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jeanmi

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  1. Moi en cherchant des information proterre je suis tombé la dessus : http://ense-et-aratro.chez-alice.fr/Documents/carnet.pdf je mets ca en ligne si cela peut interressé quelqu'un
  2. L'armée italienne fâchée par un article du Point Notre article dans l'édition papier du Point de cette semaine a provoqué un certain émoi à l'état-major de l'armée italienne, à Rome. Nous y rapportons une information qui nous a été livrée par plusieurs sources françaises, à savoir que les patrouilles de soldats appartenant au contingent de la région centre, alors sous commandement italien, dans la vallée de l'Uzbeen, ont été interrompues à partir du 13 février, date de la mort d'un soldat italien dans cette région. Nous écrivons : "La secousse avait été suffisamment rude pour que les Italiens évitent ensuite toute incursion dans la zone. Celle-ci était restée vierge de toute présence de soldats étrangers durant près de six mois, jusqu'au 8 août", date de la reprise des patrouilles par le commandement français, qui avait relevé les Italiens deux jours plus tôt. Interrogé par le quotidien La Repubblica , un porte-parole de l'état-major français refuse la polémique, mais déclare : "Ce qu'ont fait ou n'ont pas fait les Italiens dans la région de Surobi est inscrit aux actes de l'Isaf." Comme hommage, on a fait mieux... Toujours dans La Repubblica , le général Giuseppe Valotto, chef des opérations de l'armée italienne, regrette "une réaction à chaud", mais ne dément pas que la zone concernée ait été laissée six mois sans présence militaire occidentale. Il réplique en insistant sur le fait que la spécificité italienne consiste à dialoguer avec la population locale : "C'est ce qui caractérise notre présence, c'est inscrit dans notre ADN (...). Moi aussi, je me suis rendu dans cette zone. Ces opérations d'assistance (conduites par l'armée italienne) ont été régulières." http://www.lepoint.fr/actualites-monde/l-armee-italienne-fachee-par-un-article-du-point/1648/0/270092;jsessionid=F82144A81C23A9EDCD514B37121AD6C1
  3. – Audition, commune avec la commission des affaires étrangères, de MM. Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères et européennes et Hervé Morin, ministre de la défense, sur les événements et la situation en Afghanistan http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/07-08/c0708036.asp#P5_370
  4. je me demande si ce n'est pas le modèle destiné au système félin
  5. c'est pas des nouveaux casques qu'ils ont ?
  6. Un EC 725 Caracal de l’escadron d’hélicoptères 1/67 «Pyrénées» de la base aérienne 120 de Cazaux a réalisé, le lundi 25 août dernier, une mission d’héliportage en haute montagne. Victime de problèmes techniques, un hélicoptère de type Alouette 3 de la sécurité civile a dû procéder à un atterrissage forcé sur le massif de la Tour Ronde du Mont Blanc, dans les Alpes. Aucune des trois personnes à son bord n’ayant été blessées, elles ont été immédiatement évacuées par la gendarmerie. L’opération de récupération de l’appareil à une altitude de 3200 mètres, dans des conditions météorologiques se dégradant rapidement, a été soigneusement organisée par le personnel de l’escadron. L’héliportage a été réalisé dans les plus brefs délais afin d’éviter les risques de givrage de l’EC725, allégé pour la mission. Un mécanicien du «Pyrénées» a été équipé par les secouristes de haute montagne pour travailler, avec eux, à l’accrochage de l’appareil sur le glacier. Profitant d’un créneau météorologique favorable, le Caracal a soulevé l’Alouette de 1200 kg, dans une température de 0°C, et l’a ramené dans la vallée. http://www.defense.gouv.fr/air/base/breves/2008/aout/heliportage_en_haute_montagne
  7. Le lieutenant-colonel Benoît Desmeulles, un légionnaire ancien du 2e REP et du 4e RE (régiment étranger) aujourd'hui affecté à un autre poste, se serait sans doute bien passé de la publicité que lui accorde cette semaine Le Canard enchaîné , qui publie des extraits du rapport intermédiaire qu'il avait rédigé le 4 mai dernier, deux mois après le début de sa mission d'assistance à l'armée afghane, et quatre mois avant son retour en France. Ce long texte de quatorze pages est un document de travail non-classifié destiné à l'état-major des armées, qui reçoit chaque semaine des dizaines de ces documents RETEX, (pour "retour d'expérience"), rédigés par des cadres terminant une mission opérationnelle. Les extraits publiés par Le Canard sont instructifs, et notre propre lecture de l'intégralité de ce document les complète. Précisons d'emblée que Benoît Desmeulles ne participait pas stricto sensu au déploiement du corps expéditionnaire français, mais à une mission OMLT (Operational Mentoring and Liaison Team). Les OMLT françaises déployées en Afghanistan depuis mai 2007 sont des formations composites, comptant chacune une cinquantaine d'hommes issus de diverses formations de l'armée française. Affectée au sein du 201e corps de l' ANA (Armée nationale afghane ) à l'est du pays, l'OMLT de Benoît Desmeules - composée pour l'essentiel de soldats et de cadres du 4e RE - a pour mission d'aider cette unité à devenir autonome et à apprendre les règles occidentales de la guerre qu'elle ne connaît pas. En face, les combattants hostiles ne sont pas qualifiés de talibans, ou d'insurgés, mais d'ACM (Anti-Coalition Militias). L'auteur du texte ne se fait pas d'illusion sur l'efficacité de l'ANA, et a des accents prémonitoires quand il écrit que les conditions de calme relatif dans sa zone "pourraient rapidement se révéler trompeuses, les effectifs déployés actuellement ne permettant de contrôler qu'à peine tous les axes. La reprise des offensives dans les vallées sensibles donneront sans aucun doute lieu à des affrontements aussi violents que nombreux". L'officier n'est guère optimiste quand il observe : "Les incidents se sont multipliés sous toutes les formes possibles (embuscades, IED, prises à partie, tirs de harcèlement) (...). Il n'est besoin que de lire les bilans pour se rendre compte que les ACM ont bel et bien repris leurs activités." On sent dans ce rapport administratif qui n'avait aucune vocation à être diffusé à la presse, la passion qui anime l'officier, et l'intérêt qu'il porte à sa mission. On voit poindre également les différences dans les approches américaine et française du rôle que doit remplir l'armée afghane. Autonome pour les Français. Accessoire pour les Américains : "Les [forces américaines] décident généralement des opérations qui, sans la vigilance des OMLT, peuvent écarter l'ANA du processus décisionnel ; celles-ci risquant alors d'être transformées en supplétives de l'armée américaine. L'effort des équipes OMLT doit alors être d'obtenir de remettre l'ANA dans son rôle, et de faire disparaître cette logique de dépendance des forces afghanes." On sait que l'un des arguments du gouvernement français, et de l'état-major des armées, consiste à afficher la volonté de rendre l'armée afghane capable de remplir seule des missions de contrôle du terrain et les opérations contre les insurgés. Autocritique Nicolas Sarkozy affirmait en personne, hier, lors de son discours à la Conférence des ambassadeurs : "Nous avons décidé de renforcer la présence de nos formateurs au sein de l'armée afghane car c'est elle qui doit, au premier chef, livrer et gagner le combat contre les talibans." Et le Président d'insister sur la nécessité de "la prise en charge progressive par les Afghans eux-mêmes de leurs responsabilités de sécurité. C'est à mes yeux l'objectif prioritaire, car c'est la première condition d'un succès dans la durée." Pourtant, à lire ce que cet officier écrivait début mai, et à la lumière de ce qui s'est passé depuis, ce n'est pas gagné du tout : "Vaincre localement les rebelles suppose une réelle surprise dans le déclenchement des actions qui, pour le moment, n'existe pas ou peu dans leur façon de procéder. En effet, tant qu'ils n'auront pas élargi leur mode d'action au combat de nuit, au combat héliporté et aux actions de déception, les chances contre les talibans demeureront faibles." Et d'insister sur le fait que la participation commune à des combats des Français et des Afghans "a permis de mesurer certaines des faiblesses de l'ANA dans les domaines de la logistique, des appuis et de la vie en campagne. S'ils sont, sans aucun doute, des combattants rustiques et endurants, ils n'en demeurent pas moins perfectibles dans bien des domaines." Un tel bilan aurait pu pécher par une absence d'autocritique. Eh bien non. L'officier estime que la "mise en condition de projection" des OMLT, avant leur départ de France, est efficace, mais que les moyens que cette préparation de quatre mois en vue d'un déploiement de six mois exige pèsent sur les autres missions du régiment. Les spécialistes doivent partir en stage, et tout le monde s'entraîner encore et encore dans des camps. Au total, pas loin de dix mois d'absence, ce qui se révèle en outre "parfois difficile à gérer pour les familles", écrit-il pudiquement. Et de souligner que l'accent devrait davantage être "mis sur la formation tactique générale, type infanterie légère en combat à pied", sur "une formation très approfondie en tir", et sur la formation à la conduite des véhicules blindés, de type VAB (Véhicule de l'avant blindé) et VBL (Véhicule blindé léger). Détail curieux : on apprend que "la plupart des jeunes officiers ne possèdent pas ces qualifications en sortie d'écoles de formation, voire après plusieurs années de régiment". Faut-il sourire ou s'indigner que la formation à la lutte contre les explosifs improvisés ait été (mal) faite par des spécialistes "ayant axé leurs propos sur leurs propres exploits" ? Et surtout, comment comprendre que la formation ECAS ( Emergency Close Air Support , ou soutien aérien rapproché en urgence), réalisée sur la base aérienne de Nancy, se soit "résumée à des guidages de camionnettes car l'Armée de l'air ne souhaitait pas cautionner cette formation, dangereuse à ses yeux" ? Signalons enfin que l'officier détaille techniquement les manques en équipement qui existaient au mois de mai, dont il n'est pas certain qu'ils aient été tous réglés depuis : - moyens d'observation longue distance : "La volonté de ne tirer qu'en dernier ressort sur des objectifs clairement identifiés et en évitant soigneusement toute possibilité de tirs fratricides implique une observation claire et précise." Or le chef de groupe ne dispose que de la lunette de visée de son canon de 20mm , "ce qui n'est pas suffisant pour une identification ami/ennemi d'une personne à 2000 m". - Le VBL révèle ses limites : "trop petit" pour emporter le matériel nécessaire aux missions. "Conception dépassée" : le chef de groupe est en même temps serveur de l'arme collective embarquée, et ne peut exercer convenablement le commandement. De plus, la présence d'un interprète en place arrière interdit l'emport d'une mitrailleuse 12,7mm . Et de réclamer que le VBCI (véhicule blindé de combat d'infanterie) fasse ses tests opérationnels en Afghanistan, au lieu d'arpenter les camps français. Et que les DRAC (drones de reconnaissance au contact) soient livrés toutes affaires cessantes en Afghanistan. De fait, si les hommes du 8e RPIMa avaient disposé de cet équipement, peut-être auraient-ils pu anticiper le traquenard dans lequel ils sont tombés le 18 août. - Détail trivial : les militaires ont dû acheter eux-mêmes, sur Internet, et se faire livrer par La Poste, du petit matériel qu'ils n'arrivaient à obtenir, comme des bouchons d'oreille. Le lieutenant-colonel Benoît Desmeules, qui ne manque pas d'humour, termine son rapport par un proverbe afghan : "Vous avez la montre. Nous avons le temps." Bien vu ! http://www.lepoint.fr/actualites-monde/afghanistan-l-inquietant-rapport-du-lieutenant-colonel-desmeulles/1648/0/269497
  8. qu'est que tu grates sous la caisse ? tu habite ou ? en sibérie =D pour taper sur la gueule de celui qui te fais chier là d'accord mais sinon cela sert à rien . Pour ce que je m'en rappelle, nous ons l'a prenait quasiment jamais ( faut dire que dans un 10P c'est pas le top avec)
  9. Trente militaires du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine de Castres (RPIMa) seront prochainement envoyés en Afghanistan pour remplacer la section visée par une embuscade le 18 août, a-t-on appris mardi de source militaire. La date du départ des trente hommes, que Nicolas Sarkozy a rencontrés mardi à Castres (Tarn), n'est pas encore connue. Huit des dix soldats tués dans l'embuscade provenaient du 8e RPIMa. "Je n'ai pas reçu l'ordre formel d'envoyer en Afghanistan la nouvelle section de 30 hommes. J'ai juste reçu l'ordre de la préparer au cas où pour remplacer la section qui a été envoyée en embuscade", a expliqué à la presse le colonel Bruno Meillan, commandant de l'arrière-base du 8e RPIMa. Selon le sous-lieutenant Aurélie Lattès, officier de communication du 8e RPIMa, les soldats pourraient partir dans les semaines qui viennent. Sur les 30 hommes que compte la section, "toute l'ossature de commandement et d'encadrement", c'est-à-dire 12 hommes, "a suivi l'intégralité de la préparation de cinq mois spécifique à la mission en Afghanistan", a précisé le colonel Meillan. Quant aux 18 autres soldats, "on est en train de les préparer au cas ils seraient envoyés", a-t-il ajouté. Ces soldats prendront la relève de la section qui a été attaquée le 18 août dans les environs de Kaboul, faisant 10 morts et 21 blessés côté français, dont huit tués et 17 blessés dans les rangs du 8e RPMIa. Les blessés légers et cinq rescapés de l'embuscade appartenant au 8e RPIMa sont rentrés en France. Outre leurs six mois de classes, les soldats de ce régiment ont pour habitude de recevoir cinq mois de formation spécifique pour s'adapter aux réalités afghanes. Le 8e RPIMa compte actuellement 550 hommes en Afghanistan, qui effectuent des missions de quatre mois environ
  10. Audition ouverte à la presse de M. Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères et européennes et de M. Hervé Morin, ministre de la défense, sur les évènements et la situation en Afghanistan http://www.assemblee-nationale.fr/13/commissions/comdefetr-20080826.asp
  11. http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/afghanistan/breves/26_08_08_afghanistan_operation_heliportee_en_plaine_de_deh_sabs avec plusieurs photos
  12. jeanmi

    [Rafale] *archive*

    À Nellis, dans le désert de l’ouest américain, l’exercice «Red Flag 08-04» s’est achevé, le vendredi 22 août, sur un constat convaincant. «Les Rafale biplaces ont tenu largement leur place au sein de l’exercice international «Red Flag 08-04», souligne le lieutenant-colonel Fabrice Grandclaudon, commandant de l’escadron 1/7 «Provence» de St-Dizier. Ce fut l’occasion de montrer la polyvalence du Rafale, la qualité de nos matériels et de l’entraînement de nos pilotes et navigateurs officiers systèmes d’armes (Nosa)». Une vingtaine de navigants ont ainsi pu élaborer et coordonner des opérations aériennes complexes (COMAO - composite air operation), d’autant que les missions ont gagné en difficulté progressivement. Pendant deux semaines, chaque unité participante devait effectuer jusqu’à deux sorties de jour et de nuit. Sur une zone plus grande que la Suisse, les équipages ont utilisé l’ensemble des potentialités de leur avion (système d’armes et capteurs). De plus, le Rafale a évalué son nouveau Pod de restitution et d’échange de données en temps réel, dénommé Semac (système d’entraînement aux missions aériennes complexes). Durant la deuxième semaine de l’exercice, le général Jean Pierre Martin, commandant des forces aériennes, s’est rendu sur la base aérienne de Nellis. Il a été accueilli par le général Hoog (directeur du centre de la guerre électronique) et le colonel Neubeck (commandant du 414e escadron d’entraînement au combat) . Le général a visité le site ainsi que le bâtiment «Red Flag» et celui de «Green Flag». D’ailleurs, des Mirage F1 CT de Colmar participeront à l’exercice «Green Flag» début septembre. Enfin, «Red Flag» a construit une confiance mutuelle entre les unités participantes. «Cet exercice offre l’occasion de nous entraîner dans un environnement réaliste et de travailler en étroite coopération avec d’autres forces aériennes. L’expérience est précieuse car nous pouvons être amenés à nous retrouver ensemble en Afghanistan» explique un pilote. http://www.defense.gouv.fr/air/base/focus/2008/3eme_trimestre/red_flag_2008_le_bilan
  13. Raids N° 268 septembre 2008 EN DIRECT DES ARMEES POINTS CHAUDS ELITE Commandos du ciel : les ailes du COS (1ere partie) FORMATION La "Commando School" de Kaboul Les forces spéciales françaises forment les commandos afghans PROTECTION La compagnie des opérations spéciales de la "Guarda" portugaise ACTION Les forces spéciales de la Corée du Sud EUROSATORY 2008
  14. jeanmi

    Le(s) PA de la Royale

    ca vient bon =) http://www.corlobe.tk/article10135.html
  15. une première chronologie de l'embuscade http://www.lepoint.fr/actualites-monde/soldats-tues-en-afghanistan-une-premiere-chronologie-de-l/1648/0/268290;jsessionid=A315141993EF07B925A648D99EA4A49A
  16. jojo je suis d'accord avec toi sur la reco du col, mais je trouve que cela peut etre interresssant dans les patrouilles en dehors des cols et je rappelle que le vab hot ressemble a un autre vab donc il ne sera pas traiter comme cible principal (a part quand sa rampe sera sortie pour tirer mais là il sera trop tard).
  17. Je pensais a un truc, serait il envisagable d'envoyer des VAB HOT pour faire de l'appui ? Je vois bien un engin par patrouille, nos troupes auraient une sacré puissance de feu et une portée d'engagement supérieur !
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