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wielingen1991

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Messages posté(e)s par wielingen1991

  1. wielingen1991, as tu une dates précise de mise en service en mars de la frégate, je voudrai essaier d'aller à Zeebruges ce jour la et voir si on en parle aux journals parlé...

    Ce week-end, j'ai vu un ami qui fera partie de l'équipage du F930 Léopold I, et il m'a dit que, normalement, la cérémonie officielle de reprise de la frégate aura lieux le 29 mars à Zeebrugge !

    Pour l'instant, le n° de coque de la frégate est F930 mais elle est toujours sous pavillon néerlandais et son nom est tourjours "Karel Doorman" (ex-F827), c'est seulement le 29 mars que la frégate passera sous pavillon belge et qu'elle s'appellera F930 Léopold I.

  2. mardi 23 janvier 2007, 21h40

    La Défense risque de devoir se serrer la ceinture

    PARIS (Reuters) - La Défense risque de devoir se serrer la ceinture dans les années à venir et de grands programmes d'armement sont menacés, écrit La Tribune dans son édition de mercredi sur la foi d'un rapport confidentiel.

    Selon les différentes hypothèses examinées dans ce document intitulé "Exercice 2020" et cité par le quotidien économique, il manquera 40 à 70 milliards d'euros d'ici 2015 "pour équiper les armées au regard du modèle actuel de ressources".

    Pour que les forces armées françaises puissent respecter leur schéma d'équipement, il faudrait que leurs ressources atteignent 2,25% du PIB et augmentent de 2% en volume par an.

    C'est cependant l'hypothèse jugée la moins crédible par ce document établi en 2005 par l'état-major des armées, la Délégation générale pour l'armement et le Secrétariat général pour l'administration, dont la Tribune affirme qu'il a été depuis lors "réactualisé".

    Ses auteurs jugent plus réaliste l'hypothèse intermédiaire d'un budget de la défense à 2% du PIB, avec une hausse des ressources de 1% en volume (inflation non comprise) par an.

    Cette hypothèse, si elle se concrétisait, n'en aurait pas moins "un impact fatal sur le respect du modèle 2015" des forces armées françaises. La Défense devrait en effet économiser 30 milliards d'euros sur la période.

    Selon ce document cité par La Tribune, les crédits du renseignement stratégique et de l'espace seraient ainsi réduits de 5,5 milliards d'euros, ceux des systèmes d'information et de commandement de trois milliards, les systèmes aéroterrestres de 4,56 milliards, les systèmes aéromaritimes de 2,24 milliards, la défense antimissile de 3,8 milliards, les "capacités de projection" de 14,3 milliards ...

    Seraient ainsi menacés le projet de second porte-avion, tandis que la plupart des autres grands programmes seraient affectés, tel que l'avion de combat Rafale et son missile air-air Meteor, l'avion de combat de nouvelle génération, les frégates Horizon et Fremm, la modernisation du char Leclerc, l'hélicoptère de combat Tigre, etc.

    Au ministère de la Défense, on confirmait mardi soir l'existence de ce rapport mais en en minimisant la portée.

    "C'est un document qui a fait l'objet d'un débat au sein de la Défense mais dont les conclusions n'ont pas été définitivement validées", a-t-on déclaré à Reuters.

    "L'exercice consistait à faire un cumul à moyen terme de l'ensemble des besoins de financement de la Défense et à définir une enveloppe maximale", a-t-on ajouté de même source. "Il n'a pas débouché sur des conclusions opérationnelles."

    Cela ne préjuge cependant pas de son utilisation éventuelle dans le cadre de la préparation de la prochaine loi de programmation militaire.

    Source: Reuters

  3. lundi 22 janvier 2007, 21h28

    Mort d'un gendarme du GIGN: "il y a eu dysfonctionnement" selon Nicolas Sarkozy

    CHARENTON-LE-PONT (AP) - Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a estimé qu'il y avait eu "un dysfonctionnement" lors de l'opération du GIGN menée vendredi à Gensac-sur-Garonne au cours de laquelle un gendarme a été tué.

    "Nous devons comprendre, analyser ce qui s'est passé pour éviter qu'un nouveau drame se reproduise", a déclaré le ministre devant plusieurs dizaines d'officiers de police réunis au Novotel de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) lors de la cérémonie des voeux du Syndicat national des officiers de police (SNOP). "Les policiers doivent pouvoir rentrer chez eux le soir" a-t-il ajouté.

    Pour sa part, dans un communiqué commun publié en début de soirée, la préfecture de Haute-Garonne, la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées et le procureur de la République de Toulouse ont souhaité "que l'on s'abstienne de toute polémique" dans cette affaire.

    Ils estiment que "les procédures mises en oeuvre lors de l'opération de Gensac-sur-Garonne sont claires et ont fait la preuve de leur pertinence à de très nombreuses reprises".

    Le communiqué, qui souligne "le professionnalisme", "le sang-froid" et "le courage" des gendarmes victimes et de leurs camarades, rappelle que "toutes les tentatives de prises de contact avec le forcené ont été vaines".

    "Vers 22h, un dispositif d'intervention et d'interpellation a été proposé par le GIGN. Après avis de l'autorité judiciaire et du général de gendarmerie présents sur les lieux, le préfet a donné l'autorisation, il assume seul la décision", précise encore le communiqué.

    Le maréchal des logis chef Frédéric Mortier avait été mortellement atteint lors de l'opération menée dans la soirée de vendredi par le GIGN (groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) pour maîtriser André Rouby, plâtrier à la retraite, qui s'était retranché dans sa maison de Gensac-sur-Garonne (Haute-Garonne), à 50km de Toulouse, armé d'un fusil. Deux autres gendarmes ont été blessés par les tirs du forcené dans le cadre de cette opération.

    Dès dimanche, dans les médias locaux, des proches d'André Rouby avaient jugé "précipité" l'assaut du GIGN. Sur France 3 dimanche soir, la compagne du plâtrier retraité, Marcelle Auguste, avait notamment regretté que le GIGN soit "entré dans son jeu".

    Source: AP

  4. Les 2 Karel Doorman belges seront modernisées comme le seront les holandaises, la principale modernisation, comme l'a dit semper_fidelis, étant l'aménagement pour embarquer un NH-90 à la place du Lynx.

    Maintenant il est évident qu'entre une FREMM ou une Karel Doorman, il n'y a pas photo ! Mais les Karel Doorman sont quand même des escorteurs équipés correctement et qui peuvent trés bien accompager un Groupe aeronaval ou amphibie, comme navire ASM par exemple !

    Caractéristiques : Karel Doorman - FREMM

    - Déplacement : 3320 t à pc - 5800 t à pc

    - Dimensions : 122 x 14.4 x 6.2 m - 137 x 19 x 4.2 m

    - Motorisation : 2 diesels et 2 tag - 2 diesels, 2 élec et 1 tag

    - Vitesse : 29 n - 27 n

    - Autonomie : 5000 nm à 18 n - 6000 nm à 15 n

    - Armement AA : 16 x Sea Sparrow, 1 x 76mm, 1 x Goalkeeper - 16 x Aster 15, 1 x 76mm, 2 x 20 mm

    - Armement AN : 8 x Harpoon - 8 x MM40 block III1, 16 x Scalp Naval

    - Armement ASM : 4 TLT avec torpilles MK 46 Mod 5 - 4 TLT avec torpilles MU90

    - Radar : SMART-S (tridimentionnel), LW 08 (veille air), 2 x STIR 1.8 (poursuite) - Herakles (Multifonctions) et NA-25 XP (Conduite de tir )

    - Sonar : PHS-36 (coque) et Anaconda (remorqué) - 41 10 CL (coque basse fréquence) et CAPTAS UMS 4249 (remorqué)

    - Hélico : 1 x NH-90 - 2 x NH-90

    - Equipage : 154 - 108

  5. jeudi 18 janvier 2007

    Piratage du site du ministère de la défense belge

    Par Marc Rees, rédaction de PC INpact

    « Vous l'avez bien sûr remarqué. Le site www.mil.be n'était plus accessible depuis le dimanche 14 janvier. Nous vous devons des excuses, mais surtout des explications », voilà ce qu’indique en page de garde le site Mil.be, du ministère de la Défense belge.

    Le ministère indique que « chaque semaine, nous décelons des milliers de tentatives d'intrusions ». Ce dimanche 14 janvier à 11 h 30, très exactement, un pirate, signant VolTigoRe, est parvenu à défigurer la page d'accueil du site, « pour passer un message bien différent ». Intitulée «Defaced By VolTigoRe » la page diffusait un message politico-historique sur les relations épineuses entre la Turquie et le peuple arménien.

    Devenu l’espace d’un moment vitrine des intérêts de ce pirate, le ministère de la Défense reconnaît que « la sécurité absolue n'existe pas. Surtout dans le monde mouvant de l'Internet. Même si nous cherchons toujours à limiter le risque en tenant compte de l'équilibre nécessaire entre la convivialité de l'utilisation du site et la sécurité ». Le site indique que ses données sont uniquement réservées à l’information externe, et qu’il ne contient donc aucune donnée confidentielle.

    Si VolTigoRe est à son premier coup selon l’encyclopédie des attaques par défiguration de site Zone-H, ce n’est pas la première fois que des pirates turcs jouent les apprentis webmaster. En juillet 2005, près de 240 sites belges avaient été barbouillés par un groupe nommé BiyoSecurityTeam, visant des machines sous Windows 2003, avec web server IIS/6.0, comme pour le cas de Mil.be.

    Source: PC INpact

  6. Oui les 5 auxilaires sont toujours en service, et moi assi j'aurais préfére 2 frégates neuves plutot que 2 d'occase mais bon d'un autre coté si la belgique a racheté les frégates hollandaises c'est uniquement parcequ'elle a des obligations envers l'OTAN (elle doit fournir à l'OTAN plusieurs mois par an un escorteur) aussi-non il aurait mieux valu qu'elle concentre tout ses moyens autour d'une flotte anti-mines, avec par exemple : 8 chasseurs de mines, 2 nouveaux navires de soutien logistique et de commandement et 2 patrouilleurs !

  7. Tres beau. Il semble flambante noeuf [57] . Il n'a jamais etè usè par les holandais???

    Si mais les holandais entretiennent trés bien leur navires et d'ailleurs ça contraste avec leurs marins qui eux ont l'air de paysans avec leurs longs cheveveux et leur boucle d'oreille !

    Quelle sont les raison politique car la Belgique, pais tres tres riche doit acheter navire de second-hand pour sa marine?

    N'est pas mieux faire cooperacion avec Pays-Bas, Alemagne ou autres et faire bateaux nouveaux?

    J'aurais préféré 2 FREMM mais bon avec notre minuscule marine et nos 50 km de côtes on ne va pas faire la fine bouche ! Et puis, c'est certainement un pas de plus en vue du rapprochement entre les marines belge et néerlandaise, qui je suppose ne formeront plus qu'une seule marine d'ici quelques années !

    Quel langue est utilizè sur les bateaux belge? Francais ou neerlandais?

    J'ai connu beaucoup des belgiques et j'ai etè impressionè par la capacitè de ce gens de parler beaucoup de langue sans problems. Entre eux ils sont capable de parler aussi anglais. Beaucoup parle aussi alemand, espanol et comprende aussi italien. [57] Ils sont extraordinaires.

    A bord on parle le neerlandais et le francais,

    avec les navires étrangers on parle l'anglais,

    et il y a aussi à bord des belges germanophones, des belges d'origine italiennes, espagnoles, etc...

  8. Voici les nouvelles :

    - La frégate F910 Wielingen a été désarmée définitivement et retirée du service le 21 novembre 2006 [52]

    (le navire est mis en cocon à Zeebrugge en attendant un éventuel acquéreur, la Bulgarie !?)

    - La frégate F930 Léopold I entrera officielement en service dans notre marine en Mars 2007 et c'est l'équipage du Wielingen, qui s'entraine en Hollande actuelement, qui reprend le navire.

    - La frégate F931 Louise-Marie entrera elle en service en Mars 2008 et elle remplacera le F911 Westdiep.

    - Tout les CMT (belges et néerlandais) seront modernisés. Le Belgian-Netherlands Capability Upgrade Program (CUP) est un projet de modernisation qui sera effectué sur tous les CMT Belges et Néerlandais. Les chasseurs de mines seront équipés avec une nouvelle technologie MCM. Le sonar de coque et le radar seront remplacés, un sonar auto-propulsé à profondeur variable (SPVDS) sera ajouté et le PAP (véhicule d’identification et destruction) disparaît au profit du Seafox. Le premier CMT Belge modernisé est le Primula.

    Les caractéristiques des CMT après modernisation

    - Le Godetia est toujours en service, et début janvier il est partit pour un voyage de 2 mois en Afrique.

    Voilà.

  9. samedi 20 janvier 2007, 19h03

    Le GIGN, plus de 30 ans d'interventions

    PARIS (AP) - C'est à la suite d'une importante mutinerie à la prison de Clairvaux en novembre 1973, que la gendarmerie nationale a décidé de créer une équipe spéciale d'intervention dédiée au sauvetage des otages et à la neutralisation de forcenés.

    Au printemps 1974, le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) naît et se trouve placé sous le commandement de Christian Prouteau. Paul Barril et Philippe Legorjus comptent au nombre de ses successeurs. Le commandant Frédéric Gallois dirige actuellement cette unité qui fait partie du Groupement de sécurité et d'intervention de la gendarmerie nationale (GISGN).

    Forte au début d'une quinzaine de personnes, cette unité d'élite, installée à Satory sur la commune de Versailles, ne comptera guère plus que 120 gendarmes triés sur le volet et surentraînés aux missions périlleuses.

    Son premier fait d'armes date de février 1976 à Djibouti quand les gendarmes parviennent à libérer des enfants pris en otages dans un bus par des rebelles locaux.

    En mai 1988, des hommes du GIGN participent à l'assaut donné pour libérer 27 gendarmes pris en otages par des militants kanaks sur l'île d'Ouvéa. L'opération se soldera par la mort de deux militaires et de 19 preneurs d'otages.

    Spécialisé au départ dans la mise hors d'état de nuire des forcenés, les enlèvements, les interpellations, les prises d'otages, les mutineries en milieu carcéral, le GIGN s'est également illustré dans l'affaire de l'Airbus d'Air France à l'aéroport de Marseille-Marignane en décembre 1994.

    Quatre terroristes du GIA (Groupe islamique armé) qui avaient pris en otages à Alger des passagers d'un avion à destination de la France ont été finalement "neutralisés" par les gendarmes d'élite lors d'une opération spectaculaire filmée par les télévisions. Une dizaine de membres du GIGN ont été blessés lors de cette intervention.

    La force de ce peloton d'élite réside notamment dans sa réactivité puisqu'il est opérationnel moins de trente minutes après sa mise en alerte.

    Depuis plus de trente ans, le GIGN a réalisé plus d'un millier de missions et d'interventions, libéré plusieurs centaines d'otages et arrêté plus d'un millier de personnes.

    Avant le drame de vendredi soir en Haute-Garonne au cours duquel un gendarme du GIGN a été tué et deux autres ont été blessés, sept membres de l'unité spécialisée sont décédés lors d'accidents à l'entraînement et un lors d'une opération à Valaurie (Drôme) en 1997. Les noms des morts figurent sur une stèle dressée devant le camp de Satory.

    Source: AP

  10. samedi 20 janvier 2007, 9h44

    Haute-Garonne: le forcené retranché dans sa maison maîtrisé par le GIGN

    TOULOUSE (AP) - Le forcené retranché depuis vendredi matin dans sa maison de Gensac-sur-Garonne (Haute-Garonne) et qui a tué un gendarme du GIGN et blessé deux autres, a été maîtrisé dans la soirée par les hommes du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale.

    Le préfet André Viau a précisé que cet entrepreneur plâtrier en dépression avait blessé une première fois à coups de fusil un homme de l'unité d'élite de la gendarmerie, touché à l'épaule "lors de la mise en place du dispositif" vers 18h. "Les nombreuses tentatives de prises de contact ont été vaines", a-t-il ajouté. "Au cours de l'assaut donné vers 22h10, l'individu a ouvert le feu. Un gendarme a été blessé, l'autre est mort."

    Le militaire décédé, le maréchal des logis chef Frédéric Mortier, était âgé de 35 ans, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

    Le forcené, maîtrisé vers minuit sans effusion de sang, a ensuite été placé en garde à vue "en raison des faits qu'il a commis, tentatives d'homicide multiples et également assassinat", selon le procureur de la République de Toulouse, Paul Michel.

    Dans la matinée, à la suite d'un différend familial, cet homme de 66 ans, avait tiré sur les gendarmes locaux avant de s'enfermer chez lui, armé d'un fusil. Dépêché à Gensac-sur-Garonne, à 50 kilomètres au sud-ouest de Toulouse, en fin d'après-midi, le GIGN avait entamé des négociations avec l'individu, qui aurait des antécédents psychiatriques.

    Jamais depuis le raid mené en décembre 1994 contre l'Airbus Air France sur l'aéroport de Marseille-Marignane, qui avait fait dix blessés chez les gendarmes, trois membres du GIGN avaient été touchés au cours d'une même opération.

    Quant au décès en opération d'un de ces super-gendarmes, "ce n'est que la deuxième fois que cela arrive en plus de 30 ans d'existence", a confirmé samedi Philippe Legorjus, ancien patron du GIGN entre 1985 et 1989, au micro de RTL. D'après lui, c'est à l'entraînement que "l'unité a perdu le plus de ses membres".

    Face aux forcenés, a-t-il expliqué, la négociation est "le schéma numéro un", même s'il y a "par nécessité un schéma d'intervention au cas où la situation dégénère". En effet, "ce sont souvent des gens perturbés par la vie, qui ont des problèmes psychiatriques" et qui "combine cela aussi, pour certains d'entre eux, avec un passé militaire ou de chasseur".

    "Quand on perd quelqu'un de cette famille, le désarroi est profond mais, en même temps, toutes les ressources pour continuer la mission sont là", a conclu Philippe Legorjus.

    Le Premier ministre Dominique de Villepin a exprimé samedi matin "sa grande émotion et sa grande tristesse" après la "douloureuse épreuve" frappant cette unité d'élite. "L'engagement quotidien de la gendarmerie nationale et du GIGN en particulier méritent la reconnaissance de la Nation", souligne-t-il dans un communiqué.

    La ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie a elle aussi fait part de son "extrême émotion" à la suite du décès de l'un des hommes du GIGN, adressant "ses plus sincères condoléances" à la famille de la victime.

    Mme Alliot-Marie devait se rendre auprès des deux militaires blessés samedi en fin de matinée, de même que son collègue de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, qui prévoyait auparavant de s'incliner devant la dépouille du gendarme tué. Les deux ministres étaient attendus vers 11h au CHU de Toulouse, selon le ministère de l'Intérieur.

    Source: AFP

  11. vendredi 19 janvier 2007, 23h34

    Trois gendarmes du GIGN blessés par un forcené près de Toulouse

    TOULOUSE (AFP) - Trois gendarmes du GIGN ont été blessés vendredi soir au cours d'une opération pour interpeller un forcené à Gensac-sur-Garonne, à une cinquantaine de km au sud de Toulouse, a-t-on appris auprès de la direction de la gendarmerie à Paris.

    Un premier gendarme a été blessé vers 18H30 au niveau de l'épaule gauche et les deux autres ont été blessés peu après 22H00 au moment de l'assaut.

    Le diagnostic concernant ce membre du GIGN, évacué vers l'hôpital Rangueil de Toulouse, était réservé, a-t-on appris tard dans la soirée à Toulouse auprès de la préfecture de la Haute-Garonne.

    Vers 23H00, un hélicoptère a atterri près du domicile du forcené pour prendre en charge les deux autres gendarmes blessés, dont l'un serait gravement atteint, a indiqué le maire de Gensac-sur-Garonne, Henri Devic.

    Quant au forcené, il a été interpellé "sans dommage pour lui", a précisé la direction de la gendarmerie.

    C'est la première fois depuis l'assaut de l'Airbus d'Air France à l'aéroport de Marseille-Marignane en décembre 1994, au cours duquel une dizaine de gendarmes avaient été blessés, que trois membres de cette unité d'élite sont atteints lors d'une même opération.

    "L'homme est maîtrisé", a confirmé M. Devic, peu après l'assaut des gendarmes pour maîtriser cet homme de 66 ans qui s'était retranché seul chez lui en milieu de matinée.

    En fin de matinée, le sexagénaire, qui a tiré sur la voiture de sa concubine, près de son domicile situé sur les coteaux à 1 km environ du village de Gensac (350 habitants), aurait ensuite récidivé en tirant des balles Brenneke, de gros calibre et destinées à la chasse au sanglier, sur une patrouille de gendarmerie venue parlementer avec lui.

    Le forcené, qui avait des "antécédents psychiatriques et des soucis familiaux", selon le directeur de cabinet du préfet Francis Soutric, avait refusé de répondre aux appels téléphoniques des forces de l'ordre.

    L'homme, un entrepreneur plâtrier, était connu comme "quelqu'un de gentil" et sans problème relationnel particulier.

    Un point presse est prévu dans la nuit avec le préfet de Haute-Garonne et le procureur de la République.

    Source: AFP

  12. jeudi 18 janvier 2007, 18h53

    Un très important arsenal d'armes de guerre saisi dans le sud de la France

    TOULON (AP) - Près de 200 armes, dont une cinquantaine de Kalachnikov, ont été saisies en début de semaine dans le Var, les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes, alors que 19 personnes ont été interpellées dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à Toulon (Var) pour infraction à la législation sur les armes, infraction à la législation sur les stupéfiants et association de malfaiteurs.

    Alors que les policiers ont jubilé en parlant de la plus grosse saisie d'armes réalisée en France ces dernières années, Pierre Cazenave, procureur de Toulon, et Gilles Leclerc, sous-directeur du SRPJ de Toulon, ont sobrement précisé lors d'une conférence de presse jeudi après-midi à Toulon que ce grand coup était l'aboutissement de 18 mois d'enquête.

    Le coup de filet a été réalisé conjointement par les policiers parisiens de l'Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO) et les hommes du SRPJ (Service régional de la police judiciaire) de Toulon, sur commission rogatoire du juge Benoît Percyn.

    Le parquet de Toulon avait ouvert une information judiciaire il y a plusieurs mois à partir d'informations sur une filière d'approvisionnement en armes destinée au milieu varois. Cette vaste opération s'est déroulée en deux temps. Surveillées depuis plusieurs semaines, quatre personnes revenant d'Espagne en voiture ont été interpellées dimanche au péage d'Arles. Dans leur véhicule, les enquêteurs ont trouvé 4,2 kilos de cocaïne et 11.000 euros en liquide. Les perquisitions qui ont suivi ces arrestations ont permis de mettre la main sur un impressionnant stock d'armes.

    Mardi, les policiers ont ainsi saisi une cinquantaine d'armes de gros calibre, en particulier des fusils d'assaut Kalachnikov, une trentaine d'armes de poing en provenance de l'ex-Yougoslavie, chez un ressortissant serbe habitant au Pradet (Var) dans la région toulonnaise. Les enquêteurs ont poursuivi leurs saisies à Salon-de-Provence et au Rove, près de Marseille.

    Au total, 19 personnes ont été interpellées (six dans le Var, trois dans les Alpes-Maritimes, 10 dans les Bouches-du-Rhône), dont cinq ont finalement été remises en liberté. Les autres ont été déférées mercredi soir au parquet de Toulon, dont nombre sont des ressortissants d'Europe de l'Est.

    "C'est une affaire exceptionnelle", a-t-on indiqué au siège de la PJ à Nanterre en faisant état parmi les 194 armes saisies, outre les Kalachnikov et 30 armes de poing, plusieurs centaines de kilos de munitions, des détonateurs, des temporisateurs mécaniques destinés à des engins explosifs, ainsi qu'un "cadre à explosif" utilisé pour éventrer des fourgons blindés.

    Les personnes interpellées n'étaient pas connues des policiers spécialisés dans le grand banditisme. Certains ont affirmé être de simples collectionneurs d'armes de guerre. "Ces armes étaient cependant destinées au milieu", assure-t-on de source policière.

    Source: AP

  13. Voici ce que j'ai trouvé sur le site Zone Sous-marins et qui parle de CZ ou Zone de convergence ou de résurgence :

    Décrire des profils bathythermiques types ça sert car avec un profil type on peut se représenter rapidement les propagations.

    Par exemple avec une bathy november on sait que les bruits émis en surface vont avoir tendance à plonger (donc l'influence du type de fond grandi) par ailleurs les rayons vont avoir tendance également à se concentrer dans des "zones de résurgences" favorables à la détection.

    Les types de bathy ne changent pas rapidement, en fait les températures n'évoluent que lentement dans le temps par rapport aux températures de l'air. Connaître les types de bathy est donc important pour chercher les meilleures immersions d'écoute ou de refuge.

    Pierrot a raison on peut voir jusqu'a 6 types de profils bathythermiques mais seuls trois grands types sont généralement modélisés avec des variantes de fonds (résurgence et ou convergence)

    la bathy India ou isocélère est caractéristique de l'Atlantique nord en hiver 30% du temps et environs 20% du temps en méditerranée occidentale. La couverture est uniforme avec une dispersion d'énergie. Les sonars de coque actifs ont une bonne portée s'il existe un chenal de surface (état de mer inférieur à 3). C'est une bathy très sensible aux variations météo. Par vent froid elle se transforme en Papa (positive) et par beau temps en November

    la bathy november à gradient négatif très fort dans les 50 premier mètres, 30% du temps en Atlantique et 40% en Méditerranée. Il existe une possibilité de résurgence si le fond est supérieur a 2000 mètres et s'il y a un excès de célérité > à 9 ms la résurgence se situe à environ 30km en Méditerranée et 70 km en Atlantique

    La bathy Mike. Il s’agit d'une couche isotherme au dessus d'une couche à gradient négatif bathy courante 40% du temps en Atlantique et Méditerranée, chenal de surface si l'immersion de la couche > à 30 mètres. Il y a résurgence autour de 40km en Méditerranée et 70 km en Atlantique.

    Le probleme de détection

    Le sous-marin utilise sa mobilité verticale pour profiter des dissymétrie du champs sonore. Cela se traduit par le choix des immersions suivantes:

    - immersion d'approche

    - immersion de franchissement de l'anneau de résurgence

    - immersion de dérobement

    - de même, pour la préparation de la reprise de vue, il choisit l'immersion la plus favorable à la détection des bruiteurs.

    en MIKE le sous-marin approche à grande immersion, détermine la cinématique au-delà de la résurgence, franchit celle ci en inclinaison nulle et le plus rapidement. Puis, redescend dans la cuvette de non-détection. Contrôle en permanence la distance par apport à sa cible pour ne pas retomber dans la résurgence ni s'approcher de la zone de portée directe.

    Voilà, si tu veux en savoir plus sur la bathythermie je te conseille de lire tout ce qui est écrit à ce sujet, et qui est trés instructif, sur : La Bathythermie

    Image IPB

  14. Impressionante, Wielingen1991! [57]

    Le bateau risque t'il de se retourner malgré sa taille et sa masse?

    Normalement non mais en mer il n'y a pas de certititude !

    J'ai connu des grosses tempêtes (aussi forte ou même plus) et si le navire ne s'est pas retourné il y a quand même eu à chaque fois de la casse à bord !

    Et puis imaginez (en regardant les photos du destroyer russe) que pendant la tempête il y a des gens à bord qui sont en descente de quart (6 on 6 of) et donc qui doivent dormir avant de remonter de quart !

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