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wielingen1991

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Tout ce qui a été posté par wielingen1991

  1. wielingen1991

    AA/ASM

    Exact, les Perry sont devenus des escorteurs ASM uniquement, sans missile AA et sans missile AS. Malgrés tout, les Perry sont des frégates robustes, capable de résister à des dommages considérables. Cette « solidité » a été démontrée quand l’USS Samuel B. Roberts à été touché par une mine et USS Stark frappé par deux missiles de croisière Exocet. Dans les deux cas ces navires ont survécu, ils ont été réparé et sont retourné à la flotte. Voici une photo que j'ai prise en mai 1988 à Dubai du Samuel B. Roberts sortant de cale séche aprés les 1ere réparations.
  2. wielingen1991

    AA/ASM

    Les lanceurs SM1 des Perry ont été retiré de nos jours et les capacités AA restante des FFG 7 sont le Phalanx et le 76mm. http://www.navy.mil/management/photodb/photos/060507-N-7748K-013.jpg
  3. Pas 25 mais 12 à la Jordanie ! http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=148242
  4. wielingen1991

    AA/ASM

    L'efficacité c'est le prix ! Les petites nations ne peuvent pas se payer des grosses frégates AA + des grosses frégates ASM, alors ils optent pour des frégates "multimission" qui sont bonnes à tout faire tout en étant moins efficace mais aussi moins couteuse que les frégaes spécialisées !
  5. wielingen1991

    détection ASM

    Je ne sais pas si ils sont nuls mais à la différence du sonar remorqué on ne peu pas immerger, à des profondeurs différentes, un sonar de coque ! les deux par ce qu'ils sont installés d'origine et puis le sonar remorqué peut avoir des problèmes, comme avec celui du De Grasse ! comme ça il y en a toujours un qui est opérationnel
  6. Voici quelques infos (en anglais) du site de thales-naval concernant le sonar remorqué "CAPTAS UMS 4249" qui équipera les FREMM : Sonar CAPTAS - UMS 4200 SERIES
  7. Les C-130 de l'armée belge sont en mauvais état (De Morgen) Démanteler un C-130 pour en faire voler un autre est devenu une tâche quotidienne pour les techniciens chargés de l'entretien de ces appareils, selon De Morgen. Ces avions sont dans un tel état que des pièces doivent continuellement être remplacées. Le personnel tire la sonnette d'alarme et se plaint de ne pas recevoir assez vite les pièces de rechange. "Le délai de livraison est plus long que le temps entre deux réparations", explique-t-il. Le personnel a déjà averti le cabinet du ministre de la Défense André Flahaut, qui a commandé un audit interne il y a quelque temps, selon lequel des problèmes existent. Sur les 11 C-130 que compte la Belgique, huit doivent être opérationnels en permanence, mais ce n'est plus le cas depuis un certain temps. Il y a quelques mois, le ministre Flahaut avait encore affirmer que les appareils, qui datent du début des années 70, pouvaient encore fonctionner jusqu'en 2018. Selon un militaire chargé de leur entretien, ce délai est "impossible" car "la sécurité à bord n'est plus garantie". Source: Belga
  8. wielingen1991

    Good evening

    Salut chris, le Westdiep a été mon premier navire sur lequel j'ai passé 2 belles années de 1986 à 88
  9. jeudi 20 avril 2006, 13h26 La perte du sonar due à la météo, dit le ministère de la Défense PARIS (Reuters) - La perte en mer d'un sonar ultraperfectionné dans le golfe de Gascogne fin mars est uniquement d'origine technique, son câble n'ayant pas résisté à des conditions météorologiques difficiles, déclare le porte-parole du ministère français de la Défense. L'enquête de commandement que la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie a reçue mercredi soir "établit de la façon la plus claire qu'aucune faute de commandement n'a été commise", a souligné Jean-François Bureau lors d'un point de presse. "La cause principale est à rapprocher des conditions météorologiques", a-t-il ajouté. "Contrairement à ce qu'on a pu dire ou écrire ici ou là, il n'y a eu aucun sujet de divergence d'appréciation sur la conduite à adopter" à bord de la frégate De Grasse, qui participait à un entraînement de lutte anti-sous-marine, a précisé Jean-François Bureau. Selon Le Canard enchaîné, le commandant du De Grasse a tenu à mettre le sonar à l'eau en dépit des mauvaises conditions météorologiques. Ses officiers, poursuit l'hebdomadaire satirique, auraient tenté de l'en dissuader. Le câble a été sectionné "par l'usure et les frottements dans la phase finale de la remontée du 'poisson'", a insisté Jean-François Bureau. Pour le directeur du Sirpa-Marine, le service d'information de la Marine, Vincent Campredon, cet "incident malheureux" est dû en grande partie à "la brusque détérioration des conditions météo". "Le reste, c'est du roman: il y a un commandant à bord, c'est lui qui décide". UN AUTRE EXEMPLAIRE SUR LE TOURVILLE Le 25 mars, après une période de calme, le vent a rapidement fraîchi dans le golfe de Gascogne, pour atteindre force 6, et la mer a présenté des creux de quatre à cinq mètres. Il n'existe en France que deux exemplaires de ce sonar actif à très basse fréquence, composante incontournable du Système de lutte anti-sous-marine (SLASM) fabriqué par Thales Underwater Systems. Le prix du sonar perdu est estimé à trois millions d'euros. Le second équipe la frégate Tourville, actuellement en carénage à Brest jusqu'en juillet. Pour autant, a souligné Vincent Campredon, "cela ne veut pas dire que notre défense fonctionne sur une seule patte". Le sonar du Tourville pourra être embarqué à bord du De Grasse "en fonction du niveau de la menace", a-t-il expliqué. Aucune décision n'a été prise pour l'instant sur une éventuelle opération de récupération de l'antenne d'émission perdue, qui gît par 3.440 mètres de fond dans les eaux internationales. L'antenne mesure trois mètres de haut, cinq mètres de long et pèse dix tonnes. Elle ressemble à un gros poisson blanc et se trouve en temps normal à l'arrière de la frégate. Elle peut être descendue jusqu'à 300 mètres de fond pour repérer les sous-marins dans un rayon de plus de cent kilomètres. Les sonars de ce type sont utilisés lors des patrouilles des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) français pour assurer la sûreté de la zone dans laquelle ils croisent. Ils participent également à la surveillance des porte-avions dans les zones délicates. Source: Reuters
  10. Plutôt que de remplacer les crotales ils feraient mieux d'instaler un systéme de lutte asm !
  11. wielingen1991

    Good evening

    Bienvenue chris ;) Content de savoir que tu t'intéresse à la marine (belge)
  12. La lutte ASM c'est 24 heures sur 24 par tout les temps et c'est pas le prix du sonar qui change quoi que ce soit ! Ce qui est arrivé à la frégate "De Grasse" est un accident et le commandant n'y est pour rien. Imaginez un GAN en mer au beau milieu d'une tempête, qu'est-ce qui se passe on arrête la surveillance ASM jusqu'a ce le beau le temps revienne !? Toute cette histoire est encore amplifiée par les journalistes qui ne ne connaissent rien à la mer et encore moins à la lutte ASM :rolleyes:
  13. Pour les capacités asw israéliennes, ils ont les Dolphin et les corvettes Saar. Les Saar 5 embarque même un hélico asm. Pour le scenario attaque sur l'iran, si il doit y avoir attaque sur l'iran (israélienne ou autre) il y a de fortes chances pour que le détroit d'ormouz soit miné tout de suite par les iraniens pour empêcher la navigation et donc l'entrée et la sortie du Golfe Persique pour les navires ! Dans ce cas bonjour la crise pétroliere !!!
  14. wielingen1991

    détection ASM

    c'est préférable par ce que les chasseurs de mines n'ont quasiment pas de protection. Mine : Engin explosif mouillé en vue d'endommager ou de couler des navires, ou d'interdire une zone au trafic maritime. Ce terme ne s'étend pas aux engins de sabotage fixés aux coques ou installations portuaires. Mine à antennes : Mine à contact équipée d'antennes Mine à contact : Mine qui explose au contact. Mine acoustique : Mine dont la mise de feu est actionnée par une influence acoustique. Mine à dépression : Mine dont la mise de feu est sensible à la dépression hydrodynamique provoquée par le passage d'un navire. Mine à influence : Mine qui fonctionne sous l'effet des modifications apportées par un navire soit à certaines conditions ambiantes, soit à des radiations émises par la mine elle-même. Mine à ligne flottante : Mine à contact dont l'une des cornes est reliée à une ligne flottante qui peut être accrochée par un bâtiment. Mine antidragueur : Mine sensible réglée pour exploser sous les navires de lutte contre les mines. Mine à orin : Mine de flottabilité positive maintenue sous la surface par un orin fixé à un crapaud reposant sur le fond. Mine bouquet : Ensemble de mines à orin fixées au même crapaud; quand un orin est coupé par une drague, une autre mine se détache du crapaud pour prendre la place de la précédente. Mine combinée : Mine conçue pour n'être influencée que par la réception simultanée ou successive de deux ou plusieurs influences. Mine de fond : Mine à flottabilité négative qui repose sur le fond. Mine dérivante : Mine flottante qui se déplace au gré du vent ou du courant. Mine ludion : Mine dont l'immersion est assurée par un système de contrôle hydrostatique qui la maintient à une profondeur prédéterminée. Mine magnétique : Mine dont la mise de feu est actionnée par une influence magnétique. Mine rampante : Mine flottante, maintenue sous la surface par un lest, qui se déplace librement dans le courant.
  15. wielingen1991

    détection ASM

    Procédure d'une opération de chasse aux mines avec un CMT (chasseur de mines tripartite) : 1 - Dans un premier temps le CMT cale sa référence "longitude/latitude" par le GPS afin de valider la table traçante du CO. 2 - Le sonar de coque est abaissé et les écrans de visu allumé. Les plongeurs se préparent. Le CO devient maitre du bâtiment, seul l'officier de quart passerelle peut interrompre la chasse pour des raisons de sécurité. Dans le CO on trouve généralement : 2 détecteurs sur leur console (identification, acquisition), 2 sous-off "détecteur" - Chef du CO - ils ont en charge la table traçante et la route du bâtiment, un plongeur démineur, le "Pacha" ou l'Officier en second. 3 - Le Chef du CO détermine le quadrillage, fait faire le contrôle de tout le matériel (y compris le propulseur d'étrave). Quand tout est validé la chasse commence. 4 - Le bâtiment avance à trés petite vitesse (entre 0 et 5 noeuds) en suivant un quadrillage. Les deux détecteurs scrutent toutes anomalies sur leur console. 5 - Un écho apparait sur une console, l'opérateur en informe le chef de CO (profonfeur, distance, ect...). Le chef de CO demande l'acquisition de la cible à l'opérateur. Elle s'affiche automatiquement sur la table traçante. Le Plongeur démineur demande à ses hommes de se préparer. La passerelle est informée. 6 - Deux possibilité s'offre au chef de CO : - soit il envoie une équipe de plongeur faire l'identification - soit il fait mettre à l'eau un PAP (Poisson Auto Propulsé) par mesure de sécurité. Ce PAP est filoguidé, les commandes étant sur un pupitre dans le CO. Le chasseur de mines tripartite belge M920 IRIS Mise à l'eau du PAP (Poisson Auto Propulsé)
  16. wielingen1991

    détection ASM

    Avec un sonar spécifique pour la chasse aux mines. Il existe 2 types de bâtiment pour luter contre les mines marines: - Le dragueur de mines : il tire une drague (à la manière d'un chalutier qui tire un filet de pêche) qui racle les fonds marins. - Le chasseur de mines : il utilise un sonar spécifique pour repérer les mines. (l'US Navy utilise des gros hélicos pour draguage de mines) En 1990/91, les irakiens avaient miné le litoral de l'Irak et du Koweit ce qui fait qu'aucune opération amphibie n'était possible, et il aura fallu plus d'un an aux chasseurs de mines de la coalition pour tout déminer.
  17. wielingen1991

    détection ASM

    oui si la cible ne bouge pas ! En principe la force du sous marin c'est sa disrétion, et si il se mettait à cavaler à toute vitesse aprés une escadre il deviendrait alors une proie façile pour le (ou les) sous-marin qui accompagne l'escadre !
  18. wielingen1991

    détection ASM

    Entièrement d'accord avec toi mais un sous-marin n'a pas besoin de tirer de si loin pour faire mal ! Je me souviens d'un gros exercice OTAN en Mer du nord/Baltique (entre 1985 et 1990) où nous étions plus d'une trentaine de navires (US, UK, DE, NL, CA, etc...) chassant en meute avec les hélicos, pour exercices, des sous-marins allemands et danois. Nous formions, par groupe d'une dizaine d'escorteurs (destroyers et frégates), des formations en cercle "avec un diamètre de plusieurs miles" de façon à mettre à l'abris au centre un navire ravitailleur, lorsque tout d'un coup un sous-marin soviétique :shock: (sorti de nulle part et que personne n'avait vu venir!) à fait surface en plein milieu de notre formation !!! Il est resté trés peu de temps en surface (juste le temps pour que tout le monde se pince un bon coup!) puis il a replongé et on ne l'a plus jamais revu ! Moralité: Ce jour-là, le sous-marin soviétique, qui s'est bien foutu de notre gueule, nous a bien montré que nos exercices anti-sous-marins bidons ne nous protégeraient pas et qu'il aurait pu, en cas d'attaque réelle, faire de gros dégats aux navires que nous étions censés protéger contre les des attaques sous-marines :rolleyes:
  19. wielingen1991

    détection ASM

    Merci pour le lien. Dans ton exemple bluewings, tu dits : "20 minutes plus tard , CdG et son escorte detectent les Torpilles" Mais que se passe-t-il aprés le tire des torpilles si le CdG et son escorte changent de cap et de vitesse !
  20. wielingen1991

    détection ASM

    bluewings as-tu des liens sur la Torpille Mk-40 ? Lancer des torpilles sur des cibles à 35 km c'est gonflé et j'aimerais bien en savoir plus !
  21. wielingen1991

    détection ASM

    Et coment l'Akula fait-il pour repérer le CdG qui est à 35km de lui ?
  22. wielingen1991

    détection ASM

    Salut, est-ce que tu pourrais expliquer comment ça fonctionne la "sanitisation d'une zone" et qu'est-ce que c'est qu'une "zone d'exclusion" ?
  23. 23/03/2006 Frégates multi-missions : Les premières images et le point sur le montage industriel Nous vous proposons, ce matin, de découvrir les premières images des frégates multi-missions (FREMM). Les vues précédemment diffusées étaient, en effet, héritées de design plus ancien. Le navire, aujourd’hui présenté, est une compromis entre l’architecture du bâtiment à mâture unique, mis en avant jusqu’à l’été, et la dernière version, adoptée à la hâte en septembre, au moment du salon de Londres. Après l’abandon d’une solution innovante, les infographistes avaient alors, faute de temps, repris un dessin relativement ancien, y ajoutant deux mâts. La FREMM "relookée" présente des lignes de fuite sur les côtés et une forme générale rappelant celle des La Fayette, notamment pour la proue et la poupe. D’un déplacement de 5500 tonnes en charge, pour une longueur de 137 mètres, ces bâtiments seront armés de missiles Aster 15, Scalp Naval (MDCN) et Exocet, d’une pièce de 76 mm et de torpilles légères MU 90 et d'un hélicoptère NH 90. Dans l’attente du montage industriel Réalisé en coopération avec l’Italie, le programme FREMM a été lancé le 16 novembre dernier... cliquez ici pour lire la suite
  24. Non biensur mais pour certaines missions une corvette aurait été plus adaptée qu'une grosse frégate !
  25. Non, ce sont des escorteurs uniquement avec priorité aux capacités asm et pour les M-frégates ce sera la même chose.
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