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max

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Tout ce qui a été posté par max

  1. Nous partageons certaines approche camarade, et par St Barbe ....
  2. Alors effectivement, profitons-en , c'est collector !
  3. max

    L'artillerie de demain

    Ah la batterie Sol air... Voila voila. Le spectre polymorphe de la menace évolue, ainsi que sphère d'auto protection pour tout dispositif. Je pense que ça ne fait que commencer, parce que le "drone" a cette particularité d’être dans le "ici et maintenant" omniprésent sur le théâtre, et aussi finalement parce que si peu cher au regard des enjeux "en face". Ceci implique un décloisonnement de pas mal de choses émergentes, et selon moi c'est tant mieux. Dans un autre registre, concernant le Kaézarre, et sur sa spec' "vite partout et pas cher" en 155 mm, je pense qu'on doit encore s'en regorger à plus soif dans les chancelleries occidentales. Tant mieux aussi. Mais alors demain, chez nous et sur nos terres, on reste donc sur une dotation de pièces auto-tractées à la servitude paléolithique ? Je fais partie de ceux pour lesquels on a choisi à tort de prioriser des éléments sur le versant des valeurs ajoutées du court terme. Paf les salves partout , et pof les RETEX induits des chefs de pièces(au passage en redécouvrant l'usure du tube de pièce). A la lumière des préco' constructeur... Voila voila, St Barbe et son artilerie d’assaut s'en retourne dans sa tombe. Demain sera un autre jour, forcément. Nous avons par exigence volontairement ignoré l"unité de feu et ses corollaires de volumes et de maintenance. A la va vite. Trinquons donc a ses artilleurs qui ont assuré récemment une constance extraordinaire et un engagement peu commun, le dépassement.
  4. max

    Reconversion

    Je pense que la recherche d'un "taf" procède de la gamelle, ou pas. "Le reste", comment le bonhomme s'approprie ce qui cimentait son engagement, m'est plus sensible. L 'adéquation entre les valeurs partagées ( en gros le succès des armes de la France) et ce qui régie notre quotidien (en gros le succès des armes de ma banque) me parait une sacrée alchimie, une affaire bien singulière. Comme le sens des choses....
  5. max

    Reconversion

    Je ne sais si je suis dans le bon chapitre...mais je me lance. Ceux qui ont choisi un jour le métier des armes ont tôt ou tard été amené ensuite à posé le treillis dans un carton, et revêtir l'uniforme civil. Grand moment, de vérités et de doutes. Un souvenir ? un repère ? une perte ? Je propose à ceux qui ont vécu ce changement d'accepter un partage de leur vécu, et vraisemblablement de leurs ressenti. Dans cette proposition les Stanag et autres prouesses technologiques restent à la porte, l'homme et seulement lui sont recherchés. Ou en passe de l’être. Un grand merci par avance à ceux qui accepteront de craquer le vernis, ou l'armure.
  6. max

    VBCI

    Effectivement, en terrain gras si le fond de caisse est au contact, le coefficient de manœuvre de force nécessaire à la traction pour une sortie est multiplié par deux. Et sincèrement, ça demande alors une autre configuration de moyens qui ne sont pas immédiatement disponible en TC1 et TC2. Si globalement et techniquement la garde au sol de caisse est une piste envisageable (quoique limité) pour améliorer la capacité de mobilité terrestre (ET roue ET chenille), un train chenillé est nettement plus avantageux en terrain libre (piste et hors piste). Le train chenillé et son historique n'ont pas a être réinventé à chaque fois qu'une configuration terrain défavorable se présente. Nous (notre EMA en particulier) avons choisi la roulette pour diverses raisons, mais sincèrement, passé les 20t de masse roulante, il n'y a pas photo. Merci cher Rescator de préciser notre attitude à cet égard suicidaire. La monte pneumatique, aussi volumineuse soit-elle, n'est qu'une solution dédiée à autre chose que le combat de mêlée "cuirassé" pour la mobilité terrestre. It's so french.....
  7. C'est surtout ce que je devine comme un effet de "machine arrière toute" qui me préoccupe un peu … D'autant plus qu'un mix de ce qu'il existe pour l'instant (PEGP) et de ce qui "existait" est difficilement conciliable, si d'aventure ce virage était pris. Ces deux mondes (gestion type Pooling et gestion par dotation) sont totalement étranger l'un à l'autre. Tu remarqueras que je reste silencieux sur le gâchis général de ce dispositif avorté (ou en devenir), comme du temps perdu ….. ainsi que les hommes. Haut les cœurs, l'EMAT et la STAT a de la ressource !
  8. L’effet d’annonce de Mme Parly me parait loin d’être anodin. Je vois derrière cette communication un petit raz de marée institutionnel qui, sans forcément mobiliser les feux de la rampe ici-bas, va modifier considérablement l’approche actuelle de notre MCO. On peut considérer sans trop de risque et dans un premier temps que le (grand) retour du premier échelon (échelon utilisateur) est programmé, et surtout qu’il va s’inscrire dans le temps. Puisque la tendance doit être globalement de doter matériellement les forces selon leur propre DUO (document unique d’organisation), chaque unité de formation re-possédera in situ son parc roulant. Ainsi des créneaux entretien 1er échelon reprendront place dans les planning d’unité (incluant l’instruction), l’infrastructure et les lots d’entretien 1er échelon seront donc aussi redécouvert. Redécouvert parce que aujourd’hui si ce vocabulaire est bien présent dans le jargon métier, il ne représente en réalité terrain qu’une portion congrue de ce qu’il devrait-ètre être réellement. L’effet Pooling est passé par là. Ce que représente effectivement le véritable entretien 1er échelon, et son suivit matériel « au plus près », va engendrer une réappropriation chronophage et énergivore que le quotidien d’un soldat avait quitté. Par ordre. En 2012 la programmation d'une réduction de 5000 postes de maintenanciers a été acté (dont un peu plus de mille civiles) dans le cadre de la PEGP. Demain, les formations (les régiments) vont devoir remonter en puissance… Pour ce faire toute formation va devoir intégrer dans son infrastructure la capacité de pouvoir mettre sous abris l’intégralité de son parc, et par unité. Une capacité raisonnée autorisant l’entretien utilisateur de celui-ci (fosses ou ponts sécurisés, aires de lavage NON régimentaire, magasin de lots d’entretien/lots de bords et lots pionniers, etc ….). Il y a fort à parier que le retour organique en unité d’un maintenancier est dans le tuyau de l’EMAT (toujours avec infra, personnels et lots divers). De même que le redécoupage du NTI1 bas et haut (les ex 2A et 2B). La déconstruction de l’approche 1er échelon conduite depuis maintenant une dizaine d’années est donc annoncé. C'est presque la fin de la "véritable révolution doctrinale". Le commandement (surtout en haut lieu) va devoir réapprendre sur ce registre que ce que l’on effectue à un instant donné ne produira pas forcément un résultat l’instant d’après. Les résultats à court termes en MCO ne se résument toujours qu’au curatif. Plein de questions me viennent à l'esprit, quid de la SIMMT et du SMITer (recréation de la DCMAT ?), devenir de la PEGP ? Quid des SMR et du barème d'intervention à 4hoo max.... Patience, dans à peine 6 mois un projet bien ficelé va sortir des cartons...
  9. Si je ne m'abuse, ce coin des cambouis est le bon. Je vous invite donc à aller lire par ici ce qui va (vite) être une belle révolution pour les plus jeunes. Pour les moins jeunes, quelques grincements de dents suffiront. http://www.opex360.com/2018/07/24/mme-parly-remet-cause-politique-demploi-de-gestion-vehicules-de-larmee-de-terre/
  10. max

    Spetsnaz

    De mes qq années dans le Hawk, la menace "Spetsnaz" faisait partie des missions lors de tous déploiement sur position. Chaque batterie intégrait un groupe d'intervention contre ces messieurs. La situation de la menace de l'état "Carmin" était notamment décrite comme une volonté de neutraliser toute composante de batterie Hawk (radar de contre batterie, ICC, IPCP, ROR, CWAR et affuts) par un individu/ charge explosive de destruction, le tout par intrusion sur site. L'exercice était pratiqué pour chaque déploiement sur site., et OPEX (Tchad). La mission de cet élément d'intervention était d’empêcher toute infiltration sur une position de tir ( 1S/Off, 8 MdR), et réalisé sur le TED de la Batterie (effectifs batterie, sans renfort). A l'époque une partie de la bulle de protection Sol-Air était à la charge de l'AdT... La menace Spetsnaz concernait aussi les éléments organiques d'Armée (EOA), pas que le Nuc.
  11. max

    [VBMR] Le remplacant du VAB ?

    Yes, bonne piste qui s'est révèlé être suivie « historiquement » parfois, mais là sur de la dotation initiale ça frise le poker, non ? Un NTI « couillu » c’est quoi ... Une DTI/DTO avoisinant les 80% sur une année calendaire ? Une infra récente et tip-top avec du rab de fosses et de hangars vides aux quartiers ? Une collection d’OPINT/OPEX au-dessus de la « normal » sans soutien directe sur les derniers cinq ans ? Un ensemble de savoirs et de savoir-faire acquis par le personnel AEB avant la sortie constructeur de la pré-série ? Un binôme chef d’ateliers/Off Méca ayant pignon sur rue à l’EMAT ? Une galette saucisse à la saveur mondialement reconnue lors des pauses ateliers ? La plastique élancée des courbes de la secrétaire du RCL au NTI1 ? Un choix de NTI servant de critère pour une dotation initiale d’un engin pareil (avec une réelle symbolique militaire) en terme d'aptitude me parait « ici et maintenant » totalement ubuesque, insensé. Mais ce n’est que mon humble opinion, rien de plus.
  12. Oh, Une vue "d'artiste" en 3D filaire non cachée ... Décidément il me semble que l'on conforte l'idée selon laquelle nous (le peuple des sans dents/sans jeu de mots) sommes des grosses billes bien ignorantes. Il est vrai qu'entre l'école Boulle et les BE de l'industrie liée à la défense le fossé n'est qu'imaginaire..... C'est bo l'art.
  13. max

    [EBRC/Jaguar]

    Attention pour le VAB, les pneumatiques sont dit "anti-affaissement", donc structurés avec des compartiments. L'impacte dans un flan de pneumatique ne dégonfle... que le compartiment impacté. Pas l'ensemble du pneumatique. Certains véhicules à roue sont équipés d'une simple potence avec treuil à main ( cas du TRM 2000 ), souvent en arrière de cabine. Ce simple système autorise la manutention de la roue équipé par l'équipage quelques soit la nature du sol, et surtout assez rapidement.
  14. Mème une cour d'école vise plus haut... Il me semble que pour parler plein pot d’Israël il existe un endroit. Il me semble aussi que par ici c'est l'Iran. Si les propos à venir sont du mème tonneau et que CHACUN ne saura se pondérer, pif paf. Et franchement ça me démange. Promis, prochain échange aussi amoureux et plein de gentillesse comme ceux-ci, fuego. Dont acte. Index sur queue de détente, j'attends avec plaisir.
  15. Tu vas avoir mal Kiri..................
  16. @Pascal, pense à ta tension artérielle ...
  17. Si j'ai bien compris, ce type de camion "MCO" est en dotation dans les unités pour le soutien auto. Oui ? Parceque voila bien , encore, une illustration du fossé abyssale séparant notre approche Franchouillarde du dépannage et celui d'un autre pays. Le jour ou UNE unité Française se verra doter de ce genre de matériel dédié au dépannage, alors là un grand pas aura été franchi. Et que l'on ne me parle pas des machins ELI chics et pas chers dont on se targue ici ou là. Nous on achète combat, sanitaire et parfois génie. Pour le MCO c'est bonne chance à tous, comme d'ab'. Je suis sur que cette photo montre un engin atelier doté d'un chargeur de batteries avec GAP. Pitié, pitié et re-pitié.
  18. Yep, là aussi on tape dans le distingué. C'est la grande classe chez Plasan, surtout au Bureau d'étude.
  19. Pas simple. Effectivement le propriétaire du drone risque gros. Mais le drone, lui en tant qu'objet, est-il exempt de toute accusation ? D'ailleurs un drone à t-il une âme ? Serait-il éligible aux mille tourments avant décapitation ?
  20. Il est vrai que l'approche demi-molle dans des instants comme celui-ci m'interroge. Si en plus le glandu est l'unité d'action ... il est urgent d'attendre alors.
  21. Mes propos sont sincères concernant l'ensemble des équipages rencontrés lors de ma première partie de carrière. Je tiens réellement en haute estime leur implication dans le métier, qui selon moi va bien au-delà de simples servants d'un système d'armes. Ce sont des gens qui "vivent" leur Panzer, le sentent, et dont l'approche est quasi sensitive. Dans le « système » des NTI du MCO, l'écoute d'un équipage est primordiale et à rechercher en permanence. Pour moi l’entretien curatif n’a de sens que s’il prend sa genèse dans l’échange et la confiance avec les utilisateurs. Sans ce lien fort la facture et les délais d’immobilisation seraient lourds, très lourd. Sur le registre du MCO Français, la valeur ajoutée de ce lien particulier autorise la cohérence et surtout la pertinence des moyens engagés au regard des missions. Ainsi les NTI 1 bas et haut sont indubitablement liés, et représentent la clé de voute de la DTI et de la DTO. Et comme je le disais plus haut, jamais je n’ai touché la barre à mine (et encore moins la corde) lors d’un déchenillage. Je ne sais pas si l’on se connait, mon nom ne commence pas par les mêmes lettre que tu écris, le grade oui. On a peut-être du se croiser au bord d’une piste, dans une travée ou dans une dans une fosse... J'ai aussi commencé ma carrière sur 30t, à l'époque des poignées Gravina et de l'Hispano-Suiza (ENTSOA Issoire oblige), ce fut la seule fois ou j'ai rechenillé à la corde. Au moins une chose nous lie, « l’entretien est un acte de combat ».
  22. Ah le changement de chenille du Leclerc... Autre débat pour certain s'il en fut. En tant que BMP 2 AEB option chenille de formation ( à l'"ESAM" de Bourges), il m'a été donné souvent d'observer la rapidité et la maitrise des équipages sur ce registre (métro' et OPEX). L'échelon utilisateur y est totalement indépendant. Le NTI, du coup, n'intervient JAMAIS sur ce registre. Le touché de barre à mine des mécano est inexistant. Que ce soit dans les Balkans ou au Liban, les RETEX de mécanos en déchenillages OPEX sont néants en terrain libre (hors ateliers). les équipages de nos blindés (et surtout la lourde) ont cette qualité rare et bien Française de savoir allier les coeurs de métiers liés au combat et à la technicité. C'est un savoir ( et savoir faire) précieux et parfois très envié. Sachons donc reconnaitre les qualités et valeurs ajoutées là ou elles se trouvent et non boursicoter en permanence sur essentiellement les bureaux d'études et autre sites de réalisations. Le capillotracté pur Web peut se révéler lourd, lui aussi. La réalité terrain genre goupille de cisaillement perdue dans un trou d'eau sur une piste à char à 2h du mat' en région de Munsingen à Noël (à chercher sous un train de roulement) est aussi enrichissante que le jus de cerveau ici bas. Dont acte.
  23. max

    [EBRC/Jaguar]

    Y'a pas à dire, coté design on tape dans l'avant garde, je soupçonne mème une pointe d'Art déco. Là, il va falloir pas mal de valeurs ajoutées pour faire digérer la plastique des formes. Mes impressions oscillent entre le tableau de Maitre et la croute de basse fosse (les deux ont en commun un accès parfois difficile), comme quoi l'art .... Ah mais oui, suis-je bête, il s'agit d'un engin de combat. Toutes mes excuses.
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