wielingen1991
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Marine allemande
dans Europe
il y a 3 minutes, Hirondelle a dit :On repart dans nos équations douteuses : 42 ram+ 32 essm+ 24 sm2 ((98)valent-ils 16 Aster15 ?)
Pour l'instant, les seuls à avoir détruit des missiles anti-avires de croisière et balistiques, ce sont les DDG us et avec du SM2, les autres navires HMS Diamond, Hessen et les 2 FREMM n'ont abattu que des drones.
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Marine allemande
dans Europe
il y a 26 minutes, Hirondelle a dit :Je ne suis pas sûr que Louise-Marie soit déjà sur place ?
La Louise-Marie ne participera pas à l'opération Aspides, elle appareillera le 27 mars mais pour aller participer à l’opération EMASoH-AGENOR, en cours dans le détroit d’Ormuz. Ce déploiement était prévu de longue date.
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RAM du CMT Andromède par le ravitailleur allemand Donau : https://twitter.com/NATO_MARCOM/status/1762386864462303306
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il y a 9 minutes, clem200 a dit :
Normalement vous avez du SM-2 MR Block III et de l'ESSM à bord, dans 32 cellules Mk41
Pour moi tout cela se produit encore ...
Oui, mais leur stock est probablement trop faible !?
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Le « Hessen » seulement partiellement opérationnel en mer Rouge ?
Le déploiement par l’UE de la frégate « Hessen » en mer Rouge montre que la marine allemande devait être « prête à la guerre » plus rapidement que beaucoup ne l’avaient imaginé. Mais vouloir n’est pas la même chose que pouvoir. Dans quelle mesure la Marine est-elle résiliente ?
En cas d'urgence, les équipages du navire n'ont pas beaucoup de temps pour réfléchir : « Dans le pire des cas, ils n'ont que quelques secondes, 10 à 20 secondes. Dans le meilleur des cas, ils ont peut-être un peu plus, peut-être une minute ou peut-être même plus", a déclaré l'amiral Axel Schulz, commandant de la flottille opérationnelle 2 de la marine à Wilhelmshaven, à laquelle appartient également le "Hessen". Il a néanmoins souligné à plusieurs reprises auprès de NDR combien il avait confiance dans la capacité et la détermination de ses hommes et de ses femmes.
Mais qu’en est-il de l’équipement du « Hessen », qui a dû tirer pour la première fois à balles réelles mardi ? L'inspecteur maritime Jan Christian Kaack a trouvé des mots clairs lors d'une réunion en janvier : « Malheureusement, nous n'en sommes pas encore là où nous devons être dans le domaine de l'approvisionnement en munitions. Je le fais uniquement sur la base de la consommation actuelle de munitions de nos partenaires dans l'opération "Prosperity Guardian" "Je suis très préoccupé par l'endurance de nos unités - et lorsqu'il s'agit d'activités en mer Rouge, nous ne parlons pas encore de défense nationale ou de défense d'alliance."
Les munitions sont une denrée rare pour les navires allemands
L'opération "Prosperity Guardian" est le nom de la mission menée par les États-Unis en mer Rouge, la mission de l'UE dans la même zone s'appelle l'opération "Aspides". D'autres officiers de la marine rapportent plus précisément ce que Kaack entendait par « grandes préoccupations concernant l'endurance » : la frégate « Hessen » a navigué dans la mer Rouge entièrement équipée avec, entre autres, trois types de fusées différentes à son bord. Mais une fois épuisés, il n’y aura plus que des approvisionnements minimes pour un type et aucun ravitaillement en provenance des dépôts allemands pour les deux autres.
L'amiral Schulz l'a également admis : « Nous ne pouvons pas rester là indéfiniment et équiper les navires encore et encore. Nous disposons d'un nombre limité de missiles, nous pouvons donc actuellement mener des opérations, mais à un moment donné, nous manquerons de munitions de haute qualité. "Si à un moment donné nous manquons de munitions, une fois que nous avons tout utilisé, alors la mission sera de toute façon terminée pour nous. Il n'y a pas d'autre moyen. Nous ne pouvons pas envoyer de navires n'importe où sans munition."
La sécurité des soldats à bord n’est pas menacée, mais lorsqu’il s’agit de dissuader la Russie, le manque de munitions envoie un signal de faiblesse. Plusieurs analystes estiment que Moscou pourrait étendre ses plans d’invasion pour inclure des membres de l’OTAN comme les pays baltes d’ici cinq à six ans. Et la marine allemande y serait mise à rude épreuve encore plus intensément qu’elle ne l’est actuellement en mer Rouge.
La pénurie de personnel, un cercle vicieux
Mais pour l'inspecteur maritime Kaack, la grave pénurie de personnel est une priorité encore plus importante que celle des munitions : la situation est « en partie désastreuse ». L'amiral Schulz cite comme exemple le service opérationnel de sa flottille, c'est-à-dire les soldats qui actionnent des radars, des armes et d'autres capteurs : « Le nombre de personnel et d'équipage n'est parfois que de 50 pour cent. À cet égard, il s'ensuit inévitablement que nous ne pouvons finalement pas avoir tous les navires et ne pas pouvoir les envoyer tous en action en même temps. »
Un cercle vicieux : faute de personnel, ceux qui sont là sont de plus en plus souvent envoyés en mission, ce qui rend le travail de moins en moins attractif. 230 jours en mer et plus ne sont pas rares. Pour disposer de suffisamment de personnel, la Marine devrait faire appel à tous les groupes de population. Mais une nouvelle étude de la Bundeswehr montre que le nombre de jeunes femmes, par exemple, que les troupes trouvent attirantes, a diminué de moitié au cours des cinq dernières années, pour atteindre seulement 36 pour cent. Les raisons en sont, comme les soldats le rapportent à maintes reprises, le manque de respect et le manque de volonté de rendre suffisamment compatibles la famille et le service. Mais la pression sur les dirigeants militaires et politiques pourrait bientôt devenir si forte qu’ils procéderont finalement aux changements nécessaires.
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pour résumer :
La frégate allemande Hessen a intercepté des drones Houthis avec son système de missile antiaérien RAM et son canon principal de 76 mm.
Cependant, avant cet incident, le Hessen a tenté, par erreur, d'intercepter un drone MQ-9 américain en utilisant deux missiles SM-2, qui ont tous deux échoué pour des "raisons techniques".
C'était la première mission de combat pour la marine allemande depuis la seconde guerre mondiale...
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il y a 12 minutes, Teenytoon a dit :
C'est quoi l'histoire ? Ils ont un stock de munitions et quand ce stock sera épuisé il faudra qu'ils changent d'armement ?
L'article ne dit pas quelles munitions sont concernées, les missiles SM-2 ???
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La frégate Hessen en mer Rouge a un problème de munitions
Le navire de guerre allemand est en action dans le Rouge depuis quelques jours. L'expert de la CSU de la Bundeswehr, Florian Hahn, a appris qu'une partie des munitions ne pouvait plus être achetée.
La frégate allemande « Hessen », qui sert à protéger les navires marchands en mer Rouge, pourrait être confrontée à un problème de munitions. "Nous venons tout juste d'apprendre, sur demande, qu'une partie des munitions de la frégate Hessen ne peut plus être achetée car il n'y a plus de capacité industrielle correspondante", a déclaré mercredi le porte-parole du groupe parlementaire de l'Union au Bundestag pour la politique de défense. Florian Hahn (CSU).
"Ainsi, lorsque les stocks sont épuisés, la Marine ne peut plus les réapprovisionner et doit retirer la frégate", a ajouté Hahn. L'expert de la défense accuse la coalition au pouvoir d'avoir caché cette question à l'opposition pendant des mois. "Le Parlement a décidé le déploiement sans savoir qu'il y avait manifestement un problème de munitions avec la frégate de classe 124", a expliqué Hahn.
Le « Hessen » a repoussé pour la première fois une attaque de la milice yéménite Houthi mardi soir vers 21h30. Comme l’ont confirmé mercredi des sources bien informées à l’agence de presse AFP, il y a eu une attaque des Houthis qui a été « combattue avec succès ».
La Bundeswehr est impliquée avec 700 soldatsLe « Hessen » a été envoyé dans la région avec 240 soldats à son bord dans le cadre de la mission navale européenne « Aspides » visant à protéger la marine marchande. Depuis plusieurs mois, la milice houthie pro-iranienne, qui contrôle de nombreuses régions du nord du Yémen déchiré par la guerre civile, attaque des navires dans la mer Rouge, une importante route commerciale internationale. Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont réagi en attaquant les positions des Houthis au Yémen et veulent empêcher de nouvelles attaques contre des cargos.
Selon la Bundeswehr, la frégate est arrivée dans la zone opérationnelle ce week-end. Le Bundestag a approuvé vendredi le mandat de participation de la Bundeswehr à la mission de l'UE. Selon le mandat, la Bundeswehr peut participer à la mission avec jusqu'à 700 soldats.
La « Hessen » est l’une des trois frégates de la classe Sachsen, particulièrement adaptées à la défense anti-aérienne. Selon l'inspecteur de la marine Jan Christian Kaack, la frégate se prépare à des attaques avec des missiles, des drones et des « bateaux kamikaze » télécommandés.
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Une frégate allemande tire sans le savoir sur un drone allié
En mer Rouge, la frégate Hessen a tiré par erreur sur un drone allié. La Bundeswehr n’a pas précisé à quel pays ce drone appartenait.
La frégate Hessen a tiré sans le savoir sur un drone appartenant à un pays allié lors de son opération en mer Rouge. Un porte-parole du ministère de la Défense a rapporté mercredi que le navire de guerre allemand avait déjà repéré lundi dans la zone opérationnelle un drone qui ne pouvait initialement être affecté à aucun des pays alliés.
Le Hessen a alors tenté d’abattre ce drone, mais sans succès. "L'affaire a été résolue dans la mesure où il ne s'agissait pas d'un drone hostile, ce qui n'est devenu clair qu'après coup."
Le porte-parole n'a pas précisé à quel pays ce drone appartenait. Cependant, il a expressément souligné qu'avant de tirer, le Hessen avait demandé à tous les pays alliés, mais aucun pays n'avait signalé son propre drone dans la zone d'opération. Ce n’est que plus tard qu’il s’est avéré qu’il s’agissait d’un drone non signalé. Il est bien connu qu’il existe dans la région des drones de combat américains qui n’ont rien à voir avec les opérations en mer Rouge.
Peu de temps auparavant, on avait appris que la frégate Hessen, utilisée pour protéger les navires marchands, avait repoussé pour la première fois mardi soir une attaque de la milice houthie opérant depuis le Yémen et abattu deux drones. La milice alliée à l'Iran veut utiliser les attaques contre des navires marchands en mer Rouge pour forcer la fin de l'opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, qui constitue une réponse à l'attaque terroriste du Hamas islamiste du 7 octobre. Le Hessen participe depuis vendredi à la mission de l'UE visant à protéger les navires marchands en mer Rouge.
Source : Frankfurter Allgemeine Zeitung
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il y a 28 minutes, Clairon a dit :
Mouais, mais le jour d'avant ils ont essayé par deux fois d'abattre un drone inconnu, qui était à 1e vue un Reaper US ....
Oui, voici un autre article là-dessus :
Mer Rouge : la frégate allemande "Hessen" ouvre le feu sur un drone allié
C'est ce qu'a rapporté le journal "Frankfurter Allgemeine Zeitung", selon lequel la frégate avait déjà abattu deux drones houthis.
La frégate allemande « Hessen », déployée en mer Rouge dans le cadre de l'opération européenne Eunavfor Aspides, a ouvert le feu sur un drone d'un pays allié de l'Allemagne. C'est ce que rapporte le journal "Frankfurter Allgemeine Zeitung". Le "Hessen" a tiré sur le drone, sans parvenir à l'abattre. Selon le ministère allemand de la Défense, « l’affaire a été résolue car il ne s’agissait pas d’un drone hostile, comme cela est devenu clair plus tard ».
Le ministère n'a pas révélé à quel pays allié appartenait l'avion télépiloté. Cependant, avant de tirer, le « Hessen » avaient demandé à tous les alliés s'ils disposaient de drones dans la zone d'opérations. Ce n’est que plus tard qu’on a découvert qu’il s’agissait d’un drone non signalé. Auparavant, la frégate avait abattu deux avions télépilotés des Houthis, les miliciens chiites du Yémen, à partir desquels elle avait été attaquée.
https://www.agenzianova.com/en/news/red-sea-the-german-frigate-hessen-opens-fire-on-an-allied-drone/
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CVN-69 quelque part en mer rouge :
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Une frégate allemande a repoussé pour la première fois une attaque des Houthis en mer Rouge
La frégate allemande « Hessen », déployée en mer Rouge pour protéger les navires marchands, a repoussé la première attaque de la milice Houthi opérant depuis le Yémen. Selon les informations de l'agence de presse allemande, le navire participant à la mission militaire européenne "Aspides" a combattu avec succès mardi deux cibles aériennes ennemies. Il s'agissait de la première utilisation d'armes réelles par la marine allemande dans ce qui est considéré comme la mission navale la plus dangereuse de l'histoire de la Bundeswehr....
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Le 27 février, entre 21h50. Vers 22 h 55 (heure de Sanaa), des avions américains et un navire de guerre de la coalition ont abattu cinq véhicules aériens sans pilote (UAV) d'attaque unidirectionnelle Houthi soutenus par l'Iran dans la mer Rouge.
Les forces du CENTCOM ont identifié ces drones provenant des zones du Yémen contrôlées par les Houthis et ont déterminé qu'ils représentaient une menace imminente pour les navires marchands ainsi que pour la marine américaine et les navires de la coalition dans la région. Ces actions protégeront la liberté de navigation et rendront les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour la marine américaine et les navires marchands.
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Le 26 février, entre 16 h 45 et 17 h 45. et 23h45 (heure de Sanaa), les forces du Commandement central américain (CENTCOM) ont détruit trois navires de surface sans pilote (USV), deux missiles de croisière antinavires mobiles (ASCM) et un véhicule aérien sans pilote (UAV) à attaque unidirectionnelle en légitime défense. Les armes USV et ASCM étaient prêtes à être lancées vers la mer Rouge, et le drone était au-dessus.
Les forces du CENTCOM ont identifié les USV et les missiles dans les zones du Yémen contrôlées par les Houthis, ainsi que les drones au-dessus de la mer Rouge, et ont déterminé qu'ils représentaient une menace imminente pour les navires marchands et les navires de la marine américaine dans la région. Ces mesures visent à protéger la liberté de navigation et à rendre les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour la marine américaine et les navires marchands.
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La frégate grecque Hydra (F-452) a quitté la base navale de Salamine pour rejoindre l'opération défensive EUNAVFOR ASPIDES visant à sauvegarder la liberté de navigation en raison de la crise en mer rouge.
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Marine allemande
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Les frégates allemandes F126 recevront le système SATCOM Thales SurfSAT-L Le système SurfSAT-L est destiné à garantir une connectivité longue portée en haute mer, essentielle pour les navires militaires tels que les frégates F126...
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Des photos récentes du Rubymar, qui tient bon !
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Le SCAT ou Small Craft Action Team qui se prépare pour des opérations de nuit à bord de l'USS Mason dans la mer Rouge.
Marine américaine dans le futur.
dans Amérique
Posté(e)
Thales achève la livraison du premier système sonar Captas-4 à l'US Navy
Selon un PR publié par Thales le 29 février 2024, l'entreprise, à travers sa filiale Advanced Acoustic Concepts (AAC), a finalisé la livraison du premier système sonar CAPTAS-4 à la marine américaine, dans le cadre des améliorations technologiques pour les frégates de classe Constellation.
Le sonar à profondeur variable (VDS) CAPTAS-4 a atteint toutes les étapes requises avant la date prévue. Le système est désormais aux États-Unis, prêt à être installé sur la première frégate de classe Constellation, FFG-62. Sa livraison anticipée reflète le respect des délais du projet par Thales et son rôle dans la fourniture de technologies navales de défense.
Le système CAPTAS-4 est reconnu pour son efficacité dans la détection et le suivi des sous-marins lors des exercices de la coalition, conçus pour aider les nouvelles frégates américaines à identifier, localiser, classer et suivre les sous-marins furtifs. La livraison dans les délais du premier émetteur sonar à profondeur variable CAPTAS-4 s'aligne sur les objectifs de la marine américaine en matière de modernisation de sa flotte.
La livraison a été achevée le 12 octobre 2023. Le contrat comprend la possibilité d'acquérir jusqu'à huit émetteurs CAPTAS-4 supplémentaires, AAC prévoyant d'achever une nouvelle installation de production en avril sur son site près d'Uniontown, en Pennsylvanie, pour les futurs systèmes.
Le CAPTAS-4, qui fait partie de la famille de sonars CAPTAS, est réputé pour son efficacité opérationnelle, ayant été largement testé par les marines française, britannique et italienne, entre autres.
Ces dernières années, les frégates françaises équipées du système CAPTAS-4 ont été récompensées pour leurs capacités de guerre anti-sous-marine, recevant notamment le Hook'Em Award pour leurs performances exceptionnelles lors d'exercices de coalition.