Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

ARPA

Members
  • Compteur de contenus

    12 372
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. ARPA

    [Rafale Marine]

    Déjà, on parlerait juste de réacteur de 8,3 et non 9 tonnes de poussée. Ensuite le Rafale M a le défaut d'être un biréacteur. Cela veut dire qu'on peut conserver l'avion même en cas de panne moteur (c'est bien) mais ça veut aussi dire qu'on doit donc prévoir de pouvoir décoller avec une panne moteur (donc seulement 83 ou 90 KN et non 166 ou 180 KN) et dans des conditions dégradés (à pleine charge à avec un PA qui est au ralenti) Sur un STOBAR, le biréacteur doit pouvoir perdre 50% de sa puissance au décollage, sur un CATOBAR, le biréacteur ne va perdre que l'équivalent de 20 ou 30% de sa puissance au décollage. A mon avis c'est d'ailleurs cette "astuce" qui rend les Tejas ou Sea gripen relativement crédible en STOBAR et qui explique aussi pourquoi les A4 étaient les premiers avions à pouvoir être catapulté d'un PA en pleine accélération.
  2. ARPA

    L'Inde

    Pour la marine il y a aussi le problème de l'appontage dissymétrique. Il n'est peut être pas possible d'apponter avec 3 bombes d'un côté et 0 de l'autre. Pour l'armée de l'air, s'il n'y a pas se problème, ça permet de larguer quand même 3 bombes donc d'être presque aussi efficace qu'avec une configuration 2*2 sans pannes.
  3. ARPA

    L'Inde

    Si je me souviens bien pour l'histoire du Rafale N (Naval ?), je crois qu'il s'agit quand même de développer (complètement) un nouvel avant. A l’origine, il y a eu l'avant du Rafale M (gros train renforcé de monoplace) qui a ensuite été allégé pour faire le Rafale C (train plus petit, mais même habitacle) qui a ensuite été "agrandi" pour pouvoir installer un second siège. Pour constituer un Rafale N, il ne sera pas possible d'installer l'habitacle du B sur le train du M vu que ça ne rentre pas. Il faudra donc refaire tout un développement avec des conséquences plus ou moins significatives (à priori perte du canon, réduction de la quantité de carburant...) S'il y a une demande export, c'est loin d'être impossible (cas du F1B développé pour vendre une trentaine de chasseurs dont 2 biplace au Koweït) mais il faut reconnaître que le marché risque d'être très réduit (limité à la marine indienne, le marché français sera au détriment de Rafale M et les autres clients risquent d'être assez rares) Ce qui est dommage, c'est que si le biplace embarqué avait été dans le cahier des charges dès le début du développement, Dassault aurait pu faire un N à alléger en M puis les alléger tous les deux (et de la même façon) pour en faire des B et C (ça me paraît même plus simple à développer que ce qui a été fait).
  4. ARPA

    L'Inde

    Tout dépend de la vision indienne des FAS. S'il s'agit juste d'une frappe "tactique" (avec une bombe lisse largué pas très loin de la frontière) on se rapproche plus de la mission des anciens escadrons de jaguar, de mirage IIIE ou des Rafale M que des missions "stratégiques" des biplace des FAS. Les FAS à la française, c'est quand même demander à l'équipage de faire un raid de plusieurs milliers de km avec plusieurs ravitaillement en vol avant d'effectuer le tir. Je ne suis pas sur que l'Inde dispose d'assez de ravitailleurs pour une telle doctrine. Pour bombarder le Pakistan, des Rafale C y arriveront aussi bien que des Rafale B.
  5. ARPA

    [Rafale Marine]

    Cela veut dire que la "structure" du Rafale (donc le Rafale sans tous ces équipements remplaçables) n'aura pas besoin de grosses révisions jusqu'à sa retraite? Pour la Marine, ça veut dire que les Rafale n'ont pas besoin de quitter le CdG pour leur maintenance. On peut se contenter de "petite" pièces transporté en hélicoptère.
  6. ARPA

    L'Inde

    Pour l'Inde, il faut se rappeler qu'on parle d'un pays qui aligne (ou voudrais aligner) presque 1000 avions de combats. Ce n'est pas parce qu'ils ont choisi le Su27 depuis presque 20 ans qu'ils n'ont pas besoin d'un (ou plusieurs) autre avion en grande quantité. Si le Rafale est un "échec" en Inde, on va se contenter de 36 avions. Si c'est un succès relatif (comme le Su27) on peut plutôt s'attendre à 2 ou 3 00. Mais si le Rafale ce révèle être un véritable succès (pas beaucoup plus cher que le Téjàs et aussi performant que les chasseurs lourds) on peut même espérer que l'Inde en achète plus de 500.
  7. ARPA

    Rafale, faire face dans les forums.

    Le pire c'est que même avec 3 clients exports et 84 (24+24+36) avions exportés, le Rafale fait encore un peu moins bien que le Typhoon (3 clients export et 96 avions) Pour l'instant on ne peut pas encore fanfaronner.
  8. ARPA

    [Rafale Marine]

    En temps de guerre ? C'est probable qu'on puisse s’asseoir sur la plupart des réglementations civile. De toute façon, s'il y a un problème et qu'il faut passer devant la justice, ce sera une justice militaire qui "comprendra" donc ce qui a pu le justifier. "Malheureusement" depuis la seconde guerre mondiale, la France n'est plus en guerre, pour rappel, la France n'était même pas en guerre pendant "la guerre l'Algérie".
  9. ARPA

    L'actualité du CdG

    Le but c'est pas aussi de "former" un maximum de pilotes avant la prochaine IPER ?
  10. ARPA

    L'Inde

    +1 C'est probablement une "coïncidence" mais si je me souviens bien, les dernières exportations d'avions de combat français (neuf) avant l'époque Le Drian ont été réalisé sous Jospin.
  11. ARPA

    [Rafale]

    +1 Si le Rafale entre en service (dans l'armée de l'air) en 96, ça veut toujours dire qu'on développe le mirage 2000D ? Le 2000-5F ? et même le SEM ? et le F8P ? Sur wikipédia on trouve pour le mirage 2000 cette description de la version D : Elle est demandée à la fin des années 1980, à la suite des retards du programme du Dassault Rafale, et initialement désignée Mirage 2000N' Et pour la version -5, sur le site de Dassault aviation, on trouve : Le Mirage 2000-5 Mk2 intègre de nouvelles technologies et des fonctionnalités souvent dérivées de l’expérience acquise au cours du développement du Rafale. Pour la marine, Les SuE ont été modernisés en SEM à partir de 93 et les Crusader ont été "modernisés" eux aussi en F8P à partir de 93. Le Rafale (M, B et C) disponible dès 96 et en version "polyvalente" aurait pu éviter le développement de 4 appareils. La capacité air-sol est peut-être moins prioritaire parce que même 96 c'était trop tard et que des solutions alternatives ont été mise en service dès 93 alors que pour la modernisation des capacités air-air a du attendre 97 et 2001 (pour la marine il a fallu attendre les MF1 plutôt que le F8P).
  12. ARPA

    [Rafale Marine]

    Sur la dernière page du topic "Aéronavale et avenir", c'était justement la question.
  13. ARPA

    Armée de l'air Argentine

    D'un autre côté, les argentins n'ont pas "besoin" de chasseurs pour se défendre de leurs voisins. Et si c'est pour "menacer" un de leur voisin ou faire une opération militaire, je crois qu'il faudra bien plus que quelques vieux KFir, F1 ou F16.
  14. ARPA

    [Rafale]

    C'est un sujet d'Uchronie que j'avais ouvert il y a quelques temps. Je ne sais pas vraiment à quoi aurait pu remplacer le Rafale de 96 (plus de budget pour le "Rafale", ça permet aussi de financer le RBE2, les AASM, les SCALP et les Mica ?) mais ce qui est sur, c'est que la flotte de mirage 2000 (D, -5 et -9) aurait payée cher l'arrivée du Rafale. A mon avis, les chances à l'export se serait limité au marché du mirage 2000 (en 96, c'est le mirage 2000-5 qui commence sa carrière) On pourrait presque espérer vendre le Rafale à la place des -5 ou -9 (taẅanais, qatari et éventuellement émirati puis grecque) mais pour les autres marché le Rafale se serait fait rejeter presque aussi facilement que le mirage 2000. Mais c'est vrai que pour les compétitions du début du XXIeme siècle, le Rafale aurait été plus crédible avec une centaine d'exemplaires déjà en service dans plusieurs forces aérienne et combat proven. D'ailleurs ce qui est "marrant", c'est que le gripen lui est bien arrivé comme prévu en 96. On aurait probablement pu se permettre de faire le Rafale dès 96.
  15. ARPA

    Les boomers du Juche

    L'autre gros problème d'une flotte de SLE (ou SNLE), c'est qu'on ne reçoit pas en permanence l'état du SLE. En cas perte, on risque de devoir attendre plusieurs heures/jours/semaines pour s'en rendre compte. Cela laisse donc un peu de temps à la flotte adverse pour détruire tous nos SLE. Une des solutions serait peut-être d'admettre que nos SLE coréens ne sont pas furtif et sont donc vulnérables. Comme nos SLE vont devoir "très" souvent se mettre en immersion périscopique (ils ne sont pas nucléaires) on peut en profiter pour avoir une liaison presque permanente (via un téléphone satellite ou autre) ce qui permet de confirmer que nos SLE sont bien opérationnels et qu'ils ne se font pas attaquer par les lâches capitalistes. Cette liaison aura le défaut de rendre nos SLE encore plus facilement détectable (et en cas de panne de téléphone, on risque de s'inquiéter un peu trop) Bon, on risque d'avoir quasiment en permanence des SNA américains qui "escorteront" nos SLE et un beau jour, on risque de voir les 4 ou 5 SNA américains effectuer une attaque coordonnée pour détruire nos 8 SLE.
  16. ARPA

    Les boomers du Juche

    Je crois que ça va être dur. Avec des SLE doté d'un rayon d'action de moins de 3 000 km et des missiles de 4 000 km de portée pour menacer un pays dont les principales villes se trouvent à plus de 8 000 km, ça va être dur d'être crédible. Il faudra développer des (au moins 2 pour en avoir toujours un en mer) navires ravitailleurs qui permettront d'augmenter la zone de patrouille des SLE. Pour avoir un SLE en position de tir, il faudra qu'il ait quitté son ravitailleur depuis plusieurs jours. Pour être crédible malgré une infériorité technologique (face aux SNA américains donc en ayant le risque de se faire couler un SLE), il serait bien d'en avoir deux en position de tir. Pour avoir 2 SLE en position de tir, il faudra quasiment en avoir en permanence 3 en "patrouille nucléaire" (donc après avoir fait le plein sur le ravitailleur et avant d'être revenu) On va aussi avoir des navires en transit de leur port d'attache vers le ravitailleur ou du ravitailleur vers le port d'attache. Les autres SLE seront en maintenance pour les préparer pour leur longue croisière. Pour que cette stratégie soit possible, on va avoir besoin d'avoir des SLE assez fiables, capable d'effectuer plusieurs missions d'affilés (un transit, une à plusieurs patrouilles puis un transit avec entre chaque mission une "escale" avec un ravitaillement en mer et éventuellement un changement d'équipage avec le bateau mer) L'idéal sera d'avoir des temps de transit bien plus court que le temps passé en patrouille. Si on compte 2 semaines de transit (presque 3000 km à 10 km/h) pour des patrouilles de 6 semaines et qu'on compte une patrouille par "mission" (avec les 2 transits, ça fait quand même 10 semaines de mer sans entretien) ça veut dire qu'on a besoin d'assurer 26 missions (donc 260 semaines de mer) par ans et on va avoir besoin d'avoir en permanence 5 SLE en mer (donc une disponibilité exemplaire). Si on arrive à assurer 2 patrouilles par missions (donc 16 semaines de mer, ça commence à devenir sérieux, surtout qu'on va passer à 22 semaines dès qu'il y a un incident et qu'on demande à un SLE de faire une troisième patrouille) on peut se permettre de n'avoir plus que 4 SLE en mer (ce qui devient un objectif crédible). La grande vulnérabilité de cette stratégie sera d'arriver à "sécuriser" la zone de transit puis les zones autour des navires ravitailleurs. Les 2 navires ASM auront beaucoup de travail et il faudra aussi demander à la flotte conventionnelle et au reste de l'armée (l'aviation en particulier) de protéger nos navire ravitailleurs. Pour être crédible, il faudra aussi assurer une disponibilité remarquable, il faudra disposer en permanence d'un navire ravitailleur au large. Nos SLE devront aussi avoir une disponibilité supérieure à 50%.
  17. ARPA

    Le F-35

    Cela aurait surtout été fait au dépend des derniers mirage 2000. Maintenant tout dépend de quoi on parle, en 96 on aurait eu un Rafale F3R avec météor, mica IR, AASM et SCALP ? ou juste un Rafale F0 avec magic 2 et AS30L ? L'avion de combat est de plus en plus un des multiples éléments du système de combat. Si le reste de son environnement n'est pas au point (ou pas adapté) on va avoir tout le système d'arme qui bug. A terme un des plus gros problèmes du F35 sera peut-être d'avoir coûté tellement cher qu'il ne sera pas possible de développer ou d'emporter des munitions modernes.
  18. ARPA

    Le F-35

    D'un autre côté, faire du CAS avec un avion furtif... c'est un peu du gaspillage. Si on compare avec un avion "comparable" comme le F117, beaucoup des défauts sont à relativiser.
  19. ARPA

    L'Inde

    Va dire ça à DCNS qui a reçu l'acompte pour les BPC russes. Si on veut remonter plus loin et rester dans l'aéronautique, Dassault est resté plusieurs années avec des mirage V (payé, produit, en attente de livraison) sur les bras.
  20. ARPA

    Le F-35

    Pourquoi il y a un problème sur le programme F35? À part qu'il coûte plus cher, qu'il soit moins performant et surtout qu'il ne soit pas encore en service...
  21. ARPA

    Le successeur du CdG

    En réalité c'est le principal argument qui justifie un "gros" PA. D'autres pays se permettent une escorte plus réduite, mais c'est parce qu'ils n'ont pas de SNA. Les LHA américains ("petit" PA accessoirement équipé de quelques avions) ont une escorte équivalente à celle du CdG. Maintenant, il faudrait voir quel serait la configuration d'une escorte d'un BPC (configuré en porte-hélicoptère de combat avec principalement des tigre) pendant que notre PA (et son escorte) sont en opération sur une autre zone (donc qu'il n'est pas possible de mutualiser l'escorte) D'ailleurs en l'absence de PA2, si on doit utiliser notre aéronavale quand le CdG est indisponible (ou occupé par un autre conflit) notre "PA2" sera en réalité un BPC avec des tigre. Il faudra peut-être demander à l'armée de l'air comment ils font pour avoir des détachements "utiles" de moins d'une dizaine de chasseurs. Sinon il est peut-être possible de retrouver de vieux amiraux qui ont connu l'époque du Foch qui a su se rendre utile même sans AWACS. Quand on voit que notre vénérable Foch équipé d'avions assez peu performant (par rapport à ceux de l'armée de l'air de la même époque) et relativement peu nombreux a pu représenter une grande partie de notre force de frappe de l'époque. Si on reprend l'exemple du Garibaldi, il faudrait remplacer les AV8B+ par des Rafale M (donc nettement plus performants du point de vue des capacités brutes, plus moderne...) et on compare avec des aviations terrestres nettement moins bien équipées (il y a de moins en moins d'avions en ligne, probablement 2 fois moins qu'à l'époque donc les 10 avions embarqués seront deux fois plus utile qu'à l'époque)
  22. ARPA

    Le successeur du CdG

    Je confirme, depuis longtemps, tu affirmes qu'il faut un PA géant car c'est plus performant qu'un petit PA. Je crois que tu as même fait l'effort d'expliquer qu'un PA géant était plus "rentable" qu'un petit PA. C'est un très bon raisonnement... sauf que si on n'a pas les moyens de se payer un PA2 plus gros que le CdG et des Rafale, E2C et hélicoptères supplémentaires et des navires d'escortes supplémentaires soit presque une dizaine de milliards d'euros ... bah tu n'as rien. D'ailleurs c'est un raisonnement excellent pour couler le PA2. La question d'un porte-avions plus "petit" doit surtout être vu comme un porte-avions constituant un GAN plus économique (avec moins d'avions et une escorte plus réduite). D'ailleurs, si on veut pouvoir s'en servir pour la formation des pilotes (ce n'est pas pour ça qu'on l'achète, mais ça permettra au GAN principal de ne plus s'en occuper) il faudra un navire presque de la longueur du CdG. Un PA2 pourrait être de la même taille que le CdG, mais nettement moins cher si on utilise une grande partie de l'espace disponible est utilisé par des soutes de carburants (ce qui limite le besoin d'un navire ravitailleur) Je pense qu'un GAN n'a pas besoin d'emporter au moins une trentaine d'avions de combat et d'avoir l'équivalent d'une task force américaine pour être utile. Un GAN à peine plus performant que les GAN (ex)anglais, italiens, brésilien ou indiens (mais avec des Rafale M et ponctuellement un E2C) offrirait déjà une capacité minimale en l'absence du GAN principal et une véritable capacité supplémentaire quand les 2 PA sont disponibles.
  23. Je ne suis pas sur que ce soit un véritable choix. La France "maîtrise" la conception des réacteurs civils, donc ce n'est pas tellement compliqué de développer un nouveau modèle spécifique aux besoins de la marine pour en produire seulement 6 exemplaires.Par contre s'il avait fallu développer un nouveau type de réacteur avec un nouveau type de carburant, il risquait d'y avoir un surcoût assez énorme (comme pour le Q244) Sinon maintenant on est arrivé à espacer les IPER de plus en plus et en même temps on se retrouve avec des technologie de plus en plus rapidement obsolète. Que tous les 10 ans, on soit obligé de faire une IPER et qu'on en profite pour faire une mise à jour de tout le système informatique ne me choque pas.
  24. D'un autre coté avec des SNA Rubis initialement prévus pour 25 ans de service... les garder encore en service devient dangereux. D'ailleurs pour rappel, le Rubis a été lancé 3 ans avant l'inflexible qui a été retiré du service il y a 8 ans (à une époque ou on s'est retrouvé avec seulement 2 SNLE)
  25. ARPA

    Mirage 2000 D

    Là, ça ne concerne qu'une guerre de courte durée. A moins qu'on se retrouve dans le cas d'un conflit très limité dans le temps (cas d'un conflit type Malouines, ou la reprise d'un territoire) on risque toujours de se retrouver avec une guerre de "longue durée" et le but principal de nos forces armées sera quand même de continuer à exister. A mon avis la grosse différence, c'est qu'en temps de guerre, l'armée a plus de moyens, moins de contraintes (par exemple on va arrêter de déployer plus de 4000 hommes avec matériel pendant une semaine sur Paris mi juillet) les militaires vont devenir une ressources presque au même titre que le matériel (en temps de guerre, il sera plus grave de perdre un SNA que son équipage) et de nombreux règlements pourront être modifié.
×
×
  • Créer...