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ARPA

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Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. Honnêtement, vu le sujet, je ne conçois pas qu'on puisse être catégorique. On peut affirmer que certains modèles de leurres sont sans intérêt et qu'à ta connaissance, il n'y en a pas d'autres. Mais ça reste une info peu pertinente vu le sujet...
  2. Avec "moins de 300 TN" pour les 3 SNLE et les FAS, il n'y aura pas 160 têtes nucléaires pas SNLE. Mais si on compte les leures, il faudra peut-être bien plus que 320 intercepteurs.
  3. ARPA

    [Rafale]

    Dans son exemple, le Rafale n'a clairement pas besoin de M88 fournissant plus que 75 KN au niveau du sol. Il a besoin de M88 capable de fournir plus de puissance qu'actuellement à haute altitude. Donc un M88 toujours limité à 75 KN (et 50 à sec) serait suffisant s'il est un peu plus puissant à haute altitude (quand le M88 classique doit plutôt fournir 25 KN...) Donc il est tout à fait possible qu'on ne le sache pas si on met en service un nouveau M88 "plus puissant" mais fournissant 75KN. Mais j'avoue ne pas comprendre le commentaire. En phase de ravitaillement en vol, la consommation du réacteur ne devrait pas être un problème. Je crois que sur Jaguar et mirage IV, il était prévu de pouvoir utiliser la post combustion lors du ravitaillement en vol donc ne manquaient plus de puissance. Et l'argument "si le moteur n'est pas assez puissant l'avion sera rattrapé par un missile" restera valable jusqu'à ce qu'on installe des Vulcain à la place des M88. La réponse de la DGA ne me surprend pas tant que ça s'il n'y a pas plus d'argumentation.
  4. ARPA

    Le F-35

    Certains détachements en OPEX ont (eu) un rythme très proche des 1000 heures par ans. Mais probablement au dépend de l'activité en métropole... Maintenant si on parle du F-35 (je crois que c'est le sujet...), j'ai l'impression qu'il y a une autre définition. On parle d'une capacité "industrielle" de suractivité de 10% de la flotte... ce qui ne veut pas dire grand-chose sur la capacité de quelques F-35 en opération.
  5. ARPA

    Le F-35

    J'ai beaucoup de mal à comprendre ce que représente la capacité de surge. Pour le Rafale, on explique qu'on peut passer à 350 heures par mois, ou qu'on a fait 1000 heures par ans... mais pour une micro flotte avec un soutien logistique et humain considérable qui fait qu'en pratique ce surge n'augmente pas le nombre d'heures de l'ensemble de la flotte. Cette capacité ne permet "que" de compenser une attrition conséquente ou de concentrer toutes nos heures sur quelques avions (en OPEX...) Pour le F-35, j'ai l'impression que la capacité de surge est liée à la disponibilité "ponctuelle" de pièces détachées, donc ça permettrait d'augmenter pendant quelques semaines/mois le nombre d'heures totales de la flotte... avec des conséquences peut-être dramatique sur la livraison de nouveaux avions servant à compenser l'attrition qui risque d'être associée à la guerre nécessitant une augmentation de l'activité. Je ne suis pas loin de penser qu'on compare les choux et les carottes. Pour le F-35, une "légère" augmentation de l'activité mondiale qui ne serait exploitée que par un petit nombre d'avions pourrait être très significative (si c'est possible...) Dans tes post, tu expliques aussi que ce n'est possible que si nous avons les mécanos (et les pièces détachées...) pour "extraire" ces 350 heures de potentiel par avions. Si on n'a des mécanos (et des pièces détachées, et du budget...) que pour X milliers d'heures par mois, je ne suis pas sur qu'on puisse augmenter ce nombre. Pour la France, ces 2900 heures en 2 mois, ça revient à augmenter notre activité de presque 50%. Il faut avoir de la marge humaine pour se le permettre. Pour le F-35, l'objectif de 10% d'augmentation me paraît beaucoup moins contraignant. Évidemment, je pense qu'on doit pouvoir se permettre une augmentation de notre capacité mensuelle. Mais notre flotte de Rafale ne peut pas globalement faire 350 heures par mois, c'est à dire en un mois d'opérations faire plus que notre activité annuelle. L'exemple des 4 Rafale suffisant pour en maintenir 2 en permanence en vol n'est crédible que sur une très courte période (en jours, pas en semaines) et surtout avec une équipe de soutien qui serait fortement renforcée par l'industriel voir un autre pays qui a beaucoup plus de Rafale. Le gros avantage du Rafale serait que nos 10 Rafale qu'on baserait dans le Pacifique face à la Chine pourraient (durablement) faire ces 2900 heures pendant que nos 130 Rafale métropolitain réduiraient leur activité. Mais je ne crois pas qu'on soit capable de faire autant d'heures de vols avec nos 140 Rafale que l'ensemble de la flotte de 900 F-35. C'est peut-être possible sur quelques jours ou une semaine, mais sur un mois ça me paraît improbable et c'est impossible sur un an. La canalisation de quelques Rafale et une priorité pour le soutien français plutôt qu'export devrait régler le problème de disponibilité en pièces détachées, mais il reste à trouver assez de mécaniciens pour fournir toutes ces heures de vols.
  6. ARPA

    Le F-35

    Pour "défendre" le F-35, 10% d'augmentation, ça correspondrait donc à 2900 Heures en 2 mois pour la flotte de F-35. Pour la flotte française de Rafale, je ne suis pas sur qu'on arrive à rajouter 2900 heures en 2 mois sur l'activité globale. Bon, 2900 heures pour 900 F-35, ce n'est pas brillant...
  7. ARPA

    [Rafale]

    Par accident, ils ont survolé un PC parfaitement défendu et je crois même qu'ils sont passés quelques instants après d'autres chasseurs donc la DCA était en alerte.
  8. Suite à la vente croate, la France n'avait pas prévu d'acheter des AESA pour compenser ? Cela devait permettre d'avoir un nombre plus réduit de Rafale mais plus performant ? Si cela se fait, ça veut dire que la France va se retrouver avec plus de Radar que de Rafale. On pourrait très bien offrir quelques PESA.
  9. ARPA

    [Rafale]

    Bof. En cas de conflit type Ukraine, il ne serait pas choquant que le pilote de chasse passe de 180 heures par ans à plus de 3000.
  10. ARPA

    [Rafale]

    Non, pas vraiment. Pour les autres avions, on réfléchit justement que chaque avions ne permettent de fournir que XX heures par ans donc on peut définir notre nombre d'avions par le nombre d'heures de vols annuelles. Pour le Rafale, on aboutirait à un nombre ridicule donc il faut plutôt calculer le potentiel d'heures de vols qu'on pourrait avoir besoin sur la carrière du Rafale. Pour la France, on a la possibilité de compléter nos effectifs par une commande supplémentaire, donc on n'a même pas besoin d'avoir assez d'heures de vols pour les 10 prochaines années, juste assez jusqu'à la prochaine livraison qui en cas de besoin sera prioritaire par rapport à l'export. D'ailleurs en pratique, on a rarement besoin d'avoir l'avion à plusieurs endroits. Dassault a annoncé qu'en cas de besoin (sur une courte période...) on pouvait faire 300 heures par mois. Le besoin Suisse de 2 avions en l'air H24 pendant 14 jours pour des évènements internationaux planifiés, ça veut dire 4 Rafale... Pour un avion limité par son nombre d'heures annuelles, on posera clairement la question du nombre de fois qu'il peut y avoir des évènements de ce type par ans et un pic d'activité sur 2 semaines n'est pas forcément possible. Il faudrait aussi prendre en compte la facilité de projection à grande distance. Les détachements ont "souvent" un avions de "trop" pour pouvoir compenser une indisponibilité. Nos détachements ne sont qu'à quelques heures de vols d'un autre détachement ou de la France, donc on peut mutualiser les avions en alerte. Ça ne sert à rien d'avoir un avion en alerte à 6 heures si un autre avion est en alerte à 1 heure à moins de 3 heures de vols. Cela veut aussi dire qu'on n'a pas besoin de prévoir de quoi dépanner une panne complexe qui demandera plus de temps que la livraison d'un nouveau Rafale qui viendrait accompagné de l'equipe de dépannage spécialisé. On a l'exemple caricatural du déploiement dans le Pacifique. On n'a pas besoin de maintenir des avions en alerte dans le Pacifique pour dissuader un PA chinois, parce qu'on a déjà l'equivalent d'une alerte à 2 ou 3 jours. Si on parle de l'armée de l'air, ça se réduit à une marge de 1 avion... ou éventuellement 25 si on compte les reventes, mais c'est un choix et planifié. Et il faut juste tenir 4 ou 5 ans jusqu'à la prochaine livraison, pas besoin de prévoir 30 ans de pertes. Avec une cadence annuelle de 30 Rafale, si on se permet la réquisition, on peut renouveler toute notre armée de l'air en 5 ans. Si en plus on se permet de surexploiter nos Rafale et qu'on peut se contenter d'une cinquantaine d'exemplaires, on réduit même le temps de renouvellement à 2 ans... Pour la Marine, l'effectif complet correspond à moins d'un an de production.
  11. ARPA

    [Rafale]

    Je crois qu'un AirFan avait essayé de calculer le besoin en avion de combat. Sauf que le Rafale peut fausser une grosse partie des calculs. On arrivait à un calcul du style : on a besoin de 250 pilotes donc 45 000 heures donc 180 avions en ligne donc 225 en comptant ceux en grande maintenance... Avec le Rafale, on supprime quasiment les 45 avions en grande maintenance. Donc 180. Puis on réfléchit qu'on peut passer de 250 heures annuelles à presque 1000, donc on passe à 45. Puis on se dit que les simulateurs peuvent réduire nos besoins de 20% donc une quarantaine de Rafale suffiraient pour occuper nos pilotes et on peut encore en placer certains en "2ème cercle" sur PC21. Donc avec le Rafale, le nombre d'avions de combat ne dépend plus de notre nombre de pilotes. On calcule donc autrement avec XX avions de nécessaires pour les OPEX, XX pour la PO, XX pour les FAS, XX pour un conflit conventionel, XX pour l'entraînement... puis on se dit que la plupart des avions peuvent être mutualisés et compter pour plusieurs missions. Donc on se retrouve avec un nombre global finalement pas si élevé que ça. J'ai l'impression que le nombre de Rafale en service n'est pas directement lié à nos missions, mais plutôt à une logique industrielle ou économique. Il faut donc un besoin suffisant pour justifier le développement du Rafale, puis des commandes suffisantes pour maintenir la production le plus longtemps possible, puis des effectifs suffisants pour pouvoir en revendre d'occasion à une armée de l'air cliente...
  12. Non, mais ma belle-mère par contre...
  13. Est-ce que le but n'est pas justement d'avoir une "chèvre" ? Honnêtement, même avec des Exocet, la frégate pourra aussi facilement se faire couler en temps de "paix". Si on se limite à de la légitime défense, on doit attendre de se faire tirer dessus (et non juste viser) pour riposter donc l'armement n'augmente pas vraiment les chances de survie du navire. On attend donc qu'une Lafayette soit touchée ou même de préférence coulée avec un drame national (120 morts) pour pouvoir riposter avec les autres frégates et l'aéronavale qui couleront la flotte adverse puis s'il s'agit d'un pays de 2 ou 3em rang, on pourra "légitimement" renverser le gouvernement qui a osé nous attaquer. Bon, je reconnais que mon raisonnement est cynique et que je ne prévois pas de mettre les pieds sur une Lafayette ...
  14. Pour le ravitaillement en vol, on a l'option "bombardier stratégique". Le ravitailleur pourra s'éloigner de la zone dangereuse si l'avion a un rayon d'action plus important. Ensuite il y a le ravitailleur "furtif" ou au moins pour le dernier ravitaillement. Avec des MQ-25 (furtif) ou des A400M (pouvant servir de ravitailleur en TBA) on peut imaginer qu'ils se ravitaillent sur des ravitailleurs lourds (A330MRTT ou équivalent) puis aillent sur la zone d'opération. C'est un peu la logique de la Marine qui faisait des patrouilles mixtes Rafale nounou et SEM pour ravitailler moins souvent qu'une patrouille uniquement de SEM. Pour les AWACS, le partage de données peut théoriquement permettre à un nombre d'avions suffisants de couvrir la même zone. Si on rajoute une liaison satellite, la gestion peut se faire depuis une base à terre plutôt que depuis l'AWACS.
  15. ARPA

    M51

    Oui, mais depuis fin de la guerre froide. Cela aurait pu être possible/envisageable avec 6 SNLE/M4x, après une modernisation du redoutable au début des années 90. On aurait pu avoir 3 SNLE opérationnel en métropole, 1 en IPER et 2 déployés à la réunion. Bon, il faut se replacer dans le contexte de la fin des années 80. Donc guerre froide, du budget, une augmentation régulière de notre nombre de têtes nucléaires, un risque conséquent qu'un pays africain puisse se retrouver avec une armée classique dissuasive (les MiG21 commençaient à proliférer en Afrique, la même chose dans les années 90 avec des MiG29 ou Su27 aurait été plus inquiétant...) une prolifération nucléaire probable (Afrique du Sud, Inde, Pakistan, Irak, Taïwan...). Je ne sais pas ce qui aurait le plus poussé pour le déploiement de SNLE à la Réunion, mais il fallait pouvoir durcir notre posture nucléaire. Bon, à l'époque, on prévoyait d'avoir 6 SNLE avec 5 lots de 16 M4x à 6 TN soit 480TN. Des FAS et FANu avec 60 ASMP (avec TN, plus un lot de missiles d'entraînement) pour les mirage IV, 2000N et SEM. Le plateau d'albion qui allait remplacer ses 18 S3 mono tête par des M45, donc 108 TN. On aurait eu 650 TN stratégiques... Et il faudrait encore rajouter les armes tactiques, sous Jaguar/mirage IIIE et de l'armée de terre, sur Pluton et Hadès. Maintenant je ne sais plus à quel point c'était juste une étude qui aurait pu aboutir ou non, ou si c'était une décision actée et pour quand elle devait être mise en place.
  16. ARPA

    M51

    C'est aussi ce qui permet de passer de 6 SNLE (donc de quoi armer un deuxième site à la réunion) à seulement 4 (dont 1 indisponible en IPER)
  17. ARPA

    M51

    Si un peu quand même. Enfin le Terrible a commencé son IPER en début 2021 et devait faire un tir fin 2022 avant de reprendre du service... J'hésitais à créer un post sur l'absence de tir.
  18. ARPA

    L'Inde

    Le décollage STO est possible sur Rafale M, mais ça ne veut pas dire que la capacité STO ne peut pas être améliorée. Si on arrive à rajouter quelques KN pendant les premières secondes du décollage, on augmente d'autant la charge utile. Une optimisation du réacteur pourrait facilement dépasser le Md$, surtout si on demande à des indiens de contribuer au développement. On peut dépenser presque autant qu'on veut pour améliorer le M88 (plus puissant, fiable...) Le coût de développement de 270M€... c'était des € de l'an 2000 et pour demander aux concepteurs des versions B/C/M de faire la N. C'est un montant qu'il faudra peut-être augmenter très significativement si on demande à des indiens guidés par les ex stagiaires des ingénieurs qui ont développés les Rafale de développer cette nouvelle version. Avec les progrès technologique et l'aide de ChatGPT, ce sera peut-être beaucoup moins cher, mais je ne m'avancerai pas à une estimation sans une analyse de Dassault. En "petit" développement, il faudra aussi développer les pylônes "démontables" (à défaut d'ailes repliables). Et peut-être aussi adapter les entrées d'air pour les nouveaux réacteurs. Ce ne sera pas non plus gratuit. Et surtout, ce n'est pas parcequ'il y aurait 26 Rafale M, qu'il ne faudra payer que ces 26 Rafale M. Je présume qu'il y aura aussi des simulateurs (au sol et dans le PA) l'équipement de maintenance (en double, intégré au PA et à terre) les munitions et pièces détachées... On peut aussi envisager des développements specifiques, on parle d'un début de livraison dans au moins 3 ans. On pourrait imaginer que les indiens profitent de leur Retex pour rajouter une optimisation de leurs spécifications. Et surtout, entre le prix "fly away" et ce que l'achat "va coûter" sur XX années en comptant le MCO, l'armement, le salaire des pilotes... il peut y avoir une différence énorme. Sinon 3% de surcoût pour le M par rapport aux B/C, ça me paraît vraiment peu.
  19. ARPA

    L'Inde

    Honnêtement, les Rafale M indiens peuvent aussi impliquer de nouvelles "ISE". Entre un hypothétique développement de Rafale biplaces embarqués, ou un mode "décollage STO" et le surcoût des avions embarqués, on a déjà un gros surcoût. Et il n'est pas du tout évident que l'IN puisse ou souhaite mutualiser l'exploitation des Rafale avec l'IAF. Les 8 Md$ ne sont pas forcément absurde. Enfin, 4 ou 12 seraient aussi crédibles...
  20. D'ailleurs c'est une des incohérences que je vois avec les avions de transport stratégique. On utilise un avion gros porteurs "stratégique" qui transporte rapidement le char lourd sur l'aéroport international "de proximité". Dans le cas canadien/ukrainien, on parle d'une livraison en Pologne donc presque à 1000 km (en tout cas, plus qu'un plein en Leo2) de la zone d'opération, donc une grande partie du temps de déploiement sera en réalité par la route. Ensuite il faudrait attendre que tout l'escadron (les chars, mais aussi les véhicules d'accompagnement) soit déployé... ce qui donne un ordre de grandeur de 1000 tonnes donc on attend plusieurs rotations du "petit" C17 pour avoir un effet cohérent. Donc, à moins d'avoir une flotte pléthorique, le transport aérien prendra plusieurs jours. Je crois qu'on approche le mois pour l'exemple ukrainien... Avec des gros porteurs comme les C5, An124 ou mieux An225(NG), on réduit un peu le nombre de rotations, mais la flotte risque d'être encore plus réduite donc le nombre de jours sera équivalent. Tout compris, le délai de déploiement d'une unité de MBT avec des C17 devient assez important. En alternative, un déploiement avec un navire n'aurait pas été beaucoup plus lent. En seconde alternative, perdre quelques heures pour démonter les MBT pour pouvoir les convoyer dans des A400M et A330MRTT puis les remonter une fois arrivé à destination ne sera pas beaucoup plus long. Pour peu qu'on ait globalement plus (en tonnage) d'A400M et A330MRTT d'utilisables que de C17, on pourrait facilement gagner les quelques heures de perdues.
  21. Donc on a potentiellement 8 A400M ravitailleur, 5 avec un HDU en soute et 3 avec 2 nacelles sous les ailes. A terme, on aura 5 nacelles supplémentaires (spécifique hélicoptère) donc "2,5" A400M ravitailleur de plus. Pourque ce soit cohérent, il y aura probablement (au moins) une nacelle "avion" qui sera commandé en plus pour permettre d'avoir un nombre entier de ravitailleurs. On aura de quoi équiper (au moins) 11 A400M ravitailleur. Ce sera un net progrès par rapport à nos 10 Transall ravitailleur, surtout qu'il faudrait aussi compter les 2 KC130J.
  22. Il s'agit d'ailleurs d'une des missions stratégiques que les A330MRTT ne peuvent pas reprendre aux C-135FR alors qu'il s'agit d'une mission essentielle pour accompagner un raid avec des pilotes qui pourraient devoir s'éjecter. Le retrait des derniers (K)C-135 va peut-être encourager l'usage des A400M comme ravitailleur/SARMAR.
  23. ARPA

    Mirage III E

    Au Pakistan, ils soutiennent comment leurs mirage III et les ATAR associés ? L'avion est (enfin) en fin de carrière, mais ils doivent être capables de réviser les ATAR, ou en tout cas, ils l'étaient jusqu'à récemment. Maintenant, est-ce que ça répond aux règles de navigabilité européenne...
  24. ARPA

    [Rafale]

    J'ai un doute, il s'agit d'un escadron ou d'un régiment ?
  25. En effet, c'est très succinct. Je dirais même qu'il s'agit des scénarios noirs de la France plus que de l'armée française. On a la présentation d'une crise et on s'arrête au début des opérations militaires. Je ne suis pas sur que l'armée française se sortirait si mal que ça de la plupart des scénarios.
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