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ARPA

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Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. Il reste à définir le bombardier stratégique. Si on ne se limite pas à la sémantique (ce qui repond au titre, mais pas au premier message) on doit définir les performances, donc si un B17 est encore considéré comme un bombardier stratégique alors il faut admettre qu'un Gripen puisse l'être. On a la version actuelle americano-russe qui correspond à un bombardier stratégique lourd comme les B52, B1B, B2, Tu95, Tu160. (Oui, je compte encore le B1B comme bombardier stratégique même s'il est incapable de larguer des armes nucléaires, donc d'effectuer une mission stratégique selon certains) Mais il y a aussi (eu) des bombardiers stratégiques "légers" avec les B58, Tu22, V-Bomber, H6 et même le mirage IV. Si on pense aux bombardiers stratégiques légers, on pourrait rajouter les avions de patrouille maritime qui ont presque les mêmes performances mais une survivabilité nettement plus réduite. Ensuite il y a eu des gros avions tactiques plus récents qui sont presque aussi performant et ont permis de les remplacer (F111, F15E, Su34, Rafale...) Exactement. D'ailleurs pour l'autonomie, si on compare un Rafale avec CFT (ce qu'on n'a pas) et un mirage 2000D ou un SEM, je crois qu'on a beaucoup plus d'autonomie. Le Rafale est déjà très correct, une comparaison avec les bombardiers stratégiques "légers" pourrait être flatteuse. Maintenant ce serait toujours plus "bombardier stratégique" de développer un gros Rafale avec un rayon d'action doublé, un cockpit facilitant les vols de plus de 10 heures... mais restant de taille modeste (masse à vide 15 tonnes, max 45, 5 tonnes de bombes...) ce qui permettrait de garder un budget raisonnable et la possibilité d'une version embarquée (ravitaillement après le catapultage et masse à l'appontage comparable au F14) Et à la place des anglais, entre 2 négociations sur le Brexit, je négocierai avec Trump pour convertir des F35B en B21. D'ailleurs au sujet du B21 (souhaité à 100 ou 288 exemplaires par les USA), je crois qu'il s'agit d'un avion nettement plus petit que le B2, probablement plus proche des B58 ou Tu22.
  2. Euh... un bombardier capable de larguer 30 missiles, la France n'en a aucune utilité, en tout cas ça ne fait pas partie de sa doctrine. Jusqu'à présent on s'est contenté de raid de 10 ou 15 SCALP. Une capacité de 5 SCALP c'est déjà énorme et suffisant. Ce qui est vraiment "utile", c'est la distance franchissable. Un avion capable de se passer de ravitailleur, ça permet d'organiser un raid sans ravitailleurs donc sans l'escorte des ravitailleurs et on se retrouve avec un raid suffisamment petit pour même économiser l'AWACS. Sur une opération comme Hamilton reduire le nombre de Rafale ne changerait pas grand-chose (on passe de 17 avions dont 5 bombardier Rafale à 14 avions dont 2 bombardier stratégique) Et pour les OPEX, un bombardier capable de décoller du Tchad pour opérer plusieurs heures au dessus du Mali sans ravitailleurs serait aussi utile même (surtout?) avec une charge offensive réduite. Un bombardier stratégique capable de voler 6 à 8 heures après le dernier ravitaillement en vol et avec une charge offensive de quelques tonnes (comparable au Rafale) serait déjà bien. En fait le Rafale (presque un chasseur léger) serait déjà capable d'emporter un missile tri-corps de plus de 6 tonnes. Il y a très peu de charges qu'on ne peut pas emporter. Pour les gros missiles, il "suffira" de faire une version spécifique. Je crois que les USA n'ont que 2 bombes que le Rafale ne pourrait pas emporter. Si exceptionnellement on doit concevoir une charge plus importante, la question pourrait peut-être se poser avec comme alternative le tir depuis des A330MRTT ou des A400M. Objectivement, le Rafale répond déjà à une grosse partie du cahier des charges d'un bombardier stratégique.
  3. Plutôt que de définir les mots qui sont à géométrie variable suivant les pays, il faudrait définir les performances attendues. Sinon on a le 2000N bombardier stratégique et le 2000N' est un bombardier tactique. Jusqu'à présent la France avait besoin d'un rayon d'action assez réduit (Paris Moscou et avec le trajet retour difficilement envisageable) mais maintenant on souhaite plutôt aller jusqu'au moyen orient ou jusqu'au sud du Sahara et on aurait besoin de faire le trajet retour. Donc maintenant pour du "stratégique" on demande quoi comme rayon d'action ? Vu qu'il y a le ravitaillement en vol, ce qui compte c'est même la distance franchissable après le dernier ravitaillement en vol (donc éventuellement avec une masse max en vol plus importante qu'au décollage) Le Rafale avec CFT et 2 à 4 bidons qu'on accepte de larguer doit avoir une distance franchissable très correcte, probablement de plus de 4 000 km. Ensuite on va se poser la question de la charge utile. On veut quoi comme bombes ? On peut aussi réfléchir qu'on utilise presque toujours une patrouille d'au moins 2 avions. Il serait presque envisageable d'avoir 2 missiles qui se rejoignent en plein vol pour faire un très gros missiles. Le SCALP dispose de 2 charges explosives, la seconde doit profiter du souffle de la première pour faire encore plus de dégâts. Avec la précision des armes actuelles, on peut espérer se contenter d'armes assez petites. On peut aussi envisager une arme spécifique qui utiliserait plusieurs points d'emport. Le Rafale doit pouvoir emporter une charge de presque 3 tonnes, en configuration spécifiques, le lanceur Aldebaran aurait été plus lourd que la FOAB russes qui est la plus lourde bombe (charge ? ) emporté par le Tu160. Une patrouille de 2 Rafale représente une quantité de bombes assez importante. On peut aussi envisager des solutions intermédiaires. Plutôt que d'envoyer 10 B2 (la moitié de la flotte) rien qu'un ou 2 B2 ça permettrait de presque doubler la capacité air-sol d'un raid de l'aéronavale. C'est une donnée qu'on ne prend pas assez en compte. Un avion spécialisé, c'est souvent du gaspillage, mais c'est aussi un avion optimisés pour sa mission. Si on est dans la logique américaine avec des guerres permanentes et des effectifs suffisant pour qu'on ne parle plus de micro flotte, oui, il est cohérent d'avoir des centaines de bombardiers lourds/stratégique au côté de centaines de chasseurs bombardier polyvalent, de centaines de ravitailleur, de centaines de bombardier tactiques ou d'avions de CAS, de dizaines de porte-avions... Pour la France qui envisage d'avoir moins de Rafale que les USA ne pourraient se payer de B21, la réponse n'est pas forcément la même.
  4. 2 hélicoptères (Dauphin) de la marine viennent d'être homologués pour servir de bombardier d'eau en Polynésie Française. https://www.colsbleus.fr/articles/9149 Est-ce que c'est un début de polyvalence des armées française ? Cela a été fait en moins d'un an et c'est actuellement limité à la Polynésie. Il faudra combien de temps pour que les autres territoires expriment un besoin analogue ? Même au niveau de la métropole, la sécurité civile a déjà des hélicoptères et des avions, mais un complément d'hélicoptères ou avec des C235, C130 ou A400M équipés d'un système comme le MAFFS du C130 pourrait être utile pendant certains pics d'activité.
  5. Pour info, on a déjà des sujets qui ressemble fortement Et surtout La dessus, je suis d'accord. On n'a pas besoin d'un bombardier lourd. Au détail près qu'on peut avoir des armes qui justifie un avion très lourd. Le Rafale se contente du SCALP de 1400 kg, il pourrait probablement accepter 2 ou 3 tonnes en ventrale. Les Su27 et F15 ont parfois des armes de quelques tonnes. Les Tu160 ou B2 ont quelques armes de presque 10 tonnes. Une arme conçu spécifiquement pour le Rafale et utilisant plusieurs points d'emport (cas du projet de fusée pour micro satellite) pourrait approcher les 5 tonnes, mais ça reste exceptionnel et difficilement utilisable en mission réelle. Le ravitaillement en vol ne fait pas tout. Si on envisage une configuration avec une grosse charge air-sol (pour concurrencer les bombardiers, donc un Rafale avec 5 SCALP ou 15 AASM...) on risque de ne pas beaucoup de bidons donc une autonomie assez réduite. Les "règlements" demandent souvent d'avoir assez de carburant pour pouvoir retrouver le terrain (allié) le plus proche même en cas de panne du ravitailleur. Si on veut bombarder loin, c'est une donnée qui est parfois critique. On prévoit aussi de garder assez de carburant pour se poser sur un autre terrain allié (pour le cas ou le terrain serait inutilisable) Et puis un ravitailleur reste vulnérable, l'avantage du bombardier est normalement de pouvoir aller là où on n'oserait pas envoyer un ravitailleur. Bref, le bombardier à long rayon d'action me parait quand même utile. Même avec des ravitailleurs, je vois mal des gripen faire le travail des bombardiers.
  6. ARPA

    Le F-35

    Et puis le F35 comme avion d'escorte... c'est comme dire que le F35 est un intercepteur. Comme si on pouvait imaginer remplacer des F14 avec...
  7. ARPA

    Le successeur du CdG

    J'avais compris qu'on n'est même pas sur d'avoir un remplaçant du CdG, donc la propulsion... Sinon oui, la FOST auraient besoin d'un certain nombre de navires nucléaires pour crédibiliser la filières des atomiciens de la marine (dont ceux des SNLE) et s'occuper aussi de navire de surface permet d'augmenter le nombre de postes, de proposer des mutations ... En soit proposer des frégates nucléaire répondrai à ce besoin. Même une barge avec un K15 pour fournir de l'électricité dans certaines de nos îles serait suffisante.
  8. ARPA

    L'Inde

    À un moment particulier ? Ça fait depuis 20 ans qu'on est sur le point de vendre des avions de combat à l'Inde, ça fait donc depuis 20 ans qu'on ne devrait pas faire de geste pouvant être interprété comme des "cadeaux" à une entreprise vaguement indienne et qu'on ne devrait pas en recevoir ? Si le problème ne vient pas de l'action me de sa "simultanéité" avec des négociations pour la vente du Rafale, l'argumentation manque d'éléments.
  9. ARPA

    Le F-35

    188 B21 à la place de 800 F35, l'USAF ne doit pas y perdre. Enfin si le B21 répond bien à son cahier des charges... Il faudra évidemment des FXX pour avoir la supériorité aérienne, mais avec 383 bombardier stratégique, ils ont moins besoin de chasseurs. On n'a pas vu le volet aéronaval, mais s'ils sont dans l'optique de 12 CVN et de LHA comme porte-avions léger avec des F35B, ça représente un paquet de chasseurs.
  10. ARPA

    Cyberwarfare

    À priori, la France n'est pas complètement en retard pour la cyberdefense. Ou au moins dans le cadre de l'exercice de l'OTAN, on est moins mauvais que les autres. http://www.opex360.com/2019/04/13/otan-la-france-remporte-ledition-2019-de-lexercice-de-cyberdefense-locked-shields/
  11. ARPA

    Le successeur du CdG

    Rapport de 2003... Il n'est pas complètement obsolète, mais il y a vraiment beaucoup de points qu'il faudrait reprendre.
  12. Donc le stratolaunch vient de faire son premier vol. Reste encore à trouver des fusées à lancer. http://www.aeroweb-fr.net/actualites/2019/04/le-stratolaunch-lavion-geant-effectue-son-premier-vol?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+aerowebfrnet_actualite_actualites+(Les+dernières+actualités+-
  13. ARPA

    L'Inde

    Personnellement je n'aurai même pas recherché plus. Le pire c'est que beaucoup de monde vont lire cette "information"/propagande.
  14. ARPA

    Le successeur du CdG

    Un des avantages du nuc, c'est aussi de passer à pleine puissance plus rapidement. À confirmer, mais le passage de 10 nœuds à 27 est peut-être plus rapide sur le CdG que sur le Foch. Ensuite le nuc évitant de refaire le plein, un convoi avec le CdG (qui sert de petit pétrolier) sera globalement plus rapide que celui avec le Foch. C'est un problème qui pourrait éventuellement être réglé avec les EMALS et une propulsion électrique. Si demain un CVN est en réalité une centrale électro-nucléaire dans un navire à propulsion électrique, il resterait possible de justifier une IPER pour maintenir le navire en réserve à quai ou il servira de centrale électrique d'appoint en attendant une réactivation. Un K15 fournissant 30 MW va produire presque 2 TWH en 7,5 ans, à 10 cts le KWH, ça correspond à 200 millions d'euros, presque le prix d'une recharge d'un réacteur. Si on ne revend pas l'énergie produite par le CVN, on se retrouve en pratique comme avec un PA classique dont on ferait aussi souvent le plein que les PA opérationnels alors qu'il est en réserve. Enfin pour la France, c'est loin d'être un problème vu qu'on a presque aucun navire en réserve.
  15. ARPA

    L'Inde

    Si on étudie toutes les opérations financières (et autres) de tous les acteurs concernés de près ou de loin par la vente des Rafale, on va forcément trouver des trucs bizarres qui peuvent paraître pour de la corruption si on se limite à des informations partielles. (Comme le montant d'un désaccord fiscal avec intérêt et majoration... à l'origine l'erreur n'était peut-être que de 5 millions mais avec quelques années de retard, ça peut suffire pour avoir 150 millions avec des majorations et des intérêts à 30%, surtout si on rajoute d'autres désaccords non justifiés ....)
  16. ARPA

    Achat suisse

    Oui, mirage 3NG en 82, mirage IVP en 86, Rafale en 91, mirage F1CT en 92, mirage 2000-5 en 96... je me demande pourquoi on essaie de vendre du Rafale.
  17. ARPA

    Le successeur du CdG

    Pour beaucoup de choses, suivant le produit proposé, si on réussit (ce qui n'est pas automatique), on pourrait avoir un succès commercial justifiant son développement. Pour le remplaçant des E2C et des E3F, déjà il faudrait se contenter d'un unique programme de moins de 30 tonnes et ravitaillable. Un C295 ou un Falcon AWACS embarqué reste envisageable et le marché français demande déjà une dizaine d'exemplaires. Pour les catapultes (et les brins d'arrêt) si elles sont produites en France et avec un faible coût de production, il ne serait pas forcément absurde d'en équiper d'autres navires. C'est encore plus valable si ces catapultes/brins d'arrêt permettent d'opérer plusieurs type d'avions (Rafale M, mais aussi l'AWACS standard européen et un avion de transport comme le C295) Actuellement on dit que faire un PA avec des EMALS et des AAG implique un surcoût de 800 M$ (tarif pour un CVN) ça reste dissuasif. Mais une version avec une technologie moins chère (par exemple comme avant avec catapulte à 50 M$ et brins d'arrêt à 25 M$) pourrait avoir un surcoût 10 fois plus faible, ça reste envisageable même pour des navires qui n'en auraient pas vraiment besoin et qui ont juste un pont plat. D'ailleurs si le système ne coûte pas trop cher et n'est pas trop complexe, une installation à terre (fixe ou facile à installer) pourrait même être utile. Un système permettant d'éviter les piste trop longue (ou l'usage de la PC trop bruyante ou de devoir réduire la masse max à cause de la chaleur ou l'altitude) pourrait être utile même sans PA.
  18. ARPA

    Luftwaffe

    Pour les italiens, tant que le F35 n'est pas capable de larguer des B61, ils sont obligé de les garder.
  19. ARPA

    A330 Beluga

    Ok, j'ai du confondre.
  20. Personnellement, je trouve que la qualité varie vraiment suivant les numéros. Pour tous on a une "base" mais c'est plus ou moins complet suivant la richesse historique de l'avion. Le format "petit livre" est peut-être petit pour les mig21, Rafale... donc on se retrouve avec un résumé ou des impasses et de grosses parties non évoqués. Mais pour une bonne partie des numéros, ça reste important et je ne suis pas sûr qu'il y ait beaucoup de livres francophones plus complet. En fait le plus gros défaut que je ferai à la collection, c'est d'être incomplète et de ne pas avoir de numéro pour d'autres avions. Le Mig31, le B1B, le Vautour, les avions chinois, suédois, japonais (seul le zéro a le droit à un numéro) ... sont oubliés.
  21. ARPA

    A330 Beluga

    Actuellement il n'y a pas que 4 A300 Beluga ? Ils vont bien en construire 5, mais ça ne veut pas dire qu'il y en a 4 anciens.
  22. Je ne le connaissais pas. Un volume énorme (s'il est capable de transporter un A380, cela veut dire qu'il pourrait aussi transporter le Beluga XL) et une charge utile très importante (proche des 100 tonnes, s'il est dérivé de A380-800) Ce serait un avion de transport assez impressionnant, pas très pratique à charger, mais vraiment adapté pour les chargements hors nome.
  23. Si les finlandais (ou d'autres) veulent fabriquer des bidons et acheter du Rafale, RUAG pourra penser à une reconversion. Ruag est compétitif, mais un autre industriels politiquement mieux placé pourrait largement le remplacer.
  24. ARPA

    Le successeur du CdG

    Économiser une personne sur bateau, ça économise bien plus qu'un salaire. Ensuite s'il y a moins besoin d'entretien en mer, ça pourrait vouloir dire que les catapultes n'ont plus besoin de demander une période sans catapultage de "plusieurs" heures. Si ça permet de limiter les périodes sans vols, le gain opérationnels pourrait être assez important. Une indisponibilité plus courte permet peut-être même d'envisager de n'avoir qu'une seule catapulte. Une indisponibilité totale des catapultes devenant acceptable, il n'est plus nécessaire d'avoir une seconde catapulte qui permet d'être en permanence capable de catapulter en moins d'une heure. Et avec une catapulte plus fiable qui se recharge plus rapidement, la question du nombre de catapultes pourrait se reposer. S'il est plus long de recharger une catapulte que de mettre en place l'avion suivant, il serait peut-être possible de catapulter aussi vite avec un porte-avions mono catapulte électrique qu'avec le CdG et ses 2 C13. Les américains n'ont pas eu besoin de réfléchir au nombre de catapultes et ils ont optés pour 4 EMALS par PA (comme ils avaient opté pour 8 réacteurs nucléaires sur l'Enterprise) mais d'autres pays pourraient ne pas avoir le même raisonnement. Avec les catapultes à vapeur, on est obligé d'en maintenir une en "alerte" plus ou moins sous pression pour le cas ou il faudrait effectuer un catapultage, avec des EMALS, ce ne sera peut-être plus d'actualité s'il faut moins de temps pour préparer la catapulte qu'un avion. Même si les catapultes à vapeur sont fiable et d'une technologie éprouvée, on peut espérer de gros gains avec les EMALS. Bon, si les EMALS sont conçues n'importe comment, on peut en plus du coût avoir une fiabilité médiocre et un entretien excessif.
  25. ARPA

    Le successeur du CdG

    Nan mais sérieusement, on recherche un avion pour faire la guerre... pas juste pour depenser notre budget.
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