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TMor

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Messages posté(e)s par TMor

  1. C'est pour ça que je parle de "cible" à 126. Bon, on s'en fiche.

     

    Pas la peine de délirer sur cette histoire, ils n'auraient pas encore fait de brouillon d'appel d'offre, on n'est pas prêt de voir quelque chose apparaître.

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  2. 90 + 36 = 126

     

    La cible reste 126, et pour l'instant, c'est 36 Rafale made in France qui sont sur la table. Reste à savoir qui s'occupera des 90 autres.

     

    Je me demande comment l'IAF vit tout ça...

  3. Pour moi, refuser de trancher faute de preuve n'est pas nécessairement prendre parti. Je n'ai pas prétention à être à la hauteur de la "justice". Et la justice n'a pas pu se prononcer.

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  4. Tout le reste des commentaires, c'est en grande partie du French bashing avec que de sous-entendu sur les pots de vins que l'on aurait versé pour obtenir ces contrats et ils expliquent leurs échecs par leur lois anti-corruption rigoureuse qu'ont adopté les anglais (MEGA LOL)

    On fait bien du british-bashing avec des affirmations de pots-de-vin alors qu'il n'y a pas eu grand chose de prouvé...

    Et on a aussi mis quelques échecs sur le dos de nos lois anti-corruption.

    On est les mêmes. C'est juste que nous on sait faire les avions.

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  5. En Inde (compétition) nous n'avons pas encore signé.

     

    Mais de toute façon, comme l'Egypte et le Qatar, c'est un pays qui a des habitudes d'avions français depuis "quelques années" (pour faire bondir FATac  =D  ).

     

    Alors peu importe les raisons d'invalider ces exportations. Il y en a 99. Voilà. Ça fait toujours 99 Rafale de moins à construire.

     

     

     

    -Autriche : compétion, mais triche ;

    -Arabie Saoudite : pas de compétition, deal dans la continuité des Tornados (vendus avec triche ?) ;

    -Oman : ça fait partie du jeu.

  6. Oui, j'avais plus en tête les avis des internautes français qui auraient voulu donner des leçons de commerce aux gens de chez DA.
     
    Enfin...
     
     

    Or les anglois, contrairement aux français, aiment leur fleuron et ne souffrent pas d'une maladie bien française "l'auto-dénigrement compulsif".

    Je ne sais pas de quoi tu te sers pour dire cela. On se frotte aux amateurs sur Internet, qui sont très sûrs d'eux, mais à regarder les commentaires dans les articles de journaux et à lire nos amis des fora anglosaxons, le Typhoon n'a pas eu la vie facile dans la presse généraliste. Alors on est peut-être fort en autoflagellation, mais à ce petit jeu, ils savent faire aussi !

     

    C'est juste de la critique d'un programme militaire extrêmement coûteux, par des gens qui n'en comprennent pas les enjeux, ou ne veulent pas s'y intéresser. Cela existe AUSSI de l'autre côté de la Manche.

     

    Nous n'avons pas le monopole de cette maladie "bien française"... L'affirmer n'est qu'un effort de plus dans l'auto-dénigrement.

  7. Oui et non en fait.

    Pkoi l'EF va t-il disparaitre(?), parce que la menace pour laquelle il a été spécifiquement conçu et construit a disparue,

     

    Il y a toujours moyen de prétexter qu'un chasseur pareil a une raison d'exister, tant que c'est pour défendre les cieux. Ce n'est pas tant le problème de cramer des hordes soviétiques qui pose problème au Typhoon, c'est plutôt un manque d'inspiration et des problèmes de gestion. Le programme devait cohabiter avec d'autres avions lorsqu'il a été conçu, déléguant certaines tâches à ces derniers (on peut voir le problème dans l'autre sens, ces derniers déléguant au Typhoon). Précisément là où ça dégénère, c'est que le programme a tellement duré que les Tornados sont maintenant à bout de souffle, et leur remplacement est compliqué. En plus, le Typhoon est très cher alors qu'il ne peut pas tout faire...

     

    On a eu de la chance chez nous de ne vouloir qu'un seul avion pour tout. On aurait pu envisager du tout Rafale. Eux, non, il leur faudra toujours autre chose à côté ou alors renoncer à des capacités.

  8. Ils ont des modifications aérodynamiques importantes à faire, de l'équipement dernier cri à rajouter et ils peuvent baisser le coût de production de 20% ?

    C'est intrigant, c'est sûr... J'essaie de relire le truc pour voir à quel endroit mon interprétation a foiré.

    Est-ce que gagner 20% sur la production implique mécaniquement un prix unitaire réduit de 20% ?

  9. BAE slashes cost of making Typhoon jet fighters as it seeks new export ordersDefence giant BAE Systems slows production rate of Typhoon fighter as it lines itself up for potential export orders

     

    http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/industry/defence/11749347/BAE-slashes-cost-of-making-Typhoon-jet-fighters-as-it-seeks-new-export-orders.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

     

     

    Ca c'est un article majeur, mais personne ici (et ailleurs) n'a réagi... Baisser les coûts de fabrication de 20 %, ça me paraît complètement dingue... Bon, vu qu'il y avait un écart de 15 à 20% avec son plus proche concurrent (en Inde d'après JD Merchet), on voit l'objectif visé... 2011/2012 a fait du mal au Typhoon. L'heure du réveil ?

    En tout cas, en 3 ans, ça a beaucoup bougé.

  10. Oui oui... Bon, moi je rentre juste de Bretagne... Et enfin, me revoilà avec un PC.

     

    Je rattrape un peu les choses du coup...

     

    D'un côté, je lis sur C6 qu'il y a quelques temps, même nos 2000 RDI maltraitaient certains Typhoon. Alors face aux Rafale... L'auteur expliquait si j'ai bien compris que l'avantage des Rafale tient aussi bien des machines que de l'utilisation très aboutie qui en est faite... Les procédures sont bien léchées, les tactiques fonctionnent pour compenser les éventuelles faiblesses. Et on ne peut pas en dire autant pour les pilotes espagnols, italiens, allemands. Les Typhoons anglais sont mieux équipés (ce sont les plus complets) et les pilotes l'exploitent nettement mieux, ce qui fait que le Typhoon UK, dans le ciel, est un autre problème (pas insurmontable). En fait, on retrouve des choses que Pollux nous avaient déjà dites !

    Ceci dit, le combat rapproché missile réserve de belles blagues grâce au viseur de casque, et ça, Pollux nous le dit aussi.

     

     

    Bref, à côté de ça, je rigole de voir Cola sur starstreak craquer et se faire prendre en flagrant délit de trollage lorsqu'il s'en prend à Scorpion...

    ... qui nous précise que le kit AMK vise bel et bien les améliorations pour le A2A. L'avion a des carences dans les basses vitesses, le kit vient améliorer tout ça. Et si ça aide pour les CFTs et charges lourdes, ça a l'air d'être de l'ordre de l'effet de bord.

     

    Formidable, disais-je ! Non pas qu'ironiquement, mais aussi parce que ça me paraît être une bonne nouvelle de voir une machine faite pour la supériorité aérienne s'en rapprocher enfin ! Il va peut-être être un peu plus à la hauteur de son image de marque... Si toutefois le kit est finalement adopté !

    Je vous invite à revoir l'image HD sur laquelle on observe bien une modification de la forme des élevons, allongés (ce que je ne voyais pas sur mon ordiphone).

    Cette image nous éclaire bien :

    attachment.php?attachmentid=239325&d=143

     

    0aDbysi.jpg

     

    Et pour finir... sur Starstreak, on peut lire :

    • le premier tir d'un SPEAR 3 en aout ("powered release" ? je suppose que c'est une bûche propulsée ?) ;
    • nouveau tir d'essai du Meteor en aout aussi... ! ;
    • test de séparation de Storm Shadow en septembre/octobre ;
    • Brimstone en service en décembre 2018.

     

    Donc, mine de rien, les développements avancent. Ça bosse dur pour sortir le Typhoon de son trou, et bousculer les marchés. En ajoutant tout ça au kit AMK, j'ai l'impression de voir un retour en force du Typhoon, à moins que ce ne soit le chant du cygne, mais je ne crois pas à cette dernière hypothèse...

  11. http://m.lavoixdunord.fr/region/ils-seront-au-meeting-aerien-de-prouvy-le-rafale-ia27b36937n2939277

    Voici la suite de notre rubrique spéciale web autour du meeting de Prouvy qui démarre franchement ce week-end avec l’arrivée de la Patrouille de la France. Nous poursuivons ici la présentation des appareils présents sur l’événement. Ici, le Rafale, le «roi du ciel».

    Le Rafale n’est pas aussi furtif que le F-22. S’il brille dans les meetings aériens, il n’a pas non plus toutes les capacités de voltige du SU-35 qui peut comme le F-22 effectuer la fameuse figure du cobra de Pourgatchev – soit relever le nez de l’avion à plus de 90º à vitesse réduite. Mais à l’inverse de bien des concurrents, le Rafale a été pensé comme « omni-rôles ». En clair, l’appareil est capable depuis son origine de missions de police aérienne, de renseignements, de frappes au sol et d’être embarqué sur porte-avions.

    Par bien des aspects, le Rafale est un avion de la cinquième génération, à aile delta avec son empennage canard rapproché propulsé par 2 turbo-réacteurs à postcombustion Snecma M88, et contrôlé par des commandes de vol électriques qui lui permettent d’effectuer des figures impossibles à la plupart de ses concurrents ; telle qu’une boucle en partant à 100 nœuds en forte incidence avec un facteur de charge qui atteint 10,5 grammes lors de la présentation Rafale solo display.

    À titre d’exemple, l’Hero fighter a essayé sans succès l’atterrissage sur retournement, le Rafale restant le seul avion au monde capable de réaliser cette figure. Il dispose d’un système de démarrage automatisé qui permet le décollage seulement cinq minutes après que le pilote s’est assis dans le cockpit. Alors qu’on place plus traditionnellement le pilote après avoir défini le cockpit, c’est le premier avion dont on a conçu le cockpit autour du pilote pour lui permettre de se consacrer à sa mission en lui facilitant la vie ; il n’y a pas de raison qu’un avion soit plus difficile à mettre en route qu’une voiture. Qu’on s’assoit, qu’on tourne un bidule, boum, les deux moteurs partent. Eh bien, ils l’ont fait : il y a une espèce de rototo, on le tourne par crans, « poum<UN>! » Premier cran, ça ouvre l’arrivée du pétrole. « Pou », deuxième cran, ça met en route les pompes. Troisième cran, ça allume le démarreur. Puis après une impulsion, « ding ding », ça allume les moteurs, tout part.

    Dès sa naissance, cet appareil polyvalent dont la mission est de remplacer sept avions hyperspécialisés se révèle être une réussite à la fois technologique, esthétique et fonctionnelle. Le Rafale est justement surnommé « le roi du ciel ».

    La Voix du Nord

  12. Mon père me raconte souvent les bangs qui faisaient trembler la vaiselle et les carreaux des fenêtres à une époque. Pour certains, il y avait de la casse, parfois régulière.

    Il a beau être de ceux qui aimaient ça, il comprend la régulation. Moralité, on a perdu l'habitude jusqu'à en oublier ce que c'est quand on en entend un dans sa vie.

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