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Philippe Top-Force

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Messages posté(e)s par Philippe Top-Force

  1. Rassures-toi Bill ,les 60 Rafales M commandés par la marine et les + ou - 32 qui seront embarqués ,ne vont pas mettre 60 ans. :lol: à arriver au GAe Les SEM seront progressivement retirés au profit des Rafale M. A partir de 2006 > 2014 ,au rythme de 6 par an ,les livraisons des Rafale seront programmés. Si tout va bien. ;)

  2. L'armée émiratie a commandé mardi huit hélicoptères Bell Agusta AB139, de fabrication italienne, pour 83,7 millions de dollars, au troisième jour du salon de l'armement IDEX-2005 à Abou Dhabi, a annoncé un haut responsable militaire émirati lors d'une conférence de presse.

    La commande a été passée auprès de la compagnie Bell Agusta Aerospace, qui était en lice avec le constructeur Eurocopter (filiale à 100% du groupe européen d'aéronautique et de défense EADS) pour son hélicoptère EC155, a ajouté le général Obaid al-Ketbi, directeur des achats des forces armées émiraties et porte-parole du salon.

    Les appareils, fabriqués dans le nord de l'Italie dans le cadre d'une coentreprise entre l'Américain Bell et l'Italien Agusta, serviront à "de multiples missions" des forces armées émiraties, a-t-il ajouté.

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  3. Etude de faisabilité ,expérimentation ,évaluation par l'armée française de tous systèmes d'armes ou tout type d'armes ne veulent pas dire acquisition systématique ou dotation automatique dans nos armées. Pour preuve dans l'appui feu ,les essais et l'évaluation par l'AT du canon léger tracté 105 LG1 MkII dont littleboy aurait souhaité que l'AT s'en dote ,il n'en fût rien. Ce n'est pas la première fois que nos entreprises et industriels d'armement proposent des armes à notre armée et que celle-ci n'adopte pas contrairement à certains clients à l'export. Quant au 155 naval ,s'il y a un marché porteur ,le canon naval pourrait être proposé à un deal. ;) Il est vrai qu'un temps évoqué ,la navalisation du 155 mm 52 calibres du AUF2 semble compromis. :cry:

  4. La mission principale du système d'artillerie navale de 155 mm est l'appui feu naval lors d'opérations amphibies ou pour le soutien des forces terrestres en opérations.

    :arrow: La mission secondaire est la lutte anti-navires, mais le système d'armes apporte également ses capacités dans les missions plus générales de police en mer ou de présence dans les conflits de basse intensité. Il est destiné à être l'armement canon principal de bâtiments de la taille de destroyer ou frégate.

    Le système d'artillerie navale de 155 mm utilise une arme de 52 calibres dérivée de celles développées pour les systèmes d'artillerie sol-sol et conforme au standard balistique international de 155/52 (JB MoU).

    Elle tire tous les projectiles existants de l'armée de terre française ou conformes au standard OTAN (tels que l'obus explosif LU 211, l'obus cargo à bombelettes OGRE, l'obus antichar BONUS), ainsi que les futurs obus allongés à longue portée.

    CARACTERISTIQUES

    Entièrement télécommandée, la tourelle est associée à un système de ravitaillement en munitions et de chargement automatique, tant pour les obus que pour les charges propulsives. Celles-ci sont constituées de modules à enveloppe combustible (principe des charges modulaires), assemblés en fonction des circonstances opérationnelles pour apporter la réponse optimale en termes de portée ou de trajectoire des projectiles. Elles permettent de réaliser des séquences de tir avec impacts simultanés sur l'objectif (MRSI).

    • Portée : 39 km avec l'OE LU 211 base bleed; 35 km avec l'OGRE ou le BONUS ; beaucoup plus avec les obus à longue portée à propulsion additionnelle.

    • Cadence de tir : 10 coups/minute.

    •Circulaire : ± 170° de la position de verrouillage.

    • Elévation : -15° / + 70°.

    • Masse de la tourelle : environ 25 tonnes.

    STATUT

    :arrow: Etude de faisabilité achevée pour le compte du Ministère de la Défense français.

  5. L'avionneur français Dassault Aviation présentera mardi sur son site de Bordeaux-Mérignac le dernier-né de ses avions d'affaires, le Falcon 7X, un luxueux triréacteur capable de franchir d'une traite 5.700 miles nautiques, soit 10.500 km, à une vitesse proche de celle du son.

    Cette cérémonie, qui marquera la sortie d'atelier du premier exemplaire du 7X, se tiendra en présence du ministre des Transports Gilles de Robien et de quelque 800 invités, notamment clients de Dassault Aviation, fournisseurs et partenaires.

    Le constructeur place beaucoup d'espoirs dans son dernier modèle, qui a représenté un coût de développement d'environ 700 millions d'euros. "C'est l'avion d'affaires de référence haut de gamme de la nouvelle génération pour les 30 ans qui viennent", assure-t-on au siège de l'avionneur.

    Le premier vol du Falcon 7X est prévu au printemps 2005, la certification et le début des livraisons aux clients fin 2006.

    Dassault Aviation a déjà engrangé 50 commandes fermes pour cet appareil, dont les deux tiers en provenance de grandes entreprises américaines.

    Avec une cadence de fabrication de deux avions par mois, la production des deux premières années, soit une cinquantaine d'appareils entre 2006 et 2008, est d'ores et déjà vendue, alors que le 7X n'a pas encore effectué son premier vol.

    "Du jamais vu dans l'aviation d'affaires", assure-t-on chez Dassault Aviation. Le père des avions de combat Mirage et Rafale réalise aujourd'hui les deux tiers de son activité dans les avions d'affaires.

    Le constructeur, qui a fêté en 2003 le quarantième anniversaire du premier vol du Mystère 20, point de départ du développement de ses avions d'affaires Falcon, a vendu au total quelque 1.800 exemplaires de ce type d'appareil.

    Il revendique une part de marché mondial de 50% sur le secteur des jets d'affaires haut de gamme contre 25% pour l'américain Gulfstream et le canadien Bombardier.

    "Sur ce marché, on peut imaginer que dans les 40 ans à venir il y ait 3.000 Falcon de la nouvelle génération à vendre", estime-t-on chez Dassault.

    L'Amérique du nord représente 50% du marché, l'Europe 25% et le reste du monde 25% également, selon les estimations du constructeur français.

    Proposé au prix catalogue de l'ordre de 37 millions de dollars, un tarif variable selon les options, le dernier-né de Dassault Aviation "ne coûte que 10% de plus que le Falcon 900 X, le vaisseau amiral de la flotte", souligne-t-on au siège du groupe.

    Une performance que Dassault Aviation attribue au caractère inédit du processus de fabrication du 7X. Cet appareil a été le premier avion à être entièrement développé sur une plateforme virtuelle. Les équipes des différents bureaux d'études et des 27 entreprises de 7 pays impliquées dans ce programme n'ont ainsi pas eu besoin de se réunir physiquement pour travailler sur le projet : elles l'ont piloté à distance.

    En utilisant ses logiciels de conception et de fabrication assistés par ordinateur, le constructeur a réalisé une maquette numérique de l'avion et n'a même pas eu besoin d'en produire un prototype. Le 7X qui sera présenté mardi sera le premier avion de série.

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  6. Arianespace, avec la fusée Ariane, et les Américains International Launch Services (ILS) avec Atlas et Proton, et Boeing avec Sea Launch et Delta, sont les principaux acteurs du marché des lancements de satellites.

    Arianespace et ILS revendiquent chacun le titre de numéro un mondial des lancements commerciaux, compte non tenu des programmes gouvernementaux qui représentent environ 70% du plan de charge des lanceurs américains contre 10% seulement pour les européens.

    Les principaux actionnaires d'Arianespace sont le Centre national d'études spatiales (Cnes, 32,45%) et le groupe européen EADS (27,03%).

    Outre Ariane, la société européenne commercialise le lanceur russe Soyouz via la société Starsem, dont elle est actionnaire aux côtés d'EADS, de l'Agence aéronautique spatiale russe et du centre spatial russe de Samara, situé à un millier de km au sud-est de Moscou.

    Les tirs d'Ariane sont opérés depuis le centre spatial guyanais de Kourou en Guyane française et ceux de Soyouz depuis Baïkonour (Kazakhstan). Des lancements de Soyouz à Kourou sont prévus à partir de 2007.

    ILS associe l'américain Lockheed Martin aux Russes Khrunichev et RSC Energia, pour l'exploitation des fusées Atlas à partir des Etats-Unis, et des Proton russes, depuis Baïkonour.

    De son côté, Boeing Launch Services (BLS) commercialise des lancements de satellites avec les fusées Delta à partir de Cap Canaveral, et Zénith via Sea Launch, société associant Boeing (40%), le Russe Energuia (25%), le Norvégien Kvaerner (20%) et les sociétés ukraniennes Ioujnoé et Ioujmachzavod (15% au total). Les lancements de Sea Launch se font avec des Zénith-3SL, à partir de la plate-forme flottante Odyssey dans l'océan Pacifique.

  7. Pour ceux qui ne lisent pas ou ne maîtrise pas complétement la langue de shakespeare. ;) voici la version IN FRENCH :lol:

    :arrow: La réception par la Délégation Générale pour l’Armement du premier EC 725 a eu lieu le jeudi 10 février 2005, aux établissements Eurocopter de Marignane. Cet EC 725 sera utilisé par l’armée de l’air française pour ses missions SAR de Combat.

    Les livraisons suivantes s'étaleront sur 2005 et 2006.

    Dernier-né de la gamme Cougar, l’appareil bénéficie de l’expérience de ses prédécesseurs et de considérables améliorations techniques.

    L’armée de l’air française, client de lancement du EC 725, exploitera 6 de ces appareils, pour effectuer des missions SAR de Combat, et l’armée de terre française 8 destinés au détachement ALAT des opérations spéciales.

    L’EC 725 est le dernier membre de la famille des hélicoptères Cougar. L’appareil a bénéficié de l’expérience acquise avec ses prédécesseurs et d’importantes améliorations techniques. L’EC 725 a été conçu pour exécuter des missions SAR, SAR de Combat, de transport tactique longue distance, aussi bien que pour des missions de transport sanitaire, de soutien logistique. Il peut également être utilisé pour des missions navales.

    L’ EC 725 a effectué son vol inaugural en novembre 2000. C’est un hélicoptère bimoteur de moyen tonnage (classe des 11 tonnes) dont les performances ont été sensiblement améliorées.

    L’appareil EC 725 a obtenu sa qualification par le service aéronautique de la DGA le 23/12/04.

    La charge utile militaire de cette nouvelle version sera considérablement accrue par rapport à celle du Cougar MK1.

    Parmi les caractéristiques les plus remarquables de l’EC 725, il convient de noter une tête rotor entièrement nouvelle, une boîte de transmission principale renforcée, une nouvelle motorisation et un nouveau système intégré de pilotage et de visualisation. Eurocopter a sélectionné la structure du fuselage du Cougar Mk2 pour l’EC 725 en raison de ses excellentes qualités opérationnelles, qui ont déjà fait leur preuve en service, et du choix étendu d’options et d’équipements qu’elle offre.

    Nouveau rotor à cinq palesL’EC 725 utilise la technologie éprouvée du Spheriflex pour les têtes du rotor principal et du rotor arrière. Cette technologie permet également de réduire les coûts d’exploitation et de maintenance. Avec cinq pales, le rotor principal bénéficie des progrès les plus récents réalisés dans le domaine du profil des pales et des performances aérodynamiques. Leur conception s’appuie sur un longeron en matériaux composites. Les pales se caractérisent également par leur structure multi-caisson. Avec cinq pales, le niveau de vibration de l’appareil est particulièrement bas.

    Le diamètre du système rotor principal est de 16,2 mètres. Les rotors et le plan fixe peuvent être équipés d’un système de dégivrage/antigivrage qui permet de voler dans des conditions givrantes extrêmes.

    Nouvelle boîte de transmission principaleLa boîte de transmission principale de l’EC 725 a été renforcée pour tenir compte de l’accroissement de la puissance moteur et de la masse brute de l’appareil. Le système d’entraînement du Mk2 a été conservé et les engrenages coniques à denture hélicoïdale ont fait l’objet d’un traitement par nitruration profonde et intègrent les derniers développements en matière d’optimisation du profil de dents. Le circuit de lubrification comprend un système de pulvérisation de secours permettant le fonctionnement sans huile pendant 30 minutes.

    Nouvelle motorisationL’EC 725 est équipé de 2 turbomoteurs Makila 2A. Ce nouveau moteur, développé par la société Turbomeca, comprend un compresseur nouvelle génération et peut fonctionner à des températures plus élevées que son prédécesseur, le Makila 1A2. Il est ainsi capable de générer une puissance d’urgence de 1800 kW (2 448 ch, 2 413 shp), ce qui représente une augmentation de 14% par rapport à la version précédente.

    Le système FADEC à deux voies et l’architecture « blade shedding » de la turbine libre assurent des fonctionnalités modernes, fiables et sûres. Chaque moteur est un ensemble autonome avec tous les systèmes, équipements et accessoires nécessaires pour assurer son fonctionnement. Le fait que les moteurs soient modulaires rend les tâches de maintenance et de contrôle bien plus faciles à réaliser.

    Nouveau système de visualisation intégrée :L’EC 725 est équipé d’une avionique nouvelle, résultat de l’expérience étendue d’Eurocopter en matière de technologie de l’interface pilote-hélicoptère et dans le développement de fonctions ergonomiques.

    Le système de visualisation de vol comporte quatre écrans LCD multifonction (6" x 8") et deux écrans supplémentaires (4“ x 5“) pour les paramètres de l’hélicoptère. Ces écrans permettent la visualisation simultanée des paramètres de pilotage, de navigation et de mission. Leur conception modulaire permet d’obtenir une grande diversité de configurations. Des ordinateurs intègrent tous les paramètres de vol et de navigation ainsi que les paramètres tactiques. Grâce à ce système intégré, le pilote et le copilote peuvent se concentrer davantage sur les fonctions externes de la mission que sur le pilotage de l’appareil, en d’autres termes, la probabilité de succès de leur mission est bien plus grande.

    La version militaire offrira la possibilité de ravitaillement en vol, ce qui augmentera encore la distance franchissable de l’hélicoptère.

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  8. SCOOP :lol: Le lancement de la fusée Ariane 5 ECA, capable d'emporter une charge de 10 tonnes, samedi du Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou avec deux satellites à bord, a été retardé en raison d'un problème non encore identifié, a-t-on appris au siège de la société Arianespace à Evry (Essonne). Selon les premières informations, le retard pourrait être d'une vingtaine de minutes a-t-on indiqué de même source.

  9. Pour en revenir au post initial entre le cougar EC 725 et le nh90. A l'époque (en 2002) ,l'arrivée du Cougar MK2 suscitait la polémique dans les EM ,alors que la France s'était engagé lourdement sur le plan financier sur le programme NH90. Acquérir 10 EC 725 pour la somme de 285 M€ ;même s'il est plus performant que le MK1 ,va permettre de mieux projeter nos FS. La DAOS avait même songé d'aligné une escadrille d'attaque de 10 Tigre ,une autre de combat avec soit 10 Gazelle ou Fennec (plus tard )pour le commandement ,2 escadrilles tactiques de 10 EC 725 Mk2 ou une de 10 EC 725 et 10 TTH90. Quant à la rénovation de 45 Puma qui resteront en service > 2025 ,il a fallu choisir : soit acquérir seulement une dizaine de TTH 90 en avance de phase sur le programme ou soit moderniser 45 Puma au vu du mandat opérationnel de l'ALAT qui exige le maintien d'un parc de 135 hélicoptères de manoeuvre. Dans un horizon proche 2015/2020 ,l'ALAT disposera de 120 Tigre et de 68 TTH ,une quarantaire de Puma rénové ,des H2C et un parc d'hélicoptère pour l'entraînement. Quid d'un futur HTH ou hélicoptère lourd ?

  10. Puisque certains débatent sur les SNLE NG ,SNA et autres vecteurs ,d'autres se posant l'opportunité de disposer 4 SNLE NG ou pourquoi l'utilité d'un lancement d'un nouveau M51 ,même il était souhaité par certain d'avoir des sous-marins à propulsion conventionnel ,plutôt que des SNA ,à toutes ses questions . :idea: :?: ;)

    :arrow: je vous propose de lire un rapport de Bruno Tertrais portant sur la :arrow: "dissuasion nucléaire française après la guerre froide : continuité ,rupture ,interrogations."

    Bonne lecture :

    http://www.u-paris2.fr/afri-ct/afri/2000/tertrais_b.htm

  11. La méme vitesse que le CDG :lol: Et dire que l'Enterprise peut atteindre les 40 noeuds alors qu'il a plus de 40 ans :rolleyes:

    USS Enterprise du commandant Kirk dans Star trek avec Scotty aux machines pouvant poussé la bête :lol: ,plus sérieusement les portes-avions US ,que ce soit de la classe Kennedy ,Kitty hawk ,Enterprise ,Nimitz ou Roosevelt n'atteignent que 33 noeuds et non 40. ;)

    La classe Enterprise a une vitesse de 33 nds pour une puissance 280000 CV ,les Kennedy : 32 nds.

    40 se sera peut-être pour les CVN21. :?:

    De toute façon ,ce n'est pas une course de Formule 1 ,un GAN ,les USA disposent de moyens financiers ,autres que les Européens et Russes pour lancer des PAN de 340 m et 280000 cv avec un GAE de 80 aéronefs.

    Leur GAN est par douzaine ,12 PAN ,12 amphibies ,12 comme "les 12 salopards." :lol:

    Le Charles Bronson ,le Clint Eastwood ,Lee Marvin ,comme futur noms de PAN US :lol: :idea: :?: :D

  12. Avec un Parc aérien : Avions Su-33 Flanker, Su-25 Frogfoot - Hélicoptères Ka-27 Helix, Ka-29

    Et un Armement *: 12/SS-N-19 - 24/silos SA-N-9 (VIIIx24 - 192 missiles) - 8/systèmes CADS-N-1 - 6 canons multitubes de 30 AA AK-630 (VIx6) - 2/LR RBU 12000

    C'est à la fois un porte-avions et un assault ship (CF armement*) ,même si les Russes ne peuvent projeter qu'une vingtaine d'avion navalisé ,ils ont du répondant au niveau armement. :lol:

  13. Aucun programme de construction de nouveaux porte-avions n'est prévu avant au moins 2010 en Russie, a déclaré jeudi soir le commandant en chef de la marine russe, l'amiral Vladimir Kouroïedov, cité par l'agence Interfax. "Le programme d'armement jusqu'à 2010 ne prévoit pas la construction de porte-avions, mais un programme qui serait mis au point après 2010 permettrait la conception et la construction de porte-avions plus sophistiqués", a-t-il précisé. "Bien sûr, nous avons besoin de porte-avions. Mais nous devons encore définir combien, de quel type et où nous en avons besoin, et si l'industrie est prête à les construire", a-t-il encore déclaré. La Russie n'a actuellement qu'un seul porte-avions opérationnel "l'Amiral Kouznetsov" qui peut transporter 52 avions et hélicoptères.

  14. Rainbow ,puisque tu as vu comme moi l'émission TV :C dans l'air. Avant que le député Pierre Lellouch ne réponde sur le coût des 35 heures. La question intitiale était :"Pour imposer sa diplomatie faut-il avoir une grande armée ? et la réponse du député UMP a été OUI. :arrow: Yves Calvi a ensuite répondu "la France en a-t-elle les moyens ? et c'est là que Pierre Lellouch a répondu "OUI avec le coût des financements des 35 heures ,je construis 5 PA par an et j'en aurais autant que les américains. Evidémment ,si nous avions 4 PA = PAN + PA2 + PA3 +PA4 ,cela sous-entendrait une flotte de frégates AA Horizon supplémentaires ,un parc de Rafale triplé et miminum 2 SNA en plus. Moi cela me convient ,Bruxelles peut y contribuer puisque nous participons à la défense de l'Europe. Bill serait content ,nous demanderions aux Allemands de nous escorter avec leur frégatte ou SM. En avant toute ,direction Téhéran. :lol:

  15. eric tabarly ?? :lol: :lol: :lol:

    pourquoi on a pas appelé le leclerc le "marijo pérec" ,tant qu'on y est. Y en a qu'ont de l'humour. c'est bien, ca sert dans la vie. ;)

    J'ai voté pour le bonaparte, car franchement je pense que c'est lui qui incarne le mieux la france avec de gaulle. Un porte avion bonaparte, un autre de gaulle, les deux plus grands hommes, ca le fait, non ?

    après ,Schuman, c'était plus un politicard bureaucrate qu'un grand guerrier, qu'un héros et grand patriote dont les français peuvent dire cocorico. il a plus agi pour l'europe que pour la france.

    :arrow: Mon cher Napo ,Marie-josée Perec est une très grande athlète.

    Pour ta culture et histoire militaire : Eric Tabarly était capitaine de Frégate ,32 ans dans la Royale ,pilote de l'aéronavale avant d'être un marin hors pair.

    Nous ne sommes pas obligé de faire comme les US ,de désigner nos PA de nom de Président de la République.

    Leclerc est déjà pris pour notre MBT.

    Napoléon Bonaparte ,ne serait pas bien vu en europe. :lol: et les Britanniques en tête.

  16. Si les Japonais disposent des AH64 ,c'est qu'ils sont produits sous licence par Fuji Heavy Industries ,boeing est généreux avec les Japonais. Par ailleurs ,leur CH47J est fabriqué sous licence Kawasaki. 2 portes-hélicoptères ,3 LPD ,3 LST :?: are you sure ?

  17. J'espère que tu n'as pas qu'entendu que ça :lol: Pierre Lellouch et François heisbourg ont aussi affirmés d'autres analyses sur le M.O Cela dit quand certains disent qu'il n'y a pas argent ,le député UMP réponds :" faux ,ce n'est qu'une question de volonté. Hypothèse plausible : Dominique de Villepin devient Premier ministre ,MAM passe au ministère de l'intérieur et Pierre Lellouch s'occupe du MD. ;)

  18. Le groupe britannique de défense BAE Systems s'est dit satisfait du rôle finalement dévolu à la société américaine KBR dans la construction des deux futurs porte-avions de la Royal Navy, dans un communiqué reçu mardi. Le ministère britannique de la Défense (MoD) a annoncé la veille que KBR, une filiale du groupe Halliburton, sera chargée de piloter l'assemblage des différentes parties des deux navires et non de superviser l'ensemble du projet, ce que redoutait BAE Systems, chargé à l'origine de la maîtrise d'oeuvre. "Nous sommes heureux de l'issue des discussions qui ont eu lieu ces derniers jours", a commenté le patron de BAE Systems, Mike Turner, cité dans le communiqué. Selon le Financial Times, l'accord trouvé lundi donne à BAE la mainmise sur la façon dont les bâtiments seront dessinés et construits. A l'inverse, il limite le rôle de KBR à une action de conseil auprès du ministère et à la mise en place de procédures de contrôle du projet. La répartition des tâches de construction des deux porte-avions, un méga-contrat de 2,9 milliards de livres (4,2 mds EUR), donnait lieu depuis de nombreux mois à d'âpres négociations entre BAE Systems et le MoD. Les deux navires doivent entrer en service en 2012 et 2015.

  19. Le Premier ministre britannique Tony Blair s'est déclaré persuadé mardi que "l'Iran soutient le terrorisme", confiant toutefois son espoir que le pays "aide" à "faire progresser" la situation au Proche-Orient.

    M. Blair a appelé par ailleurs à nouveau Téhéran à "remplir ses obligations" en matière nucléaire.

    "Il n'y a aucun doute" sur le soutien de Téhéran au terrorisme, a insisté M. Blair devant une commission de la chambre des Communes, faisant ainsi écho aux affirmations récentes de l'administration américaine.

    Mais, a-t-il ajouté, "j'espère vraiment que si nous pouvons faire des progrès au Proche-Orient, l'Iran réalisera qu'il a une obligation d'aider (ce processus) et pas de l'entraver".

    :arrow: "Je pense que c'est un bon signe que l'Europe et les Etats-Unis travaillent ensemble, a expliqué le Premier ministre. Je pense que c'est un bon signe que la France et l'Allemagne, avec lesquels nous étions en désaccord sur l'Irak, travaillent très étroitement avec nous au sujet de l'Iran".

    "L'Iran, a précisé Tony Blair, a reçu un ensemble d'obligations qu'il doit remplir. J'espère qu'il les remplira".

    Une nouvelle réunion était prévue mardi à Genève entre les Iraniens d'une part et des représentants français, allemands et britanniques.

    Les Européens, soutenus par les Etats-Unis, veulent que l'Iran mette fin définitivement à son programme d'enrichissement d'uranium.

    Le pays a accepté une suspension provisoire mais refuse d'aller plus loin, arguant que son programme nucléaire est exclusivement civil

  20. :arrow: J'ai retrouvé des solutions alternatives étudiées par la France si le PA2 n'avait pas été lancé.

    Trois solutions alternatives au porte-avions et susceptibles d'assurer certaines missions de projection de puissance ont été principalement étudiées : les porte-hélicoptères d'assaut sur le modèle du " Tarawa " américain, " l'arsenal ship " et les  îles artificielles.

    (1) Le porte-hélicoptère d'assaut

    Une première alternative à la construction d'un second porte-avions du type du Charles de Gaulle pouvait être le porte-hélicoptères d'assaut, proche des LPH Tarawa ou Wasp américains, pour un coût très inférieur.

    Ce projet, étudié par DCN, avait pris le nom de Multipurpose Amphibious Assault Ship (MAAS) ou navire d'assaut amphibie multifonctions.

    :arrow: Il s'agissait de donner à ce porte-aéronefs des capacités amphibies et de faciliter les flux de matériel et de personnel. L'intérêt de ce type de bâtiments a été démontré à plusieurs reprises dans des opérations amphibies menées par les Britanniques (à Suez en 1956, aux Malouines en 1982) ou dans le Golfe, en 1991, lors de l'opération Salamandre au cours de laquelle le porte-avions Clemenceau fit office de porte-hélicoptères et de transports de troupes. Dans cette hypothèse, le navire aurait pu être doté de capacités proches des navires Ro-Ro (Roll on - Roll off) auquel aurait été adjoint un radier permettant à des chalands d'opérer à partir du bord.

    Le Marine Corps américain dispose d'une douzaine de ces bâtiments d'un tonnage proche de celui du Charles de Gaulle. Toutefois ces navires ne sont pas des porte-avions mais des porte-aéronefs. Leur groupe aérien est composé de Harrier et non d'avions capables d'agir dans la profondeur comme à partir d'un véritable porte-avions. Dans le cadre d'opérations amphibies et d'opérations importantes de la mer vers la terre, la supériorité aérienne nécessaire à la réussite de l'opération serait d'ailleurs assurée par les avions embarqués à bord des porte-avions de l'US Navy.

    :arrow: Au demeurant, un tel bâtiment ne trouverait guère sa place au sein de la marine française, certaines des missions dévolues aux LPH américains étant assumées par ses TCD Sirocco et Foudre et par la nouvelle génération de TCD dont le tonnage sera d'environ 20 000 tonnes, soit la moitié de celui du Charles de Gaulle (40 600 t).

    (2) L' " arsenal ship "

    Pour assurer la mission de projection de puissance ou de frappe dans la profondeur des mers à partir de la terre, a été évoquée la construction d'un navire spécialisé dénommé " arsenal ship ", selon les principes développés par l'ingénieur français René Loire. Il s'agirait d'un bâtiment semi-submersible, très fortement automatisé, avec un équipage peu nombreux, de l'ordre de 50 hommes, et armé d'un grand nombre -éventuellement plusieurs centaines- de missiles de croisière. Bâtiment mono-mission, sorte de cuirassé moderne uniquement voué à la destruction d'objectifs terrestres, il serait doté d'une très grande puissance de feu.

    Etudié aux Etats-Unis au début des années 1990, l'Arsenal ship semble aujourd'hui abandonné au bénéfice de moyens plus polyvalents, navires de surface ou sous-marins. Les Américains n'avaient d'ailleurs jamais imaginé qu'il puisse remplacer leurs porte-avions lourds et le concevaient davantage comme un moyen prépositionné en haute mer, de première frappe ou de rétorsion contre un " Etat voyou " (rogue state).

    Ce bâtiment correspond en outre assez peu aux besoins de la marine française. Disposant d'un nombre de bâtiments beaucoup plus réduit que la marine américaine, elle a davantage intérêt à se doter de navires polyvalents. L'arsenal ship ne remplirait d'ailleurs qu'une des missions du porte-avions, la frappe contre terre. Dans cette seule mission, il n'offrirait d'ailleurs pas la même souplesse que l'aviation embarquée, ne permettant pas une graduation des moyens de coercition dans une crise, dans la mesure où le tir de missiles de croisière ne correspond, en général, qu'à une phase du conflit : le dernier avertissement ou le début des frappes aériennes. Pour ce type de missions et compte tenu des capacités propres à nos forces, un nombre réduit de missiles tirés à partir de sous-marins ou de frégates s'avérerait suffisant.

    (3) L'île artificielle mobile

    Pour remplir les missions dévolues habituellement au porte-avions, a été aussi également mise en avant la construction éventuelle " d'îles artificielles mobiles ".

    Ce concept n'est pas nouveau. Dès la fin de la seconde guerre mondiale, les Américains avaient suggéré de construire un porte-avions géant, les Britanniques proposant d'utiliser un immense iceberg destiné à mettre rapidement un terme à la guerre du Pacifique. De même, durant la guerre froide, la perspective de construire un porte-avions géant (projet CVA-58 USS United States de 1949) ou une ceinture d'îles flottantes (1961) s'était fait jour pour servir de base à d'éventuelles opérations dans l'Atlantique Nord contre la marine soviétique.

    Cette idée a été récemment réexaminée pour exploiter tous les avantages d'un positionnement en haute mer permettant d'agir contre la terre, mais avec des moyens beaucoup plus importants qu'un porte-avions classique, et de s'affranchir d'une partie de ses contraintes. Il s'agirait de plates-formes géantes (MOBS : Mobil Ocean System ou TGPNM : très grande plate-forme navale mobile), longues de 1 000 à 1 500 mètres et larges de 300 à 400 mètres et se déplaçant à environ 6 noeuds. Elles seraient à même de servir de point d'appui à l'armée de terre ou à l'armée de l'air dans des opérations de projection. Une telle solution paraît cependant très irréaliste en raison des difficultés techniques, du coût prévisible, des faiblesses militaires (lenteur, vulnérabilité...) et d'un statut juridique mal défini. Comment ces plates-formes pourraient-elles emprunter les détroits et les canaux ? Bénéficieraient-elles toujours du principe de libre circulation en mer ? Autant de questions non résolues aujourd'hui, qui font de ces " îles flottantes " une solution pour un avenir fort lointain.

    Pour remplir les nouvelles missions dévolues aux forces armées dans le contexte de l'après guerre froide, le porte-avions semble donc l'outil le mieux adapté, à défaut de solutions alternatives crédibles pour des raisons tant opérationnelles que financières.

  21. Marc tu as raison 8) les Canadiens auront des H92 sikorsky baptisés Cyclone pour remplacer les vieux sea king à bout de souffle ,par ailleurs ils ont déjà aussi des EH 101 Cormorant. Aussi surprenant ,parce qu'ils avaient achetés des EH 101 mais Agustawestland a perdu le marché des 28 autres hélicoptères commandés par la marine canadienne. J'aurais dû vérifier puisque j'avais apposé les informations à l'époque. :oops:

  22. :arrow: Les plus importantes manoeuvres militaires conjointes jamais menées dans l’Arctique ont dû composer avec un point faible : un hélicoptère Sea King, qui est tombé en panne à plusieurs reprises, paralysant son équipage en plein milieu des opérations. :oops:

     

    L’exercice "Narwhal" a illustré à nouveau à quel point ces hélicoptères vieillissants, dont la "mise à la retraite" n’est pas prévue avant 2011, sont très peu fiables, révèlent des rapports divulgués récemment.

     

    Le NCSM Montréal, qui transportait un Sea King sur son pont, s’est joint aux manoeuvres militaires de l’armée de terre et de l’aviation en août dernier, à l’île de Baffin. L’opération était organisée autour de l’écrasement fictif d’un satellite ayant disséminé des débris dangereux dans les montagnes de Pangnirtung, et devait permettre de réaffirmer la souveraineté Canadienne et d’améliorer les capacités des différents corps de l’armée de travailler étroitement ensemble. Mais l’unique Sea King assigné aux manoeuvres est resté à terre pendant la majeure partie du temps, à cause de problèmes d’entretien chroniques.

     

    Un rapport interne des Forces armées Canadiennes, daté du 30 novembre, mentionne que l’hélicoptère a causé des problèmes dès le premier jour. L’appareil a subi quantité d’avaries - essence, pales, pompes, chaufferette, moteur, système gyroscopique, commandes de vol, etc. - "un nombre inhabituel de problèmes dans un aussi court laps de temps", selon le document.

     

    Les ennuis ont débuté avant même que le NCSM Montréal parte pour Iqaluit, le 9 août. Le premier Sea King assigné au navire est tombé en panne et il a fallu le remplacer par un autre hélicoptère.

     

    L’équipage de l’appareil, consciente que les pièces de rechange seraient cruciales en cas de problème dans une région aussi éloignée que l’Arctique, avait demandé - en vain - une trousse standard de l’OTAN. On lui a plutôt fourni une trousse réduite, où manquaient, inexplicablement, certaines pièces de rechange d’un inventaire déjà réduit.

     

    Au cours du voyage vers le Grand Nord, les problèmes d’entretien se sont multipliés. Un incendie de moteur a immobilisé l’hélicoptère pendant quatre jours, pendant qu’on attendait les pièces de rechange, envoyées par avion. Quatre autres jours ont été perdus quand une pompe s’est brisée et qu’il a fallu en faire venir une autre du Sud.

     

    Les Sea King ont donné des maux de tête aux responsables de leur entretien au cours de nombreuses missions outre-mer ; quantité de sorties ont dû être annulées à cause de défaillances diverses.

     

    Le gouvernement libéral a décidé d’acheter 28 appareils Cyclone EH 101 pour remplacer les Sea King désuets, mais le premier des nouveaux hélicoptères ne sera pas livré avant 2008.

     

    Les Sea King, qui utilisent une technologie datant des années 1950, exigent 30 heures d’entretien mécanique pour chaque heure de vol.

     

    En 1993, le gouvernement libéral nouvellement élu de Jean Chrétien avait annulé une commande qui aurait permis de remplacer les Sea King à la fin de la décennie, en disant que cela serait trop coûteux

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