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ARPA

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Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. Pourquoi pas ? A priori il faudrait utiliser le (double) point lourd ventral et les 2 premiers points lourds sous voilure. Ils auraient une capacité d'emport de 3 + 2*2 = 7 tonnes sous probablement 4G. Lors d'une mission de mise en orbite, je doute qu'on ait besoin de faire des évolutions donc on devrait pouvoir se contenter de 2G, ce qui ferait même un peu plus que 12 tonnes de possible. Le rafale M a un train renforcé et surélevé, avec 12 tonnes de charge externe et une masse à vide de 10 tonnes, il lui reste de quoi embarquer assez de carburant pour atteindre l'altitude de lancement. A 12 km, on est déjà dans la stratosphère, ça permet d'éviter les basses couches. Et mach 0,7 c'est déjà ça de gagné par rapport à un lancement à vitesse nulle. Il serrait peut-être possible de faire mieux (quoique on est proche de la masse max, le rafale risque d'avoir du mal à passer en supersonique surtout avec si peu de carburant et le rafale ne pourra pas dépasser les 16 800 m) mais ça risque de ne pas apporter grand chose. Par rapport à un avion de ligne, le rafale est déjà équipé des point d'emport. En plus si on veut avoir une fusée de plus de 12 tonnes, il faudra l'installer sur le dos de l'appareil ce qui va fortement compliquer l'opération. Accessoirement le rafale est déjà en service et même quasiment disponible en permanence en Guyane à disposition d’Arianespace (ce n'est pas encore le cas, mais l'armée de l'air n'attend qu'un prétexte pour avoir 2/3 chasseurs en Guyane et la Marine rêve de pouvoir s'en occuper pour passer comme responsable des DOM/TOM et justifier un nombre de rafale M dépassant largement les capacités du PA) Le Mig31, le F15, le SR71 ? Mais pour les lancements commerciaux ils ne pourront pas opérer depuis Kourou et profiter de l'infrastructure d'Arianespace. En plus je ne suis pas sur que leurs performances soient vraiment supérieures. Si on veut vraiment faire mieux que le rafale, il faut passer à l'échelle au dessus et utiliser des bombardier lourd supersonique Tu160 (l'épine dorsale des forces nucléaires russes) ou B1B (mais ce n'est pas trop dans les habitudes US) Et en plus on parle d'avions étranger donc ne pouvant pas répondre aux besoins français (et européens) Les mirage IV ne sont pas véritablement plus performant que les rafale et ils seront assez dure à remettre en service. Pour les rafale MF1, c'est déjà des rafale. Je ne vois pas ce que tu veux modifier. Si tu veux juste t'en servir pour ne pas utiliser ceux qui servent à des missions de combats, on a le M02 qui serrait encore en service et qui est un des très rare rafale civil. Euh, pourquoi faire ? Les besoins risquent d'être très réduit. En plus il y a déjà l'AN225 qui a été construit pour ça. Mach 3 (que seul le Mig 31 permet d'envisager et pas forcement avec une fusée de 12 tonnes) ce n'est que 900 m/s. En cas de foirage au lancement après un largage au dessus de la mer, bah il fait plouf et puis c'est tout.
  2. ARPA

    missiles intercontinentaux

    Lol, tu veux vraiment qu'on te fasse un tableau avec les performances (portée, charge utile, pays, date d'entrée en service, taille, coût ...) de la trentaine de missiles balistique intercontinentaux qui a été mise en service ? Google ou wiki est ton ami pour ça. http://fr.wikipedia.org/wiki/Missile_balistique Déjà la différence de performance est assez réduite, on ne connait pas la taille des tête nucléaire (les américaines sont peut-être plus petites que les notre vu qu'ils ont fait 5 fois plus d'essais que nous) et les performances peuvent énormément varier entre un missile avec le maximum de tête et un missile presque vide (les missiles français emportent en moyenne plus de tête que les missiles anglais ou américains) Sinon je manque de données, mais je crois que le M51 aurait une poussée plus brutale que le Trident ce qui implique des moteurs plus gros donc une masse "à vide" plus importante. D'un point de vue parano, je pense que la plupart des "petites" fusées développées par des pays sans missiles balistiques sont en réalité des prototypes légaux de missiles. Cela leur permet d'assurer une veille technologique et de pouvoir se doter très rapidement d'une dissuasion nucléaire en cas de besoin. Par exemple le Japon est un des plus gros producteur de sous-marins conventionnels, dispose d'un des plus gros stock de matières fissiles, sait construire des fusées et maitrise très bien les réacteurs nucléaires terrestres. A mon avis il ne faudrait que quelques années entre la décision politique et la mise en service des premier SNLE.
  3. ARPA

    Eurofighter

    Alors pourquoi la marine a tellement étudié l'achat ou la location de F18 hornet ? Tu ne vas quand même pas me dire que les marins sont incompétent au point de vouloir des Hornet à l'époque des Super Hornet ?
  4. Capacité d'emport suffisante en bombes, armements ou capteur divers. Mais pour transporter des parachutistes, faut pas rêver. Les exemplaires les plus récents doivent avoir plus de 20 ans (et plus de 40 pour les plus vieux) c'est irréalistes de vouloir les refaire complètement. En plus pour larguer des parachutistes, il doit être plus facile de remettre en service les Tu144.
  5. ARPA

    [Rafale]

    C'est ce qu'il dit. Le fuselage est beaucoup plus important que le cockpit. Et quand je disais que c'était peut-être possible en temps de guerre, je veux juste dire que Dassault pourrait probablement navaliser des rafale C plus vite (et en plus grand nombre) que produire de nouveaux rafale M. Il faut 3 ans pour faire des rafale, une reconversion devrait être plus rapide. C'est déjà fait... Le rafale est bien plus furtif qu'un F15 (Silent Eagle ou non) Quand à la soute centrale, elle est complètement inutile pour emporter des mica furtif. Et pour les missions de bombardement furtives, ce serra aussi inutile vu qu'il y s'agira de tirer des SCALP ou des ASMP/A. Les bidons de kérosène ont un impact sur la SER assez réduit, il est possible d'utiliser des CFT un peu plus furtif, mais ils ne peuvent pas être largués donc ce n'est pas non plus optimale pour une mission la plus furtive possible. En fait j'ai "peur" que les F15 Silent Eagle soient juste assez furtif pour pouvoir utiliser des GBU quand les rafale de série utiliseront des AASM à distance de sécurité. Avec en plus la spécialité française de faire du TBA, on pourra avec nos rafale et nos SCALP atteindre des cibles que les F15 ne pourront pas menacer.
  6. ARPA

    Achat suisse

    Le pire c'est que c'est vrai. On parle d'un pays neutre. Pour les missions air-sol, il s'agira probablement de bombarder un voisin (donc besoin d'une autonomie de quelques centaines de km et probablement sans trop d'espoir de retour vu le nombre de typhoon ou rafale) ou au moins d'effectuer une mission avec le soutient d'un voisin. Et dans ce cas, ce serra probablement plus "simple" et performant de faire un gros chèque pour que ce soit la France (ou un autre) qui s'en occupe. D'ailleurs à ma connaissance, il n'y a que Kadhafi qui a vraiment menacé militairement la Suisse et qui aurait mérité un tir de missile de croisières. Sauf que à peine un an plus tard, c'est la France qui s'en est chargé. Le problème du rayon d'action est un faux problème pour la Suisse. C'est utile uniquement pour les avions en mission air-air qui doivent maintenir une présence aérienne sur zone la plus importante possible, mais un casa ravitailleur pourrait presque suffire à régler le problème.
  7. ARPA

    [Rafale]

    A moins qu'on soit en état de guerre, une conversion des C en M est inenvisageable (financièrement, ce serra beaucoup plus simple de revendre les C et acheter des M). En temps de guerre, ça pourrait peut-être être fait assez rapidement (suffit de changer le train avant et "espérer" que le rafale C navalisé soit abattu avant d'avoir eu le temps d'user son train principal) Le coût est déjà un argument non négligeable, mais il y a aussi l'intérêt opérationnel. C'est vrai que les missions sont théoriquement de plus en plus complexe, mais les avions sont aussi de plus en plus facile à piloter (et à gérer si on parle du système d'arme) L'armée de l'air a décidé de remplacer ces mirage 2000D par des rafale monoplaces. A priori les seuls rafale biplaces de combat seront ceux des FAS (qui pourront aussi faire des missions conventionnelles) Et puis même si les rafale embarqués ont théoriquement les même capacités que les rafale terrestres, ce n'est pas sur du tout qu'ils fassent des vols aussi long donc aussi complexe que les avions terrestres. Normalement c'est justement un des avantages d'opérer depuis un PA donc à proximité de la zone de conflit. On a eu un contre exemple avec le conflit en Afghanistan, mais c'était un conflit très particulier, probablement pas très représentatif de la future utilisation de l'aéronavale. Nos autres RETEX et les conflits futurs "probables" (Kosovo, Libye, Syrie, Iran ...) ont vu (ou verrons) des opérations aéronavales beaucoup plus courtes que celles de l'armée de l'air. En fait les besoins de l'aéronavale en biplaces sont très réduit. A part la formation (un biplace c'est toujours utile pour les requalifications d'appontages) et les FANU (on préfère avoir un 2eme membre d'équipage pour un tir d'ASMP, ça limite les risques) on risque d'avoir vraiment peu de missions demandant un biplace et son NOSA. Évidemment si le rafale B/M était au catalogue, la marine risquerait d'en acheter une dizaine d'exemplaires, mais je ne suis pas sur que ça vaille la peine de payer le prix d'un rafale M (et probablement plus) pour son développement. Dans quelques années, si la marine (brésilienne, indienne, anglaise, japonaise, australienne ... je vous laisse choisir) souhaite s'équiper de rafale M à condition de pouvoir aussi s'équiper de biplaces, la question devrait se reposer et on pourrait bien voir des biplaces dans la marine française (c'est bien à cause du Koweït que la France c'est équipé de mirage F1B)
  8. ARPA

    Le successeur du CdG

    Bon, la survivabilité d'un rafale est bien plus importante que celle d'un Tomahawk, donc il faudra bien plus souvent comparer le coût du Tomahawk à celui de l'AASM (je présume qu'il s'agit quand même d'une cible protégée qu'on ne peut pas traité à la GBU ou au canon) qu'à celui du rafale. Et la survivabilité du SSGN doit être comparable à celle du PA ou de la base aérienne (donc presque infinie dans tous les cas) C'est quand qu'un SSGN à lancé en moins de 4 heures ses 154 tomahawk ? Ensuite la marine pourrait se faire aider par l'armée de l'air. On pourrait (presque, je fais de grosses approximation) dire que l'objectif du livre blanc était d'avoir 70 rafales en OPEX donc la capacité de lancer 420 AASM par jours. Sinon un AASM largué par un rafale représente 250 kg d'explosif tiré à distance de sécurité sur une cible situé à 1850 km du PA ou plus s'il y a des ravitaillement en vol et le Tomahawk représente 450 kg d'explosif tiré à distance de sécurité sur une cible située à 1 250 ou 2 500 km (suivant les version) du frappeur. Pour moi il s'agit de 2 vecteurs ayant des missions relativement comparables. Désolé de défendre le vecteur aérien. ;) mais je ne tiens pas à clouer au sol nos avions.
  9. ARPA

    Drone aérien

    En fait le nEUROn tel qu'il est est déjà relativement performant. Il est déjà capable de larguer 2 bombes de 250 kg lors d'un vol de 2H. C'est quasiment les performances de 2 missiles de croisières de type SCALP Naval lancés depuis la piste utilisé par le nEUROn. Sauf qu'il suffit de réarmer le drone et non produire deux nouveaux missiles de croisières. Sinon on peut aussi comparer avec le F117. Le nEUROn ne peut pas être ravitaillé et doit se contenter de bombes de 250 kg à la place de celles de presque une tonne. Mais pour un prix nettement plus faible (à l'achat comme à l'entretien) et un appareil beaucoup plus petit donc demandant beaucoup moins d'équipement pour être déployé à l'étranger. Sans oublier qu'on ne risque pas de perdre de pilote (donc de devoir faire une mission complexe pour essayer de le récupérer) et qu'on peut envisager des missions suicides (combien coûterait un tel UCAV produit en série par rapport à un SCALP ?) Tant qu'on ne saura pas ravitailler des drones, il faudra disposer d'UCAV avec un rayon d'action relativement important pour atteindre nos cibles. Mais si on se base sur les donnée wikipédia, le nEUROn actuel avec seulement 1,6 (7-4.9-.25*2) tonnes de carburant interne pour presque 2 heures d'autonomie (donc 2 000 km d'autonomie) pourrait déjà augmenter son autonomie de 15% en remplaçant une des bombes par du carburant (donc jusqu'à 2 300 km) et il devrait aussi être possible d'installer des réservoirs largables pour atteindre la zone hostile. Par exemple avec deux "petits" réservoirs de 500 kg de carburant, on gagne presque 1250 km d'autonomie (ce qui donne un total de 3 500 km de portée) ce qui permet au bout de 1250 km de passer en furtif et d'opérer à 500 km à l'intérieur du territoire adverse (cas approximatif du tir de SCALP sur la Libye) avant de revenir au point de départ. On a quasiment l'autonomie d'un rafale sans ravitaillement en vol (mais avec 250kg d'armement et non 3 tonnes) Évidemment si le nEUROn est produit en "grande" série, il est envisageable de s'en servir pour des missions suicides (on utilise ceux à bout de potentiel) donc de doubler la portée. Le nEUROn est petit et assez limité, mais je lui reprocherais surtout de ne pas être en service plutôt que d'être trop petit. En fait plutôt que de développer un UCAV furtif beaucoup plus gros (quel rayon d'action ? les 6 000 km utilisés par l'AdA lors de nos tir de SCALP ?) j’étudierai plutôt le concept du ravitaillement en vol (si l'opérateur se trouve dans le ravitailleur et qu'il n'y a donc plus de temps de réaction, qu'est ce qui interdit un ravitaillement ? et si on se rate c'est pas bien grave, on perd juste un drone donc on peut même envisager de se ravitailler au dernier moment) Un nEUROn comme celui actuellement en test, mais capable de se faire ravitailler en vol et pouvant éventuellement être doté de réservoirs externes (ou de bombes supplémentaires) me plairait bien dans l'inventaire français. Rien qu'une petite escadrille de nEUROn et 2 ou 3 ravitailleurs capables de les ravitailler me suffirait. Bon une version de série un peu plus grosse équipés de M88 serrait souhaitable (presque 2,5 fois plus gros donc la soute doit pouvoir embarquer tous les armements français et rayon d'action presque doublé) Bon si c'est pour faire du CAS et aider nos hommes au sol au dessus d'une zone qu'on contrôle, on n'a pas besoin d'un drone furtif, on pourrait même presque se contenter des SDTI qui peuvent tenir 5 heures autour de nos troupes (car opéré directement par les troupes au sol) et s'il faut effectuer un bombardement, il suffirait presque de transférer les coordonnées à l'artillerie elle aussi basée à proximité.
  10. ARPA

    Eurofighter

    Si on veut vraiment exagérer l’honnêteté, on peut aussi dire que les Français comme les Anglais avaient besoin d'un avion embarqué et ils avaient tous les deux besoins d'un bombardier nucléaire. Il a fallu attendre 87 pour que la Marine se décide pour un avion dérivé de ceux utilisés par l'armée de l'air. La marine était assez indécise quand à son choix et un STOVL en coopération avec les 4 autres aéronavales européennes (+ les US Marines) aurait pu lui convenir. Actuellement les anglais n'ont plus d'avions embarqués, mais je me demande si c'est par "choix" ou juste par impossibilité de faire autrement (car il n'y a pas de Sea typhoon ou qu'ils n'ont pas collaboré avec les Français pour faire un STOVL opérationnel beaucoup plus tôt) Toutes les marines européennes ont renouvelé leur flotte de PA et d'avions presque en même temps (2000 pour le changement de PA, d'intercepteur et d'AWACS pour la France, 2011 pour la fin de l'aéronavale anglaise, mis en service du BPE en 2008, du Cavour en 2009 ...) La France aurait largement pu repousser le changement de son aéronavale de quelques années (le Foch est toujours en service et avec des F18 C/D nos 2 vieux PA nous aurait permis de conserver une aéronavale crédible au moins jusqu'en 2011 et le passage au STOVL) quand aux autres pays ils auraient aussi pu commander des CATOBAR et avoir actuellement une aéronavale plus crédible que ce qu'ils ont. Quand aux besoins nucléaires anglais, jusqu'en 98 (92 pour la RN) les Anglais étaient doté d'une composante aéroportée. Ils n'ont pas eu les moyens de remplacer leur missiles nucléaires et ont du se contenter de bombes nucléaires (des WE.177) de moins en moins crédibles, mais ça ne veut pas dire qu'ils n'ont pas besoin d'un bombardier nucléaire. Une coopération sur l'ASMP a été fortement étudié donc un coopération sur le vecteur aurait aussi été crédible. Parmi les autres utilisateurs des eurocanard, il y a l'Allemagne qui prévoit de conserver une escadrille de tornado à vocation nucléaire jusqu'en 2025 (avec les B61 américaines) et l'Italie qui va probablement attendre la mise en service des B61 sur leurs F35 pour retirer les Tornado. Dire que la France est le seul pays d'Europe à avoir besoin d'un bombardier nucléaire me paraît un peu exagéré. C'est vrai que le rafale est le seul à avoir eu ce critère dans son cahier des charges, mais les autres pays s'en serraient parfaitement accommodé. D'ailleurs une collaboration sur les ASMP (ou ASLP) avec les anglais et sur le typhoon/rafale aurait peut-être permis de remplacer les B61 américaines destinés aux italiens et aux allemands par des ASMP européens. Bon, c'est vrai que les deux avions n'ont pas eu tout à fait le même cahier des charges, mais je doute que ce soit justifié surtout après coup quand on voit qu'avec les retards, il ne s'agit plus de compléter les tornado ou mirage 2000, mais de les remplacer. D'un point de vue militaire (et non industriel ou économique) je pense que le rafale pourrait répondre au cahier des charges du typhoon et le typhoon n'aurait pas besoin de beaucoup d'adaptation pour répondre à la quasi totalité du cahier des charges du rafale (à part peut-être pour la Marine, mais c'est un détail)
  11. ARPA

    Le successeur du CdG

    Un rafale M peut aussi lancer 6 AASM sur des cibles au delà de la portée d'un SCALP naval. Avec 26 rafale, on peut faire autant de dégâts qu'avec 154 Tomahawk.
  12. ARPA

    Gripen

    Comme pour tous les "chasseurs/intercepteurs" modernes. Les biplaces peuvent être aussi performant que des monoplace, mais ils ne sont utilisés au combat avec 2 pilotes. Parmi les exceptions, il y a les F15E qui ne sont pas vraiment ce que j'appelle un avion moderne (mis en service il y a 25 ans à partir des F15A mis en service il y a 40 ans) les F18F qui opèrent au coté des F18E, mais j'ai l'impression qu'ils sont surtout chargés des missions air-sol les F18E s'occupant des "missions de chasse". Pour le rafale, il y a bien des biplaces de combat, mais il s'agit bien plus de nos bombardiers stratégiques que de classiques chasseurs.
  13. Déjà, ça sert à quoi d'avoir plusieurs ponts ? Si j'ai bien compris, ça sert principalement à augmenter le nombre de décollage donc de piste de décollage. Accessoirement ça doit aussi permettre une certaine redondance en cas d'accident sur une des pistes. Éventuellement ça doit aussi permettre d'avoir des avions capables de décoller pendant les opérations d'appontages. Actuellement on a des "petits" PA avec une piste (il y avait les anciens Colossus modernisés comme le Minas Gerais avec une unique catapultes, les PA STOVL comme le CAVOUR ou les Invincible) des PA "moyens" (les Français à 2 catapultes) des PA mi lourd (les STOBAR "russes" avec 3 zones de lancement dont une seule grande qui a besoin qu'une des 2 petites soit libérée et la dernière petite piste de décollage peut être utilisé indépendamment des opérations d'appontages) et des PA lourd (avec 4 pistes de décollages toutes capables de faire décoller des avions à pleine charge et deux le permettent même pendant les opérations d'appontages) Bref, je crois qu'on peut faire plus simple et plus efficace que de rajouter un pont. Tu crois vraiment que l'écho d'un F35C (de 30 tonnes) va augmenter la SER d'un CVN de 100 000 tonnes ? C'est un peu comme dire qu'il faudrait une soute pour embarquer des SCALP et des mica furtifs... En plus des risques dû aux infiltrations d'eaux, on pourrait avoir de très gros dégâts en cas d'accident si des "bombardiers" (tous les avions modernes sont polyvalents et sont donc dotés de bombes) prêt à décoller explosent à l'intérieur du PA (d'ailleurs les américains refusent tout armement dans les hangars)
  14. On parle aussi d'un des rares lanceurs américains. Avant d'être en concurrence avec Arianespace (donc Ariane V, mais aussi Soyouz et Véga) ils sont en concurrences avec les autres lanceurs américains qui ne sont pas franchement réputé. Actuellement Space X facture 2 ou 3 fois plus cher à la NASA que ce qu'elle promet à des entreprises privées. A tel point qu'on peut légitimement se demander si les lancements privés ne sont pas subventionné par la NASA. En plus pour l'instant, Space X s'est contenté de lancer des fusées assez loin de la capacité maximale théorique (officiellement pour l'instant les charges étaient plus volumineuse que lourde ce qui explique les faible livraison à l'ISS) A terme, il est possible que Space X se concentre sur le marché institutionnel américain. Déjà ils feront beaucoup plus de bénèf avec les clients privés (qui imposent un bon service commercial et s'adapter à des besoin assez variés), ensuite il faudrait qu'ils soient capables d'assurer tous les lancements (rien que les besoins de la NASA et de la défense représentent plus de lancements que ce que fait Ariane)
  15. ARPA

    OVNIS

    Je sais pas pour vous, mais pour moi ce n'est pas ce qui manque. Donc soit je manque de connaissance, soit j'ai eu affaire à un OVNI ou une divinité quelconque.
  16. J'adore ... on n'a pas encore finit la guerre au Mali, qu'on se reproche déjà de ne pas avoir réussi à faire de ventes d'armes. Tout ça juste parce que les Russes annoncent vouloir vendre des armes au Mali. Heureusement qu'on ne suit pas les info chinoises, parce que les Chinois veulent aussi vendre des armes (FC1, J10, copie d'AK47, blindés ...) et je crois que c'est aussi le cas de presque tous les pays de la planètes. Les Maliens sont en grande partie formés depuis des décennies par la Russie et sont équipés d'armes russes. C'est un peu normal qu'il faille un certain temps de réaction pour qu'ils s'équipent d'armes françaises. C'est comme la Libye, ils étaient sous embargo depuis des décennies, on ne peut pas leur demander de s'équiper tout de suite de rafale alors qu'ils n'ont aucun pilotes ou mécaniciens. Mais vu que les jeunes officiers libyens sont depuis peu en formations en France et apprennent à rêver au rafale, on peut s'attendre à ce qu'ils se décident d'ici quelques années.
  17. ARPA

    Votre Armée de l'Air idéale

    Juste pour le point de détails, tu le sort d’où tes 4 radars ? A ce que je sache, on a le radar GRAVES pour détecter les satellites, le radar Nostradamus pour suivre les B2 qui longent les frontières française, un radar "mobile" longue portée et récent en Guyane (le GM400) et presque une cinquantaine d'autres radars militaires de tout type (longue portée, courte portée, mobile ou non) plus ou moins vieux (entre 15 et 50 ans) et à disponibilité variable répartis un peu partout en métropole et en Corse. Ou alors tu voulais juste dire 4 radars aéroportés ? (évidement on ne compte pas la marine et on croise les doigts pour qu'il n'y ait pas d'accidents nous faisant passer à 3 AWACS)
  18. ARPA

    Votre Armée de l'Air idéale

    Parce que l'intérêt d'un turbo prop est très limité. Un Super Tucano (on en avait pour la formation) aura des performances très réduite même pour du CAS. On a perdu un pilote parce qu'il était au commande d'une gazelle et non d'un tigre. Pour faire du CAS de basse intensité, autant utiliser des Alpha jet (ou un autre jet école) plutôt que des turbo prop. Sinon au Mali, le Super tucano mettrait plus de 2 heures pour aller de Bamako à la zone de combat (ce serra peut-être même 3 ou 4 si c'est vraiment au nord du Mali) et il faudra aussi prévoir le trajet retour ce qui ne laissera que très peu de temps sur zone. En fait pour couvrir le Nord Mali, il faudrait en baser à Tombouctou, Kidal et Gao. Mais dans ce cas on parle déjà de déployer une petite vingtaine de chasseurs avec le personnel associé. Ce serra financièrement à notre portée, mais politiquement ça demande un investissement bien plus important que juste 3 petits rafale. Et évidement les Super Tucano seront beaucoup plus dur à déployer que des rafale. Accessoirement la politique d'utilisation des avions de combats à hélice serra de la responsabilité de l'armée de l'air et non de l'Alat donc leur utilisation risque d'être complètement différente. Concernant la mission gunship, on a fait des essais pendant la guerre d'Algérie sur des Noratlas et les performances ont été décevante (par rapport à des Skyraider, il y avait presque 100 fois moins de coup au but lors des passes canons) Ce ne serrait peut-être plus la même chose pour le CN235, mais j'ai peur que ça reste un sport de riche et que les kit ne puissent pas s'installer aussi facilement. Sinon les baser dans nos DOM/TOM, c'est afficher un peu trop ouvertement qu'on veut pouvoir mater une rébellion de nos colonies. Je n'en vois pas du tout l'utilité. Autant des avions à réaction pourront être utiles pour des missions de police du ciel ou anti-navire, autant des turbo prop risque d'être complètement inutile. Même en Guyane ou on pourrait en avoir l'utilité, il vaut mieux utiliser des hélicoptères pour survoler la jungle et pouvoir se poser en urgence en cas de problème. Pour les Patmar, il s'agit d'une mission vraiment spécifique (et de la responsabilité de la marine) donc autant avoir des avions fait pour. Enfin en pratique nos Atlantique 2 sont vraiment proche des transall et parmi les remplaçants potentiels il y a beaucoup d'avions s'appuyant sur une cellule d'avion de transport (B737, A320, Falcon) et à mon avis l'idéal (enfin peut-être trop gros) serra qu'Airbus développe une version spécifique de l'A400M.
  19. ARPA

    Atlantique 2

    Les SCUD sont prévus pour atteindre une cible terrestre. Et vu qu'il est "interdit" de vendre (et même d'en avoir) des armes anti-satellites, c'est évident que les SCUD ne peuvent pas détruire de satellites. Enfin en pratique, quand ils vont atteindre une cible à plusieurs centaines de km avec une trajectoire parabolique, ils vont monter assez haut. Je n'ai pas de données chiffrées pour les SCUD (qui sont loin d'être les missiles les plus performants) mais rien que pour le V2, on avait une altitude maximale de 206 km avec une charge utile de presque une tonne et une portée de seulement 320 km. Pour un missile sans charge utile (ou juste un missile tueur qui peut encore gagner de l'altitude) et de plus grande portée (presque tous les grands pays et même des particuliers savent faire des missiles longue portée ou des fusées) il doit être assez facile d'atteindre l'orbite basse (jusqu'à 2 000 m) Tout le problème est de viser juste. Malheureusement les américains ont la mauvaise habitude de publier la position de pas mal de satellites, donc il doit être possible de placer le missile tueur à courte distance du satellite et il suffit d'avoir un radar et un système de guidage pour finaliser la trajectoire pour percuter la cible (ou s'en approcher à moins de XX m pour que l'explosion du missile la détruise) Surtout qu'une fois qu'on a la trajectoire approximative (grâce aux données des radar US, russes, français ...) on peut la préciser par une simple observation visuelle avec un télescope "classique" et il suffit de bien gérer la précision du lancement. Je suis peut-être parano, mais j'ai peur que l'orbite basse ne reste pas invulnérable bien longtemps. On a encore l'énorme avantage que les terroristes aient du mal à recruter des scientifiques, mais ce serrait assez facile de faire des armes anti-satellites.
  20. ARPA

    Votre Armée de l'Air idéale

    En fait je poserais aussi la question pourquoi pas ? Un avion subsonique comme le M346 (l'avion d'entrainement subsonique qu'on "risque" d'acheter) est doté de 2 "petits" réacteurs ayant une poussée globale de 5,7 tonnes et une masse à vide de 1,070 tonne. La "même" cellule équipé d'un M88 (5 tonnes de poussée à sec et 7,5 avec la post combustion) d'une masse de 900 kg devrait être supersonique pour pas plus cher. Mais surtout la commande d'un avion d'entrainement est un moyen de se doter d'avions de combat léger. Le but n'est pas tant de s'en servir (je pense qu'on a les moyens de s'équiper de rafale en nombre suffisant) que de les avoir en réserve au cas ou. En plus ça nous permet aussi de les vendre à l'export et donc de nous implanter dans d'autres pays qui les complèteront par quelques rafale pour les missions de haute intensité (même réacteur, même armement, même formation ...) Un avion "d'entrainement" supersonique peut faire bien plus de missions opérationnels qu'un avion subsonique. Rien qu'actuellement on a des problèmes pour assurer la missions de police du ciel. Avec des T38, on pourrait leur demander d'assurer la PO plutôt que de réfléchir à adapter nos bombardiers 2000D en intercepteurs. Si demain pour une raison X ou Y, on souhaite installer 4 ou 5 (au lieu de 2) bases chargés de la PO en métropole (grosse menace terroriste par exemple) et équiper chacun de nos DOM/TOM d'une PO (donc Guyane, Réunion, Mayotte, dans les Antilles donc probablement Martinique ou Guadeloupe, Nouvelle Calédonie et peut-être Polynésie Française) parce qu'on veut pouvoir escorter les GAN asiatique (par exemple) on aura besoin d'une quinzaine de supersonique en outre mer et d'une dizaine en alerte en métropole. Par rapport au cahier des charges actuels de l'AdA (50 avions en OPEX vu que la marine s'occupe des 20 autres, 4 pour la PO et les FAS) ce serrait très contraignant. Même pour les missions air-sol, si on peut effectuer des bombardements, une mission de reconnaissance ou fuir un ennemi, la vitesse supersonique permettra d'augmenter significativement sa survivabilitée (même par rapport à un second réacteur ou des leurres supplémentaires) Oui, c'est aussi décrit comme MLA sur la page wiki du rafale. Non, je dirais que ce n'est pas tout à fait la même mission. Pour l'ASMP (A ou NG) on veut un vecteur complémentaire des M51 donc de préférence utilisant un vecteur complètement différent. Je préfère un missile de croisière volant en basse altitude à vitesse "relativement" réduite qu'un autre missile ballistique qui ne serra pas plus performant que nos M51. Un bouclier antimissiles capable d'intercepter nos M51 serra probablement capable d'intercepter un "ASMP NG" ayant une trajectoire extraatmosphérique. Ensuite un lanceur réutilisable (tu penses à une sorte de X37 ?) j'ai peur qu'il coûte trop cher pour les mise en orbite. D'ailleurs la mission d'une navette (habitée ou non) avec une soute est presque autant de récupérer des satellites espions étrangers que d'en mettre en orbite. Malheureusement, je ne crois pas qu'on ait les moyens de jouer à la guerre spatiale avec les autres grandes puissances. Autant qu'on ait une politique extrémiste refusant toute guerre spatiale et qu'on se contente de menacer de destruction brutale ou de remplacement tout aussi rapide (cas des russes qui à la fin de la guerre froide pouvaient mettre leur satellites plus vite en orbite que ce que les américains ne pouvaient les détruire) Le problèmes des drones, c'est qu'ils ne peuvent être utilisé que s'il y a une couverture satellitaire. En pratique pour la France, ça veut dire qu'on ne pourra pas s'en servir dans le pacifique ni même à proximité de la Chine ou de l'Inde ou en Amérique du Sud. Le R36 fait 210 tonnes (portée de 16 000 km et 10 ogives de 1 MT d'après la version optimiste de wiki) contre seulement 35 tonnes pour le M45 (portée de 6 000 km et 6 ogives de 150 KT) Je ne suis pas sur que l'expérience russe soit vraiment valable pour la France. Enfin le M51 est déjà bien plus crédible et avec un quatrième étage prévu pour, c'est sur qu'on peut s'en servir pour des charges utiles plus ou moins petites. Le problème de l'utilisation comme fusées des M45 et M51 est surtout politique vu qu'on risque de perdre en crédibilité si notre fusée échoue (ce qui n'a pas une probabilité nulle pour un missile qu'on retire du service) et on risquerait aussi d'avoir des problèmes de politiques intérieures, je verraisz bien les écolo dire que ça ne sert à rien de dépenser des milliards pour une arme qui ne servira jamais et qui quand elle devra éventuellement servir, n'arrivera pas à faire sa mission.
  21. ARPA

    Votre Armée de l'Air idéale

    Le sujet est vraiment très proche de celui ci : http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,20010.0.html Donc ma réponse serra quasiment la même. L'armée de l'air étant aussi notre "armée de l'espace" je rajouterais quelques vecteur spatiaux. Déjà il faudra augmenter notre nombre de satellites. Plutôt que de se baser sur des gros satellites, je verrais plutôt une constellation de micro satellites. Cela devrait pouvoir se faire presque à iso budget, c'est juste préférer des petits satellites plutôt que des gros, pour ceux en orbite géostationnaire ce ne serra pas possible, mais ce sont aussi les plus dur à détruire. Et il faudra aussi avoir des vecteurs pour mettre rapidement en orbite nos satellites (ou désorbiter ceux du camps d'en face) Déjà il pourrait y avoir le système de MLA (micro lanceur aéroportée) pouvant équiper le rafale (et en particulier l'escadrille de 2/3 rafale qui serra chargé de la protection de la Guyane) pour lancer des micro satellites (dont nos satellites tueurs) et qui pourra presque être financé par Arianespace pour la mise en orbite (express) de micro satellite commerciaux. Pour le lancement de micro satellite, un tir depuis l'équateur avec des rafale loués à prix coutant voir moins (nos pilotes doivent s'entraîner pour le lancement de satellites) devrait être compétitif et donc nous permettre de justifier un peu plus notre détachement en Guyane (qui n'est actuellement justifié qu'un mois par an pour la protection d'un lancement militaire) Ensuite on pourrait aussi réactiver le 1er GMS (Groupement de Missiles Stratégiques) qui seront doté de quelques (3/4 c'est suffisant) camions spéciaux permettant le tir de M45 ou M51. Les M45 ou M51 pourront servir pour la dissuasion en emportant une pleine charge de TNO (rien que 4 M51 avec 10 TNO chacun serraient aussi efficace que nos FAS et leurs 40 ASMP) mais aussi pour le lancement de satellites militaire (il suffit de développer un quatrième étage pour être presque aussi performant qu'une fusée Véga et je me demande même si le M51 sans modification n'est pas suffisant pour des "petits" satellites) On ne pourra évidement pas s'en servir pour des lancements commerciaux (cela voudrait dire révéler les performances de nos missiles, y compris leur accélération qui est bien plus contraignante que celle des fusées civiles) et on aura peut-être aussi des problèmes de fiabilité si on utilise nos "vieux" missiles que la FOST prévoit de retirer du service, mais on aura aussi des fusée presque gratuite. Le coût de développement des 3/4 porte missiles (il faudra un camion géant, mais ceux des russes sont presque aussi gros) risque de ne pas être si élevé que ça. Et rien que l'utilisation de quelques M45 qu'on allait jeter pour mettre en orbite des satellites militaires devrait rentabiliser l'investissement. Concernant notre aviation de combat, je réduirais ses effectifs au minimum. Si on a une bonne disponibilité, on peut vraiment se contenter d'un nombre très réduit d'avions de combat et donc quasiment se contenter des rafales qu'on a déjà. Notre commande de rafale devra juste servir à assurer une production de 11 par ans. Pour les A400M et A330MRTT, il s'agit vraiment de vecteur dimensionnant nos OPEX donc il faudra les commander comme c'est prévu. Vu le contexte actuel (crise financière US) j'en profiterais pour acheter quelques C5A qui pour le prix d'une grosse modernisation (4 réacteurs d'A330MRTT et une avionique très proche) nous permettrons d'augmenter très sensiblement nos capacité de transport stratégiques. Ensuite je développerais aussi un "bombardier" lourd sur base d'A400M servant évidemment comme bombardier lourd mais aussi comme patrouilleur maritime et comme ravitailleur. Pour une dizaine d'A400M bombardier/ravitailleur, je serrais prêt à sacrifier 5 A400M (les 5 derniers de transport avec kit de ravitaillement) et 2/3 A330MRTT (je les trouve trop gros pour les FAS) et ils serviront aussi dans la marine à remplacer nos Atlantique 2. Et en apparence l'armée de l'air ne s'est toujours pas décidé pour le remplacement des Alpha jet, il reste donc possible de s'équiper d'un jet supersonique (T50, Mako, ou de préférence un made in Dassault) qui pourrait aussi exister en version embarqué et en version de combat (et équiper symboliquement l'armée de l'air pour nous permettre de couvrir le marché du bas de gamme) Pour les AWACS, si Airbus (et d'autres pays de l'UE) veut faire quelque chose, il faudra y participer sinon on se contentera de faire comme les US. Pour la DCA, on pourra se contenter d'un nombre symbolique de SAMP/T. Il suffit juste de pouvoir assurer la DCA pour nos troupes en OPEX ou lors d’événements particuliers, comme un G8. Pour la défense de la métropole et de nos villes, je trouve que c'est plutôt le boulot de la FOST, donc il faut juste qu'on ait un niveau technologique suffisant pour être crédible à l'export ou lors de négociation européenne sur la construction d'un bouclier européen. Pour les radar, c'est aussi une de nos lacunes (les DOM/TOM hors Guyane ne sont pas couvert et la métropole est obsolète) et nos capacités de détection spatiale sont embryonnaires (c'est suffisant pour faire pression sur les américains, mais pas pour avoir suffisamment de données pour détruire un satellite ennemi qui vient d'être mis en orbite) mais à moins d'accepter d'augmenter le budget, je ne vois pas trop comment faire.
  22. ARPA

    Atlantique 2

    D'ailleurs quand je vois le prix des drones HALE, je me demande si on ne ferrait pas mieux d'avoir des avions HALE (avec un double équipage ou au moins un équipage renforcé et une zone de repos) surtout que ça permettrait de s'en servir même dans les zones non couvertes par les satellites de communication (c'est à dire à proximité des pôles, ou les zones qu'on n'a pas eu les moyens de couvrir, ou après une attaque contre nos satellites ce qu'un SCUD à peine amélioré pourrait faire s'il est très bien guidé)
  23. ARPA

    Eurofighter

    En air-air, les typhoon sont probablement excellent. Très bonne maniabilité, très bon armement (y compris des météor à très longue portée), très bon pilote (formation OTAN et optimisée pour le combat aérien) mais aussi (surtout ?) supériorité numérique (c'est un des atout d'être allié des USA) Comme les F16 ou les F15, les Typhoon auront probablement une bonne réputation air-air et ils pourront probablement avoir quelques victoires air-air. Même un pays disposant de quelques escadrilles de J20 ou T50, ne pourra pas faire le poids face à une coalition de centaines de chasseurs modernes occidentaux (typhoon ou F35) Par contre pour le rafale, ça risque d'être beaucoup plus juste. Face aux chinois, les rafale indiens n'auront pas la supériorité numérique ni même technologique (même sans aller jusqu'au J20, ils devront affronter plus que du Mig21) et même pour les pilotes, ils risquent de ne pas être bien mieux formés.
  24. ARPA

    Atlantique 2

    On va dire que les AASM sont utilisés pour des cibles aillant plus de valeurs des celles des Hellfires. Pour tirer des 4x4, les AASM sont un peu trop haut de gamme, actuellement on se contente d'utiliser des roquettes, de artillerie ou que les forces ennemis se concentre pour qu'un tir d'AASM en détruise plusieurs.
  25. ARPA

    CIWS sur les avions

    D'après wiki, on a quand même une poussée de 2,7 tonnes pour celui du rafale. Si c'est dans l'axe de l'avion, ça ne devrait pas poser trop de problèmes, mais s'il faut les mettre en bout d'ailes (pour mieux couvrir l'avion) Juste pour le détail, ça sort d’où qu'un missile air-air est moins manœuvrant en phase terminale qu'un missile antinavire ? et surtout, est-ce qu'ils seront pour autant plus facile à intercepter ? On parle de missiles bien plus rapide (mach 4 pour le mica contre 0,9 pour l'exocet) donc le temps de réaction sera beaucoup plus court et vu qu'on parle de missile beaucoup plus petit (on parle presque d'un rapport de 1 à 10) on risque de les détecter plus tard et donc de réduire encore le temps de réaction. Je ne pense pas qu'un CIWIS (installé sur un avion en mouvement essayant probablement d'éviter un missile) capable d'intercepter un MICA soit si facile que ça à développer.
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