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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Je viens de me rendre compte que les deux semblent existent ? Ou alors le 1er est aussi à éjection par le haut ?
  2. Des lanceurs avec 4 missiles seulement ? L'évacuation des gaz au lancement se fait par le bas comme un SAMP/T ou par le haut comme les lanceurs navals ?
  3. https://www.forcesoperations.com/eurosatory-2024-les-premiers-vl-mica-livres-aux-armees-francaises/ Dans les rangs français, chaque système repose sur un centre de coordination tactique (Tactical Operations Center ou TOC) connecté à deux lanceurs verticaux mettant en oeuvre quatre missiles intercepteurs. Le tout est relié au radar de surveillance GM 200 produit par Thales. L’acquisition de VL MICA est l’un des deux pans du programme « défense sol-air basse couche » (DSABC) lancé l’an dernier, le second relevant du renforcement de la capacité Mistral. Incrémentale, la démarche devrait se poursuivre cette année avec le lancement de l’incrément 1, un effort soutenu par les quelque 700 M€ en autorisations d’engagement inscrits en loi de finances initiale. Selon la nouvelle loi de programmation militaire, neuf systèmes seront en service d’ici fin 2030 et trois de plus à l’horizon 2035 afin de remplacer l’ensemble des Crotale NG.
  4. J'ai beaucoup de mal a comprendre pourquoi il faut des UUV suicides aussi complexes et chers pour lutter contre des mines statiques ...
  5. Quand tu perd un T34 tu perd pas juste le char, tu perd aussi les soldats a l'interieur ... il faut quand même pas l'oublier. Et a ce titre je ne pense pas qu'on doit s'émerveiller de la strategie russe
  6. Je pensais plus a un Neuron 2 qui serait un avion type aile volante subsonique comme son prédécesseur ... si on s'oriente vers un accompagnateur supersonique on devra trouver autre chose qu'un silvercrest en effet
  7. A titre d'exemple, pour les missiles plus courte portée compatibles NASAMS , Raytheon annonce pouvoir fournir les senseurs pour 4200 missiles en 2025 : 500 ESSM 1200 AIM120 2500 AIM9X
  8. Titus K

    Le successeur du CdG

    Je me demande comment j'ai pu rater ca ! En effet Artemis c'est difficile a surpasser
  9. Titus K

    Le successeur du CdG

    C'est pourquoi pas l'occasion de donner un nom un peu plus sexy à la torpille "F21"
  10. Note de négociation sur la défense : la vente d'actions de l'État est envisagée pour renforcer l'armée https://www.tijd.be/politiek-economie/belgie/federaal/onderhandelingsnota-defensie-verkoop-overheidsparticipaties-op-tafel-om-leger-te-versterken/10558041.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1722436895 Dans son mémorandum sur la défense, le négociateur de la N-VA, Theo Francken, décrit une "voie de croissance accélérée" pour l'armée afin de répondre à la norme de l'OTAN d'ici 2029. La vente de participations de l'État, comme dans Proximus, devrait permettre d'atteindre cet objectif. Mais tout est encore entre parenthèses. D'ici 2029, notre pays doit consacrer 2 % de son produit intérieur brut (PIB) à la défense, a souligné le président de la N-VA, Bart De Wever, lors de la campagne électorale. Le spécialiste de la défense de la N-VA, Theo Francken, qui est pressenti pour être le prochain ministre de la défense, a repris ce mantra sur la soi-disant norme de l'OTAN dans la note de négociation sur la défense, qui est la sienne. La phrase cruciale du chapitre "Trajectoire budgétaire et investissements" est la suivante : "Conformément à notre engagement international, nous traçons une trajectoire de croissance accélérée vers la norme de l'OTAN d'ici 2029 au plus tard". Mais cette phrase n'a pas encore été lue au conditionnel. Les négociateurs fédéraux sont unanimes pour dire que l'investissement dans l'armée doit être rétabli après des années de réduction. Mais politiquement, il reste difficile de faire accepter que des milliards soient ajoutés pour la défense alors que des coupes sombres sont opérées ailleurs. Pour faire passer les dépenses de défense du niveau actuel de 1,3 % à 2 % du PIB, il faut trouver quelque 4 milliards d'euros. M. Francken souhaite donc que cela soit fait d'ici la fin de la législature. Investisseurs privés Francken propose donc de ne pas budgétiser une partie des investissements dans l'armée. Nous finançons les dépenses supplémentaires dans le budget actuel, mais nous demandons que les dépenses de défense supplémentaires soient exclues des objectifs budgétaires européens et de l'amélioration annuelle", peut-on lire dans la note. Mais ce passage est lui aussi entre parenthèses. Une autre proposition concerne le Fonds de défense. Outre une augmentation structurelle des ressources, nous garantissons la continuité des projets d'investissement et des opérations par le biais d'un fonds de défense. Nous alimentons ce fonds par la vente de nos participations publiques et nous attirons des investisseurs privés". Cela va dans le sens de la proposition faite par la N-VA lors de la campagne électorale de vendre les principales participations de l'État, telles que les participations dans BNP Paribas, Belfius, Proximus et la Loterie nationale. Selon le parti, cela pourrait rapporter 10 milliards d'euros aux caisses de l'État. Mais même ce passage n'est pas encore gravé dans le marbre. F-35 supplémentaires L'affectation des fonds supplémentaires n'est pas non plus gravée dans le marbre. Dans le mémo, Francken reste proche de la liste de souhaits des hauts gradés de l'armée, qu'il avait déjà rencontrés lors de sa nomination en tant qu'informateur. Il mentionne "des investissements dans une troisième frégate, des F-35 supplémentaires, des avions de transport plus petits, l'armement et l'expansion de notre flotte de drones et de systèmes sans pilote, une large intégration des systèmes sans pilote et armés dans toutes les composantes, une flotte d'hélicoptères opérationnelle, une défense antiaérienne stratifiée, des outils ambitieux de lutte contre les mines et des capacités de guerre électronique". Avec la menace russe, le fait que notre pays ne dispose pas de défenses aériennes pour protéger des lieux stratégiques tels que nos ports illustre douloureusement le peu que représente encore la défense belge. Dans le même temps, un certain nombre de tabous politiques sont en train de bouger, comme l'expansion de nouveaux avions de combat. Pour Vivaldi, il était hors de question de commander plus de 34 F-35, même s'il s'agissait d'une demande explicite de l'OTAN. Francken est en train de mettre cette question sur la table. Mais un tabou subsiste : celui des robots tueurs. L'achat de "systèmes d'armes létales autonomes" est exclu, peut-on lire dans le document. Et ce n'est pas entre parenthèses.
  11. La Corée du Nord prend l'argent du double mixte au ping, devant la Corée du Sud ... ave une jolie image pour l'occasion !
  12. Ariane 6: post-launch update --> https://www.esa.int/Enabling_Support/Space_Transportation/Ariane/Ariane_6_post-launch_update#msdynmkt_trackingcontext=b9fa40a3-c309-4d47-bf50-91ab3228202d
  13. Bon la France a une bonne image par contre, a l'inverse de ses habitants
  14. Moi aussi j'ai apprécie la séquence avec la reine, et je pense que le moment Marie Antoinette aurait pu être fait avec plus de tact ... Après avoir chanté avec sa tête sur ses 2 épaules "ah ca ira" on aurait très bien pu tout simplement : - la faire disparaitre derrière un rideau peint de la figure de Mariane ... - se faire bousculer et remplacer a la fenêtre par Mariane ... Mais que ce moment fasse partie de la ceremonie ne me choque pas plus que la présence de la reine a qui on peut repprocher beaucoup de choses bien plus grave qu'un peu de wokisme mal placé.
  15. La reine Elizabeth II n'est pas un symbole de paix partout dans le monde ... Tu as l'air d'avoir beaucoup de mal a le comprendre. C'est d'ailleurs assez logique quand on a été a la tête d'un empire colonial... Je me souviens même de tweets avec des centaines de milliers de likes qui célébraient sa mort il y quelques années...
  16. Titus K

    Le successeur du CdG

    Porte-avions : toujours indispensables --> https://www.usni.org/magazines/proceedings/2024/july/aircraft-carriers-still-indispensable
  17. C’est juste un drone Banshee. Ca vole depuis 40 ans
  18. Titus K

    A330 MRTT

    Airbus prépare un MRTT modernisé alors que les États-Unis envisagent une recapitalisation des avions-citernes Airbus cherche à tirer parti de son succès dans la vente de ravitailleurs basés sur l'A330 à l'Australie et à d'autres pays avec une nouvelle version utilisant la cellule de l'A330neo. Airbus s'apprête à lancer une modernisation majeure de son avion de ravitaillement militaire à large fuselage A330, qui lui donnerait une plus grande puissance de feu compétitive pour un nouveau round potentiel dans la guerre des ravitailleurs aux États-Unis. L'avionneur européen pourrait donner le feu vert avant la fin de l'année au Multirole Tanker Transport Plus (MRTT+) basé sur l'A330neo pour remplacer son ravitailleur actuel basé sur l'A330. Selon les responsables d'Airbus, la nouvelle version serait environ 8 % plus économe en carburant, ce qui renforcerait son avantage par rapport à son principal concurrent, le KC-46A de Boeing. Le MRTT+ d'Airbus pourrait arriver juste au moment où l'armée de l'air américaine cherche une nouvelle série d'avions-ravitailleurs pour remplacer une grande partie de sa flotte de KC-135, bien que la forme finale de ce programme reste incertaine. En mars 2023, l'armée a lancé son projet de recapitalisation du KC-135, qui vise à mettre en service un ravitailleur modernisé après la fin, en 2029, du programme KC-46 en cours. Le projet prévoit l'achat de 183 ravitailleurs Boeing, avec des options pour cinq autres, avant l'arrivée du système de ravitaillement en vol de nouvelle génération, prévue pour 2040. Toutefois, le secrétaire de l'armée de l'air, Frank Kendall, s'exprimant lors du salon aéronautique international de Farnborough le 22 juillet, a déclaré qu'il n'y avait « pas de décision définitive » sur la forme que prendra la recapitalisation du KC-135 et que le service finaliserait bientôt une étude sur un futur ravitailleur à feuille blanche. La question du financement reste ouverte. Le service avait précédemment déclaré qu'il comptait définir une stratégie d'acquisition cet été. Les commentaires de M. Kendall interviennent alors que l'armée de l'air finalise sa demande de budget pour l'exercice 2026, qui déterminera probablement l'avenir du plan. M. Kendall et d'autres ont indiqué que le budget serait serré pour la modernisation, ce qui pourrait mettre le plan de ravitaillement en suspens. Boeing et Airbus ont soumis des offres pour le programme de remplacement du KC-135. Airbus s'était associé à Lockheed Martin pour ce projet, mais l'entreprise américaine s'est retirée à l'automne dernier après que l'armée de l'air a présenté ses exigences. La fourniture de ravitailleurs à l'armée de l'air a été une bataille particulièrement brutale entre les deux géants de l'aéronautique. Airbus a d'abord remporté un appel d'offres de l'armée de l'air en 2008, en s'associant à Northrop Grumman. Boeing a protesté contre cette décision, qui a été confirmée par le Government Accountability Office, et a ensuite remporté le nouvel appel d'offres avec le KC-46A, bien qu'il ait depuis perdu des milliards de dollars dans le cadre de ce programme. Airbus prévoit une demande d'environ 161 ravitailleurs jusqu'en 2033, dont environ 42 % aux États-Unis. La région Asie-Pacifique, le Moyen-Orient et l'Europe sont les marchés suivants, déclare Jean-Brice Dumont, responsable de la puissance aérienne chez Airbus Defense and Space. « Il y a un marché important devant nous ». Michael Schoellhorn, PDG d'Airbus Defense and Space, affirme que le MRTT+ devrait être particulièrement intéressant pour les États-Unis : "Il n'y a actuellement pas de voie claire pour savoir s'il y aura ou non une compétition. Nous sommes disponibles, mais nous visons également le reste du marché mondial. L'entreprise n'a pas voulu révéler sa stratégie de candidature, mais M. Dumont a déclaré : « Il est évident que vous allez aux États-Unis avec des partenaires américains. » Airbus prévoit de livrer ses premiers ravitailleurs en vol basés sur l'A330neo avant la fin de la décennie. La société a déjà entrepris des efforts de réduction des risques pour transformer l'A330-800, équipé de moteurs Trent 7000 et d'une aile améliorée, en avion ravitailleur. Cette phase vise à garantir que les modifications, telles que celles apportées à l'aile et au moteur, n'altèrent pas la fonctionnalité du système. Cet effort a permis d'obtenir « un haut niveau de confiance » quant à la possibilité d'utiliser l'A330neo comme avion ravitailleur, a déclaré Maria Angeles Marti, responsable des programmes de ravitaillement, de transport et de mission chez Airbus Defense and Space. Airbus affirme que le MRTT+ aura un plus grand rayon d'action, mais que les clients pourront également utiliser les gains d'efficacité pour augmenter la capacité de ravitaillement. Boeing a rétorqué que la taille réduite du KC-46 lui permet de mieux s'adapter à de nombreuses bases militaires. Airbus travaille également à la modernisation d'autres ravitailleurs, en vue d'améliorer les MRTT déjà livrés. L'une des principales améliorations introduites par la société est le ravitaillement automatisé à l'aide de la perche. Airbus a validé les opérations de jour avec l'armée de l'air de la République de Singapour. Au cours des dernières semaines, Airbus a effectué des tests impliquant plus de 500 contacts de ravitaillement de nuit, ce qui devrait lui permettre d'obtenir la certification pour les opérations nocturnes au début de l'année prochaine, selon M. Marti. Airbus étudie la possibilité d'une automatisation plus poussée qui permettrait au ravitailleur de contrôler l'avion, avec ou sans équipage, pendant le ravitaillement. La société étudie également la possibilité de transformer le ravitailleur en nœud de communication sur le champ de bataille et d'améliorer sa suite d'autoprotection afin d'accroître sa capacité de survie. « Nous avons des clients intéressés, et nous avons des clients pressés », déclare M. Dumont à propos du programme de modernisation du MRTT+. Le nouveau ravitailleur sera lancé avec un client, dit-il, ce qui donnerait le coup d'envoi d'un programme de développement d'environ quatre ans.
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