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wielingen1991

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  1. Citation

    Les menaces des Houthis persistent en mer Rouge et dans le golfe d'Aden, selon le commandant de l'opération Aspides de l'UE

    Les menaces des Houthis du Yémen contre les navires marchands dans la mer Rouge et le golfe d'Aden restent persistantes, a déclaré à Al Arabiya English le commandant supervisant l'opération Aspides de l'UE, soulignant que la mission continue d'être de nature défensive pour protéger les routes maritimes vitales.

    "La zone a connu de multiples attaques au cours des derniers mois, allant de drones à sens unique, à des tentatives de saturation, en passant par des attaques complexes incluant des ressources terrestres, aériennes et maritimes, des drones et des missiles balistiques", a déclaré le contre-amiral Vasileios Gryparis dans un entretien exclusif. .

    "Depuis le lancement de l'opération Aspides le 19 février 2024 jusqu'à aujourd'hui, le niveau de menace reste le même", a-t-il déclaré.

    L’opération Aspides de la force navale de l’UE (EUNAVFOR) est une mission défensive de sécurité maritime qui a été lancée plus tôt cette année en réponse aux attaques de drones et de missiles menées par les Houthis soutenus par l’Iran contre des navires commerciaux, marchands et militaires dans la mer Rouge depuis novembre dernier.

    Les Houthis ont déclaré que leur campagne était en solidarité avec les Palestiniens suite au bombardement israélien de Gaza en représailles à l'attaque du Hamas du 7 octobre.

    Dissuader les menaces Houthis

    Aspides a engagé et dissuadé plusieurs attaques des Houthis depuis son déploiement dans cette zone volatile, a déclaré Gryparis.

    Avec un mandat d'un an, le quartier général de la mission est basé en Grèce et compte 19 pays de l'UE qui y contribuent avec quatre frégates navales déployées et plus de 800 personnes en mer.

    "Au cours des presque huit semaines de l'opération, Aspides a assuré la protection rapprochée de 79 navires marchands, contribuant ainsi à restaurer la confiance de l'industrie maritime pour revenir sur les routes commerciales de la mer Rouge et du canal de Suez", a déclaré Gryparis.

    Le commandant de l'opération a également révélé que la force opérationnelle avait abattu au moins neuf véhicules aériens sans pilote (UAV) et détruit un navire de surface sans pilote (USV), ainsi que 4 missiles balistiques antinavires.

    Des missiles balistiques antinavires ont été utilisés par les Houthis pour la première fois dans l'histoire moderne, selon des responsables américains.

    Gryparis a expliqué que la mission a pu protéger 100 pour cent de toutes les demandes adressées par les compagnies maritimes au Centre de sécurité maritime, qui fait office de centre d'échange.

    L'opération donne la priorité au transport maritime qui est dans l'intérêt de l'UE et de ses États membres.

    Gryparis a noté que cela peut signifier des navires battant le pavillon d'un État membre de l'UE, des équipages de leur nationalité ou dirigés vers un État membre de l'UE, qui peuvent également avoir un pavillon différent.

    "S'il s'avère nécessaire de faire des choix, le commandant de la Force est chargé de décider comment organiser la protection des navires marchands et d'établir les priorités en fonction de la situation dans la zone à ce moment-là et de l'emplacement de nos moyens", a-t-il déclaré.

    Militarisation de la mer Rouge ?

    Les attaques des Houthis ont perturbé le transport maritime mondial via le canal de Suez, obligeant les entreprises à se réorienter vers des trajets plus longs et plus coûteux autour de la pointe sud du continent africain.

    Le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell, a déclaré lors d'une conférence de presse conjointe avec Gryparis, au début du mois, que la réorientation du trafic maritime autour du Cap de Bonne-Espérance avait prolongé le voyage tout en augmentant les dépenses et les coûts d'assurance du transport.

    "Cela représente 10 à 14 jours de voyage supplémentaires [par voyage]", a déclaré Borrell.

    Le porte-parole de l'UE, Peter Stano, a déclaré à Al Arabiya English que l'UE n'avait pas l'intention de militariser la mer Rouge et qu'Aspides était la réponse de l'UE à la détérioration de la situation dans la mer Rouge et dans le golfe d'Aden provoquée par les attaques illégales des Houthis.

    « Ce n’est pas un pas vers la « militarisation » de la mer Rouge. Il s’agit d’une opération défensive visant à rétablir la liberté de navigation et la sécurité du trafic commercial dans la mer Rouge, qui sont actuellement mises à mal par les actions illégales des Houthis, condamnées par l’ONU et l’ensemble de la communauté internationale », a déclaré Stano.

    Borrell a souligné à plusieurs reprises que la mission n’avait pas l’intention de participer à des attaques sur le sol yéménite et qu’elle jouissait uniquement d’un mandat défensif visant à protéger les navires. Toute modification de ce mandat nécessiterait une décision des États membres de l’UE, a déclaré Stano, soulignant qu’aucune discussion de ce type n’est en cours ni en préparation.

    Opération Prospérité Guardian

    La détérioration de la situation en mer Rouge a également incité les États-Unis, aux côtés de la Grande-Bretagne et de différents pays, à agir.

    L’opération Prosperity Guardian, dirigée par les États-Unis, a été lancée en janvier et s’est depuis engagée non seulement à dissuader les menaces houthies, mais également à frapper des cibles houthies au Yémen en état de légitime défense.

    Certaines frappes ont été menées par les États-Unis seuls ou aux côtés du Royaume-Uni, distinctes de l’opération Prosperity Guardian.

    « Notre opération a un mandat défensif. Son mandat est clairement distinct des actions des États-Unis, du Royaume-Uni et d’autres partenaires dans la région », a déclaré Gryparis lorsqu’on lui a demandé pourquoi la mission de l’UE ne s’était pas jointe aux efforts menés par les États-Unis.

    Néanmoins, le commandant de l’opération européenne a déclaré qu’Aspides peut être « considéré comme complémentaire » de Prosperity Guardian et que la coordination est en cours pour éviter tout incident de tir ami.

    "Par exemple, et comme prévu, Aspides échange quotidiennement des informations avec Prosperity Guardian sur la connaissance de la situation maritime", a déclaré Gryparis.

    Un responsable militaire américain avait précédemment déclaré à Al Arabiya English que les deux parties se rencontraient régulièrement et échangeaient des informations sur leur localisation et leurs opérations.

    Il reste à déterminer si le mandat d’Aspides sera prolongé après un an. Il s'agit d'une décision que les États membres de l'UE doivent prendre après avoir évalué la situation dans la région, a expliqué Stano.

    « Il n’est pas possible d’évaluer maintenant quelle sera la situation dans [un an]. On ne peut que rappeler ce qu'a déjà déclaré le Haut Représentant lors de la conférence de presse d'Aspides : "nous espérons qu'elle sera la plus courte possible"", a-t-il ajouté.

    Source : https://english.alarabiya.net/News/gulf/2024/04/25/houthi-threats-still-persistent-in-red-sea-gulf-of-aden-eu-s-aspides-commander

     

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  2. Opération Aspides : la frégate Hydra abat un drone dans le golfe d'Aden

    Jeudi 25 avril 2024, dans la matinée, la frégate grecque HYDRA dans le cadre de l'opération EUNAVFOR ASPIDES, assurant la protection d'un navire marchand dans le golfe d'Aden, a tiré au canon sur deux véhicules aériens sans pilote (UAV), conformément aux règles de l'art en vigueur. Engagement dont l'un a été abattu et l'autre repoussé. La frégate continue sa mission normalement...

     

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  3. Le 24 avril à 11 h 51 (heure de Sanaa), un navire de la coalition (le quel ?) a abattu avec succès un missile balistique anti-navire (ASBM) lancé depuis les zones contrôlées par les terroristes Houthis soutenus par l'Iran au Yémen, au-dessus du golfe d'Aden. L'ASBM visait probablement le MV Yorktown, un navire battant pavillon américain, détenu et exploité avec 18 membres d'équipage américains et quatre grecs. Aucun blessé ni dommage n'a été signalé par les navires américains, de la coalition ou commerciaux.

    Par ailleurs, entre 12 h 07 et 13 h 26, le Commandement central américain (USCENTCOM) a engagé et détruit avec succès quatre véhicules aériens sans pilote (UAV) aéroportés au-dessus des zones contrôlées par les Houthis au Yémen.

    Il a été déterminé que les ASBM et les drones représentaient une menace imminente pour les navires américains, de la coalition et marchands dans la région. Ces mesures sont prises pour protéger la liberté de navigation et rendre les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour les navires américains, de la coalition et marchands.

     

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  4. Deux mois après ses débuts en mer Rouge, la mission Aspides privée de plusieurs de ses frégates

    Lancée le 19 février, la mission de sécurité de l’Union Européenne, dont le but est de protéger les navires marchands contre les attaques houthistes, voit son nombre de navires se réduire à cause de problèmes techniques. Après la défection des frégates danoise et belge, celle envoyée par l’Allemagne se retire également. Quant à la France, elle a repositionné sa frégate « Lorraine » en Méditerranée orientale samedi 20 avril...

    https://lemarin.ouest-france.fr/defense/deux-mois-apres-ses-debuts-en-mer-rouge-la-mission-aspides-privee-de-plusieurs-de-ses-fregates

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  5. Troisième des douze nouveaux chasseurs de mines belgo-néerlandais et deuxième destiné à la Belgique, le Tournai prend forme au chantier Piriou de Concarneau. Son assemblage terminé, le bâtiment a rejoint le terre-plein du port finistérien pour sa mise en peinture...

     

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  6. il y a 31 minutes, mehari a dit :

    Parfois, je regarde l'état de nos forces armées et je me demande comment on en est arrivé là.

    Et puis, je me rappelle qu'il a été ministre...

    Sacré André, va...

     

  7. Citation

    "De nouvelles bombes nucléaires vont équiper nos chasseurs F-35"

    Ce dimanche matin, des militants de la coalition belge contre les armes nucléaires manifesteront de manière symbolique devant la base militaire de Kleine-Brogel, où sont stationnées des bombes atomiques américaines, en voie d’être modernisées. Un des mots d’ordre est de "dire stop au déni démocratique qui invisibilise et permet la présence de nouvelles armes nucléaires états-uniennes en Belgique".

    L’existence d’une quinzaine d’armes nucléaires sur cette base aérienne du Limbourg est sans doute "le secret défense le moins bien gardé au monde". Officiellement, ces bombes n’y sont pas et aucun ministre du gouvernement ne s’aventure à affirmer le contraire. Quelques militaires ou hommes politiques aujourd’hui retraités ont néanmoins laissé transpirer de petites phrases confirmant cette présence.

    Sur six bases en Europe

    Un document publié par erreur par l’Assemblée parlementaire de l’OTAN ne laissait par ailleurs planer aucun doute: les USA ont déployé 150 armes nucléaires sur le sol européen, qui équipent des avions à la fois américains et alliés, y compris dans notre pays. Ce rapport daté du 16 avril 2019 atteste que ces bombes sont stockées à Kleine-Brogel et dans cinq autres bases, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Italie et en Turquie. Et la Belgique, où est implanté le siège de l’OTAN, hébergeait d’ailleurs il y a deux ans l’exercice militaire "Steadfast Noon", dont le caractère nucléaire est reconnu.

    Mais ce qui est nouveau aujourd’hui, c’est que ces armes nucléaires, des bombes gravitationnelles B61 en particulier, sont en passe d’être remplacées par des modèles B61-12, "plus petites et plus précises, développées sous la présidence Obama et produites sous Trump", affirme Hans Kristensen, éminent expert de l’armement nucléaire américain venu à Bruxelles dans le cadre de la "Nuke Expo" temporaire organisée cette semaine par la Croix-Rouge internationale, puis invité à participer à un débat politique du CNAPD.

    Plus précises

    Des bombes plus maniables, cela signifie aussi plus "utilisables", ce qui remet en question le concept même de la "dissuasion" basé sur une force de frappe massive et apocalyptique, alerte ce directeur du Nuclear Information Projet de la Fédération des Scientifiques Américains (FSA).

    Force détails, documents et photos aériennes à l’appui, l’expert explique que d’importants travaux sont menés sur le tarmac de Kleine-Brogel, notamment pour accueillir les avions C17A qui doivent transporter ces armes depuis les USA, ainsi que des bâtiments pour la maintenance des bombes, logées dans des silos souterrains, eux-mêmes modernisés, permettant, via un ascenseur, de rapidement en équiper les chasseurs-bombardiers.

    "Nous pensons qu’ils veulent produire 480 bombes. Elles sont encore aux États-Unis mais la livraison pourrait se passer cette année ou l’an prochain, quand les formations seront terminées." Hans Andersen rappelle aussi que les USA s’apprêtent à livrer à la Belgique les premiers exemplaires du F-35 JSF, avion de chasse qui, à l’instar du F-16 qu’il va remplacer, a été conçu – et visiblement aussi choisi par les Belges – pour transporter ces têtes nucléaires. Un autre bâtiment neuf servirait à abriter le personnel américain qui contrôle sur place ces armes de plus en plus sophistiquées.

    Si elles sont fournies par l’armée US, gardée et manipulées par une unité spécifique formée aux États-Unis, la Belgique et ses pilotes conservent néanmoins une part de la décision "à double clé" dès qu’il s’agit de les emporter sur les avions belges, voire de les larguer. Un jour.

    Source: lavenir.net/actu/2024/04/20/de-nouvelles-bombes-nucleaires-vont-equiper-nos-chasseurs-f-35

     

     

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  8. Le 16 avril, entre 10h50 et 11h30 (heure de Sanaa), les forces du CENTCOM ont engagé avec succès deux véhicules aériens sans pilote (UAV) dans les zones contrôlées par les terroristes Houthis, soutenus par l'Iran, au Yémen.

    Aucun blessé ni dommage n'a été signalé par les navires américains, de la coalition ou commerciaux.

    Il a été déterminé que les drones représentaient une menace imminente pour les navires américains, de la coalition et marchands dans la région. Ces mesures sont prises pour protéger la liberté de navigation et rendre les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour les navires américains, de la coalition et marchands.

     

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  9. Le 13/04/2024 à 13:41, Titus K a dit :

    Ces navires innovants de 12 mètres de long sont essentiels pour la lutte anti-sous-marine. Ils feront donc leur travail à partir des frégates de lutte anti-sous-marine qui seront livrées vers 2030.

    Bonne nouvelle, c'est donc la confirmation que les nouvelles frégates ASWF pourront aussi embarquer (en cas de besoin) les USV des nouveaux navires de lutte contre les mines.

  10. Il y a 2 heures, ARPA a dit :

    Je ne suis pas sûr que si peu de monde soit au courant. Il y a quelques jours, j'ai dîné avec un capitaine de frégate français qui devait avoir l'information vu que ce qu'il racontait ressemble beaucoup aux publications. (Ou alors plusieurs frégates belges qui ont eu quasiment le même problème)

    C'est que ce capitaine de frégate français est très bien informé alors !

    Et, non il n'y a pas eu d'autres tirs ratés récemment, il faut remonter aux frégates de la classe Wielingen pour trouver un exercice de tir avec un missile qui n'est pas parti...

    Il y a 2 heures, ARPA a dit :

    Ce n'était pas publique, mais il n'y a pas que l'équipage qui était au courant. Je ne m'avancerai pas à dire d'où vient la fuite.

    Biensur, comme l'exercice de tir s'est déroulé au large de la base de l'otan de Souda, d'autres personnes que l'équipage étaient au courant, c'était juste une supposition de ma part ayant connu un autre cas où c'était des membres l'équipage qui avait prévenu la presse, cela c'est en 87 sur un dragueur de mines belge en route pour déminer le détroit d'ormuz, et lors des exercices de tirs à la mitrailleuse durant le transit en méditerranée le second avait eu la merveilleuse idée d'utiliser les dauphins comme cibles !!! L’équipage écœuré avait alors prévenu la presse... lemonde.fr/archives/article/1987/les-malheurs-de-l-escadre-belge

  11. Bonne nouvelle, d'près cet article de la marine néerlandaise, les nouvelles frégates (ASWF) pourront embarquer des USV de 12 mètres de long, dont ce futur USV pour de l'ASW, ainsi que les USV des nouveaux chasseurs de mines, selon les besoins :

    La Défense et Dutch Naval Design s'unissent pour développer un navire de surface sans pilote

    Technologiquement très avancé, durable, autonome et flexible sur le plan opérationnel. Ces qualifications s'appliqueront aux nouveaux navires sans pilote destinés aux opérations maritimes dans environ 4 ans. La Défense et Dutch Naval Design unissent leurs forces pour développer ce que l’on appelle un navire de surface sans pilote (USV = Unmanned Surface Vessel). Les deux parties l’ont enregistré contractuellement avant-hier.

    Ces navires innovants de 12 mètres de long sont essentiels à la guerre anti-sous-marine. Ils effectueront donc leur travail à partir des frégates de lutte anti-sous-marine (ASWF) qui seront livrées vers 2030. Les frégates actuelles embarquent un hélicoptère pour la lutte anti-sous-marine. Bientôt, cet appareil ne devra plus effectuer seul cette tâche. L'USV pourra le faire aussi.

    Ils seront capables d’effectuer des opérations pendant des périodes plus longues. En combinaison avec un équipement sonar unique, cela représentera une avancée importante dans la lutte contre les sous-marins ennemis.

    Protéger nos eaux

    Le chef du département des systèmes maritimes, le capitaine Olaf Binnenhei, considère ce contrat comme une étape importante. « Cela représente un progrès significatif pour la sécurité maritime néerlandaise et internationale. En unissant nos forces, nous faisons un grand pas en avant dans la protection de nos eaux en utilisant les dernières technologies.

    Dutch Naval Design est une collaboration d’experts de la défense maritime issus de l’industrie et du monde universitaire.

     

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