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Davout

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Messages posté(e)s par Davout

  1. je n'ai jamais dis que cette vente d'arme précise serait la cause d'attentat. Mais soyons lucides et voyons qu'un si bel avion comme le Rafale ne peut décemment pas être vendu à un tel pays ! Je ne me souviens pas d'un quelconque vente de Famas par ailleurs (les missiles oui ...)

    Les ventes d'armes vers la Libye devraient être interdites, il en va de la sûreté de la région. Mais enfin vous voyez pas le problème ? Quel pourrait etre la réaction si la France décide subitement d'armer la Corée du Nord ou l'Iran (en armes conventionnelles je m'entends)?

    Il faut être lucide Menchi... Si ce n'est pas la France qui fait son beurre grâce à l'argent libyen, d'autres n'auront pas tes (nos) scrupules. Le fait de vendre ce genre d'armes de haute technologie permet au moins un certain droit de regard sur leur utilisation. Je pense que la Libye n'est pas capable d'entretenir un avion aussi sophistiqué et sera tributaire du soutien logistique et technique français.
  2. En somme un rôle d'influence et guère plus, un Veto du roi étant anticonstitutionnel...

    Davout, pensez-vous au système monarchique anglais ? Qui autrefois était un parlement en accord avec le Roi ? (je ne connais pas l'ensemble des détails).

    Je ne sais pas berzeker... Je connais insuffisemment les institutions étrangères pour me prononcer. Cela dit, il me semble que la monarchie parlementaire britannique est l'une de celles qui fait le moins de place à son souverain. Je voyais plus l'exemple des Bourbons d'Espagne.
  3. En ce qui concerne les inégalités, aucun système n'a su les gommer efficacement (même pas le communiste) et c'est utopique. La meilleure solution est de s'efforcer de donner les mêmes chances à tous. Un système égalitaire n'est pas un système où tout le monde gagne autant (ce serait alors injuste vis-à-vis de ceux qui ont fait des études par exemple), c'est un système où tout le monde pense qu'il peut réussir et bénéficier d'une ascencion sociale selon ses mérites.

    En ce qui concerne la Belgique, il est vrai que la monarchie est sans doute le système le plus approprié en raison des deux communautés distinctes et du besoin d'avoir des repères communs. Ensuite, on peut discuter des attributs du souverain. Vu les circonstances, qu'il ait plus de pouvoirs que les autres monarques d'Europe serait une solution pour éviter le blocage des institutions auquel nous assistons.

    Le despote éclairé à la Fédéric II de Prusse (très voltairien Saint Nicolas  ;)) ne peut être une solution que vis-à-vis d'un peuple illettré, incapable de se gérer. Qu'en serait-il face à un monarque renoncant à son "devoir"?

    La Belgique a besoin d'un Etat fort qui prenne le pas sur les intérêts partisans de ses communautés ce qui n'empêche pas la démocratie de prévaloir.

  4. qu'il y a t'il comme avion radar de prévus pur les futurs CVF ?

    Une version dédiée de l'hélicoptère EH-101. On a entendu parler également d'une version AEW du V-22 Osprey mais la première solution parait plus crédible sachant que des Seakings tenait déjà ce rôle.
  5. Qu'il y ait dérive autoritaire ou pas de la part de Chavez, on ne peut que constater tout de même un certain populisme de sa part... Et qui dit populisme dit démagogie, culte de la personnalité, concentration des pouvoirs et népotisme...

    Nous n'avons encore pas assez de recul pour voir comment les choses évolueront mais généralement ça n'augure rien de bon... Surtout d'après les antécédents des différents régimes sud-américains.

  6. En STR ce qu'il me faudrait c'est un age of empire 1...mais en mieux...

    Je te conseille Age Of Empires II alors...  :lol:

    Sans rire, c'était ma référence (avec peut-être age of mythology). Je n'aime pas age of empires III (le principal intérêt du jeu est le côté historique qu'on ne retrouve pas dans ce dernier) et je suis hs quant aux nouveautés.

  7. Enfin, effectivement ressusciter serait mauvais mais montrer aux enfants au collège au coté des grecs et des romains, etc. la culture arabe permettrait peut etre une meilleure compréhension de l'autre. Cela donnerait une certaine reconnaissance de la civilisation arabe, même si on montre le passé. C'est un peu idéaliste je l'avoue.

    Je ne dis pas non plus qu'il ne faut travailler l'éducation que chez nous mais je connais moins bien comment est fait les cours pour les enfants au Maghreb  ou ailleurs.

    La civilisation arabo-musulmane (tout comme le judaïsme) est enseignée aux élèves de 5ème (12-13 ans). Du moins c'était le cas de mon temps (1996).
  8. C'est horrible ce que tu dis. ça me froid dans le dos qu'ils puissent "accepter" autant de morts.

    Oui enfin, la doctrine chinoise en matière d'emploi de ses armes nucléaires (et sans doute indienne également) est purement défensive. Il n'est pas dit qu'il y ait de telles frappes sur des civils.

    S'il y avait conflit, les deux nations feraient tout pour éviter une trop grande escalade. Depuis que l'Inde est une puissance nucléaire, la Chine a perdu son principal atout.

  9. Sarkozy et Bouteflika s'efforcent de dépasser leurs divergences

    par Emmanuel Jarry

    ALGER (Reuters) - Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika se sont efforcés de dépasser leurs divergences sur le passé colonial de la France en Algérie, qui a continué de peser sur la visite d'Etat du président français.

    "Sur la mémoire, chacun a fait un pas l'un vers l'autre et aujourd'hui les choses sont vraiment stabilisées", déclarait l'Elysée au soir du deuxième jour de cette visite.

    Sans aller jusqu'à présenter les "excuses" qu'exigent de la France les dirigeants algériens, Nicolas Sarkozy a fait un nouveau pas, dans un toast en l'honneur du président Abdelaziz Bouteflika, lors d'un déjeuner officiel.

    "Nous sommes prêts à regarder en face cette partie de notre histoire et à la considérer sans tabou, y compris dans ce qu'elle a de plus sombre, a-t-il dit.

    Le "partenariat d'exception" entre les deux pays doit s'accompagner "d'un travail de mémoire pour rapprocher notre lecture de l'histoire", a renchéri Nicolas Sarkozy le soir, devant des représentants de la communauté française.

    Il a cependant ajouté que ce "travail de mémoire" ne devait pas être un "préalable" au développement des relations entre la France et son ancienne colonie.

    Nicolas Sarkozy a réaffirmé qu'il fallait "reconnaître ce que le système colonial avait d'injuste", sans faire d'amalgame avec "ceux qui ont construit sur cette terre" qu'ils ont dû quitter lors de la guerre d'indépendance algérienne (1954-62).

    De son côté, Abdelaziz Benflika s'était dit convaincu, dans un toast lors du déjeuner, que la visite du président français permettrait "d'aborder avec franchise et courage" les problèmes pesant sur les relations franco-algériennes et de trouver "le moyen d'y porter remède dans un esprit d'ouverture".

    Il a au passage adressé sa "sincère reconnaissance à tous les Français" qui ont apporté leur aide et leur "solidarité" aux Algériens pendant leur "guerre de libération".

    Lundi soir, dans son premier discours, devant des chefs d'entreprise algériens et français, Nicolas Sarkozy avait qualifié de "profondément injuste" le système colonial et évoqué les "crimes terribles" commis pendant la guerre d'indépendance.

    Le ministre algérien de l'Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, a estimé mardi matin que ces propos constituaient un "progrès" mais ne suffisaient pas.

    ACCORD SUR LE NUCLEAIRE CIVIL

    "Nous dirons toujours que ce n'est pas assez mais ça va dans le bon sens", a-t-il dit à des journalistes à Tipasa, où le président français a visité avec lui les ruines romaines, en bordure de la Méditerranée, à 70 km à l'ouest d'Alger.

    En regagnant Alger pour des entretiens avec Abdelaziz Bouteflika, Nicolas Sarkozy a fait une étape symbolique au sanctuaire dédié aux "martyrs" de la guerre d'indépendance.

    L'Elysée fait valoir que le président français a multiplié les gestes pour ouvrir une "nouvelle page" avec l'Algérie.

    Les deux gouvernements ont ainsi signé mardi une "convention de partenariat", présentée du côté français comme une sorte de "traité d'amitié simplifié" qui se substitue à un projet avorté de "traité d'amitié" lancé en 2003.

    Cette convention de partenariat remplace et complète la convention de coopération culturelle, scientifique et technique qui liait la France et l'Algérie depuis 1986.

    La France a également paraphé un accord cadre couvrant tous les aspects d'une future coopération franco-algérienne dans le domaine du nucléaire civil, dont la négociation s'est prolongée jusque dans la nuit de lundi à mardi. C'est le premier accord de ce type entre la France et un pays arabe, fait valoir l'Elysée.

    Les deux chefs d'Etat ont présidé la signature de cinq milliards d'euros de contrats et accords d'investissement et de la prolongation des contrats d'approvisionnement de Gaz de France en gaz naturel algérien jusqu'en 2019.

    Autre geste : la France enverra des experts pour étudier les conséquences des essais nucléaires qu'elle a effectués dans le désert algérien et "assumera ses responsabilités", dit-on de source proche du président français.

    En matière de circulation des personnes, sujet sensible, la ministre française de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et son collègue de l'Immigration Brice Hortefeux iront en Algérie "dans les semaines qui viennent pour poser les bases d'une politique d'immigration concertée entre les deux pays".

    Enfin, sur les sujets internationaux, "nous avons les mêmes positions à l'exception du Sahara occidental mais nous observons là aussi que les choses ne sont pas figées", dit l'Elysée.

  10. Nicolas Sarkozy entame sa visite en Algérie en dénonçant un «système colonial profondément injuste» --par Christine Ollivier--

    ALGER (AP) -- «Je suis venu pour construire», pas «pour la nostalgie», a affirmé lundi Nicolas Sarkozy au début de sa visite d'Etat en Algérie, même s'il a dû d'emblée affronter les questions de mémoire si sensibles dans ce pays, en qualifiant le système colonial «d'injuste».

    «Oui, le système colonial a été profondément injuste, contraire aux trois mots fondateurs de notre République: liberté, égalité, fraternité», a déclaré le président français devant des hommes d'affaires français et algériens réunis dans un hôtel d'Alger. «Mais il est aussi juste de dire qu'à l'intérieur de ce système profondément injuste il y avait beaucoup d'hommes et de femmes qui ont profondément aimé l'Algérie, avant de devoir la quitter», a-t-il ajouté.

    «Des crimes terribles ont été commis tout au long d'une guerre d'indépendance qui a fait d'innombrables victimes des deux côtés». Et «aujourd'hui, moi qui avais sept ans en 1962 (date que je veux honorer)».

    Dans son discours aux mots soigneusement pesés, Nicolas Sarkozy n'est donc pas allé jusqu'à prononcer les «excuses» que réclame une partie de la classe politique algérienne. A l'Histoire, Nicolas Sarkozy continue donc de préférer la «géographie», en rappelant qu'Algériens et Français sont «voisins».

    Et si MM. Sarkozy et Bouteflika ont évoqué les questions de mémoire lors de leur premier entretien lundi, c'est «assez rapidement», selon une source française.

    Le ministre algérien des Anciens Combattants Mohamed Chérif Abbas avait provoqué la semaine dernière un regain de tension entre Paris et Alger en affirmant que «si la France ne reconnaît pas les crimes qu'elle a commis en Algérie, une normalisation ou une réconciliation n'(était) pas envisageable». Il avait dénoncé dans la foulée le «lobby juif» qui aurait porté selon lui M. Sarkozy au pouvoir.

    Histoire de faire oublier l'effet désastreux de ces propos, les autorités algériennes avaient mis les petits plats dans les grands lundi, avec des drapeaux français et algériens sur les principales avenues d'Alger, mais aussi des portraits d'Abelaziz Bouteflika et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des Anciens combattants, lui, était absent de la cérémonie d'accueil du président français à l'aéroport.

    Nicolas Sarkozy n'en a pas moins mis les points sur les «i»: «il n'y a rien de plus semblable à un antisémite qu'un islamophobe», a-t-il lancé. «Tous deux ont le même visage: celui de la bêtise et de la haine».

    «Le racisme, l'islamophobie et l'antisémitisme ne s'expliquent pas. Ils se combattent». Et «ce qui vaut pour la France vaut partout ailleurs dans le monde», a-t-il asséné.

    Mais «je suis venu en Algérie pour parler d'avenir», a assuré Nicolas Sarkozy. «Je suis venu en Algérie pour bâtir (...) entre nos deux peuples un partenariat d'exception». Et cela passe d'abord par des contrats: ceux qui seront signés mardi «s'élèvent à plus de 5 milliards d'euros», a-t-il assuré. Car «pour moi, l'amitié ne se traduit pas par des mots, par des traités ou par des discours, mais par des projets, des actes, des décisions».

    Ces accords doivent porter notamment sur la reconduction des contrats gaziers pour garantir l'approvisionnement de la France jusqu'en 2019, alors que Gaz de France (GDF) doit investir un milliard de dollars (683.500 euros) sur le gisement de Touat, et Total 1,5 milliard de dollars (1,02 milliard d'euros) pour la construction d'un complexe pétrochimique à Arzew.

    Par ailleurs, «nous avons décidé avec le président (Abdelaziz) Bouteflika de nous engager ensemble dans un immense chantier (...) celui de l'énergie nucléaire civile», a affirmé Nicolas Sarkozy. Un accord devra «concrétiser cette volonté» mardi.

    «La France veut travailler avec l'Algérie», a affirmé le chef de l'Etat. «Je veux que la France redevienne le premier investisseur étranger en Algérie».

    «Le passé, il existe. L'avenir, il est à construire. Moi je suis venu pour construire. Je ne suis pas venu pour la nostalgie», a conclu Nicolas Sarkozy. AP

  11. Verhofstadt chargé d'ouvrir la voie à la formation d'un nouveau gouvernement belge.

    BRUXELLES (AP) -- Le Premier ministre belge sortant Guy Verhofstadt a été chargé lundi par le roi de «rechercher des informations au plus vite sur la manière de sortir de l'impasse actuelle» que connaît le pays dans la formation d'un gouvernement, plus de cinq mois après les élections législatives, selon un communiqué du palais.

    Francophones et néerlandophones n'arrivent pas à s'entendre pour former un nouvel exécutif. Samedi, le chef des démocrates-chrétiens flamands Yves Leterme, qui avait été chargé de cette mission, avait officiellement renoncé à sa mission en présentant sa démission au roi Albert II.

    Guy Verhofstadt a dirigé une coalition regroupant des libéraux et des socialistes avant les élections du 10 juin dernier, mais celle-ci a perdu sa majorité lors de ce scrutin, qui a vu les démocrates-chrétiens flamands devenir le premier parti du pays.

    Depuis, en raison de la crise, le gouvernement de M. Verhofstadt continue à gérer les affaires courantes, mais son pouvoir reste limité et il ne peut guère prendre de mesures nouvelles, ce qui devient urgent dans certains domaines, notamment sur le plan économique et social. AP

  12. Si je me souviens bien les objectifs sont rentrés dans les têtes par un système de disque dur. Cà se ferait à Valduc.

    Chaque DD indique un objectif et dispose d'une clé.

    L'élément essentiel de cette procédure semble être que personne ne sache (après les diverse manip et mvt) à quelle tête corresponde quel code.

    SEUL le pdt dispose des moyens informatiques (pc Jupiter ou malette) lui permettant "d'assurer l'accouplement entre les porteurs, les missiles et leurs charges nucléaires clairement identifiées, clefs de déblocage propre à chaque tête".

    En clair seul le président peut choisir sur quel objectif on va tirer et avec quoi. Le choix des cibles est lié donc au nombre de vecteurs et de têtes préprogrammées.

    Si les têtes des M-45/M-51 sont préprogrammées, elles ne peuvent frapper des cibles d'opportunité ou encore des Etats pour lesquels nous pensions qu'ils n'étaient pas menaçants lors de l'entrée en service des missiles (Iran). Cela rend ainsi indispensable l'ASMP-A beaucoup plus souple dans son emploi.
  13. L'Islam n'est pas plus une religion prônant l'irrespect des femmes ou une violation contre ceux qui ont une religion différente que le christianisme ou le judaïsme (pour ne citer qu'eux). A mon sens, le terrorisme a augmenté du fait que certains dirigeants ou extrémistes se sont rendus compte que c'était impossible de gagner contre un Etat en utilisant les mêmes armes, en faisant une révolution comme dans les années 60-70. Aujourd'hui, le terrorisme est l'arme du pauvre (je ne sais plus qui a dit ça..).

    Les fondamentalistes utilisent le contexte de la pauvreté, de l'incompréhension, de la peur, et du pouvoir qu'ont nos pays occidentaux sur certains pays de confession musulmane. La France, les Etats-Unis, le Royaume Uni, la Chine etc... chacun a ses propres intérêts et ses cadavres dans le placard en utilisant des dirigeants plus sensibles à leur cause.  Barbaros pacha a raison. Ce n'est pas juste mais c'est la politique et elle n'est jamais juste. Et encore ce fut bien pire avant! Peut etre est ce que cela vient de la toute cette frustration et ces sentiments anti-occidentaux. Peut etre est ce aussi à nous de nous rendre compte, que la civilisation arabe n'est pas que des lapideurs mais une aussi riche que la notre... et qu'elle fait parti de nos fondements comme les Grecs et les Romains.

    Cette incompréhension est valable pour les pays musulmans qui ne voit pas forcément les bons côtés que l'on peut apporter.

    tenez un autre lien sur le monde arabe:

    http://www.imarabe.org/temp/expo/sciences-arabes.html# 

    Moui... Alors selon toi, le terrorisme est le seul moyen pour les pays musulmans de s'émanciper et d'accéder à une certaine importance (économique, diplomatique) sur la scène internationale...

    L'Iran du shah malgré tous ses défauts devenaient une puissance régionale qui n'était pas ennemie de l'Occident et qui aurait fini par se démocratiser comme la plupart (sinon tous) des régimes autoritaires alliés des occidentaux face aux soviétiques. La Malaisie, l'Indonésie et dans une moindre mesure certains Etats du Golfe n'ont pas cette propagande anti-occidentale. Le Maroc et la Tunisie non plus...

    Que la civilisation arabo-musulmane ait influencé le monde quoi de plus normal et naturel? Il serait peu crédible de le nier. Le propos ici est plutôt de relativiser son importance vis-à-vis des autres aires culturelles. L'âge d'or de l'Islam n'est pas plus important dans l'histoire du monde que le Moyen Age en Occident, les civilisations précolombiennes, indiennes ou mieux encore la civilisation chinoise. Vouloir y croire et le "ressusciter" à notre époque par la violence est un non-sens.

    Enfin, l'influence que peuvent exercer certains Etats puissants (surtout occidentaux) sur d'autres (y compris musulmans) fait parti des relations internationales. Libre à chacun de mener sa politique comme il l'entend ou du moins de l'adapter au mieux aux grandes influences du moment. L'Algérie a une politique particulièrement habile selon moi en ne dépendant d'aucune grande puissance (tant qu'elle aura du pétrole et du gaz en tout cas).

  14. Comme par exemple?  :rolleyes: :|

    Les recherches médicales dans la génétique, les différentes formes d'expression artistique, le concept d'intérêt dans le système bancaire, le travail de la femme et plus généralement sa place (liberté) dans la société...

    Bref, la liberté d'entreprendre est souvent indispensable pour voir se développer le progrès ce qui semble peu compatible dans la vision présentée par les islamistes.

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