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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Il y a aussi l'exocet de défense aérienne vers 4:40
  2. Au risque de sabotage par des compétiteurs. Je comprend que c'est un problème presque impossible a résoudre mais franchement ce parking n'a pas l'air très protégé, ne serais ce que des regards indiscrets, voire pire ... j'ai pas envie de donner des exemples sur le forum mais bon ... Je pense a cette audition de Lecornu d'il y a quelque jours (écoute à 12:50), où il explique que le sabotage s'intensifie sur la BITD française, pour l'instant moins que chez certains de nos voisins certes, mais quand même... 50 intrusions physiques en 2023.
  3. Tir direct mis en avant dans l'infographie du mindef estonien https://x.com/MoD_Estonia/status/1807796176382484925 Looking back at a summer highlight: Estonia inks a landmark deal with France for Caesar howitzers, boosting its indirect fire capability and bolstering defence ties. The first deliveries are set for this year. Livraison de 6 Caesar en 2024 --> https://www.kaitseministeerium.ee/en/news/minister-defence-pevkur-first-caesar-howitzers-will-arrive-estonia-year Development of a wheeled self-propelled artillery battalion is one of the urgent priorities of the Estonian current Estonian National Defence Development Plan. We are glad that French industry is able to provide 6 howitzers already this year and the accompanying package of necessary training and spare parts to within the timeframe that suits Estonia’s urgent capability development timelines. Confirmation d'un achat groupé France/Estonie/Croatie --> https://www.kaitseinvesteeringud.ee/en/estonia-to-purchase-12-wheeled-caesar-self-propelled-howitzers-from-france/ Estonia to Purchase 12 Wheeled CAESAR Self-Propelled Howitzers from France Estonian Centre for Defence Investments (ECDI) has signed contracts with the French Defence Procurement Agency (DGA) and the defence company KNDS for the procurement of 12 wheeled self-propelled howitzers CAESAR, with the option to purchase additional howitzers in the future. The contracts were signed at one of the world’s largest defence industry exhibitions, “Eurosatory 2024,” in Paris. “France is a strong ally of Estonia in NATO and the European Union, with whom we share a long-term, trustworthy cooperation in defence procurement. French companies play a significant role in terms of capabilities, quality, and production volumes in the supply chain of Estonia’s national defence and in the European defence industry as a whole,” said ECDI’s Director General Magnus-Valdemar Saar. “Wheeled artillery is a key capability for an efficient fire support and the CAESAR is probably the most advanced solution available. This joint acquisition between Estonia, Croatia and France will enhance the interoperability between the Land Forces of EU countries,” stated General Gaël Diaz De Tuesta, the French National Armaments Director (Direction générale de l’armement, DGA). The 6×6 chassis CAESAR-type 155 mm calibre self-propelled howitzers produced by the French defence giant KNDS will be integrated into the newly established third self-propelled artillery battalion, which will operate directly under the Estonian division, explained Project Officer Major Rauno Viitman. “Considering the reliability and effectiveness of the CAESARs in various armed conflicts, including the war in Ukraine, we can say that we have obtained the best possible solution. For us, cooperation with France in developing indirect fire capability is important, as well as the fact that we will receive the systems quickly and be able to integrate them with the domestic fire support system TOORU,” commented ECDI Strategic Category Manager (Armament) Ramil Lipp. The first CAESARs will be delivered to Estonia at the end of 2024, with deliveries continuing until mid-2025. “Thanks to the reinforced production line of KNDS France, the first howitzers will be delivered at the end of this year,” added General Emeric Wininger, Director for Central and Eastern Europe, Latin America at DGA.
  4. Quand la fréquence avec laquelle les navires de type BPC sont utilisés par la marine pour participer à des exercise interalliés et forger des alliances ... je suis pas sur que réduire le nombre de navire de ce type soit la bonne chose à faire ... Ou alors il faudrait 2 BPC STOBAR de 30 000 tonnes et 2 BPC classiques de 20 000 Tonnes ... mais bon ca commence a faire cher.
  5. Suis le seul a penser au sabotage quand je vois ce genre d'images ?
  6. Il vont peut être faire quelque chose de similaire au SMR de Rolls-Royce ? Un simple REP de 300-500 MW avec un maximum d'éléments construits en serie en usine ... mais avec un rendement par m2 de foncier très mediocre face à un EPR ... A part être européen c'est quoi la plus value face aux autres concepts tres similaires ? Je rappelle que c'est un produit destiné aux voisins européens , qui n'en n'ont pas grand chose a faire de la souveraineté européenne ... Mini-réacteur nucléaire : EDF change ses plans pour son projet Nuward https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/mini-reacteur-nucleaire-edf-change-ses-plans-pour-son-projet-nuward-2105042 Compte tenu des nombreux défis techniques, EDF annonce la remise à plat du design de son projet de réacteur SMR. Désormais il n'utilisera que des « briques technologiques » déjà « éprouvées ». EDF a bénéficié de 300 millions d'euros du programme France 2030 pour son projet Nuward. (NUWARD™, EDF) Dans la course aux mini-réacteurs, EDF ne fait décidément pas la course en tête.Son projet phare, mené en collaboration avec TechnicAtome, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Framatome et Naval Group rencontre des difficultés techniques telles qu'il doit être « profondément réorienté », indique une source chez EDF qui confirme des informations publiées par « l'Informé ». « Un certain nombre de briques technologiques ne sont pas assez éprouvées. Nous devons utiliser davantage de solutions sur étagères, voire nouer des partenariats, pour être en mesure de tenir les délais et les budgets », explique une autre source. Un design qui doit évoluer « Le groupe EDF a décidé de faire évoluer le design de son SMR », confirme le groupe public aux « Echos ». Conçu pour remplacer les centrales à charbon vieillissantes dans de nombreux pays, le petit réacteur d'EDF est en réalité un poids lourd dans la catégorie des nouveaux réacteurs modulaires (SMR ou AMR). D'une puissance de 170 mégawatts (soit 340 mégawatts pour une centrale type qui doit associer deux réacteurs), il mise pour cela sur des innovations majeures, notamment la conception de générateurs de vapeur à plaques qui doivent permettre de miniaturiser les équipements. Or, ces dernières n'existent pas à ce jour sur le marché et présentent de nombreux défis de conception. Initialement, EDF annonçait un coût prévisionnel de développement de l'ordre du milliard d'euros pour ce projet et une mise sur le marché à l'horizon 2035-2040. La construction d'un démonstrateur sur le site du CEA à Marcoule a aussi été envisagée par les pouvoirs publics, sans toutefois se concrétiser. Stopper la fuite en avant Lauréat du programme de subvention «France 2030», le projet Nuward a été doté de façon bien plus massive par l'Etat que ses concurrents qui visent également la mise sur le marché de mini-réacteurs. Dans le détail, Nuward doit bénéficier d'une aide de 300 millions d'euros contre 25 millions d'euros pour Naarea et Newcleo. Contrairement à ses concurrents , EDF a par ailleurs déjà engagé un processus de « pre-licencing » de son réacteur Nuward avec l'Autorité de sûreté. En décembre 2023, le groupe lui a remis son dossier d'options de sûreté. Mais toutes les cartes semblent rebattues désormais. Ce revirement intervient quelques mois après la prolongation en interne chez EDF des études sur le coût et les délais des six EPR2 que l'Etat a demandé à l'énergéticien. Alors que la facture de ce programme ne cesse d'enfler, le groupe a décidé de prendre plus de temps pour cette fois tomber juste. Autrement dit, EDF veut rompre avec la stratégie de fuite en avant qui, pour les précédents EPR, lui a été beaucoup reprochée.
  7. Titus K

    Le successeur du CdG

    Les futur bassin et quai du PANG
  8. Titus K

    Airbus

    Airbus conclut un accord avec Spirit AeroSystems https://www.airbus.com/en/newsroom/press-releases/2024-07-airbus-enters-agreement-with-spirit-aerosystems Amsterdam, le 1er juillet 2024- Airbus SE (symbole boursier : AIR) a conclu un accord contraignant avec Spirit AeroSystems portant sur l'acquisition potentielle d'activités majeures liées à Airbus, notamment la production de sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord, États-Unis) et à Saint-Nazaire (France), des ailes et du fuselage central de l'A220 à Belfast (Irlande du Nord) et à Casablanca (Maroc), ainsi que des pylônes de l'A220 à Wichita (Kansas, États-Unis). Avec cet accord, Airbus entend assurer la stabilité de l'approvisionnement de ses programmes d'avions commerciaux grâce à une évolution plus durable, tant sur le plan opérationnel que financier, des différents lots de travaux d'Airbus dont Spirit AeroSystems est aujourd'hui responsable. L'opération porterait sur l'acquisition de ces activités. Airbus sera indemnisé par Spirit AeroSystems à hauteur de 559 millions de dollars, pour une contrepartie nominale de 1,00 dollar, sous réserve d'ajustements, notamment en fonction du périmètre final de la transaction. La conclusion d'accords définitifs reste soumise à un processus de due diligence. Bien qu'il n'y ait aucune garantie qu'une transaction soit conclue, toutes les parties sont disposées et intéressées à travailler de bonne foi pour faire avancer et achever ce processus dans les meilleurs délais.
  9. Titus K

    Falcon series

    Tiens par une question parlementaire on a les couts par heure de vol des falcon de l'ET60
  10. CB90 Suédois dans radier du Mistral https://www.meretmarine.com/fr/defense/en-baltique-le-pha-mistral-embarque-une-flottille-de-cb90-suedois Les CB 90, ou Stridsbåt 90, ont été construits à 155 exemplaires pour la marine suédoise entre 1992 et 2003, plus de 100 unités supplémentaires étant vendues à l’export. Longs de 15.9 mètres pour une largeur de 3.8 mètres et un déplacement de plus de 20 tonnes à pleine charge, ces engins en aluminium sont conçus pour effectuer des raids nautiques en zones côtières ou fluviales. Très rapides, avec une vitesse de pointe de 40 nœuds (deux moteurs diesels Scania totalisant 920 kW alimentant deux hydrojets Kamewa) et une autonomie de 250 nautiques à 20 neuds, ils sont mis en œuvre par trois marins et peuvent projeter 21 soldats équipés. Ils peuvent pour cela s’échouer sur une plage ou une rive et déployer une rampe à l’avant. Les CB 90 sont aussi aptes à remplir des missions de patrouille et de protection de zone. Dotés de mitrailleuses de 12.7 et 7.62 mm, ils peuvent aussi embarquer un lance-grenades et même quatre mines ou six charges de profondeur.
  11. Tesla emploie 12 000 personnes en Allemagne ...ca peut toujours aider.
  12. C'est bizarre, alors que Sarah 1 et CSO 1 et 2 fonctionnent (en attendant le 3) ! Qu'est ce qui a bien pu changer
  13. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Naval Group et Verebus ont signé leur premier contrat pour le programme VOZBT à Delft. Verebus apportera son expertise à la mise en œuvre des spécifications de la série S de l'ASD/AIA et aux études de soutien logistique intégré (ILS) de la future force sous-marine
  14. Pourquoi Diehl pense à un missile air-air furtif pour le SCAF ? Le prochain saut quantique sera la mise en réseau des missiles guidés avec d'autres composants d'un système en tant que réseau au sein de l'Air Combat Cloud, c'est-à-dire l'interaction avec des avions de combat de sixième génération tels que le New Generation Fighter et l'équipement du logiciel avec l'intelligence artificielle. C'est ce que combine le successeur d'IRIS-T FCAAM (Future Combat Air-to-Air Missile) : un missile de guion air-air moderne pour courte à moyenne portée avec une forme modifiée pour répondre aux exigences Low-Observable. À l'avenir, nous déduisons les capacités avancées de combat aérien attendues des scénarios FCAS et les intégrons dans le développement. Grâce à nos technologies de pointe existantes et à leur développement, nous offrons la possibilité d'équiper des projets futurs tels que FCAS de performances appropriées et l'objectif global de créer et de maintenir la supériorité aérienne sur les futurs adversaires, en particulier dans l'utilisation air-air. En outre, nous développerons la famille de produits IRIS-T, notre pilier en tant que maison de système de missiles. Et pour les systèmes de défense aérienne au sol avec une grande autonomie allant jusqu'à 80 kilomètres et une couverture d'altitude allant jusqu'à 30 kilomètres, le missile IRIS-T SLX est développé.
  15. C'est sympa Battle Order (comme Forgotten Weapons) aime décidément vraiment mettre en avant la France !
  16. @AlexMer et Marine annonçait en mars un objectif de "au moins 2 FDI par an a partir de 2025" ... avec pour l'instant 6 frégates à construire avant 2030, normalement ca devrait aller il y a encore de la place pour de l'export supplémentaire ! Depuis plusieurs années, le site Naval Group de Lorient investit environ 10 millions d’euros par an dans la modernisation de son outil industriel. Il s’agit en particulier de gagner en efficacité et en productivité, alors que le chantier se fixe pour objectif de réduire sensiblement les délais de production des frégates et corvettes qu’il construit. Il devra notamment être en mesure, dès 2025, de livrer au moins deux FDI par an. La comparaison avec les FREMM Sur google earth la dernière photo date du 11 mai 2024 (pour les travaux)
  17. Titus K

    Marine canadienne

    Début de construction des 15 destroyer pour la marine canadienne : https://www.canada.ca/en/department-national-defence/news/2024/06/construction-begins-for-canadas-new-warship-fleet--the-river-class-destroyers.html
  18. Un laboratoire français de recherche sur les sels fondus veut devenir leader dans ce domaine https://www.world-nuclear-news.org/Articles/French-molten-salts-research-lab-aims-to-become-le Naarea, développeur d'un microréacteur à neutrons rapides à sels fondus, s'associe au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et à l'Université Paris-Saclay pour créer un laboratoire dédié à la chimie des sels fondus qui vise à devenir le leader européen de la recherche et du développement pour les réacteurs nucléaires à sels fondus et les applications non-nucléaires. Le nouveau laboratoire d'innovation sur les sels fondus réunira les 20 ans d'expertise en chimie des sels fondus du Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie (ICJLab) et les connaissances technologiques de Naarea dans les domaines des matériaux, de la neutronique, de l'analyse de la sûreté et des données sur les matériaux et les combustibles. Un communiqué annonçant le projet précise que la feuille de route du nouveau laboratoire "visera à encourager le travail collaboratif et à capitaliser sur les concepts et les innovations développés à Naarea au profit du secteur européen des réacteurs à sels fondus ... l'objectif ... est de devenir le leader européen dans le domaine de la recherche et du développement sur les sels fondus, tant pour les réacteurs nucléaires à sels fondus que pour d'autres applications non nucléaires telles que la métallurgie et l'énergie solaire concentrée". Entre guillemets Jean-Luc Alexandre, PDG de Naarea, a déclaré que le nouveau laboratoire "nous permet de mettre en commun nos compétences et démontre notre capacité à intensifier nos efforts pour développer notre projet XAMR ... [et] marque une étape importante pour Naarea, qui est en mesure d'apporter une contribution essentielle à l'établissement et à la reconnaissance d'un véritable leadership et d'une expertise française dans le domaine de la recherche sur les sels fondus au niveau européen. Cette expertise précieuse aura non seulement un impact positif sur Naarea, mais aussi sur un grand nombre de secteurs industriels, qu'ils soient liés ou non à l'énergie nucléaire". Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l'innovation du CNRS, a parlé d'un "laboratoire commun ambitieux qui symbolise la contribution de la recherche française à la relance du secteur nucléaire". Le CNRS encourage le développement des laboratoires communs qui offrent un cadre souple et pérenne propice au développement de partenariats public-privé fructueux". Le président de l'Université Paris-Saclay, Camille Galap, a déclaré : "L'Université Paris-Saclay est une université à forte intensité de recherche qui s'engage à contribuer à la recherche de solutions aux défis scientifiques et technologiques. Nous sommes donc ravis de nous associer à Naarea et au CNRS pour créer le laboratoire commun IMS Lab, dont les travaux de recherche contribueront à répondre aux enjeux cruciaux de la décarbonisation de l'énergie, en particulier pour l'industrie". Contexte Naarea - dont le nom est tiré de Nuclear Abundant Affordable Resourceful Energy for All - a été créée en 2020 et a été l'une des lauréates du plan d'investissement France 2030 pour les réacteurs nucléaires innovants. Elle développe le XAMR, un réacteur modulaire avancé, un microréacteur à sels fondus et à neutrons rapides capable de produire 40 MWe d'électricité/80 MWt de chaleur, qui brûlera du plutonium et, en réutilisant les déchets nucléaires à longue durée de vie, contribuera à fermer le cycle du combustible. L'entreprise précise que le XAMR aura à peu près la taille d'un bus et qu'elle a l'intention de viser des applications dans des domaines tels que les transports, l'agriculture et les bâtiments intelligents. Naarea affirme que, grâce à la taille compacte de son réacteur et au fait qu'il n'a pas besoin d'être connecté au réseau, le XAMR peut "être déployé au plus près des régions, pour répondre au mieux à la demande d'énergie et permettre le contrôle de la sécurité d'approvisionnement, au service des industries et des communautés". L'objectif est d'être sur le marché en 2030. Les réacteurs MSR utilisent des sels fluorés fondus comme principal agent de refroidissement, à basse pression. Ils peuvent fonctionner avec des spectres de neutrons épithermiques ou rapides, et avec une variété de combustibles. Une grande partie de l'intérêt actuel pour la relance du concept de RSM concerne l'utilisation du thorium (pour produire de l'uranium 233 fissile), lorsqu'une source initiale de matière fissile telle que le plutonium 239 doit être fournie. Il existe un certain nombre de concepts différents de RSM, et un certain nombre de défis intéressants pour la commercialisation de beaucoup d'entre eux, en particulier avec le thorium.
  19. Titus K

    40 CTA

    Tir en mouvement de l'Ajax.
  20. Au final la France y gagne peut-être en vendant des frégates mieux armées à un partenaire stratégique comme la Grèce avec qui elle travaille souvent en coalition qu’en achetant ses propres versions asthmatiques… bon la MN doit pas être ravie en revanche Et l’Indonésie c’est autre chose évidemment…
  21. Titus K

    Armée Suisse

    Le RCH-155 Piranha
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