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leclercs

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Messages posté(e)s par leclercs

  1. Mmmmh..

    on critique beaucoup le F 35, d'un coté ou de l'autre on peut quand meme faire un constat.

    l'appareil se vends et pas seulement auprès de pays qu'on pourrait assimiler a des effecteurs obligés de loocked: les japonais ont évalué l'appareil ils auraient pu privilégier d'attendre leur futur produit national, les coréens auraient pu choisir le F15 SE, Les israéliens auraient pu acheter d'autres types d'avions américains (ils en espèrent donc des capacités qu'ils ne possèdent pas encore ce qui n'est pas peu dire)

    on verra une fois l'appareil en service s'il tiendra ses propmesses et encore à notre humble niveau.

    mettre aux nues le F35 est cmlairement prématuré, le jetter aux orties tout autant

     

    Un critère pour moi sera important:  les marines continueront-ils leur aventure F35? pour l' us navy  le F35 sera t-il un avion de transition?

  2. ce qui est inquiétant dans ces méventes, espérons le passagère, c'est la difficulté de compter sur l'export pour rentabiliser le developpement la création d'un avion de combat performant et au top de la technologie.

    il y  a aura l'après raffale c'est ce qui m'inquiète

  3. Le grippen NG sera un avion tout a fait valable quand même,même si le rafale est supérieur, manifestement le brésil ne souhaite pas investir dans des surcapacités!

     

    Allons allons l'inde reste très bien parti, il reste par ailleurs le quatar et les EAU.

     

    Ca va se faire!

  4. Les articles que j'ai pu lire montraient que l'US NAVY prévoyait des actions offensives contre les bases soviétiques (navales et aéronavales) que ce soit dans le pacifique d'ailleurs ou dans la mer de barents).

    pour la mer de barentz plusieurs GAN auraient été impliqués (4 ou 5 !!!)

    une telle attaque, si elle réussit, permettra de compliquer singulièrement la tache de la flotte et de l'aéronavale soviétique:

    les sous marins devront franchir un barrage ASM GIUK toujours opérationnel et ne redoutant plus la flotte de surface ennemie: SOSUS, aéronavale britannique, sous marins britanniques et US ..., les bombardiers stratégiques, pour ceux qui survivraient au succès (hypothèse) de l'US NAVY, devraient effectuer leurs missions de plus loin sans couverture et sous la mence de l'aviation des GAN, de l'aviation britannique, des avions d'escorte des convois): continuer d'attaquer les transports  dont dépendra l'OTAN pour survivre sur le théatre ouest européen deviendrait donc beaucoup plus difficile.

    appuyer des opérations contre la norvège et/ou la suède deviendrait hypothétique.

    le déploiement des SSBN problématique

     

    une telle attaque aurait-elle réussit c'est une autre histoire.

    la tactique de l'US NAVY était résolument offensive

    celle de la flotte rouge était défensive mais centrée sur l'attaque des GAN.

    les pions ont été disposés mais dieu merci, rien ne s'est produit, nous ne saurons donc jamais l'issu d'une bataille qui aurait été titanesque.

     

     

    personnellement je pense que plusieurs clés auraient décidé de l'issue de la bataille par exemples

    Les sous marins soviétiques auraient-ils  pu se dépoyer en grand nombre avant le début des hostilités? si oui ...

    Les convois REFORGER auraient pu partir avant que les combats débutent?

    une attaque préventive de l'US NAVY ou de l'USAF / USAFE aurait-elle été initiée?

     

    bref tout aurait dépendu du pouvoir politique et de l'initiative dont auraient pu bénéficier les militaires.

  5. CITATION  OPEX 360

    laser-20131213.jpg

     

    "Les romans et les films de science fiction l’avaient imaginé : l’armée américaine est en train de le réaliser. Dans un communiqué, l’US Army Space and Missile Defense Command (SMDC) a en effet annoncé avoir testé avec succès un laser mobile de grande puissance destiné à détruire des cibles aériennes.

    Ainsi, du 18 novembre au 10 décembre, sur le polygone de White Sands (Nouveau-Mexique), le HEL MD (High Energy Laser Mobile Demonstrator), c’est à dire le démonstrateur laser à haute énergie, a réussi à détruire 80 obus de mortier et plusieurs drones. “Ces armes et les drones, sont représentatifs de la menace rencontrée par les forces américaines et alliées sur le champ de bataille”, a fait valoir le SMDC;

    Développé depuis 2007 par Boeing, ce laser, d’une puissance de 10 kilowatts pour le moment, est monté sur un camion de la gamme HEMTT (Heavy Expanded Mobility Tactical Truck) du constructeur Oshkosh. Fonctionnant avec un radar multi-modes, le directeur de faisceau est intégré dans une tourelle pouvant pivoter sur 360 degrés.

    Ce programme, qui a bénéficié d’une enveloppe de 12,4 millions de dollars dans le budget 2013, ne va pas en rester là puisque l’US Army entend augmenter la puissance du HEL MD à 50 kw dans un premier temps, puis à 100 kw, ce qui permettra d’en augmenter ses capacités, notamment au niveau de la portée.

    L’intérêt de l’armée américaine pour les armes laser est relativement ancien. L’US Navy a ainsi annoncé qu’un tel système serait déployé à bord de l’USS Ponce à partir de 2014. “Le laser à semi-conducteurs est un grand pas en avant et les armes à énergie dirigée vont révolutionner la guerre moderne, comme la poudre l’a fait à l’époque où l’on se battait avec des épées et des poignards”, avait alors commenté un responsable de l’Office of Naval Research.

    Quant à l’US Air Force, si elle a mis un terme aux programmes YAL-1A et Advanced Tactical Laser (ATL), qui consistaient à doter un appareil (Boeing 747 pour le premier, NC-130 pour le second) d’armes à énergie dirigée, la Darpa, l’agence de recherche du Pentagone, a récemment lancé deux projets , le HELLADS (High Energy Liquid Laser Area Defense System) et l’ABC (Aero-Adaptive/Aero-Optic Beam Control), visant à équiper les avions de combat d’armes et de systèmes défensifs laser.

    L’avantage de ces armes à énergie dirigée, outre leur précision et leur efficacité, est que leur mise en eouvre est peu coûteuse. Nul besoin, en effet, de tirer des missiles classiques pour abattre un aéronef… étant donné qu’elles fonctionnent avec de l’électricité. Ainsi, un tir revient à 1 dollar. Cependant, elles ont un inconvénient de taille : pour bien fonctionner, il faut que les conditions météorologiques le permettent. Ce qui ne sera évidemment pas toujours le cas.

    L’Europe n’est pas à la traîne dans ce domaine. Ainsi, MBDA mène, pour le compte de l’Agence européenne de défense (AED) le programme AD-HELW (Air Defense – High Energy Laser Weapon). Et Rheimetall Defence a réalisé des essais concluants de son démontrateur HEL (high-energy laser, laser à haute énergie) en décembre 2012."

     

    ON NOTERA QUE L'EUROPE N'EST PAS A LA TRAINE: QUE PENSENT LES SPECIALISTE SUR CE FORUM,

  6. Cependant un tableau donne pour "Les principaux équipements opérationnels de nos armées aujourd'hui  " (colonne de gauche) 13 LRU...et   en 2019 ( Intégrant les nouveaux équipements et les matériels plus anciens.)13 LRU... (erreur ou lapsus révélateur??)

    soulignons la disparition 67 canons ( a venir apres 2019 ou erreur??

     

    Forces terrestres

    · 254 chars LECLERC. // 200 chars Leclerc à rénover.

    · 256 AMX 10RC + 110 ERC 90 //.236 chars médians AMX 10RC13(*).

    · 110 AMX 10P + 440 VBCI. // 630 VBCI.

    · 3 200 VAB // .2 190 VAB + 92 VBMR.

    · 157 canons de 155 mm dont 77 CAESAR + 13 LRU // .77 canons CAESAR + 13 LRU.

    · 186 hélicoptères d'attaque et de reconnaissance (39 TIGRE + 147 GAZELLE) // 140 hélicoptères d'attaque et de reconnaissance (59 TIGRE + 81 GAZELLE).

    · 121 hélicoptères de manoeuvre (90 PUMA + 23 COUGAR + 8 CARACAL) // 115 hélicoptères de manoeuvre (38 NH 90 + 43 PUMA + 26 COUGAR + 8 CARACAL).

    · 10 000 équipements FELIN //· 18 552 équipements FELIN.

    ·

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    ·

    ·

    ·

    ·

  7. un peu flou tout ça:

    citation de l'article de merchet:

    Une première commande de 13 LRU a été passée le 8 septembre. Une seconde tranche de même volume est prévue. A cela s'ajoute la commande d'une première tranche de 252 roquettes pour une commande finale de 516.

     

    ROJET DE LOI

    ADOPTÉ PAR LE SÉNAT

    relatif à la programmation militaire pour les années 2014 à 2019 et portant diverses dispositions concernant la défense et la sécurité nationale.

    Le Sénat a adopté, en première lecture, le projet de loi dont la teneur sui

    2.6.2. Appui (missiles, artillerie et génie) et soutien logistique

    Le missile antichar MILAN sera remplacé à partir de 2017 par le missile moyenne portée (MMP), qui sera doté de performances opérationnelles, d'une polyvalence et d'une souplesse d'emploi supérieure. Le blindé médian EBRC sera équipé d'un missile de type MMP, à capacité d'agression antichars et anti-abris performante lors de son entrée en service dans les forces. L'acquisition d'un nouveau missile air-sol sera lancée à l'horizon 2021, pour remplacer les missiles air/sol HELLFIRE dotant les hélicoptères TIGRE.

    La capacité d'appui à l'engagement des forces sera améliorée avec le remplacement après 2019 de l'EBG (engin blindé du génie) par le MAC (module d'appui au contact).

    La transformation du lance-roquette multiple (LRM) en lance-roquette unitaire (LRU) fournira une capacité d'appui tout temps, précise et réactive jusqu'à 70 km, adaptée aux engagements actuels ; 13 lanceurs seront livrés en 2014.

    Le porteur polyvalent terrestre (PPT) permet une meilleure protection des équipages pour le ravitaillement, le transport de postes de commandement et de systèmes d'armes et l'évacuation de véhicules endommagés ; 450 véhicules auront été livrés en 2016.

    projet de loi relatif à la programmation

     

    rien n'est dit sur une annulation des 13 autres LRU

  8. La couverture du hors serie sur l'US NAVY et le sommaire bien alléchant!

    DSIHS33_COUV_72dpiRVBBlog.jpg

    Editorial

    La culture de la Navy

    L’US Navy : guide à l’usage du néophyte
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    Encadré. Glossaire des principales abréviations

    Encadré. Pour aller plus loin

    Carte. Les bases de l’US Navy dans le monde

    La culture nucléaire de l’US Navy
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    De From the Sea à Seapower 21 : l’adaptation de l’US Navy
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    Réaffirmation de la présence américaine en Asie-Pacifique
    Par Tanguy Struye de Swielande, professeur Université Catholique de Louvain

    Aux sources de la stratégie navale américaine : Mahan, Luce
    Interview avec le Dr. John B. Hattendorf, historien naval, titulaire depuis 1984 de la chaire Ernest J. King d’histoire maritime à l’US Naval War College (Newport, Rhode Island).

    Entre la paix et l’Air-Sea Battle. Une stratégie de guerre navale
    Par Jeffrey E. Kline (US Navy, en retraite), professeur au sein du Département de recherche pour les opérations de la Naval Postgraduate School (Monterey) et Wayne P. Hughes, Jr., (US Navy, en retraite), professeur à la Naval Postgraduate School de Monterey.

    Carte. Les bases de l’US Navy aux Etats-Unis

    La guerre navale

    Missions et matériels : la reconfiguration post-2001 de la marine américaine
    Par Jean-Jacques Mercier, spécialistes en systèmes d’armes

    Encadré. D’une génération à une autre ?

    Tableau de bord. Les sous-marins américains
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    Les porte-avions dans la tourmente du débat stratégique américain
    Par Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, rédacteur en chef adjoint d’Histoire & Stratégie.

    Quel futur pour le programme Arleigh Burke?
    Alexandre Sheldon-Duplaix

    Tableau de bord. Les grands bâtiments de combat de surface aux Etats-Unis
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    Opérations littorales : un choix à 80 milliards de dollars
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    Encadré. Les modules du LCS

    Encadré. SSGN : un sous-marin contre une division blindée

    L’adieu à la frégate sera-t-il irréversible ?
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    Combat de rivière : Brown Water Navy et Coastal Riverine Force
    Par Emmanuel Vivenot, spécialiste des questions de défense

    Les SEAL, des nageurs de combat à l’antiterrorisme
    Par Emmanuel Vivenot, spécialiste des questions de défense

    La projection de forces

    Tableau de bord. Porte-avions et porte-aéronefs aux Etats-Unis
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    Les groupes aéronavals américains face au défi du déni d’accès
    Par Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, rédacteur en chef adjoint d’Histoire & Stratégie.

    Tableau de bord. Les capacités de projections de l’US Navy
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    De la projection au prépositionnement : le sea basing dans la stratégie navale américaine
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    Encadré. Ravitailleurs : la rationalisation à travers la polyvalence

  9. La dénomination BAZ (faucon en hébreu)  rapporte au système de controle de tir

    La dénomination DOR DALET (quatrième génération) rapporte au blindage de ... quatrième génération

     

    ainsi il existe

     

    le MERKAVA Mk2 dor dalet avec un blindage de tourelle caractéristique en soucoupe.

    le MERKAVA Mk3 dor dalet avec un blindage de même type un peu different, ce modèle intégrant un FCS BAZ

    le MERKAVA Mk3 BAZ est un premier modèle de Mk3 rétrofitté avec une conduite de tir BAZ

  10. le sommaire,

     

    Notons que le prochain DSI HORS SERIE sera consacré à l'US NAVY :happy:

     

    Editorial
    Agenda et nominations
    Veilles contre-terroristes
    Veilles conflits
    Veilles stratégiques
    Veilles industries
    Les contrats du mois

    Stratégie

    Période initiale de la guerre
    Par Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, rédacteur en chef adjoint d’Histoire & Stratégie

    LPM : une très dangereuse prise de risque
    Par Vincent Desportes, Général ®, Professeur associé à Sciences Po, ancien directeur de l’Ecole de guerre

    L’analogie maritime face à la stratégie organique et à la stratégie des moyens en cyberstratégie
    Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

    Air Baltic : les aviateurs français font la police dans le ciel balte
    Par Romain Mielcarek, spécialiste des questions de défense

    Quel avenir pour les forces spéciales françaises ? (1ere partie)
    Par Emmanuel Vivenot, spécialiste des questions de défense

    Les zombies peuvent-ils nous apprendre à faire la guerre ?
    Par Romain Mielcarek, spécialiste des questions de défense

    Unités

    US Marines – Légion étrangère. Quand deux unités mythiques combattent ensemble…
    Par Véronique Sartini, spécialiste des questions de défense

    Armées

    Un poing blindé dans un gant de velours. La Deutsches Heer au XXIe siècle
    Par Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, rédacteur en chef adjoint d’Histoire & Stratégie

    Tableau de Bord : la Deutsches Heer
    Par Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, rédacteur en chef adjoint d’Histoire & Stratégie

    Technologies

    Le canon automatique de 40 mm CTAI
    Par Stéphane Ferrard, spécialiste des questions de défense

    Le commencement des cyberarmes
    Par Djamel Metmati, capitaine

    Le Leopard 2, pointe de la lance de la Bundeswehr. Quatrième partie. Le « Deutsche Panzer Schlussverkauf »
    Par Pierre Petit, adjudant-chef, instructeur à l’école de cavalerie de Saumur

    LP-X Dokdo. Quel avenir pour la flotte amphibie de Séoul ?
    Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

    Fiches techniques

    MTLB

    DDG-1000, classe Zumwalt

    SS-18 Satan/R-36M

    Lunettes J 8 et J 10

    Critiques de lectures

    Penser la stratégie de l’Antiquité à nos jours de Béatrice Heuser

    Défense française. Le devoir d’inventaire de Yvan Stefanovitch

    Le monde des publications

    La chronique de Carl von C. : « Orgueil, préjugés et bwaaaaah ! »

  11. autant pendant la seconde guerre mondiale les blindages inclinés, introduit sur le T 34 notamment, permettait d'offrir une plus grande épaisseur de blindage à traverser pour le projectile d'une part et favorisait le ricochet, pour des munitions perforante dont la vitesse initiale se situait pour le perforant de 88 mm du canon L 56  aux alentours de 800 m/s et je cite une des armes les plus véloce.

    face à un projectile flèche avec une vitesse initiale de 1600 1800 m/s incliné ou pas il n'y aura pas de ricochet...

  12. Peut être que l’appellation de destroyer tient au fait que ce navire n'est pas aussi complet et polyvalent qu'un croiseur (un tico peut tout faire lutte ASM, AVT et bien sur AA) les zumwalt feront surtout de l'AVT, les arleigh burke sont surtout AA et n'ont pas la suite ASM d'un tico)

    Le poids n'est pas forcément le critère??

  13. La tendance est surtout à l'allongement des flèches, le barreau se consumant en traversant le blindage: Qui dit allongement dit affinement. (cf l'évolution des flèches chez les allemands par exemple)

     

    Avec l'UA on gagne en masse donc en pénétration et en effet pyrophorique du à l'impact sur le blindage, l'augmentation de la longueur des flèches est , me semble t-il plus évident avec les projectiles en tungstène

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