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wielingen1991

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Messages posté(e)s par wielingen1991

  1. si l europe ne peut meme pas servir la france d un point de vue du niveau de vie des francais et du chomage alors c est pas la peine.. ca serta rien d avoir de super socites bien cotées au CAC40 si les francais doivent regresser socialement

    Les socites bien cotées au CAC40 servent au bon niveau de vie des actionaires et peu importe leurs nationalités !

    TOTAL est de plus en plus plus riche chaque année mais je ne pense pas que les français paient leur essence de moins en moins cher chaque année !

  2. Je suis passe au chinois 8) :oops:

    j'ai beaucoup aime le carre du Wandelaar avec sa biere pression

    Il y avait aussi de chouette ravitaillement a la mer ou les futs de biere passait en guirlande du ravitailleur au ravitaille :lol:

    J'ai comme l'impression que la bière pression à bord des bâtiments belges a laissé beaucoup de souvenirs un peu partout dans le monde :oops:

    Ah oui les ravitaillements en futs de bière nétaient pas triste et puis bon comme on peu en embarquer 120 d'un coup Image IPB :D

    Ravitaillement en futs de bière d'une frégate de classe Wielingen.

    Image IPB

  3. Voici une photo prise à bord du M917 CROCUS prés du détroit d'Ormuz en 1988 où on voit le lanceur Milan tribord installé sur le pont signaleur.

    Image IPB

    C'est moi sur la photo et le lanceur Milan n'est pas armé.

    J'ai des doute pour ce qui est de l'efficacité d'un tel lanceur sur un bateau en mer mais bon ce qui était trés bien avec les lanceurs Milan à bord c'était leur viseur infrarouge, c'est incroyable mais je me souviens que la nuit on voyait comme en plein jour avec ça !

  4. Salut Shuggart, y a longtemps que tu es au 2 Cdo ? En 1988, sur le chasseur de mines M917 CROCUS, pendant le déminage du détroit d'Ormuz, on avait 2 gars du 2 Cdo à bord qui étaient là pour la défense anti-surface avec "2 lanceurs MILAN" installés sur le pont signaleur ! Et y avait aussi 2 mariners hollandais à bord, eux étaient là pour la défense anti-aérienne avec lanceur stinger portable !

  5. Voilà la mission des 2 futurs patrouilleurs :

    La surveillance maritime adopte une nouvelle structure.

    De concert, pour éviter la galère

    Une surveillance côtière efficace se révèle indispensable pour guider, protéger et contrôler au quotidien la navigation dans les eaux territoriales belges. C'est d'autant plus vrai que dans cette zone au trafic maritime intense, pas moins de 23 instances officielles se partagent les compétences et que les prescriptions y sont de plus en plus nombreuses et variées. C'est notamment grâce à la composante marine, qui a pris l'initiative dans la réalisation d'une action coordonnée et structurée, que la surveillance côtière a été restructurée depuis l'été 2003.

    Les eaux territoriales belges de la Mer du Nord sont avant tout cruciales pour la marine marchande. L'essentiel du trafic maritime vers les installations portuaires d'Anvers et de Rotterdam transite par nos eaux territoriales. Elles sont également parcourues par des chalutiers, ferry-boats, voiliers et yachts. On y exerce aussi de nombreuses activités, par exemple la recherche scientifique, les exercices militaires et l'exploitation du sable et du gravier. Enfin, il faut tenir compte de maints facteurs restrictifs : les zones maritimes protégées, les parcs d'éoliennes sur bancs de sable et le réseau de câbles et de conduites sous-marins.

    Pour assurer le respect des règles et législations existantes dans plusieurs domaines, une surveillance côtière efficace et bien outillée s'avère indispensable. C'est à cet effet qu'ont été votées les lois du 20 janvier 1999 sur la protection du milieu maritime et du 22 avril 1999 sur la zone économique exclusive de la Mer du Nord. Une conséquence importante a été d'étendre la zone de responsabilité belge en mer jusqu'à 3450 km2, soit la taille d'une province belge moyenne. Le conseil des ministres de juin 1999 décida d'ailleurs de créer un groupe de travail de surveillance côtière, ayant comme principal objectif d'optimiser la coordination de tous les départements impliqués.

    Des tâches multiples

    M. Ben Wouters, responsable de la surveillance côtière dans la composante marine, est impliqué depuis le début du projet. "Les 23 administrations publiques concernées étaient représentées dans le groupe de travail. Notre mission a d'abord consisté à dresser un inventaire de tous les moyens existants, de toutes les réglementations en vigueur et des besoins en moyens neufs. Nous avons ensuite coordonné les divers systèmes de surveillance et rédigé un scénario dressant la liste de toutes les tâches d'une surveillance côtière commune. Cela comprend concrètement le search and rescue (SAR), les interventions en cas de catastrophe en mer, le trafic maritime (qui implique par exemple le dragage des chenaux, l'évacuation des épaves et des munitions de guerre, le contrôle radar, le balisage), le contrôle des navires, équipages et infrastructures, la protection du trafic et des ports, la sécurisation des infrastructures en mer et sur terre, les tâches de police, la protection et la gestion du milieu marin, la recherche scientifique et hydrographique, les relations publiques et la prévention et la répression relative aux lois et prescriptions en matière de douane, de fiscalité, d'immigration et de santé publique. Enfin, nous avons également rédigé un dossier technique pour un nouveau patrouilleur. L'inventaire a montré que les moyens existants étaient pauvres et dépassés. Nous avions donc besoin d'un vaisseau d'intervention performant."

    Quatre piliers

    Les efforts du groupe de travail ont débouché sur l'arrêté royal du 13 mai 2003 qui définit la nouvelle structure du contrôle maritime. "Elle s'articule autour de quatre organes : un organe politique, le Maritime Rescue Coordination Center (MRCC), un secrétariat permanent et une plate-forme de concertation", reprend Ben Wouters. "Le service public fédéral de l'Intérieur préside l'organe politique, dans lequel siègent le gouverneur de la province de Flandre occidentale, le président des services fédéraux des Affaires scientifiques, techniques et culturelles, des représentants de la Région Flamande, des services publics fédéraux de l'Intérieur, de la Mobilité et du Transport, de la Santé Publique, des Finances, de l’économie et de la Défense.

    Le MRCC pourrait être comparé à la centrale d'urgence 100 mais pour la Mer du Nord. Accessible 24 heures sur 24, il centralise tous les appels d'urgence et tous les messages d'incidents des zones littorales belges. En cas de problème, il alerte aussi tous les départements concernés. Le secrétariat permanent emploie trois collaborateurs : un de la police maritime, un du département de l'environnement et un officier de réserve de la marine. La plate-forme de concertation, enfin, réunit des responsables des départements compétents, actifs sur le terrain. L'organe politique fait appel à cette plate-forme pour obtenir des conseils, pour préparer les dispositions réglementaires et définir les procédures. Cette plate-forme peut également soumettre des propositions et des conseils de sa propre initiative."

    Rien ne l'arrête

    La composante marine peut se considérer comme l'une des initiatrices de la nouvelle mouture de la surveillance côtière. En soi, avoir trouvé un consensus entre 23 instances différentes représente déjà un bel acquis. Il s'agit maintenant de retrousser ses manches pour relever de nombreux défis dans un avenir proche. Un accord de collaboration entre les ministères fédéraux et flamands s'impose d'urgence, parce que ces instances publiques de niveaux différents sont souvent en interférence. Les réglementations européennes doivent être traduites en directives nationales. Un plan opérationnel pour une action commune en cas de pollution maritime est également indispensable, de même qu'un code pour la sécurité des navires et des ports. La liste est encore longue… La nouvelle surveillance maritime a encore du pain sur la planche.

    "Lorsque seront livrés les nouveaux patrouilleurs, la composante marine proposera volontiers ses services pour en assurer la gestion", conclut Ben Wouters. "Elle dispose en effet de tout le support logistique nécessaire, le savoir-faire et les moyens de formation. Une surveillance côtière bien équipée améliorerait sensiblement ses possibilités d'intervention."

    Par Kris Van Doorsselaere et Didier Lemaire (VOX octobre 2004)

  6. petite erreur de m'a part elle sera la demain. Au fait c'est le general Auguste Van Dail qui est arrivé cette aprés midi à Alger.

    Oui et ensuite il est même prévu que le Westdiep fasse escale à Tripoli en Libye !

    Les escales du Westdiep en Méditerranée et au Proche Orient.

    Partie intrinsèque de la politique de la Défense, la diplomatie de défense met en oeuvre des moyens et de capacités militaires afin de réaliser certains objectifs de nature politique dans un souci de coopération, de renforcement de la confiance et de transparence. Plus concrètement, les programmes de partenariat militaire (Afrique), la participation à des activités destinées à renforcer la sécurité et la confiance (OSCE), l’envoi d’observateurs (ONU) et les activités diverses de représentation sont autant de missions qui appartiennent traditionnellement au champ de la diplomatie de défense.

    C’est dans ce cadre général que s’inscrit résolument la future mission de la frégate Westdiep qui s’apprête à faire escale dans de nombreux pays de la Méditerranée. La présence de notre frégate constituera certainement une opportunité de réaffirmer notre intérêt pour cette région du monde.

    Que cela soit à Casablanca au Maroc, à Alger ou à Tunis, l’escale de notre frégate sera un signe renouvelé de l’intérêt continu que la Défense porte à ces trois pays du Maghreb. Des relations bilatérales militaires sont menées depuis longtemps avec ces trois pays, elles reposent principalement sur la formation et l’entraînement.

    Geste d’ouverture, l’escale de Tripoli en Libye sera une occasion de démontrer notre volonté de transparence vis-à-vis d’un pays qui entend reprendre pleinement sa place dans l’espace méditerranéen. A Alexandrie en Egypte, la présence du Westdiep sera un signe de reconnaissance de l’importance de ce pays et de son rôle central au Proche Orient.

    De la même manière, l’escale d’Haïfa devrait à nouveau souligner l’intérêt que la Belgique entend porter à Israël et à son avenir, dans une perspective de paix et de sécurité.

    Enfin à Aqaba, dans le golfe du même nom, le Westdiep renouvellera la volonté belge d’entretenir des relations cordiales avec le Royaume de Jordanie, un autre acteur majeur pour la stabilité de la région.

    Il faut aussi noter que, au-delà de la stricte représentation qu’offrent les escales, la navigation dans les eaux territoriales des pays visités est aussi une opportunité d’entraînement en commun avec les marines de ces pays. A l’exception de la Libye, ils sont tous membres du Dialogue méditerranéen mené par l’OTAN.

  7. merci ... j'adore... le lancement d'UN nato seasparrow... pauvre de nous...

    Bah oui et il aussi prévu qu'il tire un exocet dans les Caraïbes !

    Le 23 février 06 le F911 Westdiep repartira en mer pour une période de quatre mois. Cette mission est divisée en trois phases:

    * une première phase de représentation diplomatique, combinée avec le lancement d’un NATO Seasparrow. Pendant 'Defence Diplomacy Deployment' (23 fév-20 mar/15 avr-9 mai) le Westdiep représentera la Marine belge pendant une mission de représentation le long des côtes nord-africaines et différents exercices avec des marines nord-africaines seront planifiés.

    * une deuxième phase de lutte contre le terrorisme et contre la piraterie aux environs des côtes africaines orientales. Pendant cette 'Counter Piracy opération' (21 mar-15 avr), la mission sera la lutte contre le terrorisme et la piraterie en Mer Rouge et d’arabie. Le BNS Westdiep fera partie d’un groupe de navires militaires Task Force TF150 appartenant aux différents pays de la coalition, dans le cadre de l’opération 'Enduring Freedom'. Pour l’instant le Commandement du Task Force CTF150 est exécuté par la frégate Néerlandaise HNLMS De Zeven Provinciën.

    * une troisième phase d’exercices avec la marine néerlandaise dans les Caraïbes durant laquelle le WESTDIEP lancera des missiles de type MM-38 EXOCET. L'exercice 'Joint Caribbean Lion 2006' (NLMARFOR) se déroulera entre le 10 mai et fin juin.

    Après l’exercice aux Caraïbes le navire rejoindra la base navale de Zeebrugge le 04 juillet 2006.

  8. pour y faire quoi?

    il fait escale

    F911 Westdiep dans Belgian Dragon Deployment 2006.

    Le 23 février 06 le F911 Westdiep repartira en mer pour une période de quatre mois. Cette mission est divisée en trois phases: une première phase de représentation diplomatique, combinée avec le lancement d'un NATO Seasparrow, une deuxième phase de lutte contre le terrorisme et contre la piraterie aux environs des côtes africaines orientales et une troisième phase d'exercices avec la marine néerlandaise dans les Caraïbes. Après l'exercice aux Caraïbes le navire rejoindra la base navale de Zeebrugge le 04 juillet 2006.

  9. mais les deux patrouilleurs tel qu'ils soient serviront à quoi? (celui qui me sort à patrouiller, je le dégomme :lol:) les fleuves de la Belgique, hum hum... à moins de remplacer les M frégates dans leur rôle de police maritime

    Oui c'est ça un rôle de police maritime et les 2 patrouilleurs seront les "Ready Duty Ship" avec pour tâches principales :

    - Search and Rescue

    - Plate-forme pour le "Plan de catastrophe Mer du Nord"

    - Contrôle et verbalisation de la garde de pêche

    - Lutte anti pollution en mer

    - Destruction d'explosifs en mer

    - etc...

  10. t'es sûr de ce que tu dis là?

    Ah c'est le grand boss de la marine belge qui l'a dit dans son discours du 09 Janvier 2006 !

    On ne sait pas encore quel type de patrouilleur mais il serait question de 2 nouveaux patrouilleurs rapides !?

    Le commandant de la Composante Marine donne sa vision et ses objectifs

    Le 09 Jan 06, l'Amiral de flotille Jean-Paul Robyns a expliqué sa vision et ses objectifs qu'il résume en une expression 'aller au travail avec le sourire'. Ceci peut paraître simpliste mais il s'agit pour chacun de connaître non seulement sa fonction et ce que l'on attend de lui mais aussi les valeurs et l'avenir de la composante Marine. Il a abordé trois sujets principaux: les moyens, l'organisation et bien sûr le personnel.

    En ce qui concerne les moyens, le contrat d'achat de deux M-frégates néerlandaises a été signé le 22 Déc 05, le jour de l'investiture de notre nouveau COM. Le premier navire, le Karel Doorman, sera livré en mars 2007 et le second, le Willem Van der zaan, au début de 2008. Il s'agit certes d'un pas supplémentaire dans le cadre de notre coopération avec la Marine des Pays-Bas mais la formation des équipages, le programme du F911 Westdiep et la préparation de la vente de nos frégates actuelles représenteront un effort considé-rable qui ne devra être fait avec la collaboration du personnel et non au détriment du personnel.

    Nos autres capacités ne sont pas en reste. En ce qui concerne la lutte contre les mines, le programme de CUP (Capability Upkeep Programme) des CMT se poursuit comme prévu, le A960 Godetia adapté naviguera à nouveau cet été et se préparera pour être NRF (Nato Reaction Force) en 2007 alors que le nouveau système REMUS permettra d'intervenir dans les eaux peu profondes (moins de dix mètres). D'autre part, une partie des dix hélicoptères de type NH90 qui seront livrés à la Défense seront navalisés non pas afin de remplacer les Alouettes III mais pour effectuer les missions de Search and Rescue et être embarqués à bord des M-frégates. Enfin, les RDS (Ready Duty Ships) deviennent la première priorité de remplacement avec comme objectif, l'acquisition de deux patrouilleurs et d'un remorquer de haute mer.

  11. que la marine neerlandaise dispose du plus gros budget, ça n'a pas empêché les autres composantes d'avoir du bon matos AH 64, leo 2A et autres broutilles...

    Biensur mais n'empêche que pour un pays de cette taille, les hollandais ont une marine énorme, moderne et compétante.

    pour les deux sous-marins nucléaires :lol: ça parcontre je dirais que c'est pas un bon achat... on devrait former de nouveaux équipages et tout, perte de temps, d'argent, etc...

    la belgique n'aura biensur jamais de sous-marins nucléaires mais par contre l'acquisition, en plus des 2 M-frégates hollandaises, de deux patrouilleurs et d'un remorqueur de haute mer est prévue.

    la marine Belge et la marine Neerlandaise ont fusioné depuis peu non? je sais qu'elle garde une certaine autonomie mais à quel niveau cette fusion?

    Non ce n'est pas une fusion mais une coopération au niveau des opérations en mer, de la formation et l'entraînement du personnel naviguant, de la logistique.
  12. mince alors... désolé ... mais attends voir dans le contrat d'achats des deux frégates, y avait pas prévu des modifications avant réception?

    Si c'est en principe prévu mais bon attendons de voir ça !

    La Defense rachète deux frégates néerlandaises.

    La Belgique et les Pays-Bas ont signé le jeudi 22 décembre à Bruxelles le contrat d'achat de deux frégates polyvalentes de type M. Le contrat a été signé par le ministre de la Défense, André Flahaut, et le secrétaire d'Etat néerlandais à la Défense, Cees van der Knaap. Il s'agit des ‘M-fregatten' F-827 ‘Karel Doorman' et F-829 ‘Willem van der Zaan', qui recevront de nouveaux noms - encore inconnus à ce jour - lorsqu'elles rejoindront la Marine belge, en principe en mars 2007 et en mars 2008.

    André Flahaut: "L'acquisition de ces deux frégates d'occasion va nous permettre d'élargir et de renforcer notre capacité d'escorte et ainsi de répondre à tous les rôles stratégiques, que ce soit dans un contexte OTAN ou européen. Ce sont des frégates multifonctionnelles pouvant exécuter des tâches très diverses comme la lutte contre le terrorisme, les tâches de maintien de l'ordre, l'exécution d'opérations de crise et d'évacuation vu qu'elles ont la capacité d'embarquer un hélicoptère."

    Appartenant aussi au contrat sont un lot de pièces de rechange et de munitions, la documentation technique, l'entretien planifié de l'un des deux navires et la modification du pont d'envol (‘deck') pour pouvoir embarquer des hélicoptères plus lourds que les ‘Alouette III' vieillissantes de la Marine - comme les NH90 dont le gouvernement a autorisé l'achat de dix exemplaires le 9 décembre.

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