Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

ARPA

Members
  • Compteur de contenus

    12 404
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. Ok, ça explique pourquoi les chars électrique n'ont pas vraiment été étudié. Il faudrait des moteurs électrique de presque 500 ch par essieux pour que ce soit significatif. Donc on peut difficilement envisager une solution multimoteur, donc on se retrouve à avoir besoin de quasiment le même moteur qu'actuellement. Bon même si on ne peut pas rajouter 1000 ch de moteur électrique, rien que rajouter deux petits moteur électrique permettrait de compenser la prise de masse du Leclerc (il a grossi de 6% donc pour conserver le même rapport poid puissance, il faudrait rajouter 90ch) Les deux. Un char avec peu d'autonomie a besoin d'une escorte de camion ravitailleur donc sa vitesse va vite être la même que le camion qui n'est pas tout terrain. Mais un char qui consomme trop (au km) va avoir besoin de beaucoup de camion pour ravitailler sa base. Une réduction de la consommation de 10% permettra de réduire de 10% le nombre de convoi d'approvisionnement.
  2. ARPA

    CASA CN-235, C-295 et divers

    Tu veux en plein désert arriver à noyer des barbus ? Déjà il te faudra vraiment beaucoup de précision pour arriver à les doucher et dans ce cas les casa vont voler très bas et se faire abattre.
  3. Pourquoi faire ? Ma question est sérieuse, le but du MBT est de proposer une cellule suffisamment blindée pour encaisser les coups et pouvoir riposter et détruire l'adversaire. En l'absence d'équipage, presque tout le blindage devient superflu, on pourrait presque opter pour un simple canon. Mais si on se passe de l'équipage, ça veut aussi dire qu'on ne peut plus invoquer la légitime défense pour tirer. Pour le moteur, je verrais bien une solution hybride. Un moteur diesel économique (qui consomme pas beaucoup et facile d'entretien) de 1000 à 1500 ch doublé par un/des moteur(s) électrique puissant et une grosse batterie. On commence à voir apparaître les camions hybrides, pour un char, cela permettrait de faire des économies de carburant, d'être plus réactif mais aussi d’être potentiellement plus discret (avec même la possibilité de traverser presque n'importe quel fleuve sur ses batteries sans limite de profondeur vu qu'il n'y a plus besoin de gaz d'échappement) En plus le char a beaucoup de "roues" donc on aurait pas besoin d'une puissance électrique particulièrement importante par roues (100 ch par roue, ça ferait 1800ch immédiatement disponible...), cela permettrait d'avoir un moteur thermique plus petit (juste assez puissant pour maintenir la vitesse maximale souhaitée) L'autre avantage des moteurs électrique, c'est qu'on pourra avoir plus de souplesse pour le moteur. Il ne sera peut-être pas impossible de se contenter de mettre 2 ou 3 moteurs de camions côte à côte plutôt qu'un moteur qui ne sera construit que pour le char. Bon je ne suis pas sur que ce soit le moteur qui coûte le plus cher dans un char (même en comptant sa consommation) mais opérationnellement c'est quand même un des reproches saoudien vis à vis du M1. Le carburant en mission de combat peut vite devenir une denrée très précieuse et ça impacte énormément la chaîne logistique.
  4. Dans le principe, je veux bien croire qu'on peut moderniser très longtemps un char lourd. Ses performances risquent d'être entre correct dans quelques décennies, mais si on parle vraiment d'une "modernisation" ça veut dire qu'on conserve de nombreux éléments donc on va se retrouver avec un char dont certains équipement pourraient approcher les 50 ans. Après 50 ans d'utilisation (ou même de stockage), les plastiques auront vieillis et même la structure métallique risque de présenter des points de rouilles. Et je préfère ne pas imaginer toute la partie "électronique", même sur les maisons on prévoit souvent de refaire l'électricité au bout de quelques décennies donc sur un véhicule... Le char Leclerc pourrait être encore crédible au delà de 2040, mais pour que ce soit le cas, je pense qu'il faudrait des chars relativement récent, pas ceux produit en 93 (ça leur ferait plus de 47 ans) et même les derniers produit (en 2007, donc ça leur fera plus de 33 ans) risque d'être vieux. Par contre si on peut recevoir des Leclerc neufs en 2030, ça change complètement la donne et ils pourraient rester utilisable encore plusieurs décennies. Les M1 sont encore modernisés et suffisamment performant, mais ils sont toujours produits "donc" il n'y a pas vraiment de problème en cas d'usure d'un char. Accessoirement, le Leclerc commence à se faire "vieux", il a entre 8 et 23 ans. Son moteur est toujours le même alors qu'on doit savoir faire des moteurs plus économe (donc meilleur autonomie) plus puissant (donc plus agile) et/ou plus fiable (donc un peu moins de panne). Sa carrosserie est presque la même (enfin le kit AZUR doit améliorer pas mal). Et même son canon principal est le même alors qu'un canon des 140 mm a été "étudié pour le Leclerc. Sans parler de faire un char complètement différents, il me paraîtrait envisageable de profiter de la relance de la production pour proposer des améliorations.
  5. A propos, comment on définit nos besoins en char lourd ? Si l'objectif est "juste" de faire comme pendant la première guerre du Golfe donc de pouvoir déployer 44 char lourd sur une courte période ou de pouvoir sur des période plus longue déployer un détachement d'une vingtaine char, on pourrait se contenter d'un format d'une centaine de char. Et même une centaine de char, avec une très bonne disponibilité, ça permettrait d'en déployer 70/80 à la frontière comme le font les EAU. Et si on réduit "provisoirement" les effectifs, est-ce qu'il sera possible de remonter rapidement en puissance (par exemple, on passe de 4 régiment à 2 puis dans X années quand la production de Leclerc aura bien repris et qu'on en éprouve le besoin, on repasse en quelques années à 4 régiments) Et quel est le marché des char lourd ? Je crois que jusqu'à il y a peu, il était saturé par les milliers de T72, Léopard 2 et M1 issus de la guerre froide qui pouvaient être plus ou moins modernisé. Mais les occasions vont bientôt être trop vieilles pour être crédibles (ça fait déjà 25 ans) donc il va peut-être y avoir un marché pour des char "neuf" et dans ce cas la concurrence n'est pas très importante (T90 russe, M1 américain, type 99 chinois, puis éventuellement les Merkava israélien, Altay turque, K2 coréen et... c'est tout ? le marché des avions de combat est encore plus développé) Est-ce qu'on aurait des chances de trouver d'autres clients export si on relance la production du Leclerc ?
  6. La France a reçu plus de 400 Leclerc et on ne prévoit de n'en conserver que 200. Cela veut dire qu'il y a presque 200 chars (en plus ou moins mauvais état) qui peuvent être revendu (pour servir directement, pour être plus ou moins fortement modernisé, pour former les nouveaux équipage, pour accélérer la relance de la chaîne de production...) En plus si le Leclerc est en production, ça veut dire qu'on peut se permettre de ne plus avoir de réserve "stratégique" vu que dans 10 ans (ou plus) on pourra décider d'en commander de nouveaux sans avoir besoin d'une grosses commandes. Autant en l'absence d'usines on peut dire qu'on a "besoin" de conserver des carcasses de Leclerc en réserve pour pouvoir les restaurer/moderniser et augmenter nos effectifs, autant avec une chaîne de production ouverte on peut se permettre de ne plus avoir de réserve. Une revente d'occasion de nos vieux Leclerc à l'Arabie Saoudite suppose une relance de la production pour au moins 10 ans. Financièrement, la revente d'occasion puis l'économie apportée par une réduction du nombre de carcasse de Leclerc à entretenir pendant 10 ans (il faut au moins les conserver à l'abri si on espère pouvoir s'en resservir un jour) pourrait financer l'achat de quelques Leclerc à la fin de la production saoudienne (il faut juste qu'on le veuille et qu'on ne préfère pas juste faire des économies). Pour ceux qui aiment les char, je trouve qu'il s'agit d'une capacité "stratégique" et on aurait tout intérêt à maintenir une chaîne de production ouverte. Vendre 500+ (j'ai lu des besoins jusqu'à 800 char lourd pour l'AS) Leclerc neuf nous permet aussi d'avoir un peu de temps pour trouver d'autres clients (le Qatar n'a pas pu s'équiper le Leclerc neuf par exemple, le choix des Léopard était peut-être du à des occasions en meilleurs état et à un plus gros stock de rechanges) et ça nous permet aussi de l'améliorer au point qu'on voudra peut-être remplacer les nôtres. Sur Wiki, nos Leclerc sont décrit comme prévu pour rester en service jusqu'en 2040. Si on compte une production pour l'export jusqu'en 2030 (si la cadence de production n'est pas trop élevé, ce serait crédible rien qu'avec l'AS) on pourrait commander une nouvelle série de Leclerc (bien modernisé et plus performante que ceux d'aujourd'hui) ce qui nous permettrait de repousser leur remplacement de plusieurs décennie.
  7. Il faudrait probablement prévoir des étages histoire d'augmenter significativement la surface au sol. Si on se contente juste du cylindre, on a à peine 3 km2 ce qui fera une assez grosse densité de population (mais ça reste raisonnable et c'est moins que beaucoup de ville) Maintenant et surtout si on prévoit en réalité d'envoyer une flotte de "plusieurs" (entre 2 et 6) vaisseaux qui resteront quasiment à porté de navette (pour envisager quelques échange de personnel ou d'outils), on peut envisager des vaisseaux relativement peu peuplé (quelques grosses familles plutôt qu'une petite ville)
  8. Pour les satellites, on peut aussi en profiter pour les remplacer. A mon avis, si on utilise un vaisseau type Orion (décollant depuis la Terre), il faudrait le faire le moins souvent possible et uniquement si on ne peut pas faire autrement. La construction d'un vaisseau Orion de quelques centaines de tonnes (on arrive à 400 avec l'ISS) devrait être mis en orbite terrestre par des moyens conventionnels sinon il ne justifie pas l'usage du nucléaire. On saurait même faire des fusées capables de mettre en orbite une charge utile unique de plusieurs centaines de tonnes (d'après les projet post Saturne V) donc associé à un assemblage du vaisseau en orbite, on doit arriver à un Orion de plus de mille tonnes mis en orbite conventionnellement. De même un vaisseau Orion devra utiliser la fusion pour limiter la pollution, on arrive donc à un vaisseau de plusieurs milliers de tonnes. La consommation de matière fissile étant presque la même quelque soit la taille du vaisseau (tout dépend du rendement des bombes) on en arrive à souhaiter le vaisseau le plus gros possible donc la solution d'un vaisseau de plusieurs millions de tonnes est tout à fait crédibles. Dans ces conditions, il devient envisageable d'embarquer quelques centaines de satellites pour remplacer tout ceux de l'orbite terrestre. Ce serait à vérifier, mais je crois qu'on ne dépasse pas les 1000 tonnes de satellites par ans (et je suis très large) donc avec une durée de vie moyenne de 20 ans, avec seulement 20 000 tonnes de satellites, on renouvelle tout le parc spatial. Enfin on arrive aussi à une autre complexité. Si le vaisseau Orion parait utile pour propulser un vaisseau de plusieurs millions de tonnes (jusqu'à 80 d'après Wiki), il faudra concevoir un vaisseau bien plus gros que le plus gros des navires qui n'atteint même pas le million de tonnes.
  9. Je vous trouve assez pessimistes et peu motivés par cette "possible" exportation du Leclerc. Les Saoudiens sont d'ancien client de char français (les AMX30) ils ont 450 M60 "obsolètes" à remplacer et on leur a refusé l'achat de 700 Léopard, il n'est pas forcément absurde de les voir s'équiper de Leclerc. Et leur besoins pourraient assez vite être suffisamment important pour justifier la réouverture de la chaîne de production. S'ils commandent autant de Leclerc que ce qu'ils voulaient de Léopard, on assistera presque à un doublement de la production des Leclerc. Et cela pourrait aussi justifier de "petites" améliorations. Entre un canon plus gros, une motorisation plus sobre/puissante (hybride ?), des blindages plus performants... il y aurait moyen de faire un Leclerc NG encore plus performant et qui pourra ensuite équiper l'armée française (avec une commande de 700 chars, on a presque 10 ans de production, si on rajoute quelques années de développement, la fin de production pour l'Arabie Saoudite vers 2030 coïncidera quasiment avec le remplacement de nos Leclerc)
  10. L'Uchronie pourra commencer dans 6 mois quand on va découvrir une planète presque identique à la Terre et d'après les estimations des gaz cohérents avec une vie comparable à la notre. Cela voudrait dire qu'un gros Orion (de 8 millions de tonnes ?) fonctionnant avec des bombes à fusion (donc plus de 100 KT chacune) et décollant d'un pôle (le sud, c'est le moins peuplé ?) pourrait ne pas être inenvisageable ? Même si la zone est localement irradiée, ça n'empêchera d'envisager de s'en resservir pour un autre Orion (si on veut lancer un petite flotte ou si on veut faire des aller et retour les Orion servant de grosses "navette") vu que les Orion seront protégés contre les radiations (pour résister à leur bombes mais aussi aux radiations cosmiques)
  11. ARPA

    Aéronavale US

    Les S2 et C1/E1 de l'USNavy qui ont retrouvé du service comme E1, C1 et KC1 au Brésil.
  12. ARPA

    le devenir de nos TCD

    L'opération baliste en 2006 au Liban.
  13. ARPA

    le devenir de nos TCD

    Le BPC, c'est plutôt 1500 "réfugiés" sur une courte période. (nombre estimé "raisonnable" et il y a déjà eu 1376 passagers en mission réelle)
  14. ARPA

    [Rafale]

    Le soutien n'a pas besoin d'être particulièrement compliqué pour ne pas arrivé à suivre. C'est déjà arrivé sur un théâtre qu'on ait une indisponibilité assez énorme (enfin 2 ou 3 nacelle HS par manque de pièce et il n'en restait plus qu'une)
  15. ARPA

    [Rafale]

    Pour que la question se pose vraiment, c'est qu'il faut arriver à "voir" un Rafale avec son ASMP en vol. Donc ça suppose que le chasseur adverse qui voit ça est presque en position de tir. Pour un pilote de l'aéronavale, voir un exocet servant à couler son PA ou voir un ASMP qui en plus de couler son PA coulera aussi la poussière navale qui l'escorte ne doit pas changer grand chose. Si le missile est repéré en vol, il faut être assez proche et ça ne laisse que quelques (10 ?) minutes pour réagir, vu qu'il s'agit d'un missile furtif la question risque en réalité de se poser après l'explosion. En plus la cible doit être relativement à proximité (moins de 500 km et probablement dans l'axe de l'avion) Pour les missiles balistiques, il y a presque 30 minutes de vol et ils sont repérés presque immédiatement sans qu'on sache leur cible (Moscou ou Bagdad) Avoir un doute sur un missile qui risque de détruire la flotte ou une petite partie du pays, ce n'est pas la même chose qu'avoir un doute sur un missile qui peut emporter une douzaine de tête nucléaire qui risque de tuer les dirigeants d'un pays et sa capacité de riposte instantanée.
  16. Si l'objectif c'est d'avoir 5% de la vitesse de la lumière (donc un siècle pour l'étoile la plus proche) puis de décélérer ensuite, il faut assurer une variation de vitesse équivalente à 10% de c donc 30 000 000 m/s. Si on se contente d'avoir un vaisseau avec 99% de sa masse en carburant, il faut une ISP de presque 700 000. Pour les "propulsions nucléaires pulsés" (type orion ou mieux médusa) on a du mal à atteindre (théoriquement) les 100 000. Il y a la propulsion par fragement de fission (selon wiki) qui pourrait permettre d'atteindre une ISP de plus de 1 000 000, mais ça reste encore trop théorique (quoique s'il faut construire un vaisseau géant, ça peut être envisagé) Maintenant si on veut se contenter d'une ISP plus faible, on peut réduire la vitesse. C'est possible si on accepte un vol plus long, je ne suis pas sur que ce soit complètement inenvisageable. Une durée de vol d'un siècle promet à quasiment tout l'équipage d'espérer que leur enfant arrivent à destination et pour peu qu'on parle d'un équipage très jeune, certains peuvent même espérer mourir sur la nouvelle planète. Une durée de vol de 2 siècles permettra au plus vieux membre d'équipage le jour du débarquement de dire qu'il a connu quelqu'un qui est née sur Terre. Mais de toute façon le vaisseau devrait conserver un moyen de communication avec la Terre (avec quelques années de décalage) et une très grosse base de donnée, donc il est possible qu'un vol de plusieurs siècles soit humainement réalisable. Il s'agira "juste" d'une micro-communauté qui devra vivre en autarcie totale en se contentant d'échange d'information avec le reste de l'humanité. Si le vaisseau (ou la flotte de vaisseau) est assez grand (pour un million d'habitant ?) une durée de vol de 1000 ans est presque envisageable. La question du % de carburant embarqué dépend aussi de la taille du vaisseau et du type de carburant utilisé et permettrait de réduire encore l'ISP. Si le vaisseau doit être construit de toute pièce en orbite terrestre (car pas assez puissant pour décoller seul) et qu'on doit aussi l'approvisionner en carburant, on va devoir utiliser les fusées actuelles qui sont déjà presque 100 plus grosse que leur charge utile. Chaque tonne de charge utile risque de demander (au moins) 100 tonnes de carburant et donc 10 000 tonnes de fusée sur terre. S'il faut réduire (significativement) le % de charge utile du vaisseau, on va devoir augmenter d'autant la quantité à mettre en orbite (donc à payer) et on arrive vite à une aberration pour une mission qui demandera une charge utile conséquente. Maintenant si on peut décoller de la terre (donc rapport poussé/poids >1) ou d'un autre astre du système solaire (Mars, la Lune, l'astéroïde du coin...) qui aura servi à la construction du vaisseau en fournissant la quasi-totalité de la matière première du vaisseau, la masse a beaucoup moins d'importance donc on peut envisager un vaisseau de 8 000 000 de tonnes (ça a été étudié comme limite max pour un Orion rentable) qui même avec 0,01% de charge utile permet de transporter 800 tonnes de charge utile. Maintenant si on arrive à utiliser du carburant basique qu'on trouve en quantité presque illimité sur l'astre qui a servi à la construction du vaisseau, on peut envisager une charge utile vraiment très réduite. Par exemple si on transforme un astéroïde en vaisseau pour abriter une petite population mais que tout le reste de l'astéroïde peut être utilisé comme carburant, on a plus de problème lié à la quantité de carburant. Il y a presque toute les tailles comme astéroïde, donc s'il faut un utiliser un de la taille de pluton pour permettre à une ville d'atteindre un autre système solaire, ça ne me choque pas plus que ça et je ne crois pas que ça manquera beaucoup à notre système solaire. D'ailleurs si on doit utiliser quelques vaisseaux type super Orion (400 m de diamètre, 8 millions de tonnes et utilisant quelques centaines d'explosion nucléaire pour décoller de la terre) qui serviront à construire le vaisseau générationnel sur cet astéroïde puis qui pourront servir de navette une fois arrivé à destination, ça ne me choquerait pas et cela causerait moins de radiation sur terre que l'ensemble des essais nucléaire déjà pratiqués (qui ont fait moins de dégâts que le simple accident de Tchernobyl) Si on accepte une durée de vol de 1000 ans (donc vitesse de croisière de 0,5 c) pour transporter une petite civilisation qui a intercepté un astéroïde mille milliard de fois plus lourd qui servira intégralement de carburant, on peut se contenter d'une ISP de 10 000 (ce qui est "largement" compatible avec un super Orion qui demande d'ailleurs un combustible composé en grande partie partie de "matière inerte" donc il reste envisageable de trouver un astéroïde exploitable avec cette technique) La question du système de propulsion est une question complexe, mais ça reste loin d'être insurmontable et ça dépend de beaucoup de facteur. Si on me dit qu'on arrive à faire un "vaisseau de colonisation" qui n'a besoin que d'une tonne de "charge utile" (des embryons congelés et des robots qui construiront des robots arrivés à destination) et qui peut voyager pendant plusieurs centaines de milliers d'années, un simple tir d'Ariane V pourrait suffire. Si j'ai ouvert ce topic, c'est aussi parce que j'ai peur que notre civilisation ne soit plus capable de faire un "vaisseau" capable de tenir plus que quelques années. Les pharaons pouvaient faire construire des pyramides capable de tenir des milliers d'années, les romains des temples qui tenait des centaines d'années, presque un millénaire, même au moyen age on savait faire des cathédrales pour plusieurs siècles. Mais maintenant je crois qu'on est incapable de faire un ordinateur capable de fonctionner plus de quelques décennies. Et je parle du matériel, pour l'équipage c'est presque pareil. Les troupes romaines étaient recrutées pour une décennie de mission loin de leur foyer, les marins qui ont découvert l'Amérique sont parti pour plusieurs années et actuellement on trouve ça trop compliqué de faire une mission qui demande plus que quelques mois d'isolement. On pourrait aussi rajouter que la recherche de rentabilité sous 4 ou 5 ans (le temps d'une présidence) n'aide pas au développement d'un programme à très long terme.
  17. ARPA

    [Rafale]

    Je crois que les ASMPA sont facturé plus de 10 millions l'unité et sans compter la tête nucléaire. Un super exocet à ce prix risque de ne pas nous intéresser. Et puis si c'est juste pour atteindre des cibles "stratégiques" on va se retrouver avec une arme utilisable uniquement contre des pays qu'on ne peut pas affronter conventionnellement. Autant se contenter de l'ASMP (qui est bien plus précis que les M51, donc je ne suis pas sur qu'il ne soit pas déjà assez précis pour une frappe anti-navire)
  18. L'armée de terre des EAU qui les utilise ? Sinon depuis le dernier produit en 2007, il ne serait pas possible d'améliorer encore ce char ? De toute façon même si les machines outils ont été conservé, il manque les ouvriers (ou ils ont été filmé comme pour la chaine du F22 ?) donc la relance de la production ne sera pas immédiate. En 10 ans, il a du y avoir des progrès technologique (rien que sur la motorisation) qui permettrait de faire un Leclerc NG encore plus redoutable. Enfin tout dépend des besoins saoudiens.
  19. non... On risque d'aller loin comme ça... Je ne vais pas te faire un cours de physique, mais il te suffit d'un contre exemple ? Les gaz d'éjection des fusée dépassent rarement les 5000 m/s et la plupart des satellites ont une vitesse supérieure. L'ISS doit aller quasiment à 7 000 m/s... c'est à dire à presque 130% de te vitesse maximale. Maintenant si on devait construire un vaisseaux générationnelle, je pense qu'il serait possible de dissocier la partie habitable de la partie propulsion. Techniquement on "doit" pouvoir construire un vaisseaux générationnel capable de tenir plus d'un siècle, mais vu que ça n'a jamais été fait (aucun système informatique n'est prévu pour tenir aussi longtemps) on risque de mettre plusieurs décennies à le construire puis à le tester. La question de la motorisation se posera ensuite. Il est donc possible d'utiliser une motorisation pas encore au point.
  20. ARPA

    Bulgarie : Armée de l'air

    Je crois que c'est pour la Pologne qu'est évoqué le F35... Cela permettrait donc à la Pologne de revendre les Mig29 ex allemand aux bulgares.
  21. "Théoriquement" même avec une classique propulsion chimique on peut arriver à maintenir une poussée levé pendant très longtemps. C'est juste qu'il faut une fusée à 3 étage pour permettre quelques minutes de poussée donc il en faudra probablement une à plusieurs centaines d'étages pour assurer la poussée pendant assez longtemps. Déjà que la charge utile d'une fusée correspond à peine à 1% de sa masse, la charge utile d'un vaisseau spatial risque d'être encore plus ridicule. Mais ça ne veut pas dire pour autant que c'est "techniquement impossible", c'est juste financièrement impossible. Dans le projet Daedalus, avec du carburant nucléaire, ils arrivent à propulser 1% de la masse du vaisseau (composé donc à presque 99% de carburant nucléaire) à 12% de la vitesse de la lumière.
  22. ARPA

    Bombardier lourd franco-anglais.

    L'uchronie commence seulement 2 ans après le lancement des études du Concorde et donc 5 ans avant le premier vol du prototype/démonstrateur et 12 ans avant sa mise en service. Je suis d'accord qu'il faut rester le plus réaliste possible, mais là l'uchronie arrive assez tôt pour modifier la conception de l'avion et donc ses caractéristique. Maintenant concernant la soute, c'est peut-être un détail qui n'a pas trop d'importance. La vue d'artiste de Concorde bombardier et les études envisageant un dérivé militaire de la Super Caravelle proposent plutôt un avion sans soute mais emportant des missiles sous voilure, un peu comme le B58. Si en plus des missiles on envisage des "conteneurs largable" qui pourraient être utilisés comme une soute et permettant l'emport de plusieurs bombes, on arrive à une situation opérationnelle vraiment très proche de l'avion avec soute. Pour revenir à l'uchronie, une des conséquences aurait pu être un Rafale Mono-réacteur. Un des "défauts" du Concorde aurait été son réacteur trop gourmand et éventuellement trop lourd et pas assez puissant. Le Rafale a une puissance globale assez proche d'un unique réacteur de Concorde donc un Rafale mono-réacteur équipé d'un unique réacteur de 17 tonnes (quasiment comme le F35) pourrait être envisagé avec comme objectif second de permettre une remotorisation des Concorde. Une motorisation plus moderne permet de réduire la consommation (donc la masse de carburant) ainsi que la masse des moteurs et un avion plus léger permet presque d'envisager des moteurs légèrement plus petits.
  23. ARPA

    Bulgarie : Armée de l'air

    Les polonais ont trop de pièces détachés ou ils prévoient de remplacer leurs Mig ? Ou c'est juste une opération comptable les polonais servant d'intermédiaire entre Mig et la Bulgarie.
  24. Pas vraiment en fait. On ne parle pas de la capacité de l'A400M de faire du vol en basse altitude, mais du pilote automatique. Pour la France, on a des pilotes qui savent faire du vol en basse altitude, "donc" on n'a pas besoin que le pilote automatique sache le faire. Pour l'Allemagne...
  25. ? Pour le 14 eme message déterrer un sujet vieux de plus de 7 ans pour écrire des erreurs dès la première phrase. Pour rappel, les pharaons étaient "blancs" (comme Cléopâtre), mais c'est vrai qu'il y a eu une dynastie de pharaons (suite à une invasion nubienne) qui a été noire.
×
×
  • Créer...