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max

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  1. C'est pas très très gentil ça, y'a des relents de délit de faciès là, presque de discrimination raciale ! Honteux ! Je te hais Fus.
  2. j'ai pas tout compris moi, Gibbs revient alors ? Parce qu''aux dernières nouvelles, sa femme-ses-gosses-et-lui migraient en Asturies pour fonder une colonie bukkake néo-conservatrice. Parait mème qu'ils ont investis dans un boutre hauturier pour transiter... Z'ètes vraiment sur ? Charge rouge Cul rouge, espèce de crotte de narine.
  3. max

    INFO sur M1 ABRAMS

    ... ou pas encore, parce que je suis de ceux qui pensent que ce que l'on a pu observer du T14 n'est qu'une vitrine de circonstance. Comme un vague capotage tôlé dont Youri sais user et pour lequel chaque arrêtes et chaque évidements concaves vont être l'objet d'une (fine) analyse. Un aboutissement pas terminé donc, mais dont les chancelleries occidentales se gavent dans une pure logique de longue tradition RENS (et là je te rejoins dans le fait pour la Russie de créer LA référence). Quel renouveau, quel rebondissement...
  4. C'est un bon compromis la 800GS, souple, maniable et avec du couple.
  5. L'ambition affiché du Général Gomart est séduisante ; circuit court entre l'expression du besoin et les éléments de solutions apportés. Les apôtres du marketing vont devoir muter...
  6. Merci leclercs. Pendant ce temps là, une génération d'officiers artilleurs passe... Demain, on va réinventer ce que nous maitrisions hier dans ce domaine et redécouvrir la casemate pivotante, l'automatisation des séquences de tirs et la joie de l'asservissement abouti. L'heure est à la pièce légère (quoique vu la masse totale roulante du dernier CAESAR), aux espaces lacunaires et au sable. Personnellement je ne suis pas soucieux des capacités de notre jus de cerveau national dans ce domaine, mais je reste pondéré en terme de délais sur une ouverture de ligne de production industrielle et une dotation initiale des forces.
  7. Exact Deres, tant que l'on a la maitrise du ciel .... en l’occurrence celui des Danois.
  8. Je suis d’accord Gibbs. Cependant l’approche de la mise en batterie flash et du tir de contre batterie ne peuvent à eux seuls justifier le cout d’une telle pièce (a contrario batterie de tir) si le soutien du feu dans sa composante volume et densité n’est pas envisageable. Je m’explique, les RETEX « Fobien » ont mis en valeur la position de tir aménagé, donc dédiée (conçu et aménagé) pour de l’appui feu H24 sans gros volume de tir. La pénibilité des équipes n’a en fait été due qu’à l’astreinte de tir (la permanence) et à la recherche du plus court délai sur objectif (en gros se secouer la nouille au pied de batterie immédiatement après l’ordre de tir). Comme tu dois le savoir en tant qu’ancien artilleur, une pièce doit être capable AUSSI de s’inscrire dans la durée sur sa densité ; le volume de feu soutenu. Et là, à la lumière du post de Sovngard, le pourvoyage physique des charges propulsives modulaires reste manuel dans la config du marché Danois. Imagine ce que représente l’unité de feu réglementaire (de mémoire la dotation initiale avoisine les 45 t déconditionnées) qui devrait être tiré, même semi-automatisé, sur un feu de harcèlement.... Dans le registre des tirs d’efficacités, le tir de harcèlement est un feu de soutien très long (l’objectif est la déstabilisation) dont le barème de consommation est le plus élevé. Entre la fatigue, le stress, les relèves, les consignes, les reports de tir et les déchets à gérer (volume) etc ... la vie sur position ne nécessite pas de taches en plus. Je me plais à penser qu’en 2017 un asservissement supplémentaire pour cet étape dans la séquence de tir, l’élément propulsif, n’était pas impossible. Voire franchement pas du tout un luxe.
  9. Ah ben mince alors, j'ai tout faux.
  10. @ Boule 75 « ça ne gicle pas assez pour ce que l'on considère dans le métier d'un équipage », le tonus dégagé par les acteurs de cet épisode me parait trop mou. « Gicler » veut dire littéralement se « bouger le c... », avec une notion de réactivité, d’acte réflexe (dans le jargon militaire, l’acte réflexe est quasi instantané, par exemple se poster, tomber en garde, s’orienter, tirer, rendre compte...). On ne ressent pas le tonus et le dynamisme lié à un entrainement, un drill, une maitrise de ce type de (simple) situation. En un mot je ne suis pas convaincu des capacités opérationnelles réelles de l’équipage et de l’équipe d’intervention AEB face à un simple déchenillage. Je garde une très haute considération de ce que sont capables nos « équipages de char nationaux » en général sur leur opérationnalité. Et autant de nos équipes de dépannage en particulier. Cet à partir de ces convictions que je réagis ainsi. « il faut considérer que ce char est au contact », il faut considérer que ce char est engagé face à l’ennemi. « contact "camphré", se dit d’un contact (donc d’un engagement) ou le feu avec l’ennemi est particulièrement engagé. Le terme « camphré » vient historiquement de la guerre d’Indochine ou dans le (toujours) jargon militaire l’engagement est difficile (pertes humaines et matériels, densité des feux importante...). A cet occasion et par mesure d’urgence, le soutien médicale dans l’action était surtout illustré par des pansements compressifs d’alcool camphré. La forte proportion de camphre généreusement appliqué sur tout ce qui saignait dégageait alors une forte odeur. Lorsque ça « camphre » sur un point, sur une ouverture de passage, sur un dégagement d’itinéraire, sur un appui, sur un coup de main, sur une reco, ça signifie que ça va mal, que ça bloque. Giggs (ou un autre) confirmera. « acte élémentaire qui se réalise à l'issue », action simple normalement maitrisé qui s’effectue à la suite, dans la foulée (et surtout sans hésitation, flottement ou temps mort). " lorsque techniquement rien n'est modifié dans le train de roulement" lorsque aucun organe ou sous-ensemble majeur n’est remis en cause dans son fonctionnement. Donc lorsque le dommage de guerre (impact de tir, d’incendie...etc) n’influe pas sur le ou les pièces mobiles ou fixes composant le train de chenille (Barbotin, galet porteur, galet de roulement, poulie de tension, chenille, butées de débattement, demi bras de balancier...). Par exemple un bandage caoutchouté de galet de roulement qui a été impacté ou déchiré n’impacte pas une progression à basse vitesse, donc de se retirer d’une zone difficile. Un demi-bras de balancier endommagé peut être neutralisé et dans certain cas autoriser aussi une certaine mobilité pour sortir d’une zone. La maitrise de certains dommages de guerre pour permettre de continuer une progression pondérée sur un char est un module enseigné à l’ESAM pour les personnels de spécialité AEB. Il s’agit ici d’une pérennisation et d’une mutualisation d’un savoir-faire extrêmement précieux. En ce sens il nous différencie de certaines nations dans l’approche globale et la pratique quotidienne du MEC. Désolé de na pas avoir été assez clair, sincèrement. Merci par avance à Benoitleg de m‘autoriser ce léger HS. @Pinpon, Pour le rechenillage simple, nous ne possédons pas les mêmes.. PS MEC ; maintien en condition opérationnel ESAM ; Ecole Supérieur et d’Application du Matériel AEB ; Auto Engin Blindé (acronyme de la spécialité mécanicien auto engins blindés de l’Armée de Terre) @pinpon, ...les mèmes chiffres.
  11. Moi de mème. Sur les photos en tourelle, on voit une bête à corne et un joystick, mais je ne vois rien pour le poste de pilotage. Cela dit l’ami Sovngard n'a pas dit son dernier mot ....
  12. Tension de chenille qui pourrait être intentionnellement modifié pour une démo. Si démo (donc volontaire), celle-ci laisse apparaitre un temps relativement long à l'évacuation et trop de monde sur l'aire de manutention à ne rien f..... La désolidarisation de chenille est laborieuse, ça ne gicle pas assez pour ce que l'on considère dans le métier d'un équipage et surtout d'une équipe MEC comme un acte réflexe. Si ce n'est pas une démo, visiblement entre les vérifications du pilote et la pratique du "tirage de bandes", y'a des baffes qui se perdent. Autre chose, à partir de la séquence de désolidarisation de la chenille sur cette vidéo, il faut considérer que ce char est au contact. Et mème au contact "camphré". Sinon, RIEN ne justifie alors une évac' (mise à par dommage de guerre). Le rechenillage au barbotin est aussi un acte élémentaire qui se réalise à l'issue, lorsque techniquement rien n'est modifié dans le train de roulement.
  13. Effectivement pour l’effet « dérailleur ». Cela dit la tension de chenille telle que préconisé par le constructeur est fondamentale. Une surtension augmente le couple résistant du train de roulement (cf la puissance disponible « à la roue »), accroit l’effet d’usure des pièces mobiles (alliage, métalliques et caoutchoutés), modifie les jeux de fonctionnement et contraint mécaniquement et exagérément les roulements de toutes natures (surtout tronconiques). Une sous-tension s’inscrit dans le même registre en ajoutant un risque réel de perte dans le guidage (cf déchenillage). Tout dispositif permettant de régler la tension de l’arc est bon à prendre dans cette logique. Il est évident que pour des raisons de pénibilité et de gain de temps, un rattrapage de garde (jeu de fonctionnement usuel, donc valeur de l’arc) semi automatisé ou automatisé est une valeur ajouté ET technique ET opérationnelle. Il me semble important aussi que les solutions de technologies retenues dans ce domaine ne deviennent pas des « vitrines technologiques » dont la complexité, la fragilité et le cout induit mutent en organes cycliquement pathogènes... Des fois on soutien des trucs « oléo-hydro-pneumo-machin-chose » dont le maintien en condition opérationnel se révèlent être une vraie purge, sans jeu de mots (ou presque).
  14. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Les chapes et les manilles sont au sol, y'a du boulot !
  15. max

    [VBMR] Le remplacant du VAB ?

    Effectivement, ici on a peu de moyen de le savoir, donc digérons notre frustration "grand publique" gauloise... Par ailleurs, vu la maigre qualité de ce que l'on peut observer ici ou là, je me plais à penser que bien d'autres outils infographiques (notamment en terme de qualité) ont circulé pour illustrer les projets (ainsi que leurs ambitions) pour susciter autre chose que de la curiosité.
  16. max

    [VBMR] Le remplacant du VAB ?

    Il me semble que la communication dans le secteur de l'armement, surtout lié au marketing, est plutôt bonne. Ne sommes nous pas en train de confondre l'absence en source ouverte de communication dédié clients (limite diffusion restreinte) et notre désir d'avoir accès à celle-ci ?
  17. max

    Ici on cause MBT ....

    Je suppose que de creuser un peu mieux le trou d'eau de la sorte permet au prochain de mieux passer ... sinon il s'agit peut-être de la mise en place d'un nouveau protocole "à ventre portant" pour tester un concept novateur de manœuvre de force pour engin chenillé... ou tout simplement le jeune Youri se fait la main avec son destrier d'acier lors d'une sortie champêtre "découverte nature"... Quoiqu'il en soit, patins sans adhésion (aux deux trains de chenilles) et ventre portant égal la moitié de la masse totale roulante à rajouter pour calculer la masse totale à tracter... En insistant légèrement plus sur sa manœuvre à s'enterrer, le second char ne sortait pas Youri avec son élingue en traction directe, c'est sur. Le trou d'eau sur piste, quand on peut éviter, c'est plus prudent.
  18. Quoiqu'un train de roulement acier pour engin de chantier ça relève plus du downgrade que de l'upgrade, mème aux EAU, non ?
  19. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Produit par PT Pintad en Indonésie depuis 2008. Conception et réalisation sur base de VAB, reprenant la chaine cinématique et le GMP Français (sauf la transmission à barre de torsion, excusez du peu). Ici le capotage de caisse est encore trop longue, seul le poste de pilotage (conducteur, chef de bord) doit rester enchâssé dans la coque. L’espace immédiatement derrière ce poste de pilotage permettrait de mettre à profit un lot d’exploitation MCO « durci » (triangle de remorquage, treuil principal, chapes, manilles, lot pionnier, GAP, caisse à outils portatifs, poulies, élingues…). Il est intéressant de constater qu’une Nation comme l'indonésie est capable non seulement de concevoir et de réaliser ce genre d’engin « métier », mais aussi d’en doter ses forces. Oserai-je dire alors qu’il me plaît d’observer en 2017 ce dépassement du sacro-saint pis-aller de l’ELI si cher à nos cœurs…
  20. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Effectivement, gain de masse, espace enfin dédié métier (levage, manutention, treuillage....). La configuration 6x6, avec ce gain de poids, augmenterait réellement les capacités de traction directe au contact (temps de mise en œuvre), notamment par sa surface au sol plus grande (empreinte de surface et adhérence). Je pense que l'on pourrait franchement aller jouer sur des masses à évacuer plus fortes.
  21. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Comme quoi il est possible parfois d'innover et de réellement trouver des éléments de solutions dédiées métier.
  22. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Cette technique de circonstance a été utilisé dès 1992 avec du VTL. C'est propre et dans l'esprit d'une évacuation de proximité "aisé". Pour l'EMAD, comme pour tous ce qui va permettre de désensabler (godet, bouteur en TIP, angle et TILT), le configuration d'un armement de rame (ses moyens) en convoi log permet l'emport de ce genre de moyen. Pour l'unité combattante déployée....
  23. max

    [Blindés] les dépanneurs

    @ Pinpon ; « Le PPT de dépannage est largement adapté à la maintenance du Griffon, sachant que le principal travail de ces véhicules en cas de conflit est de remorquer le véhicule en panne vers un lieu sûr. » Voilà bien une affirmation que je ne partage pas. Le PPL dans sa version LD a certes une masse d’un peu plus de 30 t avec laquelle on pourrait envisager une certaine « aisance » à tracter les qq 25 tonnes de la nouvelle ménagerie à venir (Griffon et Jaguar). Seulement voilà, « remorquer un véhicule en panne dans un lieu sur » par le biais d’un autre engin ne peut se résumer à son câbles, sa grue et ses huit roues motrices. Le PPLD est un engin lourd de dépannage dont actuellement l’unique valeur ajouté réside dans sa capacité avérée à remplacer légèrement mieux le CLD, rien de plus. Sa masse est un allié pour le remorquage de mulets avoisinant les 30 t, mais ses entre-axes lui confèrent une mobilité terrestre très moyenne, pour ne pas dire médiocre, sur un terrain défavorable ou gras. Sa longueur hors tout reste phénoménale. La faiblesse de sa surface au sol totale liée aux dimensions d’essieux à essieux (ses empattements) en fait un engin conçu et réalisé pour tracter sur sol favorable et surtout stable. D’autant que sa garde au sol n’est pas extraordinaire. Les joli vidéo en terrain gras et sur sable effectuées au CEL de Bisca’ ne trompent pas les maintenanciers. Le PPLD est adapté pour l’arme du train, pour les espaces lacunaires, pour les pistes sèches praticables et l’évacuation « tout chemin », pas « tout terrain ». La force du moyen de levage autorise seulement 12 t sur un châssis de presque 11m de long. Pour info, l’ancêtre TBU 15 CLD d’un autre âge autorisait un moyen de levage de 10 t sur un châssis de 6 m de long, en 1962. La capacité de traction pour manœuvre de forces reste médiocre. La force du treuil en halage directe est légèrement supérieure à 18t sur une longueur maximum de 80 m.... Une telle longueur de treuil mérite qq mètres linéaires de plus, permettant ainsi de travailler sur des mouflages composés. Et que dire de la manœuvre d'un châssis de 11m sur roues qui par nature doit se tortiller pour amener au juste endroit (parfois au centimètre prèt) ses capacités de levage ou de traction ? De son exact positionnement certaines manœuvres son rendues possibles, et uniquement par cette capacité. Pour moi cet engin est une transposition civile que Sofram a caviardée en kaki. Il reste un emplâtre de circonstance pour le MCO (dont le remorquage n’est qu’un aspect) dans la classe des 20/30t. Mais ceci est un sujet déjà débattu. Lorsque le CLD est sorti en son temps (après le TBU 15 CLD), une progression significative a été faite dans notre capacité globale « toute armes » au registre du couteau Suisse. Mais ici une orientation particulière a été faite en jouant sur la masse globale disponible pour tracter conjugué à divers asservissements disponibles, palliant ainsi notre carence dans la partie médiane de notre parc à soutenir. Une orientation d’un moyen de dépannage dédié au « tous chemins » et à la route. L’avis entendu ici ou là dans les popotes quant au PPLD n’est vraiment pas favorable sur le chapitre du soutien « terrain libre » des VBCI, je doute qu’il soit meilleur pour les Griffon et Jaguar à venir. Et pourtant je te l’accorde, les commentaires officiels sont bon, eux.
  24. @g4lly, je remarque qu'une version STA PX du Kaplan (non amphibie) à IDEX 2013 opte pour une configuration nettement plus capoté du train de roulement. L'hypothèse d'un résultat lié à la mobilité aquatique semble envisageable. @Serge, on est effectivement proche de l'architecture de Mars 15, l'estampille Creusot Loire Industrie en moins (hélas)... Je serais curieux de voir ce qu'il y a en dessous de la grande trappe de toit sur l'arrière de caisse dans la version ARV. La dotation de cette version ARV se montre intéressante ; deux jambes de force asservies, un bras de levage... On ne parvient pas à voir de sortie treuil, une configuration du tambour dans la caisse ? Si tu arrives à trouver d'autres illustration...
  25. J'y avais pensé, mais par expérience en terrain très gras ou dans le sable l'accumulation physique se fixe au dernier tiers supérieur arrière de la bande de roulement. Donc selon toi une recherche sur la pénétration...
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