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wielingen1991

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Messages posté(e)s par wielingen1991

  1. il y a 1 minute, Oxcart a dit :

    En fait, un code transpondeur est composé de chiffres allant de 0 à 7, jamais plus (et même techniquement, c'est pas possible). C'est le jeu en tour de contrôle de bahuter les jeunes contrôleurs sortis d'école en leur demandant de faire afficher au pilote, par exemple, le code 7038...

    Ah ok, merci pour l'info, et c'est vrai que vu ainsi ça ne fait pas très propre ;-)

  2. il y a 6 minutes, Oxcart a dit :

    Ça me rappelle cette pub pour le recrutement de contrôleurs en 2016, avec sur l'affiche des codes transpondeur comportant le chiffre "8"... Pas très propre ;-)

    le chiffre "8" signifie quoi ?

  3. Un Belge à la tête d'une flotte de navires de lutte contre les mines de l'OTAN

    Ce lundi 15 janvier, le Capitaine de Frégate Peter Ramboer a repris le commandement de la flotte permanente de l'OTAN SNMCMG1 (Groupe permanent de lutte contre les mines de l'OTAN 1) du Commandant letton Gvido Laudups. Cela fait plus de six ans qu’un belge a été à la tête de la flotte de l'OTAN. La cérémonie a eu lieu à la base navale de Zeebrugge sous la présidence de l'Amiral de Division Wim Robberecht, Commandant de la marine et adjoint de l'Amiral Benelux et en présence du l’Amiral de Division Jens Nemeyer, adjoint Chef d’Etat – Major près du Allied Maritime Command (MARCOM).

    Le Capitaine de Frégate Peter Ramboer, dirigera pendant près d'un an la flotte permanente de lutte contre les mines de l’OTAN. Il sera assisté par une équipe internationale qui, en plus de la planification des exercices et des opérations, assure également la liaison vers le Quartier général Maritime à Northwood (Royaume-Uni). L’Etat-major embarquera pour les six premiers mois à bord du navire de soutien torpille néerlandais Zr.Ms.A900 Mercuur. La tâche principale du Mercuur est de soutenir les sous-marins, mais il peut également être utilisé comme navire de commandement. Par après, pour les 6 mois suivants, le navire de soutien logistique et de commandement belge A960 Godetia deviendra le fleuron du groupe.

    En plus du commandement, la Belgique a presque toujours un chasseur de mines dans la flotte de lutte contre les mines de l’OTAN.

    Le « Groupe permanent de lutte contre les mines de l'OTAN 1» ou en abrégé SNMCMG1 est une flotte d'intervention de chasseurs de mines et sa tâche principale est de localiser et de neutraliser les mines marines. C'est également l'une des quatre flottes permanentes dont l'OTAN dispose, déployable 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

    Depuis le tout début du SNMCMG1, la Belgique a assuré chaque année le déploiement de l'un de ses chasseurs de mines. Les navires effectuent leur mission principalement sur les mers d'Europe du Nord, mais peuvent en principe travailler dans le monde entier.

     

  4. il y a 4 minutes, Oxcart a dit :

    L'intrus, l'intrus... Il a rien de mal sur ce coup là. Le "touriste" ou "l'étranger" à la rigueur ;-)

    Oui tout a fait, et puis on parle d "interception" mais ils devraient plutôt dire "accompagnement" puisque les chasseurs ne font que le suivre...

  5. En ce moment, c'est le navire russe YANTAR (qui doit être super bien équipé lui aussi !) qui recherche le sous-marin perdu, et il suit un trajet "bien spécifique" pour scanner le fond près du centre de la zone de recherche. Si le sous-marin est bien tombé à l'endroit où ils ont enregistré l'explosion, alors il va bien finir par le retrouver...

     

  6. Le 01/01/2018 à 22:35, mehari a dit :

    LYS 40 avait rapporté ce rôle de patrouille. A mon sens, il serait intéressant d'avoir un truc pour jouer le rôle de C-RAM mais le 57 n'est pas forcément la solution vu qu'il s'agit d'un calibre différent par rapport aux frégates.

    On parle d'un navire de 2000t appelé à naviguer dans des zones pas particulièrement sûres alors que les missiles anti-navires se répandent un peu partout: un peu de protection serait certainement la bienvenue...

    @mehari tu avais probablement vu juste avec l'utilisation des futurs navires MCM dans plusieurs rôles différents. J'avais encore trop en tête le format des CMT actuels, hors tout va changer et même la composition des équipages :

    2676_512.jpg

    Donc l'équipage de base (celui qui reste en permanence à bord) des futurs navires MCM sera composé de 30 personnes, mais tout le personnel en charge des drones (opérateurs et techniciens) de surface, sous-marin et aérien ne fera plus partie de l'équipage, le personnel des drones sera embarquable (avec les drones) selon les missions. En fait, le personnel en charge des drones sera intégré dans une équipe qui existe déjà, c'est le MWU (Mine Warfare Unit) qui regroupe les équipes d'opérateurs de drones REMUS 100 :

    Citation

    En 2005, deux personnes motivées avec l’aide d’un drone sous-marin REMUS ont fondé le MWU (Mine Wafare Unit). Avec le temps, le MWU est devenu un organisme qui chapeaute à la fois le VSW (Very Shallow Water), le MCM (Mine Countermeasures) et le REA (Rapid évaluation environnementale). On a modifié son nom et développé grandement cet organisme. La Marine dispose ainsi de trois équipes de recherche REMUS complètes. Chacune d’elles est composée d'un sous-officier opérateur et d’un matelot opérateur. La Marine disposait jusqu’à ce jour de 3 drones REMUS. Aujourd’hui, le MWU est riche de deux nouveaux REMUS supplémentaires ce qui porte le nombre de drones à 5. On augmente ainsi d’une part la capacité opérationnelle et d’autre part le nombre de déploiement possible du MWU. Les périodes de maintenance obligatoires peuvent être aussi mieux gérées et ne plus compromettre l’engagement opérationnel. A partir d’aujourd’hui, chaque chasseur de mines opérationnel disposera en permanence au minimum d’un REMUS à bord dans sa « boîte à outils » permanent dédiée à la lutte contre les mines. Le drone sous-marin REMUS est utilisé dans le programme MCM (chasse aux mines) sans opérateur. Il peut être également utilisé, après programmation, d’une manière autonome et ce, sans risque pour le personnel. Ce dispositif peut également être utilisé dans le cadre de la REA, où il recueille alors de l’information importante sur la nature du sol ou de la salinité de la colonne d'eau. Le REMUS peut se révéler aussi une aide dans la recherche de la localisation d’épaves ou de personnes disparues,... Le dispositif est simple à programmer et à utiliser, et il peut être déployé par une équipe de deux personnes à partir de différentes plates-formes. Cette flexibilité permet au REMUS d’être un outil puissant pour la Marine. Depuis le début du programme, le REMUS a démontré sa grande facilité d'utilisation, tant en mer qu’à partir de la terre, tant au niveau civil que militaire. Aujourd'hui, il fait également partie inhérente de la « boîte à outils » standard des chasseurs de mines qui perpétuent l'expertise du MCM en Belgique. La prochaine étape est la préparation du futur de la chasse aux mines...

    Bref, l'équipe MWU intégrera les futurs équipes de drones de surface et drones sous-marin qui seront stationnés dans le dock 2 de la base de Zeebruges. Ce qui fait que même lorsqu'ils ne seront pas embarqués sur les navires MCM ils pourront continuer à s'entrainer et à opérer depuis la base où à bord de n'importe quel autre type de navire. Pendant ce temps là, les navires MCM qui n'embarque pas de drones MCM pourront servir à d'autres missions que la lutte contre les mines.

    Par contre, je suppose qu'une nouvelle unité (toujours basée à Zeebruges ?) sera créée pour les opérateurs/techniciens des hélidrones. D'ailleurs, en ce moment, la marine belge test le Camcopter S-100 :

    Citation

    La marine teste des drones pour remplacer les Sea King (30.11.2017)

    La marine belge va examiner si elle peut utiliser des drones pour des missions complexes et dangereuses en mer. Ils doivent offrir une alternative moins coûteuse que les Sea King, qui doivent être remplacés.

    Un conteneur à la mer ? Surveiller un navire ? Rechercher une personne qui se noie? Fournir une assistance pour faire entrer les navires dans le port ? Les drones que la marine va tester pendant un an peuvent tout faire. Mais surtout: ils coûtent beaucoup moins cher que les Sea King qu'ils doivent (en partie) remplacer. Les nouvelles peuvent être lues sur flows.be le site de la fédération des entreprises portuaires.

    Conteneurs

    Les appareils sans pilote sont beaucoup plus grands que les drones professionnels classiques et ressemblent à des mini-hélicoptères. Ils disposent de toute une gamme de capteurs, tels qu'une caméra à haute résolution, une caméra thermique, un radar et un capteur magnétique. Selon Frederic Van de Kerckhove de la base navale de Zeebrugge, ils doivent avoir un rayon d'action de 65 à 85 kilomètres et être capables de rester dans les airs pendant six heures en transportant 50 kilos de fret (y compris les caméras et les capteurs).

    «Avec les capteurs magnétiques, vous pouvez non seulement détecter les mines depuis les airs, mais également localiser les conteneurs égarés», explique Van de Kerckhove. Ils peuvent difficilement être observés à l'œil nu. En fait, les drones peuvent être utilisés pour toutes les tâches qui sont ennuyeuses, dangereuses et sales pour l'homme.

    Moins cher

    Pour deux drones et une station de base, vous devez mettre 4 à 5 millions d'euros sur la table. Mais c'est beaucoup moins cher qu'un hélicoptère, tant en achat qu'en fonctionnement. Par heure de vol, un drone coûte moins de 1.000 euros, soit environ 15 fois moins qu'un hélicoptère. De plus, un pilote doit retourner à la base toutes les deux heures. Le drone dure beaucoup plus longtemps.

    Pour le moment, c'est un test. Au cours de l'année à venir, la marine va essayer différents systèmes pendant six semaines, d'abord voler puis avec les capteurs. Des résultats positifs se traduiront par un premier achat en 2021. D'ici 2030, la commande pourrait être étendue.

    Source : tijd.be

     

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  7. Voici une photo prise le 24 novembre dans le port de Comodoro où l'on voit installation d'un "sonar à balayage latéral tracté" (et de son système de mise en œuvre) sur le pont de l'aviso ARA Puerto Argentino :

    26612810.jpg

    Ce sonar appartient à une équipe de l'US Navy et donc je suppose qu'il s"agit du système AQS-24B de Northrop Grumman ?? (en bas à gauche ça y ressemble !)

    Et voici une vue de toute l'installation du sonar tracté (portique, treuil, moteur et le CO dans le container blanc) sur la plage arrière de l'aviso argentin :

    opemb118.jpg

    Le ARA Puerto Argentino a scanné le secteur qui lui a été affecté du 26 novembre au 27 décembre, date du retrait de l'US Navy dans l'opération de recherche.

  8. il y a 27 minutes, Fusilier a dit :

    Les Segura espagnols ont des Voith Schneider.  

    Oui en mode chasse aux mines ça doit être bien, mais pour un bateau-mère qui n'est pas censé aller en zone dangereuse quelle est l'utilité ? 

    Pour l'aider à se stabiliser pendant qu'il débarque (ou embarque) des USV's ?

  9. Le 01/01/2018 à 21:47, mehari a dit :

    Sinon, damen avait montré des concepts ici: http://nlnavy.damen.com/#mine-countermeasures-vessels

    Concernant le concept de Damen, j'ai trouvé deux croquis qui étaient utilisés (au départ) dans un diaporama projeté pour présenter le projet :

    2676_510.png

    et j'ai fait un agrandissement :

    26612810.png

    26612811.png

    et voici ce que j'ai su déchiffrer :

    - longueur : 80-90 mètres,
    - largeur : 14 mètres,
    - déplacement : 2.000 tonnes approx,
    - artillerie principale : C.I.W.S
    - Stabilisateurs : Fin Stabilizers
    - Plateforme hélico pour hélidrone (UAV)
    - Sous la plateforme hélico le ToolBox
    - on peut mettre des conteneurs dans le ToolBox
    - et pour finir : un propulseur Voith Schneider (bizarre ça !)

     

     

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