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leclercs

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  1. Au regard du hezbollah, il ne faut pas perdre de vue que la mission des français la bas n'est pas d'aller les chercher dans leur fief: en cas de conflit avec la Syrie, le risque c'est uniquement de subir des attentats ciblés, je ne vois pas le hezbollah attaquer directement, en force les casernements des  soldats sous mandat de l'ONU.

    on ne peut donc pas comparer la situation des français avec les israéliens de 2006 qui ont sont allés au carton.

     

    Quand à l'hypothèse d'une attaque par les SU 24 syriens ou pourquoi pas avec des armes chimiques vectorisés par des scud, ce serait franchir un sacré palier pour Assad sans parler des possibilités en pratique d'une telle action.

    Scud: oui, SU 24 ???

  2. Attaquer le régime syrien est-ce d’un intérêt immédiat quelconque pour nous occidentaux ?

    La réponse est non, je pense que tout le monde est d’accord sur ce point.

     

    Pourquoi alors devons-nous attaquer ? (je parle de l’occident).

    Les peuples arabes depuis deux ans se sont lancés dans une révolution, contre les tyrans, politiques ou religieux politiques,  qui dominaient leur pays et leur peuple : Tunisie, Lybie, Egypte, Syrie, Iran…

    Pour une fois que l’occident n’a pas d’intérêt immédiat, montrer qu’ aider ces peuples en interdisant, du moins en essayant, les dictateurs d’utiliser des armes qui massacrent des civils et non des soldats serait la preuve, que ces peuples peuvent, encore,  avoir de l’espoir qu’ils ne sont pas seuls, que l’occident, même sans intérêt direct, cherchera à les protéger.

    Montrer à ces peuples que leurs tyrans ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent est un devoir.

     

    Ne pas attaquer le régime syrien, c’est montrer aux dictateurs, aux régimes despotiques, que si l’occident n’a pas d’intérêts, ils peuvent massacrer impunément : ils ne risquent rien.

    Ne pas attaquer le régime syrien c’est arracher l’espoir des rebelles, je parle de ceux qui combattent pour leur avenir pour leur liberté.

    Ne pas attaquer le régime syrien c’est favoriser le rôle du hezbollah, de l’Iran.

     

    Donc, selon moi, il faut attaquer, montrer aux despotes actuels, qu’ils ne peuvent massacrer impunément leur population : l’idée de Tancrède n’était pas mal de s’en prendre aux ressources pétrolières.

    Je pense qu’il faudrait réduire les avantages militaires qu’a actuellement l’armée syrienne sur les rebelles (aviation, artillerie, blindés) : sans chercher à anéantir mais en égalisant les chances… le but n’étant pas de provoquer un départ précipité d’assad mais de lui montrer qu’il est , TRES, vulnérable.

    Dans un temps parallèle, compliquer singulièrement la capacité de l’armée syrienne à recevoir des renforts (iran, russie, chine ?...) en s’attaquant aux infrastructures portuaires et aéro-portuaires.

     

    Après ce coup de semonce, puissant, laisser planer l’épée de Damoclès … serait judicieux…

     

    Enfin, amplifier l’aide apportée aux rebelles à partir du moment ils ne sont pas les acteurs d’autres puissances tout aussi dangereuses, vu la complexité sur le terrain… c’est certainement une gageure, mais devons-nous , justement, abandonner ceux qui luttent pour pays : ils existent !

  3. Vous trouverez ci dessous la version en français du rapport américains sur les attaques du 21août 2013 en syrie

     

     

    "Ce rapport a été publié hier vendredi. Seule une version en anglais avait été communiquée jusqu'à maintenant.


    Le gouvernement des États-Unis, suivant son évaluation, a conclu avec un degré élevé de certitude que le gouvernement syrien a mené une attaque à l'arme chimique contre des faubourgs de Damas le 21 août 2013. Nous avons par ailleurs conclu que le régime a fait usage d'un agent neurotoxique lors de ladite attaque. Ces conclusions de nos évaluations sont fondées sur des informations de diverses provenances, notamment à l'échelle humaine, des signaux et des renseignements géospatiaux ainsi qu'un ensemble considérable de rapports de sources ouvertes. Nos rapports secrets ont été partagés avec le Congrès des États-Unis et nos principaux partenaires internationaux. Afin de protéger ces sources et méthodes, nous ne pouvons pas rendre publics tous les renseignements dont nous disposons - mais le texte ci-après représente un résumé non confidentiel de l'analyse menée par la communauté du renseignement des États-Unis.

    L'usage par le gouvernement syrien d'armes chimiques le 21 août

    Un ensemble considérable de sources indépendantes indique qu'une attaque à l'arme chimique a eu lieu dans les faubourgs de Damas le 21 août. Outre les informations recueillies par les services de renseignement des États-Unis, il y a celles qui ont été fournies par du personnel médical international et syrien, des vidéos, des témoins oculaires, des milliers de rapports sur les médias sociaux en provenance d'au moins 12 endroits différents dans la région de Damas, des reportages de journalistes et les comptes-rendus d'organisations non gouvernementales hautement crédibles.

    Une évaluation préliminaire par le gouvernement des États-Unis a déterminé que 1.429 personnes ont été tuées lors de l'attaque à l'arme chimique, dont au moins 425 enfants, bien que cette évaluation doive certainement évoluer au fur et à mesure que nous obtenons de nouvelles informations.

    Nous estimons avec un grand degré de certitude que le gouvernement syrien a mené une attaque à l'arme chimique contre des éléments de l'opposition dans les faubourgs de Damas le 21 août. Nous estimons que le scénario selon lequel l'opposition aurait perpétré l'attaque du 21 août est hautement improbable. L'ensemble des informations qui a servi à parvenir à cette estimation comprend des renseignements ayant trait aux préparatifs entrepris par le régime pour mener cette attaque et les moyens de déploiement, les sources multiples de renseignements relatifs à l'attaque elle-même et à son effet, nos observations post-attaque, et les différences entre les capacités du régime et celles de l'opposition. Notre évaluation accompagnée d'un haut niveau de confiance est la position la plus forte que la communauté du renseignement des États-Unis puisse avoir en l'absence d'une confirmation. Nous continuerons à chercher à obtenir davantage d'informations pour combler les lacunes dans notre compréhension de ce qui s'est passé.

    Historique :

    Le régime syrien maintient un stock de nombreux agents chimiques, y compris du gaz moutarde, du sarin et du gaz VX, et possède des milliers de munitions qui peuvent servir à déployer ses agents chimiques de guerre.

    Le président syrien Bachar al-Assad est l'ultime décideur quant au programme d'armes chimiques et les membres dudit programme sont soigneusement choisis afin d'assurer sa sécurité et leur loyauté. Le Centre syrien d'études et de recherches scientifiques (SSRC), qui relève du ministre de la Défense de la Syrie, est chargé de la gestion du programme syrien d'armes chimiques.

    Nous estimons avec un grand degré de certitude que le régime syrien a utilisé des armes chimiques à une échelle moindre contre l'opposition à de multiples occasions au cours de l'année écoulée, y compris dans les faubourgs de Damas. Cette évaluation est fondée sur de nombreuses sources de renseignements, notamment sur des informations selon lesquelles des responsables syriens ont planifié et perpétré des attaques à l'arme chimique, et sur des analyses en laboratoire d'échantillons physiologiques obtenus auprès d'un bon nombre de personnes et qui ont révélé qu'elles avaient été exposées au gaz sarin. Nous estimons que l'opposition n'a pas fait usage d'armes chimiques.

    Le régime syrien a toutes sortes de munitions qui, selon nos estimations, ont été utilisées pour mener l'attaque du 21 août, et qu'il a la capacité de mener simultanément des attaques contre de nombreuses positions. Nous n'avons observé aucun signe indiquant que l'opposition a mené des attaques coordonnées à la roquette et à l'artillerie à grande échelle ou une attaque à l'artillerie comme celle qui a eu lieu le 21 août.

    Nous estimons que le régime syrien a utilisé des armes chimiques au cours de l'année écoulée dans le but surtout de prendre le dessus ou de briser une impasse dans les régions où il luttait pour saisir et tenir un territoire d'une valeur stratégique. À cet égard, nous continuons de juger que le régime syrien considère l'arme chimique comme l'un des nombreux outils dans son arsenal, y compris sa puissance aérienne et ses missiles balistiques qu'il utilise sans distinction contre l'opposition.

    Le régime syrien a initié un effort visant à débarrasser les faubourgs de Damas des forces de l'opposition qui se servent de cette zone comme d'une base de laquelle elles lancent des attaques contre des cibles du régime dans la capitale. Le régime n'a pas réussi à écarter les éléments de l'opposition de dizaines de faubourgs de Damas, notamment des faubourgs ciblés le 21 août, et ce en dépit du fait qu'il a déployé presque tous ses systèmes d'armes conventionnelles. Nous estimons que la frustration du régime au vu de son incapacité à reprendre une grande partie de Damas aurait contribué à sa décision d'avoir recours à l'arme chimique le 21 août.

    Préparatifs :

    Nous avons des renseignements qui nous amènent à croire que le personnel affilié avec les armes chimiques syriennes - y compris le personnel associé au SSRC, d'après nos estimations - a préparé avant l'attaque les obus qui serviraient à disperser les armes chimiques. Au cours des trois jours qui ont précédé l'attaque, nous avons recueilli des flux de renseignements à l'échelle humaine, de signaux et d'informations géospatiales qui révèlent les activités du régime et qui, nous estimons, étaient associés à des préparatifs pour une attaque à l'arme chimique.

    Le personnel responsable des armes chimiques syriennes était actif dans le faubourg d''Adra de Damas, du dimanche 18 août au matin du mercredi 21 août, près d'un lieu dont se sert le régime pour mélanger ses armes chimiques, y compris le gaz sarin. Le 21 août, un membre du régime syrien a fait des préparations en vue d'une attaque à l'arme chimique dans la région de Damas, notamment en ayant recours à des masques à gaz. Nos sources de renseignements à Damas n'avaient détecté aucun signe dans les jours précédant l'attaque que des membres affiliés à l'opposition se préparaient à faire usage d'armes chimiques.

    L'attaque :

    De nombreuses sources de renseignements indiquent que le régime a mené une attaque à la roquette et à l'artillerie contre les faubourgs de Damas dans les premières heures du 21 août. Les détections par satellite ont corroboré que les attaques menées à partir d'une région sous le contrôle du régime ont frappé des quartiers où les attaques chimiques se seraient produites - y compris Kafr Batna, Jawbar, 'Ayn Tarma, Darayya et Mou'addamiyah. Cela comprend aussi la détection de roquettes lancées à partir du territoire sous contrôle du régime syrien tôt le matin, environ 90 minutes avant que les premières informations sur l'attaque à l'arme chimique ne commencent à filtrer sur les médias sociaux. Le manque d'activité aérienne ou de tirs de missiles nous amène à la conclusion que le régime s'est servi de roquettes pour mener l'attaque.

    Les rapports des médias sociaux faisant étant d'une attaque à l'arme chimique dans les faubourgs de Damas ont commencé à 2h30 du matin, heure locale, le 21 août. Au cours des quatre heures suivantes, des milliers de rapports sont apparus sur les médias sociaux relatifs à cette attaque en provenance d'au moins 12 endroits différents dans la région de Damas. De multiples rapports décrivent des roquettes remplies de matériel chimique de guerre qui tombaient sur des zones sous le contrôle de l'opposition.

    Trois hôpitaux dans la région de Damas ont accueilli environ 3.600 patients présentant des symptômes correspondant aux effets d'agents neurotoxiques en moins de trois heures au matin du 21 août, selon une organisation humanitaire internationale hautement crédible. Les symptômes signalés et l'aspect épidémiologique des évènements - caractérisé par un influx massif de patients en une période de temps très courte, la provenance des patients et la contamination des travailleurs médicaux et du personnel de premiers secours - correspondent à une exposition en masse à un agent neurotoxique. Nous avons également reçu des informations de la part du personnel médical international et syrien sur le terrain.

    Nous avons repéré cent vidéos attribuées à l'attaque ; sur beaucoup d'entre elles, on voit un grand nombre de corps montrant des signes physiques qui correspondent, mais ne sont exclusifs, à une exposition à des agents neurotoxiques. Les symptômes signalés des victimes comprennent la perte de conscience, de l'écume au nez et à la bouche, des pupilles contractées, un rythme de coeur rapide et des difficultés à respirer. Plusieurs des vidéos montrent ce qui semble être de nombreux morts sans aucune blessure visible, ce qui correspond à un décès dû à des armes chimiques et non pas causé par des armes de petit calibre, des munitions à forte charge explosive ou des agents vésicants. On voit au moins 12 endroits dans les vidéos disponibles au public, et un échantillonnage de ces vidéos confirment que certaines ont été filmées autour des heures et des endroits montrés dans les images.

    Nous estimons que l'opposition syrienne n'a pas la capacité de fabriquer toutes les vidéos, ni les symptômes physiques vérifiés par le personnel médical et les organisations non gouvernementales, et ni les autres informations relatives à cette attaque chimiques.

    Nous sommes en possession d'un ensemble d'informations, y compris le comportement passé de la Syrie, qui nous amènent à la conclusion que des responsables du régime étaient au courant de l'attaque et l'ont menée le 21 août. Nous avons intercepté des communications avec un haut responsable très familier avec l'offensive qui a confirmé que des armes chimiques avaient été utilisés par le régime le 21 août, et qu'il était préoccupé par la possibilité que les enquêteurs des Nations unies puissent obtenir des preuves. Dans l'après-midi du 21 août, nous avons recueilli des renseignements selon lesquels le personnel chargé des armes chimiques syriennes a reçu l'ordre de cesser ses opérations. Au même temps, le régime a intensifié son barrage d'artillerie ciblant un grand nombre des quartiers où les attaques à l'arme chimique avaient eu lieu. Dans les 24 heures qui ont suivi l'attaque, nous avons détecté des signes de tirs d'artillerie et de roquettes à un rythme qui était environ quatre fois supérieur à celui des dix jours précédents. Nous avons continué à voir des indications de pilonnage continu des quartiers en question jusqu'au matin du 26 août.

    En conclusion, il existe un ensemble considérable d'informations qui impliquent le gouvernement syrien et sa responsabilité dans l'attaque à l'arme chimique qui a eu lieu le 21 août. Tel qu'indiqué plus haut, il y a également des renseignements supplémentaires qui demeurent secrets en raison des sources et des méthodes utilisées et qui ont été fournis au Congrès et à nos partenaires internationaux.

  4. Pour infos, le croiseur est le moskva d'après http://www.opex360.com/2013/08/29/deux-navires-de-guerre-russes-de-plus-attendus-en-mediterranee/

    Le moskva est l'ancien slava, tète de série des croiseurs de même nom. ces croiseurs sont les navires les mieux armés de la marine russe après les KIROV bien sur...

    donc une belle puissance de feu anti navires et anti aérienne (SS-12 SANDBOX et SA-N- 6 // SA-N-4...)

  5. L'envoi de deux bâtiments russes peut poser des soucis: comment réagiront-ils si des avions, missiles et autres commencent à voler dans leur voisinage immédiat?, et d'autre part comment réagiront les navires et appareil occidentaux, pris dans leurs radars alors qu'ils seraient dans des missions de combat?

    ce pourrait être une source d'erreurs dont les conséquences pourraient être difficiles à gérer.

     

    En tout pour gêner l'occident on ne peut pas mieux faire qualitativement parlant...

  6. Pour ceux qui sont parents et les autres, un très beau texte, qui peut servir de base à une grande discussion:

     

    « QUE DIRE A UN JEUNE DE 20 ANS»
    ___________________________________________
     
    Quand on a connu tout et le contraire de tout,
    quand on a beaucoup vécu et qu’on est au soir de sa vie,
    on est tenté de ne rien lui dire,
    sachant qu’à chaque génération suffit sa peine,
    sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause
    font partie de la noblesse de l’existence.
     
    Pourtant, je ne veux pas me dérober,
    et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci,
    en me souvenant de ce qu’écrivait un auteur contemporain:
     
    «Il ne faut pas s’installer dans sa vérité
    et vouloir l’asséner comme une certitude,
    mais savoir l’offrir en tremblant comme un mystère».
     
    A mon jeune interlocuteur,
    je dirai donc que nous vivons une période difficile
    où les bases de ce qu’on appelait la Morale
    et qu’on appelle aujourd’huil’Ethique,
    sont remises constamment en cause,
    en particulier dans les domaines du don de la vie,
    de la manipulation de la vie
    de l’interruption de la vie.
     
    Dans ces domaines,
    de terriblesquestions nous attendent dans les décennies à venir.
    Oui, nous vivons une période difficile
    où l’individualisme systématique,
    le profit à n’importe quel prix,
    le matérialisme,
    l’emportent sur lesforces de l’esprit.
     
    Oui, nous vivons unepériode difficile
    où il est toujours question de droit et jamais de devoir
    et où la responsabilité qui est l’oncede tout destin,
    tend à être occultée.
    Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela,
    il faut croire à la grandeurde l’aventure humaine.
    Il faut savoir,
    jusqu’au dernier jour,
    jusqu’à la dernière heure,
    rouler son propre rocher.
     
    La vie est un combat
    le métier d’homme est un rude métier.
    Ceux qui vivent sont ceux qui se battent.
     
     
     
    Il faut savoir
    que rien n’est sûr,
    que rien n’est facile,
    que rien n’est donné,
     
     
    que rien n’est gratuit.
    Tout se conquiert, tout se mérite.
    Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu.
     
    Je dirai à mon jeune interlocuteur
    que pour ma très modeste part,
    je crois que la vie est un don de Dieu
    et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde,
    une signification à notre existence.
     
    Je lui dirai
    qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves,
    cette générosité,
    cette noblesse,
    cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde,
    qu’il faut savoir découvrir ces étoiles,
    qui nous guident où nous sommes plongés
    au plus profond de la nuit
    et le tremblement sacré des choses invisibles.
     
    Je lui dirai
    que tout homme est une exception,
    qu’il a sa propre dignité
    et qu’il faut savoir respecter cettedignité.
     
    Je lui dirai
    qu’envers et contre tous
    il faut croire à son pays et en son avenir.
     
    Enfin, je lui dirai
    que de toutes les vertus,
    la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres
    et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres,
    de toutes les vertus,
    la plus importante me paraît être le courage, les courages,
    et surtout celui dont on ne parle pas
    et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse.
     
    Et pratiquer ce courage, ces courages,
    c’est peut-être cela
     
    «L’Honneur de Vivre»
     
    Hélie de Saint Marc
  7. Ca je suis bien d'accord, le VBCI n'est pas un vrai VCI: roues au lieu de chenille, démesuré, un blindage trop juste, un armement trop faible..., un excellent VBMR donc...

     

    Avec un train chenillé, on gagnerait du poids donc une évolution du blindage et/ou de l'arment (voila ou le 40 CTA serait judicieux), et une taille moins haute ...

  8. Si je me rappelle l'artillerie avait choisi entre caesar et AuF2 (je ne me rapelle plus si on parlait de la première ou de la seconde tranche): le choix avait été de privilégier le remplacement des TRF1 par le caesar.

    En tout cas les solutions ont été trouvées pour l'AuF2: y a t-il eu un prototype?

  9. les seuls intérêts de l'ERC sont:

    une bonne mobilité stratégique (faible poids, donc aisément transportable par avion),

    une bonne mobilité opérative

    une puissance de feu, l'obus flèche de 90 mm permet de venir à bout des chars de deuxième générération type T62 M60 sans trop de problème, l'obus exposif de 90 mm n'est pas mal non plus

     

    un 10 RC avec un 40 CTA n'apporterait rien, si ce n'est un blindage, un peu, plus performant.

  10. Un obus perforant d’un 40CTA a une force cinétique bien plus forte qu’un obus de 105. Alors ton VCI à, 2500M. il a intérêt à vite trouver une dune ou un mur pour se planquer sinon il est mort.

    La STAT à déjà fait des tests qui ont tous été validés.

    Ben ... faut faire le calcul, j'ai pas les poids  et vitesse initiale en mémoire des deux projectiles flèches d'un 105 et d'un 40 CTA mais à mon humble avis  y'a pas photo!

    la flèche de 105, même tirée du 105 du 10 RC est BIEN plus énergétique que la flèche du 40 CTA!

  11. En terme d'ordre, la doctrine d'emploi est toujours rédigée après la mise en service d'un matériel majeur.

    Pour ce qui est des ennemis, ce n'est pas nécessaire de les définir, ils sont connus

    Aberrant ... c'est le ponpon! Mais alors sur quoi se basent les militaires pour définir leurs besoins?? Ne me dites pas qu'ils héritent d'une machine et, qu'ensuite, ils déterminent ce qu'ils peuvent en faire??

  12. Est ce qu'il existe une doctrine d'emploi publiée de l'EBRC?

    Ce serait bien de prendre connaissance de ce que l'on demandera à ce

    futur blindé pour discuter sur ses capacités.

    Déjà que l'absence d'ennemi definis rends floue la menace...

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