprises dont le seul rêve est de d'étouffer la BITD française?
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Il y a 2 heures, Deres a dit :
Vu que les allemands n'hésiterons pas une seconde à nous désigner comme responsable à 100% de leur départ, je ne vois pas trop pourquoi.
Parce que le ministre (et le DGA) ne peut pas contredire la parole du Président. Que ça nous plaise ou non
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il y a 2 minutes, hadriel a dit :
Lecornu est très consensuel dans sa visite à Berlin, c'est curieux.
https://twitter.com/VincentLamigeon/status/1572943015974686721
Tant que ce n'est pas officiellement abandonné, il faut au moins faire semblant d'y travailler
[SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
dans Europe
Posté(e)
Maintenant, on n'est plus "leader"? On est "chef de file"! Il va falloir de mander à Trappier comment ça se traduit.
Tant qu'on est chef, tout va bien.
Un homme politique n'admet jamais un échec personnel. Mais à la vitesse où avance ce projet, on peut avoir des doutes sur sa suite.