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leclercs

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Messages posté(e)s par leclercs

  1. mon idée la dessus, parce que comme tout le monde j'étais perdu dans ces notions

    la tactique: c'est comment obtenir des effets millitaires

    L'opératif : c'est comment articuler, relier les effets tactique entre eux pour atteindre un objectif défini par la stratégie

    la stratégie: c'est l'articulation de l'ensemble des moyens, des forces , pas seulement militaire, pour atteindre un objectif global national

    enfin pour moi j'ai compris ce que j'écris :lol:

  2. Je dois être naïf sur ce coup mais bon je me lance.

    j'étais persuadé qu'il y avait TOUJOURS un SNLE en patrouille, avec son potentiel de 16 SLBM.

    Ce sous marin est en pratique, une fois en patrouille indétectable.

    Dans l'hypothèse où des sous marin attaqueraient une FREMM ASM dans la zone de Brest ce voudrait dire que les bestioles en veulent à nos SNLE:Bon.

    ce serait un acte de guerre qui menacerait nos intérêts vitaux et de surcroit indiquerait clairement une volonté de nous empêcher d'exercer notre dissuasion ce qui laisse à penser que l'attaque adverse justifierait pour la France d'utiliser ces moyens.

    Attaquer une FREMM : ce voudrait dire comme le disait PDS que le sous marin en transit est mort ou a été attaqué MAIS quid su SNLE qui est en patrouille, une attaque directe contre nos moyens de dissuasion signifierait pour le pays attaquant de prendre le risque de recevoir un ou plusieurs missile de ce sous marin.

    donc une attaque surprise contre un SNLE en transit alors qu'il y a  un SNLE encore en patrouille est suicidaire.

    a moins de coordonner une attaque à 100 % de certitude contre simultanément le ou les SNLE en patrouille et ceux en transit

    le scénario qui verrait une FREMM à brest attaquée n'est possible que dans un conflit de haute intensité, contre les RUSSES, les CHINOIS ou les USA,  dans un conflit DEJA débuté ou la FREMM se fait attaquer comme n'importe quel autre navire dans le cadre d'un combat classique et encore sans menacer les SNLE ouvertement.

    les FREMM auront donc le temps de s'équiper

  3. je me rappelle ou la seule revue que je m'offrais était stratégie et défense (géniale soit dit en passant! faut que j'aille voir sur ebay si je ne peux pas me retrouver les n°) dans les années 80 avec ,  défense et armement héraclès et bien sur RAID

    il y a quelques essais, et toutes ont disparus.

    Aujourd'hui je ne peux pas tout acheter: ne nous plaignons pas de cette abondance.

    c'est sur, que trouver un copié collé d'une revue sur l'autre c'est un peu énervant.

    MAIS

    1) ce n'est pas la même revue, et d'un autre coté pour satisfaire les demandes c'est tout aussi intéressant de republier que de proposer aux intéressés d'acheter le numéro anciennement paru.

    2) proposer un article déjà édité sur plus d'une centaine de pages ce n'est VRAIMENT PAS un drame à mon sens.

    3) je préfère un article en doublon de temps à autre, peut être pour des raisons X ou Y, que de voire la revue en difficulté

    4) Donc sur ce coup la les deux solutions feront râler les uns ou les autres

    5) La solution de Mat est adapté... un petit encart pour prévenir ... mais bon

    6)Essaypons d'apporter des solutions ...

    7) Et puis que ceux qui râlent écrivent et éditent leur revue

    8)chaque achat de DSI, DSI HS et HISTOIRE et STRATEGIE m'apporte du plaisir! et je les ai TOUS!

    ALORS FRANCHEMENT, FRANCHEMENT, UN ARTICLE OU DEUX EN DOUBLONS, SUR DES CENTAINES ON N'EN A RIEN A FOUTRE ( pour citer une vidéo qui m'a fait beaucoup rire) :lol:

  4. Image IPB

    Sommaire

    Introduction

    1ère partie – Géostratégie aérienne prospective

    Classifier la puissance aérienne

    Les facteurs de la puissance aérienne

    Les facteurs humains

    La question de l’attrition

    Formes de la guerre aérienne et structuration des forces

    L’adversaire et la stratégie d’emploi

    Des guerres aériennes « intégrales » ?

    Des guerres aériennes « hybrides » ?

    Vers le développement des opérations aérospatiales

    L’évolution des missions aériennes

    2ème partie – L’Europe et l’Afrique

    L’Europe occidentale : entre déclin et modernisation technologique

    Les puissances de deuxième et troisième rang

    Les puissances de troisième et de quatrième rang

    Les puissances de cinquième et de sixième rang

    La Russie et son voisinage européens

    Les marches de la Russie et le Caucase

    Les forces aériennes africaines

    Les forces aériennes sub-sahariennes

    L’Afrique du Nord

    3ème partie – Les Amériques

    L’Amérique du nord. 1. L’US Air Force

    Supériorité aérienne : quelle évolution ?

    Contrer les défenses aériennes adverses

    Le défi F-35

    Les bombardiers

    Le domaine ISR

    Autres capacités

    L’Amérique du Nord. 2. L’US Navy, l’US Marine Corps et le Canada

    L’US Navy

    L’US Marine Corps

    Missilerie et doctrine : quelles évolutions ?

    Le Canada

    L’Amérique latine

    Brésil et Venezuela : deux géants potentiels ?

    Les forces aériennes de quatrième et cinquième rang

    4ème partie – L’Asie et l’Océanie

    Le Proche et le Moyen Orient

    Le Proche Orient

    Le Moyen Orient

    Le sous-continent indien et l’Asie centrale

    Le sous-continent indien

    L’Asie centrale

    L’Asie du Sud-Est

    La péninsule indochinoise

    L’Asie du Sud

    L’Asie du Nord-Est

    Les deux Chines

    Le Japon et les deux Corées

    L’Océanie

    Conclusion : De la puissance et de son contournement

    a n'en pas douter TRES intéressant.

    pour les articles en doublon: c'est vrai qu'a priori cette habitude de certains éditeurs (pas particulièrement DSI) est énervant pour ceux qui possèdent tous les numéros, pour ceux qui en revanche n'ont pas tout c'est toujours intéressant.

    Une suggestion: profiter de la réimpression pour mettre à jour l'article te tpout le monde sera content

    Je pense notamment à l'excellente initiative de l'encyclopédie des armements par Histoire et stratégie: l'idée de regrouper les fiches est excellente si, en plus, il y en a de nouvelles, avec des mises à jour pour les anciennes parues ce recueil deviendrait un incontournable même pour les affcionados qui ont tout achetés et qui cela dit en passant font vivre les éditeurs.

  5. Selon le site de DSI, le vénézuela installerait une base de missiles sol sol susceptibles de pouvoir atteindre Miami.

    DSI citant des sources de "die welt"

    je cite:

    Selon plusieurs rapports publiés par le journal allemand Die Welt à la mi-mai, l’Iran serait actuellement en train de construire une base de missiles au Venezuela, comptant des silos d’une vingtaine de mètres de profondeur, dans la péninsule de Paraguaná, à 120 km environ de la frontière avec la Colombie. Des soupçons avaient déjà été rendus publics en novembre 2010, appuyés sur des rumeurs selon lesquelles l’accord sur la construction de la base serait intervenu le 19 octobre 2010, au terme d’une visite présidentielle iranienne au Venezuela. Entre-temps, Caracas a démenti officiellement toute construction.

    Pratiquement, la base serait effectivement en construction et des missiles Shahab-3 et Scud y seraient basés, de même que des officiers iraniens. Dans le même temps, Téhéran se serait engagé à transférer un certain nombre de technologies balistiques à Caracas mais aussi à entraîner des officiers vénézuéliens à l’emploi de missiles balistiques. Pratiquement, la dernière version du Shahab, testée en 2009 et dont la portée passerait à 2 000 km, serait capable de toucher Miami. Ces développements semblent relever d’une stratégie de contournement de la part de Téhéran, dans un contexte ou la décision de déploiement d’un bouclier antimissile américain en Europe réduisait la liberté de manœuvre iranienne à l’égard des Etats-Unis

    Si l'infos était confirmée quelle sera la réaction des USA?

  6. comparez le coût d'un SSK ou même d'un SNA à un GAN est sans objet.

    pourquoi: les effets attendus d'un SSK n'ont rien à voir avec ceux d'un GAN

    un SSK peut:

    détruire des navires en regard de son autonomie (nombre d'armes, combustible)

    détruire des sous marins en regard de son autonomie (nombre d'armes, combustible)

    attaquer des cibles terrestres peu nombreuses s'il possède les informations nécessaires

    effectuer des missions de reconnaissance en regard de son autonomie

    insérer des patrouilles humaines dans un milieu

    ..............

    Bref c'est une arme

    Un GAN c'est un ensemble d'armes

    1 PA

    des escorteurs

    des sous marins

    des ravitailleurs

    des batiments amphibies

    Un GAN peut TOUT faire ou presque

    Effectivement pour un coût équivalent à un GAN on peut se payer beaucoup de SSK MAIS cela veut dire oublier BEAUCOUP de possibilités

    Effectivement un SSK peut couler la pièce maitresse d'un GAN le PA mais duquel système les probabilités sont en faveur?

    Le SSK s'insère dans un système global de DENI D'ACCES au GANs, défensif par excellence, pour empêcher leurs effets justement

    la stratégie de DENI D'ACCES serait-elle couronnée de succès c'est une autre histoire, gageons que pour qu'elle soit gagnante elle intègre divers effecteurs et ne se contente pas d'une seule option de combat. Gageons aussi que le ou les GANs ne seraient pas tout seuls ...

  7. on en arrive vers la discussion "comment casser un GAN" avec un ou plusieurs sous-marins.

    Au risque de me répéter la question était plus théorique: les PA et donc les GAN sont-ils condamnés aujourd'hui ou à très brève échéance?

    A mon avis tant qu'il n'y aura pas d'équivalent la réponse est non et les principales marines à vocation planétaire agissent dans ce sens.

    Ceci ne voulant pas dire qu'un GAN soit invulnérable.

    La seule question étant: une nation veut-elle, oui ou non, bénéficier de l'ensemble des effets militaires que peuvent générer un ou plusieurs GANs.

    PS y a t-il une discussion ouverte sur l'attaque des GANs et leurs moyens de défense?

  8. C'est ch*ant cette habitude   de commenter dans les lignes du commentaire ...

    d'abord c'est peu lisible

    et  après il faut passer du temps à extraire les commentaires...

    Pour info : UUV : c'est UnderSea pas UAV... ;)

    Ensuite la contradiction ligne par ligne pour la contradiction...

    Ex pour le gunship : y va sans dire qu'il y a de l'attrition avant par les SSGN

    pour la désignation des SSGN, c'est la logique infocentrée de René Loire où le Frappeur (ici le SSGN) n'est qu'un élément du réseau.

    Pour la vulnérabilité des antennes flottante de réception satellites... et ben va le dire à l'US Navy... :lol:

    Ensuite il tombe sous le sens qu'une antenne flottante en surface n'a pas une hypergrosse SER (et moins qu'un GAN...)

    je ne le ferai plus

    commentez ligne par ligne c'est reprendre des arguments...

    je ne doute pas que le système de réseau soit un des éléments qui détermineront l'avenir des armées, MAIS, au vu de leur vulnérabilité tout miser sur un potentiel ne s'exprimant qu'autour d'un réseau ... un GAN tirera profit d'un système de réseau mais ne sera pas rendu inopérant si celui-ci ne fonctionne plus

    quand aux antennes flottantes, certes elles doivent être difficilement repérable mais il n'empêche quelles peuvent trahir leur présence, peut-être être brouillées, capturées, sans parler du fait qu'il faut bien les déposer

  9. C'est tout à fait vrai, je raisonne dans le cas US.

    Pour la France la problématique est complètement différente

    cela étant dit, dans un conflit face à une grande puissance la France apporterait un GAN puissant équilibré et résilient: évidemment il ne sera pas déployé tout seul.

    En possédant un tel outil, la France peut , en revanche, accompagner l'US NAVY face à n'importe quel adversaire et ne pas passer pour un supplétif.

    utilisé seul, les opérations en Lybie permette de caractériser l'adversaire dimensionnel.

  10. D'où tout ce qui a été posté dans le fil SSGN :

    sous munitions locaas

    Encore faut-il une observation pour détecter des cibles

    drone UUV de prompt strike,

    qui peut partir d'un PA qui lui pourra le récupérer

    Antenne flottante déportées

    faiblesse car détectable et fiabilité?

    Rien n'interdit un rechargement en mer des SSGN "en arrière front"  : il y a eu des ravitailleurs de sous marins nuke pdt la Cold war.

    En temps de paix bien sur, mais en temps de guerre, la vulnérabilité est avérée

    De surcroit rien ne t'oblige à continuer exclusivement avec tes SSGN, tu peux aussi basculer sur tes drones UAV

    Voire affréter un A400 Gunship à la manière de celui développé pour peanuts par les Marines sur les KC-130 J : à savoir un emport de missile type Hellfire ou Viperspike (c'est fini le gros 105 mm :lol: ) voire d'AASM

    Dans un conflit ou l'opposant n'a rien comme défense AA, sinon comme il n'y a pas de PA pour rogner les défenses spooky ira au tapis

    Si tu mets bout à bout :

    l'emport d'armes externe sur les SNA

    des drones UUV

    L'utilisation d'A400m pour l'emport de MdC

    L'entrainement des FAS aux frappes à très longue distance (de la même manière que dans l'USAF qui a développé un savoir faire dans ce domaine)

    Quand on parle de coût un bombardier stratégique efficace coûte TRES cher

    les drones Mantis (ou j'espère mieux ;) )

    La Gunshipisation de l' A400m pour la basse intensité et le CAS.

    Qu'est ce  qu'il reste au PA ?

    TOUT: rien de ce qui est décrit plus haut ne peut être réalisé par un GAN avec la vérification de l'efficacité des frappes, la résilience aux attaques, la continuité de l'action, sans parler de soutenir une invasion, de débarquer des éléments .... aucun autre système d'arme qu'un GAN ne peut faire autant de choses

  11. L'idée de changer de milieu était bonne mais il fallait plutôt aller sous l'eau...

    Tu fabriques une alternative aux 20 M€ d' un GAN pour moins cher avec des SSGN (cf le fil SSGN) et lesquels seront moins vulnérables

    une alternative incomplète: un SSGN pour parler de ceux qui ont la plus grande puissance de feu, les OHIO (je ne parle pas des SSBN) sont capables de tirer une centaine de missiles et après ... ils rentrent au port! les SSGN sont dotés d'une puissance de feu instantanée (quoique ... il leur faut du temps pour lancer) mais ils ne peuvent tenir dans la durée.

    De plus leur action est potentiellement limitée aux performances de leurs munitions et à la qualité des informations dont ils bénéficient: quid de l'évolution des cibles une fois sous l'eau si le sous marin doit mettre à jour ses données en continu, il perdra sa furtivité: imaginer un sous marin délivrant des missiles "rôdeurs" dans la durée est une gageure technique d'une part et une hérésie puisque le sous marin sacrifierait son principal atout la discrétion

    Le SSGN peut jouer un rôle dans le cadre de l'ouverture d'un conflit et peut frapper fort mais c'est un one shot.

    Seul un PA peut envisager une action dans la durée

  12. les PA ont remplacé les cuirassés car ils pouvaient délivrer plus d'explosifs, plus loin plus vite ....

    pas parce qu'ils étaient plus résistants au contraire

    ce qui leur a donné leur capacité à résister ce furent

    -les radars

    -les CAP

    -les CIC

    -leur organisation interne

    Je ne dis pas bien sur qu'un PA est plus résistant qu'un cuirassé, surtout au moment de leur apparition.

    Mais aujourd'hui aucun autre navire n'est capable d'encaisser des missiles ou des torpilles sans aller au fond au moindre impact.

    Combien de torpilles pour couler un PA US?

    Combien de missiles pour rendre inopérant un PA US, quand on lis les rapports suite aux explosions sur le pont de l'enterprise en 1969 ou sur le forrestal en 1967 on s'aperçoit que seuls ces bâtiments auraient pu résister à de tels enfers, et les NIMITZ puis les ROOSEVELT sont plus résistant encore que les deux classes citées

  13. L réponse est évidente: les PAs ou plus justement les GANs seront remplacés quand un système apportera leur puissance de feu, leur mobilité, leur souplesse d'adaptation aux menaces et aux situations tactiques, leur résilience aux avaries de combat.

    Aujourd'hui quel système d'armes pourrait rivaliser et se substituer aux PA (à moins d'accepter la perte de capacités)

    Franchement je ne vois rien à part des croiseurs interstellaires ...

    Quand à la vulnérabilité des GANs, soulignons aucun système d'arme n'est invulnérable, et que face à une puissance de même niveau, risquer un ou plusieurs GANs c'est accepter d'en perdre un ou plusieurs le tout est que l'effet obtenu de leur engagement justifie le risque

    En outre comme le dit très justement Philippe les pays qui développent le plus les stratégies de deni d'accès aux GANs (preuve de la reconnaissance de leur capacités) ont étés ou sont ceux qui développent des PA ...

    Enfin, face à une nouvelle menace, en tout cas nouvellement significative, les GANs s'adapteront comme ils ont toujours su le faire: parce qu'il n'y a pas d'alternative pour l'instant d'une part et que justement le GAN est un ensemble de moyens, justement TRES adaptatif.

  14. 12 !!! ... ?!?

    Fichtre! quelqu'un pourrait expliquer un tel nombre? les PA US déployaient 3 ou 4 phalanx je crois, plus quelques lanceurs SACP (2 ou 3 je crois aussi? LE gw bush compte en tout et pour tout 4 SACP)

    alors ...12... sans compter les SACP: le navire va se retrouver tout seul à 100 km de pearl harbor ??

  15. Le char ALTAY dérive à l'évide,ce du K2 sud coréen (ce qui est somme toute logique): il devrait donc bénéficier d'un chargeur automatique.

    MAIS, semble t-il, ce qui émerge des discussions c'est que les concepteurs turcs ont privilégié le troisième homme en tourelle.

    affaire à suivre...

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