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Tout ce qui a été posté par wielingen1991
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On dirait que le stabilisateur tribord est toujours là, mais dans un sale état !
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Une frégate classe Nansen c'est environs 450 millions d'euros
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Le renflouage de la frégate norvégienne aurait déjà couté plus de 64 millions d'euros... traduction google d'un article de presse norvégien :
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Les deux grues flottantes (Gulliver et Rambiz) qui ont relevé la frégate ne sont pas norvégiennes, elles appartiennent au groupe Scaldis à Anvers. Les grands spécialistes dans le domaine du renflouage de navires sont les néerlandais du groupe Smit (ils ont renfloué le Koursk) mais il doit probablement y en avoir d'autres...
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La barge est déjà arrivée dans la base navale de Haakonsvern : La barge, aidée par 3 remorqueurs, va se mettre au quai des frégates de la base : Voilà, la barge est amarrée au quai dans la base :
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Cette fois, elle est bien partie :
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Quelque photos prises sur le pont extérieur de la frégate, le 1er mars :
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Ils ont découpé ce qu'il en restait pour poser la frégate sur la barge :
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En fait, la frégate n'est pas encore partie pour Haakonsvern, la barge est venue se mettre à quai, et il y a une activité intense à bord :
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La frégate part, sur la barge, en direction de Haakonsvern :
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vidéo à bord de la frégate le 28 février :
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la barge en action :
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la barge arrive : le direct :
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Marine Belge (composante marine)
wielingen1991 a répondu à un(e) sujet de Chevalier Gilles dans Europe
Quatre USV (ou bateau-fille) embarqués sur le bateau-mère ce serait génial, mais bon, avec un bateau-mère équipé de deux USV (ou bateau-fille) et de 4 AUV (véhicule sous-marin autonome), ça va être costaud pour chasser la mines ! Puisque le bateau-mère pourra "potentiellement" mettre en action simultanément 6 sonar (à ouverture synthétique) 2 sonar remorqué pour les 2 USV + les 4 sonar intégrés dans les 4 AUV. Et, pour multiplier le nombre de sonar disponibles, les bateaux-mère peuvent travailler à plusieurs, et en réseau. Les deux USV du bateau-mère sont modulables en plusieurs configurations selon la mission demandée (dragage, détection, classification, identification et neutralisation) : Les 4 AUV (véhicule sous-marin autonome), eux ne sont pas modulables, ils servent uniquement à la détection et à la classification. Ils sont programmés à l'avance pour aller scanner le fond marin avec leur sonar, l'autonomie de leurs batteries peut aller jusqu'à 24h. Bref, le boulot des AUV, c'est de trouver les mines, et la neutralisation de celles-ci c'est le boulot des USV. Voici un schéma montrant l'utilisation simultanée des 2 USV et des 4 AUV dans une opération de chasse aux mines. Dans le cas montré ci-dessous, les 2 USV servent de relai entre le bateau-mère (qui se trouve à plus de 10 km de la zone d'opération) et les 4 AUV qui sont en plongée en mode détection avec leur sonar. Durant l'opération, les 2 USV communique par ondes acoustiques avec les 4 AUV, en leur envoyant en permanence la position GPS afin qu'ils corrigent en permanence leur position. Et parallèlement, les 2 USV renvoient en permanence au bateau-mère leurs positions et celles des 4 AUV : Cette méthode, de 4 AUV employés simultanément permet de scanner des grandes superficies puisque la couverture sonar est multipliée par 4. Le seul réel problème avec les AUV, c'est qu'ils ne peuvent pas envoyer les images de leur sonar en temps réel au bateau-mère, donc les données récoltées par leurs sonars sont récupérées lorsque les AUV sont ré-embarqués sur le bateau-mère, par exemple durant le changement des batteries de l'AUV afin qu'il puisse ensuite aller continuer sa mission, et ensuite ces données sont analysées par des opérateurs dans le CO. Et d'après ce que j'ai pu lire sur le web, pour faciliter le travail des opérateurs, le logiciel du sonar permet d'éliminer les contacts non-intéressants et de ne garder que les contacts intéressants, qui demandent une identification plus poussée à l'aide d'un ROV. Et à ce moment-là, un USV est envoyé sur la position GPS du contact, et là il met à l'eau un ROV qui va examiner avec une caméra HD le contact, les images du ROV sont envoyées en temps réel au bateau-mère, et si il s'agit bien d'une mine, alors le ROV largue une charge explosive à proximité de la mine pour la neutraliser. Et si la superficie de la zone à vérifier est moins grande, alors on peut utiliser l'USV directement pour la détection en l'équipant d'un sonar remorqué : Cette méthode, qui couvre une moins grande superficie, à le grand avantage de pouvoir travailler en temps réel, c'est à dire que les données récoltées par le sonar remorqué (qui est relié par un cable et la fibre à l'USV) sont envoyées en temps réel au bateau-mère par l'USV. De cette manière, les opérateurs à bord du bateau-mère analysent les images du sonar en temps réel, et en cas de détection d'un objet intéressant, ils envoient le 2ème USV examiner l'objet en question avec un ROV, pendant que l'autre USV (équipé du sonar remorqué) continue sa route et sa mission de détection. -
Courte vidéo (56 secondes) prise à bord de la frégate !
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le pompage d'eau continue mais la frégate est maintenant élevée au-dessus de la ligne de flottaison :
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ils ont fini de pomper à l'avant, ils pompent à l'arrière maintenant : en tout cas, maintenant, l'avant du navire à l'air bien haut !
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Ils sont occupés à pomper l'eau du navire :
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Voici une traduction google d'un article de presse norvégien qui donne des explications :
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Ils ont du bol avec la météo
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effectivement, ce sont de simples bâches
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Je serais quand même curieux de voir l'état à l'intérieur !
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Marine Belge (composante marine)
wielingen1991 a répondu à un(e) sujet de Chevalier Gilles dans Europe
Je pense qu'avec deux bateaux-fille embarqués ce serait déjà très bien (même si on peu en embarquer plus), ainsi un irait dans le hangar et l'autre dans l'emplacement latéral prévu pour. Normalement, ce sont les AUV (véhicule sous-marin autonome) qui devraient être embarqués en plus grand nombre, avec quatre unités embarquées au minimum. Mais bon, malheureusement, comme chez nous on a maintenant un gouvernement d'affaires courantes, il faudra probablement attendre après les élections du 26 mai pour avoir une décision sur l'avenir du programme des navires MCM et des frégates !?