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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. quand meme dommage qu'il y ait si peu de cameras ... mais bon il faut pas prendre de risques.
  2. Elon musk qui vend du bitcoin c'est des fausses chaines pour du scam
  3. La video --> https://www.dvidshub.net/video/928510.m3u8
  4. Titus K

    [PATMAR & SURMAR]

    Pourrait on faire un parallèle avec ceci ? Dutch Appeals Court Blocks Deliveries of F-35 Parts to Israel http://opiniojuris.org/2024/02/15/dutch-appeals-court-blocks-deliveries-of-f-35-parts-to-israel-overview-analysis-and-initial-reflections/
  5. Titus K

    Armée de l'air italienne

    Italy to spend 7.5 bln euros on new Eurofighter jets, document shows https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/italy-spend-75-bln-euros-new-eurofighter-jets-document-shows-2024-07-08/ "Italy is planning to spend just under 7.5 billion euros ($8.1 billion) over the next 11 years on 24 new Eurofighter jets, according to a document by the Ministry of Defence seen by Reuters on Monday. The procurement will renew the fleet of Italy's air force given the necessary decommissioning of aging Eurofighter and Tornado jets at a time of increased defence spending by NATO alliance members caused by heightened geopolitical uncertainty." "The programme ... will have a multi-year development time frame of approximately 2024-2034 ... for a total amount of 7,477.3 million euros ," the defence document said. It added funding was already in place for 690 million euros, while the remaining 6.8 billion would be financed through arrangements to be determined in the future. The aircraft will replace 26 aircraft that Italy is planning to substitute from 2028 and the contract will provide technical support for the jets and staff training."
  6. Titus K

    [Rafale]

    Rafale X Ariane 6
  7. Et les drones ce serait des "Neuron" ?
  8. Ils veulent peut être une FAL ?
  9. Ca date de 2022 ... sur le taux disponibilité de l'A400M au moment de la décision de retrait des C130 de la RAF https://www.airforce-technology.com/features/uk-a400m-has-higher-availability-rates-than-departing-c-130j/?cf-view " The UK Royal Air Force’s (RAF) C-130J tactical transport aircraft have had a lower availability than their C-17 and A400M counterparts in 14 out of the past 19 months, beginning 1 March 2021 to 1 September 2022, including five months where the fleet availability rate dropped below 60%. Availability reached a peak of 71% in five separate months during the reporting period, with between eight and ten aircraft free to undertake operations. By comparison, the A400M strategic transporter, which is intended to undertake many of the roles and functions performed by the C-130J when the latter type leaves service in 2023, achieved rates of 65%-70% with either 13 or 14 aircraft available at any given time. " ... " Regarding availability of the A400M, Sir Kevin Leeson, Airbus UK director of Military Affairs, said that there had been some “difficulty in the summer” but that the platform was now “completely through that”. Issues with the A400M in the gearbox and other engine components have resulted in much lower availability rates for the platform that originally envisaged. To remedy this, in UK service Airbus has been working to introduce “Mod Pack 2” to the fleet, with all aircraft listed as “first line” now having been modified, according to Leeson. It is unclear by what range availability rates differ among UK A400Ms from those that have been fitted with Mod Pack 2 and those ‘non-first line’ platforms still awaiting such rectification work, nor the timescale required to update the original aircraft. "
  10. Titus K

    La Force aérienne suisse

    C'est les files d'attente aux urnes qui vont ont mis dans cet état ? ... Pauvres LM et Armasuisse , il espéraient passer un été au calme
  11. Tombé du camion ... sauf la dernière page j'ai l'impression Le fait nouveau L’avionneur a fait un point sur le programme Rafale. Quelque 495 appareils ont été vendus, dont 261 à l’export, « cela nous donne du travail en production pour les dix ans à venir », explique Eric Trappier, le PDG. D’ailleurs, l’avionneur est passé d’une cadence de production d’un peu mois d’un avion par mois en 2020 à une cadence de deux appareils en ce moment, et il devrait atteindre les trois l’année prochaine. Et « on peut monter à cadence 4, cela dépend un peu de la supply chain, mais nous pouvons prendre encore des commandes, je ne vais pas refuser des commandes pour le Rafale, surtout de pays européens », a ironisé le dirigeant. Le groupe négocie actuellement le contrat pour 26 Rafale de la marine indienne, annoncé en juillet dernier et qui n’est pas encore comptabilisé, et « nous avons d’autres prospects », a-t-il affirmé. Des discussions sont en cours avec l’Arabie saoudite, mais « c’est comme le Loto, pour gagner, il faut jouer. Nous avons une longue histoire avec l’Arabie saoudite, nous avons déjà essayé, sans succès », a expliqué le PDG, qui souligne toutefois que « le contexte politique a changé et la réputation de l’avion est bonne. Les pays voisins qui ont acheté le Rafale le disent, donc ça peut influer sur l’appréciation de nos amis saoudiens. Donc nous répondons à leurs demandes, et on verra ». Ambiance Les actionnaires étaient, comme tous les ans, venus nombreux, tout autant pour échanger avec la direction sur la stratégie de l’avionneur que pour partager un verre dans la salle de bal de l’hôtel particulier du rond-point des Champs-Elysées avec les autres actionnaires, y compris familiaux, qui se sont prêtés volontiers au jeu. Résolutions Le vote s’est déroulé encore à main levée, sans suspense puisque le Groupe industriel Marcel Dassault détient 64,31 % du capital pour 79,26 % des droits de vote. Le dividende de 3,37 € sera mis en paiement le 22 mai. Entendu à l’assemblée Si l’assemblée n’a pas traîné en longueur, une grande place a été consacrée au débat, avec près d’une vingtaine de questions posées. Les actionnaires se sont intéressés à une possible nouvelle version du moteur M88 de Safran, qui équipe les Rafale, au coût des nouveaux carburants, aux conséquences de la réglementation européenne CSRD, au processus d’intégration des jeunes embauchés dans la culture d’entreprise maison, aux rachats d’actions, voire au risque d’une logique trop financière, comme chez Boeing, aux transferts de technologies avec l’Inde. Deux thèmes ont toutefois dominé, la concurrence amé­ricaine faite aux équipements ­européens et les inquiétudes ­concernant la chaîne des fournisseurs. Sur ce dernier sujet, la supply chain, « nous sommes toujours inquiets. Nous ne sommes pas les seuls, Airbus l’a dit, le Gifas [Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales] aussi. On a une tour de contrôle pour identifier les défaillances le plus tôt ­possible. Le fonds Ace Aéro permet aussi d’intervenir en cas de défaillance et de besoin en fonds propres, a indiqué Eric Trappier, tandis qu’au cas par cas nous soutenons ces sous-traitants avec nos ..........
  12. Concurrencé par Rolls-Royce, GE Hitachi et Westinghouse, EDF revoit la copie de son SMR Nuward https://www.usinenouvelle.com/article/concurrence-par-rolls-royce-ge-hitachi-et-westinghouse-edf-revoit-la-copie-de-son-smr-nuward.N2215526 Dans une course aux mini-réacteurs nucléaires (SMR) qui s’accélère en Europe, pressée de remplacer ses centrales à charbon, le projet d’EDF Nuward ne convainc pas. Pour tenter de le maintenir en piste, décision a été prise d’en simplifier le design. Pour ses projets de SMR, le suédois Vattenfall a présélectionné Rolls-Royce SMR (image) et GE Hitachi Nuclear Energy, mais pas Nuward « La décision porte la marque de Luc Rémont », avance un bon connaisseur du dossier. Fin juin, EDF a confirmé une information dévoilée par le journal L’informé. Alors que le projet de SMR Nuward venait de décrocher l’autorisation de Bruxelles pour nouvelle une aide d’État de 300 millions d’euros et entrait en phase d’avant-projet détaillé, dans laquelle les équipes d’ingénierie commencent à dessiner les plans, décision a été prise d'en simplifier le design. Fini les générateurs de vapeurs à plaques imaginés par TechnicAtome et la chaudière nucléaire intégrée semi-enterrée, des technologies de rupture non maitrisées qu’il faudrait trop de temps à faire valider par les autorités de sûreté, dont six d’entre elles, première en Europe, avaient commencé à étudier ensemble le dossier. Retour à des technologies « exclusivement éprouvées », explique EDF, sans donner davantage de détails à ce stade. Derrière cette décision, plusieurs revers. Notamment l'annonce, en juin, que Vattenfall n'avait pas pré-sélectionné Nuward pour ses projets de SMR. Le groupe énergétique suédois lui a préféré le britannique Rolls-Royce et l’américain GE Hitachi Nuclear Energy, malgré des déclarations prometteuses du premier ministre Suédois. De quoi passablement énerver le PDG d’EDF. D’autant que la Suède n’est pas un cas isolé. En mai, Rolls-Royce SMR annonçait être proche d’une autorisation de principe en Pologne pour la construction de trois SMR. Et malgré l’abandon du projet en Idaho, la Roumanie continuerait de faire confiance à l’américain Nuscale. En Slovaquie, l'EPR de 1200 mégawatts (MW) d'EDF fait face à une version 300 MW de l'AP 1000 de Westinghouse. Nuward se base, lui, sur une technologie différente. Un désavantage industriel, commercial et en termes de sûreté. « C’est une décision courageuse et saine. Le réacteur n’était pas prêt pour répondre au marché et aux demandes des prospects européens », confirme Ludovic Dupin, directeur de l’information de la Société française d'énergie nucléaire (Sfen). Selon lui, « revenir à un modèle plus simple de chaudière classique va dérisquer le projet et faire gagner du temps plus tard ». Une décision courageuse Reste à savoir s’il est vraiment encore temps de changer son fusil d’épaule. Chez EDF on assure que « sur les SMR, personne n’est en retard, car personne n’a démarré » et que c’était « le bon moment pour prendre cette décision-là ». D’ailleurs, pointe-t-on chez l'énergéticien, « Nuscale montre que l’on peut avoir des aléas », sans sortir complètement du jeu. Or, la course aux SMR s’accélère en Europe, où nombre de pays sont de plus en plus pressés de remplacer leurs centrales à charbon en passant au nouveau nucléaire. Même la Norvège, qui déborde pourtant d’hydroélectricité, y réfléchit. Or Nuward n’est jamais en lice. De plus, certaines start-up portant des projets de mini-réacteurs nucléaires de 4e génération, ou avancés (AMR) – dont certains pourraient concurrencer les acteurs historiques pour le remplacement des centrales thermiques – affichent des feuilles de route très agressives. C’est le cas notamment de l’américain Terra Power, du canadien Terrestrial Energy et de l’européen Newcleo. Le CEA, qui teste pour Nuward la technologie de sureté passive à Cadarache, n’a pas souhaité commenter la décision d’EDF. Les travaux sur la boucle d’essai ne devraient pour autant pas être interrompus. Rappel de ce qu'étaient les technologies non éprouvées de Nuward -->
  13. @Picdelamirand-oilQuand Thales en avril 2022 annonçait produire ses équipements Rafale à cadence 2.5, est-ce que ca comprend aussi une partie (peut être 0,5 ?) de piece de rechange / upgrade ? https://www.usinenouvelle.com/article/les-usines-du-rafale-en-france-montent-en-cadence.N1799907 "Thales envisage de produire jusqu'à une cadence de 4,5 équipements par mois, contre 2,5 actuellement."
  14. Les chercheurs du MIT ont commandé et combiné des parties du virus de la grippe pandémique de 1918. Ont-ils révélé une faille de sécurité ? https://thebulletin.org/2024/06/mit-researchers-ordered-and-combined-parts-of-the-1918-pandemic-influenza-virus-did-they-expose-a-security-flaw/ "The team sent in orders for small fragments of the hazardous genetic sequences to many synthesis companies, thereby splitting the orders to evade detection. In some cases, they “camouflaged” sequences by appending unrelated genetic code to concerning fragments. In other cases, they both camouflaged and mutated the fragments to further conceal the ordered sequences. And the team succeeded—receiving orders 88 to 100 percent of the time in various test categories." Je vous laisse lire le reste
  15. Titus K

    [Rafale]

    Un petit détour par la Colombie au retour ?
  16. Après 6 mois de travaux, et plus de 140 personnes entendues, la commission d’enquête du Sénat sur l’électricité fait des propositions concrètes pour le pouvoir d’achat des Français, en baissant le prix et en le rendant plus stable à l’avenir. Produire une électricité compétitive pour nos entreprises et accessible à nos concitoyens est essentiel. UNE BAISSE DE 40% DE LA FACTURE Une baisse ciblée de la fiscalité Une baisse générale et indifférenciée de la TVA serait très coûteuse pour nos finances publiques et particulièrement injuste. La commission propose à l’inverse une baisse ciblée de la fiscalité sur l’électricité. Celle-ci nécessite de définir une "consommation de base" : moyenne des volumes consommés par un ménage pour une surface de logement de 80 m2, soit 4,5 MWh/an sans chauffage électrique et 6 MWh/an avec chauffage électrique. Pour cette « "consommation de bas" la TVA serait abaissée de 20 % à 5,5 %, l’accise sur l’électricité passerait de 21 euros actuellement à 9,5 euros le MWh et la Contribution Tarifaire d’Acheminement (CTA) serait supprimée. Ces propositions entraîneraient à elles seules une baisse de 18 % du prix. Au-dessus de la « consommation de base », le taux de TVA resterait de 20 % et l’accise serait plus élevée en fonction du volume consommé. Un prix de l’électricité plus bas et stable dans le temps L’"accord" État/EDF de novembre 2023 ne garantit ni des prix acceptables pour les consommateurs ni des revenus suffisants pour EDF. La commission d’enquête propose de lui substituer un contrat pour différence (CfD) fixé entre 60 et 65 euros le MWh pour éviter les variations erratiques de prix. Cela permettra de corréler les prix de l’électricité aux coûts de production et les détacher de ceux du gaz. Cette proposition entrainerait une baisse complémentaire du prix de 22%. L’ensemble des propositions de la commission d’enquête du Sénat offre donc la perspective d’une baisse significative des factures des Français dès le début de l’année 2025, baisse qui pourrait atteindre plus de 40% pour la "consommation de base". Soit : près de 7 000 euros sur la facture annuelle d’un boulanger qui consomme en moyenne 99 MWh par an ; plus de 600 euros sur la facture annuelle d’un ménage qui consomme en moyenne 6 MWh par an. La consommation électrique va progresser significativement du fait de l’électrification des usages. La commission d’enquête considère comme le plus probable un scenario à 615 TWh en 2035, soit 38% d’augmentation, puis environ 700 TWh en 2050, soit 57% d’augmentation par rapport à la situation actuelle. UNE PRODUCTION ÉLECTRIQUE SUFFISANTE A PRIX COMPETITIF GARANTI Une prolongation optimisée du parc nucléaire À l’horizon 2035, la prolongation optimisée du parc nucléaire devra accompagner un essor raisonnable des moyens de production renouvelables. Cela permettrait d’aboutir à un scénario de mix de production composé à 60 % par la filière nucléaire couvrant l’augmentation de la consommation avec une marge suffisante. Le développement de l’énergie hydraulique, énergie maîtrisée, rentable et décarbonée, exige la résolution rapide du conflit, qui dure depuis plus de 15 ans, avec la Commission européenne. À l’horizon 2050, il sera nécessaire de prolonger les centrales actuelles au-delà de 60 ans et de construire 14 nouveaux réacteurs EPR2, projet qui exigera une maîtrise industrielle renforcée et un système de financement optimisé que la commission précise. En fonction du nombre de réacteurs qui pourront être prolongés au-delà de 60 ans et du calendrier de déploiement du programme de nouveau nucléaire, le mix de production national résultant des scénarios étudiés par la commission d’enquête produirait entre 700 et 850 TWh en 2050. De 52 % à 61 % seraient assurés par des moyens nucléaires. Préparer l’avenir et relancer la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR) La commission d’enquête alerte sur le risque, trop peu évoqué, de raréfaction de l’uranium naturel à une échéance assez rapprochée. Selon les hypothèses de déploiement de l’énergie nucléaire civile dans le monde, qui doit être massif pour permettre la décarbonation, l’uranium peut se raréfier autour des années 2060. Aussi est-il impératif de relancer au plus vite la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR), qui produisent moins de déchets ultimes et permettraient à la France de disposer d’une énergie nucléaire 100 % souveraine pour des centaines d’années en recyclant nos propres déchets ! Être vigilant sur les coûts du système électrique En prenant en compte la totalité des coûts des différentes filières, notamment les réseaux, la commission d’enquête constate que plus les mix électriques comportent une part significative d’éolien et de photovoltaïque, plus le coût de production moyen du système est élevé. Ces modes de production diffus supposent en effet des investissements importants dans les infrastructures d’acheminement. Dans ce cadre, elle appelle à une expertise rigoureuse des programmes colossaux d’investissements dans les réseaux présentés par Enedis et RTE, pour l’instant évalués à 200 milliards d’euros d’ici à 2040, et ce pour éviter que le tarif d’utilisation du réseau public d’électricité (TURPE), répercuté sur les tarifs payés par les consommateurs, n’explose. En finir avec les discriminations de l’union européenne à l’égard du nucléaire Alors qu’elle dispose d’un mix électrique déjà très largement décarboné, les efforts demandés par l’Union européenne à la France sont proportionnellement plus importants que pour d’autres pays. Cette inégalité doit cesser. Les textes européens qui vont l’encontre du principe de neutralité technologique, établi par l’article 194 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui garantit à chaque État le droit de décider de son bouquet énergétique, sont contraires aux traités et doivent être révisés ! Ainsi faut-il mettre fin à toute discrimination de l’énergie nucléaire au sein de l’Union européenne. Les liens importants : Communiqué de presse --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/CP_2024_03_07_conf_presse.pdf L'essentiel --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Essentiel-CE_pour_transmission_communication_03-07.pdf Les 33 recommandations --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Les_recommandations_de_la_CE.pdf Les infographies --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/infog_elect_v6.pdf
  17. Titus K

    L'artillerie de demain

    Deux images de la video de Naval News pour montrer le lanceur potentiel du futur LCM Lanceur tres compact comparé au système americain
  18. Exactement, je pensais que ca venait d'une brochure Thales, d'un post Linkedin ou quelque chose du genre ... je pense que je suis pas le seul.
  19. Ce serait bien de préciser que c'est du chatGPT non ?
  20. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Je sais pas si tu parles du contact NL ? Dans ce cas l'indépendant contractor agrement, le mémorandum d'entente et le contract sont tous prêts à être signés ... il s'agit juste d'attendre le verdict de la plainte de TKMS pour mi Juillet ... sachant le ces contacts sont valables jusqu'au 28 juillet 2024. Et de toute façon vu que la marine a besoin d'une livraison en 2034, il faudra signer en 2024 dans tout les cas. Naval Group assure pouvoir livrer en 10 ans apres signature du contract, pas moins.
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