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Messages posté(e)s par TMor

  1. C'est pas du tout ce que j'ai lu sur les missions des 2000D et des Rafales sur ce terrain d'operation avec pas mal de situations ou les troupes alliees etaient tres pres des positions Talibans a bombarder.

    Nous avons lu les même choses...

    Ceci dit, une GBU-12 (c'est des Paveway 2) taperait à 5-6mètres de précision (c'est les paveway 3 qui ont une précision métrique). Une bombe GPS à 10mètres, ça fait pas significativement plus, non ?

  2. c’est de là que lui vînt son surnom de « Téfal » qui n’accroche pas et chauffe beaucoup.

    D'ailleurs, pour préserver toute la force du slogan Téfal, il faut dire "chauffe beaucoup, mais n'accroche pas !" avec un beau smiley comme ça :  =D ou comme ça :  ;).
  3. Belle analogie.  :O Très juste je trouve.  :-[

    Alors... Les américains vendent leurs avions comme de la drogue avec menaces, les eurofighteriens vendent le Typhoon en donnant des sous avec...

    Faut vraiment qu'on trouve un truc... Rafale + vieux M2000 gratuits, ça marcherait ?  :lol: Pardon, je m'égare.

  4. http://www.defenseindustrydaily.com/brazil-embarking-upon-f-x2-fighter-program-04179/

    Dassault Rafale: Unusually , it has a lot of advantages in this competition. It can play the carrier-compatible card, since the Sao Paolo was once FNS Foch. Experience with the Mirage 2000 offers a common technological and training base, and France is seen as a good supplier for avoiding political interference and making good on technology transfers. The one real negative is the Rafale's narrow range of integrated weapons – but offers of partnerships in some of those areas might serve to hit 2 targets at once by playing the tech transfer card more strongly. Plus, Dassault really, really needs this deal, and should be very motivated on price. If they can't make it here, they probably can't make it anywhere

  5. Le textes avant qu'il ne soit effaçé :

    OVNI: dans le ciel, les pilotes font parfois d'étranges rencontres

    Plusieurs pilotes militaires et civils, réunis à Washington, ont rivalisé lundi de témoignages saisissants pour raconter leur étrange rencontre avec des objets volants non identifiés, espérant ainsi inciter les autorités à prendre au sérieux ces phénomènes inexpliqués, souvent tournés en dérision.

    "Rien dans mon entraînement ne m'avait préparé à cela", assure James Penniston, officier retraité de l'armée de l'Air américaine, avant de raconter avoir vu et touché "un vaisseau triangulaire, illuminé de bleu et de jaune", qui était posé dans une forêt attenante à une base aérienne britannique à Woodbridge (GB) en 1980.

    L'OVNI "était chaud au toucher et avait une texture métallique. L'un des côtés était couvert de symboles dont le plus grand était un triangle", raconte-t-il.

    "La lumière s'est intensifiée (...) le vaisseau a décollé du sol sans bruit ni mouvement d'air et est parti incroyablement vite", devant plus de 80 personnes de la base. "Dans mon carnet, j'ai écrit +vitesse: impossible+".

    M. Penniston fait partie d'un panel international d'une vingtaine de pilotes et de scientifiques, signataires d'une pétition réclamant de sérieuses investigations sur ce sujet.

    "Que le gouvernement américain arrête de perpétuer le mythe selon lequel il existe une explication conventionnelle à tous les phénomènes d'Ovni. Notre pays doit rouvrir l'enquête", a déclaré lors d'une conférence de presse Fife Symington, ex-gouverneur d'Arizona lui-même témoin d'un Ovni en 1997.

    Plus généralement, "pour des raisons de sûreté nationale et de sécurité aérienne, chaque pays devrait s'efforcer d'identifier tout objet circulant dans son espace aérien", soulignent ces personnalités.

    "Malheureusement, le sujet des Ovni a été contaminé par de fausses informations, fournies aux médias par des personnes non qualifiées", déplore Rodrigo Bravo, un expert de l'armée de l'Air chilienne.

    Pourtant, "l'un de nos plus illustres cas, en 1988, a montré que les Ovni pouvaient être un danger pour les opérations aériennes: un B737 en approche finale à Puerto Montt (sud) s'est retrouvé face à une grande lumière blanche entourée de vert et de rouge qui fonçait sur lui, et le pilote a dû faire un virage serré à gauche pour éviter une collision".

    Lundi, les pilotes présents à Washington rivalisaient d'anecdotes tout aussi saisissantes, pour le plus grand plaisir des "croyants" dans la salle.

    En 1976, Parviz Jafari, ex-pilote de chasse iranien, a tenté en vain d'attaquer à bord de son F-4 "un objet clignotant de lumières rouge, orange et bleu clair", au-dessus de Téhéran. Mais "dès que je m'approchais trop, mon armement était coincé et ma radio brouillée", se souvient-il.

    Ancien commandant de bord d'Air France, Jean-Charles Duboc assure lui avoir observé "un Ovni près de Paris, pendant un vol Nice-Londres, qui ressemblait à un énorme disque, d'environ 300 mètres de diamètre" et qui a laissé une signature radar.

    Mais "comme toutes les compagnies aériennes, Air France est soucieuse de son image. C'était très dur d'aborder le sujet", affirme l'ancien pilote.

    "Qui croit aux Ovni? C'est l'attitude systématique de la FAA", l'autorité américaine de l'aviation civile, assure un de ses anciens cadres, John Callahan, découragé d'enquêter sur un Ovni repéré au-dessus de l'Alaska en 1987.

    "Quand j'ai demandé au responsable de la CIA ce qu'il en pensait, il m'a dit +C'est bien un Ovni, mais on ne peut pas le dire au public américain, il paniquerait+", raconte-t-il.

    Le phénomène est pourtant bien réel, selon Nick Pope, ancien du ministère britannique de la Défense: Sur les 10.000 signalements reçus par le gouvernement britannique depuis 1950, "la plupart des Ovni se sont révélés être des avions, des satellites et des météorites, mais dans 5% des cas, aucune explication n'a pu être établie".

  6. En attendant, n'en déplaise aux gens de l'AdA, dans la Luftwaffe, c'est 9h d'entretien par heure de vol, chiffre appelé à descendre à près de 5h.

    Wartung

    Pro Flugstunde sind spezifikationsgemäß weniger als neun Wartungs-Mannstunden inkl. Triebwerk erforderlich - erwartet werden 4,85 Wartungs-Mannstunden pro Flugstunde (die zu ersetzende Generation hat zwischen 40 und 100 Mannstunden Wartungsaufwand pro Flugstunde).

    http://eurofighter.airpower.at/technik-wartung.htm

    (on m'a aidé pour comprendre, alors si des germanophones en tirent des détails...)

  7. Selon l’armée de l’air, un Rafale demanderait 12 heures d’entretien pour une heure de vol (soit à peine trente minutes de plus qu’un Mirage 2000) quand un Eurofighter en exige 50 !

    50... Ca a quelque chose de grotesque. A un certain niveau, j'aurais tendance à ne plus croire l'armée de l'air. A croire qu'ils se jètent sur des chiffres d'une flotte embryonnaire capricieuse ! Qu'ils prennent les Rafale M LF1 en 2001 pour rire !  =(

    En plus désormais, les chiffres du Rafale se contre-disent ! Le 20 septembre :

    Outre ses capacités opérationnelles, le Rafale F2 requiert une maintenance allégée en temps et en main d'oeuvre, par l'accessibilité de ses fonctions essentielles, et l'alerte informatisée sur l'état de celles-ci ; c'est la maintenance « selon état », beaucoup moins coûteuse que la maintenance préventive. Ainsi, là où un Mirage 2000 nécessitait 20 heures d'entretien, le Rafale n'en réclame aujourd'hui que 10. La prise en compte de ces aspects techniques et logistiques dès la conception de l'appareil devrait donc en réduire le coût de possession.

    Donc pourquoi Hervé Morin critique à 3 reprises notre aéronef ? ,sur le coût du développement de cet appareil. Ainsi il a souhaité qu'une "procédure pour permette de réfléchir au choix de l'hypertechnologie" dans le cadre d'un "processus politique de décision sur les programmes d'armement".

    Première réaction parlementaire :Le député UMP du Tarn Bernard Carayon a accusé jeudi le ministre de la Défense Hervé Morin de "saboter l'image de nos fleurons industriels" avec ses critiques sur le coût du Rafale.

    Faut-il faire une différence entre "maintenance" et "entretien" ? 10 et 12, ça se ressemble, mais 11h30 et 20, c'est pas la même chose ! Quels chiffres nous donne-t-on ? (entretien par heure de vol et temps de maintenance ?)

    On nous raconte des salades. :rolleyes:

    PS : merci beaucoup Rafale56 !  ;)

  8. L'inclinaison des sièges comme sur le Rafale permet surtout de mieus supporter les accélérations dans le sens "tête-pieds", c'est pour cela que que le siège a cette inclinaison;

    C'est moins fatigant sur le long terme, également (en campagne).
  9. Les arguments sont super branlants.

    Le F-16 aussi a un rapport poussée poids supérieur à UN. Donc, la puissance au nombre de moteurs, c'est déjà bancale. Ensuite, avec son histoire d'autonomie, il ne bluffera personne.

    Enfin, il serait bon de faire le compte des taux d'attribution mono/bi et voir à long terme lequel est réellement le plus cher (évidemment, un avion perdu ne coute pas cher à l'entretien).

    Enfin, là où il a raison, c'est qu'on ne devrait pas exporter sans l'AESA (et Meteor).

  10. Et bien oui, en fait, les pilotes voudraient un casque aussi léger qu'un LA100... Alors on a encore du progrès à faire, c'est tout !  ;)

    Je me suis demandé si l'inclinaison du siège sur le Rafale n'exigeait pas un effort supplémentaire.

  11. Génial... Comment pulvériser les efforts du gouvernement précédent. J'aime.

    Déjà, je croyais que les 8 étaient commandés cette année à la place des 60, et que les 60 attendraient 2009... C'est quoi cette histoire ?

    Ces 8 là devaient attendre bien après ! Du coup, comment va-t'on avoir des Post-F3 en 2012 ?

  12. c'est bye bye le Raptor, pas à coup sur mais il est loin d'etre imbattable.

    Et entre ces 2 notions, il y a un écart sur lequel tu ne t'attarderas pas trop.  ;)

    Il y a-t'il quelqu'un qui pourrait faire un mini-topo synthèse sur ce que le 35 a de plus que le 27 ? SVP

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